Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1950-11-10
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 10 novembre 1950 10 novembre 1950
Description : 1950/11/10 (A5,N1429). 1950/11/10 (A5,N1429).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t5101864h
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/05/2021
NUIT PROCHAINE
pOUR SES DÉBUTS
lA
rAGN E
ière centré
J'Arsenal
FRANCS
Surtaxe
aerienne
10, Fg MONTMARTRE, PARIS (9 e )
TAITBOUT 70-80 ET LA SUITE \\\
CORSE
NOVEMBRE 1950
• N° 1429
VENDREDI
5 e ANNEE
10
AFRIQUE
du NORD
PETITES
TAITBOUT
ANNONCES
73-40, 41, 42
rera celui du
5 novembre à
ipton, Smith
ley, nouveaux]
itionaux angh
corresp. J..J. B E R Th ,I
Le onze d'A
- PfcVsl
cinq joueurs de^H
début d'octobre nïî
1 Belfast, par 4 -] r °
Chilton, parmi \ e i
:Ws, Lee et LangtoV
mts, on cédé la JL
-ompton, à Finnev
îdley. '*
'elle est composée
jeille aujourd'hui <•
érale. On se
de la tardive reco™
'elle des mérités du
Compton, piliér de
■enal. De même se réii
ineur accordé à son
Lionel Smith qui,
défense des canonnier
ice de Scott. Le troisi
ipé est Med ley, ailier
tenham, qui jouera e
ôté de son camaradi
Le retour de Midi
t souhaité par la P |,
es.
lHodison Square Garden
LAURENT
WHUILLE
le redoutable comingman
YfilING à condition qu’il ait retrouvé
f vv/vUh* bon moral et grande forme !
n e victoire vaudrait au Français un
mbat, titre mondial en jeu, contre
Ray Sugar ROBINSON!
(De notre env. spéc. perm. Je.an KROUTCHTEIN
SERVICE VENTE : PROVENCE 37-18
COMPTE POSTAL : 4.237-93
POUR RENCONTRER L'ANGLETERRE
SAMEDI, A LEEDS
problème enfin résolu
un
oppera
DD Y
DUFFORT
au centre :
les sélectionneurs du XIII de France
SONT DÉCIDÉS...
pour la sécurité
félicit e i
dang
en
M. JULES (U
'N BOUCHER
LIME
asse d'acqui
PUISSANl
E CHEVAL]
corresp. part. Cl. CAl]
— Charles Humez
nombreux amis com
i. Il en compterait)
de moins s’il était
par Walzack. C’est ti
à laquelle n’échapjj
ipion de France,
tarmi ses fidèles, il
particulier, dont
e sûr (en dehors
pon et Louis Sion
ond au nom de
om de Jules. C’est
ion de la boucherie
telle un chevalin, m|
pas tout à fait
■es, puisque lorsqu’
a une chanson au
al d’Humez d’Algi
tanta « Les Bœufs
grand dada pourta:
a boxe et son meillei
, forcément Humez '
îs Louf est, d’aut
ît du Boxing-Club R4
hez lui que j’ai te.
aarlie à une heure
l’autre® celle de 1
our Humez celle au
pourrais peut-être
sur l’enseigne de
la plus belle des J®
t le président,
mon client de touj<
s les jours. »
ez se nourrit, en
valine ». Grand coi"
s steaks (because ie
impion de France
st devenu « P ar ,JL
ir nécessité ». P r ^ ls l
iis Sion, un grand
• de cheval.
i percheron, quelque 1
ng le Plus souvent»
Iste. Bernard Capon
i, Charlie. 1
jusqu’alors posMg e
plus nerfs =
!e Nordiste, depuis
a ajouté une ibc°n
nce. A 68 kg. 500, P 0 ’
ur son match aA e
î sera, en effet, au .
puissance, Il P®. n ’n
oir. 69 kg. 200-et »,
; aucune apprehen
mcerne le P°ids. -
imais je n ai ete a ^
physiquement
dans ma prépara J
quer l’Héninois J*
l’entraîner, sans
r aux exigences du ,
>as que j’aie tant
faire les welters .f .
trouvé devant CW
mais cette f°if J
•e à penser au 6e0
is livrer. Et je. pu
détenteur d w& rm
îlle de frappe- D ei 1
n, c’est NowiasTP
; ouverte, la , ve c n'a rI ;
ante droite de ^
lueur du « noit
i Kid Marcel ne
e à Rennes p | en - ri
i. Il se console ei li
amais Charles ne g a ni
ae en ce naomen^g ](
perdu de sa u co^
est à 69 kg-
qu’à la limite des
Rivalité de
même confiance _ u i|
les visages t Humez. M. LO
r ent débute...
Lcnh premier match en Amé-
1 décembre 1948 — Laurent
a disputé une dizaine de
dont sept à Montréal, et
... moyen numéro un est en-
j; a New-York, où il va dé-
"Lt prochaine, sur le fa-
du Madison Square Garden.
s [. u6 le 13 septembre der-
Ljt Laurent a été le vérî-
dontesté champion du monde
moyens jusqu’à 13 secondes
j, |a 15 e et ultime reprise
itcli contre La Motta.
nous l’avons dit dans
* du Sorti du ring, domina le
, du Bronx en boxant à la
sa valeur. Contracté, tendu,
plus le Dau.huïlle qui nous
((t jllé à l’entraînement ; et,
il gagnait sans discussion
fatale et déplorable erreur
, round.
die prend aujourd’hui un
t peut-être décisif départ
de ces rudes poids moyens
courageux, résistants et
Paddy Young, dont notre
Jean Kroutchtein parle
(donne voisine,
ithuille boxe en possession
es moyens, sa victoire ne
doute, et tous les espoirs
à nouveau permis de jouer
irochain sa deuxième chance
lampionnat du monde,
est — comme il le fut de-
Motta — impressionné par
«e de l’enjeu et par ses
lant le public de New-York,
i et cette fois encore plus
déception — car elle se-
liable — est possible,
mostic personnel : écartons
d’une défaite et faisons
i Laurent.
NEW-YORK (service spécial A.F.P.). — Arrivé au
Championnat du monde en pénétrant par la fenêtre de
Montréal, Laurent Dauthuille va tenter de refaire le che
min qui conduit au titre mondial en se présentant cette
fois à la grande porte du Madison Square Garden, où,
ce vendredi soir, à 22 heures (samedi 4 heures à Paris),
il rencontrera Paddy Young.
Il aura fallu deux ans à Dauthuille pour faire ses
débuts dans la grande arène new-yorkaise. Cette attente
lui a été imposée par ses représentants américains Max
Waxman et le colonel Grom
bach, qui estimaient Mont
réal plus favorable, finan
cièrement, que New-York.
Paddy Young, l’adversaire de
Laurent, très peu connu en
France, s’annonce en réalité
comme un rival difficile pour
notre champion. Grande révéla
tion de l’année, ce jeune New-
Yorkais est d’une classe supé
rieure à Tuzo Portuguez qui le
battit une première fois sur bles
sure, Young prenant ensuite sa
revanche.
Il ne faut pas oublier, par ail
leurs, que les Européens, émus ou
mal adaptés, ont toujours eu des
débuts pénibles au ' « Garden ».
Ainsi, Cerdan, contre un surpre
nant George Abrams, avait dû se
contenter d’une très difficile vic
toire aux points et Robert Ville-
main, lui, avait échoué pour ses
débuts contre Steve Belloise.
Mais les qualités réelles du « bat
tant » Paddy Young ne pourront
s’affirmer que difficilement ce ven-
(Lire la suite page 2, rubr. Boxe)
lorges
PEETERS.
(HIER SOIR
[LE WAGRAM
20Ûtj
uefffl
I0BBY
IWSON
(trouvé
«brio!
payer à Chape
mésaventure
? des Sports
1 k* détails page 2
1 rubrique Boxe)
I
Mais encore une incertitude : 0. LESPÈS
sera-t-il en état de jouer ou devra-t-il
laisser sa place à CONTRASTIN ?
Trois petits tours... et puis s , en vont... Les joueurs du XIII de
France, comme chaque saison, avant de se diriger vers l’Angleterre,
se sont livrés à un léger entraînement matinal sur le terrain du stade
Pershing. Non pas pour mettre au point quelque tactique secrète,
il s’agissait simplement de vérifier l’état physique des joueurs.
L’on n’a pas oublié, à la Ligue, la façaji dont un joueur,
demi de mêlée apprécié à l’époque, dissimula une déchirure muscu-
laire pour pouvoir conserver sa place dans le XIII national...
Mais l’examen d’hier matin n’a rien laissé entrevoir : tous les
titulaires sont parfaitement ingambes (à l’exception, peut-être, dm
Lespès) et affirment un égal désir de bien faire... si bien qu’en
définitive l’embarras des sélectionneurs, qui ont encore à décider
de la formation de la ligne de trois-quarts, demeurait entier.
A l’issue de la conférence de
presse tenue à l’hôtel Commodore
— et où l’on parla surtout cyclis
me en raison de la présence de
Georges Speicher, grand ami du
Roger BASTIDE.
(Lire la suite p. 4, rub. Rugby XIII)
« L’Equipe » à Leeds
Nos envoyés spéciaux, Pierre
ABOUT et Roger BASTIDE, sont
partis, hier soir, pour Leeds, avee
l’équipe de France.
LE 13 (DE FRANCE) PORTERA-T-IL
BONHEUR A WALZACK ?
Les joueurs du XIII de France, rassemblés à Paris avant de se
dirigef vers Leeds où ils affronteront samedi l’équipe d’Angleterre,
ont profité de leur fournée de loisirs pour visiter la salle de boxe
Oquinarenne à l’heure de l’entraînement. Yanek Walzack, qui ren
contrera samedi, au Palais des Sports, Charles Humez, a été l’objet
de leurs soins... tout particuliers, et ils se sont empressés, pour
démontrer leur excellente forme, de lui offrir un voyage... non pas
au tapis, mais... au plafond ! D.e gauche à droite : Kid Marcel (spec
tateur intéressé), Raoul Pérez, Calbète, Walzack (dans l’espace et, le
tenant, visage caché, Puig-Aubert), l’entraîneur Jean Duhau, Crespo
et Contrastin.
« EN IMPOSANT TROIS NORD-AFRICAINS
DANS CHAQUE EQUIPE
LES ORGANISATEURS
DU TOUR D'AFRIQUE CYCLISTE
veulent préparer leurs régionaux
AU TOUR DE FRANCE "
nous confie notre confrère Tony ARBONA
POUR L’OMNIUM FRANCO-ITALIEN, DIMANCHE, AU VEL’ D’HIV’
Le plan Bobet
ADOPTÉ A
sera
L’UNANIMITÉ...
...et Louison vaincra (certainement) sa nervosité grâce
à un mystérieux procédé nègre !
VERTURE, CE SOIR, A LIMOGES
[Match international de boxe
AMATEURS DE FRANCE
fis contre ceux de Belgique !
Loi" 1 ^ uart Ate siècle, la boxe amateur a toujours été apprê
ts clubs _ locaux comptèrent autrefois de nombreu-
f cet
sts f, teniiltionales - Le Comité régional du Limousin poursuit
b i e torts. On ne l’ignore pas rue Mollet et c’est pourquoi on
actif Comité l’organisation des derniers Championnats de
ut; st en,, ore à Limoges que commencera ce soir la sai-
^-tonale de boxe amateur avec le match France-Belgique.
|
pjf’i , n a P u déjà juger de l’excellente forme actuelle des
u r . ns .— nombreux, cette année, sur le team national —
tch m i ire contr « l’équipe de Bruxelles, et d e leur très hono-
111 avec Londres en Angleterre.
Page 2, rubr. Boxe)
Georges PEETERS.
HUMEZ
AS-TU DU CŒUR ?
HENIN - LIETARD. — Walzack
et Humez, deux enfants de la
mine et de l’Artois, sont sépa
rés par une solide rivalité
locale, car ils comptent l’un et
l’autre de fanatiques parti
sans en pays minier. Humez
sait qu’il lui faudra se battre
de toutes ses forces pour im
poser sa loi.
Chez M. Jules (Lowf), son
président de club... et son bou
cher, décrochant un cœur de
cheval, sous l’œil amusé de
M. Jules et de Bernard Capon
(le conseiller et ami du cham
pion), le Nordiste a déclaré
dans un bel élan lyrique :
« J’ai un « cœur » gros comme
ça et le prouverai samedi ! »
Voir en page 6 le reportage de
Raymond MEYER sur Walzack
es vues
tôt
fils
Intensité nouvelle de la vie
Moux\ industrielle en Catalogne...
5 P°rt et les jeux de l'arène passionnent toujours les foules
Nous organisons
apportera par au c
Vous ne croyez
que nous , all ° n vict '
e chose qu nn e
champion ? »
est vrai qu’àjl^ s ,yf
de là, à NœU g CenC (
la même eff ® r ,T| v eU ll t ■
i Walzack est ” « yoC*
amis de Nœux h® goUU,
et. déjà, les paris ^
iquel de ces q ue^
e l’emportera - L 0
l’Artois s P°Umes c
•allume de vieiU es
)S.
(De notre envoyé “spécial)
est la
position de l’ouvrier espagnol ?
t Un iu r "" J,uv " iuu.iio eaizaguui
.'ement de jugement qu’on se doit d’examiner. Nous ne
Mj e ’ ev idemment, que des ouvriers d’usine, des ouvriers
Ntionri ,e nombre augmente sans cesse du fait de cette
flu Présent ■* convient de trouver une caracté-
Utî^UiHer le problème, nous devons rappeler que la Cata-
soul 'Snait récemment le Dr Escaguès y Javierre,
"Ptexe du fait de l’évolution récente des activités pénin-
J5 ala ".
lancera
novembre
Nie voiture
Régate
nous l’avons dit, a dû mater la nature, les
Phiques pour assurer sa subsistance, car le sol était
pauvre, et c’est seulement depuis
un siècle que l’industrie catalane
s’est révélée, affirmant d’ailleurs
assez vite des qualités indénia
bles, qu’il s’agisse du textile, par
exemple, ou de la mise en valeur
des énergies naturelles, l’hydrau
lique en particulier. D’autre part,
la construction, surtout au cours
des dernières années, a connu un
grand essor.
Les visiteurs de Barcelone ne
s’émerveillent pas seulement d’une
montagne, il y a trente ans en
core aride et désolée, devenue de
puis 1929 un parc splendide où,
en dehors de palais monumentaux,
on trouve un stade aux nobles li
gnes, capable de recevoir 60.000
spectateurs. De là-haut, de cette
éminence qui domine la ville, en
face du fameux Tibidabo, le spec
tacle sur la grande cité, aux heu
res crépusculaires ou nocturnes,
acquiert une indéniable grandeur.
Enfin, dans l’agglomération mê
me, de larges avenues ont été
créées ou développées, et une ad
mirable ceinture périphérique est
en cours d’achèvement. Partout,
de nombreuses maisons, de grands
Leta,, ® a| ° n de
épieux
m ^ Miucur
|A ava?® ,a Régie Natio-
LSre o annoncé qu’une
c^ault serait pré-
L«a„ Se se r l maines Plus tard.
kS | e * tenue, le 24 no-
V On « adre Pu Palais
L,Oette 't beaucoup de
C'ait O no uvene voiture
A Sot’ a atre autres, un
S. floni, Uoune caractéris-
rüc teur' ee - °ff'Ciellement
L', 1 attenJ 11 nous faut, en
N^e encore deux
savoir avec cer-
tétisg ^efficient de péné-
ae rodynamisme.
édifices s’élèvent, avec un entier
respect des lois de l’urbanisme
moderne.
Dans un temps où, en Espagne
comme presque partout, le plus
clair des revenus d’un travailleur
est absorbé par la seule nourritu
re, ne soyons pas surpris que ceux
de la terre connaissent actuelle
ment une prospérité qui, si long
temps, leur parut inaccessible. Il
n’est pas interdit de penser que
le meilleur moyen de supprimer
un déséquilibre excessif doive se
trouver dans ces aliments de syn
thèse, contenant les éléments es
sentiels, dont, déjà, rêvait Berthe-
lot.
Toujours, il fut assez vain de
comparer les niveaux de vie de
deux travailleurs, appartenant à
des pays différents, en prenant
comme règle la transformation
des monnaies d’après les cours
officiels des changes. C’est, iné
vitablement la comparaison des
pouvoirs d’achat qui s’impose.
Sur le papier, le salaire de l’ou
vrier d’usine à Barcelone, sera
considéré comme légèrement su
périeur à celui de l’ouvrier fran
çais. Nous comptons alors la pe
seta à son cours officiel, soit ac
tuellement à 11,50 de nos francs.
En fait, on trouve dans nos ban
ques des pesetas, autant qu’on
en désire, à 7,50 francs. Cette der
nière estimation est la seule va
lable ; alors le travailleur espa
gnol, à définition égale, gagne
moins que le français.
(Lire la suite p. 2, rub. Automobile)
(1) Voir
vembre,
LES GIRONDINS OPTIMISTES
«Victorieux de Strasbourg
BORDEAUX
peut rester champion de France !
estime le capitaine GALLICE
approuvé par Ventraîneur GERARD
(De notre corresp. général J.-G. POMIES)
BORDEAUX. — Après le match contre Lille (0-3), l’entraîneur
des Bordelais prit la résolution de mettre au repos le plus complet
les trois internationaux Doye, Garriga, Kargu et Pérsillon.
Cependant, à l’entraînement de jeudi, tout le monde était là, sauf,
bien entendu, les malades SWiatèk et Mustapha.
Au terme du petit match traditionnel, nous avons pu bavarder
avec ,l’entraîneur et le capitaine des Bordelais :
« J’ai estimé qu’il était sage d'agir ainsi, nous dit André Gérard,
faisant allusion au repos des trois internationaux, car le mercredi,
contre la Belgique, mes trois r
joueurs se sont donnés à tond et,
exception faite pour Doye, qui oc-1
cupait une place où il est plus
facile de récupérer, Garriga et
Kargu ont indiscutablement porté
les marques de cette rencontre,
Kargu surtout. D’ailleurs, à Lille.
Les Français qui participeront dimanche à l’omnium franco-italien
ont connu hier la journée décisive de leuï préparation. Ils ont, en effet,
abordé très sérieusement la question tactique et ils ont jeté les bases
de leur plan pour tenter de vaincre les Transalpins. Il faut dire qu’ils
sont maintenant parvenus au terme de leur entraînement. Si l’on
excepte une légère sortie cé matin
sur la route, nos quatre représen
tants ne retoucheront plus au vélo
jusqu’à dimanche.
Bobet, Mattéoli, Barbotin et
Queugnet se sont préparés comme
pour un Championnat du monde.
Ils n’ont rien négligé et Louison —
qui effectuera sa rentrée sur piste
— se trouve dans l’état psycholo
gique d’un champion qui livre le
match de sa vie. Il étudie minu
tieusement toutes les éventualités
et se pose sans cesse la question :
« SERAI-JE PARFAITEMENT AU
POINT ?»
Quel est le secret de Dousset ?
Sur ce sujet, tout le monde
semble' d’accord pour répondre :
oui. Daniel Dousset nous disait hier
soir :
« Louison m’a fait une impres
sion extraordinaire, surtout der
rière Derny, où il se promène (sic.
Il est seulement nerveux, inquiet,
mais cette nervosité, cette inquié
tude, précisément, so.nt intimement
liées à sa conscience et à sa mi
nutie. Cet état moral correspond à
^■un état physique parce que Bobet,
-en grande forme, connaît la fébri
lité de l’homme fin prêt, voulant
trop bien faire et redoutant le
^moindre incident... Pourtant, .moi,
je ne suis pas inquiet, s’empressa
d’ajouter Dousset. Que risque Bb-
bet ? Simplement d’apparaître lé
gèrement contracté. Or. j’indique
rai à Louison un moyen infaillible
de remédier à ce handicap. »
Dousset - ne veut pas s’étendre
AUX «ASSAUTS
LITTERAIRES »
Roger DUCRET
présentera
Gilbert PROUTEAU
Dans le cycle de ses « Assauts
Littéraires » dont nous avons déjà
parlé précédemment, M. Roger Du-
cret présentera, dimanche soir à
21 heures, salle de la Géographie,
18lt, boulevard St-Germain, Gilbert
Prouteau, écrivain de talent et
conférencier non moins remarqua
ble. Gilbert Prouteau, dont on sait
qu’il fut l’un de nos meilleurs spé
cialistes du triple saut, traitera
d’un sujet qu’il connaît bien puis
que son « Anthologie sportive »
rencontra un vif succès. M. Roder
Ducret, également passionné de lit
térature et de sport, ne pouvait
être mieux inspiré. Au cours de
cette soirée les noms de Giraudoux,
de Montherlant, Obey, Braga, Du-
bech, Decoin seront souvent évoqués
pour l’heureuse influence qu’ils
exercèrent sur le sport, après avoir
été eux-mêmes fascinés par le puis
sant attrait de ce dernier. Au cours
de cette causerie, M. Marcel Berger,
président des écrivains sportifs, li
ra quelques pages magnifiques qui
sont l’orgueil du sport aussi bien
que les plus beaux records... —
M. H.
l’équipe conserva son équilibre
tant que l’avant centre fut en
possession de ses moyens. Croyez
bien que je ne discute pas la vic
toire de Lille. Sur le vu du match,
elle est méritée. Mais disposant de
tout mon matériel, j’ai Ip • certi
tude que mes chances eussent été
égales. »
Et le capitaine des Girondins,
Gallice, ajoute :
« Vous verrez que les meilleures
équipes tomberont à. Lille dont le
onze est très fort.
— Votre moral est-il atteint par
cette défaite ?
— Pas du tout ! J’exagérerais en
Mustapha opéré
Swiatek état stationnaire
BORDEAUX. — Des trois titulaires
de l’infirmerie des Girondins, M’Ba-
rek a été le premier à prendre le
large et à recommencer à s’entraîner
depuis une vingtaine de jours. Bien
tôt, il sera fin prêt et pourrait même,
le cas échéant, faire bonne figure,
et ce dans l’immédiat.
Mustapha a été opéré lundi de po
lypes dans le nez, de même qu’on
lui a redressé la cloison nasale. Il a
fort bien résisté au choc opératoire
et est en bonne santé. Il reprendra
l’entrainement sous auinzaine.
Quant à Swiatek, son état est sta
tionnaire; l’intolérance d’un point de
suture entraine une inflammation qui
retarde le déplâtrage du pied. Si
« Yanek » trouve le temps long, il a
néanmoins conservé un très bon mo
ral. On espère qu’il sera débarrassé
de son « talon Louis XV » d’ici une
douzaine de jours. — J.-G. P.
disant que nous n’avons pas été
quelque peu déçus par ce 3-0, puis
que l’arbitre ne sanctionna pas
d’un penalty une faute grave sur
Baillot à un mètre des buts, ni le
hors-jeu qui entache un des buts
nordistes. Cependant, on ne va pas
plus loin, parce que rien n’est
perdu...
(Lire la suite p. 5, rubr. Football)
davantage. Il s’agit, paraît-il', d’un
procédé secret utilisé par les
noirs...
15” au tour...
Bobet et Barbotin roulèrent,
hier après-midi, à Grenelle, derriè
re Derny. Louison effectua 15 kilo
mètres (les 5 derniers très vite).
Son équipier, pour sa part, se con
tenta de 10 kilomètres, mais Lo-
renzetti, qui le tirait, nous rap
porta que Pierre, très à l’aise, col
lait parfaitement. Bobet et Bar
botin roulèrent. au train, à 16” au
Jacques AUGENDRE.
(Lire la suite p- 3, rubr. Cyclisme)
Bien avant la période rituelle,
notre camarade Tony Arbona, cor
respondant de « L’Equipe » à Al
ger, est venu jouer les « Père
Noël » :
« Je viens à Paris chercher une
soixantaine de coureurs désireux
de se partager trois millions de
francs tout en préparant de la
meilleure façon leur saison rou
tière 1951... », nous dit-il sans au
tre préambule.
C’est là un langage qui deman
dait des précisions.
Arbona journaliste laissa alors
la parole à Arbona organisateur
du Tour d’Afrique cycliste 1951.
« L’an prochain, le Tour sera
transformé. Tout d’abord il devient
une organisation de la « Dépêche
Quotidienne-Champion ». De plus,
le Tour ne comportera plus que
11 étapes contre 17 l’an passé, mais
le total des prix ne sera pas modi
fié, ce qui vaudra une augmenta
tion du simple au double pour
certaines places. Ainsi, le premier
au classement général recevra un
demi-million.
— A quelles dates sera disputé
ce Tour ?
— L’an passé on avait reproché
à l’épreuve de finir après le « Na
tional » et d’être trop longue.
(Lire l
SELECTIONNEURS DE LA F.F.R.
A L’OUVRAGE DES DEMAIN
Le fameux pack bigourdan
en démonstration à Bordeaux
contre les frères Moga !
A Toulouse, duel Matheu-Lacrampe ; à Brive,
Hatchondo passera-t-il Arcalis ? A Grenoble,
le trio international Terreau-Brun-Lauga et
les sprinters Michel et Eynard
Cette semaine, le Championnat
de France cédera la place aux
matches Intercomités qu’il faut
absolument juger sous le signe de
la sélection. On aurait pu faire
beaucoup mieux et les sélection
neurs qui seront présents samedi
et dimanche sur les divers stades
de France regretteront peut-être
qu’il ne leur soit pas donné de
voir les meilleurs éléments.
Quoi qu’il en soit, à deux semai-
SAMEDI
Matches intercomités
\ Grenoble : ALPES c. Lyonnais,
i Brive : Limousin c. BEARN,
i Bord. : COTE ARG. c. Arm.-Big.
l Toulouse ; PYREN. c. LANGUED.
\ Mulhouse : ALSACE c. Lorraine.
V Pithiviers : PARIS B c. Belgique.
TROIS (DES QUATRE) MOUSQUETAIRES...
Dans une cabine, secrètement, les Français qui rencontreront les
Italiens dimanche au Vél’ d’Hiv’ parlaient tactique. Mais notre
photographe Dartus les a surpris. De gauche à droite : Barbotin,
Dousset qui est venu donner quelques conseils, Queugnet et Bobet.
nés des matches France contre
Reste à Lyon et Espoirs A contre
Espoirs B à Dax, il sera très pos
sible de se faire une opinion sur
les futurs élus et ce travail ne
manquera pas d’élaguer considé
rablement la liste des candidats.
En premier lieu, samedi, sur six
rencontres inscrites au programme,
il est absolument nécessaire d’en
éliminer deux qui n’apprendront
pas grand, chose.
En face du XV de Belgique ra
jeuni, mais peu habitué aux grands
matches, Paris B est un vainqueur
certain. Les Souleyreau, Siné. Da-
jas, Vergés, Acedo se feront, assuré
ment, remarquer mais en raison
même du Paris-Côte Basque du
lendemain il leur sera difficile de
gagner leur place au soleil.
Par ailleurs, si la confrontation
Alsace-Lorraine à Mulhouse, mar
que un progrès évident et louable
dans le but de décentralisation et
de propagande, on ne trouvera pas
Louis FERDINAND.
(Lira la suite p. 4, rubr. Rugby XV)
pOUR SES DÉBUTS
lA
rAGN E
ière centré
J'Arsenal
FRANCS
Surtaxe
aerienne
10, Fg MONTMARTRE, PARIS (9 e )
TAITBOUT 70-80 ET LA SUITE \\\
CORSE
NOVEMBRE 1950
• N° 1429
VENDREDI
5 e ANNEE
10
AFRIQUE
du NORD
PETITES
TAITBOUT
ANNONCES
73-40, 41, 42
rera celui du
5 novembre à
ipton, Smith
ley, nouveaux]
itionaux angh
corresp. J..J. B E R Th ,I
Le onze d'A
- PfcVsl
cinq joueurs de^H
début d'octobre nïî
1 Belfast, par 4 -] r °
Chilton, parmi \ e i
:Ws, Lee et LangtoV
mts, on cédé la JL
-ompton, à Finnev
îdley. '*
'elle est composée
jeille aujourd'hui <•
érale. On se
de la tardive reco™
'elle des mérités du
Compton, piliér de
■enal. De même se réii
ineur accordé à son
Lionel Smith qui,
défense des canonnier
ice de Scott. Le troisi
ipé est Med ley, ailier
tenham, qui jouera e
ôté de son camaradi
Le retour de Midi
t souhaité par la P |,
es.
lHodison Square Garden
LAURENT
WHUILLE
le redoutable comingman
YfilING à condition qu’il ait retrouvé
f vv/vUh* bon moral et grande forme !
n e victoire vaudrait au Français un
mbat, titre mondial en jeu, contre
Ray Sugar ROBINSON!
(De notre env. spéc. perm. Je.an KROUTCHTEIN
SERVICE VENTE : PROVENCE 37-18
COMPTE POSTAL : 4.237-93
POUR RENCONTRER L'ANGLETERRE
SAMEDI, A LEEDS
problème enfin résolu
un
oppera
DD Y
DUFFORT
au centre :
les sélectionneurs du XIII de France
SONT DÉCIDÉS...
pour la sécurité
félicit e i
dang
en
M. JULES (U
'N BOUCHER
LIME
asse d'acqui
PUISSANl
E CHEVAL]
corresp. part. Cl. CAl]
— Charles Humez
nombreux amis com
i. Il en compterait)
de moins s’il était
par Walzack. C’est ti
à laquelle n’échapjj
ipion de France,
tarmi ses fidèles, il
particulier, dont
e sûr (en dehors
pon et Louis Sion
ond au nom de
om de Jules. C’est
ion de la boucherie
telle un chevalin, m|
pas tout à fait
■es, puisque lorsqu’
a une chanson au
al d’Humez d’Algi
tanta « Les Bœufs
grand dada pourta:
a boxe et son meillei
, forcément Humez '
îs Louf est, d’aut
ît du Boxing-Club R4
hez lui que j’ai te.
aarlie à une heure
l’autre® celle de 1
our Humez celle au
pourrais peut-être
sur l’enseigne de
la plus belle des J®
t le président,
mon client de touj<
s les jours. »
ez se nourrit, en
valine ». Grand coi"
s steaks (because ie
impion de France
st devenu « P ar ,JL
ir nécessité ». P r ^ ls l
iis Sion, un grand
• de cheval.
i percheron, quelque 1
ng le Plus souvent»
Iste. Bernard Capon
i, Charlie. 1
jusqu’alors posMg e
plus nerfs =
!e Nordiste, depuis
a ajouté une ibc°n
nce. A 68 kg. 500, P 0 ’
ur son match aA e
î sera, en effet, au .
puissance, Il P®. n ’n
oir. 69 kg. 200-et »,
; aucune apprehen
mcerne le P°ids. -
imais je n ai ete a ^
physiquement
dans ma prépara J
quer l’Héninois J*
l’entraîner, sans
r aux exigences du ,
>as que j’aie tant
faire les welters .f .
trouvé devant CW
mais cette f°if J
•e à penser au 6e0
is livrer. Et je. pu
détenteur d w& rm
îlle de frappe- D ei 1
n, c’est NowiasTP
; ouverte, la , ve c n'a rI ;
ante droite de ^
lueur du « noit
i Kid Marcel ne
e à Rennes p | en - ri
i. Il se console ei li
amais Charles ne g a ni
ae en ce naomen^g ](
perdu de sa u co^
est à 69 kg-
qu’à la limite des
Rivalité de
même confiance _ u i|
les visages
r ent débute...
Lcnh premier match en Amé-
1 décembre 1948 — Laurent
a disputé une dizaine de
dont sept à Montréal, et
... moyen numéro un est en-
j; a New-York, où il va dé-
"Lt prochaine, sur le fa-
du Madison Square Garden.
s [. u6 le 13 septembre der-
Ljt Laurent a été le vérî-
dontesté champion du monde
moyens jusqu’à 13 secondes
j, |a 15 e et ultime reprise
itcli contre La Motta.
nous l’avons dit dans
* du Sorti du ring, domina le
, du Bronx en boxant à la
sa valeur. Contracté, tendu,
plus le Dau.huïlle qui nous
((t jllé à l’entraînement ; et,
il gagnait sans discussion
fatale et déplorable erreur
, round.
die prend aujourd’hui un
t peut-être décisif départ
de ces rudes poids moyens
courageux, résistants et
Paddy Young, dont notre
Jean Kroutchtein parle
(donne voisine,
ithuille boxe en possession
es moyens, sa victoire ne
doute, et tous les espoirs
à nouveau permis de jouer
irochain sa deuxième chance
lampionnat du monde,
est — comme il le fut de-
Motta — impressionné par
«e de l’enjeu et par ses
lant le public de New-York,
i et cette fois encore plus
déception — car elle se-
liable — est possible,
mostic personnel : écartons
d’une défaite et faisons
i Laurent.
NEW-YORK (service spécial A.F.P.). — Arrivé au
Championnat du monde en pénétrant par la fenêtre de
Montréal, Laurent Dauthuille va tenter de refaire le che
min qui conduit au titre mondial en se présentant cette
fois à la grande porte du Madison Square Garden, où,
ce vendredi soir, à 22 heures (samedi 4 heures à Paris),
il rencontrera Paddy Young.
Il aura fallu deux ans à Dauthuille pour faire ses
débuts dans la grande arène new-yorkaise. Cette attente
lui a été imposée par ses représentants américains Max
Waxman et le colonel Grom
bach, qui estimaient Mont
réal plus favorable, finan
cièrement, que New-York.
Paddy Young, l’adversaire de
Laurent, très peu connu en
France, s’annonce en réalité
comme un rival difficile pour
notre champion. Grande révéla
tion de l’année, ce jeune New-
Yorkais est d’une classe supé
rieure à Tuzo Portuguez qui le
battit une première fois sur bles
sure, Young prenant ensuite sa
revanche.
Il ne faut pas oublier, par ail
leurs, que les Européens, émus ou
mal adaptés, ont toujours eu des
débuts pénibles au ' « Garden ».
Ainsi, Cerdan, contre un surpre
nant George Abrams, avait dû se
contenter d’une très difficile vic
toire aux points et Robert Ville-
main, lui, avait échoué pour ses
débuts contre Steve Belloise.
Mais les qualités réelles du « bat
tant » Paddy Young ne pourront
s’affirmer que difficilement ce ven-
(Lire la suite page 2, rubr. Boxe)
lorges
PEETERS.
(HIER SOIR
[LE WAGRAM
20Ûtj
uefffl
I0BBY
IWSON
(trouvé
«brio!
payer à Chape
mésaventure
? des Sports
1 k* détails page 2
1 rubrique Boxe)
I
Mais encore une incertitude : 0. LESPÈS
sera-t-il en état de jouer ou devra-t-il
laisser sa place à CONTRASTIN ?
Trois petits tours... et puis s , en vont... Les joueurs du XIII de
France, comme chaque saison, avant de se diriger vers l’Angleterre,
se sont livrés à un léger entraînement matinal sur le terrain du stade
Pershing. Non pas pour mettre au point quelque tactique secrète,
il s’agissait simplement de vérifier l’état physique des joueurs.
L’on n’a pas oublié, à la Ligue, la façaji dont un joueur,
demi de mêlée apprécié à l’époque, dissimula une déchirure muscu-
laire pour pouvoir conserver sa place dans le XIII national...
Mais l’examen d’hier matin n’a rien laissé entrevoir : tous les
titulaires sont parfaitement ingambes (à l’exception, peut-être, dm
Lespès) et affirment un égal désir de bien faire... si bien qu’en
définitive l’embarras des sélectionneurs, qui ont encore à décider
de la formation de la ligne de trois-quarts, demeurait entier.
A l’issue de la conférence de
presse tenue à l’hôtel Commodore
— et où l’on parla surtout cyclis
me en raison de la présence de
Georges Speicher, grand ami du
Roger BASTIDE.
(Lire la suite p. 4, rub. Rugby XIII)
« L’Equipe » à Leeds
Nos envoyés spéciaux, Pierre
ABOUT et Roger BASTIDE, sont
partis, hier soir, pour Leeds, avee
l’équipe de France.
LE 13 (DE FRANCE) PORTERA-T-IL
BONHEUR A WALZACK ?
Les joueurs du XIII de France, rassemblés à Paris avant de se
dirigef vers Leeds où ils affronteront samedi l’équipe d’Angleterre,
ont profité de leur fournée de loisirs pour visiter la salle de boxe
Oquinarenne à l’heure de l’entraînement. Yanek Walzack, qui ren
contrera samedi, au Palais des Sports, Charles Humez, a été l’objet
de leurs soins... tout particuliers, et ils se sont empressés, pour
démontrer leur excellente forme, de lui offrir un voyage... non pas
au tapis, mais... au plafond ! D.e gauche à droite : Kid Marcel (spec
tateur intéressé), Raoul Pérez, Calbète, Walzack (dans l’espace et, le
tenant, visage caché, Puig-Aubert), l’entraîneur Jean Duhau, Crespo
et Contrastin.
« EN IMPOSANT TROIS NORD-AFRICAINS
DANS CHAQUE EQUIPE
LES ORGANISATEURS
DU TOUR D'AFRIQUE CYCLISTE
veulent préparer leurs régionaux
AU TOUR DE FRANCE "
nous confie notre confrère Tony ARBONA
POUR L’OMNIUM FRANCO-ITALIEN, DIMANCHE, AU VEL’ D’HIV’
Le plan Bobet
ADOPTÉ A
sera
L’UNANIMITÉ...
...et Louison vaincra (certainement) sa nervosité grâce
à un mystérieux procédé nègre !
VERTURE, CE SOIR, A LIMOGES
[Match international de boxe
AMATEURS DE FRANCE
fis contre ceux de Belgique !
Loi" 1 ^ uart Ate siècle, la boxe amateur a toujours été apprê
ts clubs _ locaux comptèrent autrefois de nombreu-
f cet
sts f, teniiltionales - Le Comité régional du Limousin poursuit
b i e torts. On ne l’ignore pas rue Mollet et c’est pourquoi on
actif Comité l’organisation des derniers Championnats de
ut; st en,, ore à Limoges que commencera ce soir la sai-
^-tonale de boxe amateur avec le match France-Belgique.
|
pjf’i , n a P u déjà juger de l’excellente forme actuelle des
u r . ns .— nombreux, cette année, sur le team national —
tch m i ire contr « l’équipe de Bruxelles, et d e leur très hono-
111 avec Londres en Angleterre.
Page 2, rubr. Boxe)
Georges PEETERS.
HUMEZ
AS-TU DU CŒUR ?
HENIN - LIETARD. — Walzack
et Humez, deux enfants de la
mine et de l’Artois, sont sépa
rés par une solide rivalité
locale, car ils comptent l’un et
l’autre de fanatiques parti
sans en pays minier. Humez
sait qu’il lui faudra se battre
de toutes ses forces pour im
poser sa loi.
Chez M. Jules (Lowf), son
président de club... et son bou
cher, décrochant un cœur de
cheval, sous l’œil amusé de
M. Jules et de Bernard Capon
(le conseiller et ami du cham
pion), le Nordiste a déclaré
dans un bel élan lyrique :
« J’ai un « cœur » gros comme
ça et le prouverai samedi ! »
Voir en page 6 le reportage de
Raymond MEYER sur Walzack
es vues
tôt
fils
Intensité nouvelle de la vie
Moux\ industrielle en Catalogne...
5 P°rt et les jeux de l'arène passionnent toujours les foules
Nous organisons
apportera par au c
Vous ne croyez
que nous , all ° n vict '
e chose qu nn e
champion ? »
est vrai qu’àjl^ s ,yf
de là, à NœU g CenC (
la même eff ® r ,T| v eU ll t ■
i Walzack est ” « yoC*
amis de Nœux h® goUU,
et. déjà, les paris ^
iquel de ces q ue^
e l’emportera - L 0
l’Artois s P°Umes c
•allume de vieiU es
)S.
(De notre envoyé “spécial)
est la
position de l’ouvrier espagnol ?
t Un iu r "" J,uv " iuu.iio eaizaguui
.'ement de jugement qu’on se doit d’examiner. Nous ne
Mj e ’ ev idemment, que des ouvriers d’usine, des ouvriers
Ntionri ,e nombre augmente sans cesse du fait de cette
flu Présent ■* convient de trouver une caracté-
Utî^UiHer le problème, nous devons rappeler que la Cata-
soul 'Snait récemment le Dr Escaguès y Javierre,
"Ptexe du fait de l’évolution récente des activités pénin-
J5 ala ".
lancera
novembre
Nie voiture
Régate
nous l’avons dit, a dû mater la nature, les
Phiques pour assurer sa subsistance, car le sol était
pauvre, et c’est seulement depuis
un siècle que l’industrie catalane
s’est révélée, affirmant d’ailleurs
assez vite des qualités indénia
bles, qu’il s’agisse du textile, par
exemple, ou de la mise en valeur
des énergies naturelles, l’hydrau
lique en particulier. D’autre part,
la construction, surtout au cours
des dernières années, a connu un
grand essor.
Les visiteurs de Barcelone ne
s’émerveillent pas seulement d’une
montagne, il y a trente ans en
core aride et désolée, devenue de
puis 1929 un parc splendide où,
en dehors de palais monumentaux,
on trouve un stade aux nobles li
gnes, capable de recevoir 60.000
spectateurs. De là-haut, de cette
éminence qui domine la ville, en
face du fameux Tibidabo, le spec
tacle sur la grande cité, aux heu
res crépusculaires ou nocturnes,
acquiert une indéniable grandeur.
Enfin, dans l’agglomération mê
me, de larges avenues ont été
créées ou développées, et une ad
mirable ceinture périphérique est
en cours d’achèvement. Partout,
de nombreuses maisons, de grands
Leta,, ® a| ° n de
épieux
m ^ Miucur
|A ava?® ,a Régie Natio-
LSre o annoncé qu’une
c^ault serait pré-
L«a„ Se se r l maines Plus tard.
kS | e * tenue, le 24 no-
V On « adre Pu Palais
L,Oette 't beaucoup de
C'ait O no uvene voiture
A Sot’ a atre autres, un
S. floni, Uoune caractéris-
rüc teur' ee - °ff'Ciellement
L', 1 attenJ 11 nous faut, en
N^e encore deux
savoir avec cer-
tétisg ^efficient de péné-
ae rodynamisme.
édifices s’élèvent, avec un entier
respect des lois de l’urbanisme
moderne.
Dans un temps où, en Espagne
comme presque partout, le plus
clair des revenus d’un travailleur
est absorbé par la seule nourritu
re, ne soyons pas surpris que ceux
de la terre connaissent actuelle
ment une prospérité qui, si long
temps, leur parut inaccessible. Il
n’est pas interdit de penser que
le meilleur moyen de supprimer
un déséquilibre excessif doive se
trouver dans ces aliments de syn
thèse, contenant les éléments es
sentiels, dont, déjà, rêvait Berthe-
lot.
Toujours, il fut assez vain de
comparer les niveaux de vie de
deux travailleurs, appartenant à
des pays différents, en prenant
comme règle la transformation
des monnaies d’après les cours
officiels des changes. C’est, iné
vitablement la comparaison des
pouvoirs d’achat qui s’impose.
Sur le papier, le salaire de l’ou
vrier d’usine à Barcelone, sera
considéré comme légèrement su
périeur à celui de l’ouvrier fran
çais. Nous comptons alors la pe
seta à son cours officiel, soit ac
tuellement à 11,50 de nos francs.
En fait, on trouve dans nos ban
ques des pesetas, autant qu’on
en désire, à 7,50 francs. Cette der
nière estimation est la seule va
lable ; alors le travailleur espa
gnol, à définition égale, gagne
moins que le français.
(Lire la suite p. 2, rub. Automobile)
(1) Voir
vembre,
LES GIRONDINS OPTIMISTES
«Victorieux de Strasbourg
BORDEAUX
peut rester champion de France !
estime le capitaine GALLICE
approuvé par Ventraîneur GERARD
(De notre corresp. général J.-G. POMIES)
BORDEAUX. — Après le match contre Lille (0-3), l’entraîneur
des Bordelais prit la résolution de mettre au repos le plus complet
les trois internationaux Doye, Garriga, Kargu et Pérsillon.
Cependant, à l’entraînement de jeudi, tout le monde était là, sauf,
bien entendu, les malades SWiatèk et Mustapha.
Au terme du petit match traditionnel, nous avons pu bavarder
avec ,l’entraîneur et le capitaine des Bordelais :
« J’ai estimé qu’il était sage d'agir ainsi, nous dit André Gérard,
faisant allusion au repos des trois internationaux, car le mercredi,
contre la Belgique, mes trois r
joueurs se sont donnés à tond et,
exception faite pour Doye, qui oc-1
cupait une place où il est plus
facile de récupérer, Garriga et
Kargu ont indiscutablement porté
les marques de cette rencontre,
Kargu surtout. D’ailleurs, à Lille.
Les Français qui participeront dimanche à l’omnium franco-italien
ont connu hier la journée décisive de leuï préparation. Ils ont, en effet,
abordé très sérieusement la question tactique et ils ont jeté les bases
de leur plan pour tenter de vaincre les Transalpins. Il faut dire qu’ils
sont maintenant parvenus au terme de leur entraînement. Si l’on
excepte une légère sortie cé matin
sur la route, nos quatre représen
tants ne retoucheront plus au vélo
jusqu’à dimanche.
Bobet, Mattéoli, Barbotin et
Queugnet se sont préparés comme
pour un Championnat du monde.
Ils n’ont rien négligé et Louison —
qui effectuera sa rentrée sur piste
— se trouve dans l’état psycholo
gique d’un champion qui livre le
match de sa vie. Il étudie minu
tieusement toutes les éventualités
et se pose sans cesse la question :
« SERAI-JE PARFAITEMENT AU
POINT ?»
Quel est le secret de Dousset ?
Sur ce sujet, tout le monde
semble' d’accord pour répondre :
oui. Daniel Dousset nous disait hier
soir :
« Louison m’a fait une impres
sion extraordinaire, surtout der
rière Derny, où il se promène (sic.
Il est seulement nerveux, inquiet,
mais cette nervosité, cette inquié
tude, précisément, so.nt intimement
liées à sa conscience et à sa mi
nutie. Cet état moral correspond à
^■un état physique parce que Bobet,
-en grande forme, connaît la fébri
lité de l’homme fin prêt, voulant
trop bien faire et redoutant le
^moindre incident... Pourtant, .moi,
je ne suis pas inquiet, s’empressa
d’ajouter Dousset. Que risque Bb-
bet ? Simplement d’apparaître lé
gèrement contracté. Or. j’indique
rai à Louison un moyen infaillible
de remédier à ce handicap. »
Dousset - ne veut pas s’étendre
AUX «ASSAUTS
LITTERAIRES »
Roger DUCRET
présentera
Gilbert PROUTEAU
Dans le cycle de ses « Assauts
Littéraires » dont nous avons déjà
parlé précédemment, M. Roger Du-
cret présentera, dimanche soir à
21 heures, salle de la Géographie,
18lt, boulevard St-Germain, Gilbert
Prouteau, écrivain de talent et
conférencier non moins remarqua
ble. Gilbert Prouteau, dont on sait
qu’il fut l’un de nos meilleurs spé
cialistes du triple saut, traitera
d’un sujet qu’il connaît bien puis
que son « Anthologie sportive »
rencontra un vif succès. M. Roder
Ducret, également passionné de lit
térature et de sport, ne pouvait
être mieux inspiré. Au cours de
cette soirée les noms de Giraudoux,
de Montherlant, Obey, Braga, Du-
bech, Decoin seront souvent évoqués
pour l’heureuse influence qu’ils
exercèrent sur le sport, après avoir
été eux-mêmes fascinés par le puis
sant attrait de ce dernier. Au cours
de cette causerie, M. Marcel Berger,
président des écrivains sportifs, li
ra quelques pages magnifiques qui
sont l’orgueil du sport aussi bien
que les plus beaux records... —
M. H.
l’équipe conserva son équilibre
tant que l’avant centre fut en
possession de ses moyens. Croyez
bien que je ne discute pas la vic
toire de Lille. Sur le vu du match,
elle est méritée. Mais disposant de
tout mon matériel, j’ai Ip • certi
tude que mes chances eussent été
égales. »
Et le capitaine des Girondins,
Gallice, ajoute :
« Vous verrez que les meilleures
équipes tomberont à. Lille dont le
onze est très fort.
— Votre moral est-il atteint par
cette défaite ?
— Pas du tout ! J’exagérerais en
Mustapha opéré
Swiatek état stationnaire
BORDEAUX. — Des trois titulaires
de l’infirmerie des Girondins, M’Ba-
rek a été le premier à prendre le
large et à recommencer à s’entraîner
depuis une vingtaine de jours. Bien
tôt, il sera fin prêt et pourrait même,
le cas échéant, faire bonne figure,
et ce dans l’immédiat.
Mustapha a été opéré lundi de po
lypes dans le nez, de même qu’on
lui a redressé la cloison nasale. Il a
fort bien résisté au choc opératoire
et est en bonne santé. Il reprendra
l’entrainement sous auinzaine.
Quant à Swiatek, son état est sta
tionnaire; l’intolérance d’un point de
suture entraine une inflammation qui
retarde le déplâtrage du pied. Si
« Yanek » trouve le temps long, il a
néanmoins conservé un très bon mo
ral. On espère qu’il sera débarrassé
de son « talon Louis XV » d’ici une
douzaine de jours. — J.-G. P.
disant que nous n’avons pas été
quelque peu déçus par ce 3-0, puis
que l’arbitre ne sanctionna pas
d’un penalty une faute grave sur
Baillot à un mètre des buts, ni le
hors-jeu qui entache un des buts
nordistes. Cependant, on ne va pas
plus loin, parce que rien n’est
perdu...
(Lire la suite p. 5, rubr. Football)
davantage. Il s’agit, paraît-il', d’un
procédé secret utilisé par les
noirs...
15” au tour...
Bobet et Barbotin roulèrent,
hier après-midi, à Grenelle, derriè
re Derny. Louison effectua 15 kilo
mètres (les 5 derniers très vite).
Son équipier, pour sa part, se con
tenta de 10 kilomètres, mais Lo-
renzetti, qui le tirait, nous rap
porta que Pierre, très à l’aise, col
lait parfaitement. Bobet et Bar
botin roulèrent. au train, à 16” au
Jacques AUGENDRE.
(Lire la suite p- 3, rubr. Cyclisme)
Bien avant la période rituelle,
notre camarade Tony Arbona, cor
respondant de « L’Equipe » à Al
ger, est venu jouer les « Père
Noël » :
« Je viens à Paris chercher une
soixantaine de coureurs désireux
de se partager trois millions de
francs tout en préparant de la
meilleure façon leur saison rou
tière 1951... », nous dit-il sans au
tre préambule.
C’est là un langage qui deman
dait des précisions.
Arbona journaliste laissa alors
la parole à Arbona organisateur
du Tour d’Afrique cycliste 1951.
« L’an prochain, le Tour sera
transformé. Tout d’abord il devient
une organisation de la « Dépêche
Quotidienne-Champion ». De plus,
le Tour ne comportera plus que
11 étapes contre 17 l’an passé, mais
le total des prix ne sera pas modi
fié, ce qui vaudra une augmenta
tion du simple au double pour
certaines places. Ainsi, le premier
au classement général recevra un
demi-million.
— A quelles dates sera disputé
ce Tour ?
— L’an passé on avait reproché
à l’épreuve de finir après le « Na
tional » et d’être trop longue.
(Lire l
SELECTIONNEURS DE LA F.F.R.
A L’OUVRAGE DES DEMAIN
Le fameux pack bigourdan
en démonstration à Bordeaux
contre les frères Moga !
A Toulouse, duel Matheu-Lacrampe ; à Brive,
Hatchondo passera-t-il Arcalis ? A Grenoble,
le trio international Terreau-Brun-Lauga et
les sprinters Michel et Eynard
Cette semaine, le Championnat
de France cédera la place aux
matches Intercomités qu’il faut
absolument juger sous le signe de
la sélection. On aurait pu faire
beaucoup mieux et les sélection
neurs qui seront présents samedi
et dimanche sur les divers stades
de France regretteront peut-être
qu’il ne leur soit pas donné de
voir les meilleurs éléments.
Quoi qu’il en soit, à deux semai-
SAMEDI
Matches intercomités
\ Grenoble : ALPES c. Lyonnais,
i Brive : Limousin c. BEARN,
i Bord. : COTE ARG. c. Arm.-Big.
l Toulouse ; PYREN. c. LANGUED.
\ Mulhouse : ALSACE c. Lorraine.
V Pithiviers : PARIS B c. Belgique.
TROIS (DES QUATRE) MOUSQUETAIRES...
Dans une cabine, secrètement, les Français qui rencontreront les
Italiens dimanche au Vél’ d’Hiv’ parlaient tactique. Mais notre
photographe Dartus les a surpris. De gauche à droite : Barbotin,
Dousset qui est venu donner quelques conseils, Queugnet et Bobet.
nés des matches France contre
Reste à Lyon et Espoirs A contre
Espoirs B à Dax, il sera très pos
sible de se faire une opinion sur
les futurs élus et ce travail ne
manquera pas d’élaguer considé
rablement la liste des candidats.
En premier lieu, samedi, sur six
rencontres inscrites au programme,
il est absolument nécessaire d’en
éliminer deux qui n’apprendront
pas grand, chose.
En face du XV de Belgique ra
jeuni, mais peu habitué aux grands
matches, Paris B est un vainqueur
certain. Les Souleyreau, Siné. Da-
jas, Vergés, Acedo se feront, assuré
ment, remarquer mais en raison
même du Paris-Côte Basque du
lendemain il leur sera difficile de
gagner leur place au soleil.
Par ailleurs, si la confrontation
Alsace-Lorraine à Mulhouse, mar
que un progrès évident et louable
dans le but de décentralisation et
de propagande, on ne trouvera pas
Louis FERDINAND.
(Lira la suite p. 4, rubr. Rugby XV)
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 85.09%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 85.09%.
- Collections numériques similaires Musée national du sport. Musée national du sport. /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MnS000"
- Auteurs similaires
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/6
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bd6t5101864h/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bd6t5101864h/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bd6t5101864h/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bd6t5101864h/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bd6t5101864h
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bd6t5101864h
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bd6t5101864h/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest