Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1946-05-11
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 11 mai 1946 11 mai 1946
Description : 1946/05/11 (A1,N46)-1946/05/12. 1946/05/11 (A1,N46)-1946/05/12.
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t5100200s
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/05/2021
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LES HOMMES DE PARIS-WATT IGNIES
SERONT-ILS CEUX DE PARIS-AMBOISE
DANS LE
PARIS-TOURS
rtoviPF
SAMEDI H
«t DIMANCHE
12 MAI 1946
13 # Fg Montmartre
PARIS (9 e )
PROvence 85-21
Abonnements :
3 mois.... . 140 fr.
6 mois 260 fr.
Cte Postal 423-793
Le Nizerhy chez les Français
à l'avant-garde des routiers-sprinters
des deux camps
ET... NATIONAL)
l.)
Fr.,
11 s. 5
5
S'il faut un “rouleur” : l’Italien Camellini
Si l'on croit aux phénomènes: le Hollandais Schulte !
BALEZo Bonduel, Danguillaume, Maye, G. Lapébie, Blum, Claes, Diot,
Teisseire, Gauthier, Tassin, Caput, A. Pieters, Caffi, etc .
56 s. i
m. 6 s.
i m V' 1 U u ’ est - ce que Paris-Tours ? Procédons par comparaison, encore
6 m] 57 3u’il n’y ait pas une seule course sur route ressemblant exactement
3 m. 20 i celle de la 40* édition de laquelle nous assisterons demain. A la ri-
36 m lï »ueur, on pourrait assimiler — le standing de l’une étant égal à celui
4 3 ’ de l’autre — l’épreuve ultra-rapide à un Paris-Roubaix amputé de
J' « enfer » qui commence à Wattignies, mais agrémenté, en revan-
6.145 poinjibe, de la côte de la sortie d’Amboise et. si l’on tient aux légendes,
: rança is : lu « mur » de Bléré.
rtAHF. : 5.890 pts ut ° n devrait donc admettre qu’un Pa-
; diallo : 6.742 *is-Am boise est assimilable à un Pa-
“is-Wattignles — 215 km. d'une part ;
-21 km. de l’autre — et que la di-ffé-
AGEZ-VOUS ’ eric é existant entre les tronçons Am-
toise-Tours et Wattignies-Roubaix dé-
DE paris. — Orgsermine à elle seule, ou presque, la
.de de l’ASB, à Caractéristique dominante de chacune
nge Jean-Raquin les deux « classiques ».
Bilan de Paris-Tours 1948 s
48 Belges, 13 Italiens de France, 2
Luxembourgeois, 3 Hollandais, 1 Amé
ricain, soit 69 étrangers contre 166
Français.
guerre ; l’homme qui est capa.ble de
tous les exploits : le pistard routier
qui gagna une étape du Tour de
France : le Hollandais Gémit Schulte.
Nous Pavons classé parmi les rou-
leurs. Personne ne se méprendra sur
notre opinion à son sujet : U est.
certes, un spécialiste du train, puis
qu’il manqua de 3 secondes seulement
le Grand Prix des Nations 1938, enlevé
par Antonin Magne, mais il sprinte
aussi l
Claude TILLET.
(Suite en rubrique oyelisme)
2 VICTOIRES
A ZÉRO
Ma c Phail et Ba rton
Les Français ne peuvent pas perdre ce premier tour de fa Coupe Davis.
Cet après-midi, M. Bernard et Destremau devraient gagner le double.
Demain, Pellizza aura un adversaire à sa taille
en Barton, mais Pétra écrasera Mac Phail.
Le dimanche 20 mai 1939, eur le Central de Roland-Garros, P. Pel
lizza vient de battre le Chinois H. Ho: 7-5, 4-6, 6-2, 6-4. Le rideau tombe
sur le cinquième acte de France-Chine. Il ne se relèvera que sept ans
plus tard, presque jour pour jour. Et c’est le même P. Pellizza qui
nous gagnera le premier point sur l’Anglais Mac Phail. Victoire facile
en vérité. Le jeu du Français est plus précis, plus varié et surtout
plus rapide. Plus agressif aussi.
Petra , tel un cheval de frise, semble itre une barrière infranchissable. En
réalité , mené à t-e moment 0-4 au cours du -premier set il joue contracté et
frappe la balle de toute sa puissance , (Photo L'EQUIPE).
miotT-séniorr : S T As *, lmilatlon un simpliste, cela
j 00 m 'a de soi. mais qui va nous servir
0 m 4x1 000 m ,e bas ® Première. Essayons, en effet,
et poids a cadet! 6 transporter, au pied de la côte
I Ambolse, le peloton de tête de Watti-
las, sur 300 m. cajWJes... ,
fcquet, sur 1.500 : Nous avons là : G. Claes, Grysolle,
Henry-Marcheix, Gauthier, Le Nizerhy Teisseire, Per
rs concours, disque, Masson, Blum, Idée Martineau,
n 1912 et antérwurtanguillaume, Soffiettl, Tassin, Hert-
Irickx, Kint, Devreese, Bonduel, Vlae-
l—
et hauteur,
avant le 14
43, rue Meslay, fi
TRAVERS ST-DES]
tS. — Organisé le ;
AS Gaziers de Pari
LE TROPHEE
DES FREINS LAM
ix. Equipes de 15 et;
à 1.500 m. Eng.r
• (9)’ jusqu’au ta;
secrétaire général, 1
8«).
[QUILLES
Comme les années précédentes, le
Trophée des Freins LAM est mis en
compétition dans le classique Paris-
Tours.
Le Trophée des Freins LAM sera
définitivement attribué à la marque
OfP. qui comptera trois victoires non
km., par le SO r consécutives.
tllenge G.-Péri, par Alcyon l’a gagné en 1942 et en
s FSGT. — Au niés en 1946 avec Paul Maye.
tlenge M.-Guennec, J S’il gagne encore cette année, il
ite. Nombreux prix; en deviendra le définitif détenteur.
3 deux épreuves. ! Si la victoire va à une autre mar-
9, rue La Bruyère! *l ue , celle-ci recevra le Trophée des
Doulev. J.-Jaurès, i Freins LAM pour l’année 1946.
Autres convives.-.
Toutefois, d'autres coureurs ne pren
dront pas le départ en qualité de spec
tateurs i Au rayon des sprinters et.
routiers rapides, on doit mentionner
Paul Maye — que l’on pourrait bien
voir réapparaître — G. Lapébie, Gou
ttai, De Muer. A. Pieters. Piot. Maco-
rig. Caput, Van Steenbergen — dont
le départ est malheureusement incer
tain — le jeune Diot, enfin. Au rayoo
des routeurs : Camellini. que l’on ne
décramponnera pas, mais qui ne pour
rait triompher que détaché, ce qui est
un handicap plus considérable encore
dans Paris-Tours que partout ailleurs ;
Albert Dolhats, Baratin, Caffi — qui
6 e « défend » aussi au sprint, on le
sait 1 — Neuville. Callens, et puis...
Et puis l’homme que nous n’ayons
pas revu sur la route depuis l’avant-
Aujourd’hui
15 heures
Stade
Municipal
Bordeaux
PLEINE D’INTÉRÊT, LA FINALE DE LA C0ÜPE DE RUGBY 15 !
Le titre honorera le
Le duel Bergougnan-Cazenave sera-t-il décisif ?
U inquiétude paloise porte sur la composition des lignes arrière
—* nck ’ Maelfalt. Deciercq, De Simpe-
îl ! M y eTe - Th têtard, De Ba^rc, et quelques
officiel
I mires Nous aurions aussi Muller, Hé.
, .nu. Schotie, s’il ne leur était arrivé
sseu r omciei (. ■ la p îeur quelque kilomètres aupara-
s et (V > grands
Eh bien ! très franchement, nous ne
oyons pas pour quelles raisons ces
nèmes coureurs ne seraient pas au
endez-vous tourangeau, demain après-
OQUES
COUPES
OBJETS D’JI
du Temple, P/f
De nombreux Belges sont arrivés
à Paris dès hier. Notamment : Lowle,
Grysolle, Moerenhnut, Van der Helst,
Van Herzelc, Terryn, Sens, Georges
Claes, vainqueur de Paris-Roubaix,
E.a M/7WMI doit être là cc matin.
Udi ! Tons 6ont engagés. Aucun n’a
, TT „ D . T* tttfj l'^Biérité depuis. Reste à savoir quel
)UERA LA leur comportement sur un ter-
■s Angers b. * ac ',J|n moins inconfortable et plus ac-
a Vierzon. — ^ ld ,enté i
jouée par deux N- <
■ment égale pratm* Pour Ciaes. pas de discussion : il
^ aéré. ût aussi bien fait... Pour Gauthier.
> mi temos Tou'.o doudnel. Vlaemynck, pas davantage
réussit a ’ transfoi* doute. Mats Le Nizerhy n’eftt peut-
e et à marquer nas fléchi ; mais Teisseire aurait
De son côté Ai'« tlns d °ute P 11 ressaisir, mais Mar-
transformé. ’ n6an et Danguillaume nj se seraient
\ les Angevins se M effondrés ; mais De Simpelaere
lâce à une mêlée *4» été là...
la direction des r: Bref, sur la piste de Tours, on eût
i essai sur départ ssisté au sprint quasi traditionnel
un coup franc. .
les avants, d’un ^
touche £;.;p #r | e vilooo
Le 40 e Paris-Tours est organisé
Club de Tours et
Parisien Libéré »,
le «
VERRA-T-ON PLÜS CLAIR, DEMAIN SOIR, DANS LE CHAMPIONNAT DE FOOTBALL î
rent en
nauvaise mêlée,
adroits, ont réussi
T équipe, dans >
ine mi-temps et “;.une bonne dizaine de champions, et
blessure de son » , n pas à un em b a n aK6 4 trois,
lus homogènes, P
•t. La mêlée parut o'JEt c est bien là, à quoi nous nous
trois-quarts furent dus attendons à La veille de cette or-
équipe dut son suce anlsation, par le Parisien Libéré,
l permit de tenir, une compétition dont la nhvsionomie
i mêlée furent l es ênérale ne varie que tout à fait ex-
. — Brisson. mtlonnelRement.
,L
,S ENLEVENT !
S. — Hier après-®!
l’ENSEP, les ,
île d’Evreux et “J
Arts et Métiers
finale du chs* ;
supposait, la reii^"
misque, à la fin
les adversaires
■e égal. C’est se
rolongations que
leux buts, s’assit
le titre par 8 s
; mi-temps, toute! 0 ]
ttement à l’ava»
3eux-ci, meilleurs
i jeu précis de P®* |
it leurs actions P 1 ;
xois, au contraire. f [
ficace en défense '
tirs par des reb°
LES TENANTS DU TITRE NE SONT P AS EN DANGER !
La victoire carcassonnaise
ne f ait pas de doute en finale
du Championnat des XIII
Demis et trois-quarts toulousains ne semblent pas en mesure
de résister aux assauts des attaquants audois
On ne pouvait espérer une finale de Championnat de France au*si régulière.
L’AS Carcassonne et Toulouse Ol méritent bien i’honneur de se retrouver au der
nier acte de la compétition. N’ont-ils pas t er miné respectivement premier et second
des matches aller et retour ?
On est tr ® 8 circonspect à Toulouse sur
l’issue de la renoontre. On craint que
dt mis et trois quarts ne soient pas en
airrure de résister aux assaut* des atta
quants audois et qu’ainsi les efforts des
avants toulousains soient stériles.
Par contre à Carcassonne la confiance
est inébranlable. Certainement, il arrive
Quelquefois que la composition d’une équi
pe soit difficile à réaliser, mais quand
les réserves sont de classe le problème
n’est pas insoluble. Llari jeune et Calbè-
CHAMPIONNAT DE FRANCE (fin.)
Lyon : AS Carcassonne c. Tou
louse Ol.
COUPE DE FRANCE
(fin. amateurs)
Béliers : AS Tonnelns c. RC Orange.
TOULOUSE OLYMP. (maillot
blanc cerclé bleu, culotte blanche, bas
bleus et blancs. — Arr. : 1 Teyche-
né ; 3/4 : 2 Perex, 3 Mercier, 4
Sabarthez, 5 Cantoni, 1/2 (o) 6
Allemane, (m) 7 Dubaien ; Av. 3* 1. :
13 Brunetaud (cap.), 2» 1. : 12
Bonneeaze, il Dax, Ire 1. : 10 Latail-
de, 9 Benoist, 8 Audoubert.
AS CABCASSONNE (maillot Jaune
et noir, culotte noire, bas jaunes et
noirs). — Arr. : 1 Puig-Aubert ;
3/4:2 Trescazes, 3 Llart 1, 4 L’a-
ri 2 ou Hurard, 5 Thomas ; 1/2 (o)
6 Guilhen, (m) 7 Labazuy ; Av. :
3* 1. : 13 Calhète ou Py, 2« 1. : 12
Mouton, 11 Manzon, Ire 1. : 10
Poeh (cap.), 9 Martin, 8 Carrère.
te blessé* sont douteux. Si le premier
nommé ne pouvait tenir sa place on adop
terait l’une des solutions suivantes : une
aile Trescazes Pousinet ou Hurard-Tres-
cazes.
Les avants audois supérieurement en
levés par Poch, Mouton, Martin, Carrère
doivent largement donner des occasions
aux attaquants et ceux-ci ne manqueront
pas de trouver la fissure. De plus, le phé
nomène qu’est Puig-Aubert peut se char
ger par ses coups de pied de donner le
coup de grâce à l’adversaire.
L’AS Carcassonne doit conserver son
titre. E!l e le mérite car elle a été l’équi
pe la plus régulière de la saison.
RC Orange et AS Tonneins, eux, plus
modestement, mais avec autant d’énergie
tenteront d’enlever la Coupe de France
des amateurs.
Tonneins semble mieux armé.
L. F.
de partie, appl'9 ( j
leur entraîneur. •
abandonnaient ^
alités
Saint-Etienne, chez lui, devant Rennes
Lille, à Strasbourg, poursuivent leur lutte
lécisive..
Nouvelle journée difficile pour les clubs mal
classés qui se déplacent pour la plupart
our la défense
Ge titre de champion de France de football dépendra-t-il du ré-
râce à des quan iitat des ma t c hes que vont livrer demain, d’une part Saint-Etienne
Malgré :Ur son terrain contre Rennes, de l’autre Lille à Strasbourg ? Admet-
ies* îJc!ÎZ 9 ue Saint-Etienne gagne et que Lille soit battu, ce dernier comp
tait alors trois points de retard
ps
URRENTS NOD
iformances. L a tâche difficile des Lillois
qui loue
arquaient,
réactions
„ voir tr son concurrent direct. Et,
om teît'unè nonnualgré l’avantage d’un match de
es vainqueurs, aveC » lus ., à ( mer credi prochain
srel fut excellent ,\ Marseille), la. position de
tandis que A* 1 ;quipe lilloise serait dangereusement
élaient redoutable rsnlée. Car — le Red Star vient de
>rges Duthen. prouver — le onze marseillais consti-
; toujours un écueil difficile à fran-
5ME ,,tr. Tout comme Strasbourg d’ailleurs 1
championnats ;.. . ....
a" 1 en P Vugci- ld p'a r v i * m P‘onnat sur i '.rois déplacements dif -
... df s i îles en une semaine est-il sous la me-
sme va B 5ns cesse ( 'f de se retrouver mercredi prochain,
nt de slfe stan cé de trois points par Saint-
h,~l îf à f.ll.t d,
néliorées lors des ,,,
junior Martin jjiourtant, le match nul de Sochaux
aux-Arts, a réalt'^j* ,'fa . constitué pour Lille un sérieux
liméon, junior aU*jy >* r tis^ment. Et nous devons penser
en longueur. D :U ,, n i fois, l'équipe de Bourbotte ne
Duquesnoy a c ° u ' a îssera pas désunir, et que ses avant%
et Lemaître fui ! u ,sir °nt à prendre l’avantage sur la
aps excellent de - en*e strasbourgeoise. Mais sa tâche
finales ne mana'j°'yi ,a tx t r émement difficile , il n'est per.
santés ., même P^ : »° ur *•«" ‘
Malgré la bonne forme
des Rennais...
Reims, Roubaix et Lens
n’ont plus d’illusions !
Il faudrait maintenant un concours
exceptionnel de circonstances pour que
l’un des suivants immédiats de Saint-
Etienne et Lille parvint à devancer les
deux clubs de tête. Reims et Roubaix,
qui reçoivent respectivement le Red Star
et Lens, ne se font, d’ailleurs guère
d’illusions à ce sujet. Les deux clubs nor
distes joueront donc un match de clas
sement, qui peut revenir aux Roubaisiens,
tandis que la rencontre de Reims est
surtout importante pour le Red Star.
^ a . r ce dernier vient de perdre deux
points à Marseille, et il n’est pas tel
lement à l’abri de la zone dangereuse (
Toutefois, le club audonien éprouvera
bien de la peine à améliorer sa situa
tion...
DIVISION NATIONALE
•St-ETIENNE 1 e. Rennes 5. (3-2)
•Strasbourg 10 e. LILLE 2.. (1-4)
•REIMS 3 c. Red Star 10 .. (3-0)
15 h. 30 'ROUB. 4 e. Lens 6. (1-2)
•ROUEN 7 c. Metz 16 (0-0)
•SETE 10 e. Cannes 7 (1-2)
•RACING 7 e. Lyon 15 (0-1)
Lundi 18 h. 'MARSEILLE 10
e. Le Havre 16 (3-4)
•SOCHAUX 18 c. Girond. 14. (’-3)
2» DIVISION (Nord)
VALENC. 4 c. STADE 2 (1-3)
MATCHES INTERNATIONAUX
Aujourd’hui :
Londres : ANGLETERRE e. S tisse
Demain j
Amsterdam : Hollande e. BELGIQUE
Luxembourg : Luxemb. e. SUISSE B
I!
Une journée cruciale
pour les mal classés
en sera probablement ainsi des au
tres compétiteurs mal classés. Lyon, qui
lutte avec une méritoire énergie, tentera
de prendre en défaut le RC Paris à
Samt-Ouen. Les Lyonnais, pour qui cha
que rencontre revêt actuellement la
forme d’un match de Coupe, peuvent
accrocher sérieusement leurs rivaux pa
risiens. Néanmoins la logique commande
d’indiquer ceux-ci comme favoris,
Sochaux reçoit les Girondins. Ces der
niers abattent, comme Lyon, leurs der
nières cartes. Mais pour peu que So
chaux -(pourtant privé de Jérusalem et
Joly) manifeste les mêmes dispositions
Balsan n nleir.c";, j».. j. " ,— *'“* 9 ue Marseille devant Lille, les Giron-
tnüve rouvrant r « nf ° rc «r P°*>- dms n’amélioreront pas leur actif. Note
rfote ' Delerol. ifC , V"’. Tf’nlt, Hon* T dU * rou P e ' identique pour .V*/* qui se déplace à
battait égale» eI,t JL,.?., ’’ “* i 1 volontaire remon- Rouen, et pour Le Havre qui joue lundi à
battait » “" t ‘ t . u « Jj n . d ". £alU marquapt* Marseille, en dépit des récents succès
«£tt* tta çhamjuonnat, ^emportés par Met* et Le Havre sur
,,h 8n * .toème temps, Saint-Etienne,
une victoire finale sur la-
)UE BALSAN ^ re^.* lle >■ ne comptait plus voilà quel-
nr mis à mal Je es semaines, extériorisera contre Ren-
î, 5 et 10 km- . it * un dynamisme décuplé. Le onze sté-
attaqué au reeOi ^ «mois disposera de Cuissard, absent
le Suédois Mjk^ffl^irsredi à Bordeaux. 11 ne devrait pas
Balsan a nie»"- • r( } re l’occasion de renforcer
Marseille et Roubaix. Site, enfin, doit
renforcer sa position aux dépens de
Cannes^ qu’il reçoit.
Ainsi, la journée de demain, si elle
peut nous apporter quelque éclaircissement
en ce qui regarde la lutte pour le ‘itre,
risque de voir les clubs mal classés cam
per sur leurs positions, sauf Marseille,
qui devrait avoir virtuellement assuré,
lundi soir, sa place en division natio
nale. ,
Dernière en deuxième division
Dernier match en deuxième division
le Stade Français se rend à Valenciennes.
S’il faut en juger par !a récente tenue
de J’équipe parisienne, celle-ci n’a plus
grande ambition. Et à moins qu’elle mette
un point d’honneur à terminer sa saison
officielle en beauté, elle risque fort d’être
en sérieuse difficulté Mais oomme Valeu-
ciennes n’a, lui aussi pas grand’chôse à
gagner dans l'histoire...
Jacques de RYSWICK*
Le rideau va tomber sur la saison 1945-46. On l’espère du moins,
car nul ne peut affirmer que le dernier acte de la Coupe de France
se terminera par un résultat positif.
Pourtant, depuis la création de
la Coupe de France, aucune fi
nale n’a apporté avec elle autant
d’intérêt. Car le Stade Toulousain, éli
miné en championnat de Franee par la
Section Paloise en poule de quatre, va re
trouver son vainqueur et n’est certaine
ment pas disposé à lui faire le moindre
cadeau. Quant aux Béarnais, Us sont per
suadés qu’ils n’ont aucune raison de ne
pas enlever Coupe et Championnat.
Alors, au Stade Municipal de Bordeaux
les spectaeurs Girondins abonnés aux fi
nales de Coupe n’abandonneront pas faci
lement leur privilège. Le spectacle de
vra être de qualité.
Une fatigue
qu’on dit ne pas être...
A tout seigneur, tout honneur ! Depuis
sa victoire en Championnat de France, on
a coutume d’affirmer devant les succès
pénibles de la Section que ses joueurs sont
fatigués et que chaque nouvelle victoire
n’est due qu’à des circonstances favorisées
par la chance.
Or, s'il est manifeste que les dirigeants
béarnais ont eu des inquiétudes, seules,
les blessures subies par quelques joueurs
sont selon eux la cause de ce déséquilibre
lois ? C’est au moment où on désespère
le plus d'eux qu’ils se retrouvent. Et ’e
sort, s'il leur est souvent favorable, n’ou
blie pas que les exploits personnels de
Cazenave et les coups de pied de Carra 3U-
ze sont là pour forcer sa décision.
...et une tactique
qui doit prévaloir
Les commentaires vont bon train à Tou
louse. Barran et Bergougnan ont déjà
avec ce T. O. enlevé la Coupe. Ils sont
persuadés de récidiver avec le Stade.
On comprend un peu leur optimisme. La
belle ordonnance du «t XV » stadiste re
peut être diminué. L’essentiel est d’adop
ter la tactique adéquate.
Louis FERDINAND.
(Suite en rubrique Rugby XV)
Et la différence s’accuse d’autant
que la manière de Mac Phail est
lentq et purement défensive; son
revers est meilleur que son coup droit,
mais très souvent jl est trop loin de la
balle. Nous ne voudrions pas contrister
ce sympathique écossais, innis^ nous ne
pouvons taire que cette première partie
ne fut autre chose qu'un , cavalier _ seul ;
jamais un match. Non, aujourd’hui, son
chardon n’était pas très piquant.
Bon départ de Barton, mais...
La rencontre Pétra-Barton fut d’une
toute autre qualité et le début laissait
prévoir une grande partie. Le jeune an
glais partit en trombe et aligna _quatre
jeux de suite; ses longs coups droits, ses
DOUBLES FAUTES AU SERVICE :
Pellizza : 3. Mac Phail : 10. Pe
tra :2. Barton : 6.
SERVICES PERDUS :
Pellizza : 4. Mac Phail : 8. Pé
tra : 2. Barton : 6.
ACES
Pétra : 5. Barton : 1.
DUREE DES SETS t
Pelllzza-Mac Phail :
1er : 23’ ; 2« : 15' ; 3- : 15’
Pétra-Barton : 1er s 32’ ; 2* : 26’ j
3’ 22’'.
revers croisés, ses habiles contrepieds
sont bien exécutés; ils surprennent son
adversaire qui est en difficulté, surtout
sur l e revers. Mais Pétra ne joue jamais
mieux que quand il est mal-plené ; il s’ap
plique aussi bien au service que dans les
répliques, monte au filet et modifie si
bien la physionomie de la partie qu’il ali
gne six jeux de rang et s’octroie une
manche qui semblait difficile à capter.
La chute malencontreuse que fit Barton
Les joueurs de tennis exigent le
-silenee sur le court. Le moindre
bruit les gêne, paraît-il.
Mais dans leur tribune, ces mêmes
joueurs n’arrêtent pas de « discuter
le coup » durant les parties.
Silence,, d’aecord. Mais partout.
à la fin de c e premier set ne modifia
sans doute pas le sens de la partie, mais
lui fut une gêne certaine par la suite. Au
cours de g deux autres manches il donne
ra -maintes preuves de ses qualités de
lutteur qui font bien augurer de son ave
nir; à la deuxième manche quand il re
monte de 5 -î à s-4, à la troisième quand
menant 3-1, il doit renoncer, par deux
fois, à marquer 4-1. Un peu de malchan
ce et beaucoup de fatigue l’ont sans dou
te privé du gain mérité d’un set. Mais
nous le retrouverons : d’ici un an —
ou deux — quand il aura développé l’en
semble de son jeu, sa très bonne atta
que et son rapide déplacement seront des
atouts maîtres. Son capitaine est content
de lui; il trouve qu e ce premier déplace
ment est plein de promesses. C’est entiè
rement notre avis.
Le double
à la portée des Français
Nous abordons la seconde journée avec
le gain mieux qu’appréciable de a points
à rien. Il semble donc tout à fait impro
bable que nous puissions perdre cette
PREMIERE JOURNEE :
P. Pellizza b. D. Mac Phail : 6-1, 6-2,
6-2 ; Y. Pétra b. D.W.E. Barton :
6-4, 6-4, 6 3.
AUJOURD’HUI A 14 H. : Gremillet
c. Grandet (exhibition) ; à 15 h. 30 :
double de la Coupe Davis : M. Ber-
nard-Destremau c. J. OlIiff-H.BillIng-
ton ; suivi de : H. Cochet-J. Brugnon
c. J. Borotra-Bolelli.
DIMANCHE A 14 H. 15 : D.W.E.
Barton c. P. Pellizza ; suivi de : D,
Mac Phail c. Y. Pétra.
rencontre. Même si le double devait nous-
échapper. Ce qui nous parait légèrement
pencher en faveur des Anglais c'est que
ceux ci traitent ces sortes de parties en
cohésion et non en superposition, comme
trop souvent les nôtres. Mais M. Bernard
et Destremau seront là pour mettre tout
en œuvfe afin de s'approprier le troisiè
me e t dernier point. S’ils devaient échouer,
notre horizon ne serait pas obscurci pour
si peu et même si Barton devait inquiéter
Pellizza, supposition excessive, comment
accorder la moindre chance à Mac Phail
en face de Pétra? Si nous menons 3-0,
donc si nous avons gagné ce premier
tour de Coupe, il est possible que Gré-
millet soit désigné pour jouer à la piaco
de Pellizza — ou de Pétra.
Jacques BEX,
OPINION UNANIME :
Le central de Roland- Garros
trop lent pour les joueurs anglais
Impression de beaucoup :
LES FRA NÇAIS IRONT LOIN EN COUP E DAVIS
La limonade allait bon train au sortir de l'étuve du court cen
trai. Et c'est avec une paille à la bouche ou un verre à la main
que nous avons surpris la plupart de nos confidents.
« Il est difficile de tirer une
conclusion de ce rapide débat si
ce n’est que les Anglais man
quaient d’accoutumance, nous dit Chris
tian Boussus, Le court central de Ro
land Garros est beaucoup trop lent pour
des joueurs habitués à pratiquer sur
l'herbe. Dans son élément , Barton , par
exemple, doit être « méchant ». Il de -
viendra fort s'il stabilise son jeu. »
Et Boussus termine ainsi : « Si l’équipe
de France ne fait pas de bêtises elle ga
gnera en Europe. »
Voici Jacques Brugnon, les yeux cligna -
tants.
c Les Anglais ont pratiqué un jeu très
honorable sur un court difficile, nous
lance-t-il entre deux discussions techni
ques. I! fallait cependant que les nôtres
soient bons pour gagner comme ils l’ont
fait. »
STADE TOULOUSAIN (maillot
rouge et noir, culotte blanche, bas |
rouges). Arr. : 15 Melet; 3/4 : 11 j
Lassègue, 12 Brouat. 13 Gaussens,
14 Dutrain; 1/2 (o) 10 Bacqué, 9
Bergougnan; Av. ; Ire 1. : 3 Man-
zoni, 1 Vidal, 2 Lopez; 2« 1. : 5 Car
rère, 4 Fabre, 3* 1. ; 8 Barran (cap.),
7 Noé, 6 Caraguel.
SECTION PALOISE (maillot blanc
culotte blanche, bas verts). Arr. : 15
Carmouze; 3/4 : 11 Duthen, 12 Des
claux, 13 P. Lauga, 14 Borbes, 1 /2
(o) 10 Lassalle, (m) 9 Cazenave;
Av. ; Ire 1. : 3 Moncassin, 1 Martin,
2 Larrai, 2» 1. : 5 Aristouy, 4
Tucoo (cap.), 3« 1. : 8 Theùx, 7
Salzet, 6 J. Lauga.
tout à fait passager. La seconde mi-temps
devant le Biarritz Olympique a redonné
confiance à tous et le moral est excel
lent.
Pourtant, Rousse semblé avoir définiti
vement raccroché. Si Salzet doit faire sa
rentrée en troisième ligne remplaçant
ainsi Içibal, c’est sur la composition des
lignes arrières que l’entraîneur Albert Ca
zenave est perplexe. Estrade ou Guittard
ont tous deux une entorse à la cheville.
Alors l’ancien international fera appel à
Bordes, bon défenseur, mais attaquant de
qualité médiocre.
Il n’est pas du tout dit que dans le
dernier quart d’heure la Section n’enlève
pas le titre. Il se peut que ses contre-
Age et poids moyens de la ligne
d’avants du Stade : 29 ans, 85 kg. 700.
Age et poids moyens de la ligne
d’avants de la Section c ' 27 ans,
*4 kg.
attaques soient décisives et que ses avants
dans le jeu ouvert arrivent à s'imposer.
A la mêlée ou à la touche ils doivent être
battus. Le poids avantagera les Toulou
sains. Mais sait-on jamais avec les Pa-
FRANCE-ANGLETERRE, CE SOIR, 20 HEURES, A U PALAIS DES SPORTS
les Jeunes boxeurs amateurs anglais
doivent confirmer leur supé riorité
Seuls, Mennegault et Bentz paraissent avoir des chances
de vaincre et Neubauer peut prendre sa revanche
12.000/spectateurs assistèrent le 13 mars dernier à l’Empire Pool de Wembley,
au match France-Angleterre de boxe amateur que les Brtaratiques gagneront par
oinq victoires à trois. La FFB nous présente ce soir au Palais des Sports la re
vanche de cette grande rencontre internationale et il faut souhaiter que le publio
vienne aussi nombreux car le spectacle
des meilleurs amateurs britanniques dont
on connaît la boxe classique sera cer
tainement de qualité.
Les deux équipes qui Sç rencontrèrent
à Wembley ont subi quelques modifiea.
tions, mais nous ne pouvons guère es
pérer -un résultat final meilleur car nous
L’HISTORIQUE DE LA RENCONTRE
1,4 première rencontre FRANCE
ANGLETERRE se déroula au Sporting
Club de France en 1923, à Paris. Les
Anglais triomphèrent par 6 victoires
à deux.
Depuis aueune rencontre complète
n’eut lieu entre les deux pays, sauf
à Wembley où les Anglais nous batti
rent par 5 victoires à 3.
qui boxe en fausse garde et est très ra
pide.
L» poids coq Squires, champion de la
RAF, un des meilleurs éléments de l’équi
pe britannique, sera également favori de
vant le Marseillais Deianna.
M. Mallin donne le numéro un de son
team au poids plume Brander qui boxait
dans les coq à Wembley et devrait bat
tre notre représentant Sliman, qualifié en
l’absence du champion de France Arias.
Dans les poids légers nous assisterons
à une revanche de la rencontre du 13
mars entre Thomas et Neubauer. A Lon
dres, ce dernier fut battu de justesse aux
points et il a une chance de prendre sa
revanche à Paris.
Le match des welters pourrait fort bien
HORAIRK
20 h. : 1er des quatre combats
franco-anglais « hors compétition ».
21 h. ; Présentation des deux équi
pes.
21 h. 30 : Première partie du pro
gramme :
FRANCE-ANGLETERRE j quatre
eombats : mouche, coq, plume, légers.
22 h. 30 : Entracte.
22 h. 40 : Seconde partie du pro
gramme : mi-moyens, moyens, mi-
lourds et lourds.
n’obtiendrons très probablement pas plus
de 3 victoires sur les 8 combats pré
vus.
Dans les poids mouche, Gallagher qui,
à Wembley, battit C’ivatti par arrêt à la
2* reprise sera opposé au champion de
France LIaty. Ce dernier en finale des
championnats n’obtint la décision que de
peu aux points sur Clivatti. Cette pre
mière rencontre devrait donc se terminer
à l’avantage du champion d’Angleterre
LEUR ACE
LIaty : 31 ans ; Gallagher
20
ans.
Deianna
22 ans ; Squires
24
ans.
Sliman :
20 ans.; Brander
19
ans.
Neubauer
: 20 ans ; Thomas
: 19
ans.
Humetz
19 ans ; Ryan ;
26
ans.
Escudié. :
19 ans ; Turpln
17
1 2.
Bentz :
23 ans ; Taylor :
25
ans.
Mennegault s 32 ans ; Watson ;
31 ans.
Les Italiens favoris au Grand Prix
aulomobile de Marseille ; mais
viendront-ils ?
En leur absence, une victoire de Chaboud
serait fort possible
(De notre envoyé spécial Maurice HENRY)
MARSEILLE. — Grands dieux, qu’il est difficile, aujourd’hui, de
mettre sur pied une compétition automobile ! Les dirigeants de
l’Automobile Club de Marseille et de Provence, dont on ne saurait
trop louer l’esprit sportif et le désintéressement, en font l’expérience
â leur tour. Jusqu’à la toute dernière minute, ils auront été sou
mis au régime de la douche écossaise.
Les Italiens, Nuvolari à leur tête,
doivent courir • leur participation au
Grand Prix de Marseille est ensuite
démentie ; puis elle est assurée ; à
la fin de cet après-midi, ils sont at
tendus et on annonce leur arrivée dans
la soirée. C’est, pour les organisateurs,
une véritable « guerre des nerfs ».
Il est certain que si les pouvoirs
sportifs appliquaient les règlements
à 1a lettre, nous n'assisterions pas à
un désordre qui n’a jamais été aussi
grand et qui tend à s'amplifier, car
ils mettraient les concurrents dans
l'obligation de respecter lés délais
prescrits.
En boxe, en cyclisme, en football ou
louî autre sport* le pouvoir eportil
est agissant. En automobile, 11 est
inexistant. Il serait temps que cela
change.
Revenons-on au Grand Prix de Mar
seille qui sera disputé dimanche
après-midi en deux éliminatoires et
une finale, sur le circuit du Prado,
dont le développement est de 3 km. 600.
Leï concurrents seront répartis dans
les éliminatoires d’après les temps en
registrés aux essais, c’est-à-dire celui
ayant réalié le meilleur temps dans
la première éliminatoire, celui ayant
réalisé le deuxième meilleur temps
dans la deuxième et ainsi de suite.
La finale réunira les six premiers
de chaque éliminatoire.
Si les Maserati de la Scuderia Mila
no sont au départ, c’est évidemment
l une d elles qui triomphera, avec Nu-
voiari sans doute. Dans le cas con
traire. nous assisterons à une lutte
beaucoup plu» serrée entr* Chaboud
et Grignard sur Delahaye, TrinLignant
et Balsa sur Bugattl 2 1. 300 et les
Maserati 1.500 de l’écurie suisse Auto-
Sport pilotées par de Graftenried Ba-
sadonna et Vercade.
En 1 absence des Italiems, une vic
toire de Chaboud ne serait pas fait*
pour surprendre. Quoiqu’il en soit,
la moyenne du vainqueur, sur ce cir-
cuit plat, mais qui n'en présente pas
moins de sérieuses difficultés, voire
quelque danger, devrait se fixer aux
environs de 90. 92 kilomètres à 1 heure.
Les cent kilomètres à i’heure sur un
tour seront atteints péniblement, à
moins que les commissaires sportifs
décident d ouvrir davantage la chicane
unique qui. aux essais, ce matin, était
fermée exagérément, faisant perdre
de précieuses secondes, sans contre
partie avantageuse.
Dans la course des petites cylindrées.
Gord 1 ni. au vo'ant de sa monoplace
Slmca, doit prendre sa revanche du
Grand Prix de Nice sur son coéquipier
José Scaron ; Brunot, sur Riley, et
Bonnet, sur D.B.. devant se bien
classer.
Enfin, le Grand Prix Motocycliste,
qui réunira les 360 et les 500 cm3, doit
revenir 4 Loyer ou 4 Monnereü .1
ne pa* atteindre la limite des 3 rounds.
Il mettra, en effet, aux prises deux pun-
cheurs : l’Anglais Ryan et le cha-jnpion de
France Humez, un frappeur dont la boxe
est malheureusement un peu rudimentai
re. Ryan, à Wembley, battit Leparc par
k.-o. à la s* repeise et il est logique de
lui accorder aujourd’hui les faveur* du
pronostic.
Le benjamin, le grand espoir de la
boxe amateur en Angleterre, c’est Tur-
pin, jeune matelot de couleur. Il a 17
ans et demi, il frappe et il est très ra-
pied. Il doit battre Escudié qui rempla
ce le champion de France Ritter, blessé.
Signalons qu’Escudié battu de peu au
Palais de Glace fit match nul avec Rit
ter tout récemment à Marseille.
Georges PEETERS.
(Suite en rubrique Boxe)
Happons Henri Cochet au passage.
« J’escomptais ça, avoue le eonsèiller
technique de l'équipe française. La terre
battue a gêné nos adversaires mais Bar
ton s’est fort bien défendu. »
X
« Nos deux joueurs sont en bonne for«
me, reconnait Jean Borotra. Je suis per*
suadé qu'ils s'amélioreront encore en cours
de compétition et qu'ils iront loin. En ce
qui concerne les Anglais il est préférable
de ne pas tirer des conclusions immédia
tes.
X
El maintenant, voici les acteurs j
* Mac Phail est un curieux joueur ; il
endort, nous dit Pierre Pellizza. Il faut
faire attention de ne pas tomber dans son
jeu. Quant à Barton il m'a fait une ex
cellente impression devant Yvon. »
X
c Barton est un adversaire qui manque
encore d’expérience, pense Yvon Pétra. Ses
balles- sont lourdes mais sa cadence est
lente. Il s'applique beaucoup et il est
bon sur ses deux côtés.
.Il faut jouer croisé et appuyer les
coups pour le tromper. »
(Suite er» rubrique tennis)
Les Suédois Stra-nd et Lidman
à Toulouse, le 19 mai !
(De notre correspondant J.-J. POUECHI
TOULOUSE. — Le Stade Toulousain s
reçu confirmation pour la réunion d'ou
verture du 19 mai, des engagements des
athlètes suédois Slrand (1.500 m.) ;
Erikson (javelot) ; Lidman (recordman
d’Europe du 110 haies), et des Suisses
Volkmer (800 m.), vainqueur de Han-
senne lors du match France-Suisse 1945-
Christen (100 m.) ; Honegger (110 m.
haies), Brugel (400 m. haies); Hardmeïer
(400 m.) ; Buckman (poids et disque).
Nos « équipiers »
en déplacement
Vous lirez, lundi et les jours
suivants, dans « L’EQUIPE
les commentaires et appréciations
de nos envoyés spéciaux ;
Ceorges DUCHESNE
au 50* anniversaire
du Cercle de Natation de
BRUXELLES
Maurice HENRY
aux Grands Prix Automobile
et Motocj ^te de
MARSEILLE
Louis FERDINAND
à la finale de la Coupe de France
de rugby
(St. Toulousain-Section Paloise) à
BORDEAUX
Lucien GAMBLIN
au match dr- football
Reims-Red Star à
REIMS
Jean MAZIER
suivra
PARIS-ROUEN
et
Claude TILLET et J. GARNAULT
suivront
PARIS-TOURS
. DISTRIBUTEUR OFFICIEL
TH. BUFFARD
tâttS.XIU\
ZX Rue OUUÊRO.
BMSiCOeeM 113-âé & 43.27
n
, qui restent
ançais de tous )"* I
sa notoriété. * ti
mrd'hui Cap?) çt
is au sport an
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t 1.500 mètres U (lî ‘
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je ne peux utilj S( '
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fuser des déplac ei J
, ete... J’espère !'
rendront mon w
r d. Valmy, Bâte J
edettes mdisponihU
- L. V. L. "
LES HOMMES DE PARIS-WATT IGNIES
SERONT-ILS CEUX DE PARIS-AMBOISE
DANS LE
PARIS-TOURS
rtoviPF
SAMEDI H
«t DIMANCHE
12 MAI 1946
13 # Fg Montmartre
PARIS (9 e )
PROvence 85-21
Abonnements :
3 mois.... . 140 fr.
6 mois 260 fr.
Cte Postal 423-793
Le Nizerhy chez les Français
à l'avant-garde des routiers-sprinters
des deux camps
ET... NATIONAL)
l.)
Fr.,
11 s. 5
5
S'il faut un “rouleur” : l’Italien Camellini
Si l'on croit aux phénomènes: le Hollandais Schulte !
BALEZo Bonduel, Danguillaume, Maye, G. Lapébie, Blum, Claes, Diot,
Teisseire, Gauthier, Tassin, Caput, A. Pieters, Caffi, etc .
56 s. i
m. 6 s.
i m V' 1 U u ’ est - ce que Paris-Tours ? Procédons par comparaison, encore
6 m] 57 3u’il n’y ait pas une seule course sur route ressemblant exactement
3 m. 20 i celle de la 40* édition de laquelle nous assisterons demain. A la ri-
36 m lï »ueur, on pourrait assimiler — le standing de l’une étant égal à celui
4 3 ’ de l’autre — l’épreuve ultra-rapide à un Paris-Roubaix amputé de
J' « enfer » qui commence à Wattignies, mais agrémenté, en revan-
6.145 poinjibe, de la côte de la sortie d’Amboise et. si l’on tient aux légendes,
: rança is : lu « mur » de Bléré.
rtAHF. : 5.890 pts ut ° n devrait donc admettre qu’un Pa-
; diallo : 6.742 *is-Am boise est assimilable à un Pa-
“is-Wattignles — 215 km. d'une part ;
-21 km. de l’autre — et que la di-ffé-
AGEZ-VOUS ’ eric é existant entre les tronçons Am-
toise-Tours et Wattignies-Roubaix dé-
DE paris. — Orgsermine à elle seule, ou presque, la
.de de l’ASB, à Caractéristique dominante de chacune
nge Jean-Raquin les deux « classiques ».
Bilan de Paris-Tours 1948 s
48 Belges, 13 Italiens de France, 2
Luxembourgeois, 3 Hollandais, 1 Amé
ricain, soit 69 étrangers contre 166
Français.
guerre ; l’homme qui est capa.ble de
tous les exploits : le pistard routier
qui gagna une étape du Tour de
France : le Hollandais Gémit Schulte.
Nous Pavons classé parmi les rou-
leurs. Personne ne se méprendra sur
notre opinion à son sujet : U est.
certes, un spécialiste du train, puis
qu’il manqua de 3 secondes seulement
le Grand Prix des Nations 1938, enlevé
par Antonin Magne, mais il sprinte
aussi l
Claude TILLET.
(Suite en rubrique oyelisme)
2 VICTOIRES
A ZÉRO
Ma c Phail et Ba rton
Les Français ne peuvent pas perdre ce premier tour de fa Coupe Davis.
Cet après-midi, M. Bernard et Destremau devraient gagner le double.
Demain, Pellizza aura un adversaire à sa taille
en Barton, mais Pétra écrasera Mac Phail.
Le dimanche 20 mai 1939, eur le Central de Roland-Garros, P. Pel
lizza vient de battre le Chinois H. Ho: 7-5, 4-6, 6-2, 6-4. Le rideau tombe
sur le cinquième acte de France-Chine. Il ne se relèvera que sept ans
plus tard, presque jour pour jour. Et c’est le même P. Pellizza qui
nous gagnera le premier point sur l’Anglais Mac Phail. Victoire facile
en vérité. Le jeu du Français est plus précis, plus varié et surtout
plus rapide. Plus agressif aussi.
Petra , tel un cheval de frise, semble itre une barrière infranchissable. En
réalité , mené à t-e moment 0-4 au cours du -premier set il joue contracté et
frappe la balle de toute sa puissance , (Photo L'EQUIPE).
miotT-séniorr : S T As *, lmilatlon un simpliste, cela
j 00 m 'a de soi. mais qui va nous servir
0 m 4x1 000 m ,e bas ® Première. Essayons, en effet,
et poids a cadet! 6 transporter, au pied de la côte
I Ambolse, le peloton de tête de Watti-
las, sur 300 m. cajWJes... ,
fcquet, sur 1.500 : Nous avons là : G. Claes, Grysolle,
Henry-Marcheix, Gauthier, Le Nizerhy Teisseire, Per
rs concours, disque, Masson, Blum, Idée Martineau,
n 1912 et antérwurtanguillaume, Soffiettl, Tassin, Hert-
Irickx, Kint, Devreese, Bonduel, Vlae-
l—
et hauteur,
avant le 14
43, rue Meslay, fi
TRAVERS ST-DES]
tS. — Organisé le ;
AS Gaziers de Pari
LE TROPHEE
DES FREINS LAM
ix. Equipes de 15 et;
à 1.500 m. Eng.r
• (9)’ jusqu’au ta;
secrétaire général, 1
8«).
[QUILLES
Comme les années précédentes, le
Trophée des Freins LAM est mis en
compétition dans le classique Paris-
Tours.
Le Trophée des Freins LAM sera
définitivement attribué à la marque
OfP. qui comptera trois victoires non
km., par le SO r consécutives.
tllenge G.-Péri, par Alcyon l’a gagné en 1942 et en
s FSGT. — Au niés en 1946 avec Paul Maye.
tlenge M.-Guennec, J S’il gagne encore cette année, il
ite. Nombreux prix; en deviendra le définitif détenteur.
3 deux épreuves. ! Si la victoire va à une autre mar-
9, rue La Bruyère! *l ue , celle-ci recevra le Trophée des
Doulev. J.-Jaurès, i Freins LAM pour l’année 1946.
Autres convives.-.
Toutefois, d'autres coureurs ne pren
dront pas le départ en qualité de spec
tateurs i Au rayon des sprinters et.
routiers rapides, on doit mentionner
Paul Maye — que l’on pourrait bien
voir réapparaître — G. Lapébie, Gou
ttai, De Muer. A. Pieters. Piot. Maco-
rig. Caput, Van Steenbergen — dont
le départ est malheureusement incer
tain — le jeune Diot, enfin. Au rayoo
des routeurs : Camellini. que l’on ne
décramponnera pas, mais qui ne pour
rait triompher que détaché, ce qui est
un handicap plus considérable encore
dans Paris-Tours que partout ailleurs ;
Albert Dolhats, Baratin, Caffi — qui
6 e « défend » aussi au sprint, on le
sait 1 — Neuville. Callens, et puis...
Et puis l’homme que nous n’ayons
pas revu sur la route depuis l’avant-
Aujourd’hui
15 heures
Stade
Municipal
Bordeaux
PLEINE D’INTÉRÊT, LA FINALE DE LA C0ÜPE DE RUGBY 15 !
Le titre honorera le
Le duel Bergougnan-Cazenave sera-t-il décisif ?
U inquiétude paloise porte sur la composition des lignes arrière
—* nck ’ Maelfalt. Deciercq, De Simpe-
îl ! M y eTe - Th têtard, De Ba^rc, et quelques
officiel
I mires Nous aurions aussi Muller, Hé.
, .nu. Schotie, s’il ne leur était arrivé
sseu r omciei (. ■ la p îeur quelque kilomètres aupara-
s et (V > grands
Eh bien ! très franchement, nous ne
oyons pas pour quelles raisons ces
nèmes coureurs ne seraient pas au
endez-vous tourangeau, demain après-
OQUES
COUPES
OBJETS D’JI
du Temple, P/f
De nombreux Belges sont arrivés
à Paris dès hier. Notamment : Lowle,
Grysolle, Moerenhnut, Van der Helst,
Van Herzelc, Terryn, Sens, Georges
Claes, vainqueur de Paris-Roubaix,
E.a M/7WMI doit être là cc matin.
Udi ! Tons 6ont engagés. Aucun n’a
, TT „ D . T* tttfj l'^Biérité depuis. Reste à savoir quel
)UERA LA leur comportement sur un ter-
■s Angers b. * ac ',J|n moins inconfortable et plus ac-
a Vierzon. — ^ ld ,enté i
jouée par deux N- <
■ment égale pratm* Pour Ciaes. pas de discussion : il
^ aéré. ût aussi bien fait... Pour Gauthier.
> mi temos Tou'.o doudnel. Vlaemynck, pas davantage
réussit a ’ transfoi* doute. Mats Le Nizerhy n’eftt peut-
e et à marquer nas fléchi ; mais Teisseire aurait
De son côté Ai'« tlns d °ute P 11 ressaisir, mais Mar-
transformé. ’ n6an et Danguillaume nj se seraient
\ les Angevins se M effondrés ; mais De Simpelaere
lâce à une mêlée *4» été là...
la direction des r: Bref, sur la piste de Tours, on eût
i essai sur départ ssisté au sprint quasi traditionnel
un coup franc. .
les avants, d’un ^
touche £;.;p #r | e vilooo
Le 40 e Paris-Tours est organisé
Club de Tours et
Parisien Libéré »,
le «
VERRA-T-ON PLÜS CLAIR, DEMAIN SOIR, DANS LE CHAMPIONNAT DE FOOTBALL î
rent en
nauvaise mêlée,
adroits, ont réussi
T équipe, dans >
ine mi-temps et “;.une bonne dizaine de champions, et
blessure de son » , n pas à un em b a n aK6 4 trois,
lus homogènes, P
•t. La mêlée parut o'JEt c est bien là, à quoi nous nous
trois-quarts furent dus attendons à La veille de cette or-
équipe dut son suce anlsation, par le Parisien Libéré,
l permit de tenir, une compétition dont la nhvsionomie
i mêlée furent l es ênérale ne varie que tout à fait ex-
. — Brisson. mtlonnelRement.
,L
,S ENLEVENT !
S. — Hier après-®!
l’ENSEP, les ,
île d’Evreux et “J
Arts et Métiers
finale du chs* ;
supposait, la reii^"
misque, à la fin
les adversaires
■e égal. C’est se
rolongations que
leux buts, s’assit
le titre par 8 s
; mi-temps, toute! 0 ]
ttement à l’ava»
3eux-ci, meilleurs
i jeu précis de P®* |
it leurs actions P 1 ;
xois, au contraire. f [
ficace en défense '
tirs par des reb°
LES TENANTS DU TITRE NE SONT P AS EN DANGER !
La victoire carcassonnaise
ne f ait pas de doute en finale
du Championnat des XIII
Demis et trois-quarts toulousains ne semblent pas en mesure
de résister aux assauts des attaquants audois
On ne pouvait espérer une finale de Championnat de France au*si régulière.
L’AS Carcassonne et Toulouse Ol méritent bien i’honneur de se retrouver au der
nier acte de la compétition. N’ont-ils pas t er miné respectivement premier et second
des matches aller et retour ?
On est tr ® 8 circonspect à Toulouse sur
l’issue de la renoontre. On craint que
dt mis et trois quarts ne soient pas en
airrure de résister aux assaut* des atta
quants audois et qu’ainsi les efforts des
avants toulousains soient stériles.
Par contre à Carcassonne la confiance
est inébranlable. Certainement, il arrive
Quelquefois que la composition d’une équi
pe soit difficile à réaliser, mais quand
les réserves sont de classe le problème
n’est pas insoluble. Llari jeune et Calbè-
CHAMPIONNAT DE FRANCE (fin.)
Lyon : AS Carcassonne c. Tou
louse Ol.
COUPE DE FRANCE
(fin. amateurs)
Béliers : AS Tonnelns c. RC Orange.
TOULOUSE OLYMP. (maillot
blanc cerclé bleu, culotte blanche, bas
bleus et blancs. — Arr. : 1 Teyche-
né ; 3/4 : 2 Perex, 3 Mercier, 4
Sabarthez, 5 Cantoni, 1/2 (o) 6
Allemane, (m) 7 Dubaien ; Av. 3* 1. :
13 Brunetaud (cap.), 2» 1. : 12
Bonneeaze, il Dax, Ire 1. : 10 Latail-
de, 9 Benoist, 8 Audoubert.
AS CABCASSONNE (maillot Jaune
et noir, culotte noire, bas jaunes et
noirs). — Arr. : 1 Puig-Aubert ;
3/4:2 Trescazes, 3 Llart 1, 4 L’a-
ri 2 ou Hurard, 5 Thomas ; 1/2 (o)
6 Guilhen, (m) 7 Labazuy ; Av. :
3* 1. : 13 Calhète ou Py, 2« 1. : 12
Mouton, 11 Manzon, Ire 1. : 10
Poeh (cap.), 9 Martin, 8 Carrère.
te blessé* sont douteux. Si le premier
nommé ne pouvait tenir sa place on adop
terait l’une des solutions suivantes : une
aile Trescazes Pousinet ou Hurard-Tres-
cazes.
Les avants audois supérieurement en
levés par Poch, Mouton, Martin, Carrère
doivent largement donner des occasions
aux attaquants et ceux-ci ne manqueront
pas de trouver la fissure. De plus, le phé
nomène qu’est Puig-Aubert peut se char
ger par ses coups de pied de donner le
coup de grâce à l’adversaire.
L’AS Carcassonne doit conserver son
titre. E!l e le mérite car elle a été l’équi
pe la plus régulière de la saison.
RC Orange et AS Tonneins, eux, plus
modestement, mais avec autant d’énergie
tenteront d’enlever la Coupe de France
des amateurs.
Tonneins semble mieux armé.
L. F.
de partie, appl'9 ( j
leur entraîneur. •
abandonnaient ^
alités
Saint-Etienne, chez lui, devant Rennes
Lille, à Strasbourg, poursuivent leur lutte
lécisive..
Nouvelle journée difficile pour les clubs mal
classés qui se déplacent pour la plupart
our la défense
Ge titre de champion de France de football dépendra-t-il du ré-
râce à des quan iitat des ma t c hes que vont livrer demain, d’une part Saint-Etienne
Malgré :Ur son terrain contre Rennes, de l’autre Lille à Strasbourg ? Admet-
ies* îJc!ÎZ 9 ue Saint-Etienne gagne et que Lille soit battu, ce dernier comp
tait alors trois points de retard
ps
URRENTS NOD
iformances. L a tâche difficile des Lillois
qui loue
arquaient,
réactions
„ voir tr son concurrent direct. Et,
om teît'unè nonnualgré l’avantage d’un match de
es vainqueurs, aveC » lus ., à ( mer credi prochain
srel fut excellent ,\ Marseille), la. position de
tandis que A* 1 ;quipe lilloise serait dangereusement
élaient redoutable rsnlée. Car — le Red Star vient de
>rges Duthen. prouver — le onze marseillais consti-
; toujours un écueil difficile à fran-
5ME ,,tr. Tout comme Strasbourg d’ailleurs 1
championnats ;.. . ....
a" 1 en P Vugci- ld p'a r v i * m P‘onnat sur i '.rois déplacements dif -
... df s i îles en une semaine est-il sous la me-
sme va B 5ns cesse ( 'f de se retrouver mercredi prochain,
nt de slfe stan cé de trois points par Saint-
h,~l îf à f.ll.t d,
néliorées lors des ,,,
junior Martin jjiourtant, le match nul de Sochaux
aux-Arts, a réalt'^j* ,'fa . constitué pour Lille un sérieux
liméon, junior aU*jy >* r tis^ment. Et nous devons penser
en longueur. D :U ,, n i fois, l'équipe de Bourbotte ne
Duquesnoy a c ° u ' a îssera pas désunir, et que ses avant%
et Lemaître fui ! u ,sir °nt à prendre l’avantage sur la
aps excellent de - en*e strasbourgeoise. Mais sa tâche
finales ne mana'j°'yi ,a tx t r émement difficile , il n'est per.
santés ., même P^ : »° ur *•«" ‘
Malgré la bonne forme
des Rennais...
Reims, Roubaix et Lens
n’ont plus d’illusions !
Il faudrait maintenant un concours
exceptionnel de circonstances pour que
l’un des suivants immédiats de Saint-
Etienne et Lille parvint à devancer les
deux clubs de tête. Reims et Roubaix,
qui reçoivent respectivement le Red Star
et Lens, ne se font, d’ailleurs guère
d’illusions à ce sujet. Les deux clubs nor
distes joueront donc un match de clas
sement, qui peut revenir aux Roubaisiens,
tandis que la rencontre de Reims est
surtout importante pour le Red Star.
^ a . r ce dernier vient de perdre deux
points à Marseille, et il n’est pas tel
lement à l’abri de la zone dangereuse (
Toutefois, le club audonien éprouvera
bien de la peine à améliorer sa situa
tion...
DIVISION NATIONALE
•St-ETIENNE 1 e. Rennes 5. (3-2)
•Strasbourg 10 e. LILLE 2.. (1-4)
•REIMS 3 c. Red Star 10 .. (3-0)
15 h. 30 'ROUB. 4 e. Lens 6. (1-2)
•ROUEN 7 c. Metz 16 (0-0)
•SETE 10 e. Cannes 7 (1-2)
•RACING 7 e. Lyon 15 (0-1)
Lundi 18 h. 'MARSEILLE 10
e. Le Havre 16 (3-4)
•SOCHAUX 18 c. Girond. 14. (’-3)
2» DIVISION (Nord)
VALENC. 4 c. STADE 2 (1-3)
MATCHES INTERNATIONAUX
Aujourd’hui :
Londres : ANGLETERRE e. S tisse
Demain j
Amsterdam : Hollande e. BELGIQUE
Luxembourg : Luxemb. e. SUISSE B
I!
Une journée cruciale
pour les mal classés
en sera probablement ainsi des au
tres compétiteurs mal classés. Lyon, qui
lutte avec une méritoire énergie, tentera
de prendre en défaut le RC Paris à
Samt-Ouen. Les Lyonnais, pour qui cha
que rencontre revêt actuellement la
forme d’un match de Coupe, peuvent
accrocher sérieusement leurs rivaux pa
risiens. Néanmoins la logique commande
d’indiquer ceux-ci comme favoris,
Sochaux reçoit les Girondins. Ces der
niers abattent, comme Lyon, leurs der
nières cartes. Mais pour peu que So
chaux -(pourtant privé de Jérusalem et
Joly) manifeste les mêmes dispositions
Balsan n nleir.c";, j».. j. " ,— *'“* 9 ue Marseille devant Lille, les Giron-
tnüve rouvrant r « nf ° rc «r P°*>- dms n’amélioreront pas leur actif. Note
rfote ' Delerol. ifC , V"’. Tf’nlt, Hon* T dU * rou P e ' identique pour .V*/* qui se déplace à
battait égale» eI,t JL,.?., ’’ “* i 1 volontaire remon- Rouen, et pour Le Havre qui joue lundi à
battait » “" t ‘ t . u « Jj n . d ". £alU marquapt* Marseille, en dépit des récents succès
«£tt* tta çhamjuonnat, ^emportés par Met* et Le Havre sur
,,h 8n * .toème temps, Saint-Etienne,
une victoire finale sur la-
)UE BALSAN ^ re^.* lle >■ ne comptait plus voilà quel-
nr mis à mal Je es semaines, extériorisera contre Ren-
î, 5 et 10 km- . it * un dynamisme décuplé. Le onze sté-
attaqué au reeOi ^ «mois disposera de Cuissard, absent
le Suédois Mjk^ffl^irsredi à Bordeaux. 11 ne devrait pas
Balsan a nie»"- • r( } re l’occasion de renforcer
Marseille et Roubaix. Site, enfin, doit
renforcer sa position aux dépens de
Cannes^ qu’il reçoit.
Ainsi, la journée de demain, si elle
peut nous apporter quelque éclaircissement
en ce qui regarde la lutte pour le ‘itre,
risque de voir les clubs mal classés cam
per sur leurs positions, sauf Marseille,
qui devrait avoir virtuellement assuré,
lundi soir, sa place en division natio
nale. ,
Dernière en deuxième division
Dernier match en deuxième division
le Stade Français se rend à Valenciennes.
S’il faut en juger par !a récente tenue
de J’équipe parisienne, celle-ci n’a plus
grande ambition. Et à moins qu’elle mette
un point d’honneur à terminer sa saison
officielle en beauté, elle risque fort d’être
en sérieuse difficulté Mais oomme Valeu-
ciennes n’a, lui aussi pas grand’chôse à
gagner dans l'histoire...
Jacques de RYSWICK*
Le rideau va tomber sur la saison 1945-46. On l’espère du moins,
car nul ne peut affirmer que le dernier acte de la Coupe de France
se terminera par un résultat positif.
Pourtant, depuis la création de
la Coupe de France, aucune fi
nale n’a apporté avec elle autant
d’intérêt. Car le Stade Toulousain, éli
miné en championnat de Franee par la
Section Paloise en poule de quatre, va re
trouver son vainqueur et n’est certaine
ment pas disposé à lui faire le moindre
cadeau. Quant aux Béarnais, Us sont per
suadés qu’ils n’ont aucune raison de ne
pas enlever Coupe et Championnat.
Alors, au Stade Municipal de Bordeaux
les spectaeurs Girondins abonnés aux fi
nales de Coupe n’abandonneront pas faci
lement leur privilège. Le spectacle de
vra être de qualité.
Une fatigue
qu’on dit ne pas être...
A tout seigneur, tout honneur ! Depuis
sa victoire en Championnat de France, on
a coutume d’affirmer devant les succès
pénibles de la Section que ses joueurs sont
fatigués et que chaque nouvelle victoire
n’est due qu’à des circonstances favorisées
par la chance.
Or, s'il est manifeste que les dirigeants
béarnais ont eu des inquiétudes, seules,
les blessures subies par quelques joueurs
sont selon eux la cause de ce déséquilibre
lois ? C’est au moment où on désespère
le plus d'eux qu’ils se retrouvent. Et ’e
sort, s'il leur est souvent favorable, n’ou
blie pas que les exploits personnels de
Cazenave et les coups de pied de Carra 3U-
ze sont là pour forcer sa décision.
...et une tactique
qui doit prévaloir
Les commentaires vont bon train à Tou
louse. Barran et Bergougnan ont déjà
avec ce T. O. enlevé la Coupe. Ils sont
persuadés de récidiver avec le Stade.
On comprend un peu leur optimisme. La
belle ordonnance du «t XV » stadiste re
peut être diminué. L’essentiel est d’adop
ter la tactique adéquate.
Louis FERDINAND.
(Suite en rubrique Rugby XV)
Et la différence s’accuse d’autant
que la manière de Mac Phail est
lentq et purement défensive; son
revers est meilleur que son coup droit,
mais très souvent jl est trop loin de la
balle. Nous ne voudrions pas contrister
ce sympathique écossais, innis^ nous ne
pouvons taire que cette première partie
ne fut autre chose qu'un , cavalier _ seul ;
jamais un match. Non, aujourd’hui, son
chardon n’était pas très piquant.
Bon départ de Barton, mais...
La rencontre Pétra-Barton fut d’une
toute autre qualité et le début laissait
prévoir une grande partie. Le jeune an
glais partit en trombe et aligna _quatre
jeux de suite; ses longs coups droits, ses
DOUBLES FAUTES AU SERVICE :
Pellizza : 3. Mac Phail : 10. Pe
tra :2. Barton : 6.
SERVICES PERDUS :
Pellizza : 4. Mac Phail : 8. Pé
tra : 2. Barton : 6.
ACES
Pétra : 5. Barton : 1.
DUREE DES SETS t
Pelllzza-Mac Phail :
1er : 23’ ; 2« : 15' ; 3- : 15’
Pétra-Barton : 1er s 32’ ; 2* : 26’ j
3’ 22’'.
revers croisés, ses habiles contrepieds
sont bien exécutés; ils surprennent son
adversaire qui est en difficulté, surtout
sur l e revers. Mais Pétra ne joue jamais
mieux que quand il est mal-plené ; il s’ap
plique aussi bien au service que dans les
répliques, monte au filet et modifie si
bien la physionomie de la partie qu’il ali
gne six jeux de rang et s’octroie une
manche qui semblait difficile à capter.
La chute malencontreuse que fit Barton
Les joueurs de tennis exigent le
-silenee sur le court. Le moindre
bruit les gêne, paraît-il.
Mais dans leur tribune, ces mêmes
joueurs n’arrêtent pas de « discuter
le coup » durant les parties.
Silence,, d’aecord. Mais partout.
à la fin de c e premier set ne modifia
sans doute pas le sens de la partie, mais
lui fut une gêne certaine par la suite. Au
cours de g deux autres manches il donne
ra -maintes preuves de ses qualités de
lutteur qui font bien augurer de son ave
nir; à la deuxième manche quand il re
monte de 5 -î à s-4, à la troisième quand
menant 3-1, il doit renoncer, par deux
fois, à marquer 4-1. Un peu de malchan
ce et beaucoup de fatigue l’ont sans dou
te privé du gain mérité d’un set. Mais
nous le retrouverons : d’ici un an —
ou deux — quand il aura développé l’en
semble de son jeu, sa très bonne atta
que et son rapide déplacement seront des
atouts maîtres. Son capitaine est content
de lui; il trouve qu e ce premier déplace
ment est plein de promesses. C’est entiè
rement notre avis.
Le double
à la portée des Français
Nous abordons la seconde journée avec
le gain mieux qu’appréciable de a points
à rien. Il semble donc tout à fait impro
bable que nous puissions perdre cette
PREMIERE JOURNEE :
P. Pellizza b. D. Mac Phail : 6-1, 6-2,
6-2 ; Y. Pétra b. D.W.E. Barton :
6-4, 6-4, 6 3.
AUJOURD’HUI A 14 H. : Gremillet
c. Grandet (exhibition) ; à 15 h. 30 :
double de la Coupe Davis : M. Ber-
nard-Destremau c. J. OlIiff-H.BillIng-
ton ; suivi de : H. Cochet-J. Brugnon
c. J. Borotra-Bolelli.
DIMANCHE A 14 H. 15 : D.W.E.
Barton c. P. Pellizza ; suivi de : D,
Mac Phail c. Y. Pétra.
rencontre. Même si le double devait nous-
échapper. Ce qui nous parait légèrement
pencher en faveur des Anglais c'est que
ceux ci traitent ces sortes de parties en
cohésion et non en superposition, comme
trop souvent les nôtres. Mais M. Bernard
et Destremau seront là pour mettre tout
en œuvfe afin de s'approprier le troisiè
me e t dernier point. S’ils devaient échouer,
notre horizon ne serait pas obscurci pour
si peu et même si Barton devait inquiéter
Pellizza, supposition excessive, comment
accorder la moindre chance à Mac Phail
en face de Pétra? Si nous menons 3-0,
donc si nous avons gagné ce premier
tour de Coupe, il est possible que Gré-
millet soit désigné pour jouer à la piaco
de Pellizza — ou de Pétra.
Jacques BEX,
OPINION UNANIME :
Le central de Roland- Garros
trop lent pour les joueurs anglais
Impression de beaucoup :
LES FRA NÇAIS IRONT LOIN EN COUP E DAVIS
La limonade allait bon train au sortir de l'étuve du court cen
trai. Et c'est avec une paille à la bouche ou un verre à la main
que nous avons surpris la plupart de nos confidents.
« Il est difficile de tirer une
conclusion de ce rapide débat si
ce n’est que les Anglais man
quaient d’accoutumance, nous dit Chris
tian Boussus, Le court central de Ro
land Garros est beaucoup trop lent pour
des joueurs habitués à pratiquer sur
l'herbe. Dans son élément , Barton , par
exemple, doit être « méchant ». Il de -
viendra fort s'il stabilise son jeu. »
Et Boussus termine ainsi : « Si l’équipe
de France ne fait pas de bêtises elle ga
gnera en Europe. »
Voici Jacques Brugnon, les yeux cligna -
tants.
c Les Anglais ont pratiqué un jeu très
honorable sur un court difficile, nous
lance-t-il entre deux discussions techni
ques. I! fallait cependant que les nôtres
soient bons pour gagner comme ils l’ont
fait. »
STADE TOULOUSAIN (maillot
rouge et noir, culotte blanche, bas |
rouges). Arr. : 15 Melet; 3/4 : 11 j
Lassègue, 12 Brouat. 13 Gaussens,
14 Dutrain; 1/2 (o) 10 Bacqué, 9
Bergougnan; Av. ; Ire 1. : 3 Man-
zoni, 1 Vidal, 2 Lopez; 2« 1. : 5 Car
rère, 4 Fabre, 3* 1. ; 8 Barran (cap.),
7 Noé, 6 Caraguel.
SECTION PALOISE (maillot blanc
culotte blanche, bas verts). Arr. : 15
Carmouze; 3/4 : 11 Duthen, 12 Des
claux, 13 P. Lauga, 14 Borbes, 1 /2
(o) 10 Lassalle, (m) 9 Cazenave;
Av. ; Ire 1. : 3 Moncassin, 1 Martin,
2 Larrai, 2» 1. : 5 Aristouy, 4
Tucoo (cap.), 3« 1. : 8 Theùx, 7
Salzet, 6 J. Lauga.
tout à fait passager. La seconde mi-temps
devant le Biarritz Olympique a redonné
confiance à tous et le moral est excel
lent.
Pourtant, Rousse semblé avoir définiti
vement raccroché. Si Salzet doit faire sa
rentrée en troisième ligne remplaçant
ainsi Içibal, c’est sur la composition des
lignes arrières que l’entraîneur Albert Ca
zenave est perplexe. Estrade ou Guittard
ont tous deux une entorse à la cheville.
Alors l’ancien international fera appel à
Bordes, bon défenseur, mais attaquant de
qualité médiocre.
Il n’est pas du tout dit que dans le
dernier quart d’heure la Section n’enlève
pas le titre. Il se peut que ses contre-
Age et poids moyens de la ligne
d’avants du Stade : 29 ans, 85 kg. 700.
Age et poids moyens de la ligne
d’avants de la Section c ' 27 ans,
*4 kg.
attaques soient décisives et que ses avants
dans le jeu ouvert arrivent à s'imposer.
A la mêlée ou à la touche ils doivent être
battus. Le poids avantagera les Toulou
sains. Mais sait-on jamais avec les Pa-
FRANCE-ANGLETERRE, CE SOIR, 20 HEURES, A U PALAIS DES SPORTS
les Jeunes boxeurs amateurs anglais
doivent confirmer leur supé riorité
Seuls, Mennegault et Bentz paraissent avoir des chances
de vaincre et Neubauer peut prendre sa revanche
12.000/spectateurs assistèrent le 13 mars dernier à l’Empire Pool de Wembley,
au match France-Angleterre de boxe amateur que les Brtaratiques gagneront par
oinq victoires à trois. La FFB nous présente ce soir au Palais des Sports la re
vanche de cette grande rencontre internationale et il faut souhaiter que le publio
vienne aussi nombreux car le spectacle
des meilleurs amateurs britanniques dont
on connaît la boxe classique sera cer
tainement de qualité.
Les deux équipes qui Sç rencontrèrent
à Wembley ont subi quelques modifiea.
tions, mais nous ne pouvons guère es
pérer -un résultat final meilleur car nous
L’HISTORIQUE DE LA RENCONTRE
1,4 première rencontre FRANCE
ANGLETERRE se déroula au Sporting
Club de France en 1923, à Paris. Les
Anglais triomphèrent par 6 victoires
à deux.
Depuis aueune rencontre complète
n’eut lieu entre les deux pays, sauf
à Wembley où les Anglais nous batti
rent par 5 victoires à 3.
qui boxe en fausse garde et est très ra
pide.
L» poids coq Squires, champion de la
RAF, un des meilleurs éléments de l’équi
pe britannique, sera également favori de
vant le Marseillais Deianna.
M. Mallin donne le numéro un de son
team au poids plume Brander qui boxait
dans les coq à Wembley et devrait bat
tre notre représentant Sliman, qualifié en
l’absence du champion de France Arias.
Dans les poids légers nous assisterons
à une revanche de la rencontre du 13
mars entre Thomas et Neubauer. A Lon
dres, ce dernier fut battu de justesse aux
points et il a une chance de prendre sa
revanche à Paris.
Le match des welters pourrait fort bien
HORAIRK
20 h. : 1er des quatre combats
franco-anglais « hors compétition ».
21 h. ; Présentation des deux équi
pes.
21 h. 30 : Première partie du pro
gramme :
FRANCE-ANGLETERRE j quatre
eombats : mouche, coq, plume, légers.
22 h. 30 : Entracte.
22 h. 40 : Seconde partie du pro
gramme : mi-moyens, moyens, mi-
lourds et lourds.
n’obtiendrons très probablement pas plus
de 3 victoires sur les 8 combats pré
vus.
Dans les poids mouche, Gallagher qui,
à Wembley, battit C’ivatti par arrêt à la
2* reprise sera opposé au champion de
France LIaty. Ce dernier en finale des
championnats n’obtint la décision que de
peu aux points sur Clivatti. Cette pre
mière rencontre devrait donc se terminer
à l’avantage du champion d’Angleterre
LEUR ACE
LIaty : 31 ans ; Gallagher
20
ans.
Deianna
22 ans ; Squires
24
ans.
Sliman :
20 ans.; Brander
19
ans.
Neubauer
: 20 ans ; Thomas
: 19
ans.
Humetz
19 ans ; Ryan ;
26
ans.
Escudié. :
19 ans ; Turpln
17
1 2.
Bentz :
23 ans ; Taylor :
25
ans.
Mennegault s 32 ans ; Watson ;
31 ans.
Les Italiens favoris au Grand Prix
aulomobile de Marseille ; mais
viendront-ils ?
En leur absence, une victoire de Chaboud
serait fort possible
(De notre envoyé spécial Maurice HENRY)
MARSEILLE. — Grands dieux, qu’il est difficile, aujourd’hui, de
mettre sur pied une compétition automobile ! Les dirigeants de
l’Automobile Club de Marseille et de Provence, dont on ne saurait
trop louer l’esprit sportif et le désintéressement, en font l’expérience
â leur tour. Jusqu’à la toute dernière minute, ils auront été sou
mis au régime de la douche écossaise.
Les Italiens, Nuvolari à leur tête,
doivent courir • leur participation au
Grand Prix de Marseille est ensuite
démentie ; puis elle est assurée ; à
la fin de cet après-midi, ils sont at
tendus et on annonce leur arrivée dans
la soirée. C’est, pour les organisateurs,
une véritable « guerre des nerfs ».
Il est certain que si les pouvoirs
sportifs appliquaient les règlements
à 1a lettre, nous n'assisterions pas à
un désordre qui n’a jamais été aussi
grand et qui tend à s'amplifier, car
ils mettraient les concurrents dans
l'obligation de respecter lés délais
prescrits.
En boxe, en cyclisme, en football ou
louî autre sport* le pouvoir eportil
est agissant. En automobile, 11 est
inexistant. Il serait temps que cela
change.
Revenons-on au Grand Prix de Mar
seille qui sera disputé dimanche
après-midi en deux éliminatoires et
une finale, sur le circuit du Prado,
dont le développement est de 3 km. 600.
Leï concurrents seront répartis dans
les éliminatoires d’après les temps en
registrés aux essais, c’est-à-dire celui
ayant réalié le meilleur temps dans
la première éliminatoire, celui ayant
réalisé le deuxième meilleur temps
dans la deuxième et ainsi de suite.
La finale réunira les six premiers
de chaque éliminatoire.
Si les Maserati de la Scuderia Mila
no sont au départ, c’est évidemment
l une d elles qui triomphera, avec Nu-
voiari sans doute. Dans le cas con
traire. nous assisterons à une lutte
beaucoup plu» serrée entr* Chaboud
et Grignard sur Delahaye, TrinLignant
et Balsa sur Bugattl 2 1. 300 et les
Maserati 1.500 de l’écurie suisse Auto-
Sport pilotées par de Graftenried Ba-
sadonna et Vercade.
En 1 absence des Italiems, une vic
toire de Chaboud ne serait pas fait*
pour surprendre. Quoiqu’il en soit,
la moyenne du vainqueur, sur ce cir-
cuit plat, mais qui n'en présente pas
moins de sérieuses difficultés, voire
quelque danger, devrait se fixer aux
environs de 90. 92 kilomètres à 1 heure.
Les cent kilomètres à i’heure sur un
tour seront atteints péniblement, à
moins que les commissaires sportifs
décident d ouvrir davantage la chicane
unique qui. aux essais, ce matin, était
fermée exagérément, faisant perdre
de précieuses secondes, sans contre
partie avantageuse.
Dans la course des petites cylindrées.
Gord 1 ni. au vo'ant de sa monoplace
Slmca, doit prendre sa revanche du
Grand Prix de Nice sur son coéquipier
José Scaron ; Brunot, sur Riley, et
Bonnet, sur D.B.. devant se bien
classer.
Enfin, le Grand Prix Motocycliste,
qui réunira les 360 et les 500 cm3, doit
revenir 4 Loyer ou 4 Monnereü .1
ne pa* atteindre la limite des 3 rounds.
Il mettra, en effet, aux prises deux pun-
cheurs : l’Anglais Ryan et le cha-jnpion de
France Humez, un frappeur dont la boxe
est malheureusement un peu rudimentai
re. Ryan, à Wembley, battit Leparc par
k.-o. à la s* repeise et il est logique de
lui accorder aujourd’hui les faveur* du
pronostic.
Le benjamin, le grand espoir de la
boxe amateur en Angleterre, c’est Tur-
pin, jeune matelot de couleur. Il a 17
ans et demi, il frappe et il est très ra-
pied. Il doit battre Escudié qui rempla
ce le champion de France Ritter, blessé.
Signalons qu’Escudié battu de peu au
Palais de Glace fit match nul avec Rit
ter tout récemment à Marseille.
Georges PEETERS.
(Suite en rubrique Boxe)
Happons Henri Cochet au passage.
« J’escomptais ça, avoue le eonsèiller
technique de l'équipe française. La terre
battue a gêné nos adversaires mais Bar
ton s’est fort bien défendu. »
X
« Nos deux joueurs sont en bonne for«
me, reconnait Jean Borotra. Je suis per*
suadé qu'ils s'amélioreront encore en cours
de compétition et qu'ils iront loin. En ce
qui concerne les Anglais il est préférable
de ne pas tirer des conclusions immédia
tes.
X
El maintenant, voici les acteurs j
* Mac Phail est un curieux joueur ; il
endort, nous dit Pierre Pellizza. Il faut
faire attention de ne pas tomber dans son
jeu. Quant à Barton il m'a fait une ex
cellente impression devant Yvon. »
X
c Barton est un adversaire qui manque
encore d’expérience, pense Yvon Pétra. Ses
balles- sont lourdes mais sa cadence est
lente. Il s'applique beaucoup et il est
bon sur ses deux côtés.
.Il faut jouer croisé et appuyer les
coups pour le tromper. »
(Suite er» rubrique tennis)
Les Suédois Stra-nd et Lidman
à Toulouse, le 19 mai !
(De notre correspondant J.-J. POUECHI
TOULOUSE. — Le Stade Toulousain s
reçu confirmation pour la réunion d'ou
verture du 19 mai, des engagements des
athlètes suédois Slrand (1.500 m.) ;
Erikson (javelot) ; Lidman (recordman
d’Europe du 110 haies), et des Suisses
Volkmer (800 m.), vainqueur de Han-
senne lors du match France-Suisse 1945-
Christen (100 m.) ; Honegger (110 m.
haies), Brugel (400 m. haies); Hardmeïer
(400 m.) ; Buckman (poids et disque).
Nos « équipiers »
en déplacement
Vous lirez, lundi et les jours
suivants, dans « L’EQUIPE
les commentaires et appréciations
de nos envoyés spéciaux ;
Ceorges DUCHESNE
au 50* anniversaire
du Cercle de Natation de
BRUXELLES
Maurice HENRY
aux Grands Prix Automobile
et Motocj ^te de
MARSEILLE
Louis FERDINAND
à la finale de la Coupe de France
de rugby
(St. Toulousain-Section Paloise) à
BORDEAUX
Lucien GAMBLIN
au match dr- football
Reims-Red Star à
REIMS
Jean MAZIER
suivra
PARIS-ROUEN
et
Claude TILLET et J. GARNAULT
suivront
PARIS-TOURS
. DISTRIBUTEUR OFFICIEL
TH. BUFFARD
tâttS.XIU\
ZX Rue OUUÊRO.
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