Presse et revues
4 pages
Titre : La Dépêche algérienne : journal politique quotidien
Éditeur : [s.n.] (Alger)
Date d'édition : 1886-11-04
Contributeur : Robe, Eugène (1890-1970). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32755912k
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 04 novembre 1886 04 novembre 1886
Description : 1886/11/04 (A2,N473). 1886/11/04 (A2,N473).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t543640d
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-10449
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 18/04/2021
$' mm
Deuxième année. — N° 473
1
r :
j
Le numéro 5 centimes.
»
JOURNAL POLITIQUE QUOTIDIEN
AAfS&aia : S wel», 4 fr. 50 ; 0 sa»!», & fr. ; ï. a», 3 LS frsa?.
PKAJICft - - 6 fr. > — 12 fr.; — 24. frase s.
Ffiï'abie* du 1S.
ïbAIH 0* fcBCOïJVVKMKKT BK SES!
ADMINISTRATION ET RÉDACTION :
Rue de ja Marine, v 9, ancien hôtel Bazin.
Tonte* le* cwBasiisic&tien* relatives à la rddactlen doivent être
adressée* à M. ADHERAT, rédacteur en chef. — Tout c$ cnl eoticera®
l'administration, à M. l’ÀasalBλtm@ar d* la Dipfeht Ale&rimne„
lïsrsKFtTioisrs
F*na le* annonce*, et réclame* s’ «dr».
a Alger : AGBBCK BAVAS, boulevard de 1» Répnbllqvsfe, $.
â Marseille : M. Gustave ALLAiU), rue de îî&usset, *.
A Pari» : MK» ÀüîtBOURG et Clc, place de la BevrM, ' 9
La CKPAdHli ALOJIBI1RHN1I m* désigné® pou
* Pixtsartloxi des aancîsae» légal»*, judiciRtees et astr*# earigi-oa poar 1» validité des procédures et contents.
un ■
j>- r'
BOURSE DE PARIS
Journée du. 2 novembre 1886,
Clôture
Cour»
MFVfiREKCS
VALEURS
pré-
du
cédeuîe
jour
Bausse
Baisse
$.enie $ 5»/ê)
82 75
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Amortissable 1884..
$5 50
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1 Hi lu nauvean....
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0 00
1 OU
Suite Parlementaires
Paris. 2 novembre, 6 h., soir.
COULOIRS LU PALAIS BOURBON. -
On annonce que M. de Freycinet aurait
entamé des pourparlers avec M. Francis
que Reymond, député de la Loire, pour
faire accepter par celui-ci le portefeuille
des travaux publics.
On ignore encore si ces pourparlers
aboutiront, mais en tous cas, il est im
probable que la nomination du successeur
de M. Baïhaut soit soumise au Président
de la République avant samedi.
— Aux noms déjà connus des candidats
à la préfecture des Bouches du-Rhone, on
ajoute aujourd'hui celui de M. Laffon,
directeur du cabinet de M. Sarrien, mais
la nomination de M. Laffon ne paraît pas
probable. C'est M.. Renry, préfet du Loi
ret, qui, jusqu'à présent, a le plus de
chances d'aller à Marseille.
Si toutefois la combinaison de M. Laf
fon réussissait, M. Sarrien prendrait,
pour le remplacer, M. Bourgeois, préfet
de la Haute Garonne.
— M. Sadi-Carnot a été entendu au
jourd'hui par la Commission du budget,
au sujet du budget des finances.
CONSEIL DES~ MINISTRES
Paris, 2 novembre, 2 h. 23, soir.
Bans le conseil tenu ce matin à l'Ely
sée, MM. Baïhaut et Bemôle étaient ab
sents. M. Grêvy a signé un décret convo
quant les conseils généraux pour le 8
novembre à l’effet de nommer quatre dé
légués au conseil départemental de l'ins
truction publique.
— Le général Boulanger a communiqué
un rapport du général J amont, en date
du 10 septembre, annonçant l’attaque de
35 tirailleurs tonkinois par les rebelles
des environs de Phu-No.
17 hommes seuls ont échappé. Deux
forts détachements ont été envoyés con
tre les rebelles.
— Le successeur de M. Baïhaut ne sera
pas nommé avant la fin de la semaine.
M. Patenôtre n'accepte pas le poste de
résident à Tunis.
CRISE M INIST ÉRIELLE
Paris, 2 novembre, 5 h. 35, matin.
La « République française » confirme
que la démission de M. Baïhaut a été ac
ceptée. Ce journal ajoute que l’attitude
de l'union des gauches est absolument
étrangère à la retraite du ministre des
travaux publics.
La nomination de son successeur sera
soumise aujourd'hui à M. Grôvy.
Paris, 2 novembre, 5 h. 45, soir.
La « France •», commentant la démis
sion de M. Baïhaut, trouve mauvais qu'un
ministre puisse ainsi se retirer en pleine
paix parlementaire et voudrait voir limi
ter, par une disposition quelconque, la
faculté qu’ont les ministres de donner
leur démission.
Le « National » et la « Liberté » croient
que la situation parlementaire actuelle
conduit à la dissolution.
Le « Paris » dit que le ministère actuel
est un ministère à fissures où passent tous
les mauvais vouloirs et s'écoulent toutes
les bonnes volontés. Des rancunes fer
mentent dans les partis républicains de
la Chambre.
Notre A. xitlId a. ssadeur
â St-Pétergbourg
Paris, 2 novembre, 5 h. 45, soir.
M. de Laboulaye partira le 15 novem
bre pour St Pétersbourg.
Le « Journal de St Pétersbourg » dit
qu'on ne pouvait pas remettre en de
meilleures mains le soin d’entretenir les
bonnes relations existant entre la France
et la Russie, qui ont pour base leurs in
térêts communs.
LA QUESTION D’ÉGYPTE
Paris, 2 novembre, 5 h. 35, matin.
Les journaux anglais disent que dans la
séance du Conseil d’hier, lord Idesleigh a
donné des informations satisfaisantes sur
l'attitude de la France et de la Turquie
concernant l'Egypte.
Mais une dépêche adressée de Vienne
au « Times » mentionne le bruit que la
Porte, soutenue par la France et la Rus
sie, ouvrirait une action diplomatique
afin que l'Angleterre ûxe la date de l'éva
cuation de l’Egypte.
Attentat contre le comte de Paris
Paris, 2 novembre, 5 h. 45, soir.
Le « Français » publie le récit de l’in
cident survenu dans la nuit de mardi chez
M. le comte de Paris. Ce récit est con
forme à celui que nous avons déjà publié.
Le « Français » croit qu'il s’agit sim
plement d’une tentative de vol.
— Le comte de Paris est parti pour pas
ser quelques jours chez le duc d'Aumale.
Il reviendra à Shenhouse le 15 novem
bre et y restera jusqu'au 8 décembre.
Lâ FLOTTE RUSSE A YARNA
Paris, 2 novembre, 5 h. 35, soir.
Trois vaisseaux de guerre et neuf
canonnières russes ont quitté Sébastopol
se rendant à Varna.
Ain Tonkin
Paris, 2 novembre, 5- h. 30, soir.
Le « Temps » publie une correspondan
ce d'Hanoï en date du 22 septembre con
tenant le passage suivant :
« On parle vaguement de l'évacuation
des postes intérieurs de l’Annam.
d Nos troupes garderaient Hué et le
littoral.
■» On annexerait au Tonkin plusieurs
régions de la frontière, tel que Than ■
Hoa qui est le foyer de la rébellion, mais
d'où nous tirons nos approvisionnements
de bœufs.
* Si cette combinaison est adoptée par
M. Paul-Bert, l'Annam sera pendant plu
sieurs semaines le théâtre de scènes ter
ribles; puis quand les vil’âges auront
été brûlés, que les massacres auront été
accomplis, les rebelles, poussés par la
faim devront se rendre à notre merci,
à moins qu'ils ne réussissent à pénétrer
au Tonkin.
» C'est là la grande préoccupation.
» Toutefois l’état actuel du Tonkin
permet d'espérer que, grâce à une action
énergique, dès les premiers symptômes
d’une insurrection, l’effervescence ne
s’étendra pas au dehors de l’Annam.
» La présence de Thuyet a été signalée
sur la rivière Noire, allant dans l’Yun
nam offrir des présents au vice roi de la
contrée, et s’entendre avec les troupes
irrégulières pour une action commune.
» La recrudescence signalée parmi les
bandes, sur la frontière du Tonkin, est
due, peut être à cette entrevue.
TRAITÉ FRANCO-CHINOIS
Paris, 2 novembre, 5 b. 35, matin.
La « République Française » croit sa
voir que la modification au traité franco-
chinois concernant le commerce du sel et
de l'opium, sera très prochainement con
sentie par le Tsong li Yamen.
NOTRE RÉSIDENT A TUNIS
Paris, 2 novembre, 5 h. 35, matin.
Il n’y a rien de décidé concernant la
succession de M. Cambon à Tunis.
Il serait question d’y envoyer M. La
nessan. Il est encore possible que les
fonctions de résident soient conûées à un
préfet de première classe.
DEPECHE
Inforrn atio n
RT BRUITS I SIWWÆM
Paris, 2 novembre, 5 h. 35, matin.
La « République Française » publie une
dépêche de Vienne affirmant que le prince
Waldemar de Danemark déclinerait la
couronne de Bulgarie.
Paris, 2 novembre, 8 h. 50, matin.
Le Cabinet anglais a conseillé au gou
vernement bulgare de se soumettre sans
conditions, aûn d'éviter l'occupation
russe de la Bulgarie ,
— Une dépêche adressée au « Times »
représente la Chine comme ayant renoncé
à l’idée de contester à la France le pro
tectorat des catholiques établi dans l'em
pire chinois.
Paris, 2 novembre, 6 b , soir.
On annonce de Marseille que M. le gé
néral Brécourt, inspecteur de cavalerie,
est tombé de cheval, rue No ai lies, et s'est
blessé légèremeut à la tête. Cet accident
n’empêchera pas le général départir pour
Alger dans le courant de la semaine.
Paris, 2 novembre, 6 h. 23, soir.
Le prince et la princesse Waldemar
sont arrivés ce matin à Paris.
ALGÉRIE
Biida, 2 novembre, 8 h , soir.
Terrible incendie
Ce matin à une heure, la maison Ar-
gento, près de la porte Bab el Sebt, était
en proie à un vaste incendie.
Des secours sont arrivés promptement.
La Compagnie des pompiers et 500 sol
dais des tirailleurs ont accouru avec trois
pompes.
Il y avait un immense danger que l'in
cendie ne gagnât le magasin de bois de
M. Leveratto et le parc à fourrages, mais
le feu a été circonscrit à la maison Ar-
gento. Il était alimenté par du pétrole
et des matières inflammables. Une cham
bre du premier s’est écroulée.
Parmi la nombreuse affluence accourue
au secours, on remarque MM. Mauguin,
le colonel Varlani, le colonel Mourlau,
le procureur de la République, etc., etc.
A six heures, le danger était conjuré.
Les causes du sinistre sont encore in
connues.
Les pertes sont évaluées à 4,000 fr .
couvertes par deux compagnies d’assu .
rances.
Méléa, 2 novembre, 4 h. 50, soir.
Bosco à Médéa
Le célèbre prestidigitateur Bosco et son
ûls Italo sont dans nos murs. Bosco don
nera incessamment une grande représen
tation.
A..
-A»
Deuxième année. — N° 473
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Le numéro 5 centimes.
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JOURNAL POLITIQUE QUOTIDIEN
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Rue de ja Marine, v 9, ancien hôtel Bazin.
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A Pari» : MK» ÀüîtBOURG et Clc, place de la BevrM, ' 9
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* Pixtsartloxi des aancîsae» légal»*, judiciRtees et astr*# earigi-oa poar 1» validité des procédures et contents.
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BOURSE DE PARIS
Journée du. 2 novembre 1886,
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VALEURS
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Paris. 2 novembre, 6 h., soir.
COULOIRS LU PALAIS BOURBON. -
On annonce que M. de Freycinet aurait
entamé des pourparlers avec M. Francis
que Reymond, député de la Loire, pour
faire accepter par celui-ci le portefeuille
des travaux publics.
On ignore encore si ces pourparlers
aboutiront, mais en tous cas, il est im
probable que la nomination du successeur
de M. Baïhaut soit soumise au Président
de la République avant samedi.
— Aux noms déjà connus des candidats
à la préfecture des Bouches du-Rhone, on
ajoute aujourd'hui celui de M. Laffon,
directeur du cabinet de M. Sarrien, mais
la nomination de M. Laffon ne paraît pas
probable. C'est M.. Renry, préfet du Loi
ret, qui, jusqu'à présent, a le plus de
chances d'aller à Marseille.
Si toutefois la combinaison de M. Laf
fon réussissait, M. Sarrien prendrait,
pour le remplacer, M. Bourgeois, préfet
de la Haute Garonne.
— M. Sadi-Carnot a été entendu au
jourd'hui par la Commission du budget,
au sujet du budget des finances.
CONSEIL DES~ MINISTRES
Paris, 2 novembre, 2 h. 23, soir.
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novembre à l’effet de nommer quatre dé
légués au conseil départemental de l'ins
truction publique.
— Le général Boulanger a communiqué
un rapport du général J amont, en date
du 10 septembre, annonçant l’attaque de
35 tirailleurs tonkinois par les rebelles
des environs de Phu-No.
17 hommes seuls ont échappé. Deux
forts détachements ont été envoyés con
tre les rebelles.
— Le successeur de M. Baïhaut ne sera
pas nommé avant la fin de la semaine.
M. Patenôtre n'accepte pas le poste de
résident à Tunis.
CRISE M INIST ÉRIELLE
Paris, 2 novembre, 5 h. 35, matin.
La « République française » confirme
que la démission de M. Baïhaut a été ac
ceptée. Ce journal ajoute que l’attitude
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étrangère à la retraite du ministre des
travaux publics.
La nomination de son successeur sera
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Paris, 2 novembre, 5 h. 45, soir.
La « France •», commentant la démis
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leur démission.
Le « National » et la « Liberté » croient
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conduit à la dissolution.
Le « Paris » dit que le ministère actuel
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les mauvais vouloirs et s'écoulent toutes
les bonnes volontés. Des rancunes fer
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la Chambre.
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â St-Pétergbourg
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M. de Laboulaye partira le 15 novem
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Le « Journal de St Pétersbourg » dit
qu'on ne pouvait pas remettre en de
meilleures mains le soin d’entretenir les
bonnes relations existant entre la France
et la Russie, qui ont pour base leurs in
térêts communs.
LA QUESTION D’ÉGYPTE
Paris, 2 novembre, 5 h. 35, matin.
Les journaux anglais disent que dans la
séance du Conseil d’hier, lord Idesleigh a
donné des informations satisfaisantes sur
l'attitude de la France et de la Turquie
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Attentat contre le comte de Paris
Paris, 2 novembre, 5 h. 45, soir.
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M. Paul-Bert, l'Annam sera pendant plu
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» La présence de Thuyet a été signalée
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contrée, et s’entendre avec les troupes
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bandes, sur la frontière du Tonkin, est
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TRAITÉ FRANCO-CHINOIS
Paris, 2 novembre, 5 b. 35, matin.
La « République Française » croit sa
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NOTRE RÉSIDENT A TUNIS
Paris, 2 novembre, 5 h. 35, matin.
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RT BRUITS I SIWWÆM
Paris, 2 novembre, 5 h. 35, matin.
La « République Française » publie une
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Waldemar de Danemark déclinerait la
couronne de Bulgarie.
Paris, 2 novembre, 8 h. 50, matin.
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Paris, 2 novembre, 6 b , soir.
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Paris, 2 novembre, 6 h. 23, soir.
Le prince et la princesse Waldemar
sont arrivés ce matin à Paris.
ALGÉRIE
Biida, 2 novembre, 8 h , soir.
Terrible incendie
Ce matin à une heure, la maison Ar-
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en proie à un vaste incendie.
Des secours sont arrivés promptement.
La Compagnie des pompiers et 500 sol
dais des tirailleurs ont accouru avec trois
pompes.
Il y avait un immense danger que l'in
cendie ne gagnât le magasin de bois de
M. Leveratto et le parc à fourrages, mais
le feu a été circonscrit à la maison Ar-
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Parmi la nombreuse affluence accourue
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A six heures, le danger était conjuré.
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connues.
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Méléa, 2 novembre, 4 h. 50, soir.
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