Titre : Journal des débats politiques et littéraires
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1878-10-05
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39294634r
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 05 octobre 1878 05 octobre 1878
Description : 1878/10/05. 1878/10/05.
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : Révolution - Empire (1789-1815)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : Restauration - Monarchie de Juillet (1814-1848)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : IIe République - Second Empire (1848-1870)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : IIIe République (1870-1914)
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
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Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
EDITÏON DE PARÏS.
JCtJMAL DES DEBATS
MHTMCES E)' Htt~MtMS
'SAM S MÏMRE
'7, :78
ON S'ABONNE~
enBeIgique,eQltalie,
dans le Luxejnbourg, en Turquie,
en Suisse, en Syrie, en Roumanie et dans tes
l'é~ences du Maroc et de la Tunisie,
en Chine et au Japon,
au moyen d'une vaiouy payable à Paris ou de
mandats-poste, soit internationaux, soit franf-ais.
en Aliemagne, en Autriche, en Russie.
et dans tous les pays du' Nord
chez tous les directeurs de postes
et dans tous les autres pays,
par l'envoi d'une valeur payable & Paris.
Les annonces sont reçues i
chez MM. Fauchey, t~MKo et C',
8, place delà Bourse,
etaubureaudu.MMJMJWA~;
elles doivent toujours être agréées par la rédaction. `~
~MMS~MM
1838
ONS'~BO~NJE
rue des Prëtres-'Saint-Gertnain-rAuy~rrois, )?.
")PKtx.'nE''
Trois mois. Six mois. Unan.
Pa; ~,& ?&. ?a~
Départemeos. ~Ofr. 40 fr. M&.
Umon-pcfsta.!e
jeuropëeane. MA'. <2 84
-outpe-mer. 24 ~['48 g6
Le~ aHbnneihen's partent (les 1" et 16 c[é
ëhaquëtnois.-
JPa' ~m nnzntéfo 30 e~)~.
Bëp&)fteimens, Mn ttnznëpe x5 eeat~
In J~oM~mn, appty to Cewie ,%nd C", ~ot'eiga
Dewspapërs ofucë, i7, Gresham street, G. P. 9.;
MM.
J- C. I~Ddon; WW. W.-M.iNmOth et &e~
~8' SLrand, W. C. Lond~.
A'Brux:eI!es,& t'O/~M~e pMMMadeleine, .dans las kiosques'et dans les M~-
tIto.t~eque~dB~ garesjde chemins de ferj~ges~ i
MMS `
VENDREN 4 OCTOBRE >~
~ua avons ~ppr~édwo ~n ~B B~a
derniers ar~çl~s la ya!eur palitique des
discours que JM. 48 Freycinet a pronon-
cés pendant .son..voyage, et nous a~'ohs
rappelé ce .ppppos le .discours de Ro-
mans. ~Quelques journaux vexent croire
que nous avon~ mis ?. le ministre des
trava,ux publics ep coptradtctj.oo formellB
av~ç Gaipbgtta, .et Us no~ féUcitent
d'a~otr condai99~ l'UQ pour .applaudir
rautre.On croirai, a i~ ~pt.endM, que
~o~pa~r.deu~ d~cQurs et faiir@res8orj.ir
Ic~aire~en.t les ~pttr.e en oppositioN.. G.e
n'fstpa~p.o.tresenttmeDt, et jLel n'a pas.
été noire dessein. ~9~3 somjpea -très coo-
Yaincusqueies explicaUptts .qui oat été
données à la Fiance, spit par ~'or~anc des
isinistres, ~sûitpar celui de plusieurs,de.
putes ou sén.ateurs émineup, .n.e nuiront
e.u rienàruni.oc qu~ le Rafti j;épublJL-
caina su ,co,nserT~' ~usqu'jici. On s'est.
app~qué, ayec une bonne J~bi douteuse,
a extran'~ du discours de M. ~am-
bcHa un certa~Q pQmbr.e .de propositions
qui, .présentées sans les explications qui
les précèdent .ou qui les suivent, pour~
raient, En t~et, i~pirer quelque Mtqui.e-
tude. ,Nous avons fait n,oa réserves au
sujet de ces propQsitiona; mais ces ré-
eerves, nous les avons presque textuelle-
û~ent çopiées ,dâ~4s, ~e diseo.~trs.deM. Gam~
ïaent copiées da~s le d~cours deM. Gam-
betta. L'orateur de Romans, en exposant
so~ü programme, ip'a pta ~uç~ue exposant 1
son programme, D'à ~u aucune p~entien
de l'imposer. 11~ posé un certain nombre de.
questions, ino~ns pour les résQud~e ~.éaoce
tenante que pour jes.Iiv.rer & la critique
et appeler sur elles ~'a).tention p,ublique.
L'atteutiqu s'y, es,t j~tu.r~le!%ent portée,
et .nous ayons lu avec soin tout ce que
nos confrères républicains ont, écrit .à
leur sujet. Le programme .de Rpinans,)
apr~une él~bQratiqtLde qu~lqu.es jours,
a subi queîquea ~an~ioriDations. qm ne
sont passant importance, ;J~e.paï'
exemple, s'est .e.xpliq~é sur l'injamovi?-
bi!it~ ,de la magistrature a peu près co:mm<;
nous l'avions fa~t nQus-m~mes. Tput
le monde r.eçon.naît qu'ily a quelque c~ose,
à fa~eppur.mpdtjEer ..esprit,qui. j~nime ]
en ce mom.ent la magistrature, .française
mais, si l'on, est d'accord sur le -but a
poursuivFje~on n~; l'est pas autant sur Isa (
voies apr~iire 'et~ur.Ies.~oycns em? J
pIoy,er~Dn ipe~mettr~d'accord~nou~en
do~tons.p.%s, e~n~u~.espé.ron~d~aineut~.q)~:
l'inÏti~ttye du gouvernement contribuera
à nxe~I.es uléeSjen,cprB~un,;pe~ con~uaea j
et ~maintenir l'harmpniet~itrelea.divjer-t (
ses tractiocsQU paru repu.û~cam..
Mais te~,p(Mnt3; l~spluss.ensib~qna
M. Gambetta .a tqucM~, .e{, s~r loquets
même il .app.qyë ..avps. force!ge ratta-~
chent &. la ~ueeUon ,~ërica!e,, !.a,.plu~. ~pi-
neuse, laFlas.lic~te et..aH~si ta.p!us;to-<
évitable ~es quesUoc~.qtjLe DO~on~m~s
obUgés de.trait9! Qu~&4pma.~d6 M.,Gam-
beU~,? H & 4e!~&n~,qne.~ jeua~hom~
me~qni ~e ~~s~qQ-t. 9. 1~ oaMtère coci.~
aiastiqùe fussent soumi~u~ry~ce_jm~
tai~ ayao~ .~ec-PPW~ ~êb~a~~P~ à
lenr; Yoçation. Une,.teMe r<~(u'n~J préteur:!
tée dans .des .terme~ aus~i absous. .98t/
notre avis in~cceptabi~. ~~e aurait
pour r~suitat certain djë,porterie c~p. '1
le ptns.-f)!ne~~< ~cfui~pnt.d~ ~Ipfge j
!técu!it;r,,et, l'~aaii pQ{t)bie
tf'ment. ()rt aujourd'hui ~iiGciIe. et -.ta~.
bori~ux. ~a.~s ~nqi 1 &L..G~mbctta <~t..ii,
l'eoueEQi dn cle~é &dc)iiier'? Lc~iu de~
II a pa.f~ 4e ~os c~§ et de .~eurs ~}.~i-.
res dMsdps ~rtï;~ .exeeHen?, pteins de
bienvelHa~ce (}t presque d'aiTect;o:n. U
est y~ai.,qu~l a.-parLe. du clergé..t~j
guner, c-ebt-a-au'tj.u~ .f.t-~i~ux .&t.
des ~ao.i.~es de toas.48& Ordrc~, en .ie!
mes Irè~ '~&ér.eiis. Q'Miie eg~donc la. pc&~e
quiregsort de spn dtsc~u~.? C'e~4,c
sdr, çlf~ ~;eleye~, cle Cotti6er le.lergé:~épti.,l
sûr, de relever, de forUfierle.~e~rge.sé~-
lier au détriment de toutes ies excrois-
sances ..qui .se sont, produite~ autour de. '1
lui'~tquil'épuiseBt. ~t l'étpu(fept. ~oitt
nous ne dem~ndot~ p~ ~:eux que de.
participerace~M bpnne œu~M, àcondKi~
toutefois ~u.'un u'ip.).a.ginerâ p~s de régler
toutes Qe6~n';st.i~mp~r''mtMi'
tale de i'i.utuf),~ f~'U~~p .Ur~ p&eii'e e
tMhc e~icC beaucunp piuc :d'adrcMû ci.
mêHiS de n~ii~e~eas q.ue .de tiuroe ~de
'vio~noc. M~is, ~'our rev~ou'i'-Q~Hg~t-MO
du aefviqe ~Uitaire, ~?o;t-pu qH'e~ Bui~
ï-ait p~ cierge. j'~Uef qu'~n .cierge,
~cn!i-t'? C'C!"t s! c~ dûmi~ ~s:
cur~s &i sn~ca .-ucaircs, que la ré-
t'orm.e ~pmi'df&it.–da–tnut.–Aou- –pmds,-
pt (~ tH&rge ~u!MP que .-?. Cr~nbetta
te 'propage ~e ~er sueeomb~ra;t !e
premier sous ce f
ptopde 1'~ senU, et 'd''ja prc~u~ tous ]~s
jaurn~ux rép~bUcains ont, ime;-pré!~ie
discours d~ Romans a\.ectjëauc'))!p d'in-
gëmositeët de bon §ens. Pour n'en citer
qu'im, uo)M JiommaBang ie A'a~oaa~.autre n'a poussé un cri d'admiraHoa
plus .rét'enttcsaùt lorsque îa parote.dé l'
M. 'Gambctta 'portëë 'psr ..ie G! du I
tél<'giaphe, e~t amré'e ~!squ'< !!M.
Le JV~M~~ f'-a pM" !nar.haadé
~pproba'ioa ti i''a dbnii~f tuut eu~
t~re ï'a!8 :&~ 'a.vuir .npt'I uYfN'.ie t!;s- T
conr& i~ ~'n. u.'s ai'éinde.~t~HBH
t0!~f'!r' 1
t'C
youe ? diL-U. Imposer St~vice taHitaife i
~Xfémioar:ste~~on:u:&~aM}! p~e~&o a
~~aitB~~rJieux ~t notre confEÈre,,apr.ës,
avoir disB~nsé duseryice~niittaire ceux qui
prennent l'engagement de servir l'p'at t
sûius-'Tïjabe autre forme~ en rempli~sapt les.
fqns}.ipng ecclésiastiques, n'envoie sous
les ~drapeaux, pour éprouver le.ur yoca-
tiQ~, que les futurs jésuites, ç.apuçtus, etc.
Ceux-là ne rempUssent pas un service
publ!c;donc il n'y a pas lieu detesexemp-
t~r de~a loicpaii&une.Nous voila loin déjà.
de la forïoule prp,(nu!guge Rpptaas. Au
moye.u d'une disJiQ,çtioa de ceUe nature,
étendue et d~vetoppée conyenab!.ement, i!
n'est pas i;npossU)Le d~ ra!Uer tous les.
bons esprits. No.us y reyi.eodrons quand
le ipQment sera venu. 11 ne l'est point en-
core aujqur.d.ui, et notre ~.ut~'est p.~s,
de ~te,r le problème, mais d.e .l'indi.quer.
O.n voit par cet exemple comment le dis-
cpurs de Roma.ns peut deyenir.un discours
extrêmement « QppOtrtun~ste M, ~t qu'on a,
to~t ~e,s'.en eQ'raypr au~re mes.urc.
,No8 adyersa.ires font donc trÈs bien de,
se réjouir dès maintenant des divisions,
d~ par~ répubUca~R, parce qu'ils ne pour-
ront peut-être pas s'earëjouir pl.usta.rd.
d'un CQBuj' aussi serein. Certes, nous ne
sa.cfitteroQS jamais ~jj: ijatërêts d'une poli-
tique au jour lejourles principes eooserva-
teurs q~u'on nous connaît et .que nous n'a-
vons j.amais îtégli~é .de professer mais
~npua~e CMypnspaa q.u'e ces .prjincipes
consent un danger immédiat. Noua croyons,
a!icontraipe,que le yapprachem~t qm
s'.est &it depuis quelques annëes, sur le
terrain de la république, entre des gom-
mes tr~s divers d'origine, a dissipé biendes
madentendua, ,calmé bjje~ de~ passions,
éclairé ~en b~enjfaisaj~te n'a .pas ~nÇtOte produit tous
ses résultats, et voUà p&urqupi ,11 iaut
no.n seulement .la maintenir, ~ais~ au-
tant que possible, 'jLa ~r.ojsair d'élé-
mens nouveaux. C'est ce qu'a compris
M. 4~tFr)eycinet, et~ en cela, il:s'estmon-
tré ;hQmmp d~ gouvernement. Il a fait
appejl~ tQu.s ~es hommes qui n'ont pas.
contre Ja répu~qu.e .des. ;préyentions,
inY~oib;~8, ~toUiS .oe~x.,qui..obé~s-
aen.tjàla. ~a~OD.nQn pas ;l'~nsiin~,
et~~em'.a contré un~ la~rge place,
dan.s nç~ rangs. ~a;t,rp Iss-m.anifesta-
tions républicaines de c~s.de.rniers temps =
i! n'y a eu aucune diiTérence essentielle,
et nous n'y soyons patr .c~inëéq~ent pour J
un avenir proGhain aucun avant-poureur
de ce grand ac~isme;républicai.n, tiOujour~
prédit, gr~ce a.u, ciel~ -touj Qura, ajourné.
T~B télégramme' 4e Pesth annonce déci"
démeT~ q~ue te'ministère donne sa dëmîa-
aion et que M'. Tisza. ira ïa prë~hter lui-
même à.'l'empereur au château dé Gœ-
doeUœ. Cette nouve!le De surprendra'pas
nos' lecteurs~ -nous' la' leur a.'viohs fait
pressentir. Lcs'd~tàHs nous~m&u'quent au-
jourd~hui pour l'apprëcier a~ëG 'les ~dëve-
[oppemeBs qu'elle mérite. :} '3- f ` .1 j
~f ;=' -t~< .<
-l~mSËDË/P~ÏS~ s
'M.tH'i9i~t' .H~m'
-iCt~tM-tt *<«)~ :a~'4e .~HhMMMe.Me
'tO~ ?.
ComptMtt. W .< '?5 M'~ <
Fin cour..76 3S*ï~-l/a. « n
-~mo~6~ ,i:u<' L,
Comptant. 79 10.7. 8. ~J
Fincour.~920. 79 7t~ ')-
'At/
Comptaht')uS.&
Cctmp'['s.B!3':0.).')'3'4S'j', .M..
~ccbuÏ/~t3'M''i~37'i' "1~
.y~~MS~DU~M~
EeipKmt B Q 0. M3 fr. 6i!. 6~
30/0~mMt.tSS9l))e.u!efr.?9fi';oa4);2.
Ita.IL~p.3n-o, 8u.
5 0/a.t.urc. ilfr.30.05,10.
Banque ottoman'}.. ~2 &4§8 fr. t/ M8 iCr. Tj5.
M~m~M'
Egyp~eMes 60, '28tfr.87, 282fr. 28i fr.87.
Ru~
Midhat -'P&eha nous adresse jte télé-.
'~TajBmeBuiy&nt:
«'La CaBéë, le t~octobre, 9! soir.
f H<'sjr)rtroam: d'Eu.rope ayant, puMié, à.ià'
da!~fi!iM S(*ptetNbM,~t.fe j'avais s~g'~éré au
gouv t'm'mr'Ht an.s'i' it]d6~ de ta. c~s'u~n de:
i'î' de.C!tG a Grec. je voua pri~ct d<
mentir for~ett~mput cette a-sertiqn ~BÙ~f
'le ~ûut fondement, d'autant plus que pa-
M!l) ~p~.
:r.r. r t. ~B .~C~T. !}
Cette MetiScaUoQtS~appttque s~as d&ute
à Hn ~assa~d'ôa~ lettre adressée d'Athè~
~essu~ëedansnotreNtiméroduSOsepteBtbre.
Entre autres ebe3&&it est dit dans cette
lettre qu~ MidiMtt, avaat de-qmttar~tjon-
dres~~ié~p&y 'te ~o~TerBeto&ot armais
d'expeseF' sa RMaiere de-vcif' ~ur Jes
mesure- -à prendre p&ttrcettcHier }&3 &ns-
ceptibitités delapor~e avec lo~ exigaBces
de :'la Grèce,, avait suggéré l'idée de céder
la Crète ~~érçyau~me,
~cms recevons, de 9~tj:e.c~s:d~ch~suLBan~es.
't yienoe. 1~ ,i octo~f, G h. M,m..
f ~ëm'S''i(<'n f!e M/Sz~i. &iQ~i qnejo }6
!~o\'f;y3.ig, ~.f'tra~ ë'cc!;t' d~ ttt'rt )M r~bin~t.
.m'-]U i,u{~'U~c'pe c'est. tstava.aa~e~e pMU !~ryar., M. Tifza, qm.
que approuvant au fond !a politique da
comte Andrassy, devait se retirer, ne pou-
vant se maintenir jians l'appui de M. Szel).
Des démonstrallons 'anti-russes se prépa-
reut en Hongrie, La Mtuatioo devient de pius
en pius grave et compiiquëe.Le gouvernement t
est placé dans l'alternative ou de céier aux
Ho! d'un nouyeau ministère en Hongrie ~tant
presque imposFiMe, ôa 'cvoit ici qu'à ta
dernière heure le parti miiitaire sera forcé
de céder. En attendant, on travaiHe à r~)a-
bora.tiôn d'un' projet d'administration pour
la Bosnie ~t rHëtZé~ovine. La direction de
c,esj)rovinc~s sera concentrée dans une chan-
cëlierie séparée, dans le genre de l'ancienne
chancellerie pour les affaires croates, .Nb/-
~Le BM'Jemcat,devra eosune r~ler la situa-
~on de ces provinces vis-à-vis des deux moi-
tiés de rem pire. a
« Vienne, le 4 octobre, 6 h. 46 m. soir.
D Le comte Andraasy partira après-demain
pour àUcr dans ses propriétés en Hongrie.
M. 'Tiszâ doit partir pour deux ou trois se-
maines il ira. voir l'empereur à Gœdœ'lœ. La
conclusion de la convention .dépend aujour-
d'hui de la tournure que prendront tes araires
en IIongrK*. Caratbeodory Pacha a.ttendf&le i
retour du comte Àndrassy.N u'
~fétéfpfapMe privée.
[Service'télégraphique de l'agence Havas.)
.r,
Berlin, te 4 octobre.
Le prince Impérial a reçu. aujourd'hui M. de
Bis'marck.
j Le ~Mc~MMM~~ annonce, d'après une com-1 `'
munication offIciaHe, que fa Russie a ordonné le
désarmement de ses ports de la mer Noire et
[ l'èmévemeht dés torpilles.
i 'Rome,te4 octobre.
La nouvelle que l'ambassadeur d'Allemagne en
Italie, M. de Keudell, a eu une entrevue avec le
cardinal de Hohenlohe, est démentie.
Le cardinal dé Hohenlohe a eu une entrevue
avec un autre personnage de Berlin.
~1 est probable que le cardinal de Hoheniohe
ira à Beriin, mais u n'y a encore rien de certain
'ce -s'm'ët.
.Ls-brmt ccMft que qu~ques inQuences à~Berlin
~ntrav~nt les négociations avec le Vatican.
Les -n'égociatibns entamées anh que !a Betgique
no supprime pas sa légation auprès du Vatican
marchent d'une manière favoraMe.
On parte de quelques nominations de séna-
teùi~~i iraient tieu prochainement.
Londres, le < octobre.'
Le ?*tMMpub)ie tes DouveUes suivantes:
Buchareat.f!e3.Le truit court, qu'une nou-
ve!)e convention a été conclue la Roumanie, donnant a la Russie le droit de
passage dans ta DobrutscTta.'pour ses futures guer-
resavecta/ï'urqu~e. !)
Constant.inople. le 3. Les journaux turcs ont
= annoncé que le Grand Conseil avait décidé de
rejeterle projet anglais de rëtormés en Asi.ë-Mi-
aeuM.
Ce~t.e.nQ.uv~ISe.es.t fausse. jj
Londres~e <.octobre.
L'honorable ,J.-C.-W. Vivian, sous-secrétaire
'au ministère de la guerre, a donné sa démission
il est remplacé par M. Thompson.
l~rd~apiqr de Magdala est reparti pour Gi.
.braltar; ou~i ya rejoindre son poste..
Londres, !e 3 octobre, soir.
ParsuitjCd.eJafaiUi.t.edeta banque de Glas-
.gow, Ja maison' Smith Fleeming, Leadenhati
street, ainsi que ta maison William Nicol, d6
Bombay, et MM. CIeemiBg et C', de Kurachee,
-ses correspondans, ont suspendu leurs paie-
.mëns.
Le passif delà maison Smith Fleoming est es-
timé de 2 & 3 millions de livres sterting.
On craint que ces nouvelles suspensions de
paiemens n'amènent encore ~'autres faillites im-
t'portantes à. Londres et à Glasgow.
Ragme.Ie3octobre.sotr.
Lesch&i's..montén6grms'PiorreVukotitch, Bozo
Petrovitch et t~asoVerbitza doivent avoir !e 8 oc-
.tob're a Trebigne une conférence avec le générât
Jovajiovitch. Cotta réunion a pour objet ta re-
mise !)m Montenesco de ta partie du territoire
t. ;}ierx6govMen que lui assigne le traité de Bcr)m.
"Constan)inôp)e, le 4 octobre.
La convention austro-turque est définitivement
~mioussée.
UBeYiv~oppQsit.ion cDntmuo à se produire
contre le projet de réforme de l'Asie-Mineure.
On'annonce q~e t'Ansteterre-et là France voû-
tent 'établir en Rouméiie un système gouverne-
..ment.al très. libérai.
Lë~' Russe. organisent en Rcmmëiie ta rési-
stance contre Ie.s disions de ta commission.
Belgrade, le < octobre.
La ëomimssion internationale est à Nisct], ou
eUe attend J'iirfiyco du commissaire turc.'
L'Autriche a nommé, en quaiitô d'envoyé extra-
ordinaire et de'ministre p)enipotent.ian'o prea do
'la cour de Serbie.-le conseiller de légation comte
.Herbert, actucHement a Constantuiople.
M. Ciug)'ia,"cunaul d'Autriche a Belgrade, aét~
notamé consul à Miitippopoh.
Kew-York, te 3 octobre, soi:
Une dépêcha dé la Ja~naïque assure qu'une
InsurMction a' éclaté parmi tes nègres à t'anta-
'Grux.~
De nombreux meurtres et des atrocités auraient,
é.té commis.
Les nègres seraient .maîtres de l'He.
Madrid, la 4 octobre.
Le~ jcu'na.ux, annoncent que l'état sanitaire
,siesG; un pëu ai~éhoré à,I~adri~. x.
,8K'st,unpeuaméiioréàMadnd.
PesHi,!e~ootobre.
t..c ministre des tinanoes, M. S~U. persistant à
donner sa demissio:), 1s conseil des ministres a.
~résotn hier de rësïgncr ses fonctions ofûc.ieUe-
mQntetpsn"éc)'it.
t(!. Kotoman Tisza:ira tui-mëme-aujourd'hut au
~châtjea~ do G~dœttœ pour présenter à l'empe-
reHr, en son nom ~t an nom de ses coilegnes, ta,
lettre par taqùelie ils offrent leur détaission.
On të~graphie de Posth, }o 3 ootobr~ a la S~
M~Co~M~
maintenir leur démission, parce que le cabicet ne
pourrait pas se soutenir an ~'arl'*ment sans
M. &z.<:l). L'empereur et-roi est.aci,ueHement ici. &
Le .Pa: A'~tM, dans une dep3chc de I~nd~e,
annonce que la marche des ~astaiscont,~ Ca-
boul aura lien nnmëdia.tement.
Ontétégraphiede'Simta.&u S/as~
.n'a encore 6té t'ecue.
e Les indigéues rapportent guc Mmu' réunit
dt's forces do tous les pbmts~de l'Afghanistan'
pour s'opposer a la mM-ehe'des Angiais.
') Une t!'o;!pa !)cu no~bMiise do soldats ang')ais
c't putt~rM<'t"ip.)'JamM'jd. »
) t; ~<7// ?"t-~i-A a~~oM~ que M. J.~yard
t.~t a.n;ndfi pi'Ju.hah~mQnt c~ ~~n~teterr~, ou ii
~ieni. '~Q.~r.co~.u~o~~o~Ter~cm~nt ~:r ta
t p.otitÏque'bnpntafe'. `
Si quelque chose pouvait donner la
vraie mesure de ce par),! que nous n'ap-
pellerons point religieux, parce qu'il ne
l'est pas, ni chrétien parce qu'il ne l'est
pas davantage, et qui n'est que clérical,
ce serait, l'allégresse qu'il a manifestée à
l'occasion de la dernière lettre du Pape
au cardinal secrétaire d'Etat. Ces gens
pieux sont dans la joie; le Pape est r&n-
"tré en guerre, et un peu du manteau de
Pie IX est descendu sur Léon XIII. Us se
moquent agréablement de ceux qui ,i
avaient espéré la pacification, et nous
raillent, de notre désappointement.
Hélas non, nous ne sommes pas dés-
appointés. Nous n'avons jamais cru ni
jamais dit que le successeur de Pie IX
allait changer du jour au lendemain la
politique intransigeante de son prédéces-
seur. Nous nous sommes toujours expri-
més sur ce point avec une extrême fé-
serve. Nous avons simplement dit qu'a un
mystique exalté comme l'était le créateur,
de l'Immaculée Conception succédait un
homme qui avait vécu comme nonce dans
les pays étrangers, qui avait pratiqué la
politique temporelle, qui n'était point lié
par des vœux surnaturels, et qui pouvait,
sans manquer a aucun de ses droits et de
ses devoirs, introduire dans ses rapports
avec le gouvernement italien un ?MO<
MMM~que Pie 1~ s'était à jamais in-
terdit.
Nous sommes prêts à reconnaître que
ces espérances modérées et modestes sont
déçues, et qu'elles sont détruites par la
récente lettre du Pape. Le successeur de
Pie IX se rapproche de l'Allemagne pro-
testante et hérétique il se rapprochera,
au besoin, de la Russie schismatique et
persécutrice, mais il restera en guerre
ouverte avec l'Italie catholique. Le parti
clérical applaudit des deux mains, et
cela ne nous étonne pas. Nous l'avions
déjà vu en 186~, après les premiers triom-
phes de la Prusse, menacer de cette con-
currence le malheureux empire qui avait
pourtant dit: «'Jamais! jamais'H et qui
en est mort. Et comme l'Allemagne pro-
testante et rationaliste n'avait pas ré-
pondu, les champions du pouvoir tempo-
rel nous ont jetés dans cette guerre mé-
morable dont not~,portons touj[Qurs~e
poids et la peine.
Que leur importe? O~KM! ~~KJ~o
~o~M~o~e. Malgré les efforts désespérés
des fanatiques, la France échappe à la
main et l'étreinte dé Rome. Après la
guerre de l'impératrice, il y a eu le
24 mai, il y a eu le 16 mai; toutes ces
entreprises, issues de la même source
souterraine et de la même ténébreuse in-
spiration, ont échoué. La France résiste
et se révolte les élections dernières, et
celles qui viennent, sont des signes comme
les trois mots .bibliques tracés sur la mu-
raille. On désespère de nous, il faut se
retourner d'un autre côté. « Le puissant
empereur de l'illustre nation germani-
que », qui a. été presque victime de plur
sieurs attentats a 'déploré l'an'aiblisse-
mentdu'séQtiment\i'eli~ieùx, et ces pa-
roles ont"donné une nouvelle' note à la
politique intérieure de l'AIlemagn.e. Les
projets de lois contre l'insaisissable socia- n
[isme coïncident avec les négociations ï'o-
maines.
Assurément, si les avances laites à
l'empereur 'd'Allemagne n'avaient pour
.objet que l'amélioraj.ion de la situation du
clergé catholique, le Pape ne ferait qae
remplir son devoir de pontife, de protec-
teur et d'arbitre. Mais elles sont accom-
pag'tiées d'une déclaration de guerre au
gouvernement, italien qui laisse voir le
fond de l'intention. La. France ne peut
plus et surtout ne veut plus refaire
Mentana; l'0?'e'Mo~Mc est revenu, et. dés-
ormais il n'y a plus à, compter sur notre
Assemblée Nationale. Dans des circon-
stances pareilles, la com'. de-Rome, tou-
jours traditionnellement sage et politique,
sait s'arranger. M. de Bismarck avait dit
) Nous n'irons pas à Cànossa M, et il n'y
va pas. Le Vatican ne va. pas non plus
jusqu'à Berlin, il va jusqu'à Munich. De
part. et d'autre on fait la moitié du chemin.
Par cette réconciliation~ si toutefois
et!c se fait, il pourra y avoir un reiâche-
meut des ueu~ étroits qui depuis douze j
ans avaient uni la Prusse et l'Italie. En
même temps, parla consolidation eu France
du gouvernement.,r<~ublicain, -et-par l'a-
bandon dé6nitif de toute campagne de
Rome, l'alliance de la France et de l'Italie
se trouvera naturellement resserrée. Nous
serons les aUiés du peuple italien, et nous
laisserons nos bons catholiques se faire
les alliés de la Prusse.
JOHNLE~OINN.E.
On.nous ë~rit de Ï~ondres, le 3 oc-
tobre.:
Tandis que les journaux tontinnent à
discuter avec ardeur ia question aï~hane, le
gouYernement semble vouloir laisser toute
responsabilitc lord Lytton. Les meobres
du cabinet sept ptresque tous absecs. Lord
Beaconsnelde~tà la campagne 'ordSaii~bury,
a Dieppe; le s~rétaire d'Etat pour ricde,
eu Ecosse, auprès de la reine. On dirait qu~ts
veulent et'ib-p les questions indiscrètes. Lord
!La.wreset', dont la compétence en pareiUe
n'aut'M es!, rf-connuc même de s. s afh'trsai-
rcs. a adresse hîer au ?'!M~ uce lettre da.BS
Faque: !t; i; cri Hque vivomont -id conduite du
vice-roi et il ptaide les circonstances &tté-
BUâQtespQurStteece-AU.
)) La dernière campagne contre l'Afgha-
nistàn a coûté 13 millions de livres sterling;
on estime les dépenses de là prochaine guerre
à plus de 15 minions. La situation nnanciëre
de lacolonieestdesplus précaires; avec quelle
difËculté l'équilibre budgétaire a-t-il été réta-
b)i Les famines ont dérangé les ressources,
t et il n'y a pas moyen d'imposer les frais de
la guerre au Trésor indien. Il est à peu près
entendu que la métropole dont le prestige
menacé exige l'humiliation de l'émir pren-
dra à sa charge les dépenses. En Angleterre,
chaque penny d'~eoMM-~ donne à peu près
2 millions de livres sterling, taudis que dans
l'Inde, pour lever une somme additionnelle
de 1,500,000 liv. st., il a fallu ajouter 40 0/0 à
l'impôt sur le sel et imposer des revenus de
4 sh. par semaine. Il y aurait injustice et
danger à la fois à rejeter sur les pauvres
paysans de l'Inde les millions de livres que
la conquête de l'Afghanistan va exiger.
Les résultats de la première moitié de
l'année fiscale 1878-1879 (mars à septembre)
ne sont pas encourageang, et sir Stan'erd
Northcote n'a pas à s'en jéliciter. Les doua-
nes, l'accise, le timbre ces colonnes fon-
damentales du revenu montrent une dimi-
nution en comparaison de 1877. Pour que les
prévisions du chancelier de l'Hchiquier soient
justifiées, il faut que le second semestre soit
d'une fécondité extraordinaire, et malheu-
reusement rien ne semble l'indiquer. On au-
rait tort de croire à l'appauvrissement du
pays et de se livrer à des théories pessimis-
tes sur sa décadence. Il suffit de constater que
l'élasticité habituelle des recettes a disparu
pour le moment, et que les contribuables an-
glais peuvent s'attendre à de nouvelles charges
pour faire face aux besoins de la situation.
N Depuis quelque temps déjà des rumeurs
défavorables circulaient sur le compte d'un
établissement financier du Nord. La déeonn-
ture de la Banque de Glasgow est venue en
montrei la justesse. Cet institut a fermé hier
ses guichets, mais.les autres banques écos-
saises ont annoncé qu'elles recevraient les
notes de la Banque de Glasgow en circula-
tion. Le chinre d'émission légal s'élevait à
72,931 liv. st.; mais contre or en caisse il en
pouvait être émis. et, usant de ce droit, !a
Banque en avait lancé po'ur 600 à 700,000 liv.
sterling.
s Fondée en 1839, la a City of Glasgow
Bank avait un capital ver&é de 1 million de
livres et un fonds de réserve de 480,000 liv. st.
Eue avait payé dans les dernières années
12 0/0 de dividende à ses 1,249 actionnaires,
qui sont responsables chacun jusqu'à concur-
rfnce de son entière fortune, vis-à-yis des
créanciers, la Banque n'étant pas /!MM~. On
estime le passif à 10 millions il y a des dé- j
pots pour 8 millions 1/2 et des acceptations
de traites pour 3 millions. l' ]
"La situation était si mauvaise, que les I
autres étabtissemens financiers de l'Ecosse <
n'ont pu venir à son aide, malgré leur désir c
d'éviter une catastrophe. Il faut chercher la ]
raison de la faillite dans des avances incon- ]
sidérées faites à des entrepreneurs de bâti-
mens, sur des immeubles en construction, et à t
des engagemens .avec des maisons .faisant 1& t
commerce dans l'Inde Bt en Australie. Il y a i
du papier de complaisance ou de nécessité en r
circulation, et, le jour où l'escompte en a été 1
refusé, la suspension de paiemans n'a pu être
conjurée. 1
N La position de la Banque d'Angleterre est €
heureusement forte, si bien que la crise est j r
toute locale; néanmoins, le crédit public 'a (
reçu un cpup.,S'it, en fallait croire des pessi- t
mistes, d'autres établissemens se~'ouveraient ) I
dans une situation également précaire, et
il y aurait d'autres désastres à redouter.. ,l
M En 18:;7,la ~M~~Fs~ o/fait faillite avec des dépôts pour 6 millions, c,
Son capital était de 1 million 1/2, et la circula- i
tion de billets s'élevait à 484,983 liv. st. ))
Les 'journaux uHram&ntaias allemands
s'étaient abstenus jusqu'à présent de com-
mentaires sur la lettre d~ Pape Léon Xin au
cardinal Nina, et les journaux officieux
avaient-insiate sur ce silence et avaient paru
craindra que le pMti du centre dans le
Reichsta.~ ne fût pas'anime du môme 'éspr~
de concitiatioa que le Vatican. Cette crainte
1
n'était pas entièrement fondée. La G~MMM
de Berlin, vient d'indiquer l'attitodb du partf
du centre; vo':ci en quets termes
j « La situation du groupe du centre et des catho-
liques en .présence des négociations actuelle-
ment pendantes entre Rome et Berlin est si
claire, si bien indiquée d'elle-même, qu'elle ex-
clut toute espèce do doute et d'hésitation. Ce
n'est pas le centre, mais c'est Rome qui noso-
cie avec le gouvernement. Le centre n'est donc
pas en mesure de pouvoir olfrir ou refuser
quoi que ce soit.
» En sa qualité de représentation politique du
peuple allemand, il a le devoir de défendre, de
protégeret.le cas échéant, de reconquérir les
droits et les libertés politiques et civiles, et, avant
tout. !a. liberté religieuse. H n'a pas qualité pour
négocier à titre do courtier, non plus que pour
abandonner contre des concessions problémati-*
quesdes droits précieux. Sa situation et son at-
titude, sont indiquées par son programme èt par
.ses principes bien connus.
? Rome n'a jamais cherché a influencer en au-
cune laçon l'action politique du groupe du centre
Rome ne cherchera jamais à exercer une telle
influence. Si un accord' intervient entre Rome
et Berlin, le centre et les catholiques le res-
pecteront avec l'esprit de déférence et d'obéis-
sance qu'ils sont habitués à témoigner au sié~e
apostohque. °
Néanmoins, le centre continuera à faire con-
stamment son devoir, c'est-à-dire à' soutenir et à
d.efendro. conformément à son programme les
intérêts, les droits et les libertés de la nation: car
M. mission n'est pas limitée à l'ère du XKMM--
~M!i~
a Si le gouvernement termine la lutte qui l'a
poussé a prendre les mesures les plus grosses de
dangers i) est certain qu'il désarmera l'opposi-
tion du centre sur plusieurs points: d'abord dans
les affaires religieuses, bien que (Te grands de-*
voirs continueront do s'imposer aux membres
de cette fraction, et peut-être aussi ensuite sur
d'autres questions, si toutefois ce n'est pa& un
espoir trompeur de croire que le gouvernement,
après l'apaisement d'un conûit qui envenime
toute la politique dë'i'Ëtat, reviendra a de meil-
leurs sec timons. &
Sir Jo~.L~vr.eMe,.l'anci~ ~verneur un~rrea~nd~T~ Berlin
~-o''Mt des hidea aag~ses, qui a ~é qualifié R°" o~cieux.
~(neral tles Inde~ anglaises, qui a ét~"qua.ifié Au ministéro des affaires étrangères, di t
.~uveur d.~ ce pay..à raison de sa c(m- ce cor~ ëtran~res, dit
.dd.es&erau~MM.~IeUro suivante, ,-igo&- M ~ri~ GortchakoS est !oiii:
~p~ie ~.graphe: lettre re'rà~T. zla
ia~ par lé télégraphe: l'em~reür â Livadia. On. pourrait même oon-
.t~s du M septembre.qui nous annon~ 6H-Ms~ P~usCo~SS ~uee~~S~"
que 7'émir de Caboul a refusa de recevoir ta nUs
sion qui s était mise en route pour sa capitaif. < t
quil a forcé le major Cavagnari a rebrou-'s r
chemin d'ADy-Musdschid, est indubitaNemem, un~
rebutrade sérieuse pour le gouvernement :'t
l'Inde, d'autant plus que la mission était dé jn t
route. H me semble que c'était une faute c;:) <:
d organiser une mission à Caboul avant de .<'
être assurés si l'émir Sheore-Ati était dispo t :v
recevoir cette mission ou à la refuser, et c'f i'r,
une faute plus grave encore de la faire ).avant d'avoir obtenu son consentement. Si
précautions avaient été observées, l'atTront i'
nous est inuigé n'aurait pas paru siuagrant qtl'il
le paraît aujourd'hui. Mais. quelque vexante 'Tie
puisse être la conduite de l'émir, elle ne doit is
uous induire à lui imposer notre mission, et, )) .t ~l
moins encore doit-elle nous pousser à lui dt' n-
rer la guerre. H me semble contraire & la br;
politique de nous venger de notre désappoin'
ment parles armes, car. en agissant ainsi, no.
jouerions le jeu de l'ennemi et nous jettei"o!!s
)cs Afghans de force dans une union ave~' )~
Russie.
» Un venté, noua ne devrions pas être surp)
de voir que l'émir agit comme il le fait. Depuis
le traité de 1857, le feu émir Dost Mahomed a
constamment refuse de nous laisser avoir une
mission permanente à Caboul ou. même d'y en
envoyer une temporairement il nous annonçait
solennellement qu'une pareille mesure amènerait
des troubles et non des relations paoiuques avec'
les Afghans. Nous a~vons accepte'ses excuse~
1'~ 1869, l'émir actuel affirma la même politique., ¡
Quelles que soient ses fautes, il no nous a ja-
mais caché sa pensée a cet égard. Ce qui s'est;
passé & la rencontre do Peshawer, vers la nn de
1876, entre l'agent de rémir et sir Lewis Pe)h, b
n est pas complètement connu; mais je crois nuo
notre désir concernant la mission à Caboul a 6)6
réitélé à ce moment, toujours en vain.
La vieille politique consistait à supporter des
Afghans tout ce que nous pouvions endurer rai-
sonnablement, à tâcher de créer des relation-.
amicales a force de bienveillance et d'esprit de
conciliation, les amenant par degrés s'aperce-
voir que nos intérêts et les leurs no se heurtent
pas. Néanmoins, nous nous sommes donné ré-
cemment l'air de penser que nous comprenions
les intérêts des Afghans mieux qu'ils ne les com-
prennent eux-mêmes. Bref, nous paraissons et.re
et avis que nous pouvons leur imposer notre po-
litique sans qu'ils doivent s'en oSenser.
? Que gagnerons-nous à une guerre contre l'é-
mir ? Pouvons-nous le détrôner sans tourner
contre nous la masse de ses compatriotes ? Pou-
vons-nous suivre la politique de 1838-39 sans >,
produire des résultats identiques à ceux que
cette politique produisit alors ? Si nous réussis-
sons à chasser Sheere-AU de Caboul, qui pour" °
rons-nous mettre à sa place? Comment pour-
rons-nous assurer le maintien de notre créature
sur le trône, à moins que nous n'occupions le
pays? Quand cette occupation prendrait'elle On? 'l
)) Nous pourrons repousser des déûlés et des
vallées de FAIghanistan tous les hommes qui les s
défendent, je n'en doute nullement je croîs que
nulle force d'Afghans ne pourra résister a. nos
troupes si elles sont convenablement menées.
Cependant le pays se compose de chaînes do
montagnes qui sont presque toutes brisées en
ptateaux rudes etdiiBciles, où de braves soldats
sur la défensive possèdent des avantages consi-
dérables. Si nous forçons de telles positions, nous
ne pourrons continuer à les tenir.
» H en coûtera beaucoup pour envahir un pareil
pays et il faudrait d'ailleurs tirer les moyens de
îe tenter. Le territoire occupé par l'émir ne four-
nirait ni l'argent, ni les transports, ni même les
provisions en quantité suffisante pour nourrir
l'armée des envahisseurs. Il est impossible de
prévoira iin d'une telle guerre.e .en~tend~n)
eUe ruinerait les unances de l'Inde de &nd~n
comble;
Ge sont là des considérationspolitiques etmi-
htaires qui m'engagent & éteverla vo~x contre
lapohtique qu'on poursuit en ça moment
vers l'émir S&eere-Ati. D'ailleurs. les considéra-
tions morates ne sont-elles pas également fortes
contre, une guerre de ce genre~Les'AfgSa~
n'ont-ils pas le droite de nous rester lorsque
nous voulons leur imposer une miss~n. quand
ils se rappeltent à quoi gênent fréquemment de
~ns. proS~ `
nurns en 98.36, produisit pour eux?
.e'de~S~ naüon ne pos-
sède le droit dc s'iso,ler et de refuser les comtuu·
mcations avec .ses voisins. L'objection est peut-
être raisonnable parmi les nations (Misées
m~s je maintiens qu'eUe ne doit pas~a.pp~qu~
entre des gouvernemens qiyUi~s d'un~ôM~et
des peuptcs'barbares de !'autro. '
Sans doute, Sheere-AM aggrave son on'onser'u'
la mamem.dont il a résister nos ouvStiu-e~~
plus sR~aIement par la menace de son Mi~.
A~sdachid de faire fusiller le majct.
Cavagnan s'il ne retOurnaitpoint surses m.
Je sms convaincu qu& si nous iui prom~t~
('abandonner i-idëa de lui imposer uàemisS
il iera toutes les excuses qu'on pouMaraSon~~
Mement exiger. Je soutiens que nous ~vo~ eu
tort les premiers dans la politique suivie enve~
i émir. et cela dans bien des cas que ie pou.
ra.s citer. En conséquence, nous ne devions
trop exigeans en fait d'excusé
J insiste sur ce pomt, que ce no sera pas un dés-
~q~n~ arranger avec lui,
,tandis que,. en lui imposant notre politique, nous
~me-des exposer
et rùêmé à des d~aastres.
Les dernières dépêches venues de l'Inde an~
noncent .ia concentration da trois corps dctr~
pes considérables l'un à Quettali. l'au~ à Th~
sur la rivière Kpurum, et Je troisième Mi~smv'.
& Mooltan et l'on appeue cela des « mesure~
précaution. » Je l'appelle, pour ma part des-mc
sumsoii-ensiv.es, La même impulsion qui n~~
valu les comnhçations et les troubles actuMs
Mus poussera certainement à des n~u~men~
plus décisifs encore, si le peuple d'AB~eterre~
les arrête pas promptement. » ~"N'en:rrem<
.7 ËTRANGEM
AKetMttj~ne.'
L~~o~M~~ démer t
&t~' ~rf ~~rnen~~
rait tmtent!OB, dans le cas où la toi sur )t
soemhstesne serait pas votée, de ëoumet."
au Parlement actuel un autre projet~~
4e droit commun. Le gouvernement estd'av:
que la démocratie sociaiiste ne peut et..
cpmbauue avec efucacite que par uneMsp<
cia!e, et c'est ce point de vue qui, dans to.
les cas, continuera de déterminer sona.cti~
Aa
On a reçu à Vienne, du quart!er senëral du
d armée qui est à Serajewo, u~d<"
poche du 4 octobre, ainsi conçue
ch~eX~S~
chef de la t~~ divisiou, annonce que la ir° brigatl;~
d'infauterie est entrée san~~]~, à
ce matm~ huit heures. Les insurcésMto~
.très bonne heure le camp etIes-Mtran~~
.S°~USS,KS'S~ La
brigade d'infanterie est entrée ce matin à Go-
ss.sr:'s~t~E~
deux bataillons à Coïnitza pour occuper cette
& n' ~~N~?sS°
,main. Il n'y a plus d'insurgés à Fotza. L'insut-
rgction est, par conséquent, réprimée dans touté
la Bôsnie, et le pays est au pouvoir ,des trouge~
autrichiennes. »
_B.Kfi~:p.
.On est tout à fait à paix à Saint-Pcte~
bourg, à ce ~s cette capitale A ?.
A~~M~e~ ,1 ~ë de Ber~n
~m fnrrcan~n~n~t oelitU
JCtJMAL DES DEBATS
MHTMCES E)' Htt~MtMS
'SAM S MÏMRE
'7, :78
ON S'ABONNE~
enBeIgique,eQltalie,
dans le Luxejnbourg, en Turquie,
en Suisse, en Syrie, en Roumanie et dans tes
l'é~ences du Maroc et de la Tunisie,
en Chine et au Japon,
au moyen d'une vaiouy payable à Paris ou de
mandats-poste, soit internationaux, soit franf-ais.
en Aliemagne, en Autriche, en Russie.
et dans tous les pays du' Nord
chez tous les directeurs de postes
et dans tous les autres pays,
par l'envoi d'une valeur payable & Paris.
Les annonces sont reçues i
chez MM. Fauchey, t~MKo et C',
8, place delà Bourse,
etaubureaudu.MMJMJWA~;
elles doivent toujours être agréées par la rédaction. `~
~MMS~MM
1838
ONS'~BO~NJE
rue des Prëtres-'Saint-Gertnain-rAuy~rrois, )?.
")PKtx.'nE''
Trois mois. Six mois. Unan.
Pa; ~,& ?&. ?a~
Départemeos. ~Ofr. 40 fr. M&.
Umon-pcfsta.!e
jeuropëeane. MA'. <2 84
-outpe-mer. 24 ~['48 g6
Le~ aHbnneihen's partent (les 1" et 16 c[é
ëhaquëtnois.-
JPa' ~m nnzntéfo 30 e~)~.
Bëp&)fteimens, Mn ttnznëpe x5 eeat~
In J~oM~mn, appty to Cewie ,%nd C", ~ot'eiga
Dewspapërs ofucë, i7, Gresham street, G. P. 9.;
MM.
J- C. I~Ddon; WW. W.-M.iNmOth et &e~
~8' SLrand, W. C. Lond~.
A'Brux:eI!es,& t'O/~M~e pMM
tIto.t~eque~dB~ garesjde chemins de ferj~ges~ i
MMS `
VENDREN 4 OCTOBRE >~
~ua avons ~ppr~édwo ~n ~B B~a
derniers ar~çl~s la ya!eur palitique des
discours que JM. 48 Freycinet a pronon-
cés pendant .son..voyage, et nous a~'ohs
rappelé ce .ppppos le .discours de Ro-
mans. ~Quelques journaux vexent croire
que nous avon~ mis ?. le ministre des
trava,ux publics ep coptradtctj.oo formellB
av~ç Gaipbgtta, .et Us no~ féUcitent
d'a~otr condai99~ l'UQ pour .applaudir
rautre.On croirai, a i~ ~pt.endM, que
~o~pa~r.deu~ d~cQurs et faiir@res8orj.ir
Ic~aire~en.t les ~pttr.e en oppositioN.. G.e
n'fstpa~p.o.tresenttmeDt, et jLel n'a pas.
été noire dessein. ~9~3 somjpea -très coo-
Yaincusqueies explicaUptts .qui oat été
données à la Fiance, spit par ~'or~anc des
isinistres, ~sûitpar celui de plusieurs,de.
putes ou sén.ateurs émineup, .n.e nuiront
e.u rienàruni.oc qu~ le Rafti j;épublJL-
caina su ,co,nserT~' ~usqu'jici. On s'est.
app~qué, ayec une bonne J~bi douteuse,
a extran'~ du discours de M. ~am-
bcHa un certa~Q pQmbr.e .de propositions
qui, .présentées sans les explications qui
les précèdent .ou qui les suivent, pour~
raient, En t~et, i~pirer quelque Mtqui.e-
tude. ,Nous avons fait n,oa réserves au
sujet de ces propQsitiona; mais ces ré-
eerves, nous les avons presque textuelle-
û~ent çopiées ,dâ~4s, ~e diseo.~trs.deM. Gam~
ïaent copiées da~s le d~cours deM. Gam-
betta. L'orateur de Romans, en exposant
so~ü programme, ip'a pta ~uç~ue exposant 1
son programme, D'à ~u aucune p~entien
de l'imposer. 11~ posé un certain nombre de.
questions, ino~ns pour les résQud~e ~.éaoce
tenante que pour jes.Iiv.rer & la critique
et appeler sur elles ~'a).tention p,ublique.
L'atteutiqu s'y, es,t j~tu.r~le!%ent portée,
et .nous ayons lu avec soin tout ce que
nos confrères républicains ont, écrit .à
leur sujet. Le programme .de Rpinans,)
apr~une él~bQratiqtLde qu~lqu.es jours,
a subi queîquea ~an~ioriDations. qm ne
sont passant importance, ;J~e.paï'
exemple, s'est .e.xpliq~é sur l'injamovi?-
bi!it~ ,de la magistrature a peu près co:mm<;
nous l'avions fa~t nQus-m~mes. Tput
le monde r.eçon.naît qu'ily a quelque c~ose,
à fa~eppur.mpdtjEer ..esprit,qui. j~nime ]
en ce mom.ent la magistrature, .française
mais, si l'on, est d'accord sur le -but a
poursuivFje~on n~; l'est pas autant sur Isa (
voies apr~iire 'et~ur.Ies.~oycns em? J
pIoy,er~Dn ipe~mettr~d'accord~nou~en
do~tons.p.%s, e~n~u~.espé.ron~d~aineut~.q)~:
l'inÏti~ttye du gouvernement contribuera
à nxe~I.es uléeSjen,cprB~un,;pe~ con~uaea j
et ~maintenir l'harmpniet~itrelea.divjer-t (
ses tractiocsQU paru repu.û~cam..
Mais te~,p(Mnt3; l~spluss.ensib~qna
M. Gambetta .a tqucM~, .e{, s~r loquets
même il .app.qyë ..avps. force!ge ratta-~
chent &. la ~ueeUon ,~ërica!e,, !.a,.plu~. ~pi-
neuse, laFlas.lic~te et..aH~si ta.p!us;to-<
évitable ~es quesUoc~.qtjLe DO~on~m~s
obUgés de.trait9! Qu~&4pma.~d6 M.,Gam-
beU~,? H & 4e!~&n~,qne.~ jeua~hom~
me~qni ~e ~~s~qQ-t. 9. 1~ oaMtère coci.~
aiastiqùe fussent soumi~u~ry~ce_jm~
tai~ ayao~ .~ec-PPW~ ~êb~a~~P~ à
lenr; Yoçation. Une,.teMe r<~(u'n~J préteur:!
tée dans .des .terme~ aus~i absous. .98t/
notre avis in~cceptabi~. ~~e aurait
pour r~suitat certain djë,porterie c~p. '1
le ptns.-f)!ne~~< ~cfui~pnt.d~ ~Ipfge j
!técu!it;r,,et, l'~aaii pQ{t)bie
tf'ment. ()rt aujourd'hui ~iiGciIe. et -.ta~.
bori~ux. ~a.~s ~nqi 1 &L..G~mbctta <~t..ii,
l'eoueEQi dn cle~é &dc)iiier'? Lc~iu de~
II a pa.f~ 4e ~os c~§ et de .~eurs ~}.~i-.
res dMsdps ~rtï;~ .exeeHen?, pteins de
bienvelHa~ce (}t presque d'aiTect;o:n. U
est y~ai.,qu~l a.-parLe. du clergé..t~j
guner, c-ebt-a-au'tj.u~ .f.t-~i~ux .&t.
des ~ao.i.~es de toas.48& Ordrc~, en .ie!
mes Irè~ '~&ér.eiis. Q'Miie eg~donc la. pc&~e
quiregsort de spn dtsc~u~.? C'e~4,c
sdr, çlf~ ~;eleye~, cle Cotti6er le.lergé:~épti.,l
sûr, de relever, de forUfierle.~e~rge.sé~-
lier au détriment de toutes ies excrois-
sances ..qui .se sont, produite~ autour de. '1
lui'~tquil'épuiseBt. ~t l'étpu(fept. ~oitt
nous ne dem~ndot~ p~ ~:eux que de.
participerace~M bpnne œu~M, àcondKi~
toutefois ~u.'un u'ip.).a.ginerâ p~s de régler
toutes Qe6~n';st.i~mp~r''mtMi'
tale de i'i.utuf),~ f~'U~~p .Ur~ p&eii'e e
tMhc e~icC beaucunp piuc :d'adrcMû ci.
mêHiS de n~ii~e~eas q.ue .de tiuroe ~de
'vio~noc. M~is, ~'our rev~ou'i'-Q~Hg~t-MO
du aefviqe ~Uitaire, ~?o;t-pu qH'e~ Bui~
ï-ait p~ cierge. j'~Uef qu'~n .cierge,
~cn!i-t'? C'C!"t s! c~ dûmi~ ~s:
cur~s &i sn~ca .-ucaircs, que la ré-
t'orm.e ~pmi'df&it.–da–tnut.–Aou- –pmds,-
pt (~ tH&rge ~u!MP que .-?. Cr~nbetta
te 'propage ~e ~er sueeomb~ra;t !e
premier sous ce f
ptopde 1'~ senU, et 'd''ja prc~u~ tous ]~s
jaurn~ux rép~bUcains ont, ime;-pré!~ie
discours d~ Romans a\.ectjëauc'))!p d'in-
gëmositeët de bon §ens. Pour n'en citer
qu'im, uo)M JiommaBang ie A'a~oaa~.
plus .rét'enttcsaùt lorsque îa parote.dé l'
M. 'Gambctta 'portëë 'psr ..ie G! du I
tél<'giaphe, e~t amré'e ~!squ'< !!M.
Le JV~M~~ f'-a pM" !nar.haadé
~pproba'ioa ti i''a dbnii~f tuut eu~
t~re ï'a!8 :&~ 'a.vuir .npt'I uYfN'.ie t!;s- T
conr& i~ ~'n. u.'s ai'éinde.~t~HBH
t0!~f'!r' 1
t'C
youe ? diL-U. Imposer St~vice taHitaife i
~Xfémioar:ste~~on:u:&~aM}! p~e~&o a
~~aitB~~rJieux ~t notre confEÈre,,apr.ës,
avoir disB~nsé duseryice~niittaire ceux qui
prennent l'engagement de servir l'p'at t
sûius-'Tïjabe autre forme~ en rempli~sapt les.
fqns}.ipng ecclésiastiques, n'envoie sous
les ~drapeaux, pour éprouver le.ur yoca-
tiQ~, que les futurs jésuites, ç.apuçtus, etc.
Ceux-là ne rempUssent pas un service
publ!c;donc il n'y a pas lieu detesexemp-
t~r de~a loicpaii&une.Nous voila loin déjà.
de la forïoule prp,(nu!guge Rpptaas. Au
moye.u d'une disJiQ,çtioa de ceUe nature,
étendue et d~vetoppée conyenab!.ement, i!
n'est pas i;npossU)Le d~ ra!Uer tous les.
bons esprits. No.us y reyi.eodrons quand
le ipQment sera venu. 11 ne l'est point en-
core aujqur.d.ui, et notre ~.ut~'est p.~s,
de ~te,r le problème, mais d.e .l'indi.quer.
O.n voit par cet exemple comment le dis-
cpurs de Roma.ns peut deyenir.un discours
extrêmement « QppOtrtun~ste M, ~t qu'on a,
to~t ~e,s'.en eQ'raypr au~re mes.urc.
,No8 adyersa.ires font donc trÈs bien de,
se réjouir dès maintenant des divisions,
d~ par~ répubUca~R, parce qu'ils ne pour-
ront peut-être pas s'earëjouir pl.usta.rd.
d'un CQBuj' aussi serein. Certes, nous ne
sa.cfitteroQS jamais ~jj: ijatërêts d'une poli-
tique au jour lejourles principes eooserva-
teurs q~u'on nous connaît et .que nous n'a-
vons j.amais îtégli~é .de professer mais
~npua~e CMypnspaa q.u'e ces .prjincipes
consent un danger immédiat. Noua croyons,
a!icontraipe,que le yapprachem~t qm
s'.est &it depuis quelques annëes, sur le
terrain de la république, entre des gom-
mes tr~s divers d'origine, a dissipé biendes
madentendua, ,calmé bjje~ de~ passions,
éclairé ~en
ses résultats, et voUà p&urqupi ,11 iaut
no.n seulement .la maintenir, ~ais~ au-
tant que possible, 'jLa ~r.ojsair d'élé-
mens nouveaux. C'est ce qu'a compris
M. 4~tFr)eycinet, et~ en cela, il:s'estmon-
tré ;hQmmp d~ gouvernement. Il a fait
appejl~ tQu.s ~es hommes qui n'ont pas.
contre Ja répu~qu.e .des. ;préyentions,
inY~oib;~8, ~toUiS .oe~x.,qui..obé~s-
aen.tjàla. ~a~OD.nQn pas ;l'~nsiin~,
et~~em'.a contré un~ la~rge place,
dan.s nç~ rangs. ~a;t,rp Iss-m.anifesta-
tions républicaines de c~s.de.rniers temps =
i! n'y a eu aucune diiTérence essentielle,
et nous n'y soyons patr .c~inëéq~ent pour J
un avenir proGhain aucun avant-poureur
de ce grand ac~isme;républicai.n, tiOujour~
prédit, gr~ce a.u, ciel~ -touj Qura, ajourné.
T~B télégramme' 4e Pesth annonce déci"
démeT~ q~ue te'ministère donne sa dëmîa-
aion et que M'. Tisza. ira ïa prë~hter lui-
même à.'l'empereur au château dé Gœ-
doeUœ. Cette nouve!le De surprendra'pas
nos' lecteurs~ -nous' la' leur a.'viohs fait
pressentir. Lcs'd~tàHs nous~m&u'quent au-
jourd~hui pour l'apprëcier a~ëG 'les ~dëve-
[oppemeBs qu'elle mérite. :} '3- f ` .1 j
~f ;=' -t~< .<
-l~mSËDË/P~ÏS~ s
'M.tH'i9i~t' .H~m'
-iCt~tM-tt *<«)~ :a~'4e .~HhMMMe.Me
'tO~ ?.
ComptMtt. W .< '?5 M'~ <
Fin cour..76 3S*ï~-l/a. « n
-
Comptant. 79 10.7. 8. ~J
Fincour.~920. 79 7t~ ')-
'At/
Comptaht')uS.&
Cctmp'['s.B!3':0.).')'3'4S'j', .M..
~ccbuÏ/~t3'M''i~37'i' "1~
.y~~MS~DU~M~
EeipKmt B Q 0. M3 fr. 6i!. 6~
30/0~mMt.tSS9l))e.u!efr.?9fi';oa4);2.
Ita.IL~p.3n-o, 8u.
5 0/a.t.urc. ilfr.30.05,10.
Banque ottoman'}.. ~2 &4§8 fr. t/ M8 iCr. Tj5.
M~m~M'
Egyp~eMes 60, '28tfr.87, 282fr. 28i fr.87.
Ru~
Midhat -'P&eha nous adresse jte télé-.
'~TajBmeBuiy&nt:
«'La CaBéë, le t~octobre, 9! soir.
f H<'sjr)rtroam: d'Eu.rope ayant, puMié, à.ià'
da!~fi!iM S(*ptetNbM,~t.fe j'avais s~g'~éré au
gouv t'm'mr'Ht an.s'i' it]d6~ de ta. c~s'u~n de:
i'î' de.C!tG a Grec. je voua pri~ct d<
mentir for~ett~mput cette a-sertiqn ~BÙ~f
'le ~ûut fondement, d'autant plus que pa-
M!l)
:r.r. r t. ~B .~C~T. !}
Cette MetiScaUoQtS~appttque s~as d&ute
à Hn ~assa~d'ôa~ lettre adressée d'Athè~
~es
Entre autres ebe3&&it est dit dans cette
lettre qu~ MidiMtt, avaat de-qmttar~tjon-
dres~~ié~p&y 'te ~o~TerBeto&ot armais
d'expeseF' sa RMaiere de-vcif' ~ur Jes
mesure- -à prendre p&ttrcettcHier }&3 &ns-
ceptibitités delapor~e avec lo~ exigaBces
de :'la Grèce,, avait suggéré l'idée de céder
la Crète ~~érçyau~me,
~cms recevons, de 9~tj:e.c
't yienoe. 1~ ,i octo~f, G h. M,m..
f ~ëm'S''i(<'n f!e M/Sz~i. &iQ~i qnejo }6
!~o\'f;y3.ig, ~.f'tra~ ë'cc!;t' d~ ttt'rt )M r~bin~t.
que approuvant au fond !a politique da
comte Andrassy, devait se retirer, ne pou-
vant se maintenir jians l'appui de M. Szel).
Des démonstrallons 'anti-russes se prépa-
reut en Hongrie, La Mtuatioo devient de pius
en pius grave et compiiquëe.Le gouvernement t
est placé dans l'alternative ou de céier aux
Ho!
presque imposFiMe, ôa 'cvoit ici qu'à ta
dernière heure le parti miiitaire sera forcé
de céder. En attendant, on travaiHe à r~)a-
bora.tiôn d'un' projet d'administration pour
la Bosnie ~t rHëtZé~ovine. La direction de
c,esj)rovinc~s sera concentrée dans une chan-
cëlierie séparée, dans le genre de l'ancienne
chancellerie pour les affaires croates, .Nb/-
~
~on de ces provinces vis-à-vis des deux moi-
tiés de rem pire. a
« Vienne, le 4 octobre, 6 h. 46 m. soir.
D Le comte Andraasy partira après-demain
pour àUcr dans ses propriétés en Hongrie.
M. 'Tiszâ doit partir pour deux ou trois se-
maines il ira. voir l'empereur à Gœdœ'lœ. La
conclusion de la convention .dépend aujour-
d'hui de la tournure que prendront tes araires
en IIongrK*. Caratbeodory Pacha a.ttendf&le i
retour du comte Àndrassy.N u'
~fétéfpfapMe privée.
[Service'télégraphique de l'agence Havas.)
.r,
Berlin, te 4 octobre.
Le prince Impérial a reçu. aujourd'hui M. de
Bis'marck.
j Le ~Mc~MMM~~ annonce, d'après une com-1 `'
munication offIciaHe, que fa Russie a ordonné le
désarmement de ses ports de la mer Noire et
[ l'èmévemeht dés torpilles.
i 'Rome,te4 octobre.
La nouvelle que l'ambassadeur d'Allemagne en
Italie, M. de Keudell, a eu une entrevue avec le
cardinal de Hohenlohe, est démentie.
Le cardinal dé Hohenlohe a eu une entrevue
avec un autre personnage de Berlin.
~1 est probable que le cardinal de Hoheniohe
ira à Beriin, mais u n'y a encore rien de certain
'ce -s'm'ët.
.Ls-brmt ccMft que qu~ques inQuences à~Berlin
~ntrav~nt les négociations avec le Vatican.
Les -n'égociatibns entamées anh que !a Betgique
no supprime pas sa légation auprès du Vatican
marchent d'une manière favoraMe.
On parte de quelques nominations de séna-
teùi~~i iraient tieu prochainement.
Londres, le < octobre.'
Le ?*tMMpub)ie tes DouveUes suivantes:
Buchareat.f!e3.Le truit court, qu'une nou-
ve!)e convention a été conclue
passage dans ta DobrutscTta.'pour ses futures guer-
resavecta/ï'urqu~e. !)
Constant.inople. le 3. Les journaux turcs ont
= annoncé que le Grand Conseil avait décidé de
rejeterle projet anglais de rëtormés en Asi.ë-Mi-
aeuM.
Ce~t.e.nQ.uv~ISe.es.t fausse. jj
Londres~e <.octobre.
L'honorable ,J.-C.-W. Vivian, sous-secrétaire
'au ministère de la guerre, a donné sa démission
il est remplacé par M. Thompson.
l~rd~apiqr de Magdala est reparti pour Gi.
.braltar; ou~i ya rejoindre son poste..
Londres, !e 3 octobre, soir.
ParsuitjCd.eJafaiUi.t.edeta banque de Glas-
.gow, Ja maison' Smith Fleeming, Leadenhati
street, ainsi que ta maison William Nicol, d6
Bombay, et MM. CIeemiBg et C', de Kurachee,
-ses correspondans, ont suspendu leurs paie-
.mëns.
Le passif delà maison Smith Fleoming est es-
timé de 2 & 3 millions de livres sterting.
On craint que ces nouvelles suspensions de
paiemens n'amènent encore ~'autres faillites im-
t'portantes à. Londres et à Glasgow.
Ragme.Ie3octobre.sotr.
Lesch&i's..montén6grms'PiorreVukotitch, Bozo
Petrovitch et t~asoVerbitza doivent avoir !e 8 oc-
.tob're a Trebigne une conférence avec le générât
Jovajiovitch. Cotta réunion a pour objet ta re-
mise !)m Montenesco de ta partie du territoire
t. ;}ierx6govMen que lui assigne le traité de Bcr)m.
"Constan)inôp)e, le 4 octobre.
La convention austro-turque est définitivement
~mioussée.
UBeYiv~oppQsit.ion cDntmuo à se produire
contre le projet de réforme de l'Asie-Mineure.
On'annonce q~e t'Ansteterre-et là France voû-
tent 'établir en Rouméiie un système gouverne-
..ment.al très. libérai.
Lë~' Russe. organisent en Rcmmëiie ta rési-
stance contre Ie.s disions de ta commission.
Belgrade, le < octobre.
La ëomimssion internationale est à Nisct], ou
eUe attend J'iirfiyco du commissaire turc.'
L'Autriche a nommé, en quaiitô d'envoyé extra-
ordinaire et de'ministre p)enipotent.ian'o prea do
'la cour de Serbie.-le conseiller de légation comte
.Herbert, actucHement a Constantuiople.
M. Ciug)'ia,"cunaul d'Autriche a Belgrade, aét~
notamé consul à Miitippopoh.
Kew-York, te 3 octobre, soi:
Une dépêcha dé la Ja~naïque assure qu'une
InsurMction a' éclaté parmi tes nègres à t'anta-
'Grux.~
De nombreux meurtres et des atrocités auraient,
é.té commis.
Les nègres seraient .maîtres de l'He.
Madrid, la 4 octobre.
Le~ jcu'na.ux, annoncent que l'état sanitaire
,siesG; un pëu ai~éhoré à,I~adri~. x.
,8K'st,unpeuaméiioréàMadnd.
PesHi,!e~ootobre.
t..c ministre des tinanoes, M. S~U. persistant à
donner sa demissio:), 1s conseil des ministres a.
~résotn hier de rësïgncr ses fonctions ofûc.ieUe-
mQntetpsn"éc)'it.
t(!. Kotoman Tisza:ira tui-mëme-aujourd'hut au
~châtjea~ do G~dœttœ pour présenter à l'empe-
reHr, en son nom ~t an nom de ses coilegnes, ta,
lettre par taqùelie ils offrent leur détaission.
On të~graphie de Posth, }o 3 ootobr~ a la S~
M~Co~M~
maintenir leur démission, parce que le cabicet ne
pourrait pas se soutenir an ~'arl'*ment sans
M. &z.<:l). L'empereur et-roi est.aci,ueHement ici. &
Le .Pa: A'~tM, dans une dep3chc de I~nd~e,
annonce que la marche des ~astaiscont,~ Ca-
boul aura lien nnmëdia.tement.
Ontétégraphiede'Simta.&u S/as~
e Les indigéues rapportent guc Mmu' réunit
dt's forces do tous les pbmts~de l'Afghanistan'
pour s'opposer a la mM-ehe'des Angiais.
') Une t!'o;!pa !)cu no~bMiise do soldats ang')ais
c't putt~rM<'t"ip.)'JamM'jd. »
) t; ~<7// ?"t-~i-A a~~oM~ que M. J.~yard
t.~t a.n;ndfi pi'Ju.hah~mQnt c~ ~~n~teterr~, ou ii
~ieni. '~Q.~r.co~.u~o~~o~Ter~cm~nt ~:r ta
t p.otitÏque'bnpntafe'. `
Si quelque chose pouvait donner la
vraie mesure de ce par),! que nous n'ap-
pellerons point religieux, parce qu'il ne
l'est pas, ni chrétien parce qu'il ne l'est
pas davantage, et qui n'est que clérical,
ce serait, l'allégresse qu'il a manifestée à
l'occasion de la dernière lettre du Pape
au cardinal secrétaire d'Etat. Ces gens
pieux sont dans la joie; le Pape est r&n-
"tré en guerre, et un peu du manteau de
Pie IX est descendu sur Léon XIII. Us se
moquent agréablement de ceux qui ,i
avaient espéré la pacification, et nous
raillent, de notre désappointement.
Hélas non, nous ne sommes pas dés-
appointés. Nous n'avons jamais cru ni
jamais dit que le successeur de Pie IX
allait changer du jour au lendemain la
politique intransigeante de son prédéces-
seur. Nous nous sommes toujours expri-
més sur ce point avec une extrême fé-
serve. Nous avons simplement dit qu'a un
mystique exalté comme l'était le créateur,
de l'Immaculée Conception succédait un
homme qui avait vécu comme nonce dans
les pays étrangers, qui avait pratiqué la
politique temporelle, qui n'était point lié
par des vœux surnaturels, et qui pouvait,
sans manquer a aucun de ses droits et de
ses devoirs, introduire dans ses rapports
avec le gouvernement italien un ?MO<
MMM~que Pie 1~ s'était à jamais in-
terdit.
Nous sommes prêts à reconnaître que
ces espérances modérées et modestes sont
déçues, et qu'elles sont détruites par la
récente lettre du Pape. Le successeur de
Pie IX se rapproche de l'Allemagne pro-
testante et hérétique il se rapprochera,
au besoin, de la Russie schismatique et
persécutrice, mais il restera en guerre
ouverte avec l'Italie catholique. Le parti
clérical applaudit des deux mains, et
cela ne nous étonne pas. Nous l'avions
déjà vu en 186~, après les premiers triom-
phes de la Prusse, menacer de cette con-
currence le malheureux empire qui avait
pourtant dit: «'Jamais! jamais'H et qui
en est mort. Et comme l'Allemagne pro-
testante et rationaliste n'avait pas ré-
pondu, les champions du pouvoir tempo-
rel nous ont jetés dans cette guerre mé-
morable dont not~,portons touj[Qurs~e
poids et la peine.
Que leur importe? O~KM! ~~KJ~o
~o~M~o~e. Malgré les efforts désespérés
des fanatiques, la France échappe à la
main et l'étreinte dé Rome. Après la
guerre de l'impératrice, il y a eu le
24 mai, il y a eu le 16 mai; toutes ces
entreprises, issues de la même source
souterraine et de la même ténébreuse in-
spiration, ont échoué. La France résiste
et se révolte les élections dernières, et
celles qui viennent, sont des signes comme
les trois mots .bibliques tracés sur la mu-
raille. On désespère de nous, il faut se
retourner d'un autre côté. « Le puissant
empereur de l'illustre nation germani-
que », qui a. été presque victime de plur
sieurs attentats a 'déploré l'an'aiblisse-
mentdu'séQtiment\i'eli~ieùx, et ces pa-
roles ont"donné une nouvelle' note à la
politique intérieure de l'AIlemagn.e. Les
projets de lois contre l'insaisissable socia- n
[isme coïncident avec les négociations ï'o-
maines.
Assurément, si les avances laites à
l'empereur 'd'Allemagne n'avaient pour
.objet que l'amélioraj.ion de la situation du
clergé catholique, le Pape ne ferait qae
remplir son devoir de pontife, de protec-
teur et d'arbitre. Mais elles sont accom-
pag'tiées d'une déclaration de guerre au
gouvernement, italien qui laisse voir le
fond de l'intention. La. France ne peut
plus et surtout ne veut plus refaire
Mentana; l'0?'e'Mo~Mc est revenu, et. dés-
ormais il n'y a plus à, compter sur notre
Assemblée Nationale. Dans des circon-
stances pareilles, la com'. de-Rome, tou-
jours traditionnellement sage et politique,
sait s'arranger. M. de Bismarck avait dit
) Nous n'irons pas à Cànossa M, et il n'y
va pas. Le Vatican ne va. pas non plus
jusqu'à Berlin, il va jusqu'à Munich. De
part. et d'autre on fait la moitié du chemin.
Par cette réconciliation~ si toutefois
et!c se fait, il pourra y avoir un reiâche-
meut des ueu~ étroits qui depuis douze j
ans avaient uni la Prusse et l'Italie. En
même temps, parla consolidation eu France
du gouvernement.,r<~ublicain, -et-par l'a-
bandon dé6nitif de toute campagne de
Rome, l'alliance de la France et de l'Italie
se trouvera naturellement resserrée. Nous
serons les aUiés du peuple italien, et nous
laisserons nos bons catholiques se faire
les alliés de la Prusse.
JOHNLE~OINN.E.
On.nous ë~rit de Ï~ondres, le 3 oc-
tobre.:
Tandis que les journaux tontinnent à
discuter avec ardeur ia question aï~hane, le
gouYernement semble vouloir laisser toute
responsabilitc lord Lytton. Les meobres
du cabinet sept ptresque tous absecs. Lord
Beaconsnelde~tà la campagne 'ordSaii~bury,
a Dieppe; le s~rétaire d'Etat pour ricde,
eu Ecosse, auprès de la reine. On dirait qu~ts
veulent et'ib-p les questions indiscrètes. Lord
!La.wreset', dont la compétence en pareiUe
n'aut'M es!, rf-connuc même de s. s afh'trsai-
rcs. a adresse hîer au ?'!M~ uce lettre da.BS
Faque: !t; i; cri Hque vivomont -id conduite du
vice-roi et il ptaide les circonstances &tté-
BUâQtespQurStteece-AU.
)) La dernière campagne contre l'Afgha-
nistàn a coûté 13 millions de livres sterling;
on estime les dépenses de là prochaine guerre
à plus de 15 minions. La situation nnanciëre
de lacolonieestdesplus précaires; avec quelle
difËculté l'équilibre budgétaire a-t-il été réta-
b)i Les famines ont dérangé les ressources,
t et il n'y a pas moyen d'imposer les frais de
la guerre au Trésor indien. Il est à peu près
entendu que la métropole dont le prestige
menacé exige l'humiliation de l'émir pren-
dra à sa charge les dépenses. En Angleterre,
chaque penny d'~eoMM-~ donne à peu près
2 millions de livres sterling, taudis que dans
l'Inde, pour lever une somme additionnelle
de 1,500,000 liv. st., il a fallu ajouter 40 0/0 à
l'impôt sur le sel et imposer des revenus de
4 sh. par semaine. Il y aurait injustice et
danger à la fois à rejeter sur les pauvres
paysans de l'Inde les millions de livres que
la conquête de l'Afghanistan va exiger.
Les résultats de la première moitié de
l'année fiscale 1878-1879 (mars à septembre)
ne sont pas encourageang, et sir Stan'erd
Northcote n'a pas à s'en jéliciter. Les doua-
nes, l'accise, le timbre ces colonnes fon-
damentales du revenu montrent une dimi-
nution en comparaison de 1877. Pour que les
prévisions du chancelier de l'Hchiquier soient
justifiées, il faut que le second semestre soit
d'une fécondité extraordinaire, et malheu-
reusement rien ne semble l'indiquer. On au-
rait tort de croire à l'appauvrissement du
pays et de se livrer à des théories pessimis-
tes sur sa décadence. Il suffit de constater que
l'élasticité habituelle des recettes a disparu
pour le moment, et que les contribuables an-
glais peuvent s'attendre à de nouvelles charges
pour faire face aux besoins de la situation.
N Depuis quelque temps déjà des rumeurs
défavorables circulaient sur le compte d'un
établissement financier du Nord. La déeonn-
ture de la Banque de Glasgow est venue en
montrei la justesse. Cet institut a fermé hier
ses guichets, mais.les autres banques écos-
saises ont annoncé qu'elles recevraient les
notes de la Banque de Glasgow en circula-
tion. Le chinre d'émission légal s'élevait à
72,931 liv. st.; mais contre or en caisse il en
pouvait être émis. et, usant de ce droit, !a
Banque en avait lancé po'ur 600 à 700,000 liv.
sterling.
s Fondée en 1839, la a City of Glasgow
Bank avait un capital ver&é de 1 million de
livres et un fonds de réserve de 480,000 liv. st.
Eue avait payé dans les dernières années
12 0/0 de dividende à ses 1,249 actionnaires,
qui sont responsables chacun jusqu'à concur-
rfnce de son entière fortune, vis-à-yis des
créanciers, la Banque n'étant pas /!MM~. On
estime le passif à 10 millions il y a des dé- j
pots pour 8 millions 1/2 et des acceptations
de traites pour 3 millions. l' ]
"La situation était si mauvaise, que les I
autres étabtissemens financiers de l'Ecosse <
n'ont pu venir à son aide, malgré leur désir c
d'éviter une catastrophe. Il faut chercher la ]
raison de la faillite dans des avances incon- ]
sidérées faites à des entrepreneurs de bâti-
mens, sur des immeubles en construction, et à t
des engagemens .avec des maisons .faisant 1& t
commerce dans l'Inde Bt en Australie. Il y a i
du papier de complaisance ou de nécessité en r
circulation, et, le jour où l'escompte en a été 1
refusé, la suspension de paiemans n'a pu être
conjurée. 1
N La position de la Banque d'Angleterre est €
heureusement forte, si bien que la crise est j r
toute locale; néanmoins, le crédit public 'a (
reçu un cpup.,S'it, en fallait croire des pessi- t
mistes, d'autres établissemens se~'ouveraient ) I
dans une situation également précaire, et
il y aurait d'autres désastres à redouter.. ,l
M En 18:;7,la ~M~~Fs~ o/
Son capital était de 1 million 1/2, et la circula- i
tion de billets s'élevait à 484,983 liv. st. ))
Les 'journaux uHram&ntaias allemands
s'étaient abstenus jusqu'à présent de com-
mentaires sur la lettre d~ Pape Léon Xin au
cardinal Nina, et les journaux officieux
avaient-insiate sur ce silence et avaient paru
craindra que le pMti du centre dans le
Reichsta.~ ne fût pas'anime du môme 'éspr~
de concitiatioa que le Vatican. Cette crainte
1
n'était pas entièrement fondée. La G~MMM
de Berlin, vient d'indiquer l'attitodb du partf
du centre; vo':ci en quets termes
j « La situation du groupe du centre et des catho-
liques en .présence des négociations actuelle-
ment pendantes entre Rome et Berlin est si
claire, si bien indiquée d'elle-même, qu'elle ex-
clut toute espèce do doute et d'hésitation. Ce
n'est pas le centre, mais c'est Rome qui noso-
cie avec le gouvernement. Le centre n'est donc
pas en mesure de pouvoir olfrir ou refuser
quoi que ce soit.
» En sa qualité de représentation politique du
peuple allemand, il a le devoir de défendre, de
protégeret.le cas échéant, de reconquérir les
droits et les libertés politiques et civiles, et, avant
tout. !a. liberté religieuse. H n'a pas qualité pour
négocier à titre do courtier, non plus que pour
abandonner contre des concessions problémati-*
quesdes droits précieux. Sa situation et son at-
titude, sont indiquées par son programme èt par
.ses principes bien connus.
? Rome n'a jamais cherché a influencer en au-
cune laçon l'action politique du groupe du centre
Rome ne cherchera jamais à exercer une telle
influence. Si un accord' intervient entre Rome
et Berlin, le centre et les catholiques le res-
pecteront avec l'esprit de déférence et d'obéis-
sance qu'ils sont habitués à témoigner au sié~e
apostohque. °
Néanmoins, le centre continuera à faire con-
stamment son devoir, c'est-à-dire à' soutenir et à
d.efendro. conformément à son programme les
intérêts, les droits et les libertés de la nation: car
M. mission n'est pas limitée à l'ère du XKMM--
~M!i~
a Si le gouvernement termine la lutte qui l'a
poussé a prendre les mesures les plus grosses de
dangers i) est certain qu'il désarmera l'opposi-
tion du centre sur plusieurs points: d'abord dans
les affaires religieuses, bien que (Te grands de-*
voirs continueront do s'imposer aux membres
de cette fraction, et peut-être aussi ensuite sur
d'autres questions, si toutefois ce n'est pa& un
espoir trompeur de croire que le gouvernement,
après l'apaisement d'un conûit qui envenime
toute la politique dë'i'Ëtat, reviendra a de meil-
leurs sec timons. &
Sir Jo~.L~vr.eMe,.l'anci~ ~verneur un~rrea~nd~T~ Berlin
~-o''Mt des hidea aag~ses, qui a ~é qualifié R°" o~cieux.
~(neral tles Inde~ anglaises, qui a ét~"qua.ifié Au ministéro des affaires étrangères, di t
.~uveur d.~ ce pay..à raison de sa c(m- ce cor~ ëtran~res, dit
.dd.es&erau~MM.~IeUro suivante, ,-igo&- M ~ri~ GortchakoS est !oiii:
~p~ie ~.graphe: lettre re'rà~T. zla
ia~ par lé télégraphe: l'em~reür â Livadia. On. pourrait même oon-
.t~s du M septembre.qui nous annon~ 6H-Ms~ P~usCo~SS ~uee~~S~"
que 7'émir de Caboul a refusa de recevoir ta nUs
sion qui s était mise en route pour sa capitaif. < t
quil a forcé le major Cavagnari a rebrou-'s r
chemin d'ADy-Musdschid, est indubitaNemem, un~
rebutrade sérieuse pour le gouvernement :'t
l'Inde, d'autant plus que la mission était dé jn t
route. H me semble que c'était une faute c;:) <:
d organiser une mission à Caboul avant de .<'
être assurés si l'émir Sheore-Ati était dispo t :v
recevoir cette mission ou à la refuser, et c'f i'r,
une faute plus grave encore de la faire ).avant d'avoir obtenu son consentement. Si
précautions avaient été observées, l'atTront i'
nous est inuigé n'aurait pas paru siuagrant qtl'il
le paraît aujourd'hui. Mais. quelque vexante 'Tie
puisse être la conduite de l'émir, elle ne doit is
uous induire à lui imposer notre mission, et, )) .t ~l
moins encore doit-elle nous pousser à lui dt' n-
rer la guerre. H me semble contraire & la br;
politique de nous venger de notre désappoin'
ment parles armes, car. en agissant ainsi, no.
jouerions le jeu de l'ennemi et nous jettei"o!!s
)cs Afghans de force dans une union ave~' )~
Russie.
» Un venté, noua ne devrions pas être surp)
de voir que l'émir agit comme il le fait. Depuis
le traité de 1857, le feu émir Dost Mahomed a
constamment refuse de nous laisser avoir une
mission permanente à Caboul ou. même d'y en
envoyer une temporairement il nous annonçait
solennellement qu'une pareille mesure amènerait
des troubles et non des relations paoiuques avec'
les Afghans. Nous a~vons accepte'ses excuse~
1'~ 1869, l'émir actuel affirma la même politique., ¡
Quelles que soient ses fautes, il no nous a ja-
mais caché sa pensée a cet égard. Ce qui s'est;
passé & la rencontre do Peshawer, vers la nn de
1876, entre l'agent de rémir et sir Lewis Pe)h, b
n est pas complètement connu; mais je crois nuo
notre désir concernant la mission à Caboul a 6)6
réitélé à ce moment, toujours en vain.
La vieille politique consistait à supporter des
Afghans tout ce que nous pouvions endurer rai-
sonnablement, à tâcher de créer des relation-.
amicales a force de bienveillance et d'esprit de
conciliation, les amenant par degrés s'aperce-
voir que nos intérêts et les leurs no se heurtent
pas. Néanmoins, nous nous sommes donné ré-
cemment l'air de penser que nous comprenions
les intérêts des Afghans mieux qu'ils ne les com-
prennent eux-mêmes. Bref, nous paraissons et.re
et avis que nous pouvons leur imposer notre po-
litique sans qu'ils doivent s'en oSenser.
? Que gagnerons-nous à une guerre contre l'é-
mir ? Pouvons-nous le détrôner sans tourner
contre nous la masse de ses compatriotes ? Pou-
vons-nous suivre la politique de 1838-39 sans >,
produire des résultats identiques à ceux que
cette politique produisit alors ? Si nous réussis-
sons à chasser Sheere-AU de Caboul, qui pour" °
rons-nous mettre à sa place? Comment pour-
rons-nous assurer le maintien de notre créature
sur le trône, à moins que nous n'occupions le
pays? Quand cette occupation prendrait'elle On? 'l
)) Nous pourrons repousser des déûlés et des
vallées de FAIghanistan tous les hommes qui les s
défendent, je n'en doute nullement je croîs que
nulle force d'Afghans ne pourra résister a. nos
troupes si elles sont convenablement menées.
Cependant le pays se compose de chaînes do
montagnes qui sont presque toutes brisées en
ptateaux rudes etdiiBciles, où de braves soldats
sur la défensive possèdent des avantages consi-
dérables. Si nous forçons de telles positions, nous
ne pourrons continuer à les tenir.
» H en coûtera beaucoup pour envahir un pareil
pays et il faudrait d'ailleurs tirer les moyens de
îe tenter. Le territoire occupé par l'émir ne four-
nirait ni l'argent, ni les transports, ni même les
provisions en quantité suffisante pour nourrir
l'armée des envahisseurs. Il est impossible de
prévoira iin d'une telle guerre.e .en~tend~n)
eUe ruinerait les unances de l'Inde de &nd~n
comble;
Ge sont là des considérationspolitiques etmi-
htaires qui m'engagent & éteverla vo~x contre
lapohtique qu'on poursuit en ça moment
vers l'émir S&eere-Ati. D'ailleurs. les considéra-
tions morates ne sont-elles pas également fortes
contre, une guerre de ce genre~Les'AfgSa~
n'ont-ils pas le droite de nous rester lorsque
nous voulons leur imposer une miss~n. quand
ils se rappeltent à quoi gênent fréquemment de
~ns. proS~ `
nurns en 98.36, produisit pour eux?
.e'de~S~ naüon ne pos-
sède le droit dc s'iso,ler et de refuser les comtuu·
mcations avec .ses voisins. L'objection est peut-
être raisonnable parmi les nations (Misées
m~s je maintiens qu'eUe ne doit pas~a.pp~qu~
entre des gouvernemens qiyUi~s d'un~ôM~et
des peuptcs'barbares de !'autro. '
Sans doute, Sheere-AM aggrave son on'onser'u'
la mamem.dont il a résister nos ouvStiu-e~~
plus sR~aIement par la menace de son Mi~.
A~sdachid de faire fusiller le majct.
Cavagnan s'il ne retOurnaitpoint surses m.
Je sms convaincu qu& si nous iui prom~t~
('abandonner i-idëa de lui imposer uàemisS
il iera toutes les excuses qu'on pouMaraSon~~
Mement exiger. Je soutiens que nous ~vo~ eu
tort les premiers dans la politique suivie enve~
i émir. et cela dans bien des cas que ie pou.
ra.s citer. En conséquence, nous ne devions
trop exigeans en fait d'excusé
J insiste sur ce pomt, que ce no sera pas un dés-
~q~n~ arranger avec lui,
,tandis que,. en lui imposant notre politique, nous
~me-des exposer
et rùêmé à des d~aastres.
Les dernières dépêches venues de l'Inde an~
noncent .ia concentration da trois corps dctr~
pes considérables l'un à Quettali. l'au~ à Th~
sur la rivière Kpurum, et Je troisième Mi~smv'.
& Mooltan et l'on appeue cela des « mesure~
précaution. » Je l'appelle, pour ma part des-mc
sumsoii-ensiv.es, La même impulsion qui n~~
valu les comnhçations et les troubles actuMs
Mus poussera certainement à des n~u~men~
plus décisifs encore, si le peuple d'AB~eterre~
les arrête pas promptement. » ~"N'en:rrem<
.7 ËTRANGEM
AKetMttj~ne.'
L~~o~M~~ démer t
&t~' ~rf ~~rnen~~
rait tmtent!OB, dans le cas où la toi sur )t
soemhstesne serait pas votée, de ëoumet."
au Parlement actuel un autre projet~~
4e droit commun. Le gouvernement estd'av:
que la démocratie sociaiiste ne peut et..
cpmbauue avec efucacite que par uneMsp<
cia!e, et c'est ce point de vue qui, dans to.
les cas, continuera de déterminer sona.cti~
Aa
On a reçu à Vienne, du quart!er senëral du
d armée qui est à Serajewo, u~d<"
poche du 4 octobre, ainsi conçue
ch~eX~S~
chef de la t~~ divisiou, annonce que la ir° brigatl;~
d'infauterie est entrée san~~]~, à
ce matm~ huit heures. Les insurcésMto~
.très bonne heure le camp etIes-Mtran~~
.S°~USS,KS'S~ La
brigade d'infanterie est entrée ce matin à Go-
ss.sr:'s~t~E~
deux bataillons à Coïnitza pour occuper cette
& n' ~~N~?sS°
,main. Il n'y a plus d'insurgés à Fotza. L'insut-
rgction est, par conséquent, réprimée dans touté
la Bôsnie, et le pays est au pouvoir ,des trouge~
autrichiennes. »
_B.Kfi~:p.
.On est tout à fait à paix à Saint-Pcte~
bourg, à ce ~s cette capitale A ?.
A~~M~e~ ,1 ~ë de Ber~n
~m fnrrcan~n~n~t oelitU
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