Titre : Basket-ball : organe officiel de la Fédération française de basket-ball
Auteur : Fédération française de basket-ball. Auteur du texte
Éditeur : Fédération française de basket-ball (Paris)
Date d'édition : 1949-12-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34387729f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 21659 Nombre total de vues : 21659
Description : 15 décembre 1949 15 décembre 1949
Description : 1949/12/15 (A18,N211). 1949/12/15 (A18,N211).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5818206v
Source : Fédération Française de BasketBall/Musée du Basket, 2009-174754
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
i J8C Année. — N° 211
15 DECEMBRE 1949
I .Au Palais des Sports de Bruxelles : "ht^teïe et te^elle* de 0^
Sur un court glissant, nos coqs n'ont pu planter
leurs ergots pour mener à bien des contre-
attaques parfaitement mises au point
De notre rédacteur en chef Gilbert BiDEAUX
tifNBLGÏQUE-FRANCE, masculin et féminin, le 3 décembre 1949. à
flK Bruxelles.
%J iros Equipes belges : deux victoires, 93 points en 80 minutes,
s Equipes françaises, deux
défaites. 81 points, même temps.
Que le champion du monde cycliste Van Stenberghen daigne s'as-
seoir sur la selle « truc », que sa bicyclette « réaction » soit munie
de pneu « exprès », passe encore pour ses citations. Mais que la
publicité ne vienne pas se « ni-
cher » aux pieds des basketteurs.
D'accord.
la'Fédération belge s'était mise
en frais pour organiser ces annuel-
les rencontres. Rien ne devait clo-
cher... Sauf une humidité persis-
tante non prévue, qu'avec la
■complicité de la condensation, trans-
forma le dallage du Palais d'es
Sports en patinoire.
Les Belges, grâce à leurs chaus-
sures à semelle de caoutchouc avec
"ventouse,-adhérèrent mieux au court
que les Français, élégamment
chaussés avec semelle crêpe. Cha-
cun de leur démarrage se traduisit
par une glissade aue les deux ex-
cellents arbitres italiens, MM.
Cenni et Testa, ne confondirent
Pas avec un « marcher ». Chaque
shot de loin, qui nécessitait un ef-
fort, donnait lieu à un déséquili-
bre,
De telles"* conditions atmosphéri-
ques peuvent se retrouver en d'au-
tres lieux. Les anciens se souvien-
nent sans doute, de la réunion
inaugurale de la « Maison du Bas-
ket » aux Buttes-Chaumont. Le
Parquet qui avait fait l'admiration
TOs techniciens était devenu plus
pissant que le carrelage bruxel-
lois; à tel point aue les joueurs
mirent évoluer pieds nus.
Pour éviter de tels déboires, il
suffira à l'avenir de doter l'équi-
pement de nos internationaux,
«une chaussure à semelle de corde.
On a écrit titre même, que la
«efaite de l'Equipe de France mas-
culine était imputable à la mau- i
™"se tenue des joueurs Thiolon et ,
"erency, desquels on était en droit
«attendre le meilleur. I
Ces deux athlètes ont la même
morphologie : grands et légers. \
sur le court du Palais des Sports,
~„oa\ subi les mêmes lois physi-
?«"">. » savoir aue le corps d'un
Joueur en activité est soumis à
*ux forces :
1) Son poids, force qui l'attire
vers le bas;
2) La force de propulsion dirigée
horizontalement et qui dépend, à
la fois de la masse et de l'accélé-
ration. Cette force est plus impor-
tante chez le joueur léger.
La force résultante a donc une
inclinaison, beaucoup plus faible,
chez ce dernier, ce qui explique ses
glissades d'ans ses démarrages, ses
arrêts et changements de direc-
tion.
A ces lois, ajoutons ime certaine
appréhension, la crainte de l'acci-
dent pour Thiolon, un moral bien
bas de Derency, et leur jugement
j sera renvoyé à beaucoup plus tard.
| Swidzinski, malgré une base plus
I solide, a été sérieusement handi-
I cape, par l'état du court. Il usa
de la "feinte de shot, qui « .prit »
I fréquemment, mais dès- qu'il vou-
I lut partir en dribble, il dérapa et
tout était à -recommencer.
I Ces précisions étant faites, poul-
ie souci de l'information, nous
n'irons pas jusqu'à prétendre,
! qu'en d'autres conditions, les équi-
1 pes de France auraient triomphé.
M. BRIOT,
Sorcier contre la France.,.
Elles ont rencontré de grandes
équipes belges, bien préparées, ani-
mées d'un moral bien trempé. Dis-
posant d'une moins vaste pépinière
que Robert Busnel, le sélectionneur
M. Briot, malgré la défection des
gantois, sut composer une sélection,
avec des éléments aux moyens bien
différents.
Bsr- Suite page 3.
mniimilNHlmiimimiiiiiiiiiMiuiniimiiiiiiiiiiiMiH
LES ORGANISATIONS DE LA F. F. B. B.
Dans sa salle, le C. S. M. Auboué, a tiré
un feu d'artifice qui a Mô-ul le Racing C. F.
Illjijl E 6e Tour du Championnat de France de la Division Nationale
avait comme matches vedettes : A.S. Villeurbanne-F.C. Mont-
HllIL toison et C.S.M. Auboué-Racing CF. Ils le furent en effet et
dépassèrent même les précisions escomptées. Les autres rencontres ne
furent pas pour cela sans intérêt. L'on enregistra même une sensa-
tionnelle victoire : celle de Rupella Sports remportée sur l'U.S. Pont-
l'Evêque qui, pourtant, avait l'avantage de jouer sur son terrain.
Il nous est agréable de constater
à chaque tour le succès remporté
par cet:e comnétition. M. Flageollet,
Président du Comyté d'e Lorraine,
j spectateur intéressé du match
, Auboué-Racing n'en croyait pas ses
yeux.
| « Allons, nous dit-il, de sa voix
mesurée, les pionniers n'ont pas
! oeuvré dans le désert. Aux diri-
geants actuels de continuer leur
tâche. Les adversaires du Cham-
pionnat de France ont encore le
temps de dire qu'ils se sont trom-
pés ».
Une grande part de ce succès re-
vient aux joueurs. Leur esprit force
souvent l'admiration. Le Racing,
pris de vitesse, dominé en adresse,
n'eut pas l'idée de fermer le jeu
afin de réduire l'écart. Busnel et ses
partenaires sont tombés mais en
beauté. Les spectateurs de la ré-
gion 'lorraine, leur en surent gré.
Pour que la fête ne soit pas com-
plète, les marqueurs du match A.S.
Monaco-A.SP.O. de Tours se sont
%m~ Suite page 2
Chez les Excellents (Mascu-
culins) la lutte s'intensifie
Avec rtSiC. Livry, les clubs
auvergnats Stade Clermontois
et A. S. Montferrandaise, mt
connu teuH, piiemiète dé'
Seuls invaincus : Cheminots
de l'Est, Stade Français et
J. D. A. Ménilmontant
par Louis LAPEYRE
«m "J terme du cycle des matches
Ml aller du Championnat Excel-
Mm lence, six formations étaient
parvenues à conserver leur palma-
rès vierge de 'défaite.
Et voilà que, dès le premier tour
du retour, trois d'entre elles trébu-
chent.
L'on savait que le déplacement
du Havre serait périlleux pour TE.
S.G. Livry, mais l'on pensait que le
Stade Clermontois et l'A.S Mont-
ferrandaise — curieuse coïncidence
parviendrait à surmonter les diffi-
cultés qui se présenteraient à eux.
Ainsi, ce sont trois formations
parisiennes qui restent invaincues :
A. S. Ch. Est, J.D. A. Ménilmontaair
et Stade Français, trois « cinq.s qui
connaissent dépuis longue date, les
vicissitude des épreuves de longue
haleine.
A. — Antibes Olympique, dont on
attendait un redressement défini-
tif a trébuché devant Nice Sports.
Voilà qui n'est pas sans surprendre
Heureusement, dans le même
temps, l'A.L.M. St-Rambert Con-
naissait une nouvelle défaillance
face aux inconstants Stéphanois du-
C.A. Coquelicots, décidés à jouer les
parfaits trouble-fête. Quant au T.
U.C., il profite de cette double dé-
faite pour partager la place du iea-
der.
B. — Là, la domination des Che-
minots de l'Est est constante, niai-
gré les bonnes parties de ses adver-
saires. La situation des Patriotes
Layrac et du C.A. Bégles apparaît
plus critique.
C. —.Le S.O. Chambéry, ex;, pre-
nant sa revanche sur l'A.S. Roanae
a confirmé et son retour en forme
et ses ambitions pour un rôle su-
périeur. La surprise est venue du
CM. Aubervilliers qui a dominé ?a
V.G.A. St-Maur, autre équipe in-
constante.
D. — C'est l'E.S. Paris-Sud qui a
fait subir la première défaite au
Stade Clermontois. Les Auvergnats
battus « in extremis » peuvent ar-
guer de conditions de jeu inhabi-
tuelles pour eux. La Chorale P."j-ir>-
15 DECEMBRE 1949
I .Au Palais des Sports de Bruxelles : "ht^teïe et te^elle* de 0^
Sur un court glissant, nos coqs n'ont pu planter
leurs ergots pour mener à bien des contre-
attaques parfaitement mises au point
De notre rédacteur en chef Gilbert BiDEAUX
tifNBLGÏQUE-FRANCE, masculin et féminin, le 3 décembre 1949. à
flK Bruxelles.
%J iros Equipes belges : deux victoires, 93 points en 80 minutes,
s Equipes françaises, deux
défaites. 81 points, même temps.
Que le champion du monde cycliste Van Stenberghen daigne s'as-
seoir sur la selle « truc », que sa bicyclette « réaction » soit munie
de pneu « exprès », passe encore pour ses citations. Mais que la
publicité ne vienne pas se « ni-
cher » aux pieds des basketteurs.
D'accord.
la'Fédération belge s'était mise
en frais pour organiser ces annuel-
les rencontres. Rien ne devait clo-
cher... Sauf une humidité persis-
tante non prévue, qu'avec la
■complicité de la condensation, trans-
forma le dallage du Palais d'es
Sports en patinoire.
Les Belges, grâce à leurs chaus-
sures à semelle de caoutchouc avec
"ventouse,-adhérèrent mieux au court
que les Français, élégamment
chaussés avec semelle crêpe. Cha-
cun de leur démarrage se traduisit
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cellents arbitres italiens, MM.
Cenni et Testa, ne confondirent
Pas avec un « marcher ». Chaque
shot de loin, qui nécessitait un ef-
fort, donnait lieu à un déséquili-
bre,
De telles"* conditions atmosphéri-
ques peuvent se retrouver en d'au-
tres lieux. Les anciens se souvien-
nent sans doute, de la réunion
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ket » aux Buttes-Chaumont. Le
Parquet qui avait fait l'admiration
TOs techniciens était devenu plus
pissant que le carrelage bruxel-
lois; à tel point aue les joueurs
mirent évoluer pieds nus.
Pour éviter de tels déboires, il
suffira à l'avenir de doter l'équi-
pement de nos internationaux,
«une chaussure à semelle de corde.
On a écrit titre même, que la
«efaite de l'Equipe de France mas-
culine était imputable à la mau- i
™"se tenue des joueurs Thiolon et ,
"erency, desquels on était en droit
«attendre le meilleur. I
Ces deux athlètes ont la même
morphologie : grands et légers. \
sur le court du Palais des Sports,
~„oa\ subi les mêmes lois physi-
?«"">. » savoir aue le corps d'un
Joueur en activité est soumis à
*ux forces :
1) Son poids, force qui l'attire
vers le bas;
2) La force de propulsion dirigée
horizontalement et qui dépend, à
la fois de la masse et de l'accélé-
ration. Cette force est plus impor-
tante chez le joueur léger.
La force résultante a donc une
inclinaison, beaucoup plus faible,
chez ce dernier, ce qui explique ses
glissades d'ans ses démarrages, ses
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tion.
A ces lois, ajoutons ime certaine
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j sera renvoyé à beaucoup plus tard.
| Swidzinski, malgré une base plus
I solide, a été sérieusement handi-
I cape, par l'état du court. Il usa
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I fréquemment, mais dès- qu'il vou-
I lut partir en dribble, il dérapa et
tout était à -recommencer.
I Ces précisions étant faites, poul-
ie souci de l'information, nous
n'irons pas jusqu'à prétendre,
! qu'en d'autres conditions, les équi-
1 pes de France auraient triomphé.
M. BRIOT,
Sorcier contre la France.,.
Elles ont rencontré de grandes
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M. Briot, malgré la défection des
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Bsr- Suite page 3.
mniimilNHlmiimimiiiiiiiiiMiuiniimiiiiiiiiiiiMiH
LES ORGANISATIONS DE LA F. F. B. B.
Dans sa salle, le C. S. M. Auboué, a tiré
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HllIL toison et C.S.M. Auboué-Racing CF. Ils le furent en effet et
dépassèrent même les précisions escomptées. Les autres rencontres ne
furent pas pour cela sans intérêt. L'on enregistra même une sensa-
tionnelle victoire : celle de Rupella Sports remportée sur l'U.S. Pont-
l'Evêque qui, pourtant, avait l'avantage de jouer sur son terrain.
Il nous est agréable de constater
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par cet:e comnétition. M. Flageollet,
Président du Comyté d'e Lorraine,
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, Auboué-Racing n'en croyait pas ses
yeux.
| « Allons, nous dit-il, de sa voix
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! oeuvré dans le désert. Aux diri-
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pionnat de France ont encore le
temps de dire qu'ils se sont trom-
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Une grande part de ce succès re-
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gion 'lorraine, leur en surent gré.
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et A. S. Montferrandaise, mt
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Seuls invaincus : Cheminots
de l'Est, Stade Français et
J. D. A. Ménilmontant
par Louis LAPEYRE
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Et voilà que, dès le premier tour
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L'on savait que le déplacement
du Havre serait périlleux pour TE.
S.G. Livry, mais l'on pensait que le
Stade Clermontois et l'A.S Mont-
ferrandaise — curieuse coïncidence
parviendrait à surmonter les diffi-
cultés qui se présenteraient à eux.
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A. S. Ch. Est, J.D. A. Ménilmontaair
et Stade Français, trois « cinq.s qui
connaissent dépuis longue date, les
vicissitude des épreuves de longue
haleine.
A. — Antibes Olympique, dont on
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Voilà qui n'est pas sans surprendre
Heureusement, dans le même
temps, l'A.L.M. St-Rambert Con-
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C.A. Coquelicots, décidés à jouer les
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U.C., il profite de cette double dé-
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B. — Là, la domination des Che-
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C. —.Le S.O. Chambéry, ex;, pre-
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et ses ambitions pour un rôle su-
périeur. La surprise est venue du
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V.G.A. St-Maur, autre équipe in-
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D. — C'est l'E.S. Paris-Sud qui a
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Stade Clermontois. Les Auvergnats
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