Titre : Basket-ball : organe officiel de la Fédération française de basket-ball
Auteur : Fédération française de basket-ball. Auteur du texte
Éditeur : Fédération française de basket-ball (Paris)
Date d'édition : 1949-09-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34387729f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 21659 Nombre total de vues : 21659
Description : 20 septembre 1949 20 septembre 1949
Description : 1949/09/20 (A17,N207). 1949/09/20 (A17,N207).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k58182026
Source : Fédération Française de BasketBall/Musée du Basket, 2009-174754
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
Pïî? Année. — N° 207
20 SEPTEMBRE 1949
LE DROIT INTERNATIONAL PRIME
La Coupe M Al R A N O
stoppe le Championnat de France à son début
par Gilbert BIDEAUX
t
** iiiiin  Cdiïpe Mairâaio, çnû se disputera à Nantes, du 3 au 9 octobre,
Il sera, en fait, la revanche amicale des championnats d'Europe.
IL trne épreuve qui vient à point pour faire manquer le départ du
championnat de France de la division nationale.
' On frappera, néanmoins, les trois coups le 2 octobre, mais de nom-
breux acteurs resteront derrière le rideau, car bien des équipes auront
des sélectionnés pour Naples.
JSfoùs l'attendions pourtant ce pre-
mier tour. Lui, seul, pcnivait nous
donner des indications précises sur
la.forme des Qualifiés; aux tuyaux
•d'entraînement, aux matches ami-
caux, il ne faut donner Qu'une im-
portance relative. C'est sous les
i panneaux, face aux adversaires de
valeur, que l'on voit les... basket-
teurs.
Certains nationaux livreront
. pourtant leurs secrets, mais, grands
dieux, lesquels ? Nous ne sommes
pas dans les secrets de l'entraîneur
fédéral. D'ailleurs, le stage prépara-
toire à la Coupe Mairano n'est pas
commencé, à l'heure où nous écri-
rons ces lignes.
Quelle déception, aussi, pour les
•organisateurs, qui étaient tout heu-
reux de présenter, dans leur cité,
1" premier grand match de la divi-
sion nationale. (Mais rien n'est per-
du, ici-bas. Ce contre-temps va
nous permettre de présenter les
«seize » de la division nationale,
répartis en deux poules de huit.
Rappelons que ce" championnat de
France se dispute avec matches al-
ler et retour, que les 1/2 finales op-
poseront le vainqueur de la poule
A au second de la poule B, et le
>»iïâihqueuf: de. la poule B au second
de la poule A.
U BOMBE MARSEILLAISE
ta logique voulait que l'A.S. Vil-
leurbanne, chaanDion de France
1948-49, et l'U.A (Marseille, finaliste,
soient respectivement tête de liste
des deux groupes.
I«s joueurs de I'TJJA. Marse'lle et
leurs dirigeants ont cru qu'ils
avaient intérêt à . fusionner avec
l'Olympique, je club, qui représente
vraiment la seconde ville de Fran-
ce La fusion s'est liquéfiée, tout au
TOoins à. la première expérience, La
Commission sportive a désigné le
Racing Club Municipal de Toulouse
Pour prendre la place de l'U.A.
M. Et voilà comment le 17a club de
france est devenu tête de file de
ia poule B.
Le choix du RJCM. Toulouse,
Pourtant basé sur ses performances
de la saison dernière, a fait des
mécontents. Pouvait-il en être au-
wement? Certains dirigeants de
clubs, croyant avoir des preuves à
l'appui, affirmèrent qu'on avait, usé
de la cote d'amour pour désigner
le remplaçant de l'I^AM. Que la
Fédération avait besoin d'un centre
à Toulouse, que sais-je encore.
(La F.F.'B.B. a besoin de centres
dans toute la France, et si elle avait
dû faire un choix, sans tenir comp-
te des performances du nouveau
promu, elle aurait pu songer à
Clermont-Ferrand, par exemple, où
il y a une salle et la certitude d'y
faire recette,
n i n i uni n 11 muni m mm n mi minimum minimum
A EUX DE JOUER
LES HUIT «A»
Les seize nationaux, classés en
deux poules, n'ont pas tous ie mê-
me passé, ni la même valeur. Cer-
tains d'eux font figure de victimes,
ce qui ne veut pas dire qu'ils sont
.voués au bas du tableau et à la des-
cente en Excellence. Le propre.d'u-
ne compétition n'est-il pas de révé-
ler des équipes ? Voici les effectifs,
les forces et les faiblesses apparen-
tes des nationaux.
D'abord I'AJS. VILLEURBANNE,
champion' de France. On s'atten-
dait à voir des étoiles filer vers
la cité lyonnaise et aussi à des dé-
parts. Le titre a fait l'union dans
la formation.
BWÊ- Suite page 3.
I 11 III II IITI [I! Il 11111 il IITI m il il ru mi m ITII m il IITM il ni 11
llllllllllllllllllllllllMIIMIIIIIIIlIlUllllllItlIlNllllMliniUlllllllllllllllllllllllllllllllllllIllIlllllllllllllllllllllllllll
Bien faire toutes choses
.*en {iïô-{ltd(tt ded &eç&fi6 du (uitté
par Robert LESCARET, Secrétaire Général de la F. F. B. B.
M*
ON dernier article dans « Basket » m'a valu quelques réactions
de nos correspondants et c'est normal.
Décentraliser, au profit des Ligues 'disent les uns, au profit des
Comités Départementaux disent tes autres.
Redonner aux Ligues des pouvoirs administratifs et ne con-
sidérer les Comités Département aux que comme des échelons spor-
tifs sans plus.
Le problème reste entier car le travail en profondeur se fait au
sein des Comités Départementaux qui doivent être les chevilles ou-
vrières de la Fédération.
Si les dernières statistiques sont
encourageantes elles 'méritent un
examen de conscience approfondi
de la part des Comités .en régres-
sion.
Crise de dirigeants parfois, mais
dans ce cas qu'elle a été l'inter-
vention de la Ligue pour pallier
dans certains départements à une
situation parfois difficile.
A-t-on pensé dans les Comités
Départementaux que dans les com-
munes les instituteurs pouvaient
être des propagandistes de notre
sport, -leur action prépondérante
auprès des jeunes pouvait être dé-
terminante, mais il faut les con-
tacter et c'est davantage le rôle
des dirigeants départementaux qui
sont sur place.
Ce conflit d'idées qui Assemblée Générale se -manifeste
de plus en plus a fait l'objet d'une
mise aw point du Président Boi-
ztard dans le n° 205 du journal Bas-
ket.
La F.F.B.B. connaît la vie du
Basket en province, et ses difficul-
tés; elle n'ignore pais le dévouement
de ses dirigeants, mais l'unanimité
de doctrine est loin d'être réaiisée et
le maintien du « statu quo » nous
a paru la solution la meilleure.
Que nous réserve l'avenir ? Les
prochaines Assemblées Générales
nous éclaireront sur cette) impor-
tante question.
Mais la discipline sportive fait
un devoir aux récalcitrants de se
conformer aux directives fédérales;
l'intérêt général exige le respect des
décisions prises.
Il faut faire du neuf, à la con-
dition expresse que la quasi-unani-
mité soit réalisée et que cette trans-
formation éventuelle soit pour le
Basket français la source d'un nou-
vel essor.
Mais cette querelle de dirigeants
n'intéresse que partiellement nos
(W- Suite page 2.
L'équipement des Terrains
If IA:H:;AU
DE MAKQU:;
par André BOULONNAIS
Membre du Bureau Fédéral
Les organisateurs négligent trop
souvent le tableau d'affichage. Ce
tableau totalisateur qui, en aucun
cas n'est officiel, esï simplement
destiné à permettre au public de
suivre la partie avec intérêt.
Ce tableau doit être bien placé,
pour être vu de tout le monde, et
il doit être lisible de loin et d'un
usage .facile.
Nous proposons les deux types
mobiles suivants : (1)
1» Le modèle A suivant plan n°
10 possède un panneau de bois
ayant pour hauteur 0 m. 75 et
pour largeur 1 m. 50 fixé sur deux
montants en chevrons de 0,08 x
0.08 reliés dans leur partie infé-
rieure par une traverse et repo-
sant sur deux semelles, qui peuvent
être remplacées par des socles mu-
nis d'alvéoles dans lesquelles s'em-
boitent les montants. La base du
panneau est à 1 m. 50 du sol.
Dans la partie supérieure deux
panneaux de 0 m. 65 x 0 m. 30
coulissant dans des glissières hori-
zontales ou fixés par deux pitons.
Sur ces panneaux figurent les titres
de"s équipes en présence. Au-des-
sous de chacun d'eux deux plaques
de 0 m. 30 x 0 m. 25 indiquant le
score.
2° Le modèle B suivant plan n°
11 est beaucoup plus complet.
Nous conseillons d'y faire figurer :
Les titres des deux Clubs en pré-
sence.
Le numéro de chaque joueur.
Le nombre de points marqués par
chaque'joueur.
Le nombre de fautes personnelles
de chacun des joueurs.
Le total des points marqués par
chacune des équipes.
Il doit être à la vue de tous, la
reproduction de la feuille de match.
Ceci nécessite de le prévoir de
dimensions assez vastes.
Le panneau aura pour hauteur
2 m. 50 et pour largeur 1 m. 50. La
largeur sera divisée en deux parties
égales de 0 m. 75 possédant les
mêmes divisions, l'une étant réser-
vée à l'équipe A, l'autre à l'équipe
B.
Chaque case comprendra, dans la
partie supérieure, le titre de l'équi-
pe sur un panneau amovible ayant
pour hauteur 0 m. 30 et pour lar-
geur 0 m. 65. Au-dessous de chacun
de ces panneaux, trois colonnes di-
visées dans la hauteur en douze
cases égales.
(1) Le Secrétariat tient les plans
10 et 11 à la disposition des inté-
ressés.
HT Suite page 2.
20 SEPTEMBRE 1949
LE DROIT INTERNATIONAL PRIME
La Coupe M Al R A N O
stoppe le Championnat de France à son début
par Gilbert BIDEAUX
t
** iiiiin  Cdiïpe Mairâaio, çnû se disputera à Nantes, du 3 au 9 octobre,
Il sera, en fait, la revanche amicale des championnats d'Europe.
IL trne épreuve qui vient à point pour faire manquer le départ du
championnat de France de la division nationale.
' On frappera, néanmoins, les trois coups le 2 octobre, mais de nom-
breux acteurs resteront derrière le rideau, car bien des équipes auront
des sélectionnés pour Naples.
JSfoùs l'attendions pourtant ce pre-
mier tour. Lui, seul, pcnivait nous
donner des indications précises sur
la.forme des Qualifiés; aux tuyaux
•d'entraînement, aux matches ami-
caux, il ne faut donner Qu'une im-
portance relative. C'est sous les
i panneaux, face aux adversaires de
valeur, que l'on voit les... basket-
teurs.
Certains nationaux livreront
. pourtant leurs secrets, mais, grands
dieux, lesquels ? Nous ne sommes
pas dans les secrets de l'entraîneur
fédéral. D'ailleurs, le stage prépara-
toire à la Coupe Mairano n'est pas
commencé, à l'heure où nous écri-
rons ces lignes.
Quelle déception, aussi, pour les
•organisateurs, qui étaient tout heu-
reux de présenter, dans leur cité,
1" premier grand match de la divi-
sion nationale. (Mais rien n'est per-
du, ici-bas. Ce contre-temps va
nous permettre de présenter les
«seize » de la division nationale,
répartis en deux poules de huit.
Rappelons que ce" championnat de
France se dispute avec matches al-
ler et retour, que les 1/2 finales op-
poseront le vainqueur de la poule
A au second de la poule B, et le
>»iïâihqueuf: de. la poule B au second
de la poule A.
U BOMBE MARSEILLAISE
ta logique voulait que l'A.S. Vil-
leurbanne, chaanDion de France
1948-49, et l'U.A (Marseille, finaliste,
soient respectivement tête de liste
des deux groupes.
I«s joueurs de I'TJJA. Marse'lle et
leurs dirigeants ont cru qu'ils
avaient intérêt à . fusionner avec
l'Olympique, je club, qui représente
vraiment la seconde ville de Fran-
ce La fusion s'est liquéfiée, tout au
TOoins à. la première expérience, La
Commission sportive a désigné le
Racing Club Municipal de Toulouse
Pour prendre la place de l'U.A.
M. Et voilà comment le 17a club de
france est devenu tête de file de
ia poule B.
Le choix du RJCM. Toulouse,
Pourtant basé sur ses performances
de la saison dernière, a fait des
mécontents. Pouvait-il en être au-
wement? Certains dirigeants de
clubs, croyant avoir des preuves à
l'appui, affirmèrent qu'on avait, usé
de la cote d'amour pour désigner
le remplaçant de l'I^AM. Que la
Fédération avait besoin d'un centre
à Toulouse, que sais-je encore.
(La F.F.'B.B. a besoin de centres
dans toute la France, et si elle avait
dû faire un choix, sans tenir comp-
te des performances du nouveau
promu, elle aurait pu songer à
Clermont-Ferrand, par exemple, où
il y a une salle et la certitude d'y
faire recette,
n i n i uni n 11 muni m mm n mi minimum minimum
A EUX DE JOUER
LES HUIT «A»
Les seize nationaux, classés en
deux poules, n'ont pas tous ie mê-
me passé, ni la même valeur. Cer-
tains d'eux font figure de victimes,
ce qui ne veut pas dire qu'ils sont
.voués au bas du tableau et à la des-
cente en Excellence. Le propre.d'u-
ne compétition n'est-il pas de révé-
ler des équipes ? Voici les effectifs,
les forces et les faiblesses apparen-
tes des nationaux.
D'abord I'AJS. VILLEURBANNE,
champion' de France. On s'atten-
dait à voir des étoiles filer vers
la cité lyonnaise et aussi à des dé-
parts. Le titre a fait l'union dans
la formation.
BWÊ- Suite page 3.
I 11 III II IITI [I! Il 11111 il IITI m il il ru mi m ITII m il IITM il ni 11
llllllllllllllllllllllllMIIMIIIIIIIlIlUllllllItlIlNllllMliniUlllllllllllllllllllllllllllllllllllIllIlllllllllllllllllllllllllll
Bien faire toutes choses
.*en {iïô-{ltd(tt ded &eç&fi6 du (uitté
par Robert LESCARET, Secrétaire Général de la F. F. B. B.
M*
ON dernier article dans « Basket » m'a valu quelques réactions
de nos correspondants et c'est normal.
Décentraliser, au profit des Ligues 'disent les uns, au profit des
Comités Départementaux disent tes autres.
Redonner aux Ligues des pouvoirs administratifs et ne con-
sidérer les Comités Département aux que comme des échelons spor-
tifs sans plus.
Le problème reste entier car le travail en profondeur se fait au
sein des Comités Départementaux qui doivent être les chevilles ou-
vrières de la Fédération.
Si les dernières statistiques sont
encourageantes elles 'méritent un
examen de conscience approfondi
de la part des Comités .en régres-
sion.
Crise de dirigeants parfois, mais
dans ce cas qu'elle a été l'inter-
vention de la Ligue pour pallier
dans certains départements à une
situation parfois difficile.
A-t-on pensé dans les Comités
Départementaux que dans les com-
munes les instituteurs pouvaient
être des propagandistes de notre
sport, -leur action prépondérante
auprès des jeunes pouvait être dé-
terminante, mais il faut les con-
tacter et c'est davantage le rôle
des dirigeants départementaux qui
sont sur place.
Ce conflit d'idées qui Assemblée Générale se -manifeste
de plus en plus a fait l'objet d'une
mise aw point du Président Boi-
ztard dans le n° 205 du journal Bas-
ket.
La F.F.B.B. connaît la vie du
Basket en province, et ses difficul-
tés; elle n'ignore pais le dévouement
de ses dirigeants, mais l'unanimité
de doctrine est loin d'être réaiisée et
le maintien du « statu quo » nous
a paru la solution la meilleure.
Que nous réserve l'avenir ? Les
prochaines Assemblées Générales
nous éclaireront sur cette) impor-
tante question.
Mais la discipline sportive fait
un devoir aux récalcitrants de se
conformer aux directives fédérales;
l'intérêt général exige le respect des
décisions prises.
Il faut faire du neuf, à la con-
dition expresse que la quasi-unani-
mité soit réalisée et que cette trans-
formation éventuelle soit pour le
Basket français la source d'un nou-
vel essor.
Mais cette querelle de dirigeants
n'intéresse que partiellement nos
(W- Suite page 2.
L'équipement des Terrains
If IA:H:;AU
DE MAKQU:;
par André BOULONNAIS
Membre du Bureau Fédéral
Les organisateurs négligent trop
souvent le tableau d'affichage. Ce
tableau totalisateur qui, en aucun
cas n'est officiel, esï simplement
destiné à permettre au public de
suivre la partie avec intérêt.
Ce tableau doit être bien placé,
pour être vu de tout le monde, et
il doit être lisible de loin et d'un
usage .facile.
Nous proposons les deux types
mobiles suivants : (1)
1» Le modèle A suivant plan n°
10 possède un panneau de bois
ayant pour hauteur 0 m. 75 et
pour largeur 1 m. 50 fixé sur deux
montants en chevrons de 0,08 x
0.08 reliés dans leur partie infé-
rieure par une traverse et repo-
sant sur deux semelles, qui peuvent
être remplacées par des socles mu-
nis d'alvéoles dans lesquelles s'em-
boitent les montants. La base du
panneau est à 1 m. 50 du sol.
Dans la partie supérieure deux
panneaux de 0 m. 65 x 0 m. 30
coulissant dans des glissières hori-
zontales ou fixés par deux pitons.
Sur ces panneaux figurent les titres
de"s équipes en présence. Au-des-
sous de chacun d'eux deux plaques
de 0 m. 30 x 0 m. 25 indiquant le
score.
2° Le modèle B suivant plan n°
11 est beaucoup plus complet.
Nous conseillons d'y faire figurer :
Les titres des deux Clubs en pré-
sence.
Le numéro de chaque joueur.
Le nombre de points marqués par
chaque'joueur.
Le nombre de fautes personnelles
de chacun des joueurs.
Le total des points marqués par
chacune des équipes.
Il doit être à la vue de tous, la
reproduction de la feuille de match.
Ceci nécessite de le prévoir de
dimensions assez vastes.
Le panneau aura pour hauteur
2 m. 50 et pour largeur 1 m. 50. La
largeur sera divisée en deux parties
égales de 0 m. 75 possédant les
mêmes divisions, l'une étant réser-
vée à l'équipe A, l'autre à l'équipe
B.
Chaque case comprendra, dans la
partie supérieure, le titre de l'équi-
pe sur un panneau amovible ayant
pour hauteur 0 m. 30 et pour lar-
geur 0 m. 65. Au-dessous de chacun
de ces panneaux, trois colonnes di-
visées dans la hauteur en douze
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(1) Le Secrétariat tient les plans
10 et 11 à la disposition des inté-
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