Titre : Journal des débats politiques et littéraires
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1944-06-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39294634r
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 24 juin 1944 24 juin 1944
Description : 1944/06/24 (Numéro 1365)-1944/06/25. 1944/06/24 (Numéro 1365)-1944/06/25.
Description : Note : un seul numéro pour samedi et dimanche. Note : un seul numéro pour samedi et dimanche.
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Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : Révolution - Empire (1789-1815)
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Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : IIe République - Second Empire (1848-1870)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : IIIe République (1870-1914)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
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Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 22/01/2008
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BeBATS AWEtC. C. P. C~rtnoot-PetTand 2i! ~M
JO~AL DES DEBATS
1 POLITIQUES ET LITTÉRAIRES
Clermont-Ferrand. le 2~ ~uin
A TRAVERS LES RMNES
Aucun Français ne peut de-
meurer indifférent; en présence
des malheurs qui se sont abat-
lus sur notre pays. Après tan-
tôt cinq ans d'une guerre qui a
causé chez nous bien des ruines,
la situation sur notre territoire
est loin d'aller en s'améliorant.
Depuis de longs mois, les dévas-
tations de nos villes et de nos
bourgades par l'aviation des
< alliés avaient pris un ryth-
me précipité. Aujourd'hui par
surcroît, c'est une de nos plus
riches provinces qui se trouve
en proie aux saccages de la
guerre. On a lu le récit de
Fexode de ces malheureuses
populations, qui s'enfuient chas-
sées de leurs foyers, de leurs
villes, de leurs villages en rui-
nes. où elles ont latssé tout leur
bien. et parfois des êtres aimés
qu'elles n'ont pas revus, et qui
restent enfouis sous les décom-
bres. Et dans le reste du terri-
'totre de Marseille à Dunkerque,
que de cités écrasées sous les
bombes, que de morts, de bles-
sés, que de monuments témoins
de notre histoire, se sont êcrou-
lés sous les bombardements t
Maisons ouvrières, maisons pay-
sannes, églises et édifices his-
toriques ont subi le même sort.
Aussi impitoyablement bombar-
dés que les usines, tous et tou-
tes furent aussi cruellement
frappés rien ne devait être à
l'abri du cyclone qui ravage la
France.
Une situation ~ussi doulou-
reuse ne devrait être aggravée
encore du fait de Français, qui )
excités par des propagandes
incessantes, ajoutent des deuils
a nes, en adjoignant un coeffi-
cient tragique à la somme des
souffrances au milieu desquelles
se débat notre pays meurtri.
Les jours prochains n'appa-
"raissent pas plus souriants que
les jours présents. Notre sol aura
été labouré par les bombes et les
obus. Beaucoup de villes seront
démolies. Les voies ferrées
n'existeront plus qu~a l'état de
souvenir. Notre industrie demeu-
rera écrasée et tous nos ports
seront anéantis. Quant on réflé-
chit à ces terribles conséquen-
ces de la guerre actuelle, on se
demande comme la France
pourra arriver à se relever.
comment elle pourra vivre, aussi
et arriver à se ravitailler. Nous
avons connu depuis de longs
mois de redoutables pénuries.
Sans doute seront-elles peu de
chose à côté de celles que nous
aurons à subir. Et comme si ce
n'était pas encore assez, fau-
dra-t-11. que certains Français
qui étaient souvent de braves
gens, qui croyaient aimer leur
pays. se laissent aller a un ver-
tige de destruction criminelle.
au lieu d'écouter les leçons de
modération et d'obéissance que
mous donne l'histoire.
Notre pays, anémié profondé-
ment depuis plusieurs années,
n'est pas en état de supporter
désormais un choc nouveau qui
le ravagerait de fond en com-
ble. Dans une situation aussi
grave, la France n'a pas trop de
ses dernières forces pour survi-
vre.'
Une chose demeure consolante
c'est de voir parmi les nouvelles
générations beaucoup de jeunes
qut commencent à comprendre
et à réprouver les emportements
funestes. L'on a vu à l'oeuvre
dans les cités martyre des
jeunes équipes donner d'admis
râbles exemples de solidarité
de dévouement, d'héroïsme, dé-
Mayant les décombres et sauver
les blessés au péril de leur vie.
Qui sont-ils donc ? demandait 1
l'autre jour l'abbé Theilier de
Poncheviile. D'où leur vient ce
courage ? < II y a des commu- (
nistes parmi eux, des incroyants. (
des gars qui semblaient ne pren- <
dre intérêt qu'aux sports, au ·
ciné et aux filles. Mais on a j
fait appel à ce sentiment de j
générosité qui leur a mis aa
cœur une force et une joie qu'ils
Lo région du Grond-iondres se trouve
sous ~e t~r o~emond Je horcè~ement
Crand qutntMr gûacra! du f'uh-
rer.~ju.n.–C«~)«(tM7'/
yt~t<
En MOfmandtt ditt~rentM tttMun een
t'Orne ent été hriMM. L'ennemi a enan owant centre ta fftmt tefr~trt <<< x
torttr~MtM fereM <)* reMtMtaiMmne< Ot)i ent «t
r*Mnt dereu)« aur )< t)r*M)U'<« «< Cher.
'Mure << CMéM) ttt «itisiett HOmut Met.
mith. eommanftant « 'M3o ditisien <<<«-
M !TAUE, LE CEKTRE CE BR~ÏÊ BE m S~mLE
SE SiTUE AUTOUR DU LAC TRASÏMENE
En ritiMO dM WMtM tMx~t «fit tubiM hier t~nt ht centre etM imfMrtaatt fttfaupemextt tennem'
"'a t~importantes tefttt & )'«ttM)M.
t~ tentre de trafite d< c<:t!e-<) ettX
Echecs~ pleurs poMs ~'atta~es so~aes à rM
LA LUFTWAFFE BOMBARDE L'AERODROME DE POLTAVA
SMf )t frentt netMt,dtt)*rttttt*utrtfX)tu titt d*t Unt )mner!ent< <')rn)ation d'a'tont tM
eent~t tourdt atMn'imdi eXeetuteoutrt mMaivt ~ntft t'aé~od~oaM Mvit~~omt d*
~o)t««. 3e aepitfeOt enntmi* ent ~M
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a <<< BfttOttMt r«M~it« t< «x tt~tft <oitti~tM à rttttwat*~ ti«n< de Xea~tfftttut t)i*f «m ttt tf* tt e<)t«ait dM Htieh. D'! itnmeuj)t*t
t!MLE SAïNT-StÈGE
N'iM~~J~S~CM~~
ayM !e r~MS s~~
M~an, 22 juiR. Dan< lex aiîUeux po
tittques. on att!'M<))e te retour t* e'K
du Vattcan de M. Myron T~ytor. Mprt-
tcntant du président Rooseveit ttUpfts du
Stttnt-StètK. ~u m~<:on«'nt<'nMnt smicite
dans ïes mil'cux dn i~&ïUs de Washing-
ton par le dernier discours de fie XU.
tLeSouterttaPoatMe.MUUeae~-on.
s'est refuse à aMiopter une attitude p~rti-
cutierement Mcnttithmte t t'~t!*<'d dM
mé le vœu LttMtson en est. sans doute.
l'Opposttion irfMuctibfe qut ttppose )t
Saint-Siège au t)Otch'*v~Tne. Ct ce que prétend h prop~tnde imtto-
ameUcmne, ïe P~pe ne serm jam~t~ dé-
posé à accepter un <'ompron!<: avec ie f<-
Kime soviétique Le Souverain Ponttïe a
prit nttt<-m<'nt !)osition & ee tmet t p)u-
tieurs reprise! c<-< dernier* Mm:M t.
L~tteentfe ~U.R.S.S. et ~es Etots-Un~
JimSM. M Jttin. Oans tes mitteu):
csttagttot'i de 'i'!)UK«''~t[etttiott trt~ô !a tutt souraoi~t; et ten-tce <)ue se ~r< momt-Ht. ii.tats-CnM et J.~u.on
soT~ft<)«e aux Uepens
Uttiae.
En eff~t. sc~0!t un observateur t'~ecm-
ment .«tiv~ !nterna~ona)e, WaatHn~toa et Mosco font dctmiif ua ccrttmi ico))~ un e~os
effort, cttacuu pou)* ~n pMfit, en vue
d'f'xttrtKM' pur.citih~K:on ttf)agno!e ffes iMys Oe
rAmoique t'Nttr~te ~t de ~~ to KrenUitt et Matson Btatt~tE.
Maia. st Je but Mt îe mftne. les n~
t!M
sivement.
Toujours seton !c tttfime obseMMpur,
tes ~:«tts-Uois !~o<-MFtH a~ec bmt:U;.taxdJs ~ue Ftm.S.S. tait m0t)tre gMnao JMh)MM, goa~cMtemcnt at<«t.[Mt«e de t)4, )es t cagTter à ~ur causo t'it!<'i? esp~-
tfMte pM~r mieux ttol-'hertser tM ttcu-
~tfs
Voici, par exex)p)p. comment s'Mt
Ctpritnc au sujot <t TangBf
ignoraient. Précieux gage de 1
solidarité pour le chantier d'ft-
pr&s-guarre pu i!a auront tous
à reconstruire ensemble.
DEPU!S 100 HEURES
taattfitt'Mt pattcutJtrCtMMtdittins'K
aintiamsMtfoupts. H a trouvé une
mort heraiau~ te }u-o au eoMra (te
Mscont~jtts.
t-a retK))* da O~nd-Loodfe~ M troutt
maiMt'nant Otipuit l9t hea~t ave): de
ttr ~*enu eattt *aut dan< te* eem)!an terfestrM «
tbttnu au caur< «< ta 'mit tt'MUtre
a*et «t a*)ens a* M«0at teufttt < MUM au hu! ta ttte dt ttcat.
sftut d< pxrt et d'~utrt du )M de Tf*.
tim~tM. NM tremttt ont <'eftu tautM Kt *asuM d'aM. et on matntenu )Bt)t~ posiOem. M thart
Mnemis ont été détruit* dan* tM taux
<<< Piomhino. La D. C. A. de ta marine x
abattu < chaseeur! bemjMtfditrt ennemis.
ua wwaw~ smn aw mv~wP~~ tv.a.a.
AU COURS DE f~!DS DE TERREUR
M M-de~us du ieintM~
U
I niquss a atM~rifé au oours de Iw nuü
niouM < att«tu* "u eeuft de tt nuit
<<f*sien rhénuit tt D. C. )tMn)*r< nuadf'metet)~. tt ont ainsi
tMttuit un tier~ dM axpttreih tnne<««mtt «'<< teM* Mt*t)o*.
M. Y A TROtS AMS 1
Le Re!ch et !'U.R.S.S. entraieMi en guerre
fxcssE ~uuMMM ~ou~fcwc ccrrE occ~~v
JLf DEMX DTX~MH~WA~a~UW
ttMoaM. ttent M bemtMu~i~ OMtMtrime-
ttMft.
Berlin. 2S jum. Le troisî~nM anot
vef<&tfo de î'enLMe ea s~erre d~ rAUe-
ïnagtie con):M FU. R. N. '5. eoMt~ue.
tujuurd hut, ~e principe des ëditjriaua
de lu prcsae aUcfntimde.
L~ < Deutsehe AUgentï'ine Xettung
ëcrtt notamment < La meïitM excrcea
p&r Ic'boiehcvisme ae cM~aUtue p!~ uaa
occast El:e est 'in daa&er v:tai terrible, Et exigf
une t~~nM: militaire pousser ju~qu & Ï'<']E
trente tUnita.
Ucpu~ t~ coafércnoe de Tch~iM pour-
tUtt ce 3oum&l, oa corniaït exactement
~s 'Fis<:cs d)&s dingeants du EremUn
L.U.H.S.S. veut av&ncer ses front:&re*
jttNqu'à B~t~ue. )UMM'Mf lM P~ys
Baltes et UNe t~'a.ade p~rMe 4e Poïo
~ne etie veut. en outre, s emp&rer d<:
~astt restons, notaa~tneo~ de RoumA
aie. des DardaneUez et de !& Finïinsde.
L'appui fourni au che~ de bapde Tito
pcou~: d'autre ~rt. qae l'U.R.SJS. de&ire
&votf aCt~s & ïa .[nef Adr~tiQuc. L& Kou
nmaie, la Hongrie. I& B~g&rie et la
Grèc~. votM tn'emc. ~r&b&b~sment. des p~r-
ttM de rAHem&gne. sont ~sat~oxem des
~w
tte~w~t tanj/tfmpt, <Mnip<'t')Wf <}' ~"<)'t'<"Nip<t <<:«r t)«ti'<p«Cî.
Quant aa<: Ms6es tMtttev~es. <'Me&
se iitu't suftOttt conctetiaéM jus prôStHtt suf te p) ~tnst qu t Mexico. ! UumaKttt. atUbMM ton'Jc un iasmut o(<. ~oua le couvert
a aa enseigMfmctu. littéraire et attquc. ~a, ffO[Mgap nue aucune oecM.on de s tn~iutt«*. t!
fst trttt que tpKe-ci est tout aMNd j
tuaaid~ ce* temps (terux't's !iu Mexique, ds
'a~ttte q'M 1 acttoa ~tS&NReUo de M.
Oum~m~M CM & ht t~e <« i* T~cettt~
rctM~i'ietra ;~a~uM ptt;tt. MMs ~taênettca
et .TUt!iOM son6ttque.
A T.tng<*r. «n cite ea~'orf t t'~pput
'tM oUSefTations t~ppo~'tuMAthntmue. un récent ~Micia de t*
ty)ts~n~U etmsttttatt aue iH iMne c«tt< b~K ytMtc cn/re tft !M< ~M<(~i<
t< <~tm<~t)a<
Pottr t'iîS)Mt~ M?''f"o'. ajoute t-on à Tan~-f en x~tse
te eomm~atatre ..t «t fmt:tf;onix!ne -so-
riëto-xm~rx'atm; te< tr~t~-CtH~ Mnt
!'
t'entM'm< !t'
f.a re~on porMMnnej
e~d nouveau
&o~t&
Pari5. juin. L'~iat'en ane'o
am&ficttine a tXKnbarde o< !ai<~ p)u
sieurs communes < Setnc-at-OJ~e. détruis'~nt daa maisons
d'h.tttitttien.
Utt < twiof! aM~itttnts t tu au-daMUt dt Pafia entre ta care 'tu j
Mor« et ta Bar< tres apparat~ ont été ég~ttamM~t abat-
tu.
tus. Ausstt5t après là chute des bambes,
~i AnMtt5t afrA~ ta ehu« <<<* bambe*.
)M <
du Comtia Ouvrier d*at ont aM transportes sw tM !ieux
Mnittré!, eu ))< ent ftrocedé, avM ~eaaipt! ttisc) )a 0~te«M paMite. aut premiers tra. j
*au<. O" autre="" part,=""oiatM et de* inapeotet~a ont r~n~ia aux j
nr8mu ~M sifiatftM Uft premtert Mm-
nte d'un mt))ion (ta tranc* destinée
au recourt tTur~anM, (O.Ft. Hav~t~).
Une camioB~!€ Bitraiiiee
sar aM roate de Seiae-et-Otse
T MOXTS ET < Bt.ESS6s
Paria. ï2 juin. Hier M)r. une
oamiMtneM* tattitra a M mitraiOea
tur una rauta d< Saina~tt OiM
Sept )tar d«nt <* *th)eu)< *nt «4 ttte<* et tf*
tr* tMtret tfit*
)«ott tMtem'ttt d« tex~bM *<«' t< ttrrt
teir* <<* ))t tiMt< mtm&eu<~ « tu« au e
r<«oM6Mtnt )M xtttKttM d* t'rreMf oo*
tXXt.. j
tineet & ttre toej)r!Mrêet t t< <)~tè d'Et.va~auiEMviétiftues.
< ~e dëttr ~'cx~an~ion du Kietatin Il
yers~'ou&st, conclut lit <[Dcut~cheA~ge
metne Zeltuae Ne cona~it pts )tt Hmi
tM.tt a
So«!itaant, tmperiEUSes qui ont poussé le Re.eh !t
FatMiH'endfe. te :2 juia tatre têt Soviets, I< t VoettMachtr Beo-
bMhtert affirme que !e front de !'Sst.
eottstittM t* seate protection de t'&n~pt
contre têt tts~es impëri~tMtts du ttrem-
Ua.
La dechtMtMa de M. JLyttktoa
CMte ~tM vive émotion
4~M ïe< nuMeBx po!!t~;ae<
ameri
Le Journat) suidais Oagens Nyhtter
dans uue corresipond~nce de Londres.
écr~t qm* itt d~c!a~tton de l* Production tt. Otiver LytH~ma,
qm t~ecuté Je J~tpott & tt guerre par );-uri
rn~ncpuyf~s. & suae~ Uttc vive c)nût;oa
& Washington.
L~taotien rictitù ext d'ituttttt ptus grande que de
nombf~m }9am)~M,t< aux NttM-Unu!
on.t dt)t Ii);M< etitendre & phait-urs t'
))rtses <)ue }e aouMt'nfaMnt de *t. N~M-
SfvsNnfats de t~ dipJoaMt:t tuneriettnf
~v~nt t'att~ue jitpoaa~e coMrt t~trt
HfU'bout. O'~mt: ptt't. M. Soi moom,
pr~idfnt de t)t Monm'~siMt éUtt~s~rM de 1~ C:iaa)f<« dM ftepn-s~
tBttM t deeitf~ qu!- M. L?tt!ct u<~ hotsm~ dans reux.
Les MMSoM tn Jtpoa
Totio. :H JMta. ~t pM~tMte du
mOtMttre des Mftures étratt~res j:mo-
tunt t oKreace ct*r nistre de lt protuctioa hrit.fma'qm',
~e~nt que ta pret-eottioaii am-ttc~t-
nei: at~tent <'onmmt tes Nippons tt tt-
courir tmx ~t'm*s.
Le. porte-p~ro!- a dMaU que le Mut
{*it remitpqttaMt
M~it'at NE proneactM ptr !m de: (.îteft
M!eio-amfritams qui. juaqu'ict oat ftut 1
teut teitr~ en
propt~ad: ief <
cttnchMUMtt de le gm'rre da P~oitiaue
propagwnd: les véa'aatdcs ra'·sons dn 3c.
clcat~.nxEnt dt .ta 8La·.rrt du PaciiLqua.
LIRE AUJOURD'HUt
te ?OM!<'tXr ~4))drp ntc~~t, poMf de
ta )fMMOa. << hu~ et
Matu~ea !e<)t~.
r.'M~rft d<' M-iMt-Hf. G. L.-J.
Z.FCrf/~A'.S. Mte~e p N07naf!t Nottnd.' pOttf ttt ~OMft < Mnjer
f f~jor tnJoe~MaoM
GRANDS TRAVAUX
¡ PORTS
Avant i< guerre. ~s ~ramds
travaux en IndCfhine se t.;t)in-
jvaient MtureUctnuni. &n étroite
f clép~ndance des. p~,sibili;fs (-truite
ju<'p&ndancedcspL-saibi!i;<-s
'portatioH. produits bruts. feTS,
aciers au.-sl bien (ju'ouvragM ;<)<
j taUiques, a.ppareiU.tjtos, nM.chtnee
ptov<;nan;t)t du dehors.
Pt-Ivee de ses Ittipo'')atiortS, cpu~
pouvait réaliser l'Uu~n avec ses
seuls stocks d< prMvoy.mce ? fa.t-
ttt&t ~:et:M' en somntei'l )~s im-
~Ba.nt&t 'enn'&prises en cou.rs tw.
uu tonn-ah'e. les ~urau.vrf vi-
gourcu~emeut? 1
Le CouvM'nûmant Genural n'ttc-
sthi pas. Ue nouveaux LhanUffs
son. ouverts et un v~~ etfoft
d'ens.n)btc exceuin touchant tes
rQU:cs.t'hy(tt'au)tquea'gTiec!e.it:s
foTcfM hy<]t0mnettts d'int~tet goiërai. Du gran-
de~ voies ntMtËfnos. d~tt'csvragcs importants, fmnt.htsse~
des f~giou.s jusqu'a'iot's diîfinte-
mau Laos, par exe)np;o. est ache-
vée fa toute 13 dH ~aixon a L)mPraDan~. aiasi que Jes rou.f~ 14
(Satgou-Kon.uo). M (QitittOf)-
StrungtrengJ. M da;M sa section
Monghinz Suravane. L'yd''au)t-
que a'g'tico!e p) onction et hvt-
gatMn se dsu~ des ce!MaIn.ës de j~:HiMs
d'hectares en Cochinchm~ est
pfocedë à l'atnenugejnent pf~-
gt'f&itf du n'ansbaiHa~.
MaiH un nouveau programme
ast mis en chantierMon s'Étendra sur plusieurs a.H-
nëes afucnagem&nts do ttouvet-
les zotMs au Tonkin, en Atta~m.
on Cochtac~tce oa sera «ii~e an
valeur ta plains des Jettes: au
C!nabod!:e. mise eu eaux rat ocuidenta) et. rutab!is~mM)t
d'fmcten~ réseaux d'irri.g.ttMtt
t:bn)airs. Des études sont ouver-
i~s et das réalisations cf<\t(u& comfae~eUe d'usine pourr'ith-
m<*tttatioft d~Daiai en t'uergM
e}ec!'ri(}ue. (.)ue fitit-o.n pottr lo&
bâtiments? 2
JLa CitÉ Universitaire et tu
biiotheque de r&cote franç-use
~d'Ëxttcme-Ori~nt s'<:dii:t'ut A
Hanoi, à Uaiftt d'Humeub~e [tu
Service G~og~raphiqtte. !a maison
de ta. Hadio a Sa~oo, t;t. tant à
Hanoï ~u'à Sa~g'Mt &t)t entf&pri~
ia modMnisaUoH et t agrandtsse-
ment des h&pHaux.
Vivant su.f e!)e-tn6)T)e Dn~~cht-
ae trouve le ntuyfM de pathuM tA
d'eK'rMiM un cqmpHXiCtH,ch~ue jour. dev.ent p)us di~te
d'une gtande création frau~-itiM.
Le biocUiS pouvuh-it ~mpëtttM'
qu~ l'lndo<'ttine ne saMgcat à sact'M rttarittnies ? L'uveni.r ntagnipas au tt~nsport e), a ta di~tribu-
.tton de cettu-ei ? t-c- ~iM ittt tu-
rent d~M pas outitiCs.
Haïuho~n~ se tf&uve ê~re te settt
débouché ntMUitnt; vi.nSi'-cmqki'[Otnct!'i;sd.aLUt)'r.
s- la. rivière sud du Cua-C&m-.M
Hong~y et Camph;) n-e :c''vent,
en effet,, qu'à t't'vacu&non ct!&fts:aes. L'im~ort~mee du tfCtfM:
d'Haïphottg. deuxième pfM't
t'fnxm, ne se M'aduit-eite pM p&f"~
quetqut*: chiffres. JuKez-cn. E !')?, le tûMMgc des ntat'ttMta~M.es.~
tnanuMationtmes (C!ttt'c<'a e: s~r-
t:M j'~u«'es po'uf 6M tMvh't's. jau-gememMe &a<00~ !onns'était cievé. en 19t&. & MS.OOO ton- ·~
UM ,p&a.t- CM navires, }augeaMt;J
'MS.OOtt tonKeaux, pour ait~mdt'<
en 1M8, 1.3~?.<)M mwtes potonneaux
Ccpend~M. )9 port e-t sun Meuve i'envasfnteut de t'
malMen Mnd.d'aLfmcepuim.X
Tt-fC. t'acce:. rJus difhetie. H f~ut, J
pouf maiHtcu;f da!i.s 4e ettMai. pou[-:uiv; &itas
arrêt de coutcux dr&ga.ts. d6s:
(~tM t'et~! de ia m&f ics rfttd pra.- i
Hcab!<*s. [).M f~'udt.'a ~t.'iicat pmn'- suivies pa.r d~-i ~péc!a)is:t's poxf :!i
dete.rm':n<'r !M. ni&sut'es à pren- a
dre afin de r<;a)Mi~r A cettem&nte sHMatMn. M&é t'ëtat de
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Frmnct et Mu~ata*
RËMCTtON et AOMtMtSTRATtOM
PROVtSOIRBMEMt
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BeBATS AWEt
JO~AL DES DEBATS
1 POLITIQUES ET LITTÉRAIRES
Clermont-Ferrand. le 2~ ~uin
A TRAVERS LES RMNES
Aucun Français ne peut de-
meurer indifférent; en présence
des malheurs qui se sont abat-
lus sur notre pays. Après tan-
tôt cinq ans d'une guerre qui a
causé chez nous bien des ruines,
la situation sur notre territoire
est loin d'aller en s'améliorant.
Depuis de longs mois, les dévas-
tations de nos villes et de nos
bourgades par l'aviation des
< alliés avaient pris un ryth-
me précipité. Aujourd'hui par
surcroît, c'est une de nos plus
riches provinces qui se trouve
en proie aux saccages de la
guerre. On a lu le récit de
Fexode de ces malheureuses
populations, qui s'enfuient chas-
sées de leurs foyers, de leurs
villes, de leurs villages en rui-
nes. où elles ont latssé tout leur
bien. et parfois des êtres aimés
qu'elles n'ont pas revus, et qui
restent enfouis sous les décom-
bres. Et dans le reste du terri-
'totre de Marseille à Dunkerque,
que de cités écrasées sous les
bombes, que de morts, de bles-
sés, que de monuments témoins
de notre histoire, se sont êcrou-
lés sous les bombardements t
Maisons ouvrières, maisons pay-
sannes, églises et édifices his-
toriques ont subi le même sort.
Aussi impitoyablement bombar-
dés que les usines, tous et tou-
tes furent aussi cruellement
frappés rien ne devait être à
l'abri du cyclone qui ravage la
France.
Une situation ~ussi doulou-
reuse ne devrait être aggravée
encore du fait de Français, qui )
excités par des propagandes
incessantes, ajoutent des deuils
a
cient tragique à la somme des
souffrances au milieu desquelles
se débat notre pays meurtri.
Les jours prochains n'appa-
"raissent pas plus souriants que
les jours présents. Notre sol aura
été labouré par les bombes et les
obus. Beaucoup de villes seront
démolies. Les voies ferrées
n'existeront plus qu~a l'état de
souvenir. Notre industrie demeu-
rera écrasée et tous nos ports
seront anéantis. Quant on réflé-
chit à ces terribles conséquen-
ces de la guerre actuelle, on se
demande comme la France
pourra arriver à se relever.
comment elle pourra vivre, aussi
et arriver à se ravitailler. Nous
avons connu depuis de longs
mois de redoutables pénuries.
Sans doute seront-elles peu de
chose à côté de celles que nous
aurons à subir. Et comme si ce
n'était pas encore assez, fau-
dra-t-11. que certains Français
qui étaient souvent de braves
gens, qui croyaient aimer leur
pays. se laissent aller a un ver-
tige de destruction criminelle.
au lieu d'écouter les leçons de
modération et d'obéissance que
mous donne l'histoire.
Notre pays, anémié profondé-
ment depuis plusieurs années,
n'est pas en état de supporter
désormais un choc nouveau qui
le ravagerait de fond en com-
ble. Dans une situation aussi
grave, la France n'a pas trop de
ses dernières forces pour survi-
vre.'
Une chose demeure consolante
c'est de voir parmi les nouvelles
générations beaucoup de jeunes
qut commencent à comprendre
et à réprouver les emportements
funestes. L'on a vu à l'oeuvre
dans les cités martyre des
jeunes équipes donner d'admis
râbles exemples de solidarité
de dévouement, d'héroïsme, dé-
Mayant les décombres et sauver
les blessés au péril de leur vie.
Qui sont-ils donc ? demandait 1
l'autre jour l'abbé Theilier de
Poncheviile. D'où leur vient ce
courage ? < II y a des commu- (
nistes parmi eux, des incroyants. (
des gars qui semblaient ne pren- <
dre intérêt qu'aux sports, au ·
ciné et aux filles. Mais on a j
fait appel à ce sentiment de j
générosité qui leur a mis aa
cœur une force et une joie qu'ils
Lo région du Grond-iondres se trouve
sous ~e t~r o~emond Je horcè~ement
Crand qutntMr gûacra! du f'uh-
rer.~ju.n.–C«~)«(tM7'/
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En MOfmandtt ditt~rentM tttMun een
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LA LUFTWAFFE BOMBARDE L'AERODROME DE POLTAVA
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rAmoique t'Nttr~te ~t de ~~
Maia. st Je but Mt îe mftne. les n~
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sivement.
Toujours seton !c tttfime obseMMpur,
tes ~:«tts-Uois !~o<-MFtH a~ec bmt:U;.
tfMte pM~r mieux ttol-'hertser tM ttcu-
~tfs
Voici, par exex)p)p. comment s'Mt
Ctpritnc au sujot <
ignoraient. Précieux gage de 1
solidarité pour le chantier d'ft-
pr&s-guarre pu i!a auront tous
à reconstruire ensemble.
DEPU!S 100 HEURES
taattfitt'Mt pattcutJtrCtMMtdittins'K
aintiamsMtfoupts. H a trouvé une
mort heraiau~ te }u-o au eoMra (te
Mscont~jtts.
t-a retK))* da O~nd-Loodfe~ M troutt
maiMt'nant Otipuit l9t hea~t ave): de
tbttnu au caur< «< ta 'mit tt'MUtre
a*et «t a*)ens a* M«0at teufttt <
sftut d< pxrt et d'~utrt du )M de Tf*.
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Mnemis ont été détruit* dan* tM taux
<<< Piomhino. La D. C. A. de ta marine x
abattu < chaseeur! bemjMtfditrt ennemis.
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AU COURS DE f~!DS DE TERREUR
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M. Y A TROtS AMS 1
Le Re!ch et !'U.R.S.S. entraieMi en guerre
fxcssE ~uuMMM ~ou~fcwc ccrrE occ~~v
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ttMft.
Berlin. 2S jum. Le troisî~nM anot
vef<&tfo de î'enLMe ea s~erre d~ rAUe-
ïnagtie con):M FU. R. N. '5. eoMt~ue.
tujuurd hut, ~e principe des ëditjriaua
de lu prcsae aUcfntimde.
L~ < Deutsehe AUgentï'ine Xettung
ëcrtt notamment < La meïitM excrcea
p&r Ic'boiehcvisme ae cM~aUtue p!~ uaa
occast
une t~~nM: militaire pousser ju~qu & Ï'<']E
trente tUnita.
Ucpu~ t~ coafércnoe de Tch~iM pour-
tUtt ce 3oum&l, oa corniaït exactement
~s 'Fis<:cs d)&s dingeants du EremUn
L.U.H.S.S. veut av&ncer ses front:&re*
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pcou~: d'autre ~rt. qae l'U.R.SJS. de&ire
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Pari5. juin. L'~iat'en ane'o
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sieurs communes <
d'h.tttitttien.
Utt < twiof! aM~itttnts t tu au-daMUt dt Pafia entre ta care 'tu j
Mor« et ta Bar<
tu.
tus. Ausstt5t après là chute des bambes,
~i AnMtt5t afrA~ ta ehu« <<<* bambe*.
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du Comtia Ouvrier
Mnittré!, eu ))< ent ftrocedé, avM ~eaaipt! ttisc)
*au<. O" autre="" part,=""
nr8
nte d'un mt))ion (ta tranc* destinée
au recourt tTur~anM, (O.Ft. Hav~t~).
Une camioB~!€ Bitraiiiee
sar aM roate de Seiae-et-Otse
T MOXTS ET < Bt.ESS6s
Paria. ï2 juin. Hier M)r. une
oamiMtneM* tattitra a M mitraiOea
tur una rauta d< Saina~tt OiM
Sept )tar
tr* tMtret tfit*
)«ott tMtem'ttt d« tex~bM *<«' t< ttrrt
teir* <<* ))t tiMt
r<«oM6Mtnt )M xtttKttM d* t'rreMf oo*
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metne Zeltuae Ne cona~it pts )tt Hmi
tM.tt a
So«!itaant, tmperiEUSes qui ont poussé le Re.eh !t
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eottstittM t* seate protection de t'&n~pt
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Ua.
La dechtMtMa de M. JLyttktoa
CMte ~tM vive émotion
4~M ïe< nuMeBx po!!t~;ae<
ameri
Le Journat) suidais Oagens Nyhtter
dans uue corresipond~nce de Londres.
écr~t qm* itt d~c!a~tton
qm t
rn~ncpuyf~s. & suae~ Uttc vive c)nût;oa
& Washington.
L~taotien rictitù ext d'ituttttt ptus grande que de
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Z.FCrf/~A'.S. Mte~e p
f f~jor tnJoe~MaoM
GRANDS TRAVAUX
¡ PORTS
Avant i< guerre. ~s ~ramds
travaux en IndCfhine se t.;t)in-
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d'ens.n)btc exceuin touchant tes
rQU:cs.t'hy(tt'au)tquea'gTiec!e.it:s
foTcfM hy<]t0
de~ voies ntMtËfnos. d~tt'cs
des f~giou.s jusqu'a'iot's diîfinte-
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vée fa toute 13 dH ~aixon a L)mPraDan~. aiasi que Jes rou.f~ 14
(Satgou-Kon.uo). M (QitittOf)-
StrungtrengJ. M da;M sa section
Monghinz Suravane. L'yd''au)t-
que a'g'tico!e p) onction et hvt-
gatMn se dsu~ des ce!MaIn.ës de j~:HiMs
d'hectares en Cochinchm~ est
pfocedë à l'atnenugejnent pf~-
gt'f&itf du n'ansbaiHa~.
MaiH un nouveau programme
ast mis en chantier
nëes afucnagem&nts do ttouvet-
les zotMs au Tonkin, en Atta~m.
on Cochtac~tce oa sera «ii~e an
valeur ta plains des Jettes: au
C!nabod!:e. mise eu eaux
d'fmcten~ réseaux d'irri.g.ttMtt
t:bn)airs. Des études sont ouver-
i~s et das réalisations cf<\t(u&
m<*tttatioft d~Daiai en t'uergM
e}ec!'ri(}ue. (.)ue fitit-o.n pottr lo&
bâtiments? 2
JLa CitÉ Universitaire et tu
biiotheque de r&cote franç-use
~d'Ëxttcme-Ori~nt s'<:dii:t'ut A
Hanoi, à Uaiftt d'Humeub~e [tu
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Vivant su.f e!)e-tn6)T)e Dn~~cht-
ae trouve le ntuyfM de pathuM tA
d'eK'rMiM un cqmpHXiCtH,
d'une gtande création frau~-itiM.
Le biocUiS pouvuh-it ~mpëtttM'
qu~ l'lndo<'ttine ne saMgcat à s
.tton de cettu-ei ? t-c- ~iM ittt tu-
rent d~M pas outitiCs.
Haïuho~n~ se tf&uve ê~re te settt
débouché ntMUitnt;
s- la. rivière sud du Cua-C&m-.M
Hong~y et Camph;) n-e :c''vent,
en effet,, qu'à t't'vacu&non
d'Haïphottg. deuxième pfM't
t'fnxm, ne se M'aduit-eite pM p&f"~
quetqut*: chiffres. JuKez-cn. E
tnanuMationtmes (C!ttt'c<'a e: s~r-
t:M j'~u
UM ,p&a.t- CM navires, }augeaMt;J
'MS.OOtt tonKeaux, pour ait~mdt'<
en 1M8, 1.3~?.<)M mwtes po
Ccpend~M. )9 port e-t s
malMen Mnd.d'aLfmcepuim.X
Tt-fC. t'acce:. rJus difhetie. H f~ut, J
pouf maiHtcu;f
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