Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1950-09-04
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 04 septembre 1950 04 septembre 1950
Description : 1950/09/04 (A5,N1372). 1950/09/04 (A5,N1372).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t5101807k
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/05/2021
BUES ET RAM SEULE LEADERS RABATTUS DU CHAMPIONNAT
LE FOOTBALL EST
EN PAGES 7 ET 8
SEPTEMBRE 1950
N* 1372
10, Fg MONTMARTRE, PARIS (9*)
TAITBOUT 70-80 ET LA SUITE
PETITES ANNONCES : TAITBOUT 73-40, 41, 42
SERVICE VENTE : PROVENCE 37-18
COMPTE POSTAL : 4.237-93
NITROLAC
ç °ff re gratuitement une bicyclette grand luxe au porteur
du Dépliant TOUR DE FRANCE n * 8A32
lune boite d'émail Vélo-Moto à chacun des porteurs des n°® :
379 — 1.519 — 2.428 — 2.613
$8.357 — 8.424 — 12.006 — 13.503
6.329 — 7.202
14.215 — 14.738
Les bénéficiaires devront se faire connaître par lettre
adressée a L'EQUIPE avant la date limite du 30’septembre 1950.
r (2 e journée
• CANNES (1) I
3 (1) - Metz ( 1)1
- Lyon (1) I
Marseille II (1)
Amiens (11)
> - ALES (1)
■ Monaco (9)
■S (9) - Angers i
1) • Toulon (il)
Nantes compi
z Ferrier-Van i
urer une pn
ES RAMEURS DANOIS BRILLANTS “FINISSEURS” MENACENT
LA SUPREMATIE ITALIENNE
Butel, Nosbaum et Martin émergent
une équipe française amputée de ses
moyens matériels
ommencé la
à Vextérieur
confirmer ce
jens des Ami
lez eux par },
Ils n’ont toi
I ritable leader
lutions de f%
Gouillard au
ne sont pas
affaires amie
oin d’une ré i
désastre de Ci
; de taille à
î de Rummel]
? auront pli
les Bisontins,
assurer un pr- V:
enciennoi,, a, 'un de nos envoyés spéciaux Maurice MAUREL)
: plus mauvm
e S i ai onze d de ^ILAN. — L’Idroscale de Milan vient d être rendue
’.unesse des re> amateurs de ski nautique qui gillonnent déjà les belles
tes d’eau où, ces jours dernierg, s’affrontaient les meil-
de MERCADlpg Européens dans le plus amateur des sports. Les pavil-
s pendent dans un soir sans brise.
UloUWS Les spectateurs italiens se retirent, extériorisant, par
« , verbe et des gestes également élevés, la joie que leur
nCildll^Csent deux nouveaux titres de champions d’Europe. Ils
ieorges BUS' 26.000 à venir, malgré la concurrence de Monza,
tenir les rameurs azzurri : la nouvelle Ferrari n’a pas
; supporters e j?®ché les Italiens d’applaudir la puissance mécanique du
te face à Metuit » de Varèse. ble seuil, trois premières places
division. lle ressort-il de ces trois jour- pour le Danemark, deux pour l’Ita-
sst à croire qi gur j e p] an international ? La lie (2 barré et 8) et une pour la
le Grucha.lL i ** .. a , 7 L ., , . de la sixième course qui sera dis-
U ' 1 avait ec at , e an dernier a p U tée demain lundi à 10 heures (la
ze rouenncterdam, est serieusement me- disqualification de la Yougoslavie
miste e par le Danemark, dont les obligeant à recourir l’épreuve),
part. Jean RAVfens sont moins puissants, mais décidera donc de l’attribution de la
victoire à Ami! les représentants ont prou- Goupe Glandaz et de la suprématie
fu ai sUde tr d S e S î B»« foi. de plus, qu’ils ne e ^opeenn e 1950.
nris^d'assaut niaient iamais vaincus Du cote s P ortif > le spectacle a été
match officl Jamais vaincus. de choix et leg luttes empoignantes,
îles Rouges x sJ t aln si que les Nordiques ont Le temps était, certes, favorable.
"té certaines courses « à la mais le fait que tous les records du
ent un entrait » ; je pense à cette arrivée h ass i n , établis dans les champion-
li des années P'miatrp hm-ré » nù îo a rtpiiv » nat6 d’Europe de 1938 aient été bat-
tise leurs fidèleïS^^Xndré à 100 mètres tus I e ]oin ’ . non seulement par les
rit règne au privée, trouva encore le moyen ^rcl^éS^quSm^ P ou ^nqX
qui a passe la>aller, sans briser le rythme de mes, montre combien le plateau
Sl iî _ r i~ e miv timarades > de vaincre l’èqul- était de qualité. Comme disait Chris-
amante commv,,^^ tian Guilbert : « Ça allait vite au-
TEMPS FROID ET HUMIDE, PISTE LOURDE A JEAN-BOUIN POUR LA JOURNEE INTERNATIONALE CINZAN0...
PAS DE RECORDS! NAIS DES CHAMPIONS :
F1UPUT éclatant COMMUN et REIFF inlinlc..
! k Uomè>denne
ue 25 — total
p Bersoullé. pull ’
Scnirchin dans
loit équiper
ub de Rouen. D:- r-
e pratiquer en*C
ifestée souvent, t
avec le skiff et le dou- (Lire la suite page 7, rubrique Aviron)
SOIR, 16 H., AU PARC DES PRINCES
ru,
jger PIEL, transcendant samedi
nouveau grand favori...
oUer un rôle W .
s l’équipe réseri
Moulonguet, il
premier succès;
rapide, DI Orl#
jas mous la di:
mal Gharbit,
iéfense rouenni
seillais.
fort à fairt
s onze du FC
, l’avant, les ri/.
i^?Si'> d evant R. Le Wzerhy, Mattéoli et Rioland
aines sur la tout t
t. des Bruyères, ** quarts de finale du Championnat de France de poursuite, dispu
lo (1) — Plan#” 1 * 01 après-midi au Parc des Princes, n’apportèrent-aucune surprise
x (3) — CrolU ensemble, les victoires de Piel, Mattéoli R. Le Nizerhv et Rioland
recc^ U, ^) < ^ iq ^ e, ? t prév r* Mais la manière dont chacun? d’elfes Tut
t ? e ^ alt / aire pas mal de points de vue sur le résultat final
vma (d - F» devait être connu hier soir.
» (3) — Latrii ,a PJuie n’ayant pas permis à la réunion dominicale de se dérouler
Bollano «Ï'gÏ» , a 8uit « Page 5. rubr. Cyclisme)
b. : M. Le Me'
i sans MM*
PmTW»» JWQI)EI)R DU TOUR de L’OUEST, AVEC REY POUR SECOND
le n’est pas en
Toulon, que
pe-typè. En effet.;
ne pourra être
>. Heureusement,
î de leader d’a!
r un bon résul!
smplacera Frey/j
érons qu’à cett*
ra l’excellente
l face du Servi
Michel THIERRY.
JANY IRRÉSISTIBLE î
STADE DES TOURELLES. — Cette photo de l’arrivée du Grand
Prix de Paris, gagné pour la sixième fois consécutive (double
record) par Alex Jany, est plus éloquente qu’un discours. Alex touche au but avec près de trois lon
gueurs d’avance sur Larsson. Son temps, 57” 6/10, égale^celui de Kadas, à Budapest.
El Mabrouk remarquable sur 800 m., Hansenne
et Marie les meilleurs Français
mais les Italiens brillants partout *
notamment Leccese et Siddi
Quand à 12 h. 45 la pluie se mit à tomber, tous les amis de l'athlé
tisme se sont dit : « Adieu, veau, vache, cochon... records I ». Ils
avaient raison, bien que la pluie oit cessé vers 15 heures, laissant une
piste lourde et un temps humide et froid, peu propice à la réalisation de
performances de grande classe. Il ne fallait donc s'attendre qu'à des
compétitions animées, mais non point à des exploits chronométriques, bien
que la piste, remarquablement préparée, ait assez bien tenu...
Le temps de Reiff sur 1.500 m. : 5' 52" 6A0, donne le ton, car le
Belge fournit un effort soutenu (il passa d'ailleurs en près de 2' 31" aux
1.000 m.) qui aurait dû, normalement, le conduire à moins de 3’ 48".
Mo’s 2’31", dans
ces circons
tances, équivalaient à 2' 29" par
beau temps., et Reiff ne put soute
nir jusqu’au bout une telle cadence.
Le 4 X 800 mètres
Les dirigeants du Stade Français
hésitèrent longtemps avant de déci
der de la tentative contre le re-
Le Stade Français
tentera le 4x800 m.
...en Italie !
Sans doute le 8 octobre
Il est probable que le Stade
Français tentera une troisième fois
le record de France du 4 x soo mè-
très, en Italie, le 8 octobre pro
chain, sur la fameuse piste des
Arènes de Milan. Il serait opposé
à l’équipe nationale d’Italie. Se
raient du déplacement : Bellegar-
de, Clare, El Mabrouk, Hansenne
et Vernier Jean.
Le 11 octobre, ces athlètes se
produiraient à Brescia et ce se
rait leurs dernières compétitions
de la saison.
tance.
> municipal, B'
arra* (1) — F if
3) — Braun 0
ripostant à toute attaque
$st affirmé routier de premier plan
ThZ liï: èM bretons l es deux dernières victoires d'étape :
- oeiepi; Erussard à Cherbourg et Ruffet à Rennes
ens.
d (1)
dot (3) — Ray*
stroni (8), Lott*
rb a : vogt Pe,laZjn de nos envoyés spéciaux Albert de WETTER)
d'Equiparl REmES __ Faigant jaillir
€ *JT e * ge,heS f eau, nous traversions le petit village"de Caroües,
ipnnetA ."Ü q Y in f P k,lom f tres i Avranches, à cent kilomètres de Ren-
_ sous les
enciennes
LAVILLE
"IuT a son C terrd^* de la Ornière étape du Tour de l'Ouest]
*e- _ „JT' é j> oulant en tête, sous la pluie glaciale qui ne cessait de tomber
fdtrider EquiP^ Ie main * en haut du gnidon, dans son style si personnel,
oste d’arrière, ‘ 1 assin, avec un sourire désabuse, nous lançait alors aue nous
ssise à la déferons à sa hauteur : *
es matches con) , . ,, , . ,
ficiles, Valencie^T c.eite fois, elle est bien « morte » ! »
s°on match n «)ntT” Mt,ie rf en,rer dans les détai ls pour, e xpliquer cette déclaration
b «iilcs/fi • r T(X i,7TL'ITlé(HCltG‘TJlCTlt, ÏÏl&'t'tCl'TL't ’tOll’tP %
Nungesser, vale"** 1 ", apres avoir tout essaye, ses forces dans cette attaaue oui
! Wittowski 'tente, comprenait que ses ef- peut-être, allait lui apporter là
IC (6) k i 5>, Letu U r8 c! é,aient inutiles. Redolfi et réussite. Fol espoir !
- Norwath (7) ne Pouvaient plus être débou- (Lire la suite P a 8 e 3 > rubr - Cyclisme)
, rp E " tr n ; VTpJ 6 des deux Premières places
îet (3) - Beaa [ ' assement général.
; ) Sa ïï!ÎÜ #> fB>. , tej^f ' SÜ i îe ’ ses » etites P°in-
»»• «V Sas? ctssïïk
déjà à cout'avait tente de partir, Redolfi,
c erement accompagné de Kla-
'JjectlJS !, garde du corps parfait reve-
p. part. BERt P.mmedmtement sur lui Parfois
es Biterrois, dentier se joignait à eux -pour
nt d’avoir été "j le neutraliser. Et Rey ne tar
mal accueilli 1 „pas à revenir, lui aussi.
P avec Ss nel ie ;e , . cro « Que je ne parviendrai
b de question, v® cjue .. s acciden-
Béziers ne jk U°us avait dit T assin, de
iffectifs norman* ' lasse.
1 se mettre occasion, justement, se prè
le onze qui à °è
che, d’autant d v J-oifi, à l’entrée de Carolles
,r une récente c un câble de frein. Continuer
Une route glissante, était
:vait sa qualn‘ ( .reCi il préféra changer de
s’arrangeraient L œil f ixé sur le maillot jaune
g mgf f • '« /»*re « lUy.
1 , é t V .™ï n .oi‘ > M
Il y avait presque autant d’eau sur les gradins que dans la piscine les 70 mètres Son adversaire conc
ilier après-midi au stade nautique des Tourelles, où le Grand Prix de nua à lutter mais, contrairement à
Paris et France-Espagne (4x200 m. et water-polo) avalent pourtant ras- la finale de Vienne, il termina ses
semblé un nombre appréciable de spectateurs. Pendant l’hymne espagnol, dix derniers mètres sans forcer,
nous regretterons que quelques-uns (très rares) aient contrevenu aux lois T Plir - tpo-nne • Tanv 57” fi/10-
de l’hospitalité en se livrant à des manifestations politiques absolument L arsson 0 ” 6/10 *'
déplacées dans une arène sportif Le Toulousain, champion d’Eu-
Cependant, peu apres, les passions r0De en 57» 7/10, donne donc sa
s’etant apaisées, le sport reprit sa meilleure réponse au Hongrois Ra-
place et le départ du 100 m. mes- das qui vient d’être sacré chamDion
sieurs comptant pour le Grand Prix de de Hongrie en 57” 6/10 ; ce temps.
Paris s’effectua dans. le plus grand comme celui du Français d’hier
silence. Le .jeune Suédois Larsson se constitue la meilleure performance
présenta décontracté comme à son ^diale de 1 annee en grand bas-
habitude, son regard n’avait rien ' ..
p,*, de son espièglerie, mais puond tSn ShÆ Æ
Jany se mit a 1 eau pour ettectuer j eurs ville de Paris et le vase
une cinquantaine de mètres en sou- de Sèvres. Goeran Larsson pensait
plesse, il ne perdait rien de son ad- déjà à la revanche prévue le 10
versaire. Pour une fois, Alex Jany septembre au Sportpalatz de Stock-
semblait détendu lui aussi, et les holm. Il noue a avoué être un peu
concurrents souriaient encore juste fatigué par son déplacement en
avant le coup de pistolet du starter, apres vienne
ce qui est rare * Dimanche prochain, je serai re-
ri Posé et ferai certainement meilleure
Lé depait s effectua avec un en- f)gr ure devant mes compatriotes ;
semble parfait et quoique le Sue- mais la course sera dure pour moi
dois glissa-légèrement sur le carre- car Jany reste très fort dans les
lage mouillé, il ressortit en même grands bassins de cinquante mè-
tempg que Jany après sa coulée. Le très.»
reste de la course se déroula cotn- Ea leçon «e l ienne
me nous l’avions prévu et répéta avait profilé à la France
dans son ensemble celle que nous Pour le match France-Espagne,
avions vue quelques jours auoara- nous ne cacherons pas que les rê
vant à Vienne. Larsson vire cette présentants ibériques nous ont un
fols en même temps que Jany P eu déçus, tant au relais 4 x 200
(27” 3/10 aux 50 m.), mais le Fràii- 9 u .’ au Ils OIVt P° urtai y t
' . a leur décharge des excuses, dont la
çais piend 1 avantage immédiate- température, très fraîche même
ment apres. Le Suédois lutte à ses p 0u j- des Français, n’est pas des
côtés, piochant l’eau avec énergie. „ ' nurrircMir
Il ne put rien cependant contre un Georges UUtHliSiifc.
Jany confiant, qui se détacha dé« (Lire la suite p. 6, rubrique Natation)
MALGRE PLUIE ET FROID AUX TOURELLES
A. JANY, ÉTONNANT D'AISANCE
57" 6170 au 100 mètres
meilleur temps mondial de l’année
gagné par 3" d avance son sixième Grand Prix de Paris !
Les Espagnols, trop jeunes, dominés en water-polo î 2-8 — Magnifique
dead-heat sur 200 brasse dames Raymonde Yergauwen - Lies Bonnier !
A la lumière de cet événement, cord du monde des 4X800 m. sa
une performance ressort parmi tou- clian t bien qu’elle ne pouvait réus-
î-, : “»• A tJ"V«\î U 4 °°- ha1 ^ - lendemain e mais ,ï ASTIS
Le temps de 52 4/10 hier après-midi venu nombreux, malgré la pluie, et
prouve bien que l’Italien a dans les V ien n’autorisait à penser que les
jambes le record d’Europe de la dis- circonstances seraient meilleures le
lendemain.
Les quatre athlètes s’alignèrent
donc, armés de leur seule conviction
et sans une grosse erreur de train
de Bellegarde ils auraient cette fois
encore approché le record mondial.
L’on doit considérer que chaque
coureur perdait en raison du froid
et de la lourdeur de la piste de 1”
à 1” 5/10 chacun... Si l’on chiffre
à 3” l’effet du départ trop rapide
de Bellegarde il n’est pas exagéré
de prétendre que ce n’est pas 7’ 27”
ou 7’ 28” que doit réussir S.F. dans
les meilleures circonstances, mais
plutôt T 25”.
En effet, El Mabrouk a fait étala
ge d’UNE FORME QU’IL N’A JA
MAIS CONNUE JUSQU’ICI en cou
rant la distance lancé en l’51”2/10
mais après avoir commis lui aussi
Jany ne doit- pas
abandonner la natation
pour le water-polo
Jusqu’à la dernière minute on ne
connaissait pas la composition de
l’équipe de France de water-polo
parce que l’incorporation de Jany
fut discutée avec âpreté.
Le Toulousain obtint finalement
gain de cause. Nous estimons que
l’on a bien fait, surtout devant
une équipe rapide comme celle
que présentent les Espagnols ET
PARCE QUE NOUS SOMMES EN
FIN DE SAISON, car autrement
si Jany veut conserver sa supré
matie en sprint il ne peut se payer
le luxe de courir deux lièvres à la
fois. Surtout qu’à Toulouse il n’a
aucune possibilité d’entraînement
en water-polo.
A côté des représentant» de la
F.F.A., de la L.I.F.A., de l’I.N.S. et
de la direction générale, de la mai
son < Cinzano », on remarquait,
dans la tribune officielle, le géné
ral Devinck, commandant la 1 r « Ré
gion militaire.
l’erreur de partir trop vite (il fut
chronométré en 52” 5/10 aux 400 m.
au lieu de 54” prévu)... Et ceci in
dique que le jeune Nord-Africain
sera très bientôt en meeure d’ap
procher 1’ 50” sur la distance.
De son côté Hansenne qui partait
en dernier lieu n’eut pas à forcer
Gaston MEYER.
(Lire la suite page 6, rubr. Athlétisme)
Georges PEETERS
câble de New-York
J'ai vu
un La Motta
nouveau...
...DEJA EN FORME
ET DIRIGEANT SEUL
SON ENTRAINEMENT
(De notre envoyé spécial)
NEW-YORK. — Si le style, comme
l’a dit Buffon, est l’homme même,
Jake La Motta n’est plus le même
homme. C’est l’essentielle constatation
que nous avons pu faire en ayant la
chance d’assister, quelques heures
avant son départ pour Detroit, au
dernier entraînement, à New-York, du
champion du monde des poids moyens.
Ce titre mondial, qu’une stupide
blessure, puis la tragique disparition
(Lire la suite page 2, rubrique Boxe)
CLASSEMENT GENERAL
FINAL
1, Attilio REDOLFI, 52 h. 15’ 52”
(moy. générale : 35 km. 157) ; 2. Rey.
52 h. 19’ 50”, tous deux sur bic de
fabrication Mercier, pn. Hutchinson ;
3, Tassin, 52 h. 21’ 1” ; 4. Audaire,
52 h. 21’ 9” j 5. Mahé, 52 h. 23’ 22” ;
6. Contarin, 52 h. 24’ 47” ; 7. Morvan
52 h. 25’ 29” j 8. Ruffet. 52 h. 25’ 46” ;
9. Buchonnet, 52 h. 26’ 37” ; 10 Mal-
léjac, 52 h. 27’ 32” ; 11. Quentin,
52 h. 27’ 42” ; 12. Klabinski, 52 h.
27’ 43” ; 13. Muller, 52 h, 28’ 13” ;
14. Bertho, 52 h. 29’ 6” ; 15. Cléram-
bosq, 52 h. 29’ 48” ; 16. Nédellec,
52 h. 30’ 3” ; 17. Vitteta. 52 h. 32’
48” 18. Erussard, 52 h. 35’ 59” ; 19.
Carpentier, 52 h. 37’ ; 20. Scardin,
52 h. 39’ 55’ ; 21. Godey, 52 h. 41’ ;
22. Le Strat, 52 h. 41’ 17” ; 23. Gllle,
52 h. 43’ 34” ; 24. Cassagne, 52 h. 45’
35” ; 25. Mercier, 53 h. 4’ 24” ; 28.
Cieleska, 53 h. 11’ 18” ; 27. M«l. 53 h.
11’ 39” ; 28. Forlini, 53 h. 12’ 39” ;
29. Lepëcheur, 53 h. 21’ 2” ; 30. Sohler,
53 h. 32’ 28” ; 31. Outrequin, 53 h.
46’ 21”.
ENORME SUCCES DE LA « POLY » LYONNAISE
Le jeune SABBADINI réalise
un exploit sur le dernier tour !
Héros de la fête , les dérailleurs Le Simplex
et Cyclo se partagent les lauriers
(De notre envoyé spécial Claude TILLET)
attaque qui P* e , .
r l’entente __ _
endront évident •s**#/ vrai que :
i
des SaucMèreSi
ibes G) — Bri*
cudié (3) — M«J'(
ilabert (8), KreéU
PlSV
Hères (9),
ifl
nmuiler (1) -7, ,
(5), Deligny OjÆ
aris (6) — S 1 ’
Tolland (7),
îtr.
" A BON VIN
POINT D'ENSEIGNE"?
Helsser* r
QdP'jtyllllllllllllllllllllU
IU1| llllllllllllllllllltllllllll|||||||||||| 1 , m||||1
(Voir la dernière page) =
iiniiimiiiiiujiiiiiuüuiftiiiiiR
LYON. — La « Poly » lyonnaise,
dont le succès fut une fois de plus
considérable en dépit d’un temps
lort douteux, a été dominée par l’ex
ploit remarquable de Tino Sabba-
dini. le jeune crack de Terrot-Hut-
chinson, qui a finalement inscrit
son nom au palmarès de l'épreuve.
Au début du dernier tour, Sabba-
dini, appartenant à un groupe d’une
douzaine d'hommes qui passaient
avec 43” de retard sur 4 fuyards.
(Lire la suite page 4, rubr. Cyclisme)
VAINQUEUR DU GRAND PRIX D’ITALIE A MILAN
FARINA CHAMPION DU MONDE
des conducteurs d’automobiles de course !
FIROUD DÉÇU
j NIMES. — Depoorter (Bordeaux) au centre, s’est saisi de la balle. Il la
• tient bien. La lui ravir parait impossible. Firoud (Nîmes), à gauche,- s’en
est rendu compte. Il a stoppé son effort, s’est à moitié retourné et paraît déçu. Mustapha (Bordeaux,
maillot à chevron) et Campo (Nim.es) paraissent assez... détachés.
Fahgio a dû abandonner
Débuts prometteurs de la 4 litres 500 Ferrari
(De notre envoyé spécial Charles FAROUX)
MILAN. — A Farina et à Alfa-Romeo ie Championnat du monde
1950. Et Fangio, demande-t-on ? Hélas ! L'Argentin fut toujours égal à
lui-même et aura eu cette consolation d’établir, à la moyenne de 189
kilomètres, un record du tour qui ne sera pas facile à battre. Mais la
mécanique lui fut infidèle, et même doublement infidèle, puisque, ayant
pris la voiture de Taruffi après avoir dû abandonner la sienne, le mal
heureux Fangjo connaissait la même panne vingt kilomètres plus loin :
une rupture de soupape.
En tout état de cause, Farina, je le crois fermement, eût gagné. Il
était dans un grand jour et a prou
vé, en dehors de sa virtuosité, une
belle science tactique.
Quand il eut doublé tout le
monde, sauf son camarade Fagioli
et Ascari, qui avait relayé Serafini
il demeura sagement derrière eux
et sut ne plus prendre aucun risque
Il pouvait aller plus vite, il pou
vait battre le record de la moyenne
de Wimille. Mais il visait mieux
le Championnat du monde 1950 avec
la victoire. Son nom devait être
au palmarès. Fangio n’a pas démé
rlté : il aura sa revanche.
. Si les Alfa-Romeo ont été admira
bles, comme toujours, le principal
fait de la journée est l’apparition
des nouvelles 4 1. 500 Ferrari, sur
lesquelles le' constructeur peut bâtir
de brillants et solides espoirs.
Ascari, tant qu’il fut en course,
demeura sans difficulté dans la
roue de Farina. Ayant dû abandon
ner — soupape — il relaya, sur la
seconde voiture, Serafini qui était
moins bien placé que lui. A partir
de ce moment, non seulement U ne
perdit plus rien sur Fagioli et Fa
rina, mais 11 leur prit meme du ter
rain. __ C’est un magnifique succès
pour 'le pilote et surtout pour le
constructeur.
Enzo Ferrari a eu le rare mérite
d’établir, en moins de quatre ans.
quatre types de voitures, tous re
marquables. Il aura prouvé que le
handicap est bon, actuellement, en
tre voitures suralimentées ou non
et, avec quelques mises au point,
Ferrari, des à présent, s’annonce
jour 1951 comme le digne rival de
’Alfa-Romeo. Et nous avons de
rudes batailles en perspective.
LE CLASSEMENT
1. Giuseppe Farina (Alfa-Romeo, pn.
Pirelli), 80 tours, soit 504 km. en 2 h.
5t’ 17” 2/5, moyenne : 176 km. 542.
2. Alberto Ascari-Dorino Serafini
(Ferrari), 80 tours en 2 h. 52’ 36”.
3. Luigi Fagioli (Alfa-Romeo), 80
tours en 2 h. 52’ 53”.
4. Louis Rosier (Taibot), 75 tours
en 2 h. 52’ 33” 1/5.
5. Philippe Etancelin (Talbot), 78
tours en 2 h. 53’.
6. Emmanuel de Graffenried (Mase-
rati), 72 tours en 2 h. 51’ 53” 1/5.
7. P.N. Whitehead (Ferrari), 72 tours
en 2 h. 53’ 2” 4/5.
(Belinogramme L’EQUIPE)
(Lire la 6Uite p. 2, rubr. Automobile)
comment rester
toujours
Lisez donc
"PAS DE LIMITE A
VOTRE JEUNESSE"
par Daniel $Ü/jA N G
dans le numéro de
Septembr gifd e t
La Revue qui n'a besoin
d'imiter personne pour
fifre bien française I
LE FOOTBALL EST
EN PAGES 7 ET 8
SEPTEMBRE 1950
N* 1372
10, Fg MONTMARTRE, PARIS (9*)
TAITBOUT 70-80 ET LA SUITE
PETITES ANNONCES : TAITBOUT 73-40, 41, 42
SERVICE VENTE : PROVENCE 37-18
COMPTE POSTAL : 4.237-93
NITROLAC
ç °ff re gratuitement une bicyclette grand luxe au porteur
du Dépliant TOUR DE FRANCE n * 8A32
lune boite d'émail Vélo-Moto à chacun des porteurs des n°® :
379 — 1.519 — 2.428 — 2.613
$8.357 — 8.424 — 12.006 — 13.503
6.329 — 7.202
14.215 — 14.738
Les bénéficiaires devront se faire connaître par lettre
adressée a L'EQUIPE avant la date limite du 30’septembre 1950.
r (2 e journée
• CANNES (1) I
3 (1) - Metz ( 1)1
- Lyon (1) I
Marseille II (1)
Amiens (11)
> - ALES (1)
■ Monaco (9)
■S (9) - Angers i
1) • Toulon (il)
Nantes compi
z Ferrier-Van i
urer une pn
ES RAMEURS DANOIS BRILLANTS “FINISSEURS” MENACENT
LA SUPREMATIE ITALIENNE
Butel, Nosbaum et Martin émergent
une équipe française amputée de ses
moyens matériels
ommencé la
à Vextérieur
confirmer ce
jens des Ami
lez eux par },
Ils n’ont toi
I ritable leader
lutions de f%
Gouillard au
ne sont pas
affaires amie
oin d’une ré i
désastre de Ci
; de taille à
î de Rummel]
? auront pli
les Bisontins,
assurer un pr- V:
enciennoi,, a, 'un de nos envoyés spéciaux Maurice MAUREL)
: plus mauvm
e S i ai onze d de ^ILAN. — L’Idroscale de Milan vient d être rendue
’.unesse des re> amateurs de ski nautique qui gillonnent déjà les belles
tes d’eau où, ces jours dernierg, s’affrontaient les meil-
de MERCADlpg Européens dans le plus amateur des sports. Les pavil-
s pendent dans un soir sans brise.
UloUWS Les spectateurs italiens se retirent, extériorisant, par
« , verbe et des gestes également élevés, la joie que leur
nCildll^Csent deux nouveaux titres de champions d’Europe. Ils
ieorges BUS' 26.000 à venir, malgré la concurrence de Monza,
tenir les rameurs azzurri : la nouvelle Ferrari n’a pas
; supporters e j?®ché les Italiens d’applaudir la puissance mécanique du
te face à Metuit » de Varèse. ble seuil, trois premières places
division. lle ressort-il de ces trois jour- pour le Danemark, deux pour l’Ita-
sst à croire qi gur j e p] an international ? La lie (2 barré et 8) et une pour la
le Grucha.lL i ** .. a , 7 L ., , . de la sixième course qui sera dis-
U ' 1 avait ec at , e an dernier a p U tée demain lundi à 10 heures (la
ze rouenncterdam, est serieusement me- disqualification de la Yougoslavie
miste e par le Danemark, dont les obligeant à recourir l’épreuve),
part. Jean RAVfens sont moins puissants, mais décidera donc de l’attribution de la
victoire à Ami! les représentants ont prou- Goupe Glandaz et de la suprématie
fu ai sUde tr d S e S î B»« foi. de plus, qu’ils ne e ^opeenn e 1950.
nris^d'assaut niaient iamais vaincus Du cote s P ortif > le spectacle a été
match officl Jamais vaincus. de choix et leg luttes empoignantes,
îles Rouges x sJ t aln si que les Nordiques ont Le temps était, certes, favorable.
"té certaines courses « à la mais le fait que tous les records du
ent un entrait » ; je pense à cette arrivée h ass i n , établis dans les champion-
li des années P'miatrp hm-ré » nù îo a rtpiiv » nat6 d’Europe de 1938 aient été bat-
tise leurs fidèleïS^^Xndré à 100 mètres tus I e ]oin ’ . non seulement par les
rit règne au privée, trouva encore le moyen ^rcl^éS^quSm^ P ou ^nqX
qui a passe la>aller, sans briser le rythme de mes, montre combien le plateau
Sl iî _ r i~ e miv timarades > de vaincre l’èqul- était de qualité. Comme disait Chris-
amante commv,,^^ tian Guilbert : « Ça allait vite au-
TEMPS FROID ET HUMIDE, PISTE LOURDE A JEAN-BOUIN POUR LA JOURNEE INTERNATIONALE CINZAN0...
PAS DE RECORDS! NAIS DES CHAMPIONS :
F1UPUT éclatant COMMUN et REIFF inlinlc..
! k Uomè>denne
ue 25 — total
p Bersoullé. pull ’
Scnirchin dans
loit équiper
ub de Rouen. D:- r-
e pratiquer en*C
ifestée souvent, t
avec le skiff et le dou- (Lire la suite page 7, rubrique Aviron)
SOIR, 16 H., AU PARC DES PRINCES
ru,
jger PIEL, transcendant samedi
nouveau grand favori...
oUer un rôle W .
s l’équipe réseri
Moulonguet, il
premier succès;
rapide, DI Orl#
jas mous la di:
mal Gharbit,
iéfense rouenni
seillais.
fort à fairt
s onze du FC
, l’avant, les ri/.
i^?Si'> d evant R. Le Wzerhy, Mattéoli et Rioland
aines sur la tout t
t. des Bruyères, ** quarts de finale du Championnat de France de poursuite, dispu
lo (1) — Plan#” 1 * 01 après-midi au Parc des Princes, n’apportèrent-aucune surprise
x (3) — CrolU ensemble, les victoires de Piel, Mattéoli R. Le Nizerhv et Rioland
recc^ U, ^) < ^ iq ^ e, ? t prév r* Mais la manière dont chacun? d’elfes Tut
t ? e ^ alt / aire pas mal de points de vue sur le résultat final
vma (d - F» devait être connu hier soir.
» (3) — Latrii ,a PJuie n’ayant pas permis à la réunion dominicale de se dérouler
Bollano «Ï'gÏ» , a 8uit « Page 5. rubr. Cyclisme)
b. : M. Le Me'
i sans MM*
PmTW»» JWQI)EI)R DU TOUR de L’OUEST, AVEC REY POUR SECOND
le n’est pas en
Toulon, que
pe-typè. En effet.;
ne pourra être
>. Heureusement,
î de leader d’a!
r un bon résul!
smplacera Frey/j
érons qu’à cett*
ra l’excellente
l face du Servi
Michel THIERRY.
JANY IRRÉSISTIBLE î
STADE DES TOURELLES. — Cette photo de l’arrivée du Grand
Prix de Paris, gagné pour la sixième fois consécutive (double
record) par Alex Jany, est plus éloquente qu’un discours. Alex touche au but avec près de trois lon
gueurs d’avance sur Larsson. Son temps, 57” 6/10, égale^celui de Kadas, à Budapest.
El Mabrouk remarquable sur 800 m., Hansenne
et Marie les meilleurs Français
mais les Italiens brillants partout *
notamment Leccese et Siddi
Quand à 12 h. 45 la pluie se mit à tomber, tous les amis de l'athlé
tisme se sont dit : « Adieu, veau, vache, cochon... records I ». Ils
avaient raison, bien que la pluie oit cessé vers 15 heures, laissant une
piste lourde et un temps humide et froid, peu propice à la réalisation de
performances de grande classe. Il ne fallait donc s'attendre qu'à des
compétitions animées, mais non point à des exploits chronométriques, bien
que la piste, remarquablement préparée, ait assez bien tenu...
Le temps de Reiff sur 1.500 m. : 5' 52" 6A0, donne le ton, car le
Belge fournit un effort soutenu (il passa d'ailleurs en près de 2' 31" aux
1.000 m.) qui aurait dû, normalement, le conduire à moins de 3’ 48".
Mo’s 2’31", dans
ces circons
tances, équivalaient à 2' 29" par
beau temps., et Reiff ne put soute
nir jusqu’au bout une telle cadence.
Le 4 X 800 mètres
Les dirigeants du Stade Français
hésitèrent longtemps avant de déci
der de la tentative contre le re-
Le Stade Français
tentera le 4x800 m.
...en Italie !
Sans doute le 8 octobre
Il est probable que le Stade
Français tentera une troisième fois
le record de France du 4 x soo mè-
très, en Italie, le 8 octobre pro
chain, sur la fameuse piste des
Arènes de Milan. Il serait opposé
à l’équipe nationale d’Italie. Se
raient du déplacement : Bellegar-
de, Clare, El Mabrouk, Hansenne
et Vernier Jean.
Le 11 octobre, ces athlètes se
produiraient à Brescia et ce se
rait leurs dernières compétitions
de la saison.
tance.
> municipal, B'
arra* (1) — F if
3) — Braun 0
ripostant à toute attaque
$st affirmé routier de premier plan
ThZ liï: èM bretons l es deux dernières victoires d'étape :
- oeiepi; Erussard à Cherbourg et Ruffet à Rennes
ens.
d (1)
dot (3) — Ray*
stroni (8), Lott*
rb a : vogt Pe,laZjn de nos envoyés spéciaux Albert de WETTER)
d'Equiparl REmES __ Faigant jaillir
€ *JT e * ge,heS f eau, nous traversions le petit village"de Caroües,
ipnnetA ."Ü q Y in f P k,lom f tres i Avranches, à cent kilomètres de Ren-
_ sous les
enciennes
LAVILLE
"IuT a son C terrd^* de la Ornière étape du Tour de l'Ouest]
*e- _ „JT' é j> oulant en tête, sous la pluie glaciale qui ne cessait de tomber
fdtrider EquiP^ Ie main * en haut du gnidon, dans son style si personnel,
oste d’arrière, ‘ 1 assin, avec un sourire désabuse, nous lançait alors aue nous
ssise à la déferons à sa hauteur : *
es matches con) , . ,, , . ,
ficiles, Valencie^T c.eite fois, elle est bien « morte » ! »
s°on match n «)ntT” Mt,ie rf en,rer dans les détai ls pour, e xpliquer cette déclaration
b «iilcs/fi • r T(X i,7TL'ITlé(HCltG‘TJlCTlt, ÏÏl&'t'tCl'TL't ’tOll’tP %
Nungesser, vale"** 1 ", apres avoir tout essaye, ses forces dans cette attaaue oui
! Wittowski 'tente, comprenait que ses ef- peut-être, allait lui apporter là
IC (6) k i 5>, Letu U r8 c! é,aient inutiles. Redolfi et réussite. Fol espoir !
- Norwath (7) ne Pouvaient plus être débou- (Lire la suite P a 8 e 3 > rubr - Cyclisme)
, rp E " tr n ; VTpJ 6 des deux Premières places
îet (3) - Beaa [ ' assement général.
; ) Sa ïï!ÎÜ #> fB>. , tej^f ' SÜ i îe ’ ses » etites P°in-
»»• «V Sas? ctssïïk
déjà à cout'avait tente de partir, Redolfi,
c erement accompagné de Kla-
'JjectlJS !, garde du corps parfait reve-
p. part. BERt P.mmedmtement sur lui Parfois
es Biterrois, dentier se joignait à eux -pour
nt d’avoir été "j le neutraliser. Et Rey ne tar
mal accueilli 1 „pas à revenir, lui aussi.
P avec Ss nel ie ;e , . cro « Que je ne parviendrai
b de question, v® cjue .. s acciden-
Béziers ne jk U°us avait dit T assin, de
iffectifs norman* ' lasse.
1 se mettre occasion, justement, se prè
le onze qui à °è
che, d’autant d v J-oifi, à l’entrée de Carolles
,r une récente c un câble de frein. Continuer
Une route glissante, était
:vait sa qualn‘ ( .reCi il préféra changer de
s’arrangeraient L œil f ixé sur le maillot jaune
g mgf f • '« /»*re « lUy.
1 , é t V .™ï n .oi‘ > M
Il y avait presque autant d’eau sur les gradins que dans la piscine les 70 mètres Son adversaire conc
ilier après-midi au stade nautique des Tourelles, où le Grand Prix de nua à lutter mais, contrairement à
Paris et France-Espagne (4x200 m. et water-polo) avalent pourtant ras- la finale de Vienne, il termina ses
semblé un nombre appréciable de spectateurs. Pendant l’hymne espagnol, dix derniers mètres sans forcer,
nous regretterons que quelques-uns (très rares) aient contrevenu aux lois T Plir - tpo-nne • Tanv 57” fi/10-
de l’hospitalité en se livrant à des manifestations politiques absolument L arsson 0 ” 6/10 *'
déplacées dans une arène sportif Le Toulousain, champion d’Eu-
Cependant, peu apres, les passions r0De en 57» 7/10, donne donc sa
s’etant apaisées, le sport reprit sa meilleure réponse au Hongrois Ra-
place et le départ du 100 m. mes- das qui vient d’être sacré chamDion
sieurs comptant pour le Grand Prix de de Hongrie en 57” 6/10 ; ce temps.
Paris s’effectua dans. le plus grand comme celui du Français d’hier
silence. Le .jeune Suédois Larsson se constitue la meilleure performance
présenta décontracté comme à son ^diale de 1 annee en grand bas-
habitude, son regard n’avait rien ' ..
p,*, de son espièglerie, mais puond tSn ShÆ Æ
Jany se mit a 1 eau pour ettectuer j eurs ville de Paris et le vase
une cinquantaine de mètres en sou- de Sèvres. Goeran Larsson pensait
plesse, il ne perdait rien de son ad- déjà à la revanche prévue le 10
versaire. Pour une fois, Alex Jany septembre au Sportpalatz de Stock-
semblait détendu lui aussi, et les holm. Il noue a avoué être un peu
concurrents souriaient encore juste fatigué par son déplacement en
avant le coup de pistolet du starter, apres vienne
ce qui est rare * Dimanche prochain, je serai re-
ri Posé et ferai certainement meilleure
Lé depait s effectua avec un en- f)gr ure devant mes compatriotes ;
semble parfait et quoique le Sue- mais la course sera dure pour moi
dois glissa-légèrement sur le carre- car Jany reste très fort dans les
lage mouillé, il ressortit en même grands bassins de cinquante mè-
tempg que Jany après sa coulée. Le très.»
reste de la course se déroula cotn- Ea leçon «e l ienne
me nous l’avions prévu et répéta avait profilé à la France
dans son ensemble celle que nous Pour le match France-Espagne,
avions vue quelques jours auoara- nous ne cacherons pas que les rê
vant à Vienne. Larsson vire cette présentants ibériques nous ont un
fols en même temps que Jany P eu déçus, tant au relais 4 x 200
(27” 3/10 aux 50 m.), mais le Fràii- 9 u .’ au Ils OIVt P° urtai y t
' . a leur décharge des excuses, dont la
çais piend 1 avantage immédiate- température, très fraîche même
ment apres. Le Suédois lutte à ses p 0u j- des Français, n’est pas des
côtés, piochant l’eau avec énergie. „ ' nurrircMir
Il ne put rien cependant contre un Georges UUtHliSiifc.
Jany confiant, qui se détacha dé« (Lire la suite p. 6, rubrique Natation)
MALGRE PLUIE ET FROID AUX TOURELLES
A. JANY, ÉTONNANT D'AISANCE
57" 6170 au 100 mètres
meilleur temps mondial de l’année
gagné par 3" d avance son sixième Grand Prix de Paris !
Les Espagnols, trop jeunes, dominés en water-polo î 2-8 — Magnifique
dead-heat sur 200 brasse dames Raymonde Yergauwen - Lies Bonnier !
A la lumière de cet événement, cord du monde des 4X800 m. sa
une performance ressort parmi tou- clian t bien qu’elle ne pouvait réus-
î-, : “»• A tJ"V«\î U 4 °°- ha1 ^ - lendemain e mais ,ï ASTIS
Le temps de 52 4/10 hier après-midi venu nombreux, malgré la pluie, et
prouve bien que l’Italien a dans les V ien n’autorisait à penser que les
jambes le record d’Europe de la dis- circonstances seraient meilleures le
lendemain.
Les quatre athlètes s’alignèrent
donc, armés de leur seule conviction
et sans une grosse erreur de train
de Bellegarde ils auraient cette fois
encore approché le record mondial.
L’on doit considérer que chaque
coureur perdait en raison du froid
et de la lourdeur de la piste de 1”
à 1” 5/10 chacun... Si l’on chiffre
à 3” l’effet du départ trop rapide
de Bellegarde il n’est pas exagéré
de prétendre que ce n’est pas 7’ 27”
ou 7’ 28” que doit réussir S.F. dans
les meilleures circonstances, mais
plutôt T 25”.
En effet, El Mabrouk a fait étala
ge d’UNE FORME QU’IL N’A JA
MAIS CONNUE JUSQU’ICI en cou
rant la distance lancé en l’51”2/10
mais après avoir commis lui aussi
Jany ne doit- pas
abandonner la natation
pour le water-polo
Jusqu’à la dernière minute on ne
connaissait pas la composition de
l’équipe de France de water-polo
parce que l’incorporation de Jany
fut discutée avec âpreté.
Le Toulousain obtint finalement
gain de cause. Nous estimons que
l’on a bien fait, surtout devant
une équipe rapide comme celle
que présentent les Espagnols ET
PARCE QUE NOUS SOMMES EN
FIN DE SAISON, car autrement
si Jany veut conserver sa supré
matie en sprint il ne peut se payer
le luxe de courir deux lièvres à la
fois. Surtout qu’à Toulouse il n’a
aucune possibilité d’entraînement
en water-polo.
A côté des représentant» de la
F.F.A., de la L.I.F.A., de l’I.N.S. et
de la direction générale, de la mai
son < Cinzano », on remarquait,
dans la tribune officielle, le géné
ral Devinck, commandant la 1 r « Ré
gion militaire.
l’erreur de partir trop vite (il fut
chronométré en 52” 5/10 aux 400 m.
au lieu de 54” prévu)... Et ceci in
dique que le jeune Nord-Africain
sera très bientôt en meeure d’ap
procher 1’ 50” sur la distance.
De son côté Hansenne qui partait
en dernier lieu n’eut pas à forcer
Gaston MEYER.
(Lire la suite page 6, rubr. Athlétisme)
Georges PEETERS
câble de New-York
J'ai vu
un La Motta
nouveau...
...DEJA EN FORME
ET DIRIGEANT SEUL
SON ENTRAINEMENT
(De notre envoyé spécial)
NEW-YORK. — Si le style, comme
l’a dit Buffon, est l’homme même,
Jake La Motta n’est plus le même
homme. C’est l’essentielle constatation
que nous avons pu faire en ayant la
chance d’assister, quelques heures
avant son départ pour Detroit, au
dernier entraînement, à New-York, du
champion du monde des poids moyens.
Ce titre mondial, qu’une stupide
blessure, puis la tragique disparition
(Lire la suite page 2, rubrique Boxe)
CLASSEMENT GENERAL
FINAL
1, Attilio REDOLFI, 52 h. 15’ 52”
(moy. générale : 35 km. 157) ; 2. Rey.
52 h. 19’ 50”, tous deux sur bic de
fabrication Mercier, pn. Hutchinson ;
3, Tassin, 52 h. 21’ 1” ; 4. Audaire,
52 h. 21’ 9” j 5. Mahé, 52 h. 23’ 22” ;
6. Contarin, 52 h. 24’ 47” ; 7. Morvan
52 h. 25’ 29” j 8. Ruffet. 52 h. 25’ 46” ;
9. Buchonnet, 52 h. 26’ 37” ; 10 Mal-
léjac, 52 h. 27’ 32” ; 11. Quentin,
52 h. 27’ 42” ; 12. Klabinski, 52 h.
27’ 43” ; 13. Muller, 52 h, 28’ 13” ;
14. Bertho, 52 h. 29’ 6” ; 15. Cléram-
bosq, 52 h. 29’ 48” ; 16. Nédellec,
52 h. 30’ 3” ; 17. Vitteta. 52 h. 32’
48” 18. Erussard, 52 h. 35’ 59” ; 19.
Carpentier, 52 h. 37’ ; 20. Scardin,
52 h. 39’ 55’ ; 21. Godey, 52 h. 41’ ;
22. Le Strat, 52 h. 41’ 17” ; 23. Gllle,
52 h. 43’ 34” ; 24. Cassagne, 52 h. 45’
35” ; 25. Mercier, 53 h. 4’ 24” ; 28.
Cieleska, 53 h. 11’ 18” ; 27. M«l. 53 h.
11’ 39” ; 28. Forlini, 53 h. 12’ 39” ;
29. Lepëcheur, 53 h. 21’ 2” ; 30. Sohler,
53 h. 32’ 28” ; 31. Outrequin, 53 h.
46’ 21”.
ENORME SUCCES DE LA « POLY » LYONNAISE
Le jeune SABBADINI réalise
un exploit sur le dernier tour !
Héros de la fête , les dérailleurs Le Simplex
et Cyclo se partagent les lauriers
(De notre envoyé spécial Claude TILLET)
attaque qui P* e , .
r l’entente __ _
endront évident •s**#/ vrai que :
i
des SaucMèreSi
ibes G) — Bri*
cudié (3) — M«J'(
ilabert (8), KreéU
PlSV
Hères (9),
ifl
nmuiler (1) -7, ,
(5), Deligny OjÆ
aris (6) — S 1 ’
Tolland (7),
îtr.
" A BON VIN
POINT D'ENSEIGNE"?
Helsser* r
QdP'jtyllllllllllllllllllllU
IU1| llllllllllllllllllltllllllll|||||||||||| 1 , m||||1
(Voir la dernière page) =
iiniiimiiiiiujiiiiiuüuiftiiiiiR
LYON. — La « Poly » lyonnaise,
dont le succès fut une fois de plus
considérable en dépit d’un temps
lort douteux, a été dominée par l’ex
ploit remarquable de Tino Sabba-
dini. le jeune crack de Terrot-Hut-
chinson, qui a finalement inscrit
son nom au palmarès de l'épreuve.
Au début du dernier tour, Sabba-
dini, appartenant à un groupe d’une
douzaine d'hommes qui passaient
avec 43” de retard sur 4 fuyards.
(Lire la suite page 4, rubr. Cyclisme)
VAINQUEUR DU GRAND PRIX D’ITALIE A MILAN
FARINA CHAMPION DU MONDE
des conducteurs d’automobiles de course !
FIROUD DÉÇU
j NIMES. — Depoorter (Bordeaux) au centre, s’est saisi de la balle. Il la
• tient bien. La lui ravir parait impossible. Firoud (Nîmes), à gauche,- s’en
est rendu compte. Il a stoppé son effort, s’est à moitié retourné et paraît déçu. Mustapha (Bordeaux,
maillot à chevron) et Campo (Nim.es) paraissent assez... détachés.
Fahgio a dû abandonner
Débuts prometteurs de la 4 litres 500 Ferrari
(De notre envoyé spécial Charles FAROUX)
MILAN. — A Farina et à Alfa-Romeo ie Championnat du monde
1950. Et Fangio, demande-t-on ? Hélas ! L'Argentin fut toujours égal à
lui-même et aura eu cette consolation d’établir, à la moyenne de 189
kilomètres, un record du tour qui ne sera pas facile à battre. Mais la
mécanique lui fut infidèle, et même doublement infidèle, puisque, ayant
pris la voiture de Taruffi après avoir dû abandonner la sienne, le mal
heureux Fangjo connaissait la même panne vingt kilomètres plus loin :
une rupture de soupape.
En tout état de cause, Farina, je le crois fermement, eût gagné. Il
était dans un grand jour et a prou
vé, en dehors de sa virtuosité, une
belle science tactique.
Quand il eut doublé tout le
monde, sauf son camarade Fagioli
et Ascari, qui avait relayé Serafini
il demeura sagement derrière eux
et sut ne plus prendre aucun risque
Il pouvait aller plus vite, il pou
vait battre le record de la moyenne
de Wimille. Mais il visait mieux
le Championnat du monde 1950 avec
la victoire. Son nom devait être
au palmarès. Fangio n’a pas démé
rlté : il aura sa revanche.
. Si les Alfa-Romeo ont été admira
bles, comme toujours, le principal
fait de la journée est l’apparition
des nouvelles 4 1. 500 Ferrari, sur
lesquelles le' constructeur peut bâtir
de brillants et solides espoirs.
Ascari, tant qu’il fut en course,
demeura sans difficulté dans la
roue de Farina. Ayant dû abandon
ner — soupape — il relaya, sur la
seconde voiture, Serafini qui était
moins bien placé que lui. A partir
de ce moment, non seulement U ne
perdit plus rien sur Fagioli et Fa
rina, mais 11 leur prit meme du ter
rain. __ C’est un magnifique succès
pour 'le pilote et surtout pour le
constructeur.
Enzo Ferrari a eu le rare mérite
d’établir, en moins de quatre ans.
quatre types de voitures, tous re
marquables. Il aura prouvé que le
handicap est bon, actuellement, en
tre voitures suralimentées ou non
et, avec quelques mises au point,
Ferrari, des à présent, s’annonce
jour 1951 comme le digne rival de
’Alfa-Romeo. Et nous avons de
rudes batailles en perspective.
LE CLASSEMENT
1. Giuseppe Farina (Alfa-Romeo, pn.
Pirelli), 80 tours, soit 504 km. en 2 h.
5t’ 17” 2/5, moyenne : 176 km. 542.
2. Alberto Ascari-Dorino Serafini
(Ferrari), 80 tours en 2 h. 52’ 36”.
3. Luigi Fagioli (Alfa-Romeo), 80
tours en 2 h. 52’ 53”.
4. Louis Rosier (Taibot), 75 tours
en 2 h. 52’ 33” 1/5.
5. Philippe Etancelin (Talbot), 78
tours en 2 h. 53’.
6. Emmanuel de Graffenried (Mase-
rati), 72 tours en 2 h. 51’ 53” 1/5.
7. P.N. Whitehead (Ferrari), 72 tours
en 2 h. 53’ 2” 4/5.
(Belinogramme L’EQUIPE)
(Lire la 6Uite p. 2, rubr. Automobile)
comment rester
toujours
Lisez donc
"PAS DE LIMITE A
VOTRE JEUNESSE"
par Daniel $Ü/jA N G
dans le numéro de
Septembr gifd e t
La Revue qui n'a besoin
d'imiter personne pour
fifre bien française I
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 85.77%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 85.77%.
- Collections numériques similaires Musée national du sport. Musée national du sport. /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MnS000"
- Auteurs similaires
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bd6t5101807k/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bd6t5101807k/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bd6t5101807k/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bd6t5101807k/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bd6t5101807k
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bd6t5101807k
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bd6t5101807k/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest