Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1950-02-13
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 13 février 1950 13 février 1950
Description : 1950/02/13 (A5,N1199). 1950/02/13 (A5,N1199).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t5100605x
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/05/2021
LIRE LES CABLES DE
PIERRE ABOUT
EN RUBRIQUE SKI
ENVlSj
* reV âflj
ulier
6 match
savent qiri j
stifiés, niais
timiste. s on ,
forme. Le D
es meilleurs
ray, CazassÙj
Baradat fo rni|
;t les trois.qujj
issucq. rivalise"
•re Bonnecaze
mdition actueii
h 1 us confia?
rencontre,
îcnt, rnercredi 1
•ameur Pierre ,"
Que le trésor,»
: sourire, car
; fa >f espérer»
■ a cette belle]
i : Bonnecae» .
tacharry, u 0>
im, Darrieusâ
t, Bégure ; qj
; as, Pascalir
tarbais .
ès. Lhoste. Bji{
Duffoureq ;
tse ; Pambrun
jurcade.
•eau. gen, j..q
— Les
nourrissent
;éliorer leur clï
de brassage
demandions j j
la possibilité!
nac. le preudl
rugby nous a f
plus faire de 1
arçons le veuléj
sur un beau
subira que p
ilus notable
.amaison, de ntl
par Lapoudgej
•nier, presque
tt l'occasion
nplacer le titul
i brio indiscuti
rtin : Dupeni
u Beigbeder ;
;, Rousseau,
er, Layus ;
enge.
: Mauroux ;
guy ; (o) Cibi
Chaulet,
irré. Tissait»!
Ssvnl
int Cast
lier Ch. LAF.l|
nouvelle
ses avants
régulateur d
iniiiuiuiiiiMiuiiiii
«
Malassagne
on Gousse &
et (ml J.
Noyer
i Uoéj
Coussens
Bûche
ry
Boue
mret Bo'dessMi
Fonfrède
C. A.
IIUIUUIIIiMlMH |M, l
'.■"mi
de Sj
Cran
ees
iert à
respond. partit.
_ Battu à
ien prendre si
les absences
de Martinez
ndemênt du
is l’on note 1
ra et de l’ at !
•n soit, ü Ç st y
inéen se deroulg
risque de re-, 1 ,
itre lignes 0‘
lent égale.
HET ! GalibtnJ
ies. Gobcrt !
chel Andrieu
Azémar : R<,u
ra. Ooumeue.
NET : RoubtSj
Tisseyre
, Savoye.,
nkowski, l
L MAB&W
LA
-temus du e.j
çais-CoU'-b eVO C( ,ot , |
sputee I*
M
Sotee P af ’ ,l* %
u cynodrome E ,
du 1.500 O 1 ' 1
spart.
ïampcourt
arcel.
HAM
[LE-DE-
RCF-ACBB
iG-CSPSE
GU'
FBA>S
s d d
L,
COGNAC
TARD
7 /^ 5 ...< 3 êâiW^ COGNAC
r
LE QUOTIDIEN
LUNDI 13
5’ ANNEE
FEVRIER 1950
N* 1199
DU SPORT
10, Fg MONTMARTRE, PARIS ( 9 f )
TAITBOUT 70-80 ET LA SUITE
PETITES ANNONCES : TAITBOUT 73-40, 41, 42
SERVICE VENTE : PROVENCE 37-18
BOUGIE
PUIHIT
*»» QOUTE Qg t^E^Ng - BOULOGNE %/ SglNE
h en échec h Bordeaux, LILLE pins que jamais premier..
cor Toulouse est battu chez lui par Nice !
iü
fm
ï^i
mm
V
m
Wm
- '
» ■ ■■
Reims, 4 e larron, est, lui aussi, maîtrisé à Lens...
En haut et en bas, situation générale inchangée mais
,
w:v'"
"vT '
* ' * <
tendance à un jeu amélioré
Parmi les multiple» hypothèses que Von pouvait émettre quant aux résultats de la fournée
d'hier, en ce qui concerne du moins les quatre prétendants au titre, c'est peut-être la moins spec
taculaire qui s’est réalisée. L’on pouvait, en effet, s’attendre assez logiquement à des victoires de
Bordeaux sur Lille et de Toulouse sur ISice, ce qui aurait fait passer Toulouse en tête du classe
ment. Mais Lille ayant obtenu le match nul à Bordeaux et Toulouse s’étant fait battre in extremis
par Nice, le bénéficiaire de la journée se trouve être Lille, malgré son match nul, car il mène
maintenant avec deux points d’avance sur les deux seconds ex tequo, Toulouse et Bordeaux.
L'épreuve n’en reste pas moins très ouverte, puisque les clubs ont encore treize matches à dis
puter. Aucune situation ne peut donc être considérée comme solidement établie. Il faut cependant
reconnaître que la journée est bonne pour les Lillois qui avaient à subir une dure épreuve. Quelles
que soient les impressions directes
que Von ait pu recueillir au spec
tacle de ce combat, le onze du
LOSC a montré qu'il était loin
Maurice PEFFERKOR1N.
(Lire la suite p. 4, rubrique Football)
BIEN QUE WALTER AIT ETE ELIMINE APRES 23’
IRDER LA -VEDETTE...
De Harder, le puissant ailier hollandais des Giron
dins ASP, fut encore un des meilleurs éléments de
f contre Lille, le leader, qui fut tenu en échec (1-1). Voici de Harder en action dans le
style heurté qui lui est familier.
LIFICATI0N INATTENDUE POUR LES SEIZIEMES DE FINALE DE RUGBY
iCIOIRE DU S.C. ALBIà ANGOULÊME
e jeu de l'U.S.Bergerac!
ÏÏterroise et le S.C, Mazamet se quali-
flamment . — Malgré un beau succès ,
igen ne saurait sauter le Racing C.F.,
battu à Lyon
trente-deux équipes de Division Fédérale disputeront
le finale du Championnat de rugby. Elles étalent qua*
participèrent à la première phase de la compétition
UO octobre et achevée hier. Depuis quelques dimanches
paissait un certain nombre de clubs frappés par l'élimi
nation. La dernière journée de cet
te phase présentait donc un intérêt
assez restreint : les jeux étaient
faits dans la plupart des poules,
sauf dans les poules B, D et F.
Georges DUTHFiN.
(Lire la suite page S, rubr. Rugby XV)
EUE
NE
dans
m
TROIS NUITS EN TRAIN
néfastes aux escrimeurs
français, largement
battus par les Hongrois
par 10 victoires à 6
(Lire en rubrique Escrime
l’article de notre correspondant
général en Hongrie Louis ERDOS)
re Portages de nos
Poux :
I^ÛUT, le seul jour-
, en c ^ct et en os
ïskj 65 ^ am P' onnats
_ qui rap-
r Ur ie vaste étude sur
'ndustrie et de
U'LlET et pierre
[ enquêteront sur la
Tn° Sa ' son routière
; 0ues * et en Bel-
la relation des
ants et notam-
f compte rendu
-A * Medina-
,s ^es Sports.
L attaque lilloise, inspirée par
Tempowski, Vandooren et Strappe
JOUE A BORDEAUX
un match de leader !
Le L.O.S.C. construit mieux, Bordeaux
plus soudain, est aussi dangereux
(D’un de nos envoyés spéc. Jacques de RYSWICK)
BORDEAUX ET LILLE : 1-1 (1-1). —- Temps humide, averses
intermittentes. Terrain lourd, glissant, sablonneux par endroits. Bon
arbitrage d’ensemble de M. Le Foll. Recette : 6.581.500 fr. (record
du Championnat), pour 27.401 spectateurs payants (record local).
Buts : pour Lille, Baratte (36 e ) ; pour Bordeaux, Kargu (39 e ).
BORDEAUX. •— Il est des affiches — en football notamment ! — qui
promettent plus qu’elles ne tiennent : celle-ci, au contraire, justifia ample
ment le formidable engouement qu’elle avait suscité da*ns toute la région
bordelaise. Le match Girondins-Lille fut, dans son ensemble, un match
d’excellente tenue, joué dans un style et à une cadence très « profession
nels ». Son intensité demeura intacte jusqu'au bout, et jusqu’au bput
son résultat fut indécis. Comme ce résultat est, somme toute, conforme
à la logique sportive, tout le monde est content ce soir à Bordeaux ; les
deux équipes, leurs dirigeants et le public. Bonne journée donc et bonne
propagande pour le football dans la grande cité girondine.
Les Lillois, surtout, exultent. Ils le peuvent. Non seulement parce
qu’ils ont sauvé , leur première place,
non seulement parce que ce tour
nant du Championnat, extrêmement
critique pour eux, vient d’être fran
chi mieux qu’adroltement ; mais en
core et surtout parce qu’ils viennent
de justifier ici, et parfois de ma
nière magistrale, leur réputation de
meilleure équipe française, réputa
tion qu’on leur avait contestée ces
temps derniers.
J’ai suivi l’équipe lilloise en pas
mal d’occasions cette saison : je ne
suis pas loin de penser qu’elle vient
de livrer, à Bordeaux, son meilleur
match en valeur absolue, c’est-à-dire
compte tenu de la qualité de son
adversaire, des circonstances et des
difficultés du jeu. C’est en effet
l’équipe du LOSC qui, par sa valeur
technique, son bel équilibre, son es
prit constructif, son football classi-
ue et brillant, a conféré à ce match
essentiel de su tenue. Je vais. plus
loin : sans une malencontreuse bles
sure de Walter (déchirure des liga
ments du genou * gauche' à la 23«
minute) qui contraignit l’ailier droit
lillois au rôle de figurant, coura
geux mais impuissant, durant les
rois quarts de la partie, le LOSC*
eût très certainement enlevé la dé
cision.
DIVISION I (21* journée)
*BORDEAUX (3) et Lille (1) 1-1 (2-4)
Nice (7) b. ‘TOULOUSE (2) 3-2 (0-5)
‘LENS (13) et REIMS (4) .. 8-0 (0-5)
‘ROUBAIX (5) b. MiETZ (17) 3-1 (2-2)
*RCP (6) b. STADE-R.S. (15) 2-1 (1-2)
Sochaux (7) b. *SETE (17) 2-1 (8-1)
‘NANCY (11) b. St-Etien. (7) 2-1 (5-3)
•STRASB. (11) et Mars. (7) 1-1 (2-2)
‘RENNES (14) b, Montp. (15) 5-1 (6-5)
Pts J. G, N. P. p. c.
1. LILLE (1) ... 31 21 15 1
2. Bord. (3) ... 29 21 12 5
Toulouse (2) .. 29 21 13 3
4 Reims (4) ... 27 21 11 5
5. Roubaix (5) .. 25 21 7 11
6. RC Paris (8) 23 21
7. Nice (7) .... 22 21
Sochaux (7) .. 22 21
9. Mars. (7) .,. 21 21
10. St-Etien. (7) . 20 21
Nancy (11) .. 20 21
12. Strasb. (11) .. 19 21
13. Rennes (14) . 18 21
Lens (13) ... 18 21
15. St.-R.S. (15) . 15 21
Montpel. (15) . 15 21
17. Metz (17) ... 12 21
Sète (17) 12 21
5 59 29
4 56 24
5 50 28
5 39 27
3 30 22
7 42 31
8 43 39
8 37 35
8 36 38
8 39 36
9 37 37
9 27 44
9 42 45
4 10 31 42
5 11 28 46
3 12 31 57
0 12 32 56
4 13 26 53
uxence^
OC Sens-Ü s °
.einge 1
U SM (F ’-gctJfj
IGE M
Æ, 13 b. 4 „ 5 g
13 h ‘ ,-J|
tches am;
l-Basco-P»^
gne VlV-Asn'fnffî
gny d; ï
n s? 4 ',
ASCU _ j 1};
Ch,
une
journée
Qi upionnat de
vision.
TRIOMPHE NORMAND AU PRE-NATIONAL DE CROSS
ÉZIDON Jgià. L’EIBPBRTE
aisément en fin de parcours et
le LOU définitivement éliminé !
Grosse supériorité individuelle (mais vaine)
de Paris et un bon Silvestri
(De notre envoyé spécial Paul DUPONT)
NEVERS. — Toute la ville s’était mise à l’œuvre pour faire du Pré-
National une organisation triomphale : de la municipalité au Comité de
la Nièvre, en passant par notre confrère « France-Presse ».
Las ! Les inondations ont obligé les organisateurs de trouver au
dernier moment un parcours de remplacement sur le champ de tir. Par
cours à la convenance de tous les concurrents, donc l’essentiel : 4 bôucleè
de 3 km., sans grande difficulté, sur un sol souple mais légèrement 0-i r# la ouite p. 4, rubrique Football)
bosselé. Seul un vent assez violent
Les Girondins
is à trois semaines d’intervalle
Est-ce à dire que les Girondins
firent figure de comparses dans l’his
toire ? Que non pas. Dominés dans
leur majorité en technique indivi
duelle, en finesse d’exécution, en
subtilité, en solidité et en précision
d’évolutions collectives, ils n’en fu
rent pas moins très dangereux dans
leur réplique. Moins bien construit,
moins travaillé, posé et réfléchi que
celui des Lillois, bâti d’avantage à
l’emporte-pièce, leur effort offensif
n’en fut pas moins extrêmement
><■«01,,..
«ch 0 ,„
l0lJr dqns
SPORT
J^notionol
obligea les concurrents à un effort
sensible d’environ un kilomètre à
chaque jour.
Le côté spectaculaire fut le seul à
souffrir de ce changement de der
nière heure : il était impossible de
suivre le déroulement de la course
et la recette s’en ressentit : 20.000
francs seulement, d’où gros déficit.
Mais la régularité de l’épreuve fut
sauvegardée, ce fut le principal.
Paris, aisément
La course individuelle fut dominée
par la supériorité d’André Paris. En
2 km., il avait restreint le peloton
de tête à 5 hommes : avec lui, Allix,
Dubois, Nollet, Silvestri.
Au 5* km., Paris avait pris du
champ : près de 60 m. à Silvestri et
(Lire la suite p, 2, rubr. Athlétisme)
.-* ET S REMBOURSABLES EN 22 ANS
Kit .. "cMBOUR
5 Maison
D’UN MILLION
-PUC (r*’
Vf
1,:
(J tfO
Fr. (J
5 h- 3
, r encan 1
le terra ? ra ir‘ s -
Mn*l c0 ’
n s rt ^ 0Ur ^*800 fr. par mois
il* lo i rm u , | 0n8Uemen t
Moo ? r r *ule des mai-
„.. s de ' R* 1 ; mois.
[C 8es Pour »
Piu! Que «,,„ COnna| tre
Pa r *4 P t P° rta > e nt
nL Co °Bérar tenons à
P'Epar-
PorçoTt'
c *h mme
SOC
•Sto «ic»"»
mat 'venient
sont
Ut 1
^ 7
rmpr»TV
L'adhérent de la Coopérative
d'Epargne économise donc non seu
lement 5 fois plus vite, mais en
core dans des conditions 5 fois
plus économiques que sous toute
autre forme.
Les lecteurs de c L’Equipe >
recevront à ce sujet le meilleur
accueil aux bureaux du Comptoir
Coopératif de Crédit, 35, avenue de
l'Opéra, Paris, ouverts tous les
jours, y compris le samedi après-
midi.
DIRECTION REGIONALE A LYON
1, rue Ferrandière, LYON
( Communiqué)
T 17C ÜTATIVC T TRI? TT Garçon extrêmement doué. Aa-
AjIOJAFjiJ... ron Wilson sait tout faire sans
avoir vraiment "beaucoup appris.
L’adversaire d’Olek boxe d’instinct, répare, des postes de radio et sa
main (gauche) peint de bien souriants _ paysages. Le poids lourd
américain, du reste, a le légitime désir d’étre décorateur.
* Avant, garçon, il faut tenter de devenir champion du monde ! 9
lui a conseillé J. D. Englisch, son manager...
: (Photo A. ROQUES)
AU PALAIS
DES SPORTS
CE SOIR
EN BASKET
VILLEURBANNE
n’eut pas besoin
de NEMETH
pour vaincre
CHAMPIONNET
(Lire les détails
en rubrique Basket-Ball)
UN SENSATIONNEL MATCH-REVANCHE DE POIDS LOURDS...
Le geste prompt et aisé
AARON WILSON FRAPPERA FORT
pour battre l’obstlnU OLEK
LE T.O.E.C., EN NATATION, DOIT CEDER LE PAS
ALEX JANY : 57”
mais le R.C.F. vainqueur!
BOITEUX : 4’ 57" 8/10 AU 400 METRES
(De notre envoyé spécial Georges DUCHESNE
TOULOUSE. — La première manche de la rencontre RCF-TOEC qui
s’est déroulée hier, en fin d’après-midi, à la piscine du Parc Municipal
des Sports, aura provoqué l'enthousiasme» des habitués qui remplissaient
les gradins. Précisons tout de suite que l’épreuve-vedette — 4 x 100 mètres
fut magistralement remportée par le RCF dans une forme exceptionnelle
en 4’ 4” 6/10 (1* 1” l/io de moyen
ne...) contre 4’ 8” 1/10 au TOEC.
Et cela malgré les 57 secondes de
Jany, dont l’excellente condition
physique actuelle (il a maigri de
six kiios et ihclu s l’éducation phy
sique dans son programme quoti
dien) permet à son dévoué mentor,
l’entraîneur national Alban Minvllle,
de déclarer: « Dans deux mois à
peine, ü peut envisager de battre
le record du monde actuellement dé
tenu par Furuhashi !... »
Le 400 mètres valait à lui seul, le , . .
déplacement par la confirmation de quelques précieuses secondes au vi-
l'espoir Jean Boiteux. L’élève de rage dee 37o métrés lorsqu’il s’aper-
Minville couvrit la distance dans Ç^t qu e Cornu ne le suivait plus
son meilleur temps : 4’ 57” 8/10, Celui-ci, en effet, apres avoir mené
après s etr e payé le luxe .de perdre (Lire la suite p. 3, rubrique Natation)
JANY-FURUHASHI
A... SAO - PAULO ?
RIO-DE-JANEIRO. — La Fédération
de Sao-Paulo a l'intention de faire
venir Jany au Brésil. Le champion
français pourrait être ainsi opposé à
Furuhashi qui doit arriver prochaine
ment au Brésil, en compagnie de
Hachizuma et Yusa. — (A.F.P.)
HIER, AU VEL’ D’HIV’ DANS LE PRIX AERTS-SERES
(3 HEURES A L’AMERICAIN E)
BRUNEEL-LAPÈBIE
ont eu raison de la °furia ”
de GRAUSS-GOUJON
Kint-Van Steenbergen réveillés in extremis
Roux-Pieters , Maye-Challeau les plus ardents
Décidément, passé deux heures, da-ns une américaine qui en compte
trois, il ne se montre pas beaucoup d’équipes françaises pour répondre
aux attaques des « grands » ou pour en provoquer.
Plus que jamais, nous sommes tentés de nous ranger à l’avis de
certaines vedettes de la spécialité qui estiment que la valeur, la classe
d'une équipe doivent parler dès que le cap des 120 minutes est franchi.
Les chiffres sont là pour le prou
ver.
Hier, au Vél’ d’Hiv’, au cours du
Prix Âerts-Sérès, à l’américaine, la
parole fut accordée aux nôtres jus- -, . . - _
qu’à la mi-course. Passé ce délai, le avec joie Grauss-Goujon
commandement changea de camp et . „
tomba dans les mains de Bruneel- «pus leur lancerons des «t fleurs »
Lapébie, qui ont gagné le plus natu- P"?e .9 u , ils P UI ? n t inquiéter serieu-
relïement du mondé, et de Kint-Van cernent les « visiteurs ». en fin de
Steenberspn - course, alors qu’ils avaient été par-
bteenoergen. ml les attaquants, les leaders de la
De performance à exploit première heure.
«u îw. rtrmner la Car > 6e maintenir dans le pelo-
_-in P S Rnmeel sor- ton de dès la première minute,
Pf nt eHt nS To,,vo U ri rand 'était y demeurer fort brillamment à la
fln de la première heure, c’est très
D bien. C’est ce qui arriva à Godeau-
Parm, les abandons, .1 fautBouvard, Delescluse-J. Le Nizerhy,
1er ceux de Godeau-Bouvard, Mignat- Capelli-Souliac, Béthery-Garcia, Paul
Guill.er et Testu - Rouehet -^_ w , Moye-Challeau, Bruneel-Lapébie, et,
par Instants (très rares), Acou-
redevenu lui-même, brillamment se- Depauw.
condé par Guy Lapébie à l’apogée g e trouver encore au commande-
de sa forme, que Kint et Van Steen- men t à la sortie de la deuxième
bergen avaient retrouvé la grande neure, c’est encore fort louable,
cadence en fin de course, parce que bi en plus intéressant. Mais, ce cap
les 145 heures de Gand les avaient atteint, les compliments se rare-
rodés d’une façon parfaite, on admet- fj ent . Grauss-Goujon. Roux-Pieters
tra que l e fait même de tenir tete en 6ont les seuls bénéficiaires avec
aux coups de boutoir de ces deux
teams rois devenait une performan- Pierre BOLRRILLOiN.
ce excellente, pour se convertir en
exploit alors que, non content de (Lire la suite page 3, rubr. Cyclisme)
BII
Théo Médina restera-t-il champion de France
devant Josseau plus entraîné ? Baour , Dehaye
et Caulet sont des favoris logiques ...
Une fois de plus, on nous convie à reprendre le chemin fami
lier de Grenelle. Une fois de plus, les spectateurs assisteront à une
grande revue du poing en cinq tableaux ou, pour être plus précis,
en cinq combats.
Habile metteur en scène d’un soir sportif, .Gilbert Bena'im,
le responsable, a composé’ un programme offrant un indéniable
attrait, promettant bien des émotions.
Poids lourds... Si la secondé ’ version à Paris d’un premier
match qui opposa Aaron Wilson à Stephan Olek un soir à Bruxelles
tient seulement la moitié de ce
qu’il offrit, on peut être certain
d’assister à une fantastique bataille
du poing.
Le 4 décembre 1948, lors du pre
mier combat, littéralement soulevé
du tapis par un spectaculaire up
percut lance à la volée, Stephan
Olek, comme assommé, s’abattit. Par
un miracle de volonté, il devait se
relever cependant pour finalement
mëbtre celui qui allait devenir son
vainqueur à l’ouvrage.
On sait cela. On sait aussi qu’à
l’époque Benaïm et Baudoux, l’orga
nisateur belge, avaient, chacun de
leur côté, tenté de conclure une se
conde édition de cette bataille qui
promettait bien du. sensationnel
Tous deux échouèrent. A ce moment
James D. Englisch avait une machi
ne à calculer sous ses cheveux lai
neux et confondait volontiers les
dollars avec les francs. Vainqueur
du tournoi international de Bruxel
les, Wilson, par suite des exigences
financières de son manager, allait
rester neuf mois sans boxer.
Englisch, heureusement , fit chan
ger le clavier de sa machine (à cal
culer) et pour avoir beaucoup Atten
du, son protégé partit à la poursuite
du temps perdu.
Robert COLOMBINI.
(Lire la suite page 2, rubrique Boxe)
COUPS DE GONG...
20 h. (8x3) légers :
CAULET • Rossellni
20 h. S5 (8x3) légers :
DEHAYE - Marti lit
21 h. 10 (15x3|) coq :
Médina-JOSSEAU
(Champ, de France)]
22 h. 10 (10x3) lourds:
WILSON - Olek
23 h. (10x3) légers :.
BAOUR - Bahr!
No* favoris sont indiqués en lettres
capitales.
tenir, ces « francs-tireurs » contre-
attaquaient en fin de course.
C’est pourtant dans cette dernière
catégorie que nous placerons, aujour-
— et
14 FEVRIER
Saint VALENTIN
Patron
Du II
des Amoureux
au 18 Février
VALENTIN
ROI DES CAOUTCHOUCS
fer» une remise exceptionnelle de 20 %
sur les prix marqués à tout couple se
présentant dans l’un des magasins
VALENTIN pour y faire l’achat de deux
vêtements imperméables.
158, rue Lafayette - 5, bd Bonne-Nouvelle
6, avenue de Clichy, PARIS.
LYON - ROUEN - L4LLE - RENNES
STRASBOURG - NANCY
-COUPLES SPORTIFS
recommandez-vous de L’EQUIPE
(( C'est tout de même chic
de gagner de l'argent »:
disent les jeunes
au bout de 4 mois
Le métier de comptable est
maintenant un métier bien payé*
une profession agréable. Cette si
tuation est à votre portée. Y avez-
vous songé ?
En quatre mois vous pouvez
apprendre la comptabilité chez
vous, sans rien changer à vos occu
pations habituelles.
Demandez la documentation gra
tuite n° 3677, Ecole Française de
Comptabilité, 91, av. République*
Paris. Ne pas joindre de timbres.
Préparation aux examens officiel*
d’Etat.
HAVAS
V Pour tirs sportif W)
on n’»n ost pas moins W.
homme I ...
Constellation
!
V Lisez chaque mois yfé
Constellation
4 remèdes
à
la ialousie
I
Le Monde ru en Français
la plus grande revue française
de pehf formai
n'est pas,». Indigeste I
2
PIERRE ABOUT
EN RUBRIQUE SKI
ENVlSj
* reV âflj
ulier
6 match
savent qiri j
stifiés, niais
timiste. s on ,
forme. Le D
es meilleurs
ray, CazassÙj
Baradat fo rni|
;t les trois.qujj
issucq. rivalise"
•re Bonnecaze
mdition actueii
h 1 us confia?
rencontre,
îcnt, rnercredi 1
•ameur Pierre ,"
Que le trésor,»
: sourire, car
; fa >f espérer»
■ a cette belle]
i : Bonnecae» .
tacharry, u 0>
im, Darrieusâ
t, Bégure ; qj
; as, Pascalir
tarbais .
ès. Lhoste. Bji{
Duffoureq ;
tse ; Pambrun
jurcade.
•eau. gen, j..q
— Les
nourrissent
;éliorer leur clï
de brassage
demandions j j
la possibilité!
nac. le preudl
rugby nous a f
plus faire de 1
arçons le veuléj
sur un beau
subira que p
ilus notable
.amaison, de ntl
par Lapoudgej
•nier, presque
tt l'occasion
nplacer le titul
i brio indiscuti
rtin : Dupeni
u Beigbeder ;
;, Rousseau,
er, Layus ;
enge.
: Mauroux ;
guy ; (o) Cibi
Chaulet,
irré. Tissait»!
Ssvnl
int Cast
lier Ch. LAF.l|
nouvelle
ses avants
régulateur d
iniiiuiuiiiiMiuiiiii
«
Malassagne
on Gousse &
et (ml J.
Noyer
i Uoéj
Coussens
Bûche
ry
Boue
mret Bo'dessMi
Fonfrède
C. A.
IIUIUUIIIiMlMH |M, l
'.■"mi
de Sj
Cran
ees
iert à
respond. partit.
_ Battu à
ien prendre si
les absences
de Martinez
ndemênt du
is l’on note 1
ra et de l’ at !
•n soit, ü Ç st y
inéen se deroulg
risque de re-, 1 ,
itre lignes 0‘
lent égale.
HET ! GalibtnJ
ies. Gobcrt !
chel Andrieu
Azémar : R<,u
ra. Ooumeue.
NET : RoubtSj
Tisseyre
, Savoye.,
nkowski, l
L MAB&W
LA
-temus du e.j
çais-CoU'-b eVO C( ,ot , |
sputee I*
M
Sotee P af ’ ,l* %
u cynodrome E ,
du 1.500 O 1 ' 1
spart.
ïampcourt
arcel.
HAM
[LE-DE-
RCF-ACBB
iG-CSPSE
GU'
FBA>S
s d d
L,
COGNAC
TARD
7 /^ 5 ...< 3 êâiW^ COGNAC
r
LE QUOTIDIEN
LUNDI 13
5’ ANNEE
FEVRIER 1950
N* 1199
DU SPORT
10, Fg MONTMARTRE, PARIS ( 9 f )
TAITBOUT 70-80 ET LA SUITE
PETITES ANNONCES : TAITBOUT 73-40, 41, 42
SERVICE VENTE : PROVENCE 37-18
BOUGIE
PUIHIT
*»» QOUTE Qg t^E^Ng - BOULOGNE %/ SglNE
h en échec h Bordeaux, LILLE pins que jamais premier..
cor Toulouse est battu chez lui par Nice !
iü
fm
ï^i
mm
V
m
Wm
- '
» ■ ■■
Reims, 4 e larron, est, lui aussi, maîtrisé à Lens...
En haut et en bas, situation générale inchangée mais
,
w:v'"
"vT '
* ' * <
tendance à un jeu amélioré
Parmi les multiple» hypothèses que Von pouvait émettre quant aux résultats de la fournée
d'hier, en ce qui concerne du moins les quatre prétendants au titre, c'est peut-être la moins spec
taculaire qui s’est réalisée. L’on pouvait, en effet, s’attendre assez logiquement à des victoires de
Bordeaux sur Lille et de Toulouse sur ISice, ce qui aurait fait passer Toulouse en tête du classe
ment. Mais Lille ayant obtenu le match nul à Bordeaux et Toulouse s’étant fait battre in extremis
par Nice, le bénéficiaire de la journée se trouve être Lille, malgré son match nul, car il mène
maintenant avec deux points d’avance sur les deux seconds ex tequo, Toulouse et Bordeaux.
L'épreuve n’en reste pas moins très ouverte, puisque les clubs ont encore treize matches à dis
puter. Aucune situation ne peut donc être considérée comme solidement établie. Il faut cependant
reconnaître que la journée est bonne pour les Lillois qui avaient à subir une dure épreuve. Quelles
que soient les impressions directes
que Von ait pu recueillir au spec
tacle de ce combat, le onze du
LOSC a montré qu'il était loin
Maurice PEFFERKOR1N.
(Lire la suite p. 4, rubrique Football)
BIEN QUE WALTER AIT ETE ELIMINE APRES 23’
IRDER LA -VEDETTE...
De Harder, le puissant ailier hollandais des Giron
dins ASP, fut encore un des meilleurs éléments de
f contre Lille, le leader, qui fut tenu en échec (1-1). Voici de Harder en action dans le
style heurté qui lui est familier.
LIFICATI0N INATTENDUE POUR LES SEIZIEMES DE FINALE DE RUGBY
iCIOIRE DU S.C. ALBIà ANGOULÊME
e jeu de l'U.S.Bergerac!
ÏÏterroise et le S.C, Mazamet se quali-
flamment . — Malgré un beau succès ,
igen ne saurait sauter le Racing C.F.,
battu à Lyon
trente-deux équipes de Division Fédérale disputeront
le finale du Championnat de rugby. Elles étalent qua*
participèrent à la première phase de la compétition
UO octobre et achevée hier. Depuis quelques dimanches
paissait un certain nombre de clubs frappés par l'élimi
nation. La dernière journée de cet
te phase présentait donc un intérêt
assez restreint : les jeux étaient
faits dans la plupart des poules,
sauf dans les poules B, D et F.
Georges DUTHFiN.
(Lire la suite page S, rubr. Rugby XV)
EUE
NE
dans
m
TROIS NUITS EN TRAIN
néfastes aux escrimeurs
français, largement
battus par les Hongrois
par 10 victoires à 6
(Lire en rubrique Escrime
l’article de notre correspondant
général en Hongrie Louis ERDOS)
re Portages de nos
Poux :
I^ÛUT, le seul jour-
, en c ^ct et en os
ïskj 65 ^ am P' onnats
_ qui rap-
r Ur ie vaste étude sur
'ndustrie et de
U'LlET et pierre
[ enquêteront sur la
Tn° Sa ' son routière
; 0ues * et en Bel-
la relation des
ants et notam-
f compte rendu
-A * Medina-
,s ^es Sports.
L attaque lilloise, inspirée par
Tempowski, Vandooren et Strappe
JOUE A BORDEAUX
un match de leader !
Le L.O.S.C. construit mieux, Bordeaux
plus soudain, est aussi dangereux
(D’un de nos envoyés spéc. Jacques de RYSWICK)
BORDEAUX ET LILLE : 1-1 (1-1). —- Temps humide, averses
intermittentes. Terrain lourd, glissant, sablonneux par endroits. Bon
arbitrage d’ensemble de M. Le Foll. Recette : 6.581.500 fr. (record
du Championnat), pour 27.401 spectateurs payants (record local).
Buts : pour Lille, Baratte (36 e ) ; pour Bordeaux, Kargu (39 e ).
BORDEAUX. •— Il est des affiches — en football notamment ! — qui
promettent plus qu’elles ne tiennent : celle-ci, au contraire, justifia ample
ment le formidable engouement qu’elle avait suscité da*ns toute la région
bordelaise. Le match Girondins-Lille fut, dans son ensemble, un match
d’excellente tenue, joué dans un style et à une cadence très « profession
nels ». Son intensité demeura intacte jusqu'au bout, et jusqu’au bput
son résultat fut indécis. Comme ce résultat est, somme toute, conforme
à la logique sportive, tout le monde est content ce soir à Bordeaux ; les
deux équipes, leurs dirigeants et le public. Bonne journée donc et bonne
propagande pour le football dans la grande cité girondine.
Les Lillois, surtout, exultent. Ils le peuvent. Non seulement parce
qu’ils ont sauvé , leur première place,
non seulement parce que ce tour
nant du Championnat, extrêmement
critique pour eux, vient d’être fran
chi mieux qu’adroltement ; mais en
core et surtout parce qu’ils viennent
de justifier ici, et parfois de ma
nière magistrale, leur réputation de
meilleure équipe française, réputa
tion qu’on leur avait contestée ces
temps derniers.
J’ai suivi l’équipe lilloise en pas
mal d’occasions cette saison : je ne
suis pas loin de penser qu’elle vient
de livrer, à Bordeaux, son meilleur
match en valeur absolue, c’est-à-dire
compte tenu de la qualité de son
adversaire, des circonstances et des
difficultés du jeu. C’est en effet
l’équipe du LOSC qui, par sa valeur
technique, son bel équilibre, son es
prit constructif, son football classi-
ue et brillant, a conféré à ce match
essentiel de su tenue. Je vais. plus
loin : sans une malencontreuse bles
sure de Walter (déchirure des liga
ments du genou * gauche' à la 23«
minute) qui contraignit l’ailier droit
lillois au rôle de figurant, coura
geux mais impuissant, durant les
rois quarts de la partie, le LOSC*
eût très certainement enlevé la dé
cision.
DIVISION I (21* journée)
*BORDEAUX (3) et Lille (1) 1-1 (2-4)
Nice (7) b. ‘TOULOUSE (2) 3-2 (0-5)
‘LENS (13) et REIMS (4) .. 8-0 (0-5)
‘ROUBAIX (5) b. MiETZ (17) 3-1 (2-2)
*RCP (6) b. STADE-R.S. (15) 2-1 (1-2)
Sochaux (7) b. *SETE (17) 2-1 (8-1)
‘NANCY (11) b. St-Etien. (7) 2-1 (5-3)
•STRASB. (11) et Mars. (7) 1-1 (2-2)
‘RENNES (14) b, Montp. (15) 5-1 (6-5)
Pts J. G, N. P. p. c.
1. LILLE (1) ... 31 21 15 1
2. Bord. (3) ... 29 21 12 5
Toulouse (2) .. 29 21 13 3
4 Reims (4) ... 27 21 11 5
5. Roubaix (5) .. 25 21 7 11
6. RC Paris (8) 23 21
7. Nice (7) .... 22 21
Sochaux (7) .. 22 21
9. Mars. (7) .,. 21 21
10. St-Etien. (7) . 20 21
Nancy (11) .. 20 21
12. Strasb. (11) .. 19 21
13. Rennes (14) . 18 21
Lens (13) ... 18 21
15. St.-R.S. (15) . 15 21
Montpel. (15) . 15 21
17. Metz (17) ... 12 21
Sète (17) 12 21
5 59 29
4 56 24
5 50 28
5 39 27
3 30 22
7 42 31
8 43 39
8 37 35
8 36 38
8 39 36
9 37 37
9 27 44
9 42 45
4 10 31 42
5 11 28 46
3 12 31 57
0 12 32 56
4 13 26 53
uxence^
OC Sens-Ü s °
.einge 1
U SM (F ’-gctJfj
IGE M
Æ, 13 b. 4 „ 5 g
13 h ‘ ,-J|
tches am;
l-Basco-P»^
gne VlV-Asn'fnffî
gny d; ï
n s? 4 ',
ASCU _ j 1};
Ch,
une
journée
Qi upionnat de
vision.
TRIOMPHE NORMAND AU PRE-NATIONAL DE CROSS
ÉZIDON Jgià. L’EIBPBRTE
aisément en fin de parcours et
le LOU définitivement éliminé !
Grosse supériorité individuelle (mais vaine)
de Paris et un bon Silvestri
(De notre envoyé spécial Paul DUPONT)
NEVERS. — Toute la ville s’était mise à l’œuvre pour faire du Pré-
National une organisation triomphale : de la municipalité au Comité de
la Nièvre, en passant par notre confrère « France-Presse ».
Las ! Les inondations ont obligé les organisateurs de trouver au
dernier moment un parcours de remplacement sur le champ de tir. Par
cours à la convenance de tous les concurrents, donc l’essentiel : 4 bôucleè
de 3 km., sans grande difficulté, sur un sol souple mais légèrement 0-i r# la ouite p. 4, rubrique Football)
bosselé. Seul un vent assez violent
Les Girondins
is à trois semaines d’intervalle
Est-ce à dire que les Girondins
firent figure de comparses dans l’his
toire ? Que non pas. Dominés dans
leur majorité en technique indivi
duelle, en finesse d’exécution, en
subtilité, en solidité et en précision
d’évolutions collectives, ils n’en fu
rent pas moins très dangereux dans
leur réplique. Moins bien construit,
moins travaillé, posé et réfléchi que
celui des Lillois, bâti d’avantage à
l’emporte-pièce, leur effort offensif
n’en fut pas moins extrêmement
><■«01,,..
«ch 0 ,„
l0lJr dqns
SPORT
J^notionol
obligea les concurrents à un effort
sensible d’environ un kilomètre à
chaque jour.
Le côté spectaculaire fut le seul à
souffrir de ce changement de der
nière heure : il était impossible de
suivre le déroulement de la course
et la recette s’en ressentit : 20.000
francs seulement, d’où gros déficit.
Mais la régularité de l’épreuve fut
sauvegardée, ce fut le principal.
Paris, aisément
La course individuelle fut dominée
par la supériorité d’André Paris. En
2 km., il avait restreint le peloton
de tête à 5 hommes : avec lui, Allix,
Dubois, Nollet, Silvestri.
Au 5* km., Paris avait pris du
champ : près de 60 m. à Silvestri et
(Lire la suite p, 2, rubr. Athlétisme)
.-* ET S REMBOURSABLES EN 22 ANS
Kit .. "cMBOUR
5 Maison
D’UN MILLION
-PUC (r*’
Vf
1,:
(J tfO
Fr. (J
5 h- 3
, r encan 1
le terra ? ra ir‘ s -
Mn*l c0 ’
n s rt ^ 0Ur ^*800 fr. par mois
il* lo i rm u , | 0n8Uemen t
Moo ? r r *ule des mai-
„.. s de ' R* 1 ; mois.
[C 8es Pour »
Piu! Que «,,„ COnna| tre
Pa r *4 P t P° rta > e nt
nL Co °Bérar tenons à
P'Epar-
PorçoTt'
c *h mme
SOC
•Sto «ic»"»
mat 'venient
sont
Ut 1
^ 7
rmpr»TV
L'adhérent de la Coopérative
d'Epargne économise donc non seu
lement 5 fois plus vite, mais en
core dans des conditions 5 fois
plus économiques que sous toute
autre forme.
Les lecteurs de c L’Equipe >
recevront à ce sujet le meilleur
accueil aux bureaux du Comptoir
Coopératif de Crédit, 35, avenue de
l'Opéra, Paris, ouverts tous les
jours, y compris le samedi après-
midi.
DIRECTION REGIONALE A LYON
1, rue Ferrandière, LYON
( Communiqué)
T 17C ÜTATIVC T TRI? TT Garçon extrêmement doué. Aa-
AjIOJAFjiJ... ron Wilson sait tout faire sans
avoir vraiment "beaucoup appris.
L’adversaire d’Olek boxe d’instinct, répare, des postes de radio et sa
main (gauche) peint de bien souriants _ paysages. Le poids lourd
américain, du reste, a le légitime désir d’étre décorateur.
* Avant, garçon, il faut tenter de devenir champion du monde ! 9
lui a conseillé J. D. Englisch, son manager...
: (Photo A. ROQUES)
AU PALAIS
DES SPORTS
CE SOIR
EN BASKET
VILLEURBANNE
n’eut pas besoin
de NEMETH
pour vaincre
CHAMPIONNET
(Lire les détails
en rubrique Basket-Ball)
UN SENSATIONNEL MATCH-REVANCHE DE POIDS LOURDS...
Le geste prompt et aisé
AARON WILSON FRAPPERA FORT
pour battre l’obstlnU OLEK
LE T.O.E.C., EN NATATION, DOIT CEDER LE PAS
ALEX JANY : 57”
mais le R.C.F. vainqueur!
BOITEUX : 4’ 57" 8/10 AU 400 METRES
(De notre envoyé spécial Georges DUCHESNE
TOULOUSE. — La première manche de la rencontre RCF-TOEC qui
s’est déroulée hier, en fin d’après-midi, à la piscine du Parc Municipal
des Sports, aura provoqué l'enthousiasme» des habitués qui remplissaient
les gradins. Précisons tout de suite que l’épreuve-vedette — 4 x 100 mètres
fut magistralement remportée par le RCF dans une forme exceptionnelle
en 4’ 4” 6/10 (1* 1” l/io de moyen
ne...) contre 4’ 8” 1/10 au TOEC.
Et cela malgré les 57 secondes de
Jany, dont l’excellente condition
physique actuelle (il a maigri de
six kiios et ihclu s l’éducation phy
sique dans son programme quoti
dien) permet à son dévoué mentor,
l’entraîneur national Alban Minvllle,
de déclarer: « Dans deux mois à
peine, ü peut envisager de battre
le record du monde actuellement dé
tenu par Furuhashi !... »
Le 400 mètres valait à lui seul, le , . .
déplacement par la confirmation de quelques précieuses secondes au vi-
l'espoir Jean Boiteux. L’élève de rage dee 37o métrés lorsqu’il s’aper-
Minville couvrit la distance dans Ç^t qu e Cornu ne le suivait plus
son meilleur temps : 4’ 57” 8/10, Celui-ci, en effet, apres avoir mené
après s etr e payé le luxe .de perdre (Lire la suite p. 3, rubrique Natation)
JANY-FURUHASHI
A... SAO - PAULO ?
RIO-DE-JANEIRO. — La Fédération
de Sao-Paulo a l'intention de faire
venir Jany au Brésil. Le champion
français pourrait être ainsi opposé à
Furuhashi qui doit arriver prochaine
ment au Brésil, en compagnie de
Hachizuma et Yusa. — (A.F.P.)
HIER, AU VEL’ D’HIV’ DANS LE PRIX AERTS-SERES
(3 HEURES A L’AMERICAIN E)
BRUNEEL-LAPÈBIE
ont eu raison de la °furia ”
de GRAUSS-GOUJON
Kint-Van Steenbergen réveillés in extremis
Roux-Pieters , Maye-Challeau les plus ardents
Décidément, passé deux heures, da-ns une américaine qui en compte
trois, il ne se montre pas beaucoup d’équipes françaises pour répondre
aux attaques des « grands » ou pour en provoquer.
Plus que jamais, nous sommes tentés de nous ranger à l’avis de
certaines vedettes de la spécialité qui estiment que la valeur, la classe
d'une équipe doivent parler dès que le cap des 120 minutes est franchi.
Les chiffres sont là pour le prou
ver.
Hier, au Vél’ d’Hiv’, au cours du
Prix Âerts-Sérès, à l’américaine, la
parole fut accordée aux nôtres jus- -, . . - _
qu’à la mi-course. Passé ce délai, le avec joie Grauss-Goujon
commandement changea de camp et . „
tomba dans les mains de Bruneel- «pus leur lancerons des «t fleurs »
Lapébie, qui ont gagné le plus natu- P"?e .9 u , ils P UI ? n t inquiéter serieu-
relïement du mondé, et de Kint-Van cernent les « visiteurs ». en fin de
Steenberspn - course, alors qu’ils avaient été par-
bteenoergen. ml les attaquants, les leaders de la
De performance à exploit première heure.
«u îw. rtrmner la Car > 6e maintenir dans le pelo-
_-in P S Rnmeel sor- ton de dès la première minute,
Pf nt eHt nS To,,vo U ri rand 'était y demeurer fort brillamment à la
fln de la première heure, c’est très
D bien. C’est ce qui arriva à Godeau-
Parm, les abandons, .1 fautBouvard, Delescluse-J. Le Nizerhy,
1er ceux de Godeau-Bouvard, Mignat- Capelli-Souliac, Béthery-Garcia, Paul
Guill.er et Testu - Rouehet -^_ w , Moye-Challeau, Bruneel-Lapébie, et,
par Instants (très rares), Acou-
redevenu lui-même, brillamment se- Depauw.
condé par Guy Lapébie à l’apogée g e trouver encore au commande-
de sa forme, que Kint et Van Steen- men t à la sortie de la deuxième
bergen avaient retrouvé la grande neure, c’est encore fort louable,
cadence en fin de course, parce que bi en plus intéressant. Mais, ce cap
les 145 heures de Gand les avaient atteint, les compliments se rare-
rodés d’une façon parfaite, on admet- fj ent . Grauss-Goujon. Roux-Pieters
tra que l e fait même de tenir tete en 6ont les seuls bénéficiaires avec
aux coups de boutoir de ces deux
teams rois devenait une performan- Pierre BOLRRILLOiN.
ce excellente, pour se convertir en
exploit alors que, non content de (Lire la suite page 3, rubr. Cyclisme)
BII
Théo Médina restera-t-il champion de France
devant Josseau plus entraîné ? Baour , Dehaye
et Caulet sont des favoris logiques ...
Une fois de plus, on nous convie à reprendre le chemin fami
lier de Grenelle. Une fois de plus, les spectateurs assisteront à une
grande revue du poing en cinq tableaux ou, pour être plus précis,
en cinq combats.
Habile metteur en scène d’un soir sportif, .Gilbert Bena'im,
le responsable, a composé’ un programme offrant un indéniable
attrait, promettant bien des émotions.
Poids lourds... Si la secondé ’ version à Paris d’un premier
match qui opposa Aaron Wilson à Stephan Olek un soir à Bruxelles
tient seulement la moitié de ce
qu’il offrit, on peut être certain
d’assister à une fantastique bataille
du poing.
Le 4 décembre 1948, lors du pre
mier combat, littéralement soulevé
du tapis par un spectaculaire up
percut lance à la volée, Stephan
Olek, comme assommé, s’abattit. Par
un miracle de volonté, il devait se
relever cependant pour finalement
mëbtre celui qui allait devenir son
vainqueur à l’ouvrage.
On sait cela. On sait aussi qu’à
l’époque Benaïm et Baudoux, l’orga
nisateur belge, avaient, chacun de
leur côté, tenté de conclure une se
conde édition de cette bataille qui
promettait bien du. sensationnel
Tous deux échouèrent. A ce moment
James D. Englisch avait une machi
ne à calculer sous ses cheveux lai
neux et confondait volontiers les
dollars avec les francs. Vainqueur
du tournoi international de Bruxel
les, Wilson, par suite des exigences
financières de son manager, allait
rester neuf mois sans boxer.
Englisch, heureusement , fit chan
ger le clavier de sa machine (à cal
culer) et pour avoir beaucoup Atten
du, son protégé partit à la poursuite
du temps perdu.
Robert COLOMBINI.
(Lire la suite page 2, rubrique Boxe)
COUPS DE GONG...
20 h. (8x3) légers :
CAULET • Rossellni
20 h. S5 (8x3) légers :
DEHAYE - Marti lit
21 h. 10 (15x3|) coq :
Médina-JOSSEAU
(Champ, de France)]
22 h. 10 (10x3) lourds:
WILSON - Olek
23 h. (10x3) légers :.
BAOUR - Bahr!
No* favoris sont indiqués en lettres
capitales.
tenir, ces « francs-tireurs » contre-
attaquaient en fin de course.
C’est pourtant dans cette dernière
catégorie que nous placerons, aujour-
— et
14 FEVRIER
Saint VALENTIN
Patron
Du II
des Amoureux
au 18 Février
VALENTIN
ROI DES CAOUTCHOUCS
fer» une remise exceptionnelle de 20 %
sur les prix marqués à tout couple se
présentant dans l’un des magasins
VALENTIN pour y faire l’achat de deux
vêtements imperméables.
158, rue Lafayette - 5, bd Bonne-Nouvelle
6, avenue de Clichy, PARIS.
LYON - ROUEN - L4LLE - RENNES
STRASBOURG - NANCY
-COUPLES SPORTIFS
recommandez-vous de L’EQUIPE
(( C'est tout de même chic
de gagner de l'argent »:
disent les jeunes
au bout de 4 mois
Le métier de comptable est
maintenant un métier bien payé*
une profession agréable. Cette si
tuation est à votre portée. Y avez-
vous songé ?
En quatre mois vous pouvez
apprendre la comptabilité chez
vous, sans rien changer à vos occu
pations habituelles.
Demandez la documentation gra
tuite n° 3677, Ecole Française de
Comptabilité, 91, av. République*
Paris. Ne pas joindre de timbres.
Préparation aux examens officiel*
d’Etat.
HAVAS
V Pour tirs sportif W)
on n’»n ost pas moins W.
homme I ...
Constellation
!
V Lisez chaque mois yfé
Constellation
4 remèdes
à
la ialousie
I
Le Monde ru en Français
la plus grande revue française
de pehf formai
n'est pas,». Indigeste I
2
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 81.96%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 81.96%.
- Collections numériques similaires Musée national du sport. Musée national du sport. /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MnS000"
- Auteurs similaires
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/6
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bd6t5100605x/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bd6t5100605x/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bd6t5100605x/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bd6t5100605x/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bd6t5100605x
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bd6t5100605x
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bd6t5100605x/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest