Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1950-09-06
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 06 septembre 1950 06 septembre 1950
Description : 1950/09/06 (A5,N1374). 1950/09/06 (A5,N1374).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t5101809b
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/05/2021
Notre quatrième page est consacrée à
PARIS-VÉLO
* QUI VOUS PARLE DE L’ACTIVITE
TISME DE CYCLISME AMATEUR PARISIEN
10
FRANCS
Surtaxe
aérienne
CORSE
2 fr.
AFRIQUE
du NORD
5 fr.
PETITES ANNONCES : TÀITBOUT 73-40, 41, 42 SERVICE VENTE : PROVENCE 37-18 COMPTE POSTAL : 4.237-93
Georges PEETERS
NOUS CABLE
DE NEW-YORK
qui n eut aucune peine à battre B. Brown
DECLARE:
^
SENT1ELLEM
CHAMPIONS
Pour la première fois, samedi et dimanche, sur le programme olympique complet...
BASE
je, en Suède, *
faitement inseï
compétitions ^
dération, polit
:radicto'ire puis
lutorisait de m
que, d’autre
courir ceux qt
besoin...
Conditions de
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s’assouplir dan
en ont l'habit!
buvaient des t
e bière ou de
Me à TRIAI», DAM1TI0, FAUCHER, SILLON
nos snuleius peuvent annuler
la légère supériorité des Anglais
..DANS LES LANCERS !
a n c d St*p b ff Mais notre situation est ici nettement moins bonne qu avant
mes de résista i | n *■ ,
guerre car les Britanniques ont pro-
;[»gressé et les Français ont rétrogradé !
AVERTISSEMENT DONNE PAR
LES CHAMPIONNATS D'EUROPE D’AVIRON
pesante
lir la fenêtre
ormir, car a
i par le bru
e trafio de la ,
■ois que les ati. La rencontre France-Grande-Bretagne a toujours été bien
'appellent Hamfficile à gagner, même à l’époque, pas si lointaine, où nos Lew-
Dartér^de* Reif n ’ Ménard, Paul R., Ramadier, Vintousky, Duhour frères, Noël
itage à « la Vu Winter raflaient aisément tous les concours.
*de * a!urs*entraîi Mais' aucune rencontre précédente ne se compare à celle pré
oublié les ne pour samedi et dimanche à Colombes, car, pour la première
èCent ’ nt co P’ Programme complet a été adopté. Signalons en passant
iîent em d e, Hanseni*'8 les campagnes portent toujours leurs fruits, même si dans le
ion à l’athiéoment présent elles n'ont aucune chance d’aboutir... Voilà des
;e de demi-fond s t res q Ue noug combattons pour l'adoption d’un programme
■autres ^e son^mplet et uniforme de rencontres internationales; la FFA a
r la campagnengtemps hésité, mais, aujourd’hui, elle est la première à défen-
y compris^Pétoig çette formule, car elle a compris qu’il était bien difficile
eliieure'forme, écarter certaines spécialités sans, par la même occasion, dé-
ndres, par Arnqrager d’importantes catégo-
ce pas admirât^, d’athlètes..
ifrères concl u tj^g me au pr j x quelques dé-
.tes provisoires, elle travaille
causes... ne pour l'avenir...
(atteignit son op? Puissant renfort britannique
id avec Bengt^ courses la pY ance e t i a Grande-
et Eriksson, il br , ...
de près de 4’ 10 } tagne( se valent sensiblement, on
de 4 X 1 Mile, vu à Bruxelles. L’incorporation
a disparu du preis l’équipe britannique .du fa-
:ngtsson défend ux sprinter de l’île de la Trinité,
Pourquoi ? Porcep D ona i(i Bailey, et celle du fa-
. Ronlen, a. m jamaïquain Arthur Wint dé
stade 6 Jean S -Bo°ui isentcet équilibre malgré l’absence
bnetibns... Et deVngh (compensée du reste par la
eau à Gaerle... tréé de Wilkinson). Songeons
... grands effets.} .'ces deux athlètes (M.D. Bailey
jrmonterait la jWint) sont capables de gagner
3is coureurs de ® 3U x deux six épreuves : 100 m.,
,ist ïdAberg ? 400 800 ™., 4 x 100 m.
L_4 x 400 m. ! Une paille...
ançais doit coffh lecteur nous demande à ce
c’est vers l’AWPoè si nous considérons comme
ter ses regards ulière l’incorporation de ces deux
7... » ndes vedettes de l’athlétisme
pose cette é w hdiàl dans l’équipe britannique
SERIEUSEMENT^ rappelle qu’aux Jeux Olympi-
Wint ne portait pas le maillot
’FMFNT ET NE’ lais "" N ’ oubli ons pas qu’il s’agit
A LEUR i'e;.; fait d’un match A.A.A.-F.F.A. et
y les habitudes anglaises s’accom-
deraient parfaitement même de
■entraînement ^sélection d’un Français d’Angle-
on principe ®*;e à condition qu’il réside depuis
^i, C 3 e ^a dans le Royaume-Uni. Cela
la musique ? t fait en rugby notamment... Du
peut nier que W-t de vue sportif on se réjouira
a pour base I illefurs de la présence de cham-
condition généiis de haute classe, même s’ils
jrs de cette al Wnt consommer notre défaite,
rit essentielle!™
la vigueur orgi Sauts favorables
lonnè ^îa °soupV°V s disions que les concours ne
sa musculatur" aient désormais combler le han-
e en elle-mên^P des courses. Tout ce que nous
qu’un travail i.vons espérer dans ce domaine
t un match nul et encore un
précisions inclfjjj nul difficile...
travail dans I-
e, ou à défaut Gaston MEYER,
plutôt mou, 1
réer fa soupir* I* suite p. 5, rub. Athlétisme)
Michel CLARE : « Si je ne
réussis pas une brillante
performance samedi
place à El Mabrouk
»
Bien qu’il ait battu deux fois cette
année les 1’ 52”, améliorant d’ailleurs
son record personnel en 1’ 51” 4/10, et
se classant 6 e de la finale des Champion
nats d’Europe en 1’ 51” 6/10. Michel
Clare n’est pas absolument satisfait de
ses progrès de l’année. Il s’estime d’ail
leurs trop jeune pour des efforts répétés
(ce qui est un raisonnement de sage).
Il nous déclarait hier matin :
« Si je ne réussis pas tout près de
T 51” sans peiner exagérément, je n’jrai
pas à Stockholm où. d’ailleurs, René
Mourlon pourra utiliser El Mabrouk a
bon escient... »
L’initiative peut être heureuse.
GARE AU PÉRIL SCANDINAVE
aux Jeux Olympiques d’Helsinki!
Mise au point à projfos du matériel dont
les Français disposèrent
“TOUT DEPENDRA DE JIIE L» 10TTA
ET NON DE DAUTHUILLE”
Mais s’il ne s’explique pas davantage, il
paraît absolument rassuré
quant à ses futures chances
de combattre pour le titre
NEW-YORK (par fil spécial A.F.P.). — Dans ce vieux vélo
drome depuis longtemps désaffecté de Coney Island, devenu
depuis une sorte de foire permanente et gigantesque où certaines
attractions sont nées avec le siècle, j’ai eu la chance insigne de
voir combattre, la nuit dernière, le plus grand boxeur actuel qui
soit au monde — et je parle pour toutes les catégorie^ — Ray
« Sugar » Robinson.
C’était le cinquième combat dü prestigieux champion auquel
j’assistais aux U.S.A. depuis 1940.
J’ai, pour Robinson, une profonde admiration, en raison de
la qualité incomparable de sa fibre musculaire, parce qu’il sait
broder ses coups sur une trame précieuse, et, enfin, parce qu’une
partie de sa boxe apparaît — si
j’ose dire — invisible et méta
physique. Les éclairs de certains
de ses coups, comme ceux d’un
plus secs du champion noir et il fit
mieux devant lui que Fusari et Ba-
sorah. Près de 10.000 spectateurs as
sistèrent à ce match dans l’ancien
Carpentier, d’un Criqui, d’un vélodrome new-yorkais où la fraîche
brise de l’océan nous fit oublier la
chaleur écrasante — véritable ham
mam — de ces jours derniers.
Après le combat, nous eûmes un
long entretien avec Robinson. Le su-
Kobinson à son poids normal j e t f llt évidemment le Championnat
•net /ISfO O 11 rloccllr. t\ 0 1 Cl 1 I 111 î f P , . . , . .
Al Brown ou d’un Cerdan, bril
leront toujours dans nos mémoi
res comme des diamants épars
dans un sombre écrin.
c’est-à-dire au-dessus de la limite
des welters — devant Billy Brown,
poids moyen de Hartford, gagna dix
rounds sur dix. Brown, toutefois,
du monde des poids moyens, objec
tif numéro 1 de Ray.
Robinson, très mesuré dans ses dé-
fut vigoureusement applaudi, car il claratlons, nous a dit :
résista fort bien aux punches les (Lire la suite page 2, rubrique Boxe)
RAY FAMECH0N PARLE DE WILLIE PEP
Dans leur appartement d’Asnières, Ray Famechon et sa femme, ren
trés de vacances, parlaient hier de, l’avejiir de leur fils Patrick
(27 mois) : « Qui ne fera jamais de boxe », précisait le père. « C’est
pourquoi tu lui as offert ceci », plaisantait la mère, en sortant d’un
tiroir petite culotte et gants minuscules que Ray avait rapportés
d’Amérique. La discussion terminée, Ray Famechon exposa à Ray
mond Meyer comment Willie Pep, dont il fut le dernier adversaire,
titre mondial en jeu, pourrait perdre sa couronne, vendredi, devant
Sandy Saddler.
(Voir, en page 2, rubrique Boxe, l’article de R. MEYER)
La brutalité des résultats vaut
mieux que 10 pages de commen
taires. C’est ainsi que. comme
nous l’avions laissé prévoir, l’Ita
lie et le Danemark ont dominé, et
de loin ces 42 es Championnats
d’Europe avec, toutefois, une pres
tation danoise plus vigoureuse en
core que nous ne le préjugions.
Trois titres aux Italiens, trois ti
tres aux Danois ! Seule l’importan
ce relative des épreuves put les dé
partager au classement général. Et
la Suisse, que nous citions ensuite,
justifie cette appréciation de la va
leur actuelle de l’aviron européen.
Mais il ne faut pas se leurrer, au
train où vorit les choses semblable
compétition deviendra de plus en
plus dure à affronter. Non pas que
les nations de tête puissent encore
grandement se perfectionner, mais
parce que celles comme la Yougosla
vie, l’Autriche, le Portugal (qui était
déjà très bien aux J. O.), l’Espagne
Henry KORBENDALJ.
(Lire la suite page 5, rub. Aviron)
AUX CHAMPIONNATS DE FRANCE AMATEURS SUR ROUTE
Sensation : Ch. AUSSET
un junior au tempérament offensif
triomphe de DECAUX !
de cette
lue, qui
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irfaïtement à
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foi sportive.
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ILM. — .Sévi gffl dinerses couleurs ^ au^sont laT î m P rimer des vignettes, en
ef'iLitteun ““ "" ‘T”'
<• mfXlZZÎ internationales^ 1011
Un autre jeune 9 Lelli 9 à la troisième place
mais Tourne , attaquant de la première heure
ne put disputer le sprint
(De notre envoyé spécial Jean MAZIER)
TOULOUSE. — Défenseur des couleurs montalbanaises, Charles Ausset
a étonné, hier à Toulouse, en remportant, à moins de 18 ans, sa première
grande victoire et, du même coup, le Championnat de France sur route
des amateurs.
Bien qu’il ne soit pas sprinter, il a acquis son titre sur le Parisien
Decaux et le Poitevin Lelli — un autre très jeune — qui étaient au bout
de leur rouleau, tandis que Tourne, le plus frais des quatre de l'échap
pée finale lancée à quelque 35 kilomètres du but. venait d’être plaqué
au sol par un motocycliste mala
droit.
Il est possible qui si Tourne avait
été présent à l’emballage final, nous
aurions assisté à un accrochage beau
coup plus serré. Car l’homme qui
gagna cette année le Grand Prix de
Saint-Denis était encore en posses
sion de belles réserves lorsqu'il
tomba. Il est vrai que, de son côté,
Ausset n’avait pas non plus vidé ses
accus... et l’énergique Decaux ne
pouvait que se marteler la tête des
poings devant une telle résistance !
Le quatuor victorieux était com
posé d'attaquants du début de cour
se : Tourne, échappé du premier ki
lomètre, puis Ausset et Lelli, lesquels
s’étaient lancés à ses trousses, et en
fin d’un revenant, Decaux. qui était
arrivé aidé par Delpicolo, Menan*
teau, Delahaye et Varnajo, en ren
fort à Lézat, à 41 km. du but, dans
le groupe de 14 hommes parmi les
quels figuraient, outre Tourne, Aus-
(Lire la suite page 3, rub. lyclisme)
UN MOYEN D’AIDER L’ESCRIME
irs du Tournoi Internatic
excellente idee de faire imprimer des vignettes, en
sont adjointes
une excellente
1. Charles AUSSET (US Montau-
ban), 160 km. en 4 h 40’ 14” (moy.
hor. 34 km. 257), sur bic. Marcaillou,
pn. Dunlop ; 2, Decaux (Ile-de-Fr.), à
5 1.; 3. Lelli (Poitou), à 15” ; 4.
Tourne (Ile-de-Fr.), à 30’’ ; 5. Michel
(Ile-de-Fr.), a 1’ 8” ; 6. Menanteau
(Lorraine), à 1* 25” ; 7. Varnajo
(Ile-de-Fr.), 8. Jarrige (Ile-de-Fr.).
9. Garnung (Guyenne). 10. Delahaye
(Ile-de-Fr.), tous m. t. ; 11 Montagut
(Languedoc) à 2’ 28” ; 12. Bildegrain
(Norm ), 13 Casse (I.-de-Fr.l, 14. Del
picolo (Guy.), 15. Viola (I.-de-Fr.).
tous m. t. ; 16. Hemmerlé (I.-de-Fr.),
à 4' 55” ; 17. Carretey (Guy.), m t. ;
18. Darrigade (Ile-de-Fr.). à 5' 23” ;
19. Bisetti (I -de-F.), 20. Poncet (Lyon),
21. Papazian (I.-de-F.), 22. Bigard
(Orl.), 23. Decroix (I.-de-F.), 24.
Tauzin (Guy.), 25. Vivensang (Guy.),
tous m. t. ; 26. Balitran (Guy.), à
11’ 12” ; 27. Gaspard (Lorr.), à 12’
39”; 28. Joliiet (Poitou). 29. Veillet
(Poitou), 30. Louret (Poitou), 31
Bouyssou tP.vrén ), tous m. t. ; 32.
Dielen (Flandres), à 19’ 15” ; 33. Car-
bonel (Oran).
S’ESTIMANT LESE PAR LA DECISION
QUI DESIGNA MATTEOLI VAINQUEUR
ROGER PIEL EXPOSE
SES ARGUMENTS
On sait que Mattéoli a remporté le Championnat de France de
poursuite professionnel, lundi. Mois un doute subsiste quant au résultat
de la derni-finaje qui l’opposait à Roger Piel, doute provoqué par
une arrivée extrêmement serrée et par la présence d’un seul chrono
métreur qui eut à prendre le temps de chacun des adversaires, alors
que, selon le règlement, il en eût fallu deux Roger Piel a été déclaré
battu de 2/5 de seconde. L'était-il vraiment ? Voici les arguments
qui plaident en sa faveur, qu'il nous a remis hier.
Lorsque j ai entendu l e coup de revolver annonçant la fin de la demi-
finale du Championnat de France de poursuite qui m’opposait à Mattéoli,
lundi, au Parc des Princes, j’ai sincèrement cru avoir gagné, car j’avais
déjà dépassé la ligne des 5 km. Aussi, l’annonce qui fut faite presque immé
diatement, me déclarant battu d’un mètre, fut pour moi un coup de massue.
J’étais sans réaction ; j’avais perdu, mais c’était la loi du sport et je m’in
clinai. „ ...
Mais, lorsque le micro communiqua j et le mien) avaient été pris
mon temps, faisant ressortir que ! P ar un S8 H* chronométreur (au lieu
j’avais été battu de deux cinquièmes ! de. ux réglementaires), que je ne
de seconde, je sursautai et, dès lors, connais d’ailleurs pas comme chrono-
je me révoltai. ' m ét re ur officiel.
Comment pouvait-on me déclarer “ appns enfin que M. Brunei, juge
battu UE UN METRE alors que DEUX unique, place lui, sur la ligne d’ar-
CINQUIEMES DE SECONDE, à l’allure r ' vee > mais du coté ou finissait mon
où nous roulions (13 mètres environ adversaire, avait juge cette différence
à la seconde), REPRESENTENT PLUS a ' œil > le coureur terminant de son
DE CINQ METRES ' GOte Passant à trois métrés de lui et
. . . l’autre (en l’occurrence moi-même) à
J allais donc demander des explica- | 0 pp 0S é à environ 80 mètres,
fions aux commissaires lorsque j ap
pris que les deux temps (celui de (Lire la suite page 3, rub. Cyclisme)
POUR LE MATCH DES GIRONDINS CONTRE LE RACING
TOUT BORDEAUX ESPÈRE
la rentrée de De Harder...
...mais Gérard ne s’y décidera pas saas l’avoir vu balle au pied
(De notre corresp. général J.-G. POMIES)
BORDEAUX. — « Et De Harder, quand va-t-il reprendre sa place ? »
Voilà une question qui est posée plusieurs fois par semaine depuis que les Ghampions de France ont
repris l’entraînement.
Il n’est pas superflu d’ajouter que, pour quelques supporters qui firent le déplacement à Lisbonne, sa
blessure à privé les Girondins de la victoire en finale de la Coupe Latine.
On se souvient que c’est après dix minutes de jeu, lors du premier match contre Benfica, que i’ailier
gauche bordelais fut contraint de quitter le jeu, laissant ses coéquipiers défendre les chances françaises
dix. Enfin, il n’est pas douteux
du monde... à
populaires joueurs
Bordeaux.
Il faut dire que le néo-Bordelais
près le français, n’a guère fait de
progrès pour s’exprimer en notre
langue.
André Gérard a tourné la diffi-
que le nombre de buts qui découla
de son activité et de sa technique
de ieu. au cours de la saison pas- . ...
sée, contribua pour une bonne part ^ e n agréable ' qui plrfe°“ë e t n dîllemand Un méIange d ’ an
au sacre des « marine et blanc ». néerlandais, car, après un an de g Q UOi qu .jj en oi ; D Harder fait
Alors, rien d’étonnanc que De séjour sur les bords de la Garonne, boq m énaee avee tons v mmnri»
Harder soit devenu l’un des plus notre Bertus. s’il comprend à peu son propriétaire (c’est neut-être une
; propriétaire (c’est peut-être une
référence). Il eut la chance, en
pleine crise du logement, d’élire
domicile dans un coin charmant de
la banlieue bordelaise, à Caudéran,
à trois pas des somptueux ombrages
du parc bordelais où peuvent aller
s’ébattre ses quatre petits enfants.
A la fin de la saison, De Harder
partit passer ses vacances en Hol
lande, emportant dans son porte
feuille la lettre de recommandation
d’un éminent chirurgien bordelais
pour un confrère hollandais. L’opé
ration du ménisque était sérieuse
ment envisagée. Mais lorsque le
néo-Bordelais revint au bercail en
compagnie de l’équipe du VUC de
La Haye, le 11 août, on apprit qu’il
n’y avait pas eu d’opération. Les
dirigeants bordelais, aux dires de
certains, marquèrent plus que de
l’étonnement. La vérité est qu’ils
se rangeaient à l’opinion formulée
par le spécialiste hollandais. Et De
Harder continua le traitement com
mencé en son pays natal : assou
plissement, mécanographie rééduca
tive.
(Lire la suite page 5, rub. Football)
-p.»-, iT ADHFD mrvT T T/'AT TU C T A f De Har der est l’homme qui se trouve toujours là
UJui .H- A K U LL JK. 1 vilJJtJlJiio 1-(X\ • oît on ne l’attend pas. C’est la terreur des défenses.
Dimanche, à Bordeaux, où il fera sa rentrée, ce sera l’ennemi n" 1 d,e René Vignal, le portier parisien.
Sur ce cliché. De Harder s’était présenté seul devant Crosland, le gardien stadiste, qui est intervenu
in extremis.
Janos Toth, du RC Strasbourg, est
un « boit-sans-soif » qu'il vaut
mieux tenir éloigné de la tentation.
Voilà quelque temps, il fut reconnu
dans une brasserie par un client et
invité à vider un verre. Le liquide
absorbé, Toth, plein de reconnais
sance, offrit une tournée générale,
puis deux, puis trois. Il y avait là...
vingt-trois personnes.
Lors intervint le patron du lieu
avec une addition longue comme
une ordonnance de médecin.
« Nicht Geld » ne put que dire
Janos
Le lendemain, M, Heintz, respon
sable du club strasbourgeois, fut
mis en présence d'une note de
10.000 francs.
Ledit Toth avait non seulement
oublié de solder le montant de la
beuverie, mais il avait encore per
suadé le cafetier de lui prêter
4.500 fr. pour continuer la fête.
A part ça, M. Janos Toth est
considéré comme une bonne acqui
sition du football professionnel
français.
• Les clubs professionnels de football
ont été avisés par. le Groupement
qu'on ne leur communiquerait plus
les noms des délégués aux matches
de Championnat.
L'autorité suprême du football
professionnel en est-elle arrivée à
soupçonner ses plus scrupuleux ser
viteurs ?
i Les dirigeants du Racing Club
Strasbourg ont failli attraper la
jaunisse, en prenant connaissance
du calendrier du Championnat d'Al
sace amateurs, division d'honneur.
Il apparaît, en effet, que l'équipe
amateurs du club de la Memau
jouera six fois en concurrence avec
le onze professionnel au cours de
la saison. Le responsable du calen
drier semble avoir favorisé les équi
pes du Haut-Rhin (Mulhouse, Col
mar et Saint-Louis).
Furieux, M. Heintz a dit son in
tention de ne pas verser les 2 %
sur les recettes pros au titre de
subvention pour les clubs amateurs.
Or, la saison dernière, ce versement
a atteint 400.000 francs.
Le Monsieur du calendrier va se
faire tirer les oreilles par ceux qui
ont besoin de l'argent des profes-
sionnel*. Et Dieu sait s'ils sont
nombreux.
*
Le Biarritz Olympique devait aller
jouer à Béziers le dimanche 1 er oc
tobre. Mais ce jour-là, une course
de taureaux occupera l'affiche dans
la capitale du pinard.
« Non ! Non ! ne venex pas à
Béziers à cette date, a dit Jules
Cadenat aux dirigeants biarrots.
Vous comprenez, une corrida suf
fit... »
Les joueurs du BO se demandent
si on les considère comme des to
reros ou comme des victimes ex
piatoires Dans le doute, ils s'abs-
tienaront
Fernand ALBARET.
(Lire la suite page 6)
POUR AFFRONTER
MARSE ILLE
HILE CONSERVERA
(sans doute)
POITEVIN
(De notre correspondant
particulier R. VERKRUSSE)
LILLE. — On a coutume de dire
que le public lillois est terrible. Il
porte littéralement son équipe ou...
la laisse froidement à son sort après
lui avoir bien fait sentir sa décon
venue.
Depuis dimanche soir — et il y
avait du monde dans la rue, car
c’était fête — on reparle avec en
thousiasme des footballeurs lillois
et l’on attend avec impatience la
rencontre de dim,anche qui amènera
l’Olympique de Marseille et ses
Ekner, Johansson, Sboralski, Fla-
mion, etc... au stade Henri-Jooris.
A chaque instant on frappe à la
porte ou le téléphone retentit au
secrétariat pour retenir des places.
Pour leur part, les joueurs, en ren
trant de Sochaux, ne pensaient qu’a
aller se reposer. Ils avaient gagné
lundi à Mulhouse (6-2).
Au cours de cette rencontre con
tre l’équipe de Wasmer (qui ouvrit
d’ailleurs la marque pour Lille),
Pierre Vuye, arrière gauche lillois, a
été touché à la cheville. La blessure
ne parait pas grave. Mais il devra se
soigner pour être dimanche en pleine
possession de ses moyens.
A Mulhouse encore, Van der Hart
a repris la place qu’il avait laisser,
la veille à Poitevin et il semble bien
que la comparaison qui puisse être
faite sera en faveur du dernier en
date des arrières centraux lillois.
Sera-t-il donc maintenu contre Mar
seille ? C’est très possible, car Jean-
Marie Prévost, pour son match de
rentrée dimanche à Lille contre
Hesdin. a reçu un coup sur «» a§»
nbu. Là non'plus rien de très grève,
jnais décidément Jean-Marie n’e peê
de chance I
PARIS-VÉLO
* QUI VOUS PARLE DE L’ACTIVITE
TISME DE CYCLISME AMATEUR PARISIEN
10
FRANCS
Surtaxe
aérienne
CORSE
2 fr.
AFRIQUE
du NORD
5 fr.
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Georges PEETERS
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DE NEW-YORK
qui n eut aucune peine à battre B. Brown
DECLARE:
^
SENT1ELLEM
CHAMPIONS
Pour la première fois, samedi et dimanche, sur le programme olympique complet...
BASE
je, en Suède, *
faitement inseï
compétitions ^
dération, polit
:radicto'ire puis
lutorisait de m
que, d’autre
courir ceux qt
besoin...
Conditions de
es, étaient pa
jrtunes et il
une direction
voir ce qui se
é fait pour qui
s’assouplir dan
en ont l'habit!
buvaient des t
e bière ou de
Me à TRIAI», DAM1TI0, FAUCHER, SILLON
nos snuleius peuvent annuler
la légère supériorité des Anglais
..DANS LES LANCERS !
a n c d St*p b ff Mais notre situation est ici nettement moins bonne qu avant
mes de résista i | n *■ ,
guerre car les Britanniques ont pro-
;[»gressé et les Français ont rétrogradé !
AVERTISSEMENT DONNE PAR
LES CHAMPIONNATS D'EUROPE D’AVIRON
pesante
lir la fenêtre
ormir, car a
i par le bru
e trafio de la ,
■ois que les ati. La rencontre France-Grande-Bretagne a toujours été bien
'appellent Hamfficile à gagner, même à l’époque, pas si lointaine, où nos Lew-
Dartér^de* Reif n ’ Ménard, Paul R., Ramadier, Vintousky, Duhour frères, Noël
itage à « la Vu Winter raflaient aisément tous les concours.
*de * a!urs*entraîi Mais' aucune rencontre précédente ne se compare à celle pré
oublié les ne pour samedi et dimanche à Colombes, car, pour la première
èCent ’ nt co P’ Programme complet a été adopté. Signalons en passant
iîent em d e, Hanseni*'8 les campagnes portent toujours leurs fruits, même si dans le
ion à l’athiéoment présent elles n'ont aucune chance d’aboutir... Voilà des
;e de demi-fond s t res q Ue noug combattons pour l'adoption d’un programme
■autres ^e son^mplet et uniforme de rencontres internationales; la FFA a
r la campagnengtemps hésité, mais, aujourd’hui, elle est la première à défen-
y compris^Pétoig çette formule, car elle a compris qu’il était bien difficile
eliieure'forme, écarter certaines spécialités sans, par la même occasion, dé-
ndres, par Arnqrager d’importantes catégo-
ce pas admirât^, d’athlètes..
ifrères concl u tj^g me au pr j x quelques dé-
.tes provisoires, elle travaille
causes... ne pour l'avenir...
(atteignit son op? Puissant renfort britannique
id avec Bengt^ courses la pY ance e t i a Grande-
et Eriksson, il br , ...
de près de 4’ 10 } tagne( se valent sensiblement, on
de 4 X 1 Mile, vu à Bruxelles. L’incorporation
a disparu du preis l’équipe britannique .du fa-
:ngtsson défend ux sprinter de l’île de la Trinité,
Pourquoi ? Porcep D ona i(i Bailey, et celle du fa-
. Ronlen, a. m jamaïquain Arthur Wint dé
stade 6 Jean S -Bo°ui isentcet équilibre malgré l’absence
bnetibns... Et deVngh (compensée du reste par la
eau à Gaerle... tréé de Wilkinson). Songeons
... grands effets.} .'ces deux athlètes (M.D. Bailey
jrmonterait la jWint) sont capables de gagner
3is coureurs de ® 3U x deux six épreuves : 100 m.,
,ist ïdAberg ? 400 800 ™., 4 x 100 m.
L_4 x 400 m. ! Une paille...
ançais doit coffh lecteur nous demande à ce
c’est vers l’AWPoè si nous considérons comme
ter ses regards ulière l’incorporation de ces deux
7... » ndes vedettes de l’athlétisme
pose cette é w hdiàl dans l’équipe britannique
SERIEUSEMENT^ rappelle qu’aux Jeux Olympi-
Wint ne portait pas le maillot
’FMFNT ET NE’ lais "" N ’ oubli ons pas qu’il s’agit
A LEUR i'e;.; fait d’un match A.A.A.-F.F.A. et
y les habitudes anglaises s’accom-
deraient parfaitement même de
■entraînement ^sélection d’un Français d’Angle-
on principe ®*;e à condition qu’il réside depuis
^i, C 3 e ^a dans le Royaume-Uni. Cela
la musique ? t fait en rugby notamment... Du
peut nier que W-t de vue sportif on se réjouira
a pour base I illefurs de la présence de cham-
condition généiis de haute classe, même s’ils
jrs de cette al Wnt consommer notre défaite,
rit essentielle!™
la vigueur orgi Sauts favorables
lonnè ^îa °soupV°V s disions que les concours ne
sa musculatur" aient désormais combler le han-
e en elle-mên^P des courses. Tout ce que nous
qu’un travail i.vons espérer dans ce domaine
t un match nul et encore un
précisions inclfjjj nul difficile...
travail dans I-
e, ou à défaut Gaston MEYER,
plutôt mou, 1
réer fa soupir* I* suite p. 5, rub. Athlétisme)
Michel CLARE : « Si je ne
réussis pas une brillante
performance samedi
place à El Mabrouk
»
Bien qu’il ait battu deux fois cette
année les 1’ 52”, améliorant d’ailleurs
son record personnel en 1’ 51” 4/10, et
se classant 6 e de la finale des Champion
nats d’Europe en 1’ 51” 6/10. Michel
Clare n’est pas absolument satisfait de
ses progrès de l’année. Il s’estime d’ail
leurs trop jeune pour des efforts répétés
(ce qui est un raisonnement de sage).
Il nous déclarait hier matin :
« Si je ne réussis pas tout près de
T 51” sans peiner exagérément, je n’jrai
pas à Stockholm où. d’ailleurs, René
Mourlon pourra utiliser El Mabrouk a
bon escient... »
L’initiative peut être heureuse.
GARE AU PÉRIL SCANDINAVE
aux Jeux Olympiques d’Helsinki!
Mise au point à projfos du matériel dont
les Français disposèrent
“TOUT DEPENDRA DE JIIE L» 10TTA
ET NON DE DAUTHUILLE”
Mais s’il ne s’explique pas davantage, il
paraît absolument rassuré
quant à ses futures chances
de combattre pour le titre
NEW-YORK (par fil spécial A.F.P.). — Dans ce vieux vélo
drome depuis longtemps désaffecté de Coney Island, devenu
depuis une sorte de foire permanente et gigantesque où certaines
attractions sont nées avec le siècle, j’ai eu la chance insigne de
voir combattre, la nuit dernière, le plus grand boxeur actuel qui
soit au monde — et je parle pour toutes les catégorie^ — Ray
« Sugar » Robinson.
C’était le cinquième combat dü prestigieux champion auquel
j’assistais aux U.S.A. depuis 1940.
J’ai, pour Robinson, une profonde admiration, en raison de
la qualité incomparable de sa fibre musculaire, parce qu’il sait
broder ses coups sur une trame précieuse, et, enfin, parce qu’une
partie de sa boxe apparaît — si
j’ose dire — invisible et méta
physique. Les éclairs de certains
de ses coups, comme ceux d’un
plus secs du champion noir et il fit
mieux devant lui que Fusari et Ba-
sorah. Près de 10.000 spectateurs as
sistèrent à ce match dans l’ancien
Carpentier, d’un Criqui, d’un vélodrome new-yorkais où la fraîche
brise de l’océan nous fit oublier la
chaleur écrasante — véritable ham
mam — de ces jours derniers.
Après le combat, nous eûmes un
long entretien avec Robinson. Le su-
Kobinson à son poids normal j e t f llt évidemment le Championnat
•net /ISfO O 11 rloccllr. t\ 0 1 Cl 1 I 111 î f P , . . , . .
Al Brown ou d’un Cerdan, bril
leront toujours dans nos mémoi
res comme des diamants épars
dans un sombre écrin.
c’est-à-dire au-dessus de la limite
des welters — devant Billy Brown,
poids moyen de Hartford, gagna dix
rounds sur dix. Brown, toutefois,
du monde des poids moyens, objec
tif numéro 1 de Ray.
Robinson, très mesuré dans ses dé-
fut vigoureusement applaudi, car il claratlons, nous a dit :
résista fort bien aux punches les (Lire la suite page 2, rubrique Boxe)
RAY FAMECH0N PARLE DE WILLIE PEP
Dans leur appartement d’Asnières, Ray Famechon et sa femme, ren
trés de vacances, parlaient hier de, l’avejiir de leur fils Patrick
(27 mois) : « Qui ne fera jamais de boxe », précisait le père. « C’est
pourquoi tu lui as offert ceci », plaisantait la mère, en sortant d’un
tiroir petite culotte et gants minuscules que Ray avait rapportés
d’Amérique. La discussion terminée, Ray Famechon exposa à Ray
mond Meyer comment Willie Pep, dont il fut le dernier adversaire,
titre mondial en jeu, pourrait perdre sa couronne, vendredi, devant
Sandy Saddler.
(Voir, en page 2, rubrique Boxe, l’article de R. MEYER)
La brutalité des résultats vaut
mieux que 10 pages de commen
taires. C’est ainsi que. comme
nous l’avions laissé prévoir, l’Ita
lie et le Danemark ont dominé, et
de loin ces 42 es Championnats
d’Europe avec, toutefois, une pres
tation danoise plus vigoureuse en
core que nous ne le préjugions.
Trois titres aux Italiens, trois ti
tres aux Danois ! Seule l’importan
ce relative des épreuves put les dé
partager au classement général. Et
la Suisse, que nous citions ensuite,
justifie cette appréciation de la va
leur actuelle de l’aviron européen.
Mais il ne faut pas se leurrer, au
train où vorit les choses semblable
compétition deviendra de plus en
plus dure à affronter. Non pas que
les nations de tête puissent encore
grandement se perfectionner, mais
parce que celles comme la Yougosla
vie, l’Autriche, le Portugal (qui était
déjà très bien aux J. O.), l’Espagne
Henry KORBENDALJ.
(Lire la suite page 5, rub. Aviron)
AUX CHAMPIONNATS DE FRANCE AMATEURS SUR ROUTE
Sensation : Ch. AUSSET
un junior au tempérament offensif
triomphe de DECAUX !
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ILM. — .Sévi gffl dinerses couleurs ^ au^sont laT î m P rimer des vignettes, en
ef'iLitteun ““ "" ‘T”'
<• mfXlZZÎ internationales^ 1011
Un autre jeune 9 Lelli 9 à la troisième place
mais Tourne , attaquant de la première heure
ne put disputer le sprint
(De notre envoyé spécial Jean MAZIER)
TOULOUSE. — Défenseur des couleurs montalbanaises, Charles Ausset
a étonné, hier à Toulouse, en remportant, à moins de 18 ans, sa première
grande victoire et, du même coup, le Championnat de France sur route
des amateurs.
Bien qu’il ne soit pas sprinter, il a acquis son titre sur le Parisien
Decaux et le Poitevin Lelli — un autre très jeune — qui étaient au bout
de leur rouleau, tandis que Tourne, le plus frais des quatre de l'échap
pée finale lancée à quelque 35 kilomètres du but. venait d’être plaqué
au sol par un motocycliste mala
droit.
Il est possible qui si Tourne avait
été présent à l’emballage final, nous
aurions assisté à un accrochage beau
coup plus serré. Car l’homme qui
gagna cette année le Grand Prix de
Saint-Denis était encore en posses
sion de belles réserves lorsqu'il
tomba. Il est vrai que, de son côté,
Ausset n’avait pas non plus vidé ses
accus... et l’énergique Decaux ne
pouvait que se marteler la tête des
poings devant une telle résistance !
Le quatuor victorieux était com
posé d'attaquants du début de cour
se : Tourne, échappé du premier ki
lomètre, puis Ausset et Lelli, lesquels
s’étaient lancés à ses trousses, et en
fin d’un revenant, Decaux. qui était
arrivé aidé par Delpicolo, Menan*
teau, Delahaye et Varnajo, en ren
fort à Lézat, à 41 km. du but, dans
le groupe de 14 hommes parmi les
quels figuraient, outre Tourne, Aus-
(Lire la suite page 3, rub. lyclisme)
UN MOYEN D’AIDER L’ESCRIME
irs du Tournoi Internatic
excellente idee de faire imprimer des vignettes, en
sont adjointes
une excellente
1. Charles AUSSET (US Montau-
ban), 160 km. en 4 h 40’ 14” (moy.
hor. 34 km. 257), sur bic. Marcaillou,
pn. Dunlop ; 2, Decaux (Ile-de-Fr.), à
5 1.; 3. Lelli (Poitou), à 15” ; 4.
Tourne (Ile-de-Fr.), à 30’’ ; 5. Michel
(Ile-de-Fr.), a 1’ 8” ; 6. Menanteau
(Lorraine), à 1* 25” ; 7. Varnajo
(Ile-de-Fr.), 8. Jarrige (Ile-de-Fr.).
9. Garnung (Guyenne). 10. Delahaye
(Ile-de-Fr.), tous m. t. ; 11 Montagut
(Languedoc) à 2’ 28” ; 12. Bildegrain
(Norm ), 13 Casse (I.-de-Fr.l, 14. Del
picolo (Guy.), 15. Viola (I.-de-Fr.).
tous m. t. ; 16. Hemmerlé (I.-de-Fr.),
à 4' 55” ; 17. Carretey (Guy.), m t. ;
18. Darrigade (Ile-de-Fr.). à 5' 23” ;
19. Bisetti (I -de-F.), 20. Poncet (Lyon),
21. Papazian (I.-de-F.), 22. Bigard
(Orl.), 23. Decroix (I.-de-F.), 24.
Tauzin (Guy.), 25. Vivensang (Guy.),
tous m. t. ; 26. Balitran (Guy.), à
11’ 12” ; 27. Gaspard (Lorr.), à 12’
39”; 28. Joliiet (Poitou). 29. Veillet
(Poitou), 30. Louret (Poitou), 31
Bouyssou tP.vrén ), tous m. t. ; 32.
Dielen (Flandres), à 19’ 15” ; 33. Car-
bonel (Oran).
S’ESTIMANT LESE PAR LA DECISION
QUI DESIGNA MATTEOLI VAINQUEUR
ROGER PIEL EXPOSE
SES ARGUMENTS
On sait que Mattéoli a remporté le Championnat de France de
poursuite professionnel, lundi. Mois un doute subsiste quant au résultat
de la derni-finaje qui l’opposait à Roger Piel, doute provoqué par
une arrivée extrêmement serrée et par la présence d’un seul chrono
métreur qui eut à prendre le temps de chacun des adversaires, alors
que, selon le règlement, il en eût fallu deux Roger Piel a été déclaré
battu de 2/5 de seconde. L'était-il vraiment ? Voici les arguments
qui plaident en sa faveur, qu'il nous a remis hier.
Lorsque j ai entendu l e coup de revolver annonçant la fin de la demi-
finale du Championnat de France de poursuite qui m’opposait à Mattéoli,
lundi, au Parc des Princes, j’ai sincèrement cru avoir gagné, car j’avais
déjà dépassé la ligne des 5 km. Aussi, l’annonce qui fut faite presque immé
diatement, me déclarant battu d’un mètre, fut pour moi un coup de massue.
J’étais sans réaction ; j’avais perdu, mais c’était la loi du sport et je m’in
clinai. „ ...
Mais, lorsque le micro communiqua j et le mien) avaient été pris
mon temps, faisant ressortir que ! P ar un S8 H* chronométreur (au lieu
j’avais été battu de deux cinquièmes ! de. ux réglementaires), que je ne
de seconde, je sursautai et, dès lors, connais d’ailleurs pas comme chrono-
je me révoltai. ' m ét re ur officiel.
Comment pouvait-on me déclarer “ appns enfin que M. Brunei, juge
battu UE UN METRE alors que DEUX unique, place lui, sur la ligne d’ar-
CINQUIEMES DE SECONDE, à l’allure r ' vee > mais du coté ou finissait mon
où nous roulions (13 mètres environ adversaire, avait juge cette différence
à la seconde), REPRESENTENT PLUS a ' œil > le coureur terminant de son
DE CINQ METRES ' GOte Passant à trois métrés de lui et
. . . l’autre (en l’occurrence moi-même) à
J allais donc demander des explica- | 0 pp 0S é à environ 80 mètres,
fions aux commissaires lorsque j ap
pris que les deux temps (celui de (Lire la suite page 3, rub. Cyclisme)
POUR LE MATCH DES GIRONDINS CONTRE LE RACING
TOUT BORDEAUX ESPÈRE
la rentrée de De Harder...
...mais Gérard ne s’y décidera pas saas l’avoir vu balle au pied
(De notre corresp. général J.-G. POMIES)
BORDEAUX. — « Et De Harder, quand va-t-il reprendre sa place ? »
Voilà une question qui est posée plusieurs fois par semaine depuis que les Ghampions de France ont
repris l’entraînement.
Il n’est pas superflu d’ajouter que, pour quelques supporters qui firent le déplacement à Lisbonne, sa
blessure à privé les Girondins de la victoire en finale de la Coupe Latine.
On se souvient que c’est après dix minutes de jeu, lors du premier match contre Benfica, que i’ailier
gauche bordelais fut contraint de quitter le jeu, laissant ses coéquipiers défendre les chances françaises
dix. Enfin, il n’est pas douteux
du monde... à
populaires joueurs
Bordeaux.
Il faut dire que le néo-Bordelais
près le français, n’a guère fait de
progrès pour s’exprimer en notre
langue.
André Gérard a tourné la diffi-
que le nombre de buts qui découla
de son activité et de sa technique
de ieu. au cours de la saison pas- . ...
sée, contribua pour une bonne part ^ e n agréable ' qui plrfe°“ë e t n dîllemand Un méIange d ’ an
au sacre des « marine et blanc ». néerlandais, car, après un an de g Q UOi qu .jj en oi ; D Harder fait
Alors, rien d’étonnanc que De séjour sur les bords de la Garonne, boq m énaee avee tons v mmnri»
Harder soit devenu l’un des plus notre Bertus. s’il comprend à peu son propriétaire (c’est neut-être une
; propriétaire (c’est peut-être une
référence). Il eut la chance, en
pleine crise du logement, d’élire
domicile dans un coin charmant de
la banlieue bordelaise, à Caudéran,
à trois pas des somptueux ombrages
du parc bordelais où peuvent aller
s’ébattre ses quatre petits enfants.
A la fin de la saison, De Harder
partit passer ses vacances en Hol
lande, emportant dans son porte
feuille la lettre de recommandation
d’un éminent chirurgien bordelais
pour un confrère hollandais. L’opé
ration du ménisque était sérieuse
ment envisagée. Mais lorsque le
néo-Bordelais revint au bercail en
compagnie de l’équipe du VUC de
La Haye, le 11 août, on apprit qu’il
n’y avait pas eu d’opération. Les
dirigeants bordelais, aux dires de
certains, marquèrent plus que de
l’étonnement. La vérité est qu’ils
se rangeaient à l’opinion formulée
par le spécialiste hollandais. Et De
Harder continua le traitement com
mencé en son pays natal : assou
plissement, mécanographie rééduca
tive.
(Lire la suite page 5, rub. Football)
-p.»-, iT ADHFD mrvT T T/'AT TU C T A f De Har der est l’homme qui se trouve toujours là
UJui .H- A K U LL JK. 1 vilJJtJlJiio 1-(X\ • oît on ne l’attend pas. C’est la terreur des défenses.
Dimanche, à Bordeaux, où il fera sa rentrée, ce sera l’ennemi n" 1 d,e René Vignal, le portier parisien.
Sur ce cliché. De Harder s’était présenté seul devant Crosland, le gardien stadiste, qui est intervenu
in extremis.
Janos Toth, du RC Strasbourg, est
un « boit-sans-soif » qu'il vaut
mieux tenir éloigné de la tentation.
Voilà quelque temps, il fut reconnu
dans une brasserie par un client et
invité à vider un verre. Le liquide
absorbé, Toth, plein de reconnais
sance, offrit une tournée générale,
puis deux, puis trois. Il y avait là...
vingt-trois personnes.
Lors intervint le patron du lieu
avec une addition longue comme
une ordonnance de médecin.
« Nicht Geld » ne put que dire
Janos
Le lendemain, M, Heintz, respon
sable du club strasbourgeois, fut
mis en présence d'une note de
10.000 francs.
Ledit Toth avait non seulement
oublié de solder le montant de la
beuverie, mais il avait encore per
suadé le cafetier de lui prêter
4.500 fr. pour continuer la fête.
A part ça, M. Janos Toth est
considéré comme une bonne acqui
sition du football professionnel
français.
• Les clubs professionnels de football
ont été avisés par. le Groupement
qu'on ne leur communiquerait plus
les noms des délégués aux matches
de Championnat.
L'autorité suprême du football
professionnel en est-elle arrivée à
soupçonner ses plus scrupuleux ser
viteurs ?
i Les dirigeants du Racing Club
Strasbourg ont failli attraper la
jaunisse, en prenant connaissance
du calendrier du Championnat d'Al
sace amateurs, division d'honneur.
Il apparaît, en effet, que l'équipe
amateurs du club de la Memau
jouera six fois en concurrence avec
le onze professionnel au cours de
la saison. Le responsable du calen
drier semble avoir favorisé les équi
pes du Haut-Rhin (Mulhouse, Col
mar et Saint-Louis).
Furieux, M. Heintz a dit son in
tention de ne pas verser les 2 %
sur les recettes pros au titre de
subvention pour les clubs amateurs.
Or, la saison dernière, ce versement
a atteint 400.000 francs.
Le Monsieur du calendrier va se
faire tirer les oreilles par ceux qui
ont besoin de l'argent des profes-
sionnel*. Et Dieu sait s'ils sont
nombreux.
*
Le Biarritz Olympique devait aller
jouer à Béziers le dimanche 1 er oc
tobre. Mais ce jour-là, une course
de taureaux occupera l'affiche dans
la capitale du pinard.
« Non ! Non ! ne venex pas à
Béziers à cette date, a dit Jules
Cadenat aux dirigeants biarrots.
Vous comprenez, une corrida suf
fit... »
Les joueurs du BO se demandent
si on les considère comme des to
reros ou comme des victimes ex
piatoires Dans le doute, ils s'abs-
tienaront
Fernand ALBARET.
(Lire la suite page 6)
POUR AFFRONTER
MARSE ILLE
HILE CONSERVERA
(sans doute)
POITEVIN
(De notre correspondant
particulier R. VERKRUSSE)
LILLE. — On a coutume de dire
que le public lillois est terrible. Il
porte littéralement son équipe ou...
la laisse froidement à son sort après
lui avoir bien fait sentir sa décon
venue.
Depuis dimanche soir — et il y
avait du monde dans la rue, car
c’était fête — on reparle avec en
thousiasme des footballeurs lillois
et l’on attend avec impatience la
rencontre de dim,anche qui amènera
l’Olympique de Marseille et ses
Ekner, Johansson, Sboralski, Fla-
mion, etc... au stade Henri-Jooris.
A chaque instant on frappe à la
porte ou le téléphone retentit au
secrétariat pour retenir des places.
Pour leur part, les joueurs, en ren
trant de Sochaux, ne pensaient qu’a
aller se reposer. Ils avaient gagné
lundi à Mulhouse (6-2).
Au cours de cette rencontre con
tre l’équipe de Wasmer (qui ouvrit
d’ailleurs la marque pour Lille),
Pierre Vuye, arrière gauche lillois, a
été touché à la cheville. La blessure
ne parait pas grave. Mais il devra se
soigner pour être dimanche en pleine
possession de ses moyens.
A Mulhouse encore, Van der Hart
a repris la place qu’il avait laisser,
la veille à Poitevin et il semble bien
que la comparaison qui puisse être
faite sera en faveur du dernier en
date des arrières centraux lillois.
Sera-t-il donc maintenu contre Mar
seille ? C’est très possible, car Jean-
Marie Prévost, pour son match de
rentrée dimanche à Lille contre
Hesdin. a reçu un coup sur «» a§»
nbu. Là non'plus rien de très grève,
jnais décidément Jean-Marie n’e peê
de chance I
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