Presse et revues
4 pages
Titre : Le Figaro : journal littéraire : théâtre, critique, sciences, arts, moeurs, nouvelles, scandale, économie domestique, biographie, bibliographie, modes, etc., etc.
Éditeur : Jourdan fils (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1831-05-18
Contributeur : Alhoy, Maurice (1802-1856). Directeur de publication
Contributeur : Arago, Étienne (1802-1892). Directeur de publication
Contributeur : Lepoitevin de L'Égreville, Auguste (1791-1854). Directeur de publication
Contributeur : Bohain, Victor (1805-1856). Directeur de publication
Contributeur : Latouche, Henri de (1785-1851). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb344484501
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 13022 Nombre total de vues : 13022
Description : 18 mai 1831 18 mai 1831
Description : 1831/05/18 (Numéro 138). 1831/05/18 (Numéro 138).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k2669801
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
MERCREDI
18 MAI i83*
On s'abonne à Paria, au Bureau
du Joifrnal, Cmi Beiiobrb, A» «»
faubourg Montmartre) cher totis
les libraires, et chez tous les Di-
r«el*ur» et Directrices des' postés
fîi teeeVrttnt ïé $M de l'abW-
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'Les lettres iio» aftYaittihîes rie'së-
tontjjas reçues.
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FIGARO.
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PREFACE POST-FACE LE MARMOT, LE CODVERÎfEMEWTISME,
_•• •: STANCES BT NflTBS. • • ̃̃̃'•
M. le chevalier dé Fonviellie a beaucoup à se plaindre dès
journalix d'abord parce qu'il les accuse db répsndie1 dànsia
assé classe des lumières qui montrent au Ipeuplv }« «rie fri'pe»
rieetï^^tipcoti* de ï'affstocràtie; puis encore^ parce qu'ils
™'?D' pas loute la révérence désirable envers messieurs les
ministres. Mais la véritable cause dé lahainedeî^J: lect«va-
Uêr deFonvièlle, et il le dit et l'imprime et fait tout ce qu'il
peut pour le faire liçe., cHst que" les journaux rie veulent s'oci-
cuper ni de lui, ni de ses ouvrages. Aussi, >M] le che««aliér'dfe
Tonvielle les écrase-t-il de so» indignation et^de ses plaisan-
teries pleines d'athéisme et, de bonugoût. IMes appelle ici, t
vaches plus loin vaches écorchées', et atrfres aménités dé
ï«. inêraeforce. • ̃••• • • ̃
Nous. allons parler de M', de Fonvàeflèet de v*'« ?̃ ouvrai
&* ̃ '•
^'i1*^ Fr^Ca9e "^e son derbierouvriigevfirilitul4'à*Fr-àn-
ce sage et la France folle, AI> le chevalier aeiFohvjëllè'étâ^
blit plus clair que le jour quelles sont les véritai>1«i cWus'esdé
la révolution de juillet, ^ous: croyez -peat-élfé' que cé'sont
l'insolence de la légitimité, la stu'pWité.'dn droit divin; lri'ca-*
gâterie, i'opiniâtreté et rayeuglémenï-de Charleêx ? Erreur
cep'est pas cela du tout; ©evinez. Le progrès' des peuples de
l'Europe qui tour-a-vour secouent le pouvoir ateolû?' Point dû
tout. Vous .ne devineriez pas et pourtant' iqnand M. le ehcvà^
lier de Fonvielle vous l'aura dit, Vous" nepoiirrez plus en dou-
ter. Si le gouvernoment de Charles x estttouibé,- c'est parce;'
que Charles x etse& ministres n'avaient' fsai assw médité Une
fable de. cent 'cinquante vers ^intitulée le Marmot; fàblél
cpqippsce par. M. le chevalier dé FonviâUêile 5 oétobrè i8â4,
cflimme lai-miéme l'apprend>8«Xj sièdes" .^>vénir. Mv lé çbéva^
1er auoouce dans un avis au lectettr quïl: j-.fitô'ii Wtt&iières'
de lire son livf;ej> fbtkaiè^i'àaat1 iMSssë.'générêWlëtaéntvJ^
¥!• ANNÉE. N« i38,
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otif un mois. 6 fr
Pour trois moi».. ti h
PÔUR LES DÉpdRT.EMENS
;'< 1
"our un mpis. s 7 fcv
Pour trois mois..̃ il lr;
F
^oi*. «'La première,» dit te chevalier, « est de lire en' même
« teins les stances et les noies la deuxième est de lire d'a'-
« bWd les" stances et ensuite tes notes la troisième, c'est de
« commencer par les noies et de finir par tes lances.. >»
Comme tout ceci pourrait faire croire au, quelques leotéùW
que rôùvVage de M. le chevalier deFonvièile n'a ni qt»eue Hi
têtu, ni fin ui commencement, et leur feii«inventeruhequa-
tnème manière qui serait de ne rien Vite ;d«k:toHt,; et comnlfe
notA Jéi liions nous nifllre clans lçs bonnes; grâces difdit Coca-
valier, nous. avertissons les lecteurs; qu'iCy.ovdèks.A'oovràgfe
dii chevalier des choses fort curieuses. '••̃̃>
Nous Talions prouver tout-àVl'heure,. •.̃:
Avant tout remarquez qi^e dans la pote 12, l'auteur a verlft
ses lecteurs. présumés qu'ils doiveiiVlireief vers ai/ec Un'lon
'rf"'V"e et sourire de malignité comme il'les «
composés. ̃ > • s
Dans la deuxième note, l'auteui- prouve que'liouisxvin'au-
fàtf point été mis a mort., si Mlprs on eût' connu l.r tragédie
qu'il a depuis faite sur ce sujet, ;tragédied6nt;;iL;restew>i^i
ïiéuf exemplaires, que l'auteur offres, bon Compte, ainsi
que deux gros volumes d'oeuvres dramatiques "dont iL rcsife
encore trenie-sept epempla irës. ̃ '̃'̃. •
Certes, il est bien malheureux quts Je- tafen% pôétîquiB de
M. de Fonvielle se soit réyélé.si.tard ;> car si alors comme' H
l*àifèrme, on entpulire sa fable d.u>Afàrroa/jvno«s n'éussibaï
eu ni révolution ni çppsjlliit 'hilgloire, milltafrel' Il'eèt^ai
que nous n'eussions pas eu. non 'plusses bienfaits 'de deux où
trois restaurations qui ontjrépandù;dàns ledésert'ûbe inannë
céleste et bienfaisante. •1 • • ̃ >•̃̃̃ ̃ £
Outre i'épithète de yaçhes enragées, • dfàt Boiis a'Vbnsiaëj*
parlé; "M. de Fonvielle a encore créé un tnot; Vêsèle "mol de
godyérnëmemiste. n Ce mot, dit-îl, je "l'ai crèé«le ï#'Krù-'
« maire. » Eh bien! il paraîtrait que des plagiaires ont voulu*
s'en emparer ;ro.ais le çheyaKerteppeileJ dit-on ';L 'douze fois
dans sën dernier ouvrage, quM est le pè#è -de ce mot, que
c'est sa propriété, son bfenj. sa chose} éiWâënrê'e. %£
M. de Fonvielle est, gouvernementale. Rémârqii«^J^^
qù«"si nous neus servçjn.Sjdèj-eimot^is^t 9
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