Titre : L'Indépendant des Basses-Pyrénées : paraissant les lundi, mercredi et vendredi ["puis" paraissant tous les jours excepté le dimanche "puis" journal républicain quotidien "puis" le mieux informé des journaux de la région]
Éditeur : [s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1944-01-20
Contributeur : Garet, Émile (1829-1912). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34416250c
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 20 janvier 1944 20 janvier 1944
Description : 1944/01/20 (A77,N55130). 1944/01/20 (A77,N55130).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau) Collection numérique : Bibliothèque Pireneas (Pau)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k1148922p
Source : Bibliothèque patrimoniale de Pau, Ee 3218
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 28/02/2021
77* ANNEE - N* 55.ISO EDITION PAU-BANLIEUE JEUDI 20 JANVIER 1941 «
L’INDEPENDANT
EMILE CARET, Fondât' OES ÉES UN
LE MIEUX IN F^dfrfttÉ DE LA RÉGION
R KDACT ION -ADMINISTRATION à PAU, Palais des Pyrraé*» - Téléphone 29-01 et la xulte
Par suite d'un attentat criminel,
TROIS WAGONS
de l’omnibus Pou-Toulouse
SE TELESCOPENT
entre Juillan et Ossun
25 morts ; Une cinquantaine de blessés
Pau, 19 janvier. - Un attentai
crim>nrl a étç commis, aux pre-
mières heures de la mattnee sur
la volé ferrée Pau-Toutoiue.
Une éclisse avant été déboulon-
née. entre les stations de Juillan
et d'Ussun. trois voitures se trou-
vant au milieu du train omnibus
oarti de Pau à 5 heures en d*rec
lion de Tarbes et Toulouse, sti
sont telescopi-s C*î vv-Tïurea ap-
parie nuitnt à la rame formée a
Pau.
Des debris des «axons horrible
n eut déchiquetés, on a retiré
vingt-cinq morts et trente-cinq
blessés, qui ont été dirigés su!
llv oit.il de Tarbes. Cinq a six
blessés ont été conduits a Lour-
des : plusieurs autres blessés lé-
gers ont pu prendre les convoi»
tir secours pour regagner leur do-
micile.
Le trafic sur les voles monfan
tes et descendantes a dû être
it te i rompu ; des transbordements
s'opèrent sur les lieux du sinhire
De t-e fait, les trains subissent,
dans tes deux direetions. des re
tards d’une heure et demie envi-
r«**v
Parmi |N morts on vomnte un
Palois M. Alexis B*loche, âge de
2H ans habitant rue Castetnau.
L’EMOTION A PAU
La nouvelle de l’attentat de
Juillan a Diwoaué une forte ftno-
t‘ -n à P?’i 1-1 ocpinaTIon est una-
nime à s'-ndienfr devant ce n u-
veau meiait du terronsir.e et a
reorouver hautement de pareils
azisseftients.
DEUX TEMOINS NOUS DISENT
Mous avons UUcntné d< ux voya-
it urs palo.s qui »c trouvaient dans If
convoi au mo>nt ni de i'acciti nt et qui
m sont sortis inUt-mn- s.
« Ce mat.n, vtrs 6 h J/4, alors que
le train omnibus Pau-Toulouse roulait
n.r- Oss m u Juillan. nous fùnvs ré-
veillés par un choc torm.dabir Le train
v n.ut d dérailler. La locomotive, le
t. ndi r. un fourgon a deux voitures de
le classe d1’ tête était nt sorties des
.ails. Malheurt-us m nt tro.s voitun*
di- Je Classe qui se trouvaient vers it
milieu du couvol ont été presque «ntlé-
m> ni demon s S ul-s l, s d u* \o
s de qu ue n'om pas déraillé. Aussi-
tôt l'accidint It s pnmltrs s cours s'or-
ganisèrent. v s voyageurs sort s intn-in-
n s de l'arc-.dtm se porter, m au se-
cours d' S bl* s*es »
« D puis 6 h. J/4 Jusqu a 8 h . nous
a dit l’un d - ux. c - (ut un spectacle
épouvantable. D> a débris des vo tur. i
an -am « s'él val nt d-s g- m.ss m n*s,
d s p'aintes, d.* appils au s
—• P nsz-vous qu'il y ait beaucoup
d- palo.s parmi lu morts et lis b. s-
», » ? avons nous d. mandé.
— « Je ne pense pas ». nous a ré
pondu l'un.
C. si sur celte question que nous qjit-
tons c s d ux témoins dont les r.-gards
.émoigiunt t ncore d* l'effroyable mo-
mi nt qu'ils ont vécu.
■ PARIS Un coming nt d>- la
L V F " quit'é la capitale |>our un
e.n-r.- d .nstruct on du Oouvern m nt
gén ‘rai
La pression soviétique
se fait moins intense
Les attaouîs sovietiaues. au! se
Doursuivtnt dans tous .es sec.eurs
ont diminue de violence e: se
heurtent a une ferme resistance
des t loupes allemandes
AU nord du lac Iimen. 1 s Rou-
ges ont ieté six divisi ns d'infan-
t«r.e tt de nombreuses formations
l ondées dans la bataille.
Les tentatives d’encerclement
bolchcviaucs s> poursuivent tou-
jours à Vitebsk
Sur le front des armées de Va-
routine, les corr.bats sç Doursui-
vent avec acharnement. Us ent
nour obiectlf nrincioa’ la unsscs-
sion de la vo> ferré** Od ssa-
Rowno et le cours de la rivière
Boiut Des engagements ont eu
lie u à Ktrovograd. '.ù les AUc
mands s<* sont emnarés de leca-
lues.
LE TRAGE DU FRONT
DepuU lé début de l’offensive
d’hiver soviéliqur. Je trace du
front de l’F-st a sensiblement évo-
lué. sauf dan» le secteur sen ten
trional. Jusau à Vclikie-Loukle a
partir du raillant de* N'evfl. le tra-
cé du front ioint la voie lerree
Polosk-Vitebsk A l’ouest de cette
vil'* »1 fait une boucle au nord et
à l’ësl. Il descend ensuite vers
Jlobin et la Bêrésina A I ouest
de Rechit/a et de MOIVT. le front
est n-iral’ièle à la vole ferrec Mo-
rvm-Korosten. mais a I ouest de
Sarnv Puis il descend a lest ae
Vinnitza. contournant la ville et
atteignant les abords du Boug
ainsi que le cours du Dniepr. Il
se dlngii à l’ouest de Tcherkassv
jusqu'à Krivoi-Rog nui» à l’ouest
de cette dernière ville 'touche au
coude du Dniepr cl atteint Khcr
son La Criirée aux mains des
Allemands, est le paint terminas
de ce front de 3.000 kilomètres
Dans ce secteur, les bolcheviks
ont réussi à effectuer la jonction
entre les troupes débarouces par
la mer d’Azov et celles parties de
la tète de pont de Baksav. Us
n’ont pas cependant réussi à rom-
pre les lignes allemande».
L’offensive coûte
aux Bolcheviks
plus de cinq millions
d’hommes
- Berlin 19 janvier , — u-»
otim * que les armées' bol-
cheviques ont perdu, en tues
blesses ou prisonniers, 5 mil-
lions 200.000 hommes depuis
le début de l’offemme d’hi-
ver.
I>ans le seul secteur de Vi-
tebsk. 300.000 soldats rouges
ont été mis hors de combat
dont 100.000 tués Les Bob
ehcvieks avalent engage
dans ce secteur 29 brigades
de chars : 25 ont été détrui-
tes et 40 divisions d’infan-
terie ont été décimées.
LA GUERRE AERIENNE
30 000 SANS ABRI
AU PIRER
Athènes 19 janv.er — JL£ re-
cent bombardement du Piree a
fait plusieurs centaines de morts
et de basses les bombes trm-
béep sur le centre, ont aeiru:t oes
maisons plusieurs églises et des
ecoles. D<> nombreux habitants.
âui avaient cherche* un refuge
ans la cathédrale, ont été ense-
velis sous les décombres
La moitié de la population a
quitté la ville 30.000 habitants
sont san& abri.
102 AVIONS AMERICAINS
DESCENDUS A RABAUL
Tokio. 19 janvier. — 102 appa-
reils américains sur les 200 au-
attaquaient Rabaul ont été abat-
tus
AUX ETATS-UNIS
FIN DE LA GREVE
DES CHEMINOTS
Washington 10 janvier. — La
grève des cheminots a prig fia
un accord étant intervenu ave:
l-*s syndica t L» retour des com-
pagnies de chemin de fer à leurs
propriétaires a été décidé.
ENTERREMENT DU PROJET
DE SERVICE NATIONAL ?
Washington 19 janviesr •-
Le comité des affaires militaires
de la Chambn» des Représen-
tants a remis à une date indéte’ -
minéf* l’examen du prolet de loi
sur le service national déposé ré-
cemment par le présidentRoose-
xelt.
VATICINATIONS
SUR Lt FUTUR ATHEISME
EUROPEEN
Washington. 19 janvier. — Le
« Foreign Policy Association »
qualifie de « pure impudence »
la polit ioue vaticane lors de la
conquête de l’Ethiooie et d’f ini-
tiative misérable » l’appui du
St-Siega au général Franco L’ar-
ticle. ajoutant oue la position du
Vatican devient de pius en plus
mauvaise depuis la disparition
des grandes puissances catholi
ques. la France en particulier,
conclut ; s Là prédominance
nuee sur le continent européen
imposera la nécessité de comptei
*tMeXV€BU ftVec ^ communism®
De quelques bobards de Moscou :
LES PRETENDUES
NEGOCIATIONS
ANGLO-ALLEMANDES _
La nouvelle lanoée par 1*1
« Pravda » de prétendues négo-
ciations de paix entamees. en
Espagne, par M. von Ribbentrop
avec deux chefs britaturques, a
été démentie, comme nous l'avons
annoncé hier, par Londres, mais
aussi par Berlin et Madrid. Et
le Journal suédois « Svenska
Dagbladet ». annonça que lé
chargé d'affaires britannique a
Moscou demandera une explica-
tion à M Molotov à ce sujet
Le Président Roosev.’it a décla-
ré. lors de sa conférence de pres-
se. QU’U avait été surpris comme
tout le monde par l'information
de la » Pravda » et a ajouté ne
pas av !r la moindre information
à ce sujet.
LE TRAFIC D'ARMES
PAR L’ESPAGNE
Dan* une feuille d’information,
lambassade de TU.R.SB. aux
Etats-Unis accuse l'Espagne de
se livrer à la contrebande ou
matériel de guerre provenait
d'Amérique du Sud et proteste
contre la Légion espagnole et
contr« une escadrille espagnole
toujours sur 1- front de l’Est
LE GOUVERNEMENT
POLONAIS DE LONDRES
DEMISSIONNERA-T-IL ?
M. Oordcll Hall chrrch rait. dit on, a
rnn- a'ncre 1» r-présentant polonais a
Washington, de ta nec-sslte d'un rema
nient-ni ou même d'une démission du
c m n i po.onais de tondra atm ae
constltu r un cabinet d? négociations
itour 1-* règlement de l'affaire dis fron-
der s polono soviêtiqu. s.
Sur te meme sujet, les « Baslrr Nach-
»r clmn » écrivent: « On s,ralt tenté
d“ croire nue la polémique soviéto-poio-
nalse a grandement contribué â la gué-
r.son de M Churchill. Ce conflit ist
fonction d'i»te crise dans la coalition
qui ne peut se terminer qtle par un
coup d'éclat. »
LES GREVES EN ANGLETERRE
Car'.iale. 19 janvier — Mille
deux cents mineurs des mines de
charbon d-* Larrbratch dans le
Pays dp Galles, se sont mts en
fnevé. Ils demandent des bottes
en caoutchouc et urv- augmen-
tation de salaire pour travailler
dans l’eau
■ WASHINGTON. — Le Comité juif
d'Amérique réclame la liberté d’immi-
gration d-s Israélites en Palestine.
■ LE CAIRE — Le prince Moba-
mra Ali Halim, petit-fils de Mohamed
AU le Orand. est mort.
LES DEMOCRATIES
ET LA GUERRE
Quand an parle 4.- di moeratirs, il
o« laut pas pen»'r a I I .R.S.H. qui
n'est, au vrai, qu'une dictature par-
tirai.erem-nt autoritaire. Mais les
Mals-t'nis se flattent d'etre la démo-
cratie la plu» authentique qui soit au
monde. Or. députa la guerre, le presi-
dent Roosevelt Se comporte, autant
qu'il le peut, tomme un dictateur. U
i»t grue, sans doute, par son Tarir-
-ni qui restate ai soute al a ses vo-
lontés. K II pouvait h mettre eu conge
ill mite, apres s'etre lait donner 1rs
plein» pouvoirs, trues pour aasurr qu’U
Ir ferait immédiatement.
tn tous 1rs ras, il lui »oum. t de»
projeta de loi qui »u*p ndrnl H s-nr
die ». toutes Its libertés démocratiques.
Témoin, ce projet sur le travail obli-
gatoire qui lui permettrait de suppri-
mer Ir droit de grève et de mobiliser,
a son grr. tou» le» homme» qu il ne
réussirait pa» a mrttrr au pas.
Les dimorralit-g ne vont pat laites
pour l'etat de guerre. Des qu'elles font
acte de belligérance, riles ne sont plus
drmo.-ru'.qurs que de nom. leurs beaux
pr.nrlpt-s ne sont plus que des mots.
Apres la guerre, redeviendront-elles,
ru faM, ce qu'rMes riaient aupara-
vant ? Rien n'est moins certain.
Quoi qu il en »oit, tout ne sera pa»
pour Je mirus. aui Etais t nia. au len-
demain des hostilité». Il leur faudra
compter avec drs pris de revient es-
trnotd'nalremrnt gonlles, avec drs rhar-
f'ï^W naguère Ils ignoraient: une
anner qui leur route Irro cher, une det-
te luterieure «norme, uni- bureaurratli-
lantastlque, des impôts écrasant», une
produit ion qui nr trousers plu» son
iroidrmrnl nulle part, a moisi» de
faire au* pass importateurs, que leur
politique de guerre aura ruines, de»
«redit* presque lllimitrg: il Irur faudra
uus«t compter arrr de» problème* ,o
riaut d un rarartérr redoutable.
Ils auront au»» leuiv «preuve».\\.
EN ITALIE
LE GUARIGLIANO
SERA FORTEMENT DEFENDU
Les unîtes au Kcnetw Udtt*
ont Httcuit la nvieic Kau.do Les
Allemanûs en ont lortu'fi lau»i»-
riv-2 ainsi que le cour» du Gua-
Tiguano. Ou i>eui satiei.are a ae
rudes comuus dans ce secteur
A les; du golie du Gae’e. les
Anglo-Américains sent passes a
l’attaque apres une violente pre-
paration d’artillme. en met. a ut
en ligne de nombreuses divis ons.
Les combats sont en plein dev -
loppemént.
A ROME AU PRINTEMPS..
Alger 19 janvier — « Les An-
glo-Américains seront a Rom«
pour le printemps ». a déclaré s*r
Henry Maitland Wilson, n des
représentants de la presse
Il a dit encor» que la période
décisive da la guerre commençait
maintenant.
EN AFRIQUE
DU NORD
L’EPURATION
EN PROFONDEUR
. iiwrr. U-)»n*ér Ln s Liberté s.
jouinal rommumste du Maroc, reclaim
la rév.s.on d - tous !«■* avanc n; nts.
distinctions et récompi-ns•e Oouv» rn< m» nt français d puis 1&40
ta révocai.on d-s fonctionnair,s tis.es
fofeirs nu gouvrm« m nt légitimé.
Le Comité d'Alger a décidé de
pt'oroger les fonctions de' la cum-
m.sston d’épuration Jusqu’au 29
février pour l’AfriqiL» du Nord.
PT Jusqu’au 31 mars pour les co-
lonies
M. PHILIPPE HENRIOT
demande aux Français
de s’unir
Lu Ro^htm; 19 îanvier — Dur»*
une cu*uerence devant de t.*>ai-
oie uses peisoiuiaïut-s. AI "riLiup-
pe neiu-iot seci*.T**iie à c.u- -
i lnloimauon ei o L* s-riu^vgaiiot*
a lait un expose Ucs Ri aiiu-a J.-
knta ae l’actjuu pouisu.vie pui
L- marecatU Pétain et le piesi-
ütnt lutvul pour permetUo a la
rranc« tt» faire face a son des-
tm L a demande aux t tai.çais
ae ne pas croire aux paroles qts
mauvais Ovigers et des taux p-.o
phetes. mais a» lauo leur union
Il a termine en alarmant avec
force que. dans se» nouvelle
fonctions il mettrai! t>ui son
coeur au servie*, de la France
La police opère
Vichy. 19 janvier. — A Panv
au square Louvoir des inspec-
teurs en état de» légitime defen-
se. ont abattu un darigen-ux
terroriste.
A SfEticnnr six jeunes ban-
dits. auteurs d’attentats et por-
teurs darraes et d’explo6ifs. ont
été arrêtés
A Béait va i«,. hitTt individu.» ap-
partenant à une organisât ion
clandestine ont été arrêtés 1k
avaient participé à plusieurs cp?-
rations.
Avis
la- rrssovliauaat francsi» Anioinr
Claudius K4V a Ht «osdtmnr a
mort Ir 1 janvlrr 1944, par uu tri-
buaal m i lairr all. mand. rommr
franc tireur »t pour avoir lavorl»c
I ennemi.
* élr aous-chrf d un groupe
d«- rrsistanrr rl • pris part a drs
artrs dr «abotagr.
le jugrm-nt a Hr rsrrutr Ir 11
JaarliT 1944 par lua lladr.
Drr Ksoir mandant
Hrrrrsgrb'rlrs SudfraaXrctrh.
Pour avoir enguirlandé
l'arbitre
Paris 19 janvier. — Le 26 fé- '•
vrier 1913. rissittont i un match i
de bore qui opposait De.rpeaux à i
Rêne, un spectateur prit part à !
une violente manifestation contre j
Varbitre. Poursuivi par ce dernier. !
M. Escurol a été condamné à 600 1
francs d’amende L’arbitre, qui ré- i
clamait 10.000 franct de domma- !
'ntéréts. sert vu allouer ;
1.000 francs. La Fédération de .
Boxe a obtenu les dommages et '<
intérêts demandés.
LYON La Société Hippique ;
lyonnaise a f(.jt don d'un ch. val au :
professeur Vincent, pour lui p rmettre '
d«- mHtre au point le sérum cotvn la '
typhoïde. ;
DÉCORS DE L’IMAGIMATlON
Par Richard Borel
IL m'a Hé douse d'asalstcr au ver
ntssagr « use exposition de decora-
teurs. Tout es m'y reudaot, je SM
remémorais le verg de « Cyrano »
t Ma.s c’fS*. bit a plus beau lorsque
te'est inutUe ».
Drrorrr comment et avec quoi ? Le
moindre pot de pelâture eodte les jeu*
ie la tète: es ressert des grenier» des
meuMea qui, dans 1rs salles de reste,
font des prix ratapultesx, si b'.rs qs au-
iourd'hui 1rs grss solgnest avec amour
le branlant Isutruil es peluche do
lesra aïeux H passent psdiqnemest de
east leurs rideaux et leur papier mu-
ral en se regardant si leg effUoehs.
rea si les taehes.
Oui. me disais je. s'il y a us mê-
ler Mes tosché es ee moment, re doit
-tre celui de décorateur; rette e spoil
*•0 F W* être qu'une rétroopeHIve
les jours heureux od l'os pouvait se
commander l'appartemeat de son goût
avec tons les ratfiarmrnts imagina
Mes. Je m'attendais A voir des vlsa-
fes pales et drs mises consternées.
,®k Mes. je s'ai vu que des gens
•teins d allant et d'optimisme, résolu-
ment tournes vers l’ureulr.
La monsieur fort almsMr, lot-mémo
r*posant, Hc nt lalrc le tear drs
aMes.
Cam me II failjiH l’y attendre, on n’y
«Hj pas, si feae dira, des Récré
montées, mais seulement drs maqurt
tes entourées de quelque» elrmeota dr
eorallfs. N'alles pas croire pourtant
que eels respire la pauvreté. La rrall
eatioa de telle de rea maqortt.-a a routé
cinq rent millr francs.
Kartont. ce procédé a donne libre
conre A l'imagtantlon de» décorateurs.
. , •• première fols, ns travail
•strmt dans l’idral et pouvaient se li-
vrer a tontes 1rs subtilités de l'invrn
tioa pure.
Ainsi, tel a eoaça la maison d une
«‘(■lilrler, tel autre on hôtel parl'ru
lier pour rollrrt lonnrur. * l'abord im-
med'at d’une grande ville. Cette me
thodr ouvre des perspective» propre» a
rraonveler de fond en comble l'art de
la décoration, tjue dr sujets d emula-
tion qaand U s agira de trnnver toutes
Ira conditions particulières a l'appar i
[*w* 1 4» vHllenr da nuit, au parR- 1
Ion du soue off eier retraité ! CHte po- 1
Htlque aérait d'ailleurs cent fols prr- ;
•"••J* * erlle de la standardisation 1
du dre or avec «et entassements dé !
rases unilarases H ses sinistres rttrs >
Jardins dont le second terme a'eot ml* •
I* que pour faire regretter l'espace et i
M verdure.
Ces maquettes offrent aussi un avna i
tngo pratlqas : élira vont bientôt se i
Sf—ntmtr A l'étranger oA rUes montre- !
r,B* U» •>, en Franee, les astivltés !
maté-lellss sont moments asms nt sa '
•nmmslf. lia vent Ion et le gsAt Re 1»
pas. j
UN SECOND SEISME
ACHEVE LA DESTRUCTION
DE SAN JUAN
Burnos-Ayres. la janvier.
- Une nouvelle bécoubso sis-
niiau»» a été rt^tntir. A San
Juan, déjà «i dur# ment enrou
vre. la panique »’«t emparer
Or la population. Les mai-
sons rndammuircs se sont
romplrtnm^nt écrouler s,
70.00» habitant» sont sans
abri
Quatre mille rorv*a ont rie
înrtnérés p-»ur rntrr toufr
épldêtrtr.
L'évacuation de Kan Juan
a été ordonner. On envisage
dr rayo complètement la
ville.
la* president Kamirt/ a
visfté Ira lieux sinistré» cl
à une m«*sr dr rr-
nuH*m.
B LK CAÎRE L- roi Ftro'.ik a
r-cu Je g-ncrul s.r Fsgrt. nouveau com-
mandunt «n ch f d» la llo'te in.iuun -
que d« la M-d:tTrr>ji*» ori. mali
■ LE CAIRE L'IXIO. Fieri c
Yougoslavie .« qu:tt«- L" Cuir.- ■
rmdre au;>rès d- M Cnurchlll C.- drr-
, numt r fus d mt r » ntr « n -a
i.tv ir auprès d- Moscou
B LONDRES. Le sommandsni ri •-
io.c » américain t «n Europe îgm.iat
Sp*urk a rejoint son poste il r,\,«nt
d Washington où II p. confer»- avec ie
President Roosevelt et ! amiral K ng
B LONDRES - M Churrh 11 a dé-
jeuné au palais de Buckingham .< •
roi George Vf.
UN SAINT PYRENEEN
Cué du Vatican. 19 um .«•
La séance générale pour l anoio-
bation drs n(l.rack's du bienheu-
reux Michel Garcoitz. fondât étu-
des Peres de Bétlurrani en pré-
sence du Souverain Pontif . est
fixée au 15 février
Aujourd’hui tirage
de la 41 Tranche
de la LOTERIE NATIONALE
Chroniquetle
l u par» t»e titre ».tn» fine.
Il n > a p.to il cille tiu» rinutation
et |«a» «J'eniulatlon »i rllc. n r*i ett-
coutager par des chef* il el.tl»ll»»c-
inruts capables île eoinprgittlrr Ir»
elans rt le» fc>e»«>iii» tip lu jeunes-
se Il > u beaucoup il en r»t il'autren dual le COritf
sel- se couteute «le -jtllbolc» »ut
le* mur». *.m» prii»er a la irrita-
ble Vie qui ihtlplte et prepare l'a-
venir.
La jeune»»o »tui1leu»Lr l'rltte r*t
tre» *ru»ll.l<* a certain* egarrl»
qu'ou lui tnarchande pariol* bêle-
ment.
tjuand là-on Iterant rrtablM le
ciuieoui» general entre le« Ijièf*.
le pré»i«lrni Milleraiid parluit tie
l'indigence de »e» titre» i>our la
pre*ldfiK'e du banquet de l'A*»o-
clation. mal» on avait voit ut *c
rappeler qu en lî*2'î. a IJ »t»ri»on-
ne II avait prr-i«1«* a l«t redirec-
tion du lonconr* general tire de
»j li-tliargi^ par la bagu;*(te du
luasicirii i-cuu âtcraril.
El celui-ci -e- logatl de v«iir «le»
bouline» qui «r*eu| *e féliciter d'a-
voir été de b«»n« «levé*. »^ *-enl.«nt
tenu» pari-ia»*lque d’un lieu de irateinite
spirituelle.
Oh ! re u'e-t pas qu'«»u oit un
n* parer «to'on a obieiitt une nu-
uiinatlou nu ( on« *ur* genentl
l 'e»l une pitsomptlou. Mal* Il ne.
laut pa» parler au ha*.V.I, lllrn
que tout ait élé dit aver heao-
roup de precision dan» un livre
intitulé » Loul» Harthou ». le pre
tidcnl lui nue eu 1934 pronom a
uu dlMoni» uul e»t un >t *u der-
reurs fort bien Intentionnée» ;
« Louis llarthou disait le |>re»l-
Icstt du tribuual «U ILtvonne. a
•te l'élève du lycée «le l’an le plu»
brillaut de sa generation et. un-
Joute, de toute» Ips geneiation»
jui se »ont «uocedées. »
('« n'est pa* bien exart. Ilaithou
i eu de» sucres eu dlsctiurs latin»,
•u espagnol on violon, en rretta-
ilon classique. Kn ret-bnrique. il
Jbltnt au roiu'our» acailénil«|iie un
«eplieine acce»»U de dl*«»urs latin,
-e n est pa» foudroyant.
Les brillajita lauréat» du Con-
out» général le» Julc* Legrand
H I4cntllbf». le» Lary, les P i«Mir-
>ault obtinrent plu* «le jprix que
lariiKui, mal* celuT-ci del Int en-
Küte le reenril des p«>rteteuillr».
£t plus tard le* beaux sucré» d’V.
*ellann!> et d'Arlgs* Von* von*
lout PA bien quà chaque tllslr.bu-
lon «le» prix, on fêtait fort «'eux
ml avullnt soutenu l'honneur du
ycée mal» encore fallait-il que le
uovls.-ur *'y prêtât !
Avec quelle rae«- Jr nie ‘ouvlen*
le ce malin d'août IKM: «m nn•ecteur d’A«'ad«tnle me prévint
lue nous avion» remporté «tuatre
lomliutllon» au Coorour* («uit-ral*
aspébie. 4 Lakllhonne. l-ouls Mar-
in «n avait une; J'axai* la plu*
•elle eu discours truncal*. On Ri-
ait distribuer le* pm au bout
I une heure, mais on »r gardu
den de non* acheter de* livre» et
m nous tresser de* ronronnes. Je
açon nue notre »urcéq fut ttmt a
*■} faussé et étoulfe. Le» catna-
ade» furent «urprL*. Quaut à moi
lanvals coucheur, lauréat l'année
ulvante du prix d'honneur de
iMertaÜon. Je refuAalu daMltler
la distribution des prix de 1HMJ4
g!??"* c ra»Hn do Neoser là
Jean Aa GAVA
L’INDEPENDANT
EMILE CARET, Fondât' OES ÉES UN
LE MIEUX IN F^dfrfttÉ DE LA RÉGION
R KDACT ION -ADMINISTRATION à PAU, Palais des Pyrraé*» - Téléphone 29-01 et la xulte
Par suite d'un attentat criminel,
TROIS WAGONS
de l’omnibus Pou-Toulouse
SE TELESCOPENT
entre Juillan et Ossun
25 morts ; Une cinquantaine de blessés
Pau, 19 janvier. - Un attentai
crim>nrl a étç commis, aux pre-
mières heures de la mattnee sur
la volé ferrée Pau-Toutoiue.
Une éclisse avant été déboulon-
née. entre les stations de Juillan
et d'Ussun. trois voitures se trou-
vant au milieu du train omnibus
oarti de Pau à 5 heures en d*rec
lion de Tarbes et Toulouse, sti
sont telescopi-s C*î vv-Tïurea ap-
parie nuitnt à la rame formée a
Pau.
Des debris des «axons horrible
n eut déchiquetés, on a retiré
vingt-cinq morts et trente-cinq
blessés, qui ont été dirigés su!
llv oit.il de Tarbes. Cinq a six
blessés ont été conduits a Lour-
des : plusieurs autres blessés lé-
gers ont pu prendre les convoi»
tir secours pour regagner leur do-
micile.
Le trafic sur les voles monfan
tes et descendantes a dû être
it te i rompu ; des transbordements
s'opèrent sur les lieux du sinhire
De t-e fait, les trains subissent,
dans tes deux direetions. des re
tards d’une heure et demie envi-
r«**v
Parmi |N morts on vomnte un
Palois M. Alexis B*loche, âge de
2H ans habitant rue Castetnau.
L’EMOTION A PAU
La nouvelle de l’attentat de
Juillan a Diwoaué une forte ftno-
t‘ -n à P?’i 1-1 ocpinaTIon est una-
nime à s'-ndienfr devant ce n u-
veau meiait du terronsir.e et a
reorouver hautement de pareils
azisseftients.
DEUX TEMOINS NOUS DISENT
Mous avons UUcntné d< ux voya-
it urs palo.s qui »c trouvaient dans If
convoi au mo>nt ni de i'acciti nt et qui
m sont sortis inUt-mn- s.
« Ce mat.n, vtrs 6 h J/4, alors que
le train omnibus Pau-Toulouse roulait
n.r- Oss m u Juillan. nous fùnvs ré-
veillés par un choc torm.dabir Le train
v n.ut d dérailler. La locomotive, le
t. ndi r. un fourgon a deux voitures de
le classe d1’ tête était nt sorties des
.ails. Malheurt-us m nt tro.s voitun*
di- Je Classe qui se trouvaient vers it
milieu du couvol ont été presque «ntlé-
m> ni demon s S ul-s l, s d u* \o
s de qu ue n'om pas déraillé. Aussi-
tôt l'accidint It s pnmltrs s cours s'or-
ganisèrent. v s voyageurs sort s intn-in-
n s de l'arc-.dtm se porter, m au se-
cours d' S bl* s*es »
« D puis 6 h. J/4 Jusqu a 8 h . nous
a dit l’un d - ux. c - (ut un spectacle
épouvantable. D> a débris des vo tur. i
an -am « s'él val nt d-s g- m.ss m n*s,
d s p'aintes, d.* appils au s
—• P nsz-vous qu'il y ait beaucoup
d- palo.s parmi lu morts et lis b. s-
», » ? avons nous d. mandé.
— « Je ne pense pas ». nous a ré
pondu l'un.
C. si sur celte question que nous qjit-
tons c s d ux témoins dont les r.-gards
.émoigiunt t ncore d* l'effroyable mo-
mi nt qu'ils ont vécu.
■ PARIS Un coming nt d>- la
L V F " quit'é la capitale |>our un
e.n-r.- d .nstruct on du Oouvern m nt
gén ‘rai
La pression soviétique
se fait moins intense
Les attaouîs sovietiaues. au! se
Doursuivtnt dans tous .es sec.eurs
ont diminue de violence e: se
heurtent a une ferme resistance
des t loupes allemandes
AU nord du lac Iimen. 1 s Rou-
ges ont ieté six divisi ns d'infan-
t«r.e tt de nombreuses formations
l ondées dans la bataille.
Les tentatives d’encerclement
bolchcviaucs s> poursuivent tou-
jours à Vitebsk
Sur le front des armées de Va-
routine, les corr.bats sç Doursui-
vent avec acharnement. Us ent
nour obiectlf nrincioa’ la unsscs-
sion de la vo> ferré** Od ssa-
Rowno et le cours de la rivière
Boiut Des engagements ont eu
lie u à Ktrovograd. '.ù les AUc
mands s<* sont emnarés de leca-
lues.
LE TRAGE DU FRONT
DepuU lé début de l’offensive
d’hiver soviéliqur. Je trace du
front de l’F-st a sensiblement évo-
lué. sauf dan» le secteur sen ten
trional. Jusau à Vclikie-Loukle a
partir du raillant de* N'evfl. le tra-
cé du front ioint la voie lerree
Polosk-Vitebsk A l’ouest de cette
vil'* »1 fait une boucle au nord et
à l’ësl. Il descend ensuite vers
Jlobin et la Bêrésina A I ouest
de Rechit/a et de MOIVT. le front
est n-iral’ièle à la vole ferrec Mo-
rvm-Korosten. mais a I ouest de
Sarnv Puis il descend a lest ae
Vinnitza. contournant la ville et
atteignant les abords du Boug
ainsi que le cours du Dniepr. Il
se dlngii à l’ouest de Tcherkassv
jusqu'à Krivoi-Rog nui» à l’ouest
de cette dernière ville 'touche au
coude du Dniepr cl atteint Khcr
son La Criirée aux mains des
Allemands, est le paint terminas
de ce front de 3.000 kilomètres
Dans ce secteur, les bolcheviks
ont réussi à effectuer la jonction
entre les troupes débarouces par
la mer d’Azov et celles parties de
la tète de pont de Baksav. Us
n’ont pas cependant réussi à rom-
pre les lignes allemande».
L’offensive coûte
aux Bolcheviks
plus de cinq millions
d’hommes
- Berlin 19 janvier , — u-»
otim * que les armées' bol-
cheviques ont perdu, en tues
blesses ou prisonniers, 5 mil-
lions 200.000 hommes depuis
le début de l’offemme d’hi-
ver.
I>ans le seul secteur de Vi-
tebsk. 300.000 soldats rouges
ont été mis hors de combat
dont 100.000 tués Les Bob
ehcvieks avalent engage
dans ce secteur 29 brigades
de chars : 25 ont été détrui-
tes et 40 divisions d’infan-
terie ont été décimées.
LA GUERRE AERIENNE
30 000 SANS ABRI
AU PIRER
Athènes 19 janv.er — JL£ re-
cent bombardement du Piree a
fait plusieurs centaines de morts
et de basses les bombes trm-
béep sur le centre, ont aeiru:t oes
maisons plusieurs églises et des
ecoles. D<> nombreux habitants.
âui avaient cherche* un refuge
ans la cathédrale, ont été ense-
velis sous les décombres
La moitié de la population a
quitté la ville 30.000 habitants
sont san& abri.
102 AVIONS AMERICAINS
DESCENDUS A RABAUL
Tokio. 19 janvier. — 102 appa-
reils américains sur les 200 au-
attaquaient Rabaul ont été abat-
tus
AUX ETATS-UNIS
FIN DE LA GREVE
DES CHEMINOTS
Washington 10 janvier. — La
grève des cheminots a prig fia
un accord étant intervenu ave:
l-*s syndica t L» retour des com-
pagnies de chemin de fer à leurs
propriétaires a été décidé.
ENTERREMENT DU PROJET
DE SERVICE NATIONAL ?
Washington 19 janviesr •-
Le comité des affaires militaires
de la Chambn» des Représen-
tants a remis à une date indéte’ -
minéf* l’examen du prolet de loi
sur le service national déposé ré-
cemment par le présidentRoose-
xelt.
VATICINATIONS
SUR Lt FUTUR ATHEISME
EUROPEEN
Washington. 19 janvier. — Le
« Foreign Policy Association »
qualifie de « pure impudence »
la polit ioue vaticane lors de la
conquête de l’Ethiooie et d’f ini-
tiative misérable » l’appui du
St-Siega au général Franco L’ar-
ticle. ajoutant oue la position du
Vatican devient de pius en plus
mauvaise depuis la disparition
des grandes puissances catholi
ques. la France en particulier,
conclut ; s Là prédominance
nuee sur le continent européen
imposera la nécessité de comptei
*tMeXV€BU ftVec ^ communism®
De quelques bobards de Moscou :
LES PRETENDUES
NEGOCIATIONS
ANGLO-ALLEMANDES _
La nouvelle lanoée par 1*1
« Pravda » de prétendues négo-
ciations de paix entamees. en
Espagne, par M. von Ribbentrop
avec deux chefs britaturques, a
été démentie, comme nous l'avons
annoncé hier, par Londres, mais
aussi par Berlin et Madrid. Et
le Journal suédois « Svenska
Dagbladet ». annonça que lé
chargé d'affaires britannique a
Moscou demandera une explica-
tion à M Molotov à ce sujet
Le Président Roosev.’it a décla-
ré. lors de sa conférence de pres-
se. QU’U avait été surpris comme
tout le monde par l'information
de la » Pravda » et a ajouté ne
pas av !r la moindre information
à ce sujet.
LE TRAFIC D'ARMES
PAR L’ESPAGNE
Dan* une feuille d’information,
lambassade de TU.R.SB. aux
Etats-Unis accuse l'Espagne de
se livrer à la contrebande ou
matériel de guerre provenait
d'Amérique du Sud et proteste
contre la Légion espagnole et
contr« une escadrille espagnole
toujours sur 1- front de l’Est
LE GOUVERNEMENT
POLONAIS DE LONDRES
DEMISSIONNERA-T-IL ?
M. Oordcll Hall chrrch rait. dit on, a
rnn- a'ncre 1» r-présentant polonais a
Washington, de ta nec-sslte d'un rema
nient-ni ou même d'une démission du
c m n i po.onais de tondra atm ae
constltu r un cabinet d? négociations
itour 1-* règlement de l'affaire dis fron-
der s polono soviêtiqu. s.
Sur te meme sujet, les « Baslrr Nach-
»r clmn » écrivent: « On s,ralt tenté
d“ croire nue la polémique soviéto-poio-
nalse a grandement contribué â la gué-
r.son de M Churchill. Ce conflit ist
fonction d'i»te crise dans la coalition
qui ne peut se terminer qtle par un
coup d'éclat. »
LES GREVES EN ANGLETERRE
Car'.iale. 19 janvier — Mille
deux cents mineurs des mines de
charbon d-* Larrbratch dans le
Pays dp Galles, se sont mts en
fnevé. Ils demandent des bottes
en caoutchouc et urv- augmen-
tation de salaire pour travailler
dans l’eau
■ WASHINGTON. — Le Comité juif
d'Amérique réclame la liberté d’immi-
gration d-s Israélites en Palestine.
■ LE CAIRE — Le prince Moba-
mra Ali Halim, petit-fils de Mohamed
AU le Orand. est mort.
LES DEMOCRATIES
ET LA GUERRE
Quand an parle 4.- di moeratirs, il
o« laut pas pen»'r a I I .R.S.H. qui
n'est, au vrai, qu'une dictature par-
tirai.erem-nt autoritaire. Mais les
Mals-t'nis se flattent d'etre la démo-
cratie la plu» authentique qui soit au
monde. Or. députa la guerre, le presi-
dent Roosevelt Se comporte, autant
qu'il le peut, tomme un dictateur. U
i»t grue, sans doute, par son Tarir-
-ni qui restate ai soute al a ses vo-
lontés. K II pouvait h mettre eu conge
ill mite, apres s'etre lait donner 1rs
plein» pouvoirs, trues pour aasurr qu’U
Ir ferait immédiatement.
tn tous 1rs ras, il lui »oum. t de»
projeta de loi qui »u*p ndrnl H s-nr
die ». toutes Its libertés démocratiques.
Témoin, ce projet sur le travail obli-
gatoire qui lui permettrait de suppri-
mer Ir droit de grève et de mobiliser,
a son grr. tou» le» homme» qu il ne
réussirait pa» a mrttrr au pas.
Les dimorralit-g ne vont pat laites
pour l'etat de guerre. Des qu'elles font
acte de belligérance, riles ne sont plus
drmo.-ru'.qurs que de nom. leurs beaux
pr.nrlpt-s ne sont plus que des mots.
Apres la guerre, redeviendront-elles,
ru faM, ce qu'rMes riaient aupara-
vant ? Rien n'est moins certain.
Quoi qu il en »oit, tout ne sera pa»
pour Je mirus. aui Etais t nia. au len-
demain des hostilité». Il leur faudra
compter avec drs pris de revient es-
trnotd'nalremrnt gonlles, avec drs rhar-
f'ï^W naguère Ils ignoraient: une
anner qui leur route Irro cher, une det-
te luterieure «norme, uni- bureaurratli-
lantastlque, des impôts écrasant», une
produit ion qui nr trousers plu» son
iroidrmrnl nulle part, a moisi» de
faire au* pass importateurs, que leur
politique de guerre aura ruines, de»
«redit* presque lllimitrg: il Irur faudra
uus«t compter arrr de» problème* ,o
riaut d un rarartérr redoutable.
Ils auront au»» leuiv «preuve».\\.
EN ITALIE
LE GUARIGLIANO
SERA FORTEMENT DEFENDU
Les unîtes au Kcnetw Udtt*
ont Httcuit la nvieic Kau.do Les
Allemanûs en ont lortu'fi lau»i»-
riv-2 ainsi que le cour» du Gua-
Tiguano. Ou i>eui satiei.are a ae
rudes comuus dans ce secteur
A les; du golie du Gae’e. les
Anglo-Américains sent passes a
l’attaque apres une violente pre-
paration d’artillme. en met. a ut
en ligne de nombreuses divis ons.
Les combats sont en plein dev -
loppemént.
A ROME AU PRINTEMPS..
Alger 19 janvier — « Les An-
glo-Américains seront a Rom«
pour le printemps ». a déclaré s*r
Henry Maitland Wilson, n des
représentants de la presse
Il a dit encor» que la période
décisive da la guerre commençait
maintenant.
EN AFRIQUE
DU NORD
L’EPURATION
EN PROFONDEUR
. iiwrr. U-)»n*ér Ln s Liberté s.
jouinal rommumste du Maroc, reclaim
la rév.s.on d - tous !«■* avanc n; nts.
distinctions et récompi-ns
ta révocai.on d-s fonctionnair,s tis.es
fofeirs nu gouvrm« m nt légitimé.
Le Comité d'Alger a décidé de
pt'oroger les fonctions de' la cum-
m.sston d’épuration Jusqu’au 29
février pour l’AfriqiL» du Nord.
PT Jusqu’au 31 mars pour les co-
lonies
M. PHILIPPE HENRIOT
demande aux Français
de s’unir
Lu Ro^htm; 19 îanvier — Dur»*
une cu*uerence devant de t.*>ai-
oie uses peisoiuiaïut-s. AI "riLiup-
pe neiu-iot seci*.T**iie à c.u- -
i lnloimauon ei o L* s-riu^vgaiiot*
a lait un expose Ucs Ri aiiu-a J.-
knta ae l’actjuu pouisu.vie pui
L- marecatU Pétain et le piesi-
ütnt lutvul pour permetUo a la
rranc« tt» faire face a son des-
tm L a demande aux t tai.çais
ae ne pas croire aux paroles qts
mauvais Ovigers et des taux p-.o
phetes. mais a» lauo leur union
Il a termine en alarmant avec
force que. dans se» nouvelle
fonctions il mettrai! t>ui son
coeur au servie*, de la France
La police opère
Vichy. 19 janvier. — A Panv
au square Louvoir des inspec-
teurs en état de» légitime defen-
se. ont abattu un darigen-ux
terroriste.
A SfEticnnr six jeunes ban-
dits. auteurs d’attentats et por-
teurs darraes et d’explo6ifs. ont
été arrêtés
A Béait va i«,. hitTt individu.» ap-
partenant à une organisât ion
clandestine ont été arrêtés 1k
avaient participé à plusieurs cp?-
rations.
Avis
la- rrssovliauaat francsi» Anioinr
Claudius K4V a Ht «osdtmnr a
mort Ir 1 janvlrr 1944, par uu tri-
buaal m i lairr all. mand. rommr
franc tireur »t pour avoir lavorl»c
I ennemi.
* élr aous-chrf d un groupe
d«- rrsistanrr rl • pris part a drs
artrs dr «abotagr.
le jugrm-nt a Hr rsrrutr Ir 11
JaarliT 1944 par lua lladr.
Drr Ksoir mandant
Hrrrrsgrb'rlrs SudfraaXrctrh.
Pour avoir enguirlandé
l'arbitre
Paris 19 janvier. — Le 26 fé- '•
vrier 1913. rissittont i un match i
de bore qui opposait De.rpeaux à i
Rêne, un spectateur prit part à !
une violente manifestation contre j
Varbitre. Poursuivi par ce dernier. !
M. Escurol a été condamné à 600 1
francs d’amende L’arbitre, qui ré- i
clamait 10.000 franct de domma- !
'ntéréts. sert vu allouer ;
1.000 francs. La Fédération de .
Boxe a obtenu les dommages et '<
intérêts demandés.
LYON La Société Hippique ;
lyonnaise a f(.jt don d'un ch. val au :
professeur Vincent, pour lui p rmettre '
d«- mHtre au point le sérum cotvn la '
typhoïde. ;
DÉCORS DE L’IMAGIMATlON
Par Richard Borel
IL m'a Hé douse d'asalstcr au ver
ntssagr « use exposition de decora-
teurs. Tout es m'y reudaot, je SM
remémorais le verg de « Cyrano »
t Ma.s c’fS*. bit a plus beau lorsque
te'est inutUe ».
Drrorrr comment et avec quoi ? Le
moindre pot de pelâture eodte les jeu*
ie la tète: es ressert des grenier» des
meuMea qui, dans 1rs salles de reste,
font des prix ratapultesx, si b'.rs qs au-
iourd'hui 1rs grss solgnest avec amour
le branlant Isutruil es peluche do
lesra aïeux H passent psdiqnemest de
east leurs rideaux et leur papier mu-
ral en se regardant si leg effUoehs.
rea si les taehes.
Oui. me disais je. s'il y a us mê-
ler Mes tosché es ee moment, re doit
-tre celui de décorateur; rette e spoil
*•0 F W* être qu'une rétroopeHIve
les jours heureux od l'os pouvait se
commander l'appartemeat de son goût
avec tons les ratfiarmrnts imagina
Mes. Je m'attendais A voir des vlsa-
fes pales et drs mises consternées.
,®k Mes. je s'ai vu que des gens
•teins d allant et d'optimisme, résolu-
ment tournes vers l’ureulr.
La monsieur fort almsMr, lot-mémo
r*posant, Hc nt lalrc le tear drs
aMes.
Cam me II failjiH l’y attendre, on n’y
«Hj pas, si feae dira, des Récré
montées, mais seulement drs maqurt
tes entourées de quelque» elrmeota dr
eorallfs. N'alles pas croire pourtant
que eels respire la pauvreté. La rrall
eatioa de telle de rea maqortt.-a a routé
cinq rent millr francs.
Kartont. ce procédé a donne libre
conre A l'imagtantlon de» décorateurs.
. , •• première fols, ns travail
•strmt dans l’idral et pouvaient se li-
vrer a tontes 1rs subtilités de l'invrn
tioa pure.
Ainsi, tel a eoaça la maison d une
«‘(■lilrler, tel autre on hôtel parl'ru
lier pour rollrrt lonnrur. * l'abord im-
med'at d’une grande ville. Cette me
thodr ouvre des perspective» propre» a
rraonveler de fond en comble l'art de
la décoration, tjue dr sujets d emula-
tion qaand U s agira de trnnver toutes
Ira conditions particulières a l'appar i
[*w* 1 4» vHllenr da nuit, au parR- 1
Ion du soue off eier retraité ! CHte po- 1
Htlque aérait d'ailleurs cent fols prr- ;
•"••J* * erlle de la standardisation 1
du dre or avec «et entassements dé !
rases unilarases H ses sinistres rttrs >
Jardins dont le second terme a'eot ml* •
I* que pour faire regretter l'espace et i
M verdure.
Ces maquettes offrent aussi un avna i
tngo pratlqas : élira vont bientôt se i
Sf—ntmtr A l'étranger oA rUes montre- !
r,B* U» •>, en Franee, les astivltés !
maté-lellss sont moments asms nt sa '
•nmmslf. lia vent Ion et le gsAt Re 1»
pas. j
UN SECOND SEISME
ACHEVE LA DESTRUCTION
DE SAN JUAN
Burnos-Ayres. la janvier.
- Une nouvelle bécoubso sis-
niiau»» a été rt^tntir. A San
Juan, déjà «i dur# ment enrou
vre. la panique »’«t emparer
Or la population. Les mai-
sons rndammuircs se sont
romplrtnm^nt écrouler s,
70.00» habitant» sont sans
abri
Quatre mille rorv*a ont rie
înrtnérés p-»ur rntrr toufr
épldêtrtr.
L'évacuation de Kan Juan
a été ordonner. On envisage
dr rayo complètement la
ville.
la* president Kamirt/ a
visfté Ira lieux sinistré» cl
à une m«*sr dr rr-
nuH*m.
B LK CAÎRE L- roi Ftro'.ik a
r-cu Je g-ncrul s.r Fsgrt. nouveau com-
mandunt «n ch f d» la llo'te in.iuun -
que d« la M-d:tTrr>ji*» ori. mali
■ LE CAIRE L'IXIO. Fieri c
Yougoslavie .« qu:tt«- L" Cuir.- ■
rmdre au;>rès d- M Cnurchlll C.- drr-
, numt r fus d mt r » ntr « n -a
i.tv ir auprès d- Moscou
B LONDRES. Le sommandsni ri •-
io.c » américain t «n Europe îgm.iat
Sp*urk a rejoint son poste il r,\,«nt
d Washington où II p. confer»- avec ie
President Roosevelt et ! amiral K ng
B LONDRES - M Churrh 11 a dé-
jeuné au palais de Buckingham .< •
roi George Vf.
UN SAINT PYRENEEN
Cué du Vatican. 19 um .«•
La séance générale pour l anoio-
bation drs n(l.rack's du bienheu-
reux Michel Garcoitz. fondât étu-
des Peres de Bétlurrani en pré-
sence du Souverain Pontif . est
fixée au 15 février
Aujourd’hui tirage
de la 41 Tranche
de la LOTERIE NATIONALE
Chroniquetle
l u par» t»e titre ».tn» fine.
Il n > a p.to il cille tiu» rinutation
et |«a» «J'eniulatlon »i rllc. n r*i ett-
coutager par des chef* il el.tl»ll»»c-
inruts capables île eoinprgittlrr Ir»
elans rt le» fc>e»«>iii» tip lu jeunes-
se Il > u beaucoup
sel- se couteute «le -jtllbolc» »ut
le* mur». *.m» prii»er a la irrita-
ble Vie qui ihtlplte et prepare l'a-
venir.
La jeune»»o »tui1leu»Lr l'rltte r*t
tre» *ru»ll.l<* a certain* egarrl»
qu'ou lui tnarchande pariol* bêle-
ment.
tjuand là-on Iterant rrtablM le
ciuieoui» general entre le« Ijièf*.
le pré»i«lrni Milleraiid parluit tie
l'indigence de »e» titre» i>our la
pre*ldfiK'e du banquet de l'A*»o-
clation. mal» on avait voit ut *c
rappeler qu en lî*2'î. a IJ »t»ri»on-
ne II avait prr-i«1«* a l«t redirec-
tion du lonconr* general tire de
»j li-tliargi^ par la bagu;*(te du
luasicirii i-cuu âtcraril.
El celui-ci -e- logatl de v«iir «le»
bouline» qui «r*eu| *e féliciter d'a-
voir été de b«»n« «levé*. »^ *-enl.«nt
tenu» par
spirituelle.
Oh ! re u'e-t pas qu'«»u oit un
n* parer «to'on a obieiitt une nu-
uiinatlou nu ( on« *ur* genentl
l 'e»l une pitsomptlou. Mal* Il ne.
laut pa» parler au ha*.V.I, lllrn
que tout ait élé dit aver heao-
roup de precision dan» un livre
intitulé » Loul» Harthou ». le pre
tidcnl lui nue eu 1934 pronom a
uu dlMoni» uul e»t un >t *u der-
reurs fort bien Intentionnée» ;
« Louis llarthou disait le |>re»l-
Icstt du tribuual «U ILtvonne. a
•te l'élève du lycée «le l’an le plu»
brillaut de sa generation et. un-
Joute, de toute» Ips geneiation»
jui se »ont «uocedées. »
('« n'est pa* bien exart. Ilaithou
i eu de» sucres eu dlsctiurs latin»,
•u espagnol on violon, en rretta-
ilon classique. Kn ret-bnrique. il
Jbltnt au roiu'our» acailénil«|iie un
«eplieine acce»»U de dl*«»urs latin,
-e n est pa» foudroyant.
Les brillajita lauréat» du Con-
out» général le» Julc* Legrand
H I4cntllbf». le» Lary, les P i«Mir-
>ault obtinrent plu* «le jprix que
lariiKui, mal* celuT-ci del Int en-
Küte le reenril des p«>rteteuillr».
£t plus tard le* beaux sucré» d’V.
*ellann!> et d'Arlgs* Von* von*
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lon «le» prix, on fêtait fort «'eux
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ycée mal» encore fallait-il que le
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Avec quelle rae«- Jr nie ‘ouvlen*
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in «n avait une; J'axai* la plu*
•elle eu discours truncal*. On Ri-
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la distribution des prix de 1HMJ4
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Jean Aa GAVA
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