Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1950-09-07
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 07 septembre 1950 07 septembre 1950
Description : 1950/09/07 (A5,N1375). 1950/09/07 (A5,N1375).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t51018108
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/05/2021
LE TABLEAU DES
IS RECOMMANDEES
trouverez ladresse que vous cherchez
10
FRANCS
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CORSE
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du NORD
5 fr.
IDI
JEUDI 7
5* ANNEE
SEPTEMBRE 1950
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A BRUXELLES, EN COURSE :
j_ FRANCE : 65 - GRANDE-BRETAGNE
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des Sports
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MARIE
ET
D’ABORD,
GUYODO
CROS, ELLOY
ENSUITE
leurs adversaires
BRITANNIQUES
dans les trois courses d'obstacles
peuvent battre
Bien que Whittle et Disley par exemple ne soient pas des
adversaires à dédaigner, il s'en faut
Nous avons vu que dans les courses la Grande-Bretagne a presque toujours dominé la France dans
des^cour' P ass ®* m ême après la guerre et sauf, naturellement, en 1945, année de reprise prématurée pour l’athlé-
Dut C proc sme anglais encore mobilisé.
Aux récents Championnats d’Europe à Bruxelles, la France a
sentes
oxe, rua
it de ver
droite, dei
virage pclutôt battu la Grande-Bretagne dans ce domaine. Chacun des deux
^arnbes'*®^ 8 3 P res 9 ue Partout aligné deux hommes et là où l’un des deux
aurait été le classement respectif
des Anglais et des Français avec la
cotation adoptée pour France-
:hevaux S c’a pu le faire, c’est en raison d'une flagrante infériorité reconnue... Grande-Bretagne : 5, 3, 2, 1 et 5
On s'ottet l’on ne tient pas compte des autres concurrents en ligne, voici quel et 2 pour les relais.
précipité
répond c
é vitale. I
ignifique r
enez, là, j’
ète. N'est
HIER SOIR, A STOCKHOLM...
iennent
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nsieur... D
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iesse...
u, dit l'ab;
e toutes
j un morne
lac Donald Bailey bat Mac Kenley
sur 200 mètres... en 21 ”!
de 39 cVint défait par Bengtsson sur 800 m. ( 1 ’ 51 ” 3/10)
rnis t£* 1 * I * R '
et Slijkhuis par le revenant Aberg
sur 1.500 mètres (3’ 51” 8/10) !
(De notre correspondant général Wolf LYBERG)
STOCKHOLM. Est-ce parce qu’il avait plu le matin et que la piste
faisait iMt lourde ? Est-ce à la suite des déceptions de Bruxelles ? Mais il n’v
iarées cornait que 7.000 spectateurs au Stadion pour la grande réunion interna-
'apercut qsnale qui opposait 250 athlètes suédois et plus de 40 étrangers
st alors q| La réunion fut cependant fort intéressante malgré l’absence de ouel-
rendre goi^s vedettes nationales, notamment ^
ferais troi
moyen d’f >
attachai® ’
■
de corsoi
trierais fit
le de Soii
ui lé souf
Epreuves • France Gde-Bret
100 m.
200 m.
400 m.
800 m.
1.500 m.
5.000 ni.
10.000 m.
110 h.
400 h.
5.000 st.
4x100 m.
4x400 m.
fi 8
5 6
... A 7
4 7
8 8
7 4
7 4
7 4
4 7
8 3
5 J
î 5
65 59
Pour combler cette différence et
pour l’inverser, les Britanniques
comptent évidemment sur Mac Do-
nal Bailey et Wint, et aussi sur de
meilleures courses de quelques élé
ments et principalement du jeune
Disley au 3.000 m. steeple...
Les Français eux ne peuvent es
pérer mieux faire (sauf peut-être au
400 m. haies) puisque l’on sait déjà
que Mimoun ne pourra doubler 5 et
Gaston MEYER.
(Lire la suite p. 4, rubr. Athlétisme)
d’Europe Slijkhuis enfermé ne put
se dégager alors bue le revenant
Aberg prenant la tête à la cloche
conservait l’avantage dans le bon
rand..
° nn M Ur ôvv Le résultat le plus intéressant fut
. n n ex tenu par Mac Donald Bailey qui,
jys... » r 200 m., battit nettement Mac
Français mlev en 21” (pour un virr^-e com- remps de 3 51 8/10 malgré un pre.
pour yeng) contr e 21” 4/10. Il est vrai que “ ier 800 m - en 2’ 5” seulement. Tous
:ur amène; jamaïquain avait couru le 400 m les arrivants terminèrent les uns sur
O millions atorze minutes' auparavant en *6” les autr es !...
œuvre n<=tQ f c'était la S0' fois qu’il couvrait J'èv&aoo-m.- îu-t animé par les' You-
onstitu t-Hte distance en moins de 47”) Son ® oslave s. très populaires, mais fina-
foi, de vnpatriote Arthur Wint fut moins lement dominés dans le dernier tour
Il est airureux. Il mena le 800 m. pendant P ar Albertsson qui couvrit les der-
I m., mais fut dépassé par Beng- nlers 800 m - en l‘18”. Les Yougosla-
aphes, avc>on et coiffé par l’Américain Ros- ves 01 , tou ? battu leurs records per-
un Tour? Brown, les trois hommes étant sonn elsemais le meilleur fut Segedin
dites du même temps, soit 1’ 51” nV r ,,, ■°°° m - steeple. Il courut en
signe les t 10 - , 9 ... 1 : menant de bout en bout et
it dire : « je L500 m. fut extrêmement eu- n a Y a jj' f aibli a la cloche (il avait
.aine » u * : 11 Y aval t un trop grand nom- ? d avance sur le temps d’Elm-
- > de partants (14) et le champion f a( ^ er) aurai t amélioré la meil-
ÿn^e performance mondiale (8’ 59”
————— b/10)...
Le Norvégien^ Strandli au marteau
J^ une Suédois Moks au lavelot
ont affirme avec 57 m. 68 et 70 m. 15
^^nectivement leurs grandes quali-
(Lire la suite p. 4, rubr. Athlétisme)
Chaude alerte à la FFA ! Hier
prenait |f° pres ' midl Ren é Mourlon filait
evenan < dare-dare vers Vincennes.
Bretagne | fj n coup de téléphone l'avait
mière JO-averti qu'EI Mabrouk se disposait
'anco-britca faire ses valises pour Alger.
Adedoyi ^.. directeur de l'athlétisme na-
sait le /ffémps ° mVa heureu sement à
L °,,. , E * le trésorier fédéral respira :
e Grand \o recette de France-Grande-Bre-
lien Wùuftagne n'était pas compromise.
Winter ! _
n’était .. .
" fau t dire qu'à la FFA on tra
verse en ce moment des jours an-
S IV** I ï leL * x - J-es subventions de l'Etat se
font attendre, et on compte beau-
sauteurs icoup sur les deux dernières rencon-
; Pavitt * res , ^ er p at . l peo'es pour équilibrer
rernnor(f un . 1 budget difficile.
rande-Bret ,- Mais , au T° nd ' pourquoi ne pas
ranae me \Qg er | es dirigeants anglais à la
son 2’ r' l meme enseigne que les athlètes
cédant "«français l'an dernier à Londres ?
^ Il y aurait là un joli bénéfice à
conserve reQ l'ser...
A nouvel' ^
Crump à Gaston Reiff et son fidèle entraî-
, eurovée r,neu ' ^ arcs l Alavoine ont failli di-
rtârnif e aeguii . pion olympique, mal interprétée par
est vai un journaliste belge, avait mis le
nciu et le 'feu aux poudres. Une rectification
tes a réconciliés. A la prochaine
espère r6 !Cours e de Reiff, Marcel Alavoine
itee-Grartd fP0Urra encôre attraper une extinc-
„ ., „„ tion de voix.
l’etonne ■ ^
nnats d’E 1 n ...
'-'n connaît maintenant les diri-
>, fl?' e . an H qui accompagneront les ath-
n seront J \è tes français à Stockholm.
son coe i Joseph Maigrot ne figure pas sur
la liste. Mois ce serait une erreur
line, le sfl lde croire que le mal de l'air y est
e une des P° ur quelque chose...
; 19' mate » .. H - , %
. t,Én? f p® re d ®. no î re secrétaire géné-
8 Van W r0 \ Pierre Skowmski, est rentré de
✓acances très satisfait.
J. nnmK 0n ami Halor V remporta
3* t n p °^ bre i; x , succè = sur les courts
le tennis de la cote basque.
L équipé était devenue si popu-
aire dans la région que lorsque le
iresident de la Commission de ten
us de I Aviron Bayonnais, M Ca-
:omayou mena sa fi|| e à un
oncert il lui déclara : . j e sais
iu',1 y cura Stravinsky à ce
oncert. Mais |e ne me rappelle
Jus le nom de I autre..
Moi je le sais, répondit fière
ment I enfant. C est Halary... ,
C'est beau la gloire, tô'ut de
, Deme,
Le quatre yougoslave
a-t-il refusé de
retourner à Belgrade ?
MILAN. — On apprend que l’équipe
yougoslave du quatre avee barreur,
sélectionnée pour les récents Cham
pionnats d’Europe, aurait refusé de
rentrer dans son pays.
Les quatre rameurs : Milutin Kopsa,
28 ans, Vladetta Ristio, 22 ans, Rad-
milo Ivkovie, 21 ans, et Nicola Vito-
rivic, 20 ans, ont disparu de leur
hôtel, lundi après-midi, et n’ont pas
été vus à la gare de Milan au mo
ment du départ de l’équipe yougo
slave pour Belgrade. — (U. P.).
N.D.L-R. — Nos lecteurs se souvien
nent que cette équipe, présente à l’Idro-
scale de Milan, reçut de ses dirigeants
l’ordre de ne pas prendre le départ,
l’Espagne ayant été placée dans sa
série
JEAN KROUTCHTEIN
>1 devant un public émerveillé
L. DAUTHUILLE
a révélé le droit le plus meurtrier
qui soit actuellement en circulation !
CHARLES AUSSET :
UN GOSSE MONTE
VERS LA GLOIRE
Champion de France à 18 ans,
c’est un exploit qui n’arrive
pas tous les jours, surtout à
un jeune homme ne possédant
pas de palmarès sérieux. C’est
pourtant le rêve que vit le
Montalbanais Charles Ausset
champion de France amateur
1950, que l’on voit ici (photo
du haut) serrant la main d'une
étnilf de la natation , Alex Jany,
en présence de M. Doreau. Tête
de gosse, esprit vif, Charles
Ausset, après son effort (à g.)
du monde des poids plume Pep-
Saddler, du Yankee Stadium, j’ai eu
la bonne fortune d’assister aux
séances culminantes de l’entraîne
ment de Dauthuille. Celle de mardi
'le crochet gauche au foie, je l'ai
copiésur celui deMarcel Cerdan
ajoute le champion français
(De notre envoyé spécial)
DETROIT. —— Des fenêtres du salon de l’appartement
de Dauthuille, nous regardions un hors-bord bondir sur la
rivière qui relie l’immense lac Erié à celui de Saint-Clair.
Se passant et ge dépassant à près de 150 kilomètres à l’heu
re, les canots automobiles animaient le magnifique panora
ma dont, au delà de Belle-Isle, le Canada constitue la toile
de fond.
Laurent et André Barraut s’apprêtaient à entamer leur intermi
nable belote sous les yeux de Mme Barraut et du sparring-partner
Marcel Sauve amené de Montréal, tandis que dans la moderne cuisine
Jacques Gourdon, vieil ami de Laurent, et cuisinier de profession ——
de Suresnes, s’il vous plaît — préparait le repas du soir.
Mme Dauthuille, qui avait re
joint son mari depuis 48 heures,
avait déjà donné à l’appartement
de l’Hôtel Whittier les allures
d’un logis familial et, tout na-
fnmmo totalisait le Chiffre record de qua-
turellement, en partaite te e torze re p r i 6es ; quatre de shadow,
d’intérieur, elle servait des verres deux de sac, deux de corde et six de
de porto. gants. Et, mes aïeux, quelle séance !
Nos premières pensées devaient crochet du monde
fatalement nous ramener quatorze
mois en arrière car c’est dans ce Laurent débuta sur le ring avec
même hôtel que Marcel Cerdan ré- son meilleur partenaire, le poids
sidait alors, entouré de Longman, mqyen noir Knighton, un homme
Burston, Oquinarenne, Walzack et très rapide de jambes et d’exécution.
Annaloro qui partagèrent avec lui Pendant la première reprise. Dau-
quinze journées d’un dur travail pu- thuille sans cesse en mouvement,
gilistique. avant le malheureux com- trompa son vis-à-vis par des pas
bat devant La Motta. -de côté et le mitrailla en directs
Près de cinq cents jours sont pas- J" ^fSs de^cmche^ droiteVÏa
sés et un autre Français, jeune et py,ntre crocneis aïoits a ia
S.T^juïuilr'S côurünnt Ce crochet droit, qui est peut-
pour recueillir la couronne ue uer ftre le mellleur drolt qlli fiol ' t en
Son torse puissant, moulé dans un (Lire la suite page 2, rubrique Boxe)
pull-over blanc. Laurent dégage une
étonnante impression de force phy
sique et aussi de confiance. Com
ment ne serait-il pas optimiste après
la séance d’entraînement à laquelle
il vient de nous faire assister et qui,
à huit jours du championnat du
monde, dissipe totalement les crain
tes qu’on ne peut jamais s’empêcher
d’éorouver.
Cet optimisme, sans qu’il soit
question de chauvinisme, je le par
tage maintenant sans restriction et
si Laurent parvient à échapper à
l’émotion qui diminua Tiberio Mitri
face à La Motta, alors le taureau
de Bronx non seulement perdra son
titre mais il laissera encore des plu
mes dans le débat.
Venu à Detroit pour quarante-huit
heures, juste avant le championnat
L’ESCAPADE DE
JAKE LA MOTTA
(De notre envoyé spécial)
DETROIT. — A 14 heures ca mar
di, Jake La Motta, qui devait s’en
traîner une heure après Dauthuille
dans le même gymnase, n’était pas
encore arrivé. Trente minutes après
l’heure prévue de l’entrainement, le
propriétaire de la salle m’annonça
que l’organisateur Nick Londes venait
de le prévenir que Jake ne viendrait
pas travailler.
La veille, déjà, La Motta n’avalt
pas mis les gants, aussi je ne pus
m empêcher de me rappeler cette
journée de septembre au cours de la-
quellfe, avec le directeur de L’EQUIPE,
Jacques Godctet, nous attendîmes en
vain, au gymnase Bobby Gleason, au
Bronx, l’arrivée de Jake La Motta
qui, pendant ce temps-là, se trouvait
au Garden où il obtenait le renvoi
de sa revanche contre Marcel Cer
dan, en raison d’une mystérieuse
blessure.
La Motta préparerait-il encore son
fameux coup du trapèze volant ? Une
rapide enquête devait nous rassurer
sur le sort de ce Championnat...
sinon sur la façon dont s’entraîne
La Motta. Celui-ci — devais-je ap
prendre par l’espion particulier que
Je possède dans le camp de La Mot
ta était parti lundi soir par avion
pour New-York avec sa blonde épouse
qui, ce mardi soir, participait à Pa-
lissadès, face à New-York, die l’autre
côté de l’Hudson, à la demi-finale
du concours de beauté de Miss Ame
rica.
Cela ne gênera nullement La Motta
— m’a-t-on dit — car il aura pu s’en
traîner dans le courant de l’après-
midi même à New-York... Escapade
pourtant bien imprudente car elle
comporte un voyage aérien de quel-
que 2.000 kilomètres avec toutes les
fatigues qu’il implique, fatigues si
peu recommandables pour un pugi
liste.
Cette escapade ne sera sûrement
pas du goût de la Commission de
Boxe du Michigan. Pourvu que la
finale pour le titre de Miss America
n’ait pas lieu le 13 septembre 7 —
J. K.
Devant 19 hommes au sprint
un homme décidé à Toulouse
SAUVEUR NERI
premier champion de France indépendant !
LES ASSISES DE LA NATATION MONDIALE
l'équipe des Treize
rentrée de onze
Carpentras,
meuble.
On signale la
les recrues.
Pas moinsse.
Et ce ne serait pas tout. L'arri-
de deux vedettes des Quinze
«J», imminente dans la cité des
Il s'agirait de deux in-
- mnaux
Comme on voit, les dirigeants
Treize ne restent pas' inactifs.
:n voulant protéger la retraite
un arbitre de football un jeune
msilien, ^Fernando Rodriguez Sou-
hauteur a ete mortellement blessé par
rÏÏin V* T k su ?P° rter s du Vasco de Gama
nitio et J or n^ti. Inutile de préciser'que cette
y f il ($> QLliDP vesi-i/ii+ A 1 i jl i
C’est à Paris que siègent les membres du bureau de la F.I.N.A.;
on reconnaît, de gauche à droite : MM. E.-G. Drigny (France),
vice-président, J. Lindquist (Fini.), J. de Vrics (Holl.), R.-M.
r? i ' R ' de Raeu e (Belg-), président, H.-E. Fern (G.-
■), M. Negri (Arg.) et B. Sallfor (Suède), réunis au C. N. S.,
rue d’Argenson.
Mais François Mahé fut battu par la malchance
(De notre envoyé spécial Jean MAZIER)
TOULOUSE. — Un nom connu du sport cycliste s’est inscrit hier
pour Ja première fois au palmarès du Championnat de France des Indé
pendants : c’est celui dçs Néri, grâce à Sauveur, cadet de la famille, qui,
lassé des reproches adressés à son égard par son frère Paul, voulut tenter
un grand coup... Sa volonté, son esprit de décision furent récompensés.
En effet, lorsque, après quelques hectomètres de course, Ferrigno,
Rabut, Minoux, François Mahé, Challain attaquèrent, il était là. Tout
comme il était encore là au bout des 176 kilomètres, sur la piste du
vélodrome de Toulouse... Quand le
peloton, riche de vingt coureurs, se
ma sur l’anneau de ciment — cha
que homme calculant pour se placer
le mieux possible — Sauveur Nerî,
le décidé, sans s’embarrasser d’astu
ces inutiles, prit résolument la tête
du groupe bien avant que le sprint
t lancé. Il ne la quitta plus. Il
résista en beauté aux terribles as
sauts de Gonni, Galliano et Lesca.
Les « indég » ne Jouaient pas sur
des probabilités ; ils s’appliquèrent
à la besogne. On ne les vit pas, com
me les amateurs, la veille, jouer les
stratèges. Chaque échappée fut con
trôlée et immédiatement combattue.
L’ardeur de leur lutte est concréti
sée par les chiffres qui démontrent
que sur un parcours supérieur en
distance et en difficultés, par mau
vais temps, ils ont couvert en
moyenne dans l’heure 3 km. 200 de
plus que les « purs ».
L’allant du « Tour de l’Ouest »
François Mahé fut étonnant. On le
vit dans toutes les échappées pour
réussir à partir seul à Pamiers, où
(Lire la suite page 3, rubr. ; Cyclisme)
CLASSEMENT
1. Sauveur NERI (AVC Alxols), les
176 km. en 4 h. 46’ 20”, sur bic. La
Perle, pn. Hutchinson (moyenn# :
37 km. 462).
2. Goni (Guy.); 3. Galliano (Prov.);
4. Lesca (Guy.) ; 5. ex æquo : Dele-
pierre (Fl.), Challain (Anj.), Kreher
(l.-de-Fr.), Zoppas (Pyr.), Dufraisse
(Lim.), F. Cocomeri (Lor.), Cham-
beurlant (Guy.), Amar Lakdar (Al
ger), Jamet (Orl.), Fombellida (Guy.),
Ferrigno (Prov.), Dotto (Prov.), Pérez
(Prov.). Dontenville (Als.), Vlssaux
(Datiph.), Pecetti (Prov.).
21. Xarbo (Dauph.), à 3’ 3”; 22. M.
Bardinat (l-dî-Fr.), à 4’ 10”; 23. Ber-
tho (Anj.), à 6’ 15”; 24. Gury (Pyr.),
à 7' 35”; 25. Ferrer (Lang.); 2i6. Ren-
tien (Orl.), t. m. t.; 27. Cante (Auv.),
à S’ 17”; 28. Bardel (Lyon.); 29. Le
Mer (Bref.); 30. Rambaudi (Lyon.),
t. m. t.; 31. Bon (Fr.-Cté), à 10’ 5”;
32. Vasquez (Pyr.); 33. Dihars (Guy.),
t. m. t.; 34. Bebengut (Poit.), à 13'
36”; 35. Baritaud (Poit.), à 14’ 7”;
36. Ducarre (Champ.); 37. Chapuis
(l.-de-Fr.), m. t. ; 38. Poras (Orl.), à
14' 37”; 39. Mézière (l.-de-Fr.), à
17’ 55; 40. Gerussi (l-de-Fr.), m. t.;
41. Ribaud (Auv.), à 19’; 42. Bordier
(l.-d’.-Fr.), à 19’ 6”; 43. Foucault
(Anj.). m. t.; 44. Mossello (Pyr.),
à 19’ 21”.
LES XIil SAVENT CHOISIR LEURS JOUEURS
Après LASSÈGUE, SIMAN !
L international castrais se laissera~t~ïl fléchir
par les offres de VA.S. Carcassonne ?
(De notre envoyé spécial Raymond SAUTET)
T T OULOUS1 f- — Le PLIS grand secret avait entouré le passage de Jean
Lassegue aux treize Les dirigeants carcassonnais eux-mêmes, qui avaient
la signature du « French Buffalo » dans la poche depuis huit iours
n avaient rien laissé percer II fallut une indiscrétion pour que la chose
devint publique dans la vieille cité audoise. A Toulouse, pas un mot
jusqu ici. Le Stade Toulousain ne ^
sait encore rien officiellement à ce
sujet.
MM. Anglade et Grange deux des
dirigeants du club rouge et noir
viennent de nous le préciser encore
Ruipe venait d'être battue.
Marcel HANSENNE.
pourtant de passer quinze jours de
vacances à Hossegor en compagnie
de Lassëgue. »
Les doléances du Dr Secail
„ ... t --r- Le Dr Secail, président du club
a „ ml '• « Nous avons, les depuis cette année, a eu l’avantage.
L, m ers ' étonnés de cette nou- lui, de recevoir la visite du «French
veue nous ont-ils affirmé. Nous Buffalo », il y a quelques iours :
j apprise par les journaux. « L’affaire est bonne, aurait-11 dit
?rSfv^r«tinj?c te ^ e - au cours des - 1e ne peux la laisser passer. »
conversations que nous avions eues
avec lui, s’il nous avait parlé de .tÇ-utile de dire que cette décision
/ngby c’était pour nous dire qu’il n a pas fa .^ sourire le docteur qui
jouerait encore sous nos couleurs nous . a déclaré avec force qu’il la
Mieux, son ami André Melet (qui c °P, s iôérait, pour sa part, comme
joue actuellement à Albi XIII) mal honnête.
n’était pas au courant : ü venait (Lire la suite page 4, rubr. Rugby XV)
POUR LA PRESENTER AU PALAIS DES SPORTS
— DEVANT M. VINCENT AURIOL
L’ÉTOURDERIE DE PROUFF
fait "tomber à l’eau"
les projets de Ventraîneur rennais François PLEYER
(De noire correspondant particulier André TROPRES)
RENNES, —■ Jean Prouff désirait ardemment rejouer à Rennes cette sai
son, Satisfaction lui ayant été donnée, l’international breton veut, à tout
prix, s’imposer de nouveau, dans son nouveau club d’abord, puis dans
l’équipe de France ensuite. Il a déjà repris l’entraînement et il travaille
d’arrache-pied.
Si le public rennais est souvent difficile, nous savons qu’il est prêt à
applaudir, comme autrefois, aux ex-
che et participer activement à une
nouvelle victoire bretonne devant
Toulouse. Mais le voici suspendu pour
non comparution devant la Commis-
ploits de celui qui fut longtemps son
joueur préféré.
Jean Prouff devrait, d’ailleurs, se
réadapter rapidement puisqu’il sera c ; n _
encadré par ses vieux ami s Guérin, s p n j.^ ,d i fll p e ^i , ,® r t 0 J , I p ®" ient i .
Hennequin, Mansat, Rouxel, Combot, . P i“ u ’ i., paS „^f P *° n it 4
Grumellon et autres Rabstejnek. Avec J a . , c „° „L 0 ?. , é A é
eux il ne sera sûrement pas dépaysé. ad . resse ® P 3 *" ladite commission . « J é-
H espérait bien s'imposer dès diman- 0 ^ s u ' pe p“a% la‘queMiirJé Z^tra^
fert de Rouen à Rennes. J'ai dû, pour
être certain qu’il soit effectif, venir,
hier, dans la capitale bretonne pour
y signer mon avis de mutation. J’étais
tellement heureux de voir mes désirs
enfin réalisés, que j’en ai oublié de
me rendre à la Commission juridique
et même d’excuser mon absence soit
par lettre, soit par télégramme.
« Je regrette amèrement mon étour
derie qui m’empêchera de jouer, di
manche, devant le public rennais. *
Les plus ennuyés de l’histoire sont
certainement l’entraîneur François
Pleyer et le commandant Bonneville
(responsable n’ 1 des amateurs bre
tons).
< J'avais l’intention, nous précise
Pleyer, de faire rentrer Prouff comme
demi droit, Guérin redevenant ar-.
rière central et Sorel retournant chez
les amateurs. Mais ce projet tombe
à l’eau. Gomez n’étant pas, d’autre
part, encore en état de rejouer, il me
faudra faire une nouvelle ponction
chez les amateurs. Si je ne risque
pas trop d’en souffrir, la < tuile »
sera pour le commandant qui ne dis
pose pas encore de tous ses éléments
et de ce fait vivra vraisemblablement
des moments pénibles à Niort, >
LES DIRIGEANTS
PARISIENS
MIS EN ACCUSATION
par un de leurs
collègues de Province
A Saint-Ouen dimanche, M. Heintz
s'étonnait devant les dirigeants sta-
distes que deux matches couplés
n'aient attiré que 10.800 sepetateurs.
« Désaffection du public parisien! »
constatait avec découragement M.
Crevel.
« Inertie des dirigeants parisiens »,
rétorquait M. Heintz qui ajoutait :
«.Vous laissez tout aller et ne fai
tes aucun effort de publicité. Si nous
n'étions pas plus « allants » en pro
vince, il y a lonatemps que NOUS
AURIONS DU METTRE LA CLE SOUS
LA PORTE.
Dans tout Paris j'ai vainement
cherché une affiche annonçant les
deux matches de cet après-midi. Je
n'en ai vu ni sur les murs, ni dans
le métrô, ni sur ou dans les auto
bus.
A Strasbourg, rien que pour l'affi
chage de nos matches dans les tram
ways de la ville nous consacrons
35.000 francs par semaine.
Si Paris continue de négliger les
incomparables moyens de publicité
que constituent, par exemple, le mé
tro et les autobus, ses équipes iront
faire leur recettes... en province. »
Les dirigeants stadistes parurent
ébranlés par les paroles de M. Heintz
qui, 24 heures plus tard, devait en
core leur dire :
« A Strasbourg les représentants
des _clubs visiteurs peuvent partir 10
minutes après la fin du match ayant
en poche le chèque représentant leur
pcfrt de recette.
Aujourd'hui, 24 heures après la fin
de Stade-Strasbourg, j'attends tou
jours mon chèque. » — J. C.
LES ÉCUYERS DU
préparent
CADRE NOIR DE SAUMUR
depuis trois ans
LA FAMEUSE REPRISE DES
“SAUTEURS
EN LIBERTÉ”
Jonquères d’Oriola, Calmon, Moi
zard, Michèle Cancre et la grande
révélation internationale de la sai
son, le lieutenant du Breuil. Ceul-
ci sont actuellement en compéti
tion à Biarritz et les meilleurs ren
seignements nous sont parvenus sur
leur forme.
Le Jumping prépare pour octobre
prochain (du 10 au 14), au Palais,
des Sports, le plus formidable spec
tacle hippique que l’on puisse pré
senter au monde. Cette semaine
équestre, dressée à la gloire de la
cavalerie, sera placée sous l’égide de
l’association Rhin et Danube et la
soirée de aala du vendredi 13 sera présence de présidée par M. le President de la P c hevaux qui participeront au Cadre Noir de Saumur préparent en
République. Grand Prix international. D’ores et secret leur extraordinaire exhibition
Le comité d’organisation, que pré- déjà sept nations ont donné leur des sauteurs en liberté. Il s’agit
side M. Pierre Guichenné avec le adhésion et il est probable que nous d’airs relevés, dernière subsistance
concours de MM. Des Roches de reverrons Pierre d’Inzeo, vainqueur de l’équitation du moyen âge, qui
Chassay, A. Moizard, colonel Brau, du Grand Prix d’Europe 1949. l’Es- exigent une scrupuleuse mise au
G. Cancre, A. Perissel, baron de vagnol. Goyoaga, l’Anglais Llewellun,
Crépy, chevalier d’Orgeix et Aguet- le, Belge Dp. Selliers de Moranville
tant, a lancé des invitations dans aux prises avec les champions Iran- (Lire la suite page 4
le monde entier afin de s’assurer gais d’Orgeix, de Maillé, de Castri.es. rubrique ’jumpingj
Fernand ALBARET.
C’EST FAIT
R. Vandooren
JOUERA
à ROUBAIX...
Lille Ta cédé
pour 3.600.000 francs
ROUBAIX. — Les dirigeants du
Lille OSC et du CO Roubaix-Tour
coing se sont mis d'accord, mercre
di après-midi, pour le transfert de
Roger Vandooren dont nous annon
cions la conclusion probable dès
lundi matin.
Le montant de la mutation s'élève
à 3.600.000 francs.
£ sprints.
00
DÉLICIEUX...
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jr. Il a su>
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lerais opèr
; se préof
rigides o, ;
de cinq cr
de comp;
MARIE
ET
D’ABORD,
GUYODO
CROS, ELLOY
ENSUITE
leurs adversaires
BRITANNIQUES
dans les trois courses d'obstacles
peuvent battre
Bien que Whittle et Disley par exemple ne soient pas des
adversaires à dédaigner, il s'en faut
Nous avons vu que dans les courses la Grande-Bretagne a presque toujours dominé la France dans
des^cour' P ass ®* m ême après la guerre et sauf, naturellement, en 1945, année de reprise prématurée pour l’athlé-
Dut C proc sme anglais encore mobilisé.
Aux récents Championnats d’Europe à Bruxelles, la France a
sentes
oxe, rua
it de ver
droite, dei
virage pclutôt battu la Grande-Bretagne dans ce domaine. Chacun des deux
^arnbes'*®^ 8 3 P res 9 ue Partout aligné deux hommes et là où l’un des deux
aurait été le classement respectif
des Anglais et des Français avec la
cotation adoptée pour France-
:hevaux S c’a pu le faire, c’est en raison d'une flagrante infériorité reconnue... Grande-Bretagne : 5, 3, 2, 1 et 5
On s'ottet l’on ne tient pas compte des autres concurrents en ligne, voici quel et 2 pour les relais.
précipité
répond c
é vitale. I
ignifique r
enez, là, j’
ète. N'est
HIER SOIR, A STOCKHOLM...
iennent
manche
nsieur... D
i fier gyi
iesse...
u, dit l'ab;
e toutes
j un morne
lac Donald Bailey bat Mac Kenley
sur 200 mètres... en 21 ”!
de 39 cVint défait par Bengtsson sur 800 m. ( 1 ’ 51 ” 3/10)
rnis t£* 1 * I * R '
et Slijkhuis par le revenant Aberg
sur 1.500 mètres (3’ 51” 8/10) !
(De notre correspondant général Wolf LYBERG)
STOCKHOLM. Est-ce parce qu’il avait plu le matin et que la piste
faisait iMt lourde ? Est-ce à la suite des déceptions de Bruxelles ? Mais il n’v
iarées cornait que 7.000 spectateurs au Stadion pour la grande réunion interna-
'apercut qsnale qui opposait 250 athlètes suédois et plus de 40 étrangers
st alors q| La réunion fut cependant fort intéressante malgré l’absence de ouel-
rendre goi^s vedettes nationales, notamment ^
ferais troi
moyen d’f >
attachai® ’
■
de corsoi
trierais fit
le de Soii
ui lé souf
Epreuves • France Gde-Bret
100 m.
200 m.
400 m.
800 m.
1.500 m.
5.000 ni.
10.000 m.
110 h.
400 h.
5.000 st.
4x100 m.
4x400 m.
fi 8
5 6
... A 7
4 7
8 8
7 4
7 4
7 4
4 7
8 3
5 J
î 5
65 59
Pour combler cette différence et
pour l’inverser, les Britanniques
comptent évidemment sur Mac Do-
nal Bailey et Wint, et aussi sur de
meilleures courses de quelques élé
ments et principalement du jeune
Disley au 3.000 m. steeple...
Les Français eux ne peuvent es
pérer mieux faire (sauf peut-être au
400 m. haies) puisque l’on sait déjà
que Mimoun ne pourra doubler 5 et
Gaston MEYER.
(Lire la suite p. 4, rubr. Athlétisme)
d’Europe Slijkhuis enfermé ne put
se dégager alors bue le revenant
Aberg prenant la tête à la cloche
conservait l’avantage dans le bon
rand..
° nn M Ur ôvv Le résultat le plus intéressant fut
. n n ex tenu par Mac Donald Bailey qui,
jys... » r 200 m., battit nettement Mac
Français mlev en 21” (pour un virr^-e com- remps de 3 51 8/10 malgré un pre.
pour yeng) contr e 21” 4/10. Il est vrai que “ ier 800 m - en 2’ 5” seulement. Tous
:ur amène; jamaïquain avait couru le 400 m les arrivants terminèrent les uns sur
O millions atorze minutes' auparavant en *6” les autr es !...
œuvre n<=tQ f c'était la S0' fois qu’il couvrait J'èv&aoo-m.- îu-t animé par les' You-
onstitu t-Hte distance en moins de 47”) Son ® oslave s. très populaires, mais fina-
foi, de vnpatriote Arthur Wint fut moins lement dominés dans le dernier tour
Il est airureux. Il mena le 800 m. pendant P ar Albertsson qui couvrit les der-
I m., mais fut dépassé par Beng- nlers 800 m - en l‘18”. Les Yougosla-
aphes, avc>on et coiffé par l’Américain Ros- ves 01 , tou ? battu leurs records per-
un Tour? Brown, les trois hommes étant sonn elsemais le meilleur fut Segedin
dites du même temps, soit 1’ 51” nV r ,,, ■°°° m - steeple. Il courut en
signe les t 10 - , 9 ... 1 : menant de bout en bout et
it dire : « je L500 m. fut extrêmement eu- n a Y a jj' f aibli a la cloche (il avait
.aine » u * : 11 Y aval t un trop grand nom- ? d avance sur le temps d’Elm-
- > de partants (14) et le champion f a( ^ er) aurai t amélioré la meil-
ÿn^e performance mondiale (8’ 59”
————— b/10)...
Le Norvégien^ Strandli au marteau
J^ une Suédois Moks au lavelot
ont affirme avec 57 m. 68 et 70 m. 15
^^nectivement leurs grandes quali-
(Lire la suite p. 4, rubr. Athlétisme)
Chaude alerte à la FFA ! Hier
prenait |f° pres ' midl Ren é Mourlon filait
evenan < dare-dare vers Vincennes.
Bretagne | fj n coup de téléphone l'avait
mière JO-averti qu'EI Mabrouk se disposait
'anco-britca faire ses valises pour Alger.
Adedoyi ^.. directeur de l'athlétisme na-
sait le /ffémps ° mVa heureu sement à
L °,,. , E * le trésorier fédéral respira :
e Grand \o recette de France-Grande-Bre-
lien Wùuftagne n'était pas compromise.
Winter ! _
n’était .. .
" fau t dire qu'à la FFA on tra
verse en ce moment des jours an-
S IV** I ï leL * x - J-es subventions de l'Etat se
font attendre, et on compte beau-
sauteurs icoup sur les deux dernières rencon-
; Pavitt * res , ^ er p at . l peo'es pour équilibrer
rernnor(f un . 1 budget difficile.
rande-Bret ,- Mais , au T° nd ' pourquoi ne pas
ranae me \Qg er | es dirigeants anglais à la
son 2’ r' l meme enseigne que les athlètes
cédant "«français l'an dernier à Londres ?
^ Il y aurait là un joli bénéfice à
conserve reQ l'ser...
A nouvel' ^
Crump à Gaston Reiff et son fidèle entraî-
, eurovée r,neu ' ^ arcs l Alavoine ont failli di-
rtârnif
est vai un journaliste belge, avait mis le
nciu et le 'feu aux poudres. Une rectification
tes a réconciliés. A la prochaine
espère r6 !Cours e de Reiff, Marcel Alavoine
itee-Grartd fP0Urra encôre attraper une extinc-
„ ., „„ tion de voix.
l’etonne ■ ^
nnats d’E 1 n ...
'-'n connaît maintenant les diri-
>, fl?' e . an H qui accompagneront les ath-
n seront J \è tes français à Stockholm.
son coe i Joseph Maigrot ne figure pas sur
la liste. Mois ce serait une erreur
line, le sfl lde croire que le mal de l'air y est
e une des P° ur quelque chose...
; 19' mate » .. H - , %
. t,Én? f p® re d ®. no î re secrétaire géné-
8 Van W r0 \ Pierre Skowmski, est rentré de
✓acances très satisfait.
J. nnmK 0n ami Halor V remporta
3* t n p °^ bre i; x , succè = sur les courts
le tennis de la cote basque.
L équipé était devenue si popu-
aire dans la région que lorsque le
iresident de la Commission de ten
us de I Aviron Bayonnais, M Ca-
:omayou mena sa fi|| e à un
oncert il lui déclara : . j e sais
iu',1 y cura Stravinsky à ce
oncert. Mais |e ne me rappelle
Jus le nom de I autre..
Moi je le sais, répondit fière
ment I enfant. C est Halary... ,
C'est beau la gloire, tô'ut de
, Deme,
Le quatre yougoslave
a-t-il refusé de
retourner à Belgrade ?
MILAN. — On apprend que l’équipe
yougoslave du quatre avee barreur,
sélectionnée pour les récents Cham
pionnats d’Europe, aurait refusé de
rentrer dans son pays.
Les quatre rameurs : Milutin Kopsa,
28 ans, Vladetta Ristio, 22 ans, Rad-
milo Ivkovie, 21 ans, et Nicola Vito-
rivic, 20 ans, ont disparu de leur
hôtel, lundi après-midi, et n’ont pas
été vus à la gare de Milan au mo
ment du départ de l’équipe yougo
slave pour Belgrade. — (U. P.).
N.D.L-R. — Nos lecteurs se souvien
nent que cette équipe, présente à l’Idro-
scale de Milan, reçut de ses dirigeants
l’ordre de ne pas prendre le départ,
l’Espagne ayant été placée dans sa
série
JEAN KROUTCHTEIN
>1 devant un public émerveillé
L. DAUTHUILLE
a révélé le droit le plus meurtrier
qui soit actuellement en circulation !
CHARLES AUSSET :
UN GOSSE MONTE
VERS LA GLOIRE
Champion de France à 18 ans,
c’est un exploit qui n’arrive
pas tous les jours, surtout à
un jeune homme ne possédant
pas de palmarès sérieux. C’est
pourtant le rêve que vit le
Montalbanais Charles Ausset
champion de France amateur
1950, que l’on voit ici (photo
du haut) serrant la main d'une
étnilf de la natation , Alex Jany,
en présence de M. Doreau. Tête
de gosse, esprit vif, Charles
Ausset, après son effort (à g.)
du monde des poids plume Pep-
Saddler, du Yankee Stadium, j’ai eu
la bonne fortune d’assister aux
séances culminantes de l’entraîne
ment de Dauthuille. Celle de mardi
'le crochet gauche au foie, je l'ai
copiésur celui deMarcel Cerdan
ajoute le champion français
(De notre envoyé spécial)
DETROIT. —— Des fenêtres du salon de l’appartement
de Dauthuille, nous regardions un hors-bord bondir sur la
rivière qui relie l’immense lac Erié à celui de Saint-Clair.
Se passant et ge dépassant à près de 150 kilomètres à l’heu
re, les canots automobiles animaient le magnifique panora
ma dont, au delà de Belle-Isle, le Canada constitue la toile
de fond.
Laurent et André Barraut s’apprêtaient à entamer leur intermi
nable belote sous les yeux de Mme Barraut et du sparring-partner
Marcel Sauve amené de Montréal, tandis que dans la moderne cuisine
Jacques Gourdon, vieil ami de Laurent, et cuisinier de profession ——
de Suresnes, s’il vous plaît — préparait le repas du soir.
Mme Dauthuille, qui avait re
joint son mari depuis 48 heures,
avait déjà donné à l’appartement
de l’Hôtel Whittier les allures
d’un logis familial et, tout na-
fnmmo totalisait le Chiffre record de qua-
turellement, en partaite te e torze re p r i 6es ; quatre de shadow,
d’intérieur, elle servait des verres deux de sac, deux de corde et six de
de porto. gants. Et, mes aïeux, quelle séance !
Nos premières pensées devaient crochet du monde
fatalement nous ramener quatorze
mois en arrière car c’est dans ce Laurent débuta sur le ring avec
même hôtel que Marcel Cerdan ré- son meilleur partenaire, le poids
sidait alors, entouré de Longman, mqyen noir Knighton, un homme
Burston, Oquinarenne, Walzack et très rapide de jambes et d’exécution.
Annaloro qui partagèrent avec lui Pendant la première reprise. Dau-
quinze journées d’un dur travail pu- thuille sans cesse en mouvement,
gilistique. avant le malheureux com- trompa son vis-à-vis par des pas
bat devant La Motta. -de côté et le mitrailla en directs
Près de cinq cents jours sont pas- J" ^fSs de^cmche^ droiteVÏa
sés et un autre Français, jeune et py,ntre crocneis aïoits a ia
S.T^juïuilr'S côurünnt Ce crochet droit, qui est peut-
pour recueillir la couronne ue uer ftre le mellleur drolt qlli fiol ' t en
Son torse puissant, moulé dans un (Lire la suite page 2, rubrique Boxe)
pull-over blanc. Laurent dégage une
étonnante impression de force phy
sique et aussi de confiance. Com
ment ne serait-il pas optimiste après
la séance d’entraînement à laquelle
il vient de nous faire assister et qui,
à huit jours du championnat du
monde, dissipe totalement les crain
tes qu’on ne peut jamais s’empêcher
d’éorouver.
Cet optimisme, sans qu’il soit
question de chauvinisme, je le par
tage maintenant sans restriction et
si Laurent parvient à échapper à
l’émotion qui diminua Tiberio Mitri
face à La Motta, alors le taureau
de Bronx non seulement perdra son
titre mais il laissera encore des plu
mes dans le débat.
Venu à Detroit pour quarante-huit
heures, juste avant le championnat
L’ESCAPADE DE
JAKE LA MOTTA
(De notre envoyé spécial)
DETROIT. — A 14 heures ca mar
di, Jake La Motta, qui devait s’en
traîner une heure après Dauthuille
dans le même gymnase, n’était pas
encore arrivé. Trente minutes après
l’heure prévue de l’entrainement, le
propriétaire de la salle m’annonça
que l’organisateur Nick Londes venait
de le prévenir que Jake ne viendrait
pas travailler.
La veille, déjà, La Motta n’avalt
pas mis les gants, aussi je ne pus
m empêcher de me rappeler cette
journée de septembre au cours de la-
quellfe, avec le directeur de L’EQUIPE,
Jacques Godctet, nous attendîmes en
vain, au gymnase Bobby Gleason, au
Bronx, l’arrivée de Jake La Motta
qui, pendant ce temps-là, se trouvait
au Garden où il obtenait le renvoi
de sa revanche contre Marcel Cer
dan, en raison d’une mystérieuse
blessure.
La Motta préparerait-il encore son
fameux coup du trapèze volant ? Une
rapide enquête devait nous rassurer
sur le sort de ce Championnat...
sinon sur la façon dont s’entraîne
La Motta. Celui-ci — devais-je ap
prendre par l’espion particulier que
Je possède dans le camp de La Mot
ta était parti lundi soir par avion
pour New-York avec sa blonde épouse
qui, ce mardi soir, participait à Pa-
lissadès, face à New-York, die l’autre
côté de l’Hudson, à la demi-finale
du concours de beauté de Miss Ame
rica.
Cela ne gênera nullement La Motta
— m’a-t-on dit — car il aura pu s’en
traîner dans le courant de l’après-
midi même à New-York... Escapade
pourtant bien imprudente car elle
comporte un voyage aérien de quel-
que 2.000 kilomètres avec toutes les
fatigues qu’il implique, fatigues si
peu recommandables pour un pugi
liste.
Cette escapade ne sera sûrement
pas du goût de la Commission de
Boxe du Michigan. Pourvu que la
finale pour le titre de Miss America
n’ait pas lieu le 13 septembre 7 —
J. K.
Devant 19 hommes au sprint
un homme décidé à Toulouse
SAUVEUR NERI
premier champion de France indépendant !
LES ASSISES DE LA NATATION MONDIALE
l'équipe des Treize
rentrée de onze
Carpentras,
meuble.
On signale la
les recrues.
Pas moinsse.
Et ce ne serait pas tout. L'arri-
de deux vedettes des Quinze
«J», imminente dans la cité des
Il s'agirait de deux in-
- mnaux
Comme on voit, les dirigeants
Treize ne restent pas' inactifs.
:n voulant protéger la retraite
un arbitre de football un jeune
msilien, ^Fernando Rodriguez Sou-
hauteur a ete mortellement blessé par
rÏÏin V* T k su ?P° rter s du Vasco de Gama
nitio et J or n^ti. Inutile de préciser'que cette
y f il ($> QLliDP vesi-i/ii+ A 1 i jl i
C’est à Paris que siègent les membres du bureau de la F.I.N.A.;
on reconnaît, de gauche à droite : MM. E.-G. Drigny (France),
vice-président, J. Lindquist (Fini.), J. de Vrics (Holl.), R.-M.
r? i ' R ' de Raeu e (Belg-), président, H.-E. Fern (G.-
■), M. Negri (Arg.) et B. Sallfor (Suède), réunis au C. N. S.,
rue d’Argenson.
Mais François Mahé fut battu par la malchance
(De notre envoyé spécial Jean MAZIER)
TOULOUSE. — Un nom connu du sport cycliste s’est inscrit hier
pour Ja première fois au palmarès du Championnat de France des Indé
pendants : c’est celui dçs Néri, grâce à Sauveur, cadet de la famille, qui,
lassé des reproches adressés à son égard par son frère Paul, voulut tenter
un grand coup... Sa volonté, son esprit de décision furent récompensés.
En effet, lorsque, après quelques hectomètres de course, Ferrigno,
Rabut, Minoux, François Mahé, Challain attaquèrent, il était là. Tout
comme il était encore là au bout des 176 kilomètres, sur la piste du
vélodrome de Toulouse... Quand le
peloton, riche de vingt coureurs, se
ma sur l’anneau de ciment — cha
que homme calculant pour se placer
le mieux possible — Sauveur Nerî,
le décidé, sans s’embarrasser d’astu
ces inutiles, prit résolument la tête
du groupe bien avant que le sprint
t lancé. Il ne la quitta plus. Il
résista en beauté aux terribles as
sauts de Gonni, Galliano et Lesca.
Les « indég » ne Jouaient pas sur
des probabilités ; ils s’appliquèrent
à la besogne. On ne les vit pas, com
me les amateurs, la veille, jouer les
stratèges. Chaque échappée fut con
trôlée et immédiatement combattue.
L’ardeur de leur lutte est concréti
sée par les chiffres qui démontrent
que sur un parcours supérieur en
distance et en difficultés, par mau
vais temps, ils ont couvert en
moyenne dans l’heure 3 km. 200 de
plus que les « purs ».
L’allant du « Tour de l’Ouest »
François Mahé fut étonnant. On le
vit dans toutes les échappées pour
réussir à partir seul à Pamiers, où
(Lire la suite page 3, rubr. ; Cyclisme)
CLASSEMENT
1. Sauveur NERI (AVC Alxols), les
176 km. en 4 h. 46’ 20”, sur bic. La
Perle, pn. Hutchinson (moyenn# :
37 km. 462).
2. Goni (Guy.); 3. Galliano (Prov.);
4. Lesca (Guy.) ; 5. ex æquo : Dele-
pierre (Fl.), Challain (Anj.), Kreher
(l.-de-Fr.), Zoppas (Pyr.), Dufraisse
(Lim.), F. Cocomeri (Lor.), Cham-
beurlant (Guy.), Amar Lakdar (Al
ger), Jamet (Orl.), Fombellida (Guy.),
Ferrigno (Prov.), Dotto (Prov.), Pérez
(Prov.). Dontenville (Als.), Vlssaux
(Datiph.), Pecetti (Prov.).
21. Xarbo (Dauph.), à 3’ 3”; 22. M.
Bardinat (l-dî-Fr.), à 4’ 10”; 23. Ber-
tho (Anj.), à 6’ 15”; 24. Gury (Pyr.),
à 7' 35”; 25. Ferrer (Lang.); 2i6. Ren-
tien (Orl.), t. m. t.; 27. Cante (Auv.),
à S’ 17”; 28. Bardel (Lyon.); 29. Le
Mer (Bref.); 30. Rambaudi (Lyon.),
t. m. t.; 31. Bon (Fr.-Cté), à 10’ 5”;
32. Vasquez (Pyr.); 33. Dihars (Guy.),
t. m. t.; 34. Bebengut (Poit.), à 13'
36”; 35. Baritaud (Poit.), à 14’ 7”;
36. Ducarre (Champ.); 37. Chapuis
(l.-de-Fr.), m. t. ; 38. Poras (Orl.), à
14' 37”; 39. Mézière (l.-de-Fr.), à
17’ 55; 40. Gerussi (l-de-Fr.), m. t.;
41. Ribaud (Auv.), à 19’; 42. Bordier
(l.-d’.-Fr.), à 19’ 6”; 43. Foucault
(Anj.). m. t.; 44. Mossello (Pyr.),
à 19’ 21”.
LES XIil SAVENT CHOISIR LEURS JOUEURS
Après LASSÈGUE, SIMAN !
L international castrais se laissera~t~ïl fléchir
par les offres de VA.S. Carcassonne ?
(De notre envoyé spécial Raymond SAUTET)
T T OULOUS1 f- — Le PLIS grand secret avait entouré le passage de Jean
Lassegue aux treize Les dirigeants carcassonnais eux-mêmes, qui avaient
la signature du « French Buffalo » dans la poche depuis huit iours
n avaient rien laissé percer II fallut une indiscrétion pour que la chose
devint publique dans la vieille cité audoise. A Toulouse, pas un mot
jusqu ici. Le Stade Toulousain ne ^
sait encore rien officiellement à ce
sujet.
MM. Anglade et Grange deux des
dirigeants du club rouge et noir
viennent de nous le préciser encore
Ruipe venait d'être battue.
Marcel HANSENNE.
pourtant de passer quinze jours de
vacances à Hossegor en compagnie
de Lassëgue. »
Les doléances du Dr Secail
„ ... t --r- Le Dr Secail, président du club
a „ ml '• « Nous avons, les depuis cette année, a eu l’avantage.
L, m ers ' étonnés de cette nou- lui, de recevoir la visite du «French
veue nous ont-ils affirmé. Nous Buffalo », il y a quelques iours :
j apprise par les journaux. « L’affaire est bonne, aurait-11 dit
?rSfv^r«tinj?c te ^ e - au cours des - 1e ne peux la laisser passer. »
conversations que nous avions eues
avec lui, s’il nous avait parlé de .tÇ-utile de dire que cette décision
/ngby c’était pour nous dire qu’il n a pas fa .^ sourire le docteur qui
jouerait encore sous nos couleurs nous . a déclaré avec force qu’il la
Mieux, son ami André Melet (qui c °P, s iôérait, pour sa part, comme
joue actuellement à Albi XIII) mal honnête.
n’était pas au courant : ü venait (Lire la suite page 4, rubr. Rugby XV)
POUR LA PRESENTER AU PALAIS DES SPORTS
— DEVANT M. VINCENT AURIOL
L’ÉTOURDERIE DE PROUFF
fait "tomber à l’eau"
les projets de Ventraîneur rennais François PLEYER
(De noire correspondant particulier André TROPRES)
RENNES, —■ Jean Prouff désirait ardemment rejouer à Rennes cette sai
son, Satisfaction lui ayant été donnée, l’international breton veut, à tout
prix, s’imposer de nouveau, dans son nouveau club d’abord, puis dans
l’équipe de France ensuite. Il a déjà repris l’entraînement et il travaille
d’arrache-pied.
Si le public rennais est souvent difficile, nous savons qu’il est prêt à
applaudir, comme autrefois, aux ex-
che et participer activement à une
nouvelle victoire bretonne devant
Toulouse. Mais le voici suspendu pour
non comparution devant la Commis-
ploits de celui qui fut longtemps son
joueur préféré.
Jean Prouff devrait, d’ailleurs, se
réadapter rapidement puisqu’il sera c ; n _
encadré par ses vieux ami s Guérin, s p n j.^ ,d i fll p e ^i , ,® r t 0 J , I p ®" ient i .
Hennequin, Mansat, Rouxel, Combot, . P i“ u ’ i., paS „^f P *° n it 4
Grumellon et autres Rabstejnek. Avec J a . , c „° „L 0 ?. , é A é
eux il ne sera sûrement pas dépaysé. ad . resse ® P 3 *" ladite commission . « J é-
H espérait bien s'imposer dès diman- 0 ^ s u ' pe p“a% la‘queMiirJé Z^tra^
fert de Rouen à Rennes. J'ai dû, pour
être certain qu’il soit effectif, venir,
hier, dans la capitale bretonne pour
y signer mon avis de mutation. J’étais
tellement heureux de voir mes désirs
enfin réalisés, que j’en ai oublié de
me rendre à la Commission juridique
et même d’excuser mon absence soit
par lettre, soit par télégramme.
« Je regrette amèrement mon étour
derie qui m’empêchera de jouer, di
manche, devant le public rennais. *
Les plus ennuyés de l’histoire sont
certainement l’entraîneur François
Pleyer et le commandant Bonneville
(responsable n’ 1 des amateurs bre
tons).
< J'avais l’intention, nous précise
Pleyer, de faire rentrer Prouff comme
demi droit, Guérin redevenant ar-.
rière central et Sorel retournant chez
les amateurs. Mais ce projet tombe
à l’eau. Gomez n’étant pas, d’autre
part, encore en état de rejouer, il me
faudra faire une nouvelle ponction
chez les amateurs. Si je ne risque
pas trop d’en souffrir, la < tuile »
sera pour le commandant qui ne dis
pose pas encore de tous ses éléments
et de ce fait vivra vraisemblablement
des moments pénibles à Niort, >
LES DIRIGEANTS
PARISIENS
MIS EN ACCUSATION
par un de leurs
collègues de Province
A Saint-Ouen dimanche, M. Heintz
s'étonnait devant les dirigeants sta-
distes que deux matches couplés
n'aient attiré que 10.800 sepetateurs.
« Désaffection du public parisien! »
constatait avec découragement M.
Crevel.
« Inertie des dirigeants parisiens »,
rétorquait M. Heintz qui ajoutait :
«.Vous laissez tout aller et ne fai
tes aucun effort de publicité. Si nous
n'étions pas plus « allants » en pro
vince, il y a lonatemps que NOUS
AURIONS DU METTRE LA CLE SOUS
LA PORTE.
Dans tout Paris j'ai vainement
cherché une affiche annonçant les
deux matches de cet après-midi. Je
n'en ai vu ni sur les murs, ni dans
le métrô, ni sur ou dans les auto
bus.
A Strasbourg, rien que pour l'affi
chage de nos matches dans les tram
ways de la ville nous consacrons
35.000 francs par semaine.
Si Paris continue de négliger les
incomparables moyens de publicité
que constituent, par exemple, le mé
tro et les autobus, ses équipes iront
faire leur recettes... en province. »
Les dirigeants stadistes parurent
ébranlés par les paroles de M. Heintz
qui, 24 heures plus tard, devait en
core leur dire :
« A Strasbourg les représentants
des _clubs visiteurs peuvent partir 10
minutes après la fin du match ayant
en poche le chèque représentant leur
pcfrt de recette.
Aujourd'hui, 24 heures après la fin
de Stade-Strasbourg, j'attends tou
jours mon chèque. » — J. C.
LES ÉCUYERS DU
préparent
CADRE NOIR DE SAUMUR
depuis trois ans
LA FAMEUSE REPRISE DES
“SAUTEURS
EN LIBERTÉ”
Jonquères d’Oriola, Calmon, Moi
zard, Michèle Cancre et la grande
révélation internationale de la sai
son, le lieutenant du Breuil. Ceul-
ci sont actuellement en compéti
tion à Biarritz et les meilleurs ren
seignements nous sont parvenus sur
leur forme.
Le Jumping prépare pour octobre
prochain (du 10 au 14), au Palais,
des Sports, le plus formidable spec
tacle hippique que l’on puisse pré
senter au monde. Cette semaine
équestre, dressée à la gloire de la
cavalerie, sera placée sous l’égide de
l’association Rhin et Danube et la
soirée de aala du vendredi 13 sera présence de présidée par M. le President de la P c hevaux qui participeront au Cadre Noir de Saumur préparent en
République. Grand Prix international. D’ores et secret leur extraordinaire exhibition
Le comité d’organisation, que pré- déjà sept nations ont donné leur des sauteurs en liberté. Il s’agit
side M. Pierre Guichenné avec le adhésion et il est probable que nous d’airs relevés, dernière subsistance
concours de MM. Des Roches de reverrons Pierre d’Inzeo, vainqueur de l’équitation du moyen âge, qui
Chassay, A. Moizard, colonel Brau, du Grand Prix d’Europe 1949. l’Es- exigent une scrupuleuse mise au
G. Cancre, A. Perissel, baron de vagnol. Goyoaga, l’Anglais Llewellun,
Crépy, chevalier d’Orgeix et Aguet- le, Belge Dp. Selliers de Moranville
tant, a lancé des invitations dans aux prises avec les champions Iran- (Lire la suite page 4
le monde entier afin de s’assurer gais d’Orgeix, de Maillé, de Castri.es. rubrique ’jumpingj
Fernand ALBARET.
C’EST FAIT
R. Vandooren
JOUERA
à ROUBAIX...
Lille Ta cédé
pour 3.600.000 francs
ROUBAIX. — Les dirigeants du
Lille OSC et du CO Roubaix-Tour
coing se sont mis d'accord, mercre
di après-midi, pour le transfert de
Roger Vandooren dont nous annon
cions la conclusion probable dès
lundi matin.
Le montant de la mutation s'élève
à 3.600.000 francs.
£ sprints.
00
DÉLICIEUX...
RAFRAICHISSANT
SOCltTt rACISIENNE CE BOISSONS GAZtUSFl « CONCMSIONNAIIC 'COCA-CO»»*
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