Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1950-01-11
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 11 janvier 1950 11 janvier 1950
Description : 1950/01/11 (A5,N1171). 1950/01/11 (A5,N1171).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t5100577s
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/05/2021
A VO.M.
\re grand spéci n h
ipe ne réussit p/‘
tre 2 e page
i consacrée
SCOOTERS
articles de Ch. FAROUX
et de Jean BONNET
MERCREDI 11
JANVIER 1950
10, Fg Montmortre
PARIS (9'l
TAItbout 70-80;
et lo suite
Petites Annonces » £
TAl ; 73-40. 41. 42
Vente i PRO : 37-18'
Cte Postal : 4 237-93
9ir.
5 e ANNEE
N* 1171
U
pique de Marseille, c«ui
«é|!
des victoires finales en S
ctoires (1924, 1926, ig 27
943) n’a pas été heureù’ 1
dernier succès. U|
ans ses résultas depuis i
erre : 11
en 1/8 par Nice ..
. en 1/4 par St. FranV
. en 1/8 par Bordeaux' '
. en 1/8 par Angers
p
. en 1/32 par Le Havre
, en 1/32 par Monaco
TES MINES
A LENS !
corresp. particulier
- Lens, battu par !
résonne n’y croyait et-
noment d surprise pa$ s i
çait de connaître les
ifaiie.
se avait-elle été si peu
3 résister aux assauts d es |
imment les avants ti 0 ,
pour ne marquer q Ue ‘
ïu’à une heure fort a .
e, l’on n’éntendait parJ
faite, et chacun en 1
îrs sont rentrés à
AND UN SUEDOIS JUGE LE FOOTBALL DU BRESIL
(Il
influencé par la
te forte équipe européenne viendrait à bout des
stes brésiliens... sous réserve
’un arbitrage correct»
par TORSTEN TECNER
directeur de Vldrotsbladet
t que deux drigants
Jo et Gallis.
e, capitaine du onze, dé'
n'avons pas joué av ec , . / ,, _ _ , „ . . , ,
ions-nous trop confiants. une interview qu il avait accordée a France Football, M. Jules
’ c i^? sois , libér ®$ orésident de la Fédération internationale, décrit le Brésil comme
ir élim.nation leur ser ,, '
is ? Ciux-ci n'ont pi Uf °» des plages .
Champ onnat et tenter nage est frappante. Elle explique tout.,
situation qui devient a SIS y p U j S erons les vérités essentielles et les conséquences de ces
des boules et des ballons
ficile. Le nouveau comité
■di. n'a pas eu beatif jM .;' |i«
ir son début. SouhaV' i les '
tous les mordus du fojlage brésilienne est longue, I squash, racket - bail, volley - ba l,
prompte résurrection. ( ouverte, sans défense, pro- [ football... football surtout.
immune, comme le ciel est - Le climat brési |, en est trop chaud
F SF des °' s ’ eaux ' Pour que l'athlétisme puisse etre
U kJL» Vevrllûlj ... . réellement populaire. Sous- le soleil de
.traîtrise des courants inter- piomb, courir un 100 mètres fatigue,
3V/i\VJ£»Ail 1 ^ la natation en mer. Et le et même 20 ou 30 mètres epuisent
J A R/ÏDÏDMM « T 1 t’entour n'est pas accessible dans le sab [f mou Les i eüx de plage se
lAMPIONNAT imes à cause des plantes P ° r de$ |eux de ba " e '
Notre ami Torsten Tegner,
directeur de « Mdrottsbladet »,
de Stockholm, revient d’un long
voyage au Brésil.
Il nous livre, avec son talent
habituel, ses impressions a pro
pos du football en Amérique
latine Certaines de ses appré
ciations seront de nature â cho
quer les « tenants » du football
sud-américain. Rappelons que le
signataire est un Scandinave
qui traduit clairement une op-,
position parfaitement naturelle
entre deux tempéraments de
races si dissemblables.
c) Il domine enfin par son habi
tude de subir une charge correcte,
suivant les règles...
d) ...Ce qui implique la nécessite
d'un arbitrage européen (ou de forma
tion européenne) capable et juif»,
couvrant et acceptant le jeu viril, les
charges dures et correctes.
des acrobaties balle au p ed, des passes (Lire la suit® page 5. rub. Football)
HAUG S ' de végétation faite de au cordeau, des longieries de la tête des
tirs au but et — pour le gardien — de* ——————
plongeons spectaculaires, audacieux mais
sans danger.
env. sp. Marc
I-SUR-SAONE. — Cl .'chevêtrées, des bêtes veni-
r, Dieppe aurait très volantes ou rampantes :
alon-eur-Saône, imitçrdès lors, de plus naturel que
imateurs Sedan et L a?ncentration entre eou et
J avait donné dans lffl ue t° us les i eux sportifs
îtpellier à 15 contre lis côtières du Brésil aient
;_, ce était pas l’avijytissant la plage; la plage
ms, l’entraîneur méf u- , J, , - ,
dus disait après le ma blen erUendu ' et non P° lnt
nous méfiions des niqùi pré ude à la baignade !
nt toujours bien réuar'T
es Girondins, il y a nt de salles popu'aires et
avaient-ils pas eu tris encore de « Palais des
^ en ve ” Les plaqes et les terrains bail brésilien
; Chalon inconnu 3nt devenus par la forcé des
vec juste raison, puies lieux de rassemblemen
BARMAN ET (BIENTOT) MARCHAND D'ARTICLES DE SPORT
JJ
g Les charges ne font point partie des
ieux de plage. Le plaisir de chacun
c'est donc de jouer la balle avec toute
la finesse possible. Et la satisfaction des
spectateurs c'est d'adnvrer sans réserve
toute la gamme des virtuosités... dont la
charge est exclue comme une action in
congrue, de mauvais goût.
Ces jeux de plage grandissent et se
développent jusqu'à devenir le foot-
et sud-américain — à
peu près comme le « Bandy » sué
dois (1) à l'origine duquel l'on retrouve
jeu léger des garçons qui s'amusent,
ica- V* n. V.4 4-,, A- i. . - - . 1 ” jeu Idyci UCb CJUtC-UMi. LJUI baillU
ODére! j' cs (< clubs-houses » en plein avec un? balle, sur la glace et qu
SOURIRES...
beaucoup plus
ir état, furent incontfpISM
m n t d men| S pa?2 S, ou e 3!i CeS p,Q , geS ' * ur CGS terrains
en étaient fort cana eu ~ dont 1 entree est gro-
irions pu invoquer 3n entendu — Iss enfants
se - • . , , âge s'amusent avec des bal-
un bel hommage re
•eux Dieppois, car T” ——
n réserve Winckelmarr ’•/
; lustement parce citoIto
ent savoir s’adaoteiliD
ouel sol et à nlimpLTÏ
nditions.
:.rois avants de poini
olin et Kermanach av
le punch au morr'e r
*t aussi un nen nlu
fontne’lier partagerait
îjourd’hui le sort de
!.
e ossature comme C
n. Perchey, Landats.
(Povolnv, d’us 'tout
aint“nnnt tron lent)
la Division d'Honne
neuvent envisager
l’anpession au Cham:
ance.
ie nous le dtsa't, M
lent des maritimes :
;ultat contre Monfne!
i réussi contre Lille
aical (honorable dé!
Il est t-èc encourag
i r ons certainement
Championnat de
ur de la Coupe|
ment commode la victol
Jr Quimoer. nous disait
igpon. Mais Je n'ai
s tremb’é. L'équipe a
me Je pensais qu’elle
ier. Mai* J'attends enco
de Rodriguez,
contre Bordeaux, po
t cette fois, me* drus
i et Grégoire qui. d'a
b. se reposant, l’un i
autre à 'Antibes, srront
ils doivent rejoindre
matin.
oue ce repos leur auji
aurais aimé pouvoir faii
toute l’équipe une qu ri
Côte d'Azur. soit h la
la situation financier
is le permet pas.
ons essayer de redérn
impionnat. » — J. C
t beaux athlètes, trois
x poids lourds, trois sou-
Quel est te plus photoqè-
e ? Stephan Olek ? Aaron
on (au centre) ou Jo Wei-
(en Jiaut ) ? Les avis sont
t certes partagés
te qui concerne ta valeur,
, m iourra s’en rendre compte
« t, dans le ring du Pala’s
. Sports, car Olek sera l'ad-
I J* '•aire de Weidin. Et avant de
PlCIJa pntrer le vainqueur de ce
àat, lenigmatique Wilson
oppose à Eugene Robert
le hockey sur glace,
rien à ver avec
dur et viril. •
g Lorsqu'un Européen découvre le foot
ball’ sud-américain il est tout d'abord
stupéfait de cette virtuosité surprenante
fantastique dans le maniement de la
balle et ensuite, par la vitesse fou
droyante du démarrage.
Sur la plage, en effet, l'essentiel est
de s'approprier le ballon par 2 ou 3
foulées de sprinter, ds donner un coup
de pied plus ou moins élégant puis,
ensuite, le plus souvent de se laisser tom
ber sur le dos dans le sable...
a) Un joueur européen en benne
condition physique s'apercevra bien
vite qu*. les « fantômes » brésiliens
sont accessibles dès qu'il s’agit de
courir plus de 20 jnètres... et plus en
core si le match se poursuit depuis
une heure. Ici, suprématie du football
athlétique européen.
b) Le joueur européen domine en
core por sa force supérieure — du
moins s’il s'agit d'un Britannique, d’un
Scandinave eu d'un représentant de
l'U.R.S.S. — surtout vers la tin des
rencontres.
“Je crois que samedi
A ALGER
JE DONNERAI AREIFF
une bonne réplique
nous assure ANDRÉ PARIS
qui songe aussi à la saison de piste
(De notre envoyé spécial Marcel HANSENNE)
ROUEN. — îl y a des athlètes dont on dirait qu'ils sont nés pour la
course. Ils ont le geste en eux, et leur foulée semble aussi naturelle que lle
fait de respirer Tel est le cas du Normand André Paris. Mais on aurait tort
de penser que ses aptitudes s arrêtent là. En fait, lorsqu’on l'a vu, les man
ches retroussées , frotter le zinc d’un geste dégagé et remplir tes verres
comme s’il n’avait gantais fait autre chose, eh bien t l’on est obligé de
convenir que Pans, en naissant, était tout à la fois un futur grand cham
pion pédestre et un barman de premier ordre. Cela devait fatalement se
manifester un jour ou l’autre. Aujourd hui, on peut dire que c’est chose
faite , André Paris est l’un des plus beaux fleurons de notre athlétisme.
Il est aussi le propriétaire d’un café où l’on est bien reçu. Nous l’admi
rions, Jacques Lunis et moi , accueillir les clients avec l’affabilité d un
commerçant habile et patient, écoutant sans donner le moindre signe
d’impatience les histoires interminables de certains consommateurs qui
avaient, eux aussi, couru dans le temps, réalisant même des performances
extraordinaires , et qui, etc...
(Lire la suite p. 4, rub. Athlétisme)
IL Y A 4 ANS
sans grande allure
AUJOURD'HUI
beaux atouts du XV de France
et Pomathios
: I répondent enfin aux espoirs
D'ADOLPHE J AU REÇU Y !
Et LAUGA, qui l'avait déçu, revient
aussi
en scène...
La présence aux ailes de la
ligne de trois-quarts de Sinian
et de Pomathios nous remet en
mémoire un des premiers mal-
cites de sélection de l’après-
guerre. Une sorte de rassemble
ment des valeurs françaises
réelles ou supposées, avait été
faite à Limoges. Jauréguy, en
état d’alerte, observait d’un œil
vif les joueurs qui allaient se
soumettre à son^examen.
Il y en avait trois qui le fasci
naient; leur allure, leur silhouette,
l’enchantaient.
« Ce n’est pas possible d’être pa
reillement taillés, me déclarait-il,
sans être doués pour le rugby. »
Et Jauréguy me montrait le centre
Lauga et les deux ailiers, Siman et
Pomathios. A ce moment-là, aucun
des trois n avait été en réalité con
sacré grande vedette. Siman et Po
mathios faisaient en somme leurs
débuts dans le rugby. Seul Lauga
« LE BLE QUi LEVE »
« Après s’être arraché tant de cheveux, il les voit enfin repousser.^ >
ANCIEN LEGER
DEVENU POIDS LOURD
FRANÇOIS NEMETH
grand basketteur, s’est imposé...
DANS LE BERLINGOT
CHEZ PARIS...
on prépars le Championnat
d'Europe Chacun à sa manière.
André Paris (en manches de
chemise) joue... mais ne boit
pas. Jacques Lunis (en imper
méable) a bu un demi. Notre
envoyé spécial Marcel Han-
senne (à droite) tend à lais
ser croire que le verre à pied
que l’on aperçoit sur le comp
toir contient du jus de fruit...
VICTIME DUNE LEGERE ELONGATION A LEZIGNAN
PE RE Z INCERTAIN
dans le XIII de France !
Duhau révèle : « Si Raoul ne joue pas
Duffort en troisième ligne et Dop à la mêlée »
(De notre envoyé spécial Maurice MAUREL)
MARSEILLE. — Si la double défaite des footballeurs en Coupe a
dépité les Marseillais, le match de Léuignan n’â pas attristé, outre mesure,
les tenants du jeu â XIII. Ils considèrent cela comme un accident auquel
sont sujettes les équipes-fanions quand elles rendent visite à des forma
tions moins bien placées qui, devant leur public, jouent leur partie de
la saison. Tout le monde est ici persuadé que la qualification pour les
demi-finales n'est pas en cause.
Vaslin remplacera-t-il
Berthomieu ?
Berthomieu ayant tait savoir aux
sélectionneurs qu'il souffre d’une lé
gère déchirure musculaire, ceux-ci dé
cideront aujourd'hui, a Carcassonne,
s’il y a lieu de laire appel au rem
plaçant Vaslin. Rappelons que les au
tres remplaçants sont Casse, Dop et
Negrier. tous de Marseille XIII.
res
f*-'
qui * inlr-
avons trouvé
STRASBOURG,
I En attendant mieux...
l’article page 3,
en rubrique Boxe)
SOCHAUX
■»*
Besançon
• >
HABILE TACTICIEN
ke La Motta
ÉFENDRA
< 'peut-être)
J i titre contre..
I iyRobinson!
noire envoyé spécial
Jean KROUTCHTE1N)
— Après avoir rencon
/'-.^^ïii, Wa ? ner ' ,e 3 février, a De
La Motta boxera pt
t con tre | e vétéran Fr
i •’itlsburg.
f »f. 0S 5' ble que Jake La Motta
est disquahfie par le colonel
<> a t«- e T Yorh ~ se réfugié sur
e territoire de N. B. A.
! *ϰT ,iv re deux ou trois com
.J , a . Mo tta défendra sans
son titre mondial, cet
pif - R'.y Robinson.
’ssionnels de Divisé {qu? aur a d ' S e C te ed m1se la S ur° mPe
tre, le Sud-Ouest trouver un
urmilière. Cette
^flotta n'est-il
n t
...mais a définitivement renoncé à la boxe
(De notre envoyé spécial Raymond MEYER)
Z. 10.V. — Depuis trois nn,% en Friture, /’nthlétiqne basketteur
hongrois François fSemelh a cherché longtemps sa voie... Pas la
oie sportive, certes, car Neinelh, avant d'être champion de Fronce
vec Villeurbanne., T avait été déjà à Marseille. Dion, ce que Fran
çois cherchait, c'était la voie sociale. C'est dans le berlingot qu'il
semble l'avoir trouvée.
Conduit par M. Bonnardel, un aimable industriel
resse parallèlement à lu boxe et an basket, nous
\emeth — avec Bally, là plu»
grande vedette sportiûe de la cité
lyonnaise — dans la fabrique de
bonbons « Aux Douceurs de
Lyon ».
Avec la même conscience qu'il
marquait des paniers sur tous Les
terrains de f rance. Le grand loueur
franco-hongrois mai;xait avec dexté
rité La Date à bonbon. Son contre
maître, M Morand, nous déclara :
François a appris là un véritable
et délicat métier. Il est devenu main
tenant un excellent ouvrier parti
entièrement spécialise dans la fabri
cation du berlingot. »
Avec Nemeth nous avons, bien
sur, parlé basket, évoaue ciueloues
.souvenirs communs, notamment Lors
acs premiers Championnats d'Europe
a Geneve en 1946 au cours desguels
le champion hongrois, avec L ltalien
Stefanini, avait particulièrement
brille.
François nous dit encore qu’il es
comptait bien que Villeurbanne g a
gnerait a nouveau cette année le
Championnat de France en dépit de
la, valeur des équipes de Monaco
et Auboué, les deux , formations
au il craint le plus.
Mais c’est surtout de boxe ou’il
nous parle.
Nemeth. qui pèse tout juste tes
100 Kilos (pour i m. 90 g e taille)
ne fut-il pas champion de Hongrie
des poids légers à. 16 ans et demi
en 1940 ? Pourouoi. lui. si. athlé
tique. n a-t-il pas persévéré ?
professionnels de
pied
successeur
ris cinq. Mais
pas un habile
LES CHAMPIONNATS
D’EUROPE DE
NATATION DE 1950 ?
L'AUTRICHE
en flèche
L'ITALIE
espère .,.
En vue des Championnats
du monde de ski
Micheline DEMAZIERES
Lucienne SCHMITT et Jacqueline MARTEL
SÉLECTIONNÉES PROBABLES ?
nom
« Trop brutale la boxe !
assura-t-iL doucement.
Formé au « B T R. », l e D i us grand
club pugilistique hongrois d’avant
guerre, il v connut le fameux boxeur
mi-moyen Toma (maintenant Tché-
coslovaoue). champion olympique et
d’Europe. « Quel virtuose i nous
dit-il avec admiration. S’il avait nu
être professionnel il aurait été
champion du monde. J e i e croi ,
supérieur à Papy (lui champion
d Europe des poids moyens) et pour
tant ouel rude frappeur était celui-
ci. Je l’ai xu gagner dix combats
successifs et chacun en
45 secondes.. Du travail
économique f »
François, qui s’exprime avec dou
ceur en un français très pur à oeine
teinte cl accent ci conQuis ici toutes
L CS i wmpatMw. Coupé du pays na
tal dont, au fond du Cveur, il con
serve cependant la nostalgie. Nemeth
a trouve a Lyon sa seconde patrie.
environ
vraiment
et la Hongrie est
hors d’affaire
On n osait espérer un commun!
qué officie) pour hier soir, mais les
irlera hres de la Ligue européenne, qui
s'étaient réunis à la Fédération
avaient virtuellement pris leur dé
cision au cours de la soirée La com
pétition entre l'Italie et T Autriche
Maigre leurs nombreux télégrammes
les Hongrois de Budapest n'ont pu
obtenir satistastion auprès de la Li
gue Europe nne. Signalons du restr a
ee sujet aue M. Brody. Hongrois a
la Ligne, ne représente mus «on nays
qu’il a quitte depuis quelque temps
delà.
s avère très chaude. A noter que
des ô a 3’ s candidats seule l’Italie
3vait délégué deux ambassadeurs :
MM. Tappella et Casalone, respec
tivement président et secrétaire gé
néral de leur Fédération.
Malgré leur plaidoyer, le* memhrr.
présents de la Ligue Euroi^enne. les
vice-présidents fcl.-G Drigny (france),
Georges DLGIlhSMt.
(Lire la suite page 3, rub. Natation)
A Saînt-Gcrvais , samedi et dimanche
toutes nos skieuses seront en piste
(De noire correspondant particulier Philippe GAUSSOT)
CHAMONIX. — Le car qui ramenait, dans la région du mont Blanc,
les skieurs et skieuses qui ont participé à la Coupe Livacic, a déposé,
a son passage a Saint-Gervais, nos cinq internationales : Lucienne
Schmitt, Micheline Demazieres, Suzanne Thioliere, Jacqueline Martel
et Olga Chappaz, plus une demi-douzaine de skieuses qui doivent dis
puter, â Saint-Gervais les 14 et 15 janvier, le troisième Critérium
international téminin.
- Ce critérium, qui est la plus gran
de épreuve féminine de ski organi
sée en France, est assurée, cette an
née, de la participation dune qua
rantaine de skieutres
Le Critérium féminin comportera,
cette année, une course de des
cente sur la piste Verte, avec un
classement Internationa; en pre
mière série et un classement deu
xième série, un slalom sur les pen
tes de la Croix, et une course de
tond le 13. en lever de rideau, sur
une piste tracée à la hauteur de
8e|,tex. à 1 altitude moyenne de 1.200
mètres.
La course de fond verra s’affron
ter une vingtaine de skieuses origi
naires du Jura, des Vosges, des Al
pes et des Cevennes. Parmi les fa
vorites figurent Odette d’Hespei. qui
\ jusqu ici surclassé toutes ses coé
quipières avec, comme outsider pos
sible. la Jeune Vosgienne Huette
Cruqul
La descente et le slalom compte-
•ont comme avant-dermére épreuve
de sélection avant les Championnats
du monde.
On ne sait encore si l'équipe de
France pour les Etats-Unis compor
tera deux, trois ou quatre skieuses,
mais la sélection ne peut se faire,
en tout état de cause, qu entre nos
cinq internationales.
Des possibles
La sélection de Lucienne Schmitt
apparat indiscutable et, après les
-ésultats qu elle a obtenus à l'Alpe
d’Huez, on peut considérer comme
oius que probable celle de Miche-
Une Demaziéres.
Avec sa victoire dans le Kandaha-
1949. Jacqueline Martel a pris une
sérieuse option : mais on doit éga-
ement considérer qu elle a fait, en
slalom, de très gros progrès depuis
le début de la saison. Elle attaque
(Lire la suite page 4,-rubrique Stu)
Entraînement intensif
des Yougoslaves
BELGRADE. — Depuis la mi-
décembre, les skieurs yougoslaves se
préparent sous la direction d’enlral-
neurs etrangers et effectuent cette
préparation intensive sur les pentes
du Mont de Chase-Planina (Macé
doine) où vient d’etre achevé le plus
grand sky-litt des Balkans (3.000 mé
trés pour 700 m. di dénivellation)
Une équipé de huit Yougoslaves (3
skieurs alpins. 3 sauteurs el 2 cou
reurs) participera aux Championnats
du Monde et disputera quelques com
pétition en Europe avant son départ
pour les U S.A. — STEVCIC.
« Ce qu’il faut, nous dit Perez, en
jouant avec ses longues mains ex
pressives. c’est être en forme au
moment précis... Nous le serons.
— Mais encore, cette défaite ?
— Eh bien ! Lézignan a mieux
joué et puis je ne suis pas tout à
fait d’accord avec l'arbitre. »
Du côté des Joueurs, semble-t-ll.
M. Pascal n’a pas une très bonne
presse. Mais disons tout de suite
que i'entraineur Duhau. lui. ne met
pas l'arbitrage en cause : il est plus
cruel :
« Marseille a péché par excès de
confiance, c’est tout. C’est notre
nonchalance qui est responsable,
pas autre chose.
En première mi-temps, par excès
de personnalité, nos hommes ont
laissé échapper de belles occasions.
Quand ils ont voulu s'y mettre,
c’était trop tard. Les occasions ne 9e
sont plus reproduites. Lézignan, lui,
a très bien JOué. Et quel cœur !
(Lire la suite p. 4, rub. Rugby XIII)
Matheu forfait
Ferrien convoqué î
Biénès troisième ligne ?
Blessé, dimanche, A Dijon, Ma
theu a avisé la FFR qu’il ne pour
rait jouer, samedi, à Murrayheld.
Le pilier Ferrien, du Stadoceste
Tarbais, a donc été convoqué.
Comment sera définitivement for
mé le pack 7 II est probable
qu’Aristouy, cédant sa place de
pilier à Ferrien, passera en deu
xième ligne, et Biénès en troisième
ligne aile. Mais il est également
possible que Héricé soit titularisé,
soit comme troisième ligne aile,
soit comme deuxième ligne, au
quel cas Ferrien ne jouerait pas.
Autre solution à envisager i La-
vergne troisième ligne aile, Fer
rien occupant son poste en pre
mière ligne.
La première formule, cependant,
semble avoir la faveur des sélec
tionneurs.
< Cependant, déclare M. Lerou,
notre choix ne sera arrêté que ven
dredi, après l’entraînement. Quant
aux lignés arrières, pas de chan
gements en perspective. >
□ans l’équipe des Espoirs, Le-
niaud (ASM) prendra la place lais
sée vacante par Ferrien.
avait une réputation déjà assise.
Mais en dépit de son allure, Lauga
ne sortit pas, . ce Jour-là. un bon
match. On devine Ta déception de
Jauréguy. et je crois qu’en son for
intérieur notre maître sélectionneur
en a longtemps gardé rancune à,
Lauga ! Ce qui est assez curieux,
c'est que Lauga revient sur la scène,
et qu’il entre par la grande porte
dans l’équipe de France. Mais il y a
quatre ans qu’il aurait pu le faire 1
Des débuts difficiles
Quant à Pomathios et Siman, Jau
réguy savait bien qu’ils étaient des
débutants.
Marcel de LABORDERIE.
(Lire la suite page 4, rub. Rugby XV)
MAGICIEN
DE LA PETITE RAQUETTE
BERGMANN
mystifie Simons
puis Leach...
...pour garder son titre de
champion international
(Lire Varticle page 4
en rubrique Tennis de table)
AURA-T-IL UNE AUTRE COURONNE
EN AMERIQUE ?
ALPE D’HUEZ. — Les skieurs, risque-tout sur les pentes neigeuses,
sont de joyeux drilles entre les compétitions. Le photographe,
tnvoye spécial de * L'Equipe » à L’Alpe d’Huez, a pu saisir ce groupe
de joyeux rantaisistes qui, fêtant tes rois, oubliaient quelques ins
tants les rigueurs de l entraînement. Mic Besson, à gauche, pitre-
maison, aime singer Emile Prud’homme, virtuose de l’accordéon.
Avouons que sur le plan grimaces Mic serait Le gagnant. De son
côte, Henri Oreiller, au centre, en oublie ses cymbales, tandis que
Le /anlaisiste Maurice Baquet, héros des « Pieds Nickelés », parait
presque triste dêtre battu dans son attraction par des skieurs,.
■ ... n. — clowns " d'occasion, ’
ift Mû!
DE^UgR...
i A Besançon, l’arrière niçois Firoud
avait besoin de tenailles pour ar
racher des crampons à ses chaus
sures. Il dut aller les demander à
u t dirigeant de... Sedan. Revenu
dans son vestiaire, Firoud se mit
en colère :
« N'est-ce pas scandaleux d'être
obligé de s'adresser à de petits
amateurs pour avoir du matériel ? »
Depuis, les « petits » ont gran
di grâce, d'ailleurs, à Firoud et à
ses coéquipiers. Un service en vaut
bien un autre...
> « Tous nos joueurs réunis valent
moins (en monnaie transfert) qu'un
seul joueur de Nice », assurent les
dirigeants de Sedan.
Et . en monnaie-Coupe, quel est
le cours du clearing ?
•v
i Au début du match Racing CP-
Al.s, à Toulouse, l'avant centre
Peynaud (qui est en réalité un so
lide arrière) bouscule Vignot. Celui-
ci fait la grimace.
25 minutes après, à la suite d'un
corner en faveur d'Alès, Peynaud
rèste sur le carreau, mis k. o. par
un... anonyme.
Fin de la rencontre : Vignal
i entre ou vestiaire en se frottant
la dextre.
« C'est drôle, dit-il, le poing me
fait diantrement mal... »
i Avant la rencontre LOSC-Salnt-
Etienne, au Parc des Princes, Bolek
Temposwski fait une confidence :
« Ah ! s'ils pouvaient faire
match nul... »
Et comme on le traite de défai
tiste, le bon « Tempo > ajoute
dans un sourire : *
« Comme $a, pt'étre ben que je
louerais l'outre match. »
I
Pourquoi Baratte, que l'on dit ne
pas être en forme, a-t-il joué
contre bt-ctienne alors que Tem-
nowski, en plein boom, restait sur
la touche ?
Tout simplement perce que Iss
dirigeants lillois ne veulent pas dé
valoriser leur avant centre Lequel
serait transféré (en France) à la
fin de la saison.
(Gardez cette information el
nous en reparlerons en juin ou juil
let.)
) %
» L'ex-infernational de rugby, le
tapissier Marcel Jol, ne joue pas
en ce moment. Il tait tapisserie.
« J'ai des fourmis dans les lom
bes», dit-il souvent.
Et, dans les bras aussi, sans
doute, car le talonneur natiônal
vient de se bagarrer avec des
agents à Bayonne. Arrêté, il a été
relâché en raison de. ses bons an
técédents.
« Jol devrait rejouer », a dit
un membre -de la police bayon-
naise.
A cause des coups de poing ?
• Dans un café voisin de la place
des Ternes, Franck Sexton, accom
pagné de son mentor Fredo, boit
un verre de lait, puis un second.
Au troisième verre, Fredo (en
douce) commande un pastis.
« C'est du lait de chèvre »,
explique-t-il au chàmp'on du
monde. »
Et Sexton, un tantinet surpris,
dm répondre en se pourléchant les
bobouines :
« Ce qu'elles doivent boire com
me pernod, vos bétes ! •
» La semaine dernière, bon nombre
de Marseillais se faisaient de lo
bile.
« Pourvu qu'au prochain tour de
la Coupe « nos » deux équipes ne
tombent pas l'une contre l'au
tre... » disaient-ils. •
Lesdits Marseillais doivent être
rassurés aujourd'hui. « Leurs »
deux formations sont tombées...
sur deux becs.
•%
» Lors d'un match corporatif de
footbol un tantinet mouvemenfe,
le rerram de l'AS Brestoise tut par
semé de débris de bouteilles. Ré
sultat : Talarmein, avant centre de
Brest, et Boisroux, arrière de
Chartres, se sont blessés sérieuse
ment sur des tessons. Et les diri
geants brestois de se lamenter :
« Si ça continue on ne pourra
plus jouer sur notre terrain. »
Qu'ils invitent les Indes (à la
mode actuellement). Un match de
fakirs, voilà qui ferait recette...
Fernand ALBAKET.
I
\re grand spéci n h
ipe ne réussit p/‘
tre 2 e page
i consacrée
SCOOTERS
articles de Ch. FAROUX
et de Jean BONNET
MERCREDI 11
JANVIER 1950
10, Fg Montmortre
PARIS (9'l
TAItbout 70-80;
et lo suite
Petites Annonces » £
TAl ; 73-40. 41. 42
Vente i PRO : 37-18'
Cte Postal : 4 237-93
9ir.
5 e ANNEE
N* 1171
U
pique de Marseille, c«ui
«é|!
des victoires finales en S
ctoires (1924, 1926, ig 27
943) n’a pas été heureù’ 1
dernier succès. U|
ans ses résultas depuis i
erre : 11
en 1/8 par Nice ..
. en 1/4 par St. FranV
. en 1/8 par Bordeaux' '
. en 1/8 par Angers
p
. en 1/32 par Le Havre
, en 1/32 par Monaco
TES MINES
A LENS !
corresp. particulier
- Lens, battu par !
résonne n’y croyait et-
noment d surprise pa$ s i
çait de connaître les
ifaiie.
se avait-elle été si peu
3 résister aux assauts d es |
imment les avants ti 0 ,
pour ne marquer q Ue ‘
ïu’à une heure fort a .
e, l’on n’éntendait parJ
faite, et chacun en 1
îrs sont rentrés à
AND UN SUEDOIS JUGE LE FOOTBALL DU BRESIL
(Il
influencé par la
te forte équipe européenne viendrait à bout des
stes brésiliens... sous réserve
’un arbitrage correct»
par TORSTEN TECNER
directeur de Vldrotsbladet
t que deux drigants
Jo et Gallis.
e, capitaine du onze, dé'
n'avons pas joué av ec , . / ,, _ _ , „ . . , ,
ions-nous trop confiants. une interview qu il avait accordée a France Football, M. Jules
’ c i^? sois , libér ®$ orésident de la Fédération internationale, décrit le Brésil comme
ir élim.nation leur ser ,, '
is ? Ciux-ci n'ont pi Uf °» des plages .
Champ onnat et tenter nage est frappante. Elle explique tout.,
situation qui devient a SIS y p U j S erons les vérités essentielles et les conséquences de ces
des boules et des ballons
ficile. Le nouveau comité
■di. n'a pas eu beatif jM .;' |i«
ir son début. SouhaV' i les '
tous les mordus du fojlage brésilienne est longue, I squash, racket - bail, volley - ba l,
prompte résurrection. ( ouverte, sans défense, pro- [ football... football surtout.
immune, comme le ciel est - Le climat brési |, en est trop chaud
F SF des °' s ’ eaux ' Pour que l'athlétisme puisse etre
U kJL» Vevrllûlj ... . réellement populaire. Sous- le soleil de
.traîtrise des courants inter- piomb, courir un 100 mètres fatigue,
3V/i\VJ£»Ail 1 ^ la natation en mer. Et le et même 20 ou 30 mètres epuisent
J A R/ÏDÏDMM « T 1 t’entour n'est pas accessible dans le sab [f mou Les i eüx de plage se
lAMPIONNAT imes à cause des plantes P ° r de$ |eux de ba " e '
Notre ami Torsten Tegner,
directeur de « Mdrottsbladet »,
de Stockholm, revient d’un long
voyage au Brésil.
Il nous livre, avec son talent
habituel, ses impressions a pro
pos du football en Amérique
latine Certaines de ses appré
ciations seront de nature â cho
quer les « tenants » du football
sud-américain. Rappelons que le
signataire est un Scandinave
qui traduit clairement une op-,
position parfaitement naturelle
entre deux tempéraments de
races si dissemblables.
c) Il domine enfin par son habi
tude de subir une charge correcte,
suivant les règles...
d) ...Ce qui implique la nécessite
d'un arbitrage européen (ou de forma
tion européenne) capable et juif»,
couvrant et acceptant le jeu viril, les
charges dures et correctes.
des acrobaties balle au p ed, des passes (Lire la suit® page 5. rub. Football)
HAUG S ' de végétation faite de au cordeau, des longieries de la tête des
tirs au but et — pour le gardien — de* ——————
plongeons spectaculaires, audacieux mais
sans danger.
env. sp. Marc
I-SUR-SAONE. — Cl .'chevêtrées, des bêtes veni-
r, Dieppe aurait très volantes ou rampantes :
alon-eur-Saône, imitçrdès lors, de plus naturel que
imateurs Sedan et L a?ncentration entre eou et
J avait donné dans lffl ue t° us les i eux sportifs
îtpellier à 15 contre lis côtières du Brésil aient
;_, ce était pas l’avijytissant la plage; la plage
ms, l’entraîneur méf u- , J, , - ,
dus disait après le ma blen erUendu ' et non P° lnt
nous méfiions des niqùi pré ude à la baignade !
nt toujours bien réuar'T
es Girondins, il y a nt de salles popu'aires et
avaient-ils pas eu tris encore de « Palais des
^ en ve ” Les plaqes et les terrains bail brésilien
; Chalon inconnu 3nt devenus par la forcé des
vec juste raison, puies lieux de rassemblemen
BARMAN ET (BIENTOT) MARCHAND D'ARTICLES DE SPORT
JJ
g Les charges ne font point partie des
ieux de plage. Le plaisir de chacun
c'est donc de jouer la balle avec toute
la finesse possible. Et la satisfaction des
spectateurs c'est d'adnvrer sans réserve
toute la gamme des virtuosités... dont la
charge est exclue comme une action in
congrue, de mauvais goût.
Ces jeux de plage grandissent et se
développent jusqu'à devenir le foot-
et sud-américain — à
peu près comme le « Bandy » sué
dois (1) à l'origine duquel l'on retrouve
jeu léger des garçons qui s'amusent,
ica- V* n. V.4 4-,, A- i. . - - . 1 ” jeu Idyci UCb CJUtC-UMi. LJUI baillU
ODére! j' cs (< clubs-houses » en plein avec un? balle, sur la glace et qu
SOURIRES...
beaucoup plus
ir état, furent incontfpISM
m n t d men| S pa?2 S, ou e 3!i CeS p,Q , geS ' * ur CGS terrains
en étaient fort cana eu ~ dont 1 entree est gro-
irions pu invoquer 3n entendu — Iss enfants
se - • . , , âge s'amusent avec des bal-
un bel hommage re
•eux Dieppois, car T” ——
n réserve Winckelmarr ’•/
; lustement parce citoIto
ent savoir s’adaoteiliD
ouel sol et à nlimpLTÏ
nditions.
:.rois avants de poini
olin et Kermanach av
le punch au morr'e r
*t aussi un nen nlu
fontne’lier partagerait
îjourd’hui le sort de
!.
e ossature comme C
n. Perchey, Landats.
(Povolnv, d’us 'tout
aint“nnnt tron lent)
la Division d'Honne
neuvent envisager
l’anpession au Cham:
ance.
ie nous le dtsa't, M
lent des maritimes :
;ultat contre Monfne!
i réussi contre Lille
aical (honorable dé!
Il est t-èc encourag
i r ons certainement
Championnat de
ur de la Coupe|
ment commode la victol
Jr Quimoer. nous disait
igpon. Mais Je n'ai
s tremb’é. L'équipe a
me Je pensais qu’elle
ier. Mai* J'attends enco
de Rodriguez,
contre Bordeaux, po
t cette fois, me* drus
i et Grégoire qui. d'a
b. se reposant, l’un i
autre à 'Antibes, srront
ils doivent rejoindre
matin.
oue ce repos leur auji
aurais aimé pouvoir faii
toute l’équipe une qu ri
Côte d'Azur. soit h la
la situation financier
is le permet pas.
ons essayer de redérn
impionnat. » — J. C
t beaux athlètes, trois
x poids lourds, trois sou-
Quel est te plus photoqè-
e ? Stephan Olek ? Aaron
on (au centre) ou Jo Wei-
(en Jiaut ) ? Les avis sont
t certes partagés
te qui concerne ta valeur,
, m iourra s’en rendre compte
« t, dans le ring du Pala’s
. Sports, car Olek sera l'ad-
I J* '•aire de Weidin. Et avant de
PlCIJa pntrer le vainqueur de ce
àat, lenigmatique Wilson
oppose à Eugene Robert
le hockey sur glace,
rien à ver avec
dur et viril. •
g Lorsqu'un Européen découvre le foot
ball’ sud-américain il est tout d'abord
stupéfait de cette virtuosité surprenante
fantastique dans le maniement de la
balle et ensuite, par la vitesse fou
droyante du démarrage.
Sur la plage, en effet, l'essentiel est
de s'approprier le ballon par 2 ou 3
foulées de sprinter, ds donner un coup
de pied plus ou moins élégant puis,
ensuite, le plus souvent de se laisser tom
ber sur le dos dans le sable...
a) Un joueur européen en benne
condition physique s'apercevra bien
vite qu*. les « fantômes » brésiliens
sont accessibles dès qu'il s’agit de
courir plus de 20 jnètres... et plus en
core si le match se poursuit depuis
une heure. Ici, suprématie du football
athlétique européen.
b) Le joueur européen domine en
core por sa force supérieure — du
moins s’il s'agit d'un Britannique, d’un
Scandinave eu d'un représentant de
l'U.R.S.S. — surtout vers la tin des
rencontres.
“Je crois que samedi
A ALGER
JE DONNERAI AREIFF
une bonne réplique
nous assure ANDRÉ PARIS
qui songe aussi à la saison de piste
(De notre envoyé spécial Marcel HANSENNE)
ROUEN. — îl y a des athlètes dont on dirait qu'ils sont nés pour la
course. Ils ont le geste en eux, et leur foulée semble aussi naturelle que lle
fait de respirer Tel est le cas du Normand André Paris. Mais on aurait tort
de penser que ses aptitudes s arrêtent là. En fait, lorsqu’on l'a vu, les man
ches retroussées , frotter le zinc d’un geste dégagé et remplir tes verres
comme s’il n’avait gantais fait autre chose, eh bien t l’on est obligé de
convenir que Pans, en naissant, était tout à la fois un futur grand cham
pion pédestre et un barman de premier ordre. Cela devait fatalement se
manifester un jour ou l’autre. Aujourd hui, on peut dire que c’est chose
faite , André Paris est l’un des plus beaux fleurons de notre athlétisme.
Il est aussi le propriétaire d’un café où l’on est bien reçu. Nous l’admi
rions, Jacques Lunis et moi , accueillir les clients avec l’affabilité d un
commerçant habile et patient, écoutant sans donner le moindre signe
d’impatience les histoires interminables de certains consommateurs qui
avaient, eux aussi, couru dans le temps, réalisant même des performances
extraordinaires , et qui, etc...
(Lire la suite p. 4, rub. Athlétisme)
IL Y A 4 ANS
sans grande allure
AUJOURD'HUI
beaux atouts du XV de France
et Pomathios
: I répondent enfin aux espoirs
D'ADOLPHE J AU REÇU Y !
Et LAUGA, qui l'avait déçu, revient
aussi
en scène...
La présence aux ailes de la
ligne de trois-quarts de Sinian
et de Pomathios nous remet en
mémoire un des premiers mal-
cites de sélection de l’après-
guerre. Une sorte de rassemble
ment des valeurs françaises
réelles ou supposées, avait été
faite à Limoges. Jauréguy, en
état d’alerte, observait d’un œil
vif les joueurs qui allaient se
soumettre à son^examen.
Il y en avait trois qui le fasci
naient; leur allure, leur silhouette,
l’enchantaient.
« Ce n’est pas possible d’être pa
reillement taillés, me déclarait-il,
sans être doués pour le rugby. »
Et Jauréguy me montrait le centre
Lauga et les deux ailiers, Siman et
Pomathios. A ce moment-là, aucun
des trois n avait été en réalité con
sacré grande vedette. Siman et Po
mathios faisaient en somme leurs
débuts dans le rugby. Seul Lauga
« LE BLE QUi LEVE »
« Après s’être arraché tant de cheveux, il les voit enfin repousser.^ >
ANCIEN LEGER
DEVENU POIDS LOURD
FRANÇOIS NEMETH
grand basketteur, s’est imposé...
DANS LE BERLINGOT
CHEZ PARIS...
on prépars le Championnat
d'Europe Chacun à sa manière.
André Paris (en manches de
chemise) joue... mais ne boit
pas. Jacques Lunis (en imper
méable) a bu un demi. Notre
envoyé spécial Marcel Han-
senne (à droite) tend à lais
ser croire que le verre à pied
que l’on aperçoit sur le comp
toir contient du jus de fruit...
VICTIME DUNE LEGERE ELONGATION A LEZIGNAN
PE RE Z INCERTAIN
dans le XIII de France !
Duhau révèle : « Si Raoul ne joue pas
Duffort en troisième ligne et Dop à la mêlée »
(De notre envoyé spécial Maurice MAUREL)
MARSEILLE. — Si la double défaite des footballeurs en Coupe a
dépité les Marseillais, le match de Léuignan n’â pas attristé, outre mesure,
les tenants du jeu â XIII. Ils considèrent cela comme un accident auquel
sont sujettes les équipes-fanions quand elles rendent visite à des forma
tions moins bien placées qui, devant leur public, jouent leur partie de
la saison. Tout le monde est ici persuadé que la qualification pour les
demi-finales n'est pas en cause.
Vaslin remplacera-t-il
Berthomieu ?
Berthomieu ayant tait savoir aux
sélectionneurs qu'il souffre d’une lé
gère déchirure musculaire, ceux-ci dé
cideront aujourd'hui, a Carcassonne,
s’il y a lieu de laire appel au rem
plaçant Vaslin. Rappelons que les au
tres remplaçants sont Casse, Dop et
Negrier. tous de Marseille XIII.
res
f*-'
qui * inlr-
avons trouvé
STRASBOURG,
I En attendant mieux...
l’article page 3,
en rubrique Boxe)
SOCHAUX
■»*
Besançon
• >
HABILE TACTICIEN
ke La Motta
ÉFENDRA
< 'peut-être)
J i titre contre..
I iyRobinson!
noire envoyé spécial
Jean KROUTCHTE1N)
— Après avoir rencon
/'-.^^ïii, Wa ? ner ' ,e 3 février, a De
La Motta boxera pt
t con tre | e vétéran Fr
i •’itlsburg.
f »f. 0S 5' ble que Jake La Motta
est disquahfie par le colonel
<> a t«- e T Yorh ~ se réfugié sur
e territoire de N. B. A.
! *ϰT ,iv re deux ou trois com
.J , a . Mo tta défendra sans
son titre mondial, cet
pif - R'.y Robinson.
’ssionnels de Divisé {qu? aur a d ' S e C te ed m1se la S ur° mPe
tre, le Sud-Ouest trouver un
urmilière. Cette
^flotta n'est-il
n t
...mais a définitivement renoncé à la boxe
(De notre envoyé spécial Raymond MEYER)
Z. 10.V. — Depuis trois nn,% en Friture, /’nthlétiqne basketteur
hongrois François fSemelh a cherché longtemps sa voie... Pas la
oie sportive, certes, car Neinelh, avant d'être champion de Fronce
vec Villeurbanne., T avait été déjà à Marseille. Dion, ce que Fran
çois cherchait, c'était la voie sociale. C'est dans le berlingot qu'il
semble l'avoir trouvée.
Conduit par M. Bonnardel, un aimable industriel
resse parallèlement à lu boxe et an basket, nous
\emeth — avec Bally, là plu»
grande vedette sportiûe de la cité
lyonnaise — dans la fabrique de
bonbons « Aux Douceurs de
Lyon ».
Avec la même conscience qu'il
marquait des paniers sur tous Les
terrains de f rance. Le grand loueur
franco-hongrois mai;xait avec dexté
rité La Date à bonbon. Son contre
maître, M Morand, nous déclara :
François a appris là un véritable
et délicat métier. Il est devenu main
tenant un excellent ouvrier parti
entièrement spécialise dans la fabri
cation du berlingot. »
Avec Nemeth nous avons, bien
sur, parlé basket, évoaue ciueloues
.souvenirs communs, notamment Lors
acs premiers Championnats d'Europe
a Geneve en 1946 au cours desguels
le champion hongrois, avec L ltalien
Stefanini, avait particulièrement
brille.
François nous dit encore qu’il es
comptait bien que Villeurbanne g a
gnerait a nouveau cette année le
Championnat de France en dépit de
la, valeur des équipes de Monaco
et Auboué, les deux , formations
au il craint le plus.
Mais c’est surtout de boxe ou’il
nous parle.
Nemeth. qui pèse tout juste tes
100 Kilos (pour i m. 90 g e taille)
ne fut-il pas champion de Hongrie
des poids légers à. 16 ans et demi
en 1940 ? Pourouoi. lui. si. athlé
tique. n a-t-il pas persévéré ?
professionnels de
pied
successeur
ris cinq. Mais
pas un habile
LES CHAMPIONNATS
D’EUROPE DE
NATATION DE 1950 ?
L'AUTRICHE
en flèche
L'ITALIE
espère .,.
En vue des Championnats
du monde de ski
Micheline DEMAZIERES
Lucienne SCHMITT et Jacqueline MARTEL
SÉLECTIONNÉES PROBABLES ?
nom
« Trop brutale la boxe !
assura-t-iL doucement.
Formé au « B T R. », l e D i us grand
club pugilistique hongrois d’avant
guerre, il v connut le fameux boxeur
mi-moyen Toma (maintenant Tché-
coslovaoue). champion olympique et
d’Europe. « Quel virtuose i nous
dit-il avec admiration. S’il avait nu
être professionnel il aurait été
champion du monde. J e i e croi ,
supérieur à Papy (lui champion
d Europe des poids moyens) et pour
tant ouel rude frappeur était celui-
ci. Je l’ai xu gagner dix combats
successifs et chacun en
45 secondes.. Du travail
économique f »
François, qui s’exprime avec dou
ceur en un français très pur à oeine
teinte cl accent ci conQuis ici toutes
L CS i wmpatMw. Coupé du pays na
tal dont, au fond du Cveur, il con
serve cependant la nostalgie. Nemeth
a trouve a Lyon sa seconde patrie.
environ
vraiment
et la Hongrie est
hors d’affaire
On n osait espérer un commun!
qué officie) pour hier soir, mais les
irlera hres de la Ligue européenne, qui
s'étaient réunis à la Fédération
avaient virtuellement pris leur dé
cision au cours de la soirée La com
pétition entre l'Italie et T Autriche
Maigre leurs nombreux télégrammes
les Hongrois de Budapest n'ont pu
obtenir satistastion auprès de la Li
gue Europe nne. Signalons du restr a
ee sujet aue M. Brody. Hongrois a
la Ligne, ne représente mus «on nays
qu’il a quitte depuis quelque temps
delà.
s avère très chaude. A noter que
des ô a 3’ s candidats seule l’Italie
3vait délégué deux ambassadeurs :
MM. Tappella et Casalone, respec
tivement président et secrétaire gé
néral de leur Fédération.
Malgré leur plaidoyer, le* memhrr.
présents de la Ligue Euroi^enne. les
vice-présidents fcl.-G Drigny (france),
Georges DLGIlhSMt.
(Lire la suite page 3, rub. Natation)
A Saînt-Gcrvais , samedi et dimanche
toutes nos skieuses seront en piste
(De noire correspondant particulier Philippe GAUSSOT)
CHAMONIX. — Le car qui ramenait, dans la région du mont Blanc,
les skieurs et skieuses qui ont participé à la Coupe Livacic, a déposé,
a son passage a Saint-Gervais, nos cinq internationales : Lucienne
Schmitt, Micheline Demazieres, Suzanne Thioliere, Jacqueline Martel
et Olga Chappaz, plus une demi-douzaine de skieuses qui doivent dis
puter, â Saint-Gervais les 14 et 15 janvier, le troisième Critérium
international téminin.
- Ce critérium, qui est la plus gran
de épreuve féminine de ski organi
sée en France, est assurée, cette an
née, de la participation dune qua
rantaine de skieutres
Le Critérium féminin comportera,
cette année, une course de des
cente sur la piste Verte, avec un
classement Internationa; en pre
mière série et un classement deu
xième série, un slalom sur les pen
tes de la Croix, et une course de
tond le 13. en lever de rideau, sur
une piste tracée à la hauteur de
8e|,tex. à 1 altitude moyenne de 1.200
mètres.
La course de fond verra s’affron
ter une vingtaine de skieuses origi
naires du Jura, des Vosges, des Al
pes et des Cevennes. Parmi les fa
vorites figurent Odette d’Hespei. qui
\ jusqu ici surclassé toutes ses coé
quipières avec, comme outsider pos
sible. la Jeune Vosgienne Huette
Cruqul
La descente et le slalom compte-
•ont comme avant-dermére épreuve
de sélection avant les Championnats
du monde.
On ne sait encore si l'équipe de
France pour les Etats-Unis compor
tera deux, trois ou quatre skieuses,
mais la sélection ne peut se faire,
en tout état de cause, qu entre nos
cinq internationales.
Des possibles
La sélection de Lucienne Schmitt
apparat indiscutable et, après les
-ésultats qu elle a obtenus à l'Alpe
d’Huez, on peut considérer comme
oius que probable celle de Miche-
Une Demaziéres.
Avec sa victoire dans le Kandaha-
1949. Jacqueline Martel a pris une
sérieuse option : mais on doit éga-
ement considérer qu elle a fait, en
slalom, de très gros progrès depuis
le début de la saison. Elle attaque
(Lire la suite page 4,-rubrique Stu)
Entraînement intensif
des Yougoslaves
BELGRADE. — Depuis la mi-
décembre, les skieurs yougoslaves se
préparent sous la direction d’enlral-
neurs etrangers et effectuent cette
préparation intensive sur les pentes
du Mont de Chase-Planina (Macé
doine) où vient d’etre achevé le plus
grand sky-litt des Balkans (3.000 mé
trés pour 700 m. di dénivellation)
Une équipé de huit Yougoslaves (3
skieurs alpins. 3 sauteurs el 2 cou
reurs) participera aux Championnats
du Monde et disputera quelques com
pétition en Europe avant son départ
pour les U S.A. — STEVCIC.
« Ce qu’il faut, nous dit Perez, en
jouant avec ses longues mains ex
pressives. c’est être en forme au
moment précis... Nous le serons.
— Mais encore, cette défaite ?
— Eh bien ! Lézignan a mieux
joué et puis je ne suis pas tout à
fait d’accord avec l'arbitre. »
Du côté des Joueurs, semble-t-ll.
M. Pascal n’a pas une très bonne
presse. Mais disons tout de suite
que i'entraineur Duhau. lui. ne met
pas l'arbitrage en cause : il est plus
cruel :
« Marseille a péché par excès de
confiance, c’est tout. C’est notre
nonchalance qui est responsable,
pas autre chose.
En première mi-temps, par excès
de personnalité, nos hommes ont
laissé échapper de belles occasions.
Quand ils ont voulu s'y mettre,
c’était trop tard. Les occasions ne 9e
sont plus reproduites. Lézignan, lui,
a très bien JOué. Et quel cœur !
(Lire la suite p. 4, rub. Rugby XIII)
Matheu forfait
Ferrien convoqué î
Biénès troisième ligne ?
Blessé, dimanche, A Dijon, Ma
theu a avisé la FFR qu’il ne pour
rait jouer, samedi, à Murrayheld.
Le pilier Ferrien, du Stadoceste
Tarbais, a donc été convoqué.
Comment sera définitivement for
mé le pack 7 II est probable
qu’Aristouy, cédant sa place de
pilier à Ferrien, passera en deu
xième ligne, et Biénès en troisième
ligne aile. Mais il est également
possible que Héricé soit titularisé,
soit comme troisième ligne aile,
soit comme deuxième ligne, au
quel cas Ferrien ne jouerait pas.
Autre solution à envisager i La-
vergne troisième ligne aile, Fer
rien occupant son poste en pre
mière ligne.
La première formule, cependant,
semble avoir la faveur des sélec
tionneurs.
< Cependant, déclare M. Lerou,
notre choix ne sera arrêté que ven
dredi, après l’entraînement. Quant
aux lignés arrières, pas de chan
gements en perspective. >
□ans l’équipe des Espoirs, Le-
niaud (ASM) prendra la place lais
sée vacante par Ferrien.
avait une réputation déjà assise.
Mais en dépit de son allure, Lauga
ne sortit pas, . ce Jour-là. un bon
match. On devine Ta déception de
Jauréguy. et je crois qu’en son for
intérieur notre maître sélectionneur
en a longtemps gardé rancune à,
Lauga ! Ce qui est assez curieux,
c'est que Lauga revient sur la scène,
et qu’il entre par la grande porte
dans l’équipe de France. Mais il y a
quatre ans qu’il aurait pu le faire 1
Des débuts difficiles
Quant à Pomathios et Siman, Jau
réguy savait bien qu’ils étaient des
débutants.
Marcel de LABORDERIE.
(Lire la suite page 4, rub. Rugby XV)
MAGICIEN
DE LA PETITE RAQUETTE
BERGMANN
mystifie Simons
puis Leach...
...pour garder son titre de
champion international
(Lire Varticle page 4
en rubrique Tennis de table)
AURA-T-IL UNE AUTRE COURONNE
EN AMERIQUE ?
ALPE D’HUEZ. — Les skieurs, risque-tout sur les pentes neigeuses,
sont de joyeux drilles entre les compétitions. Le photographe,
tnvoye spécial de * L'Equipe » à L’Alpe d’Huez, a pu saisir ce groupe
de joyeux rantaisistes qui, fêtant tes rois, oubliaient quelques ins
tants les rigueurs de l entraînement. Mic Besson, à gauche, pitre-
maison, aime singer Emile Prud’homme, virtuose de l’accordéon.
Avouons que sur le plan grimaces Mic serait Le gagnant. De son
côte, Henri Oreiller, au centre, en oublie ses cymbales, tandis que
Le /anlaisiste Maurice Baquet, héros des « Pieds Nickelés », parait
presque triste dêtre battu dans son attraction par des skieurs,.
■ ... n. — clowns " d'occasion, ’
ift Mû!
DE^UgR...
i A Besançon, l’arrière niçois Firoud
avait besoin de tenailles pour ar
racher des crampons à ses chaus
sures. Il dut aller les demander à
u t dirigeant de... Sedan. Revenu
dans son vestiaire, Firoud se mit
en colère :
« N'est-ce pas scandaleux d'être
obligé de s'adresser à de petits
amateurs pour avoir du matériel ? »
Depuis, les « petits » ont gran
di grâce, d'ailleurs, à Firoud et à
ses coéquipiers. Un service en vaut
bien un autre...
> « Tous nos joueurs réunis valent
moins (en monnaie transfert) qu'un
seul joueur de Nice », assurent les
dirigeants de Sedan.
Et . en monnaie-Coupe, quel est
le cours du clearing ?
•v
i Au début du match Racing CP-
Al.s, à Toulouse, l'avant centre
Peynaud (qui est en réalité un so
lide arrière) bouscule Vignot. Celui-
ci fait la grimace.
25 minutes après, à la suite d'un
corner en faveur d'Alès, Peynaud
rèste sur le carreau, mis k. o. par
un... anonyme.
Fin de la rencontre : Vignal
i entre ou vestiaire en se frottant
la dextre.
« C'est drôle, dit-il, le poing me
fait diantrement mal... »
i Avant la rencontre LOSC-Salnt-
Etienne, au Parc des Princes, Bolek
Temposwski fait une confidence :
« Ah ! s'ils pouvaient faire
match nul... »
Et comme on le traite de défai
tiste, le bon « Tempo > ajoute
dans un sourire : *
« Comme $a, pt'étre ben que je
louerais l'outre match. »
I
Pourquoi Baratte, que l'on dit ne
pas être en forme, a-t-il joué
contre bt-ctienne alors que Tem-
nowski, en plein boom, restait sur
la touche ?
Tout simplement perce que Iss
dirigeants lillois ne veulent pas dé
valoriser leur avant centre Lequel
serait transféré (en France) à la
fin de la saison.
(Gardez cette information el
nous en reparlerons en juin ou juil
let.)
) %
» L'ex-infernational de rugby, le
tapissier Marcel Jol, ne joue pas
en ce moment. Il tait tapisserie.
« J'ai des fourmis dans les lom
bes», dit-il souvent.
Et, dans les bras aussi, sans
doute, car le talonneur natiônal
vient de se bagarrer avec des
agents à Bayonne. Arrêté, il a été
relâché en raison de. ses bons an
técédents.
« Jol devrait rejouer », a dit
un membre -de la police bayon-
naise.
A cause des coups de poing ?
• Dans un café voisin de la place
des Ternes, Franck Sexton, accom
pagné de son mentor Fredo, boit
un verre de lait, puis un second.
Au troisième verre, Fredo (en
douce) commande un pastis.
« C'est du lait de chèvre »,
explique-t-il au chàmp'on du
monde. »
Et Sexton, un tantinet surpris,
dm répondre en se pourléchant les
bobouines :
« Ce qu'elles doivent boire com
me pernod, vos bétes ! •
» La semaine dernière, bon nombre
de Marseillais se faisaient de lo
bile.
« Pourvu qu'au prochain tour de
la Coupe « nos » deux équipes ne
tombent pas l'une contre l'au
tre... » disaient-ils. •
Lesdits Marseillais doivent être
rassurés aujourd'hui. « Leurs »
deux formations sont tombées...
sur deux becs.
•%
» Lors d'un match corporatif de
footbol un tantinet mouvemenfe,
le rerram de l'AS Brestoise tut par
semé de débris de bouteilles. Ré
sultat : Talarmein, avant centre de
Brest, et Boisroux, arrière de
Chartres, se sont blessés sérieuse
ment sur des tessons. Et les diri
geants brestois de se lamenter :
« Si ça continue on ne pourra
plus jouer sur notre terrain. »
Qu'ils invitent les Indes (à la
mode actuellement). Un match de
fakirs, voilà qui ferait recette...
Fernand ALBAKET.
I
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 81.86%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 81.86%.
- Collections numériques similaires Fauré Gabriel Fauré Gabriel /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Fauré Gabriel" or dc.contributor adj "Fauré Gabriel")Caligula, musique de scène pour le drame d'Alexandre Dumas, fragment symphonique, transcription pour piano à 2 mains par Amédée Reuchsel /ark:/12148/bpt6k19132571.highres "Caligula. 5e acte (n° 3) 2e choeur". Musique de scène pour la tragédie d' Alexandre Dumas père. Mélodrame et choeur à 2 voix de femmes. Réduction pour choeur et piano, op. 52 (manuscrit autographe) /ark:/12148/btv1b10886485g.highres
- Auteurs similaires Fauré Gabriel Fauré Gabriel /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Fauré Gabriel" or dc.contributor adj "Fauré Gabriel")Caligula, musique de scène pour le drame d'Alexandre Dumas, fragment symphonique, transcription pour piano à 2 mains par Amédée Reuchsel /ark:/12148/bpt6k19132571.highres "Caligula. 5e acte (n° 3) 2e choeur". Musique de scène pour la tragédie d' Alexandre Dumas père. Mélodrame et choeur à 2 voix de femmes. Réduction pour choeur et piano, op. 52 (manuscrit autographe) /ark:/12148/btv1b10886485g.highres
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/6
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bd6t5100577s/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bd6t5100577s/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bd6t5100577s/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bd6t5100577s/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bd6t5100577s
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bd6t5100577s
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bd6t5100577s/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest