Titre : Basket-ball : organe officiel de la Fédération française de basket-ball
Auteur : Fédération française de basket-ball. Auteur du texte
Éditeur : Fédération française de basket-ball (Paris)
Date d'édition : 1948-04-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34387729f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 21659 Nombre total de vues : 21659
Description : 01 avril 1948 01 avril 1948
Description : 1948/04/01 (A16,N185). 1948/04/01 (A16,N185).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5818177k
Source : Fédération Française de BasketBall/Musée du Basket, 2009-174754
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/11/2010
16e'"Année. — N° 185
1 r AVRIL 1948
L'EQUIPE NATIONALE
| a battu les |
au cours d'un Match
|_; peu animé __J
LA Préparation Olympique con-
siste à donner, à nos Interna-
tionaux de fréquentes occasions de
parfaire leur technique individueUe
et d'acquérir l'indispensable condi-
tion physique.
France-Etrangers de France pro-
mettait beaucoup. Il a déçu d'abord
■les organisateurs qui durent choisir
une date peu favorable à la recette
et ensuite les spectateurs qui ne fi-
rent rien pour élever le débat.
La Sélection des Etrangers rési-
dant en France força nos Interna-
tionaux à s'employer mais pas plus.
Et pourtant : Hongrois, Lithua-
■niens, Italiens, manquèrent de flam-
me et surtout d'un manager.
Ruzffis qui pourvoit remplir ce
rôle préféra celui d'acteur, mais bien
.souvent il oublia les plus importan-
tes répliques, NemetJi, qui aurait pu
donner quelques leçons à Thlolon et
-Perniceni était rivé trop souvent à
la place d'arrière.
L'équipe de France a gagné par
>■38-29 (21-12), sans avoir beaucoup
appris, mais sa7is avoir perdu son
temps.
Si Nemeth fut plus décevant que
lors de sa dernière montée, à Pa-
ris, son compatriote Racz s'y est im-
posé d'emblée.
L'élancé Hongrois est le parfait
type de l'arrière. Ses adversaires ont
eu le loisir d'admirer : sa détente,
.la précison de ses passes, le dérou-
lement de son dribble et la protec-?
tion qu'il offre au ballon.
Au jeu lent, étudié, dés étran-
gers, Buenél, avec bien du mal, a
réussi à imposer à ses joueurs par
de fréquents clvangements, un ry-
thme plus accéléré. C'est à ce mo-
ment seulement — 15 minutes de
la fin —alors que les deux équipes
étaient à égalité 123-23) que les
Français affirmèrent leur supério-
rité.
L'entraîneur de l'équipe de Fran-
ce n'était pas mécontent du résul-
tat et surtout de la ténue de ses sé-
lectionnés. '
Bonnévie, paralysé par le trac,
dans France-Hongrie, eût toutes les
audaces et avec quinze points fut
de loin le- meilleur rnurqueur du
match. ■ ■
(Voir la suite page 2).
LES ORGANISATIONS DE LA I. B. B. B
^—«^ Championnat de France <
I A PdDi? Oonin IlniiMinnlffn Pliih fUiQmn
luiiu uiuu uiium
nnAilln A
u. n. niui UUIIIU n. u. IIIUIIUUU
IIIIIIIimilllllllllllllllHIIIIII! par notre Rédacteur en chef Gilbert BIDEAUX IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIMIIIIIIIIIIIII
P'UJC., VA. Marseille, Championnet Sports. A.S. Monaco ! Quelle
attrayante poule finale, cela ferait, pensent ceux qui ne pré-
■ voient pas encore la fin du Championnat de France d'Excel-
lence.
Mais le règlement ne permet pas de telles fantaisies, aussi avec ces
ténors, il convient d'aborder ' les demi-finales. Elles ne manqueront
pas, soyez-em persuadés, de donner le 4 Avril, de fortes émotions.
Avec de tels qualifiés, le tirage au sort, comme la désignation des
matches, ne pouvaient avantager ou favoriser l'un d'entre eux.
P.U.C., Championnet, U_A. Mar-
seille, AJS. Monaco, c'est la certitu-
de d'avoir une finale Paris-Province.
Mais entre qui ?
L'A.S. Monaco, qualifiée de der-
nière heure, sans contestation pos-
sible, est la seule équipe qui pourra
invoquer le handicap d'un court dé-
placement.
Les demi-finales seront jouées res-
pectivement dans la capitale et dans
la seconde ville de France. Cette
poussée vers le sud est un encoura-
gement pour les dévoués dirigeants.
. P.U.C.-Ohamipionnet au Gymnase
Jean-Jaurès n'aura pas le cadre
qui lui conviendrait et bien des
spectateurs regretteront de ne pou-
voir en franchir la porte ou d'en
perdre de belles phases.
Niem«' édition ! Qu'importe ! Une
supériorité ne saurait être définiti-
ve et absolue. Les champions de
France ont connu bien des mésa-
ventures pour en arriver là, alors
que les « ex » ont fait preuve d'une
certaine aisance.
Les deux adversaires et amis con-
sidèrent ce match comme une finale
et me négligeront rien pour s'af-
fronter au mieux do leur forme.
Les Universitaires, au lieu de goû-
ter le délassement que procurent les
vacances, se sont préparés dans la
reposante Auvergne, mais en pen-
sant . toujours et sans cesse au
match.
Les plus insouciants auront en-
tendu, chaque jour, les conseils et
les consignes de Frézot et se sont
plies à la duré discipline de l'en-
traînement.
Les joueurs de Ohampionnet sont
restés autour de la Butte, mais bien
des soirs ils se sont rassembles
dans là petite salle de leur « pa-
fcro ». La foi de Lesmayoux a per-
suadé les sceptiques. Les petits poul-
bots ont promis de leur apporter,
de- la touche, tout- leur appui mo-
ral. • ■ . •
; Un match ! Une lutte ardente de
titans, dans laquelle les arbitres'de-
vront intervenir car jeunes.et vieux
connaissent toutes les ficelles de
ce qu'on appelle le métier.
FÀK.CE QU'IL EN FAUT UN..
LE P.U.C. FAVORI...
Si Ohampionnet a fait meilleure
impression que .le P.U.C, dans les
rencontres qualificatives, ce dernier
à, entre temps, emporté le titre de
champion de Paris. C'est une réfé-
rence; mais pas un porte-bonheur.
Chaque saison, Championnet con-
naît une sensible baisse de régime
dans les premiers mois de l'année
pour trouver ensuite son plein épa-
nouissement. Sa ligne d'attaque con-
naît les pires caprices, donc capa-
ble du mieux comme du pire. Par
contre-.'sa défense, si longtemps per-
méable a fait d'étonnants progrès.
Desaymonet, avec une forme qu'il
n'a jamais connue, a mis en con-
m—>- Voir la suite page 3.
par Louis LAPETKfc
-jf^ onfirmant les pronostics émis dès le début de saison, confirmant
M par la même occasion sa réelle valeur le Lutèce Olympique, va
%^ disputer.la finale du Championnat de France Féminin Excel-
De ce côté il n'y a donc pas eu de surprise. Par contre, la qualifi-
cation de l'A.S. Strasbourg n'a pas manqué d'étonner. Non pas que
la valeur des Strasbourgeoises soit -
discutable — la présence de Ton-
deur à leur côte constitue une soli-
de référence —mais l'ensemble de
leurs performances ne plaidait
guère en leur faveur. Et puis, il
faut être juste leurs succès n'a-
vaient jamais laissé de forte im-
pression.
Encore avions-nous en mémoire
leur indiscutable défaite enregis-
trée devant les valeureuses équipiè-
res du Cercle Féminin de Paris,
animées par Mme Pierson.
C'est pourquoi nous pensons que
les Parisiennes ont là une grande
chance d'enlever un second titre
— elles viennent de décrocher celui
Parisien — qui leur permettrait
d'enregistrer un « double » sensa-
tionnel. Mais, il ne faut pas que
les «. Lutèciennes » s'imaginent
qu'il leur suffira de se présenter
pour décrocher la victoire, non,
car il est probable que les Alsacien-
nes — qui n'auront rien à perdre
mais tout à gagner dans l'histoire
— mettront tout en oeuvre pour
« contrer » un pronostic peu favo-
rable.
m—>■ Voir la suite page 3.
1 r AVRIL 1948
L'EQUIPE NATIONALE
| a battu les |
au cours d'un Match
|_; peu animé __J
LA Préparation Olympique con-
siste à donner, à nos Interna-
tionaux de fréquentes occasions de
parfaire leur technique individueUe
et d'acquérir l'indispensable condi-
tion physique.
France-Etrangers de France pro-
mettait beaucoup. Il a déçu d'abord
■les organisateurs qui durent choisir
une date peu favorable à la recette
et ensuite les spectateurs qui ne fi-
rent rien pour élever le débat.
La Sélection des Etrangers rési-
dant en France força nos Interna-
tionaux à s'employer mais pas plus.
Et pourtant : Hongrois, Lithua-
■niens, Italiens, manquèrent de flam-
me et surtout d'un manager.
Ruzffis qui pourvoit remplir ce
rôle préféra celui d'acteur, mais bien
.souvent il oublia les plus importan-
tes répliques, NemetJi, qui aurait pu
donner quelques leçons à Thlolon et
-Perniceni était rivé trop souvent à
la place d'arrière.
L'équipe de France a gagné par
>■38-29 (21-12), sans avoir beaucoup
appris, mais sa7is avoir perdu son
temps.
Si Nemeth fut plus décevant que
lors de sa dernière montée, à Pa-
ris, son compatriote Racz s'y est im-
posé d'emblée.
L'élancé Hongrois est le parfait
type de l'arrière. Ses adversaires ont
eu le loisir d'admirer : sa détente,
.la précison de ses passes, le dérou-
lement de son dribble et la protec-?
tion qu'il offre au ballon.
Au jeu lent, étudié, dés étran-
gers, Buenél, avec bien du mal, a
réussi à imposer à ses joueurs par
de fréquents clvangements, un ry-
thme plus accéléré. C'est à ce mo-
ment seulement — 15 minutes de
la fin —alors que les deux équipes
étaient à égalité 123-23) que les
Français affirmèrent leur supério-
rité.
L'entraîneur de l'équipe de Fran-
ce n'était pas mécontent du résul-
tat et surtout de la ténue de ses sé-
lectionnés. '
Bonnévie, paralysé par le trac,
dans France-Hongrie, eût toutes les
audaces et avec quinze points fut
de loin le- meilleur rnurqueur du
match. ■ ■
(Voir la suite page 2).
LES ORGANISATIONS DE LA I. B. B. B
^—«^ Championnat de France <
I A PdDi? Oonin IlniiMinnlffn Pliih fUiQmn
luiiu uiuu uiium
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u. n. niui UUIIIU n. u. IIIUIIUUU
IIIIIIIimilllllllllllllllHIIIIII! par notre Rédacteur en chef Gilbert BIDEAUX IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIMIIIIIIIIIIIII
P'UJC., VA. Marseille, Championnet Sports. A.S. Monaco ! Quelle
attrayante poule finale, cela ferait, pensent ceux qui ne pré-
■ voient pas encore la fin du Championnat de France d'Excel-
lence.
Mais le règlement ne permet pas de telles fantaisies, aussi avec ces
ténors, il convient d'aborder ' les demi-finales. Elles ne manqueront
pas, soyez-em persuadés, de donner le 4 Avril, de fortes émotions.
Avec de tels qualifiés, le tirage au sort, comme la désignation des
matches, ne pouvaient avantager ou favoriser l'un d'entre eux.
P.U.C., Championnet, U_A. Mar-
seille, AJS. Monaco, c'est la certitu-
de d'avoir une finale Paris-Province.
Mais entre qui ?
L'A.S. Monaco, qualifiée de der-
nière heure, sans contestation pos-
sible, est la seule équipe qui pourra
invoquer le handicap d'un court dé-
placement.
Les demi-finales seront jouées res-
pectivement dans la capitale et dans
la seconde ville de France. Cette
poussée vers le sud est un encoura-
gement pour les dévoués dirigeants.
. P.U.C.-Ohamipionnet au Gymnase
Jean-Jaurès n'aura pas le cadre
qui lui conviendrait et bien des
spectateurs regretteront de ne pou-
voir en franchir la porte ou d'en
perdre de belles phases.
Niem«' édition ! Qu'importe ! Une
supériorité ne saurait être définiti-
ve et absolue. Les champions de
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que les « ex » ont fait preuve d'une
certaine aisance.
Les deux adversaires et amis con-
sidèrent ce match comme une finale
et me négligeront rien pour s'af-
fronter au mieux do leur forme.
Les Universitaires, au lieu de goû-
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vacances, se sont préparés dans la
reposante Auvergne, mais en pen-
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match.
Les plus insouciants auront en-
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les consignes de Frézot et se sont
plies à la duré discipline de l'en-
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Les joueurs de Ohampionnet sont
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fcro ». La foi de Lesmayoux a per-
suadé les sceptiques. Les petits poul-
bots ont promis de leur apporter,
de- la touche, tout- leur appui mo-
ral. • ■ . •
; Un match ! Une lutte ardente de
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vront intervenir car jeunes.et vieux
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ce qu'on appelle le métier.
FÀK.CE QU'IL EN FAUT UN..
LE P.U.C. FAVORI...
Si Ohampionnet a fait meilleure
impression que .le P.U.C, dans les
rencontres qualificatives, ce dernier
à, entre temps, emporté le titre de
champion de Paris. C'est une réfé-
rence; mais pas un porte-bonheur.
Chaque saison, Championnet con-
naît une sensible baisse de régime
dans les premiers mois de l'année
pour trouver ensuite son plein épa-
nouissement. Sa ligne d'attaque con-
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ble du mieux comme du pire. Par
contre-.'sa défense, si longtemps per-
méable a fait d'étonnants progrès.
Desaymonet, avec une forme qu'il
n'a jamais connue, a mis en con-
m—>- Voir la suite page 3.
par Louis LAPETKfc
-jf^ onfirmant les pronostics émis dès le début de saison, confirmant
M par la même occasion sa réelle valeur le Lutèce Olympique, va
%^ disputer.la finale du Championnat de France Féminin Excel-
De ce côté il n'y a donc pas eu de surprise. Par contre, la qualifi-
cation de l'A.S. Strasbourg n'a pas manqué d'étonner. Non pas que
la valeur des Strasbourgeoises soit -
discutable — la présence de Ton-
deur à leur côte constitue une soli-
de référence —mais l'ensemble de
leurs performances ne plaidait
guère en leur faveur. Et puis, il
faut être juste leurs succès n'a-
vaient jamais laissé de forte im-
pression.
Encore avions-nous en mémoire
leur indiscutable défaite enregis-
trée devant les valeureuses équipiè-
res du Cercle Féminin de Paris,
animées par Mme Pierson.
C'est pourquoi nous pensons que
les Parisiennes ont là une grande
chance d'enlever un second titre
— elles viennent de décrocher celui
Parisien — qui leur permettrait
d'enregistrer un « double » sensa-
tionnel. Mais, il ne faut pas que
les «. Lutèciennes » s'imaginent
qu'il leur suffira de se présenter
pour décrocher la victoire, non,
car il est probable que les Alsacien-
nes — qui n'auront rien à perdre
mais tout à gagner dans l'histoire
— mettront tout en oeuvre pour
« contrer » un pronostic peu favo-
rable.
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