Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1952-06-27
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 27 juin 1952 27 juin 1952
Description : 1952/06/27 (A7,N1935). 1952/06/27 (A7,N1935).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t51013071
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/01/2023
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NOUVEAU RECORD D’EUROPE POUR JEAN OOITEOI : (’ 32” 0/101U (00IETRES !
(LIRE LES DETAILS EN RUBRIQUE NATATION PAGE 6)
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LE 39 e TOUR
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JACQUES 60DDET
LE MANS. - Cette étape-flèche,
traversée avec une précipitation
H inhabituelle pour un Tour, perpé
tuellement animée, sans répit pour
les bergers que sont les suiveurs
comme pour le troupeau qu’ils
tiennent sous leur houlette, a été
la conséquence logique de la bataille si violemment engagée la veille.
Le feu est dans le peloton. Tandis que Coppi, rompant avec toutes les
traditions généralement imposées à la « squadra », optait pour la
participation à l’attaque sinon pour l’attaque même, que Gémimani et
Robic, vigilants, collaient à Fausto, le grand Rik, mis dans la condition
d’avoir à protéger son état de rentier, se comporta en Maillot Jaune
conséquent et abattit avec brio une tâche défensive écrasante.
Avec ça, enrubannant celle sarabande infernale, le gosse Pardoen,
entamant lui-méme la bagarre dès le 30" kilomètre, ivre d’une ambition
juvénile que surexcitait ceite pensée : « J’ai enfilé le Maillot », ainsi
qu’il en fut virtuellement pendant près de deux heures de course...
Mais le résultat positif de l’étape ne porte pas en lui-même d’effets
aussi profonds que ceux de la veille. Le regroupement, dû à la terme
intention de Van Steenbergen de ne pas perdre son bien et au partait
ordonnancement de l’équipe belge, permit à trente-six hommes, compre
nant a de rares exceptions près les meilleurs éléments connus, de se
présenter sur le circuit du Mans avec les maigres écarts qui séparent
les six premiers héros des dernières escarmouches, du paquet seigneurial
contenant Van Steenbergen, Coppi, Géminiani, Robic, Ockers, Van Est,
Bartali et... Pardoen.
Cependant la journée a donné de rudes coups. Elle laissera des
traces dans les organismes. La vitesse folle de l’allure, le poids de la
chaleur, ces deux éléments coïncidant avec le passage difficile des trois
premiers jours, cette recherche du second rythme et cette mise en place
des habitudes nomades, tout compte. On note des écarts sérieux derrière
le lot issu de la fusion du groupe Coppi et du groupe Van Steenbergen.
Et à tous les rangs nous avons vu des visages hâves, aux traits tirés,
des bouches sèches, des yeux injectés. S’il continue à ce train, le
Tour 52 deviendra une épreuve de force.
Fausto à l’établi
Admirablement conscient du danger que représente pour lui, cible
du peloton, la confusion résultant de la forme offensive de la course,
le grand Coppi a tout au moins, en cette deuxième étape, bouleversé
l’ordre du plan italien. Il lui est apparu plus sage, plus sûr,
de se mêler à l’attaque plutôt que de continuer à tenter de la faire
étouffer par ses gregarii. C’est une véritable révolution. Tous les bré
viaires établissant les us et coutumes du parfait campionissimo devront-
ils être corrigés ? Nous le saurons ces jours-ci.
Pour ce qui s’est passe entre Rennes et Le Mans, et bien que l’ami
Fausto ne semble pas avoir finalement tiré de bénéfice réel de son
attitude, nous lui donnons entièrement raison. Le système de protection
selon lequel un gregario doi. sauter sur la roue de tout fuyard et —
c’est de très bonne guerre — rester confit dans son sillage, ne vaut
que dans les courses contrariées. Je veux dire dans celles où tout un
chacun, à tour de rôle ou en escouade, n’a l’outrecuidance de prendre
la fille de l’air.
La veille, les courageux spadassins, verts, bande blanche et rouge,
avaient été finalement débordés. A l’arrivee au Mans. Magni avouait
qu’il s’était senti malade, ce qui explique la passivité de ce magnifique
battant. On ne voit donc pas pourquoi un champion de la classe de
Coppi se trouverait beaucoup plus éprouvé à rentrer dans les groupes
de chasse sérieux plutôt que de s'abriter sans appui suffisant dans un
peloton amorphe qu’il lui faut finalement enlever parce que c'est tou
jours à la vedette qu on laisse le soin d’abattre le boulot. N’est-ce pas,
au surplus, terriblement déprimant pour un homme sensitif comme l’est
Fausto de sentir s’accumuler du retard, de se morfondre au milieu de
compagnons, eux, rassurés par la seule présence de leur illustre pair ?
Nous comprenons bien que Coppi aura du mal à s’associer à toutes
les tentatives. On s’use vite à ce jeu, même s’il ne s'agit que de se mêler
aux échappés. Mais au fur et à mesure que passent les étapes, que
le classement se fixe et que les valeurs se manifestent, il devient loisible
de choisir ses têtes.
(LIRE IA SUITE PAGE 3)
Remarquable fin d'étape des Belges qui gagnent
encore individuellement (Rosseel) et par équipe
(Rosseel\ Close, Van Steenbergen)
Exploits des Espagnols B. Ruiz, Gelabert
et des ” Sud - Est " Molinéris et Vitetta
GBoiufaTSlJlSek
LE MAINS. — Nous avons bien
cru, aujourd’hui, à un moment
donné, que ee début de Tour al
lait se transformer en une formi
dable partie de « qui perd gagne ». Si brutale était, vers le 34 e kilomètre, la réaction du trio
Géminiani-Coppi-Kobic, si rapide était l’avance prise par le groupe qu’ils commandaient et qui
comprenait seize hommes au total, que Ton commençait à s’attendre à un renversement de situa
tion complet, à la réédition du coup de Brest-Rennes, mais, cette fois, au détriment de « Rik »
Van Steenbergen et de ses compagnons de la veille.
En fait, l’attitude première des Belges autorisait une semblable opinion, car Sylvère Maes tar
dait à commander la parade. Mais, cependant, il allait déclencher la chasse et, alors, on assistait à
un retour foudroyant. En une trentaine de kilomètres, un paquet de 19 coureurs comprenant
notamment « Rik », Van der Stock, Ockers, De Hertog, Neyt — soit cinq Belges — comblait pres
que entièrement un retard qui avait atteint les 4 minutes. A l’entrée de Sablé, où un passage à
niveau ralentissait provisoirement l’action entreprise, il ne s'agissait plus que de 47” et, quelques
REPORTAGE D’ALBERT DE WETTER
(Lire la suite page 2)
VAN STEENBERGEN S’EST OFFERT
le luxe de sprinter pour assurer
à la Belgique une nouvelle victoire
au CHALLENGE MARTINI
L’ŒIL DU MAITRE
LE MANS. — M. « Rik », bien
posé sur sa selle, tient la tête
du peloton depuis plusieurs
kilomètres. Bien qu'il ait laissé
la porte ouverte à ses équipiers
pour aller chercher une victoire,
il les surveille et se charge lui-
même de maintenir la cadence,
car l’arrivée n’est plus qu’à
15 km. Quentin (l’homme au
casque n° 2) est dans la roue.
(Belino d’un de nos envoyés
spéciaux Philippe ABOUT)
BATTU DE FAÇON DRAMATIQUE PAR JOEY MAXIM A NEW-YORK
LES JAMBES DE RAY ROBINSON
lui refusèrent, uu 14"round
une victoire à la portée de ses poings
Physiquement éprouvé
le champion noir abandonnera-t-il la boxe ?
(De notre env. spécial perm. Jean KROUTCHTEIN)
NEW-YORK (Service spécial AFP). — « Laissez-moi entrer ; Je
veux voir mon mari », suppliait Mme Robinson en larmes ; mais les
policemen. intraitables, lui refusèrent tout comme aux journalistes la
porte du vestiaire où Ray avait été porté, plus que conduit, après la
fin de ce combat infernal. Longtemps plus tard, on put tout juste
l’apercevoir regagnant la voiture de Gainford, son manager, soutenu
par Joe Louis et un soigneur et accompagné par Vincent Impelleteri
le maire de New-York.
Personne autre que les membres de la Gommission et les dirigeants
de l’IBC n’avait pu pénétrer
dans le vestiaire de Ray. Seule une
déclaration officielle fut faite par
le Dr. Mc Cown, médecin de la
Commission de New-York qui an
nonça que Ray Robinson était
mentalement et physiquement
exténué et qu’il n’était pas en état
de recevoir qui que ce soit. A ce
moment, jusqu’au lendemain du
combat, une rumeur commença à
circuler et bientôt on affirmait de
tous côtés que la carrière de Ray
Robinson était terminée. Ces
bruits n’ont, selon moi. pas de
fondement.
Joey Maxim, donc, conserve son
titre mondial des poids mi-lour.ds
par k.o. technique a la 14’ reprise;
mais pour les 47.893 spectateurs
présents dans la fournaise du Yan
kee Stadium, il ne doit cette vie
toire qu’à la chaleur et qu’à son
avantage de poids de plus de sept
kilos.
Rarement on put assister à un
combat aussi émouvant ; il nous
rappela par certains côtés la dra
matique défaite de Cerdan contre
La Motta. Dans l’après-midi, le
thermomètre était monté à 36* à
l’ombre, température record pour
l’année ; mais sous les 38.000 watts
des projecteurs, il faisait exacte
ment 40° dans le ring.
(Lire la suite page 6, rubrique Boxe)
Les athlètes partout
• Sélection U.S.A.
à Los Angeles
Notre envoyé spécial
Jean KROUTCHTEIN
• El Mabrouk s’essaye
vainement à courir
des 500 mètres...
en 1’ 15” !
• Rentrée de THiam
à Colombes
Nos informations
en rubrique Athlétisme, page 7
« Je puis perdre mon maillot jaune, dit Rik, mais
ce sera avec l’espoir de le reprendre rapidement
»
LE MANS. — Pour le lecteur comme pour le suiveur du Tour, il
semble tout naturel que Van Steenbergen ait remporté le sprint du
gros peloton, derrière les six hommes qui s étaient détachés sur la fin
N’est-il pas le plus rapide routier actuel, et ce depuis pas mal de
temps déjà ?
Pourtant, jamais Rik n’aurait dû gagner ce sprint. Non qu’il ait
eu à lutter contre une coalition quelconque ou encore qu’il ait mal
couru. Non. il n aurait pas dû ga
gner ce sprint, tout simplement
parce qu’au départ il n avait pas
l’intention de Le disputer 1 1
« Je tiens à mon maillot jaune,
devait-il nous confier, et je ne veux
pas p r °ndre de risques dans une
arrivée en peloton. Sauj. ajoutait-
il. si c’est pour la première place
de l’étape. Une bonification est
toujours bonne à prendre »,
concluait-il avec un clin d’ceil
entendu.
Néanmoins, et bien que seule la
septième place fût en jeu, Van
Steenbergen a dit son mot dans
l’emballage final.
« C'était n“cessaire, nous ait-il
confirmant notre impression. En
tête, avec Close et Rosseel, se trou
vaient deux Espagnols : Ruiz et
(Lire la suite page 3)
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il sera sans doute néces
saire d'établir un parallèle
entre les résultats réussis par les
nageurs et par les athlètes...
Avant les Jeux, on accorde aux
uns et aux autres des chances
sensiblement égales. D’un côté.
Boiteux et Bozon voire Janv,
Lusien et Eminente. De l’autre,
El Mabrouk, Mimoun, Heinnch
et Damitio...
El Mabrouk et Mimoun, Nord-
Africains et doués de toutes les
qualités de résistance de leur
race, ont la chance de pouvoir se
préparer à leur guise... Mais on
ne peut tout de même pas affir
mer que les athlètes feront mieux
que les nageurs ; nous croyons
même que ces derniers obtien
dront un meilleur classement
d’ensemble...
Si cette supposition se réalise,
il faudra bien en rechercher les
causes.
Pour autant qu’on puisse les
ATHLÈTES ET NAGEURS
iLiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiiiiiMiiimiiiiiiiiiiinMMiiiiiTmiiiiiiiiimiiiimiiiiiiiimmiiitiiiiiiiiiiiiiiiiiiiimiii
apprécier, déjà on remarque des
différences fondamentales entre
les conceptions adoptées par les
dirigeants de la natation et par
ceux de l’athlétisme.
La F.F.N. a admis qu’il fallait
préparer les nageurs classés et
connus sans négliger évidemment
les révélations marquantes (Emi
nente par exemple). Cette pré
paration graduelle va s’échelonner
maintenant jusqu'au départ de
l’équipe pour Helsinki. Les
Championnats de France n'auront
lieu qu’après les Jeux... Cette
solution est doublement heureuse;
elle évite cette sorte d’épée de
Damoclès qui paralyse certains
athlètes, non qu’ils doutent de
leur valeur, mais parce qu’ils
craignent que le moindre rhume,
le moindre faux départ, la moin
dre bousculade ne compromettent
leurs chances des sélections.
L’expérience leur a, hélas !
appris qu’il ne fallait pas trop
compter sur l’intelligence des
sélectionneurs. Les Champion
nats de France sont la porte ou
verte à toutes les espérances ;
fixés après les Jeux, ils main
tiennent encore un indispensable
courant national.
La F.F.A., elle, n’a pas craint
de soumettre ses athlètes à ce
dilemme : ou bien être en forme
trois semaines avant les Jeux
pour être sûr de la sélection et ne
plus l’être à Helsinki ; ou bien
n’être pas tout à fait au point
le jour des Championnats de
France... et risquer l’élimination
par le moins fort... en pleine
condition.
Sans doute tout ceci n’a guère
d’importance pour les athlètes
de très grande classe ; mais en
dehors des vainqueurs possibles,
il existe d’excellents éléments et
c’est sur ceux-là que l’on jugera
la valeur d’ensemble de notre
représentation...
D’autres différences de concep
tion séparent dirigeants-
nageurs et dirigeants- > »
athlètes. Nous y revien- # t
drons. • "
BARCELONE JOUERA LA FINALE DE
LA COUPE LATINE CONTRE NICE
LA VITESSE DE COURSE
ET DE JEU DES ESPAGNOLS
L'EMPORTE PAR 4-2
sur la rude puissance des Italiens
César , Kubala , Basora les héros de ce match
But
CLUB
s’excuse auprès de ses
fidèles lecteurs de ne
pouvoir paraître aujour
d’hui vendredi, comme
il l’avait annoncé. Un
conflit survenu dans
l’imprimerie où il est
confectionné en est la
cause. Il espère pouvoir
reprendre sa parution
normale lundi.
FC BARCELONE B. JUVENTUS : 4-2
(2-1). — Très bon terrain, bonne lu
mière, temps doux. 28.653 spectateurs;
10.241.783 francs de recette. Bon arbi
trage d’un match difficile de M. Vin
cent!. Buts : Manchon (4), Basora (24
et 54), Kubala (49 sur penalty) pour
Barcelone; Boniperti (41 et 82) pour
Juventus.
Hier soir, au Parc des Princes,
la petite taille des joueurs du FC
Barcelone l’a emporté sur le grand
gabarit des Italiens de la Juven
tus ; la mobilité a pris le pas sur
l’assurance et la vitesse sur la vi
gueur qui a confiné parfois à la
Gabriel HANOT.
(Lire la suite page 6, rubr. Football)
ENCORE PARDOEN
LE MANS. — A Vitré, l’éton
nant Pardoen a lancé l’échap
pée en compagnie de son coé
quipier Lajoie et du Belge Close.
Sur notre photo, vous voyez
Fausto Coppi réagir en per
sonne, Robic et Guy Lapébie
(à demi masqués) prennent
également l’affaire au sérieux.
Quant à Rosseel (vainqueur de
l’étape), il est déjà bien placé.
(Belino d’un de no» envoyés
* spéciaux Philippe ABOUT)
Les 16 QUALIFIÉS
de Wimbledon
SONT CONNUS
Mulloy a tremblé devant
l’inattendu Stockemberg !
(Lire l’article de notre envoyé
spécial André BOZON , page 6
en rubrique Tennis)
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les bergers que sont les suiveurs
comme pour le troupeau qu’ils
tiennent sous leur houlette, a été
la conséquence logique de la bataille si violemment engagée la veille.
Le feu est dans le peloton. Tandis que Coppi, rompant avec toutes les
traditions généralement imposées à la « squadra », optait pour la
participation à l’attaque sinon pour l’attaque même, que Gémimani et
Robic, vigilants, collaient à Fausto, le grand Rik, mis dans la condition
d’avoir à protéger son état de rentier, se comporta en Maillot Jaune
conséquent et abattit avec brio une tâche défensive écrasante.
Avec ça, enrubannant celle sarabande infernale, le gosse Pardoen,
entamant lui-méme la bagarre dès le 30" kilomètre, ivre d’une ambition
juvénile que surexcitait ceite pensée : « J’ai enfilé le Maillot », ainsi
qu’il en fut virtuellement pendant près de deux heures de course...
Mais le résultat positif de l’étape ne porte pas en lui-même d’effets
aussi profonds que ceux de la veille. Le regroupement, dû à la terme
intention de Van Steenbergen de ne pas perdre son bien et au partait
ordonnancement de l’équipe belge, permit à trente-six hommes, compre
nant a de rares exceptions près les meilleurs éléments connus, de se
présenter sur le circuit du Mans avec les maigres écarts qui séparent
les six premiers héros des dernières escarmouches, du paquet seigneurial
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Cependant la journée a donné de rudes coups. Elle laissera des
traces dans les organismes. La vitesse folle de l’allure, le poids de la
chaleur, ces deux éléments coïncidant avec le passage difficile des trois
premiers jours, cette recherche du second rythme et cette mise en place
des habitudes nomades, tout compte. On note des écarts sérieux derrière
le lot issu de la fusion du groupe Coppi et du groupe Van Steenbergen.
Et à tous les rangs nous avons vu des visages hâves, aux traits tirés,
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Tour 52 deviendra une épreuve de force.
Fausto à l’établi
Admirablement conscient du danger que représente pour lui, cible
du peloton, la confusion résultant de la forme offensive de la course,
le grand Coppi a tout au moins, en cette deuxième étape, bouleversé
l’ordre du plan italien. Il lui est apparu plus sage, plus sûr,
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Fausto ne semble pas avoir finalement tiré de bénéfice réel de son
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que dans les courses contrariées. Je veux dire dans celles où tout un
chacun, à tour de rôle ou en escouade, n’a l’outrecuidance de prendre
la fille de l’air.
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avaient été finalement débordés. A l’arrivee au Mans. Magni avouait
qu’il s’était senti malade, ce qui explique la passivité de ce magnifique
battant. On ne voit donc pas pourquoi un champion de la classe de
Coppi se trouverait beaucoup plus éprouvé à rentrer dans les groupes
de chasse sérieux plutôt que de s'abriter sans appui suffisant dans un
peloton amorphe qu’il lui faut finalement enlever parce que c'est tou
jours à la vedette qu on laisse le soin d’abattre le boulot. N’est-ce pas,
au surplus, terriblement déprimant pour un homme sensitif comme l’est
Fausto de sentir s’accumuler du retard, de se morfondre au milieu de
compagnons, eux, rassurés par la seule présence de leur illustre pair ?
Nous comprenons bien que Coppi aura du mal à s’associer à toutes
les tentatives. On s’use vite à ce jeu, même s’il ne s'agit que de se mêler
aux échappés. Mais au fur et à mesure que passent les étapes, que
le classement se fixe et que les valeurs se manifestent, il devient loisible
de choisir ses têtes.
(LIRE IA SUITE PAGE 3)
Remarquable fin d'étape des Belges qui gagnent
encore individuellement (Rosseel) et par équipe
(Rosseel\ Close, Van Steenbergen)
Exploits des Espagnols B. Ruiz, Gelabert
et des ” Sud - Est " Molinéris et Vitetta
GBoiufaTSlJlSek
LE MAINS. — Nous avons bien
cru, aujourd’hui, à un moment
donné, que ee début de Tour al
lait se transformer en une formi
dable partie de « qui perd gagne ». Si brutale était, vers le 34 e kilomètre, la réaction du trio
Géminiani-Coppi-Kobic, si rapide était l’avance prise par le groupe qu’ils commandaient et qui
comprenait seize hommes au total, que Ton commençait à s’attendre à un renversement de situa
tion complet, à la réédition du coup de Brest-Rennes, mais, cette fois, au détriment de « Rik »
Van Steenbergen et de ses compagnons de la veille.
En fait, l’attitude première des Belges autorisait une semblable opinion, car Sylvère Maes tar
dait à commander la parade. Mais, cependant, il allait déclencher la chasse et, alors, on assistait à
un retour foudroyant. En une trentaine de kilomètres, un paquet de 19 coureurs comprenant
notamment « Rik », Van der Stock, Ockers, De Hertog, Neyt — soit cinq Belges — comblait pres
que entièrement un retard qui avait atteint les 4 minutes. A l’entrée de Sablé, où un passage à
niveau ralentissait provisoirement l’action entreprise, il ne s'agissait plus que de 47” et, quelques
REPORTAGE D’ALBERT DE WETTER
(Lire la suite page 2)
VAN STEENBERGEN S’EST OFFERT
le luxe de sprinter pour assurer
à la Belgique une nouvelle victoire
au CHALLENGE MARTINI
L’ŒIL DU MAITRE
LE MANS. — M. « Rik », bien
posé sur sa selle, tient la tête
du peloton depuis plusieurs
kilomètres. Bien qu'il ait laissé
la porte ouverte à ses équipiers
pour aller chercher une victoire,
il les surveille et se charge lui-
même de maintenir la cadence,
car l’arrivée n’est plus qu’à
15 km. Quentin (l’homme au
casque n° 2) est dans la roue.
(Belino d’un de nos envoyés
spéciaux Philippe ABOUT)
BATTU DE FAÇON DRAMATIQUE PAR JOEY MAXIM A NEW-YORK
LES JAMBES DE RAY ROBINSON
lui refusèrent, uu 14"round
une victoire à la portée de ses poings
Physiquement éprouvé
le champion noir abandonnera-t-il la boxe ?
(De notre env. spécial perm. Jean KROUTCHTEIN)
NEW-YORK (Service spécial AFP). — « Laissez-moi entrer ; Je
veux voir mon mari », suppliait Mme Robinson en larmes ; mais les
policemen. intraitables, lui refusèrent tout comme aux journalistes la
porte du vestiaire où Ray avait été porté, plus que conduit, après la
fin de ce combat infernal. Longtemps plus tard, on put tout juste
l’apercevoir regagnant la voiture de Gainford, son manager, soutenu
par Joe Louis et un soigneur et accompagné par Vincent Impelleteri
le maire de New-York.
Personne autre que les membres de la Gommission et les dirigeants
de l’IBC n’avait pu pénétrer
dans le vestiaire de Ray. Seule une
déclaration officielle fut faite par
le Dr. Mc Cown, médecin de la
Commission de New-York qui an
nonça que Ray Robinson était
mentalement et physiquement
exténué et qu’il n’était pas en état
de recevoir qui que ce soit. A ce
moment, jusqu’au lendemain du
combat, une rumeur commença à
circuler et bientôt on affirmait de
tous côtés que la carrière de Ray
Robinson était terminée. Ces
bruits n’ont, selon moi. pas de
fondement.
Joey Maxim, donc, conserve son
titre mondial des poids mi-lour.ds
par k.o. technique a la 14’ reprise;
mais pour les 47.893 spectateurs
présents dans la fournaise du Yan
kee Stadium, il ne doit cette vie
toire qu’à la chaleur et qu’à son
avantage de poids de plus de sept
kilos.
Rarement on put assister à un
combat aussi émouvant ; il nous
rappela par certains côtés la dra
matique défaite de Cerdan contre
La Motta. Dans l’après-midi, le
thermomètre était monté à 36* à
l’ombre, température record pour
l’année ; mais sous les 38.000 watts
des projecteurs, il faisait exacte
ment 40° dans le ring.
(Lire la suite page 6, rubrique Boxe)
Les athlètes partout
• Sélection U.S.A.
à Los Angeles
Notre envoyé spécial
Jean KROUTCHTEIN
• El Mabrouk s’essaye
vainement à courir
des 500 mètres...
en 1’ 15” !
• Rentrée de THiam
à Colombes
Nos informations
en rubrique Athlétisme, page 7
« Je puis perdre mon maillot jaune, dit Rik, mais
ce sera avec l’espoir de le reprendre rapidement
»
LE MANS. — Pour le lecteur comme pour le suiveur du Tour, il
semble tout naturel que Van Steenbergen ait remporté le sprint du
gros peloton, derrière les six hommes qui s étaient détachés sur la fin
N’est-il pas le plus rapide routier actuel, et ce depuis pas mal de
temps déjà ?
Pourtant, jamais Rik n’aurait dû gagner ce sprint. Non qu’il ait
eu à lutter contre une coalition quelconque ou encore qu’il ait mal
couru. Non. il n aurait pas dû ga
gner ce sprint, tout simplement
parce qu’au départ il n avait pas
l’intention de Le disputer 1 1
« Je tiens à mon maillot jaune,
devait-il nous confier, et je ne veux
pas p r °ndre de risques dans une
arrivée en peloton. Sauj. ajoutait-
il. si c’est pour la première place
de l’étape. Une bonification est
toujours bonne à prendre »,
concluait-il avec un clin d’ceil
entendu.
Néanmoins, et bien que seule la
septième place fût en jeu, Van
Steenbergen a dit son mot dans
l’emballage final.
« C'était n“cessaire, nous ait-il
confirmant notre impression. En
tête, avec Close et Rosseel, se trou
vaient deux Espagnols : Ruiz et
(Lire la suite page 3)
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il sera sans doute néces
saire d'établir un parallèle
entre les résultats réussis par les
nageurs et par les athlètes...
Avant les Jeux, on accorde aux
uns et aux autres des chances
sensiblement égales. D’un côté.
Boiteux et Bozon voire Janv,
Lusien et Eminente. De l’autre,
El Mabrouk, Mimoun, Heinnch
et Damitio...
El Mabrouk et Mimoun, Nord-
Africains et doués de toutes les
qualités de résistance de leur
race, ont la chance de pouvoir se
préparer à leur guise... Mais on
ne peut tout de même pas affir
mer que les athlètes feront mieux
que les nageurs ; nous croyons
même que ces derniers obtien
dront un meilleur classement
d’ensemble...
Si cette supposition se réalise,
il faudra bien en rechercher les
causes.
Pour autant qu’on puisse les
ATHLÈTES ET NAGEURS
iLiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiiiiiMiiimiiiiiiiiiiinMMiiiiiTmiiiiiiiiimiiiimiiiiiiiimmiiitiiiiiiiiiiiiiiiiiiiimiii
apprécier, déjà on remarque des
différences fondamentales entre
les conceptions adoptées par les
dirigeants de la natation et par
ceux de l’athlétisme.
La F.F.N. a admis qu’il fallait
préparer les nageurs classés et
connus sans négliger évidemment
les révélations marquantes (Emi
nente par exemple). Cette pré
paration graduelle va s’échelonner
maintenant jusqu'au départ de
l’équipe pour Helsinki. Les
Championnats de France n'auront
lieu qu’après les Jeux... Cette
solution est doublement heureuse;
elle évite cette sorte d’épée de
Damoclès qui paralyse certains
athlètes, non qu’ils doutent de
leur valeur, mais parce qu’ils
craignent que le moindre rhume,
le moindre faux départ, la moin
dre bousculade ne compromettent
leurs chances des sélections.
L’expérience leur a, hélas !
appris qu’il ne fallait pas trop
compter sur l’intelligence des
sélectionneurs. Les Champion
nats de France sont la porte ou
verte à toutes les espérances ;
fixés après les Jeux, ils main
tiennent encore un indispensable
courant national.
La F.F.A., elle, n’a pas craint
de soumettre ses athlètes à ce
dilemme : ou bien être en forme
trois semaines avant les Jeux
pour être sûr de la sélection et ne
plus l’être à Helsinki ; ou bien
n’être pas tout à fait au point
le jour des Championnats de
France... et risquer l’élimination
par le moins fort... en pleine
condition.
Sans doute tout ceci n’a guère
d’importance pour les athlètes
de très grande classe ; mais en
dehors des vainqueurs possibles,
il existe d’excellents éléments et
c’est sur ceux-là que l’on jugera
la valeur d’ensemble de notre
représentation...
D’autres différences de concep
tion séparent dirigeants-
nageurs et dirigeants- > »
athlètes. Nous y revien- # t
drons. • "
BARCELONE JOUERA LA FINALE DE
LA COUPE LATINE CONTRE NICE
LA VITESSE DE COURSE
ET DE JEU DES ESPAGNOLS
L'EMPORTE PAR 4-2
sur la rude puissance des Italiens
César , Kubala , Basora les héros de ce match
But
CLUB
s’excuse auprès de ses
fidèles lecteurs de ne
pouvoir paraître aujour
d’hui vendredi, comme
il l’avait annoncé. Un
conflit survenu dans
l’imprimerie où il est
confectionné en est la
cause. Il espère pouvoir
reprendre sa parution
normale lundi.
FC BARCELONE B. JUVENTUS : 4-2
(2-1). — Très bon terrain, bonne lu
mière, temps doux. 28.653 spectateurs;
10.241.783 francs de recette. Bon arbi
trage d’un match difficile de M. Vin
cent!. Buts : Manchon (4), Basora (24
et 54), Kubala (49 sur penalty) pour
Barcelone; Boniperti (41 et 82) pour
Juventus.
Hier soir, au Parc des Princes,
la petite taille des joueurs du FC
Barcelone l’a emporté sur le grand
gabarit des Italiens de la Juven
tus ; la mobilité a pris le pas sur
l’assurance et la vitesse sur la vi
gueur qui a confiné parfois à la
Gabriel HANOT.
(Lire la suite page 6, rubr. Football)
ENCORE PARDOEN
LE MANS. — A Vitré, l’éton
nant Pardoen a lancé l’échap
pée en compagnie de son coé
quipier Lajoie et du Belge Close.
Sur notre photo, vous voyez
Fausto Coppi réagir en per
sonne, Robic et Guy Lapébie
(à demi masqués) prennent
également l’affaire au sérieux.
Quant à Rosseel (vainqueur de
l’étape), il est déjà bien placé.
(Belino d’un de no» envoyés
* spéciaux Philippe ABOUT)
Les 16 QUALIFIÉS
de Wimbledon
SONT CONNUS
Mulloy a tremblé devant
l’inattendu Stockemberg !
(Lire l’article de notre envoyé
spécial André BOZON , page 6
en rubrique Tennis)
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