Titre : L'Indépendant des Basses-Pyrénées : paraissant les lundi, mercredi et vendredi ["puis" paraissant tous les jours excepté le dimanche "puis" journal républicain quotidien "puis" le mieux informé des journaux de la région]
Éditeur : [s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1944-03-17
Contributeur : Garet, Émile (1829-1912). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34416250c
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 17 mars 1944 17 mars 1944
Description : 1944/03/17 (A77,N55179). 1944/03/17 (A77,N55179).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
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Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k11489693
Source : Bibliothèque patrimoniale de Pau, Ee 3218
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 28/02/2021
Tj, ANNEE • N° 55 .17# WkUM f AlMSANUEUB VENDREDI 17 MARS 1941
L’INDEPENDANT
DES PYRÉNÉES
^ LE MIEUX INFORMÉ DE LA RÉGION >fl^
REDACTION - ADMINISTRATION à PAU, P»tali de* Pyrénée* - Telépho»e et I» iuH«
EMILE CARET, Fondât'
UN FRANC
Une opération de la Milice
et de la polioe à Lyon
fait découvrir l’Etat-Major
du terrorisme en zone sud
' Lyon, hi mars. — Les forces du
rr.au», sta uc i u.dre uuiuu.es Dur
.u iViii-ce ci sous lu haute d-rec*
lion uw ivâ. c/uatoauc, muuiuant
u> qjuce, licuucut ae reu&su' une
cpciu-’-oii aecupuunt 1 tlawnuiur
QU terrorisme en zone sud
L.\ FKUV IDENTIEL
ucuut.\ f D'ALTO
Lyon eluii c-ns déte comn'c lu
eu u-Une Uu leiiuiiSutc. L,U vattuC
îoaue mouiait... uu jour ae îe-
vretr. uu muiCicn uvun uns oiuce
aans uu tramway sur lequel vint
se J?U.T aue automodie. un de
scs occupant semDlau par.içuue-
lement inquiet ae cet accûjent
haului releve. Cétait laaioree de la
piste Au sans?, les Miliciens lu-
rent accueillis a COUDS de rnurau-
let es. ils ripostèrent et abattirent
leur agresseur. un Hongrois
Dix carabes tarent v.sités 10
tonnes d armes saisies. Puis c? fu-
rent lis engagées de Vencja et
d'Ecully dans la banlieue où. «ous
le ccmmar.dement de M Darnand
en D rsonne. force resta a »a lo-.
Ut 6 UUUCd UC ôsCAit.
04..1.U, u>-ifut», DO 000 Dti-son-
neo cui-wii, m.ciiu»a_* uo
s^oOce^s «.usaient — vies t.iau-
sc^S l>wUi ia Plupart — ^Jibcuio
U ttiiuui cl u txpiuüuii, CuUwu ai*
DES DOCUMENTS
ACtAUU.MS
Duionua.j ut »«»»»*ce et la Po. ce
tenaient a.» tus ue i oig«m»aa-.ou,
uaua.ie aiia.r. pieUOTe UU aeve-
iopoem-'m pioa-gieux a Par.s.
uaits a autres vn.es et à Lyon ae
u. ..veau
uiic ue ces dernières nuns, un*
fenétr» eciairee indiquait le s evt
du quartier générai au t'rror siue
zone tua L assaut lui donne
v.t ks dossiers. Us Diar>s de com-
bat. la comptabilité. le touiru-r
suis s Quelques heures plus latd.
ies terroristes revenaient, essayant,
de rupwnowi jeurs aocumeuts en
tentant a assassiner its gardes Un
engagement «ut lieu, nva s iwr mi-
racle aucun garde ne lut blesse
Le le nui main, les ai chu es
éta.ent en heur sur. Elles sont
de cno x ; des lettres pour Many
a A.ger. pour Negrin a Londres,
des reçus attestant au’en un ni is
173 mihlons ont été veiwes pour
tuer Us armes étaient celles qui
avaient aopartenu à la 95e brigade
rouge internationale pendan* AU
guerre civil espagnole
Ainsi les nrojets d'assassinat et
de révolution sont connus Des
hnmmcs sont désormais démas-
qués. le c mnlun^mç étouffé.
L’action de la Po.icq et de la
Milice va permettre à la France
de respirer.
NOMBREUSES ARRESTATIONS
DANS LE DIJONNAIS
Dijon. 16 mare. — Ces Jours der-
niers, dims la région de Dijon, les
lore en police ont opère de très
nombre; •< s H-restât ions de oom-
muno-terrorisites, auteurs de mour#
Ufc* et da.U'.n ts. «t OX UM un
important mater el.
SIX TERRORISTES
QUI UTILISAIENT
DES BALLES « DUM-DUM »
SONT FUSILLES
Lyon. 16 mars — A la suite
d'attenta‘.s dans la rég.on de Nvc
a permis d'arrêter des francs-ti-
reurs partisans porteurs de nom-
breuses armes et. en particulier
d<- balles Lebei transformées er.
balles « dum-dum »
Six de ces bandits pour la plu-
part des juifs étrangers évadés d* 1
camDS de concentration, ont été
condamnes a m.rt et passés uai
les armes
3 faux policiers allemands
exécutés
Par s. 16 Mars. — Tr- is Fian-
çais. oui se disaient membres de
la police allemande et avaient Per-
pétré une série d’attentats et de
camlyiclases en faisant usage
d'armes a feu. ont été condamnés
à mort par un tribunal de guerre
allemand, et exteutés.
EN AFRIQUE
DU NORD
L'AFFAIRE PUCHEU
Alger. 16 mars. — Le tribunal
militaire se prononcera den a»n
sur le pourvoi en cas-a ton de M.
Pucheu.
L'EXODE DES CAPITAUX
Tanger, 16 mars. — Devant la
menace communiste, on assiste a
un exode massif des capitaux vers
Tanger, Lisbonne ou l’Amerique;
certains capitalistes essaient me-
me -de placer leurs disponibilités
en France.
fl REYKYAV1CK. — le par-
lement islandais a décidé la sepa-
ration de l'Islande du Danemark
et ’’instauration cTune république
autonome.
fl WASHINGTON. — Le major
Herschey. directeurw du service
mobilisateur a donne l’ordre
d’appeler de nouveaux hommes
scufi les drapîaux.
fl NEW YORK — La produc-
tion des ustnes Ford de moteurs
d'avions a été réduite de 75 'o a
la su te d'une grève déclenchée la
nuit dernière.
EN ITALIE
On se bat dans Cassino
Les « alliés » sont passés a
l’assaut dans le secteur de Cassi-
no après un violent bombardement
aérien et terrestre. Les comoats
font rage dans la ville.
LA RECONNAISSANCE
DU GOUVERNEMENT
BADOGLIO PAR L’U. K. S. S.
Wash neton. 16 mars. — La re-
connaissance du gouvernement
Badogllo par Moscou a orovoauè
un^ vive surpris*’ à Londres c na-
me à Washington, cette, décision
touchant l’Italie considérée com-
me sDhère d’influence anglo-amé-
rica ne. avant été prise sans oue
l'Angleterre pt les Eta!s-Unis
arint été consultés MM. Roose-
velt et Cordell Hull ont conféré à
ce sujet à la Mais.n Blanche
LA GUERRE AERIENNE
Les « alliés » ont effectué un
nouveau et violent bombarde-
ment nocturne dont Stuttgart en
a été l*ob)ectif principal
L'aviation allemande a, de son
côté, renouvelé ses attaques con-
tre le district de Londm.
Des avions « alliés » ont survolé
les Balkans : Sofia aurait été vio-
lemment attaquée au cours de
cette incursion.
L« bilan du bombardement, de
Florence, le 11 mars, s’élève à 94
morts et 317 blessés.
4 RAIDS « ALLIES »
SUR TOULON :
574 morts
Toulcu, 16 mars. — Voici le bi-
lan des raids d rgés contre Tou-
lon :
Le 24 novembre : 450 morts.
30Q maisons démolies.
Le 4 février ; 52 morts. 100 mai-
sons démolies.
Le 7 mars : Attaque en piqué,
pas dp victimes et peu d«î dégâts.
Le 11 mars : 72,mort.s. 150 mai-
sons démî tes. 200 Inhabitables £*
2.500 sinistrés.
Au cours de cette dernière at-
taque. 1 200 bombe* ont été dis-
persées sur une étendue do piu-
s eurs kilomètres.
Apres avoir a.rs*s'.é aux obsè-
ques de* victimes du dernier bom-
bardement. M. Bussieres, protêt
régional, représentant 1- gouver-
nement a v'sité les quart’ers P
plus éprouvés et ?- constaté 'es
effroyables dommages cawes nar
l’agression anglo-américane.
M. PHILIPPE HENRIOT
dénonce le vaste complot
communiste camouflé
en action patriotique
Vichy. 16 mars. — Dans son
éditonal d’hier, M. Ph. Hennoi
met en évidence lafloxement qui
c’empure de U resistance mainte-
nant qu'u esr prouve que « tout
it prétendu mouvement patrioti-
que n'est en réalité qu’une effroya-
b.e entreprise montée par Mos-
cou ».
4 O’j aurait voulu fane cio:rc
que les operations entreposes pai
le C juierneinent et les lorccs du
Maint en de l'Ordre étaient diri-
ge* j eu..ic k; patriotes. Le truc
est maintenant évente. *'hvpocri-
sie démasquée »
E' le See»t-ta're d'Etat de citer
d‘s témoignages de Français par-
tis par patrutisme dans cette
avin.ure et qui lui écrivent leur
déconvenue.^
Il donne lecture d’un document
terrorist,* indiquant comment en-
cadrer les jeunes abuses et auisi
conçu : „
« Sachons nous imposer à eux
en militaires Que les responsables
sachent commander en soldats
conscients. Ne permettons
qu’un gars Siit chez nous deux
mo-s connaisse cer-auies choses de
l’crgan’sation et nous quitte en
prétextant d’avoir du travail A
ceia je propose que tout bomme
recrute en dehors du parti, soit
mus obligat-iremenr en demeure
de tuer un eiemciit qui lui sela
indique et ce .a dans la *rma-m
ae son adhesion. »
M. Hennot luinonce ensuit* la
découverte a Lvon de l'eLai-maioi
terroriste et de ses arqnivcs.
« Nous savons. dit-U aux terro-
ristes. oui vous avez tue. qui voua
voulez tuer Nous avons vos listes.
Noos savons ht nombre de m.liions
que vous a envoyés Londrex par
parachute et les dates de para-
chutage Nous savon* combien voua
avez de pense pour voire couvre dt
mort : 173 mtllicns en un mois.
Nous savonq le nom d„* vos etnu-
phees. des lâches qui louaient sur
les deux tableaux. Nous avons a
Lvon. d Vichy, a Paris et dans
d autres villes, démasqué vos plai s
et vos hommes
« La Fiance va respirer et vous
p urrez vous en donner a cunu
jo:e de démentir et de nier, CM
je tiendrai ma promesse, c est a
COUD de vérité et de franchise aut
J'ouvTirai les veux a ceux qui hési-
tent encore, et a ceux a oui vous
imposiez votre loj sans qu'ils sa-
chent qui était leur maître et air.
aujourd'hui, arretés et mis en pié-
s-’nce des preuves oui montrent
ou ils n'ont travaillé que pour le
communisme, demeurent hébété»
de stupeur. »
EN MARGE DE LA GUERRE
LES NEGOCIATIONS
RUSSO-FINLANDAISES
SE POURSUIVENT
Hels nki, 16 mars. — La Diète
fiiil indake s’est montrée disposée
a la poursuite de» entretien» avec
ISoviets par 200 voix contre ‘U
CONFIANCE A BERLIN
Berlin. 16 mars. — Le* muieux
coirpéients de la Wilhemstrassc
continuent à man*fester une gran-
de AEït’rve à "Tcgurd dos événe-
ments d:> Fmlande. On est con-
vaincu a !a Wilhemstrasse o.ue le
peuple finlandais est opposé u
toute action qui pourrait porter
atteint*» à son honneur et qu’il
rTacoepTerâ jamais les conditions
posées par les Soviets.
■ BUDAPEST. _ La Hongrie
a célébré hier sa fête nationale.
De nombreuses manifestations
patriotiques se sont déroulées
dans fout le pays.
fl LONDRES. — L’ex-roi Pier-
re de Yougoslavie a rendu visite
à George VI au palais de Buckin-
gham.
LA ROUMANIE NE CHERCHE PAS
CONCLURE UNE PAIX SEPAREE
Bucarest, 16 mars. — On de.
ment un* nouvelle de source bri-
tannique selon laquelle le prince
Klirbey u- serait rendu à • étran-
ger en vue de faire des sondages
de pai» au nom de la Roumanie.
M
Berlin. 16 mars. — Répétant le»
informations mensongères de la
presse anglo-saxonne concOmar.t
une défection éventuelle des ntu-
plcs du sud-est alliés de l’Allema-
gne, les milieux politiques de Ber-
lin qualifient cette manoeuvre de
stupide bavardage et réaffirment
leur confiance à l'égard de leurs
allié*.
L’isolement de l’Etre
Londres, 16 mars. — De nouvel-
les mesures sont envisagées pour
®o’»0t l’Elre; u eat probiable que
toutes les communications teiè-
jxnoniques seront intt-rnwwvnic-a.
non seulement çntre lu Oranaç-
Bretigne et l'Elre mais aussi en-
tre I'E.T* e» l’Irlm-le du Nord.
La censure pcs’ale entre TE:re
et l’Irlande u Nord aera vraisem-
blablement inatiutèe.
Le communiqué allemand
B-rîjn, 16 m»rs — Lf Q.Q.G. »J
Fubr r communique t
Dans le sud du A ont de l'Est, d'as-
sez ;mporianus fore s tnntmitg ont
vain tm m tenté &e p. reer en plusieurs
' ci
d-- décrochage.
8jr l'Ingoul ts, sur le cours moyen
lu Boug d'Ukra.n»-. au sud-ouest d>
Po»i« o.chiche et à l'est de Tarnopol.
■c dtrouluu de dut s combats, tour à
-our of qu Is nos troup s n'ont cessé d'dfrr-
i»f C s contre-attaques couronnée» de
succès.
Au norslou'St de Nevrl, drs ails
qu I sovièiiqui* qui ont » nouveau
échoué en cm rainant poiff I ®memi des
o-uts fl-vSts, ont diminué de violent*.
Bit La tète de pont de Neituno. l’en-
nemi a. après une forte préparation
d'attillerle, effectué plusieurs attaques,
appuyée» de chars.
■les ou échoué avec de grande» per-
t* s: de nombreux prisonniers ont été
*ait«.
D.s formations de bombardiers amé-
ricains ont de nouveau effectué uni at-
taque de terreur contre la ville de Ro-
ute, causant de graves dégAts dans plu-
sieurs quai tiers de la rJle et des p. r-
u« dans la population.
Au cours de la nuit dernière, d<«
escadres d'avions de combat all<-mands
ont efficacement attaqué Us installa-
tions portuaires d • N apt s ainn- que
••es ns vite* ennemis qui *t wuj..’.nnt
au large de la ville.
Quelqu-s avions hriiamques, en mis-
sion » banséiement. ont Jeté, V nuit
dfrnièr». des bombes sur de» lo-alités
de l'Ailrmagne occidentale.
Dana la nuit du 14 au IA mars, de
puissant-s foi mations dé notre avia-
tion ont de nouveau attaqué Ltoadren-
Des bombes exploestveé et incendiaires
Jetées en masse ont causé des dégâts
étendus et de nombreux grands incen-
dies dans U région urtAfhe.
La mise
en ordre
des salaires
Paris. 16 mars. — Commentant
la puiiliMue gouvemt.mt.tuai*; en
uidtaiie u» salaires, *t* cuuunis-
sjaue géneial au ira vau, M Lna-s-
se-giie. a ifiuuiufc ccumueni avaient
ete reievees les allocations lami-
na.es et linaunuuie de fca.au e
un que et couina ni le pays avait
ete divise en zones de salaire».
Pe.il a petit.. les salaires sont ré-
ajustés : apres ceux de l md^sine
textile et chimique, les baia.ns
des empiovés de oanque pur çcht-
ion dévgc seixjnt mis en ordre a
compter du 1er Avril et des in-
demnités com p * nsa trices seront
versees pour la penode du 11 lan-
v.er au 31 mars Des mesures ana-
logue^ concernant le bâtiment ei
certains services publics sont en
txurs d exanren.
••
Voici la fixation dis salaires, la
dtlimitation des zones oes Basses-
Pvrenecs est Hxee comme suit :
Quatrième zon*. : communes de
Bu.ère. B,zan<-s. Gelas Jurançon;
Pau : cinquième zone : commune*
d’Arudv. Bidos. Bordes Çoarrazn.
Izeste. Mauleon. Mire^eix. Nav
Oloron Samtc-Marie. Poatacu!
Uzos. Viodos : sixième z ne ; au-
tres communes.
B ST-ETTENNE. — Le généra)
Blasseiié. représentant pereoane!
dir chef de l'Etat, *»t venu appor-
ter aux blessés du bombardement
de la banlieue stétihanoiec »a
preuve d»» la sollicitude affectueu-
se du Maréchal.
LA RÉDUCTION
de la consommation
électrique
SANCTIONS ET DEROGATIONS
Paris. 16 irai* — lui ia~Son ue
l'aggravauon de la situât-on co-
la repartition de l electric ne, tou-
te fraude sera poursuivie avec li-
gueur. .
Dans la Seine, le courant a ete
coupé saas delà, a 57 flMriM
fautives, sans prejudice d'auires
sanctions : tioi* chef» d’entrepri-
ses oni été ui’-eme* administra i-
vement.
On precise d autre part que k*s
seules déiogatior.» admises a l'in
lerdlctfon de la consomirat on du
courant pendan; plusieurs Jours
par semaine in'-erestent ks hop -
taux, pharmacies, services publics,
eau. gaz. électricité^ P.T.T., trans-
porta services d-« déchargement
dés wagons, magasins d’alimenta-
tion. laiteries, frigorifiques, afcat-
toüs. minoteries, fabiiques de le-
vur*. hôtels, imprimeries de Jour-
naux quotidiens.
Lés restaui-aat» »ullcs de ipec-
tacles. cinémas, • font l'objc; de
mesures spec-alos.
Lrs pertes de s.iia'res. résultant
de» restriction» d* U consomma-
tion électrique dan» le» usines,
devront être Indemnisées d* la
même manière que celle» conse-
cutive» à l'état de guerre
LES RECHERCHES
entreprises pour retrouver
l’ogre de la rue Lesueur
se poursuivent
DE NOUVEAUX DEBRIS HUMAINS
DECOUVERTS DANS UN PLACARD
Paris, l» mars. Ds *rehirch«»
aet:v*m'ni rontluitrv pour découvre 1»
rata it du doctruT Pit:ot-*Tom donnr
tncore aurjn rétut’at. C p-ndam. le
».gnal< m.-m du miserabtr a été donn>
partout rt l’on >-sp*!r que son ai r,*-
ration n ut plus qu*,n- q-.stTon d hru-
r s. liaqué d? tout* part, tentrra-t :1
C • fu:r vrrn»:s ?
L INTLRROC.ATOlRt. DU LA FLVIMâ
I.T Dt IHERi; DT DEP ECU R
Mm.- Mar cri P* t;o; n son b-a .i-frérr
Majr.n- Prtiot ont né conduis hin
aprés-rn.d: » Pans, a j bureau du corn-
Busva:t“ Mass u. où il* ont paste 1»
nuit. Ce mat;n. le commissaire a re-
pris de bonne heure sot» inquéte et
son interrogatoire.
Tous deux se cantonnant dam des
protestation d ignorance dans Its agts-
si m n’s du praticien en fuite.
» C"i»l a sou», polire, de prouver
re que sous nous reprorkrs ,, déclara
Mm' P t.ot. Elle a eu depuis »*on ar-
C' .‘tav on pi us' < urs cr ises nervi uses;
une d* ces crises » éié paitlautlèrr-
men’ vioitn'e. A !• fin de la Journée,
son *tat apparut ass*r sérieux pour
•notivrr son transport a l'Hdtel Dieu.
LA rown.iriTt: Dt »KKRE
HKRAIT fc T VILIE
Au eours de l'mouéte m née â A i
x ir , la été vésdé que Ma .: t
tlot, freie du dep»eeur. s était tundu
le ]» février d m:,r A Wissy"ù 11 a pris Jnm.son d> 400 kilos de
chaux *t qu'à l’aide d un camion IS 1 »•
va't tr.in»poné dans l'hâtel de la rue
L * urur I. * sacs irVaAent été déposés
par In i l » t- ehi ..’f un d rrtèn
la parie d'.ntiée.
LE ROLE DF LA FF MME
Voici qui strait le rSle C" la fimm™
du dépect ur et son emploi du temps
• n c s derniers jours. Il y n deux an».
P’tiot acheta l'hétel de la ru- Le-
su. ur sans prévenir sa femme. Il n-
'.a prévint qu'un» fo.s le fait accompli.
L'h6:»l lui sembla trop triste ci trop
important et d<’claia n» pas vouloir v
r tourner. « Mon mari n - ■’entretenait
jamais de s s affaires, se contentant
de dire qu'il avait un» nombruse et
riche clUntMe. Mme Petiot déclare ne
rien savoir de ce qui se passa samedi
• •t dimanche. Samedi dernier, a-t-dlc
dit, mon man est «entré pour (finer
vers 18 h. 10. A 19 h . alors qu'il était
A table, 11 fut appelé au téléphone et
)e l'entendis répondre : « Pol ce. Bon.
j'y vais !... » Je l'ai attendu toute la
nuit et le matin J'étais désemparée
C'est a'ors/que Je pr s la décision d'al-
1* r ' mbrass r mon fis à Auxerre, avant
d'étr* arrêtée cat J appréhendais quel-
que chose d» mystérieux.
LE FILS Dt: DOCTF.IE
L» fil* du doeteur Petiot. Gérard,
âqé de 16 ans, est un brillant élève
du Lycée d'Auxerre. Tou* ses cond's-
e-pbs lut eonsirvent leurs sympathie.
Il doit passer son baccaluréat celte
annAe.
L'ENQt'ETE *F FOI ESI IT
BUE LFM'El R
Dans l'hétel de 1a tue Lesueur, 1»
polie- poursuit activement se* recher-
che» qui tendent actuellement à préeJ-
s r de quelle façon tes victimes pas-
saient de vie à trépas
L'inspecteur principal de l'Identité
Judiciaire s’efforce aujourd’hui de voir
■1 un masque à gaz, trouvé sur place,
ne s-rvait pas au monstre poui sur-
veiller l'asphyxie de ara victimes ou
nu moment de leur «peçaeo.
DEUX f Ml. HISSANTE»
DU-Ot VERTES
Ds déclarations faites hier » »
pr.su- par ie camrt.*.,ire Massu, deux
fa.:* importants *.• dégagmi
D une part, lu o»coiveTte fa.te hui
dans un placard à I h6trJ d» !i r jr
Usu- ur^* n-nir* deor s lumanv II
s agit C.- partie* s-xudlles préiesets
sur trois corps d’horune ei sur an
corps de femme.
D'autre part, au eot.t* d» la p rqui-
sit'.on ru» Cu.imaTi.n. un» roue qui
aadap-q A un» r'-morqt.» trouvée rue
L'su-ur a ete saisi», uppor.am irs
prevr (S qu» 1» doc; ur P,not s était
Servi de c»tte rtmorq-je
INE DECLARATION
DB DOCTI.t R LOCARD
Dans une mt rv! w. le docteur J.o-
tard, .-min- nt cr:n naltste. dincteur
Ju I.
Lyon, n a pu que confirmer les bru"a
qu; court n; sui !t- <*oct-ur Pe-.iot. déni
- a.-.énauon nu ntal> n» saurai; faire
d<‘ doute L» docteur Loeard a donn» d «
nombr x r, n> '.e.i ri nu tnteres jnta
sur 1» s affaire* ^sanies de a»iv-
e-ur* J! clas* J. Coevjr P tlot d .n*
la categor, tt » d';)-e-uii offen* rs.
O'Stud.re ceux qU déper tu pm p.iw.
*r. La situât on d-s « xperts dans W
cas Petit est mfni.m«m preferabRr à
r il» d s <■*(>■ r.» c■ l'affaire du tu-ur
d- OaJth u, c»r dans ce d»nvri raa,
le» oral tel-n* » trorvèr-nt »n pié*,ne,
d» d»brt* inf.n m-ni qu iconqa * et Ion
peut b.-n dire, aujourd'hui, çi» li* c*.
s m n-s trouvé* » '.'époque «at-nT dis
«»* o» chii ns et de rats.
Dans le cas Prtiot. run d- tou', c l*.
C est en prévne» d'une foule d'osse-
mini* humains don; o-aucoup on: été
identifié». L.s r-rh rch, v de e» c6te-.a
» ront simplifiée*
l'NI CLIENT» qtl N KKT PAS
AI COrBANT Dè L'APFAIBE
H:* r. un fat; »*>. vi-tiu in'erromprr
la monotonie d- l'attente d-s in«p c-
turs qui mon', t» garde disant Ja
tn ;*on du docte-r. Une femme, tn-
votée par un» d s « amies, venait
consult-r le A»-; - ur Rapid»mi ni m se
AU courant, elle . repattie horrifiée.
D autre part, dans l'appaririQi nt
inoccupé. le téü phon» sonne sans ai -
vét ; de* cli-n.s qu; *ans doute »'U-
lent demand-r un r r.dez-s ous au icon
eé.l ,-bre pr atlcun
LE JMKTEIB FITIOT SOIGNAIT
SA PI m.iriTE
L- docteur Pctlo: soignait aa publi-
cité. Il faisa t abondamment a-.stri-
hu-r, noiamm>-nt d»ns les cabareta,
M«ux d» t»!ai*it«, ainsi qu'à !» sonie
ill’s grands magasins, dis pro*pictu*
vantant sa sep ne» medicale et II énu-
’n< r’ divers-* m- .hod * susee.ptiblf s ftc
ftéiir ',«•* afl e’tons lM s» targue a lire fauteur d ouvragis
or ginaux *ur 1»* maladie* n*rveuset
et leur trait *• i«:-t. apéeialemint dan»
1'* affections s ei!*-« pértod.qu,-* »4
I » cure» de d’r.t 'ox,canon
n.in» la diuslèo» parti.- du pro*prf-
tm I» docteur Petiot vante U modi-
Cl * de ae» »»'* ’
LE MNIMTBK PB ATICIEN ETAIT
UN HABITUE DE L'HOTEL DBOI OT
Le docteur Petiot était blm connu
à la aa!1c Drouo* où U se rendait «*sr»
souvent rt où tl achetait * s neuvre*
d'art faisant preuvr dan gpùt qu»
l'on disait éclairé. Or. ce» orurres re-
trouvées tue Lesumf. étalent entassér»
sans ordre et recouverte* de pouts èr».
Le praticien s'-et mémo signalé par
un petit larcin dans une des satles d»
rente, mais l'aflaue n eut pu fi» *sU*«.
L’INDEPENDANT
DES PYRÉNÉES
^ LE MIEUX INFORMÉ DE LA RÉGION >fl^
REDACTION - ADMINISTRATION à PAU, P»tali de* Pyrénée* - Telépho»e et I» iuH«
EMILE CARET, Fondât'
UN FRANC
Une opération de la Milice
et de la polioe à Lyon
fait découvrir l’Etat-Major
du terrorisme en zone sud
' Lyon, hi mars. — Les forces du
rr.au», sta uc i u.dre uuiuu.es Dur
.u iViii-ce ci sous lu haute d-rec*
lion uw ivâ. c/uatoauc, muuiuant
u> qjuce, licuucut ae reu&su' une
cpciu-’-oii aecupuunt 1 tlawnuiur
QU terrorisme en zone sud
L.\ FKUV IDENTIEL
ucuut.\ f D'ALTO
Lyon eluii c-ns déte comn'c lu
eu u-Une Uu leiiuiiSutc. L,U vattuC
îoaue mouiait... uu jour ae îe-
vretr. uu muiCicn uvun uns oiuce
aans uu tramway sur lequel vint
se J?U.T aue automodie. un de
scs occupant semDlau par.içuue-
lement inquiet ae cet accûjent
hau
piste Au sans?, les Miliciens lu-
rent accueillis a COUDS de rnurau-
let es. ils ripostèrent et abattirent
leur agresseur. un Hongrois
Dix carabes tarent v.sités 10
tonnes d armes saisies. Puis c? fu-
rent lis engagées de Vencja et
d'Ecully dans la banlieue où. «ous
le ccmmar.dement de M Darnand
en D rsonne. force resta a »a lo-.
Ut 6 UUUCd UC ôsCAit.
04..1.U, u>-ifut», DO 000 Dti-son-
neo cui-wii, m.ciiu»a_* uo
s^oOce^s «.usaient — vies t.iau-
sc^S l>wUi ia Plupart — ^Jibcuio
U ttiiuui cl u txpiuüuii, CuUwu ai*
DES DOCUMENTS
ACtAUU.MS
Duionua.j ut »«»»»*ce et la Po. ce
tenaient a.» tus ue i oig«m»aa-.ou,
uaua.ie aiia.r. pieUOTe UU aeve-
iopoem-'m pioa-gieux a Par.s.
uaits a autres vn.es et à Lyon ae
u. ..veau
uiic ue ces dernières nuns, un*
fenétr» eciairee indiquait le s evt
du quartier générai au t'rror siue
zone tua L assaut lui donne
v.t ks dossiers. Us Diar>s de com-
bat. la comptabilité. le touiru-r
suis s Quelques heures plus latd.
ies terroristes revenaient, essayant,
de rupwnowi jeurs aocumeuts en
tentant a assassiner its gardes Un
engagement «ut lieu, nva s iwr mi-
racle aucun garde ne lut blesse
Le le nui main, les ai chu es
éta.ent en heur sur. Elles sont
de cno x ; des lettres pour Many
a A.ger. pour Negrin a Londres,
des reçus attestant au’en un ni is
173 mihlons ont été veiwes pour
tuer Us armes étaient celles qui
avaient aopartenu à la 95e brigade
rouge internationale pendan* AU
guerre civil espagnole
Ainsi les nrojets d'assassinat et
de révolution sont connus Des
hnmmcs sont désormais démas-
qués. le c mnlun^mç étouffé.
L’action de la Po.icq et de la
Milice va permettre à la France
de respirer.
NOMBREUSES ARRESTATIONS
DANS LE DIJONNAIS
Dijon. 16 mare. — Ces Jours der-
niers, dims la région de Dijon, les
lore en police ont opère de très
nombre; •< s H-restât ions de oom-
muno-terrorisites, auteurs de mour#
Ufc* et da.U'.n ts. «t OX UM un
important mater el.
SIX TERRORISTES
QUI UTILISAIENT
DES BALLES « DUM-DUM »
SONT FUSILLES
Lyon. 16 mars — A la suite
d'attenta‘.s dans la rég.on de Nvc
reurs partisans porteurs de nom-
breuses armes et. en particulier
d<- balles Lebei transformées er.
balles « dum-dum »
Six de ces bandits pour la plu-
part des juifs étrangers évadés d* 1
camDS de concentration, ont été
condamnes a m.rt et passés uai
les armes
3 faux policiers allemands
exécutés
Par s. 16 Mars. — Tr- is Fian-
çais. oui se disaient membres de
la police allemande et avaient Per-
pétré une série d’attentats et de
camlyiclases en faisant usage
d'armes a feu. ont été condamnés
à mort par un tribunal de guerre
allemand, et exteutés.
EN AFRIQUE
DU NORD
L'AFFAIRE PUCHEU
Alger. 16 mars. — Le tribunal
militaire se prononcera den a»n
sur le pourvoi en cas-a ton de M.
Pucheu.
L'EXODE DES CAPITAUX
Tanger, 16 mars. — Devant la
menace communiste, on assiste a
un exode massif des capitaux vers
Tanger, Lisbonne ou l’Amerique;
certains capitalistes essaient me-
me -de placer leurs disponibilités
en France.
fl REYKYAV1CK. — le par-
lement islandais a décidé la sepa-
ration de l'Islande du Danemark
et ’’instauration cTune république
autonome.
fl WASHINGTON. — Le major
Herschey. directeurw du service
mobilisateur a donne l’ordre
d’appeler de nouveaux hommes
scufi les drapîaux.
fl NEW YORK — La produc-
tion des ustnes Ford de moteurs
d'avions a été réduite de 75 'o a
la su te d'une grève déclenchée la
nuit dernière.
EN ITALIE
On se bat dans Cassino
Les « alliés » sont passés a
l’assaut dans le secteur de Cassi-
no après un violent bombardement
aérien et terrestre. Les comoats
font rage dans la ville.
LA RECONNAISSANCE
DU GOUVERNEMENT
BADOGLIO PAR L’U. K. S. S.
Wash neton. 16 mars. — La re-
connaissance du gouvernement
Badogllo par Moscou a orovoauè
un^ vive surpris*’ à Londres c na-
me à Washington, cette, décision
touchant l’Italie considérée com-
me sDhère d’influence anglo-amé-
rica ne. avant été prise sans oue
l'Angleterre pt les Eta!s-Unis
arint été consultés MM. Roose-
velt et Cordell Hull ont conféré à
ce sujet à la Mais.n Blanche
LA GUERRE AERIENNE
Les « alliés » ont effectué un
nouveau et violent bombarde-
ment nocturne dont Stuttgart en
a été l*ob)ectif principal
L'aviation allemande a, de son
côté, renouvelé ses attaques con-
tre le district de Londm.
Des avions « alliés » ont survolé
les Balkans : Sofia aurait été vio-
lemment attaquée au cours de
cette incursion.
L« bilan du bombardement, de
Florence, le 11 mars, s’élève à 94
morts et 317 blessés.
4 RAIDS « ALLIES »
SUR TOULON :
574 morts
Toulcu, 16 mars. — Voici le bi-
lan des raids d rgés contre Tou-
lon :
Le 24 novembre : 450 morts.
30Q maisons démolies.
Le 4 février ; 52 morts. 100 mai-
sons démolies.
Le 7 mars : Attaque en piqué,
pas dp victimes et peu d«î dégâts.
Le 11 mars : 72,mort.s. 150 mai-
sons démî tes. 200 Inhabitables £*
2.500 sinistrés.
Au cours de cette dernière at-
taque. 1 200 bombe* ont été dis-
persées sur une étendue do piu-
s eurs kilomètres.
Apres avoir a.rs*s'.é aux obsè-
ques de* victimes du dernier bom-
bardement. M. Bussieres, protêt
régional, représentant 1- gouver-
nement a v'sité les quart’ers P
plus éprouvés et ?- constaté 'es
effroyables dommages cawes nar
l’agression anglo-américane.
M. PHILIPPE HENRIOT
dénonce le vaste complot
communiste camouflé
en action patriotique
Vichy. 16 mars. — Dans son
éditonal d’hier, M. Ph. Hennoi
met en évidence lafloxement qui
c’empure de U resistance mainte-
nant qu'u esr prouve que « tout
it prétendu mouvement patrioti-
que n'est en réalité qu’une effroya-
b.e entreprise montée par Mos-
cou ».
4 O’j aurait voulu fane cio:rc
que les operations entreposes pai
le C juierneinent et les lorccs du
Maint en de l'Ordre étaient diri-
ge* j eu..ic k; patriotes. Le truc
est maintenant évente. *'hvpocri-
sie démasquée »
E' le See»t-ta're d'Etat de citer
d‘s témoignages de Français par-
tis par patrutisme dans cette
avin.ure et qui lui écrivent leur
déconvenue.^
Il donne lecture d’un document
terrorist,* indiquant comment en-
cadrer les jeunes abuses et auisi
conçu : „
« Sachons nous imposer à eux
en militaires Que les responsables
sachent commander en soldats
conscients. Ne permettons
qu’un gars Siit chez nous deux
mo-s connaisse cer-auies choses de
l’crgan’sation et nous quitte en
prétextant d’avoir du travail A
ceia je propose que tout bomme
recrute en dehors du parti, soit
mus obligat-iremenr en demeure
de tuer un eiemciit qui lui sela
indique et ce .a dans la *rma-m
ae son adhesion. »
M. Hennot luinonce ensuit* la
découverte a Lvon de l'eLai-maioi
terroriste et de ses arqnivcs.
« Nous savons. dit-U aux terro-
ristes. oui vous avez tue. qui voua
voulez tuer Nous avons vos listes.
Noos savons ht nombre de m.liions
que vous a envoyés Londrex par
parachute et les dates de para-
chutage Nous savon* combien voua
avez de pense pour voire couvre dt
mort : 173 mtllicns en un mois.
Nous savonq le nom d„* vos etnu-
phees. des lâches qui louaient sur
les deux tableaux. Nous avons a
Lvon. d Vichy, a Paris et dans
d autres villes, démasqué vos plai s
et vos hommes
« La Fiance va respirer et vous
p urrez vous en donner a cunu
jo:e de démentir et de nier, CM
je tiendrai ma promesse, c est a
COUD de vérité et de franchise aut
J'ouvTirai les veux a ceux qui hési-
tent encore, et a ceux a oui vous
imposiez votre loj sans qu'ils sa-
chent qui était leur maître et air.
aujourd'hui, arretés et mis en pié-
s-’nce des preuves oui montrent
ou ils n'ont travaillé que pour le
communisme, demeurent hébété»
de stupeur. »
EN MARGE DE LA GUERRE
LES NEGOCIATIONS
RUSSO-FINLANDAISES
SE POURSUIVENT
Hels nki, 16 mars. — La Diète
fiiil indake s’est montrée disposée
a la poursuite de» entretien» avec
ISoviets par 200 voix contre ‘U
CONFIANCE A BERLIN
Berlin. 16 mars. — Le* muieux
coirpéients de la Wilhemstrassc
continuent à man*fester une gran-
de AEït’rve à "Tcgurd dos événe-
ments d:> Fmlande. On est con-
vaincu a !a Wilhemstrasse o.ue le
peuple finlandais est opposé u
toute action qui pourrait porter
atteint*» à son honneur et qu’il
rTacoepTerâ jamais les conditions
posées par les Soviets.
■ BUDAPEST. _ La Hongrie
a célébré hier sa fête nationale.
De nombreuses manifestations
patriotiques se sont déroulées
dans fout le pays.
fl LONDRES. — L’ex-roi Pier-
re de Yougoslavie a rendu visite
à George VI au palais de Buckin-
gham.
LA ROUMANIE NE CHERCHE PAS
CONCLURE UNE PAIX SEPAREE
Bucarest, 16 mars. — On de.
ment un* nouvelle de source bri-
tannique selon laquelle le prince
Klirbey u- serait rendu à • étran-
ger en vue de faire des sondages
de pai» au nom de la Roumanie.
M
Berlin. 16 mars. — Répétant le»
informations mensongères de la
presse anglo-saxonne concOmar.t
une défection éventuelle des ntu-
plcs du sud-est alliés de l’Allema-
gne, les milieux politiques de Ber-
lin qualifient cette manoeuvre de
stupide bavardage et réaffirment
leur confiance à l'égard de leurs
allié*.
L’isolement de l’Etre
Londres, 16 mars. — De nouvel-
les mesures sont envisagées pour
®o’»0t l’Elre; u eat probiable que
toutes les communications teiè-
jxnoniques seront intt-rnwwvnic-a.
non seulement çntre lu Oranaç-
Bretigne et l'Elre mais aussi en-
tre I'E.T* e» l’Irlm-le du Nord.
La censure pcs’ale entre TE:re
et l’Irlande u Nord aera vraisem-
blablement inatiutèe.
Le communiqué allemand
B-rîjn, 16 m»rs — Lf Q.Q.G. »J
Fubr r communique t
Dans le sud du A ont de l'Est, d'as-
sez ;mporianus fore s tnntmitg ont
vain tm m tenté &e p. reer en plusieurs
' ci
d-- décrochage.
8jr l'Ingoul ts, sur le cours moyen
lu Boug d'Ukra.n»-. au sud-ouest d>
Po»i« o.chiche et à l'est de Tarnopol.
■c dtrouluu de dut s combats, tour à
-our of
i»f C s contre-attaques couronnée» de
succès.
Au norslou'St de Nevrl, drs ails
qu I sovièiiqui* qui ont » nouveau
échoué en cm rainant poiff I ®memi des
o-uts fl-vSts, ont diminué de violent*.
Bit La tète de pont de Neituno. l’en-
nemi a. après une forte préparation
d'attillerle, effectué plusieurs attaques,
appuyée» de chars.
■les ou échoué avec de grande» per-
t* s: de nombreux prisonniers ont été
*ait«.
D.s formations de bombardiers amé-
ricains ont de nouveau effectué uni at-
taque de terreur contre la ville de Ro-
ute, causant de graves dégAts dans plu-
sieurs quai tiers de la rJle et des p. r-
u« dans la population.
Au cours de la nuit dernière, d<«
escadres d'avions de combat all<-mands
ont efficacement attaqué Us installa-
tions portuaires d • N apt s ainn- que
••es ns vite* ennemis qui *t wuj..’.nnt
au large de la ville.
Quelqu-s avions hriiamques, en mis-
sion » banséiement. ont Jeté, V nuit
dfrnièr». des bombes sur de» lo-alités
de l'Ailrmagne occidentale.
Dana la nuit du 14 au IA mars, de
puissant-s foi mations dé notre avia-
tion ont de nouveau attaqué Ltoadren-
Des bombes exploestveé et incendiaires
Jetées en masse ont causé des dégâts
étendus et de nombreux grands incen-
dies dans U région urtAfhe.
La mise
en ordre
des salaires
Paris. 16 mars. — Commentant
la puiiliMue gouvemt.mt.tuai*; en
uidtaiie u» salaires, *t* cuuunis-
sjaue géneial au ira vau, M Lna-s-
se-giie. a ifiuuiufc ccumueni avaient
ete reievees les allocations lami-
na.es et linaunuuie de fca.au e
un que et couina ni le pays avait
ete divise en zones de salaire».
Pe.il a petit.. les salaires sont ré-
ajustés : apres ceux de l md^sine
textile et chimique, les baia.ns
des empiovés de oanque pur çcht-
ion dévgc seixjnt mis en ordre a
compter du 1er Avril et des in-
demnités com p * nsa trices seront
versees pour la penode du 11 lan-
v.er au 31 mars Des mesures ana-
logue^ concernant le bâtiment ei
certains services publics sont en
txurs d exanren.
••
Voici la fixation dis salaires, la
dtlimitation des zones oes Basses-
Pvrenecs est Hxee comme suit :
Quatrième zon*. : communes de
Bu.ère. B,zan<-s. Gelas Jurançon;
Pau : cinquième zone : commune*
d’Arudv. Bidos. Bordes Çoarrazn.
Izeste. Mauleon. Mire^eix. Nav
Oloron Samtc-Marie. Poatacu!
Uzos. Viodos : sixième z ne ; au-
tres communes.
B ST-ETTENNE. — Le généra)
Blasseiié. représentant pereoane!
dir chef de l'Etat, *»t venu appor-
ter aux blessés du bombardement
de la banlieue stétihanoiec »a
preuve d»» la sollicitude affectueu-
se du Maréchal.
LA RÉDUCTION
de la consommation
électrique
SANCTIONS ET DEROGATIONS
Paris. 16 irai* — lui ia~Son ue
l'aggravauon de la situât-on co-
la repartition de l electric ne, tou-
te fraude sera poursuivie avec li-
gueur. .
Dans la Seine, le courant a ete
coupé saas delà, a 57 flMriM
fautives, sans prejudice d'auires
sanctions : tioi* chef» d’entrepri-
ses oni été ui’-eme* administra i-
vement.
On precise d autre part que k*s
seules déiogatior.» admises a l'in
lerdlctfon de la consomirat on du
courant pendan; plusieurs Jours
par semaine in'-erestent ks hop -
taux, pharmacies, services publics,
eau. gaz. électricité^ P.T.T., trans-
porta services d-« déchargement
dés wagons, magasins d’alimenta-
tion. laiteries, frigorifiques, afcat-
toüs. minoteries, fabiiques de le-
vur*. hôtels, imprimeries de Jour-
naux quotidiens.
Lés restaui-aat» »ullcs de ipec-
tacles. cinémas, • font l'objc; de
mesures spec-alos.
Lrs pertes de s.iia'res. résultant
de» restriction» d* U consomma-
tion électrique dan» le» usines,
devront être Indemnisées d* la
même manière que celle» conse-
cutive» à l'état de guerre
LES RECHERCHES
entreprises pour retrouver
l’ogre de la rue Lesueur
se poursuivent
DE NOUVEAUX DEBRIS HUMAINS
DECOUVERTS DANS UN PLACARD
Paris, l» mars. Ds *rehirch«»
aet:v*m'ni rontluitrv pour découvre 1»
rata it du doctruT Pit:ot-*Tom donnr
tncore aurjn rétut’at. C p-ndam. le
».gnal< m.-m du miserabtr a été donn>
partout rt l’on >-sp*!r que son ai r,*-
ration n ut plus qu*,n- q-.stTon d hru-
r s. liaqué d? tout* part, tentrra-t :1
C • fu:r
L INTLRROC.ATOlRt. DU LA FLVIMâ
I.T Dt IHERi; DT DEP ECU R
Mm.- Mar cri P* t;o; n son b-a .i-frérr
Majr.n- Prtiot ont né conduis hin
aprés-rn.d: » Pans, a j bureau du corn-
Busva:t“ Mass u. où il* ont paste 1»
nuit. Ce mat;n. le commissaire a re-
pris de bonne heure sot» inquéte et
son interrogatoire.
Tous deux se cantonnant dam des
protestation d ignorance dans Its agts-
si m n’s du praticien en fuite.
» C"i»l a sou», polire, de prouver
re que sous nous reprorkrs ,, déclara
Mm' P t.ot. Elle a eu depuis »*on ar-
C' .‘tav on pi us' < urs cr ises nervi uses;
une d* ces crises » éié paitlautlèrr-
men’ vioitn'e. A !• fin de la Journée,
son *tat apparut ass*r sérieux pour
•notivrr son transport a l'Hdtel Dieu.
LA rown.iriTt: Dt »KKRE
HKRAIT fc T VILIE
Au eours de l'mouéte m née â A i
x ir , la été vésdé que Ma .: t
tlot, freie du dep»eeur. s était tundu
le ]» février d m:,r A Wissy
chaux *t qu'à l’aide d un camion IS 1 »•
va't tr.in»poné dans l'hâtel de la rue
L * urur I. * sacs irVaAent été déposés
par In i l » t- ehi ..’f un d rrtèn
la parie d'.ntiée.
LE ROLE DF LA FF MME
Voici qui strait le rSle C" la fimm™
du dépect ur et son emploi du temps
• n c s derniers jours. Il y n deux an».
P’tiot acheta l'hétel de la ru- Le-
su. ur sans prévenir sa femme. Il n-
'.a prévint qu'un» fo.s le fait accompli.
L'h6:»l lui sembla trop triste ci trop
important et d<’claia n» pas vouloir v
r tourner. « Mon mari n - ■’entretenait
jamais de s s affaires, se contentant
de dire qu'il avait un» nombruse et
riche clUntMe. Mme Petiot déclare ne
rien savoir de ce qui se passa samedi
• •t dimanche. Samedi dernier, a-t-dlc
dit, mon man est «entré pour (finer
vers 18 h. 10. A 19 h . alors qu'il était
A table, 11 fut appelé au téléphone et
)e l'entendis répondre : « Pol ce. Bon.
j'y vais !... » Je l'ai attendu toute la
nuit et le matin J'étais désemparée
C'est a'ors/que Je pr s la décision d'al-
1* r ' mbrass r mon fis à Auxerre, avant
d'étr* arrêtée cat J appréhendais quel-
que chose d» mystérieux.
LE FILS Dt: DOCTF.IE
L» fil* du doeteur Petiot. Gérard,
âqé de 16 ans, est un brillant élève
du Lycée d'Auxerre. Tou* ses cond's-
e-pbs lut eonsirvent leurs sympathie.
Il doit passer son baccaluréat celte
annAe.
L'ENQt'ETE *F FOI ESI IT
BUE LFM'El R
Dans l'hétel de 1a tue Lesueur, 1»
polie- poursuit activement se* recher-
che» qui tendent actuellement à préeJ-
s r de quelle façon tes victimes pas-
saient de vie à trépas
L'inspecteur principal de l'Identité
Judiciaire s’efforce aujourd’hui de voir
■1 un masque à gaz, trouvé sur place,
ne s-rvait pas au monstre poui sur-
veiller l'asphyxie de ara victimes ou
nu moment de leur «peçaeo.
DEUX f Ml. HISSANTE»
DU-Ot VERTES
Ds déclarations faites hier » »
pr.su- par ie camrt.*.,ire Massu, deux
fa.:* importants *.• dégagmi
D une part, lu o»coiveTte fa.te hui
dans un placard à I h6trJ d» !i r jr
Usu- ur^* n-nir* deor s lumanv II
s agit C.- partie* s-xudlles préiesets
sur trois corps d’horune ei sur an
corps de femme.
D'autre part, au eot.t* d» la p rqui-
sit'.on ru» Cu.imaTi.n. un» roue qui
aadap-q A un» r'-morqt.» trouvée rue
L'su-ur a ete saisi», uppor.am irs
prevr (S qu» 1» doc; ur P,not s était
Servi de c»tte rtmorq-je
INE DECLARATION
DB DOCTI.t R LOCARD
Dans une mt rv! w. le docteur J.o-
tard, .-min- nt cr:n naltste. dincteur
Ju I.
Lyon, n a pu que confirmer les bru"a
qu; court n; sui !t- <*oct-ur Pe-.iot. déni
- a.-.énauon nu ntal> n» saurai; faire
d<‘ doute L» docteur Loeard a donn» d «
nombr x r, n> '.e.i ri nu tnteres jnta
sur 1» s affaire* ^sanies de a»iv-
e-ur* J! clas* J. Coevjr P tlot d .n*
la categor, tt » d';)-e-uii offen* rs.
O'Stud.re ceux qU déper tu pm p.iw.
*r. La situât on d-s « xperts dans W
cas Petit est mfni.m«m preferabRr à
r il» d s <■*(>■ r.» c■ l'affaire du tu-ur
d- OaJth u, c»r dans ce d»nvri raa,
le» oral tel-n* » trorvèr-nt »n pié*,ne,
d» d»brt* inf.n m-ni qu iconqa * et Ion
peut b.-n dire, aujourd'hui, çi» li* c*.
s m n-s trouvé* » '.'époque «at-nT dis
«»* o» chii ns et de rats.
Dans le cas Prtiot. run d- tou', c l*.
C est en prévne» d'une foule d'osse-
mini* humains don; o-aucoup on: été
identifié». L.s r-rh rch, v de e» c6te-.a
» ront simplifiée*
l'NI CLIENT» qtl N KKT PAS
AI COrBANT Dè L'APFAIBE
H:* r. un fat; »*>. vi-tiu in'erromprr
la monotonie d- l'attente d-s in«p c-
turs qui mon', t» garde disant Ja
tn ;*on du docte-r. Une femme, tn-
votée par un» d s « amies, venait
consult-r le A»-; - ur Rapid»mi ni m se
AU courant, elle . repattie horrifiée.
D autre part, dans l'appaririQi nt
inoccupé. le téü phon» sonne sans ai -
vét ; de* cli-n.s qu; *ans doute »'U-
lent demand-r un r r.dez-s ous au icon
eé.l ,-bre pr atlcun
LE JMKTEIB FITIOT SOIGNAIT
SA PI m.iriTE
L- docteur Pctlo: soignait aa publi-
cité. Il faisa t abondamment a-.stri-
hu-r, noiamm>-nt d»ns les cabareta,
M«ux d» t»!ai*it«, ainsi qu'à !» sonie
ill’s grands magasins, dis pro*pictu*
vantant sa sep ne» medicale et II énu-
’n< r’ divers-* m- .hod * susee.ptiblf s ftc
ftéiir ',«•* afl e’tons l
or ginaux *ur 1»* maladie* n*rveuset
et leur trait *• i«:-t. apéeialemint dan»
1'* affections s ei!*-« pértod.qu,-* »4
I » cure» de d’r.t 'ox,canon
n.in» la diuslèo» parti.- du pro*prf-
tm I» docteur Petiot vante U modi-
Cl * de ae» »»'* ’
LE MNIMTBK PB ATICIEN ETAIT
UN HABITUE DE L'HOTEL DBOI OT
Le docteur Petiot était blm connu
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rente, mais l'aflaue n eut pu fi» *sU*«.
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