Presse et revues
3 pages
Titre : Journal des débats politiques et littéraires
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1944-04-13
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39294634r
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 200316 Nombre total de vues : 200316
Description : 13 avril 1944 13 avril 1944
Description : 1944/04/13 (Numéro 1306). 1944/04/13 (Numéro 1306).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : Révolution - Empire (1789-1815)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : Restauration - Monarchie de Juillet (1814-1848)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : IIe République - Second Empire (1848-1870)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : IIIe République (1870-1914)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k510923v
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 22/01/2008
JËUDM3 AVRIL MM
..N" tM&MC' ÂMNËS
Ï~ANC
~m< Mt~M~tM~t
1. 1.
<:moH l«
FfâMe tt e&!fM!)et t* t«t
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MBAanOM M MMMtovïsoîRK&MNir
i3t tt«t « )tttt, et.tttMeMt-PB<«m«a
Tttt~h. MMt. M AdmMtttt. e~<
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&eaAt!tAw~t«t6. C. <*< < <<~)iot-?'t<'MM M.
j --jN!!
JOURNAL DES BEMTS
POLÏTïQUES ET LÏTTÊRAÏRES
Ctermon~-Ferrând. le 1S avrt!~
ËVOLUTÎON
Les jours derniers qui éi&ient.
jadis, des jours de tête, furent
Cette année des jours de deuil.
Lct. bombardements anglo-amë-
t'tcâins sur nos paUvtea villes
îr~Màises lurent plus nombreux
que jamais..Les centaines de
Morts françaises, les nontbMU*
Ma familles jetées a la fUe
devant leurs maison iacendieea
et eMondrees, Cette multitude
ae foyers en proie aux pires
détresses et aux plua cruels cha-
grins. composent un tragique
Contrarie avec ces jours où l'on
fêtait la Résurrection. Ce furent
pour baaucoup de Français Ses
journées de terreur et de mort,
auxquelles la main étrangère
sans pitié ne voulut point accor-
der le moindre répit. Cela peut
donner une idée, une idée très
î&ible. du sort de notre pays. si,
MMtne le souhaite ardemment
te comité d'Alger, un débarque-
nient anglo-&méricain a~ait Heu
sitr notre territoire.
Ce comité d'Alger, où sont en-
tres désormais ceux qui repré-
sentent le régime de terreUf et
de bouleversement, se réjouit
certainement de ce9 terribles
bombardements. N'est ce pas
dans l'ordre ? Tout ce qui
pourra aggraver la situation et
las souffrances des Français de
la. métropole représente pour
eux. croient-ils, une excellente
préparation pour entraîner les
populations et les h&bltuer &
l'idée de plus grands drames
encore, dont les communistes
scène et les acteurs. On ne peu~
oublier ce qui vient de se passer
au comité d'Alger et l'impor-
tance capitala de la tournure
-qu'il a prise et de la voie où 11
s'engage. Les nouveaux mem-
bres qui viennent d'y entrer
appartiennent à un parti qu'au-
cun gouvernement, même celui
du ft'ont populaire, n'incorpora
jamais.
Une agence suisse observe
que < les hommes qui sont
maintenant les nouveaux mem-
bres du cabinet d'Alger étaient
des militants à la tête d'un
Mouvement qut, pour des ques-
tions idéologiques, a trahi, il y
a quatre ans, la cause fran-
çaise La même agence pb*
serve que < la dissidence telle
qu'elle apparatî aujourd'hui, est
totalement différente de qu'elle était U y a un an. Quant
& de Gaulle, il ne représente
plus le même drapeau qu'autre-
fois. Aujourd'hui, on tend & le
considérer comme l'homme de
la révolution f.
La dissidence, en se donnant
11 y a près de quatre ans comme
utM révoltée contre les décisions
du chef de l'Etat, av&tt voulu
prendre une figure de super-
patriote qui voulait, avant tout,
le salut éclatant de la France.
Beaucoup de Français qui
s'étaient ranges dans ses ran.ïs,
doivent comprendre aujourdh'ui
qu'elle est non seulement une
mauvaise affaire pour notre
paya, qu'elle a privé de l'atout
moral, diplomatique et matériel
qu'et&it notre empire, mais en-
core une affaire qui ne profi-
tera qu'à la Russie des Soviets.
Le comité d'Alger s'est fait le
complice et se fera de pt!is en
plus le complice et le soutien de
l'hé&émonie soviétique. Dès 1924,
Zicoviev ne déclar~it-H pas &u
congrès de Bakou < La subver-
sion de l'Europe doit être la
première étape de la révolution
mondiale ? 1
URE AUJOURO'HUÏ
M~.B~ .SMCMCM.S î'.tnM
AU 'rH~.4TMr ~B f/oj~t~.E
A'ttHte Ceettc tt<' P«;rrc Nfes-
«'Kf. Noël Boyef.
M CfVFM.4 < pKw
~e ~KK. Gfetet.
ASCrcB~&E. rOMNtt
~nefos aea tKiauMAuK tLLEOAux o'At.csK
UNE DECLARATION &U CHEF DE ~ETAT
Teut ~tegaiM~t MspottSaMe
Vichv, 11 &fi!. Aux MfftMM «e
Vichy, itlïtifHtt~t'tW~$~ ~>i di~é=~ 1
eè~t&itM itt~efmati~ii. te v'
aw)~) JOë~fiM, afte'en cottt~a~
aattt d& ntafine e<~ tmttste, et
e&s M)etàiKt, ae~atent ))rdMiM & A<8a<- «awattt MM tft)Mm)t)M~e, «')bHMt d'ao)eMr< tM.
ga).
aaos Mttë et~oostaoet, m&-
rëehjH
L'Espagne s'indtgne des mesures de «répressions
prises par !e Com~é d'Alger
Barcelone, tt avrf!. BM cot'r<
t!(:~
1~ SOHdaffdott A'acfotta!. o~~ne de
!:tPha]attge à Barcelone, j~btiecn
f)t'p)hiere page un SdiMfiat qtit rp!'t:e t ses tceteUfs fnte ]6 gouveine-
ntent français annonce des mesures
enctg'~uCB jxtttf retTonOte aUK tters~cti-
tiotts dotit aatH l'Objet en Ans~tie d)i
NoKt les atititatteo ~yâux à leUf
p.ltriû:
~t! aafsMKt ~mt. déclare ce jottf-
i).')i,<<<'Mt;'et')t<');)<:nt f~«te stK'uf<'<~(<<'t)Oir.M~ruf)c!(<< ~Mf, ?n[tt)ftf!)on<, !« «'fpcnt daHa !~<
)0
A(r Mat))fu; « !y o tt«n.t MOhttc
bMM('0)f)< ft'ttt'fu~Ms, par 6('('');;t~tt«t(e< d t'/t'Mttft))e:ofons<<'e~<'c)(!t6)!ft'.iyitttnme tfe .Vot!f! hoxtt))M d'honhcxr 9Mi, s't~: o;)t
LE MARÉCHAL SMUTS
prévoit u~e criM iadu~tfte!!e
pour rUmo& Sad-AMea})M
f.eCap.llavri!. –Pi'enant/ta.,
pMoieu.una réunion duc~nseU du
commerce etreehaISmuts a déclare:
m paiK future atn&npM !e changement
le ptus t'nfiica) des conditions de vie que
l'Un!0:t sudafticaine att fu & connatH-e
dans toute son -histotM. Cet ~vé~tH~tIt
athehcr& th plus 6'~mde criée industriMte
que nous a'yfms connue. L'heure est venue
df'K~'tsfr )? Mgistatien africaine. Nou;;
détone aaopter un code nouveau au tra-
çait. NoUt ne dCYOns pas oubt'.ef qu'après
les hostititës nouB Ytous hcurt.crons à une
concurrence très sérieuse. Le monde de
!pre~-eu!'rre M'i'a benucoup pius
sommes nés,
Attaques aériennes contfÊ p~usieufâ v!Hêâ be!g@s
BRUXELLES 8"&10.1
BruMUM. il avfU. B
eieur~ tauMturM [t6 )a .capitaM )te)gt. &tt
Mnta~n~ da t)omt'e< incend!tMres ont été
tancées, détruisant tu ««tommaseant
ttues entitrM Mnt ttommM. t-a tutt* eontr~ )'tté entravée par )t manittU t'tau t )t
été entravoe par l, manQIU d'èau 'la
ttttte dt ta rMftMrt ~tt MMttttM, t'ett
to f]ue)
0« ttre 6t)ray«.
A 19 heures te Mat) d
atteint'.
.HASSELT
Hasselt. Il eTrU &M a<)M
SUR LES DIVERS FRONTS 1
De thtrs CMMs se dMeat sw !e îfont Md de Sr~e
CONTRE-ATTAQUES ALLEMANDES EN BU!MV!NE
Grand quartier KMt~ra.t du Fuh-
Mr.Uavrit. –C'otMntU~~uc~M
~M(c
Saf )t front t)t~ d< ta Cri<«M)0hat< continuent contre <ri
Lit Mettante SarniiMmtft T)HTt<)))ttMt«
*
A t'euest d'OrhtiH~ un< ttMht <)
«tm«ft jeurt x ttt et' paftto rMuMe.
EN <
En titiadés attemamda ont de. urta iarte
rtiittance Mes treup99 se*i«t~~ut Be~tm, tn tettteratieH MonttthMa.
OMM ta rtjtHa
M«ti< ifNte «Mttttttttmeot jfxtt~mtttt.
«ttM CttntextMt
ti)Mt & atfthttCf à MtH~ehH q~e
tant ofticie~. sa!dat eu ma~a, qu)
~tëente it
tOfite «ont &MM6 e~t «fa~6. tfx-
ttuife M juatteo UM ofueser g~Mê.
fà) eu Mttt â~~e eo~~ahattt «ui
a exécute UH Wfdfa HtMij MnsUtMe utx atteinte aH
d~tt, aw dtÈ~f *t a t tt6MH<«f th).
t'taire*. {C.ft.~Hinâs.~
!M ht B'Kfï'M, Ott( ))0!t'ruttt'e.
Et tt No!<<<«fM~ iVctttre que te goufet'nfnMttt franc~ts
('x <)6fcitdant 6~3' sfkt)Htpre MttSe
199>
LES RAÏDS ANGLO.AMÊRÏCÂtNS
Bombardement d'une vitte du nord de te frange
M MORTS, UNE VtNÛTAïNE DE BLESSÉS
PMis. 11 avril. Ce matin. u«< tttmtOM f'*)'iMt NnSX-tmerjeai~! <
htntttttttt fnt t)«*
Un e«n))tteH~M~
7 !Mr~ 3$ M~ ~M Parts. 11 avril. Otox etmmMHe~ ttt tt htt0(~«e))*K<'<«~«<, *t)t
Lt<)«)fttMttK!Kt
te hiKp~ b~m ~M éamÏwrt tMm&aK~nMn~
PoNf !o r~gtûn ~sKMPtttt~ .1
1?7 MORTS 179 BLESSÉS 1
P.~is, n aTrit. ~u dé~ut de )'ptè< m)a<. M bitan ~< ttBmtar<«!fntnt
dû 14 régieh parisienne eftaste~b hfb llr
!? )t regiett pa~)n
XtiMait ai!m
0~t< Tt )))<)S!5~S h
OMitt-tem~tt ae SB)ttB-«0!st 1M
moMt et t9t btetsât he~ltfttMt. (O.f.
:H!tMSt
taMMt eftXt de M«M*nt~trOa ax nef< ~t LMg*. tt «tMttMu «*< ttifMretttt ouartttrt tt< )a vt))e. Le: tra-
f&Ut tMimottidiatem~nt M'' '6: MrvicM etmmu-
)MU()t dB MaMttt et NM ertftHaxtM.
A ta tutt* a< et rtMftt tt tM ~and nefhOrt dt MtMés
pttm< ttt~eft tthttttttft MMt ttt ~ans~r
<<< tttMt.
C)II .CHARLEROÏ
ChMMfot, H RtrH. Ldi, t'aterte a ët~ dennét à Charteroi. A
p)M)tièrtment )M CMartiere euxritrB. Hee ))M<-
bt< tt'tmten~fattfm. u y a «e «etn~t«att tM-
ti
eeoMnut t ttttte~tr tt tefr«!n d*t tefttt
MtO««<
Au tMd-M< t'Ottft*. tM aMct)~
ttXtt ~tetf ameott<*ti<~eeato Mt eo Mur9.
OtM ("usteuft Meteur~ d
«
«Mt d< t'
Il. da f adrsrs~rs, t°Mwemi n wbl ds
)ûurdea ptrie~. 1
Uft tMmnMHtOe ttMtnniaut tttt) ttXtit
~t« MtetMnxnt. a ée6 --nti --QI "-1
fLt M a~i)tt'atttH~tt tttM~ttttt j<*f ttM «eft iMittftet M«r <<« Otjtttitt <«t tte!t~
«E
LE BARON DE HOLSTEIN
(~p~esd'i~ ~yfe récent
pa~ Mau~ceP'EFtNOT
Si jattt&ts i'histoife retient mon n~am, j'y îefat pfttbàM~tnent
figure d'intrigant. quoique j'~ie toujours fait mon devoir, aussi !)tea
que je ).'&{ coaipi'n. C'est Ainsi que, le 5 inars 1S94, da~s une lettre
adressée à une de ses cousines, le consciUGi' mtime Frèdët-ic de
Hotsteifi pl'evoyait de longue date un jugement sévère, contfo fequel
i! s'inscrivait en faux, et que des aoeunicats r6c<;mmeht pubttM
srmb~nt contirmer. On assure que le grand acteur &Hemand WefnGf
Krauss, chQige de repfësente:' <; ~ËatineMe Grise f datis uM tt}~
cotisacrê à I& di~grAce da Htsmarc)t,l)* t0!e en s'inspirant ti<*s dohttecs tMUvctifs touruios par ccm
t~Mieation (1}.
Ïe n'ai vu Ho!stein qu'une !'ois, en .190~ & Berlin, dims !e jitrdih
de là Ctiancen<'Me, Où il se proinchait avec t~ princesse de' t!Cdui que Bismarck appelait «l'homme -aux yeux d'hyène poft&it
un torgnort derrière lequel on eût cté biett en peine de devia~r tc~
particuiaritt~s de son regard une barbe grise, soigneusemettt tâiiMe,
acc'eahjtait la sévérité de son. viMgë il était vetd d'Uno redingota
ds coupe ancienne, boutonnée tr6s haut, et tenait. & !& mitiR tm.
chafeau Mnd et une petite canne d'eMne. Ce d~plotuatc, dont
l'infXienM avait étÉ toute puiMante, 'et qui inspirait aux courtniatM
~t ('omnta a)ix font'tiot)ti:)it'
Poef ~aggfoSMrattoa HMet«
481 MORTS 3SS BLESSÉS
LiUc.na~rit.–A « h.autetu--
d'RU), M Btt~t) ~et t)e:ttt)M ttu d6r)tiBf
r!))tt ttte<ntettwtt: ¡
NOUVEAU BOMBARDEMENT
O'HANÔ!
Toicîo, It aTt'M. Htnoï, Kt eapitft~ de
l't&a&chtM fMn~Mf. & et4 l'objet, dahs
lit n
bttfdiettamCricRins. L'attaque & aurë
plù~ de huit heures.
M. 6A8!EL HAMfA~
EST MORT
Pafts, il a~U. On apprend
la !noft survctiue ce matm à Patte
ch a~ii datHiciie, 4, avetuM Hache,
apt~ une courte tua~fMite, de M.
Uaibt'iel Hanotct.ux. membre de
l'Académie ffançaise et ancien
aimiatfB des Al'mu'es étraAg~res.
La date des obsèques s~a. Itx~e
uttér4eufetnen).
M. Gabttet Mt~otaut. he t BeetMMvotf
(AMne). !e H ae~t-mbre JttM. tMtt ftit
6M otttdM eu tycee de Sfttct-Quentiit
pute & ?aHs. ËntfH t rëeo!e d~s Char-
tes. H Mt n~ntmé thMtre
ottt
AprM ttYOlr
.er d'~mbfiMade & ConstJ3e t3M & 1M9 :t sM~ef tt !a Chttm-
bre comme ~MpuH
Sous les mitusteres Ï~uuuy (18M-18&5)
et M6MM UM6-'969) il de~nt minette
de< Aftaire: etrtm&Bres. Iî Mm)« au tOUtt
de Ma pMMXe dan< Mf! aemc ctMaett
des në~octattons importantes ï'elaMvea
n«tMtuMt t* dthatitttioaC~tMs tt
Bn KM, Gebriet ttaaet~u!: shandonna
ton DO''teteuUte
tran'mux hist&rique~. STO:umM < Histoife du Mrdtaj: de Sic&e-
iieu iui vatureat em ta9'! un st~e à
t'Academie frat);stse où it cccuo& 'e
sièpe d~
DeM sa Mtmte. qa't) part~sRaquehrmtB-C~p-Martin e: sa prOtirMtë )
< L< Prteurt' t t OtchaiM
it poûrM~tt M~S<*<)!E.!t)eat ttitt o-aMe t
6:M aui oot~Mtuent u
ta·blc, aotamW ent nae hiato:rc de ia
ftthïe. !)otfuc
~ttatM
un* Ki~tatM de t* nfttiMt ffMl M t
'G!r«tnon de r&cattemtB'ît~ae~he. f
soite de terreur, ne possëd&it Ht
hahit. ni smoking, ce qui lui était
un prétexte & Kfuser toutes les
invitations. li habitait, dam 1~
Cr()s~<)('<<'tt5i<-ass< un petit rex-
de-chaussee, dont une vieUie 8'ot-
vernante n'ouvrait la porte que
pour de.très rares e]us: car !!o!6-
t<*in, qui ne vauiait être reçu nu!!<;
part, ne recevait personne. Peu de
dipiomates étrangers peuvent 6A
vanter d'avoir eu avec lut un quart
d'heurû de conversat.ion. î) H'en
fui pas moins, pendant trente ans,
}'homtne le mieux informe d'Eu-
rope sur toutes les questioHs d<*
potitiqueexterieut-e.
M~is venons à l'énigme qu! p~
nait jusqu'à pr-esent eur l'unincidents Jcs p!us notabh'.s de s:t.
c:it'rie<'e, et qu'une découverte tait
mis d'ecia.ircir. Comment ce CMiM-
d!Mt de Bismafek, dévoua corps et
Ame à la persMtne, aux doettiHcs.
&ux vuionteB du CHan<;e!ier de îef,
eut-!l pour premier soin, apfÈs la
diegrAce de son maitre, d'e!n}te-
eher ]e J'enouveilemsat du traite
de réassurance avec la Russie,
pierre angnfa.ire dc'~Ia.ptiMtiqua
hismarckienne ? On sait d~ns qupt-
les circonstances Hot'-tein était de-
venu idme damnce do Bis-
mai'eh. ConscDIer de légation a P~-
ris a!ors qu'Ai'nim y etâft &tnbM-
sadeur, H avait été a'ppetc & de-
pûser contre son chef dans !6 ttro-
c6s que le chancelier avait intenta
con-tre cetui-ci. et i'on comprit
alors qu'U avait joue auprès d'Ar-
n.irMû d'agent pravofatcur. Î)
g:rand homme dont U avait si ratM-
piaisamment servi la mn~'tne.
Hofstein a par)ë un jour a. tA ~cesse de Bu.!ow, fn termfs stt~tt-
liÈrement aLmers. de }'e8piav!tge
où Bisr~arck t'avait réduit, du
stigniate qu'il lui av~it !tt
à !aque)]e it Favait condo~ne.
f.'anci<*n coXaborateu~ du cham-
ceiier vQuta.it-il ainsi E'cxcttamf
d'a.voir soutenu de t«u!. s
for inMtieut' il des&pprouva.!t.
tendre m disgrâce de Bismarck
~aur faire prevatoir. a.u sujet dM
r
t-on~temps ? n était difficile d'ett
juKer on est aujourd'hui ph)s à
['a'se ia. correspondance secrète
ie Ho)sa;ie a. BetMn, avec te conseUier
l'ambassade Von Tavera.. et p!us
tard eLVec le baren vof) Eiss~nstetn,
montre que, iongtemps avant la
:hute de Bismarck, son coond~N~
poursuivait une politique fofl d!t-
fefnnta d~ ceU'e du C~tui n'% devait triompher et deM-
rtirotficieiie qu'avec !<) «MM-
f
iiptamates au8tro-h
b'in les assure, sur s~ pMo!è
i'hanacur, qu'ii n'agit point paf
~rdre du Chancelier. qa'U a~it
m<'me & son inM maiti q
t.K!moins &îeure une pfUitiqMa~r-
.onneUe qu'à 'dt'va:n~6!' }?s icte.n-
.~ns-H. ceftaiMfg ~~Mtth~tant pts A ce depa~ef
ue seeftt;' de HtttMt:a tMS~&mt î~ ttt.
Mf~:«tM. a* iM< A M6fi. HM~aM~.
~St~të-hMf.MH~M d't.K'M.Ctiii.
..N" tM&MC' ÂMNËS
Ï~ANC
~m< Mt~M~tM~t
1. 1.
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FfâMe tt e&!fM!)et t* t«t
)MMma
MBAanOM M MM
i3t tt«t « )tttt, et.tttMeMt-PB<«m«a
Tttt~h. MMt. M AdmMtttt. e~<
4<<-<-<« ~
&eaAt!tAw~t«t
j --jN!!
JOURNAL DES BEMTS
POLÏTïQUES ET LÏTTÊRAÏRES
Ctermon~-Ferrând. le 1S avrt!~
ËVOLUTÎON
Les jours derniers qui éi&ient.
jadis, des jours de tête, furent
Cette année des jours de deuil.
Lct. bombardements anglo-amë-
t'tcâins sur nos paUvtea villes
îr~Màises lurent plus nombreux
que jamais..Les centaines de
Morts françaises, les nontbMU*
Ma familles jetées a la fUe
devant leurs maison iacendieea
et eMondrees, Cette multitude
ae foyers en proie aux pires
détresses et aux plua cruels cha-
grins. composent un tragique
Contrarie avec ces jours où l'on
fêtait la Résurrection. Ce furent
pour baaucoup de Français Ses
journées de terreur et de mort,
auxquelles la main étrangère
sans pitié ne voulut point accor-
der le moindre répit. Cela peut
donner une idée, une idée très
î&ible. du sort de notre pays. si,
MMtne le souhaite ardemment
te comité d'Alger, un débarque-
nient anglo-&méricain a~ait Heu
sitr notre territoire.
Ce comité d'Alger, où sont en-
tres désormais ceux qui repré-
sentent le régime de terreUf et
de bouleversement, se réjouit
certainement de ce9 terribles
bombardements. N'est ce pas
dans l'ordre ? Tout ce qui
pourra aggraver la situation et
las souffrances des Français de
la. métropole représente pour
eux. croient-ils, une excellente
préparation pour entraîner les
populations et les h&bltuer &
l'idée de plus grands drames
encore, dont les communistes
oublier ce qui vient de se passer
au comité d'Alger et l'impor-
tance capitala de la tournure
-qu'il a prise et de la voie où 11
s'engage. Les nouveaux mem-
bres qui viennent d'y entrer
appartiennent à un parti qu'au-
cun gouvernement, même celui
du ft'ont populaire, n'incorpora
jamais.
Une agence suisse observe
que < les hommes qui sont
maintenant les nouveaux mem-
bres du cabinet d'Alger étaient
des militants à la tête d'un
Mouvement qut, pour des ques-
tions idéologiques, a trahi, il y
a quatre ans, la cause fran-
çaise La même agence pb*
serve que < la dissidence telle
qu'elle apparatî aujourd'hui, est
totalement différente de qu'elle était U y a un an. Quant
& de Gaulle, il ne représente
plus le même drapeau qu'autre-
fois. Aujourd'hui, on tend & le
considérer comme l'homme de
la révolution f.
La dissidence, en se donnant
11 y a près de quatre ans comme
utM révoltée contre les décisions
du chef de l'Etat, av&tt voulu
prendre une figure de super-
patriote qui voulait, avant tout,
le salut éclatant de la France.
Beaucoup de Français qui
s'étaient ranges dans ses ran.ïs,
doivent comprendre aujourdh'ui
qu'elle est non seulement une
mauvaise affaire pour notre
paya, qu'elle a privé de l'atout
moral, diplomatique et matériel
qu'et&it notre empire, mais en-
core une affaire qui ne profi-
tera qu'à la Russie des Soviets.
Le comité d'Alger s'est fait le
complice et se fera de pt!is en
plus le complice et le soutien de
l'hé&émonie soviétique. Dès 1924,
Zicoviev ne déclar~it-H pas &u
congrès de Bakou < La subver-
sion de l'Europe doit être la
première étape de la révolution
mondiale ? 1
URE AUJOURO'HUÏ
M
AU 'rH~.4TMr ~B f/oj~t~.E
A'ttHte Ceettc tt<' P«;rrc Nfes-
«'Kf. Noël Boyef.
M CfVFM.4 < pKw
~e ~KK. Gfetet.
~nefos aea tKiauMAuK tLLEOAux o'At.csK
UNE DECLARATION &U CHEF DE ~ETAT
Teut ~
Vichv, 11 &fi!. Aux MfftMM «e
Vichy, itlïtifHtt~t'tW~$~ ~>i di~é=~ 1
eè~t&itM itt~efmati~ii. te v'
aw)~) JOë~fiM, afte'en cottt~a~
aattt d& ntafine e<~ tmttste, et
e&s M)e
ga).
aaos Mttë et~oostaoet, m&-
rëehjH
L'Espagne s'indtgne des mesures de «répressions
prises par !e Com~é d'Alger
Barcelone, tt avrf!. BM cot'r<
t!(:~
1~ SOHdaffdott A'acfotta!. o~~ne de
!:tPha]attge à Barcelone, j~btiecn
f)t'p)hiere page un SdiMfiat qtit r
ntent français annonce des mesures
enctg'~uCB jxtttf retTonOte aUK tters~cti-
tiotts dotit aatH l'Objet en Ans~tie d)i
NoKt les atititatteo ~yâux à leUf
p.ltriû:
~t! aafsMKt ~mt. déclare ce jottf-
i).')i,<<<'Mt;'et')t<');)<:n
)0
A(r Mat))fu; « !y o tt«n.t MOhttc
bMM('0)f)< ft'ttt'fu~Ms, par 6('
LE MARÉCHAL SMUTS
prévoit u~e criM iadu~tfte!!e
pour rUmo& Sad-AMea})M
f.eCap.llavri!. –Pi'enant/ta.,
pMoieu.una réunion duc~nseU du
commerce et
m paiK future atn&npM !e changement
le ptus t'nfiica) des conditions de vie que
l'Un!0:t sudafticaine att fu & connatH-e
dans toute son -histotM. Cet ~vé~tH~tIt
athehcr& th plus 6'~mde criée industriMte
que nous a'yfms connue. L'heure est venue
df'K~'tsfr )? Mgistatien africaine. Nou;;
détone aaopter un code nouveau au tra-
çait. NoUt ne dCYOns pas oubt'.ef qu'après
les hostititës nouB Ytous hcurt.crons à une
concurrence très sérieuse. Le monde de
!pre~-eu!'rre M'i'a benucoup pius
sommes nés,
Attaques aériennes contfÊ p~usieufâ v!Hêâ be!g@s
BRUXELLES 8"&10.1
BruMUM. il avfU. B
eieur~ tauMturM [t6 )a .capitaM )te)gt. &tt
Mnta~n~ da t)omt'e< incend!tMres ont été
tancées, détruisant tu ««tommaseant
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été entravoe par l, manQIU d'èau 'la
ttttte dt ta rMftMrt ~tt MMttttM, t'ett
to f]ue)
0« ttre 6t)ray«.
A 19 heures te Mat) d
atteint'.
.HASSELT
Hasselt. Il eTrU &M a<)
SUR LES DIVERS FRONTS 1
De thtrs CMMs se dMeat sw !e îfont Md de Sr~e
CONTRE-ATTAQUES ALLEMANDES EN BU!MV!NE
Grand quartier KMt~ra.t du Fuh-
Mr.Uavrit. –C'otMntU~~uc~M
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Saf )t front t)t~ d< ta Cri<«
Lit Mettante SarniiMmtft T)HTt<)))t
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!M ht B'Kfï'M, Ott( ))0!t'ruttt'e.
Et tt No!<<<«fM~ iV
('x <)6fcitdant 6~3' sfk
199>
LES RAÏDS ANGLO.AMÊRÏCÂtNS
Bombardement d'une vitte du nord de te frange
M MORTS, UNE VtNÛTAïNE DE BLESSÉS
PMis. 11 avril. Ce matin. u«< tttmtOM f'*)'iMt NnSX-tmerjeai~! <
htntttttttt fnt t)«*
Un e«n))tte
7 !Mr~ 3$ M~ ~M Parts. 11 avril. Otox etmmMHe~ ttt tt htt0(~«e
Lt
te hiKp~ b~m ~M éamÏwrt tMm&aK~nMn~
PoNf !o r~gtûn ~sKMPtttt~ .1
1?7 MORTS 179 BLESSÉS 1
P.~is, n aTrit. ~u dé~ut de )'
dû 14 régieh parisienne eftaste~b hfb llr
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LE BARON DE HOLSTEIN
(~p~esd'i~ ~yfe récent
pa~ Mau~ceP'EFtNOT
Si jattt&ts i'histoife retient mon n~am, j'y îefat pfttbàM~tnent
figure d'intrigant. quoique j'~ie toujours fait mon devoir, aussi !)tea
que je ).'&{ coaipi'n. C'est Ainsi que, le 5 inars 1S94, da~s une lettre
adressée à une de ses cousines, le consciUGi' mtime Frèdët-ic de
Hotsteifi pl'evoyait de longue date un jugement sévère, contfo fequel
i! s'inscrivait en faux, et que des aoeunicats r6c<;mmeht pubttM
srmb~nt contirmer. On assure que le grand acteur &Hemand WefnGf
Krauss, chQige de repfësente:' <; ~ËatineMe Grise f datis uM tt}~
cotisacrê à I& di~grAce da Htsmarc)t,
t~Mieation (1}.
Ïe n'ai vu Ho!stein qu'une !'ois, en .190~ & Berlin, dims !e jitrdih
de là Ctiancen<'Me, Où il se proinchait avec t~ princesse de' t!
un torgnort derrière lequel on eût cté biett en peine de devia~r tc~
particuiaritt~s de son regard une barbe grise, soigneusemettt tâiiMe,
acc'eahjtait la sévérité de son. viMgë il était vetd d'Uno redingota
ds coupe ancienne, boutonnée tr6s haut, et tenait. & !& mitiR tm.
chafeau Mnd et une petite canne d'eMne. Ce d~plotuatc, dont
l'infXienM avait étÉ toute puiMante, 'et qui inspirait aux courtniatM
~t ('omnta a)ix font'tiot)ti:)it'
Poef ~aggfoSMrattoa HMet«
481 MORTS 3SS BLESSÉS
LiUc.na~rit.–A « h.autetu--
d'RU), M Btt~t) ~et t)e:ttt)M ttu d6r)tiBf
r!))tt ttte<
NOUVEAU BOMBARDEMENT
O'HANÔ!
Toicîo, It aTt'M. Htnoï, Kt eapitft~ de
l't&a&chtM fMn~Mf. & et4 l'objet, dahs
lit n
bttfdiettamCricRins. L'attaque & aurë
plù~ de huit heures.
M. 6A8!EL HAMfA~
EST MORT
Pafts, il a~U. On apprend
la !noft survctiue ce matm à Patte
ch a~ii datHiciie, 4, avetuM Hache,
apt~ une courte tua~fMite, de M.
Uaibt'iel Hanotct.ux. membre de
l'Académie ffançaise et ancien
aimiatfB des Al'mu'es étraAg~res.
La date des obsèques s~a. Itx~e
uttér4eufetnen).
M. Gabttet Mt~otaut. he t BeetMMvotf
(AMne). !e H ae~t-mbre JttM. tMtt ftit
6M otttdM eu tycee de Sfttct-Quentiit
pute & ?aHs. ËntfH t rëeo!e d~s Char-
tes. H Mt n~ntmé thMtre
ottt
AprM ttYOlr
.er d'~mbfiMade & Const
bre comme ~MpuH
Sous les mitusteres Ï~uuuy (18M-18&5)
et M6MM UM6-'969) il de~nt minette
de< Aftaire: etrtm&Bres. Iî Mm)« au tOUtt
de Ma pMMXe dan< Mf! aemc ctMaett
des në~octattons importantes ï'elaMvea
n«tMtuMt t* dthatitttioa
Bn KM, Gebriet ttaaet~u!: shandonna
ton DO''teteuUte
tran'mux hist&rique~. STO:umM < Histoife du Mrdtaj: de Sic&e-
iieu iui vatureat em ta9'! un st~e à
t'Academie frat);stse où it cccuo& 'e
sièpe d~
DeM sa Mtmte. qa't) part~s
< L< Prteurt' t t OtchaiM
it poûrM~tt M~S<*<)!E.!t)eat ttitt o-aMe t
6:M aui oot~Mtuent u
ta·blc, aotamW ent nae hiato:rc de ia
ftthïe. !)otfuc
~ttatM
un* Ki~tatM de t* nfttiMt ff
'G!r«t
soite de terreur, ne possëd&it Ht
hahit. ni smoking, ce qui lui était
un prétexte & Kfuser toutes les
invitations. li habitait, dam 1~
Cr()s~<)('<<'tt5i<-ass< un petit rex-
de-chaussee, dont une vieUie 8'ot-
vernante n'ouvrait la porte que
pour de.très rares e]us: car !!o!6-
t<*in, qui ne vauiait être reçu nu!!<;
part, ne recevait personne. Peu de
dipiomates étrangers peuvent 6A
vanter d'avoir eu avec lut un quart
d'heurû de conversat.ion. î) H'en
fui pas moins, pendant trente ans,
}'homtne le mieux informe d'Eu-
rope sur toutes les questioHs d<*
potitiqueexterieut-e.
M~is venons à l'énigme qu! p~
nait jusqu'à pr-esent eur l'un
c:it'rie<'e, et qu'une découverte tait
mis d'ecia.ircir. Comment ce CMiM-
d!Mt de Bismafek, dévoua corps et
Ame à la persMtne, aux doettiHcs.
&ux vuionteB du CHan<;e!ier de îef,
eut-!l pour premier soin, apfÈs la
diegrAce de son maitre, d'e!n}te-
eher ]e J'enouveilemsat du traite
de réassurance avec la Russie,
pierre angnfa.ire dc'~Ia.ptiMtiqua
hismarckienne ? On sait d~ns qupt-
les circonstances Hot'-tein était de-
venu idme damnce do Bis-
mai'eh. ConscDIer de légation a P~-
ris a!ors qu'Ai'nim y etâft &tnbM-
sadeur, H avait été a'ppetc & de-
pûser contre son chef dans !6 ttro-
c6s que le chancelier avait intenta
con-tre cetui-ci. et i'on comprit
alors qu'U avait joue auprès d'Ar-
n.i
g:rand homme dont U avait si ratM-
piaisamment servi la mn~'tne.
Hofstein a par)ë un jour a. tA ~
liÈrement aLmers. de }'e8piav!tge
où Bisr~arck t'avait réduit, du
stigniate qu'il lui av~it !tt
à !aque)]e it Favait condo~ne.
f.'anci<*n coXaborateu~ du cham-
ceiier vQuta.it-il ainsi E'cxcttamf
d'a.voir soutenu de t«u!. s
for inMtieut' il des&pprouva.!t.
tendre m disgrâce de Bismarck
~aur faire prevatoir. a.u sujet dM
r
t-on~temps ? n était difficile d'ett
juKer on est aujourd'hui ph)s à
['a'se ia. correspondance secrète
ie Ho)s
l'ambassade Von Tavera.. et p!us
tard eLVec le baren vof) Eiss~nstetn,
montre que, iongtemps avant la
:hute de Bismarck, son coond~N~
poursuivait une politique fofl d!t-
fefnnta d~ ceU'e du C~
rtirotficieiie qu'avec !<) «MM-
f
iiptamates au8tro-h
b'in les assure, sur s~ pMo!è
i'hanacur, qu'ii n'agit point paf
~rdre du Chancelier. qa'U a~it
m<'me & son inM maiti q
t.K!
.onneUe qu'à 'dt'va:n~6!' }?s icte.n-
.~ns
ue seeftt;' de HtttMt:a tMS~&mt î~ ttt.
Mf~:«tM. a* iM< A M6fi. HM~aM~.
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