Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-08-27
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 27 août 1923 27 août 1923
Description : 1923/08/27 (T24,N2437). 1923/08/27 (T24,N2437).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64671092
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISTÈRE -
DES
Maires étrangères
o 2437
Lundi 27 août 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédée d'un astérisque.
SOMMAIRE
,
Presse ALLEMANDE. - La réponse française
à la Grande-Bretagne (Vorwärts, Frank-
furter Zeitung, Kölnische Zeitung).
Les nouvelles mesures fiscales (Deuts-
che Zeitung ; Georg Gothein dans Acht-
Uhr Abendblatt). - Une conférence du
prince Max de Saxe sur la guerre et le
catholicisme (Vossische zeitung).
RESSE AMÉRICAINE. - L'occupation de la
Ruhr et l'industrie britannique (New
York Times).
RESSE ANGLAISE. - La réponse française à
la Grande-Bretagne (Westminster Ga-
zette, Observer).
Presse ITALIENNE. - La réponse française à
la Grande-Bretagne (Mondo, Contre
della Sera).
POLITIQUE GÉNÉRALE
LES RÉPARATIONS
LA REPONSE FRANÇAISE A LA GRANDE-
q n TAGNE. - PRESSE ANGLAISE. - Sous le Ure:
; n tout de la décision », la Westminster Ga-
zette publie un éditorial où elle déclare appren-
dre avec regret que le gouvernement. français a
intention de faire traduire en anglalS et de ré-
pandre en Angleterre et en Amérique le Livre
ne sur les négociations franco-anglaises.
.f - T.-..V'Io
, ••• Aujourd'hui M. Baldwin qunw LVU-
res, pour passer en France un congé qui
llesa certainement interrompu par certai-
gUr négociations. Il est d'un mauvais au-
qUe e pour le résultat de ces conversations
qlle la France songe à s'engager dans une
A e qui semble devoir les rendre stériles.
faioms que la France ne soit disposée à
de e de plus grandes concessions au point
vue anglais qui a été exposé si nette-
fer .t, le premier Ministre et lord Curzon
eraient un meilleur emploi de leur temps
Cett Prenant leurs dispositions en vue de
be e action séparée dont ils ont parlé.
Dépuis, le début des négociations M. Pom
lien n'a cherché qu'à gagner du temps
lIIu dant que la France se retranchait de
SiUs en plus profondément dans la Ruhr.
11 y a réussi, c'est en grande P. leterre'
^le la situation politique, en Angleterre,
"ag Pas été entièrement de nature à encou-
rager M. Baldwin à faire preuve de cour a-
ge ou de décision. Le Premier Ministre s'est
le nt ré timide dans sa manière de traiter
le Parti peu nombreux, en somme, des ex-
trémistes de la Droite qui sont plus fran-
cophiles que les Français eux-mêmes. Tout
en voyant la lumière, M. Baldwin l'a suivie
d'un pas incertain et hésitant. L'événement
a démontré que s'il avait été plus résolu, il
aurait pu compter sur tous les partis de
l'Etat, à l'exception du groupe des « die-
hards ».
En ce moment les leaders libéraux en An-
gleterre ont le devoir manifeste de soutenir
M. Baldwin dans toute politique qui peut
contribuer à sauver l'Europe. Chaque mois
de retard aggrave le chaos qui règne en Eu-
rope centrale, et l'effondrement, quand il se
produira, ne peut manquer d'avoir une ré-
percussion profonde sur la prospérité de la
Grande-Bretagne. Dans ces conditions il ne
suffit pas de faire allusion à une action sé-
parée. La tâche du Gouvernement doit être :
1 ° d'arrêter sa réponse à la note allemande ;
2° de s'assurer, au moyen d'une enquête,
de la capacité de paiement de l'Allemagne ;
enfin 3° de consolider les fractions, de l'opi-
nion publique mondiale, qui reconnaissent
comme intolérable le fait de déterminer en
Europe des conditions qui empêchent le ré-
tablissement de la paix, qui portent atteinte
à l'industrie et qui ne peuvent manquer.
en fin de compte, d'amener la reprise des
conflits. Le devoir du Premier Ministre est
d'établir clairement que telle sera sa ligne
de conduite, si la France n'a d'autre politi-
que que la note Poincaré, et dans l'accom-
plissement de ce devoir il doit avoir l'appui
de tous les partis qui estiment que ce n'est
que par la paix que l'Europe peut espérer se
relever. M. Baldwin n'a pas à avoir peur.
S'il fait preuve de la fermeté que l'on at-
tend de lui, l'opinion publique se ralliera à
lui dans des proportions- qui l'étonneront
lui-même. S'il échoue, la meilleure chance
qui subsiste d'aboutir à un règlement euro-
péen sera perdue sans retour. - (Ed.)
WESTMINSTER GAZETTE, 25.8.
— Le rédacteur diplomatique de l'Observer
examine quelle va être l'attitude du Cabinet
Baldwin dans la nouvelle phase des négocia-
tions :
— La principale xaisoYi pour laquelle la
France a pu jusqu'ici en agir à sa guise
dans les affaires européennes, au mépris
absolu des intérêts et des sentiments britan-
niques, est qu'elle a pu se servir de ses ar-
mées à ses fins propres et compter sur le si-
lence et l'inactivité de la Grande-Bretagne.
La publication du Livre blanc britannique
a été le premier obstacle sérieux rencontré
par le gouvernement français dans sa ten-
tative pour démembrer l'Allemagne et éta-
blir en Europe l'hégémonie militaire de la
France.
On comprend facilement que M. Poincaré
veuille à présent égarer l'opininon publi-
que en obtenant le consentement de M.
Baldwin à une conférence secrète sur des
questions qui ont enfin été mises à la lumiè-
re du jour. La force du Gouvernement bri-
tannique est d'ordre moral et non pas d'or-
dre militaire ; la force de la France est pu-
rement militaire. La diplomatie ouverte est,
par conséquent, opposée aux intérêts fran-
çais et favorables aux intérêts britanniques.
Avec la courtoisie ordinaire d'un An-
glais. M. Baldwin accepterait, certaine-
ment de se rencontrer à Paris avec M. Poin-
caré au cours de la deuxième semaine de
septembre. Mais on peut être certain qu'il
n'abordera la discussion d'aucune question
importante, en dehors du texte du Livre
blanc britannique et du Livre jaune fran-
çais. ,
Que si, toutefois, M. Poincaré désirait ex-
pliquer tout d'abord en particulier à M.
Baldwin certaines modifications qu'il envi-
sagerait d'apporter à sa politique, sous ré-
serve que ces modifications seront publiées
plus tard, l'Entente peut encore être sauvée.
D'ici le moment où M. Baldwin passera
par Paris, les experts du Trésor britannique
auront sans doute préparé une réponse à l'é-
tonnante déclaration de M. Poincaré conte-
nue dans le Livre jaune, déclaration suivant
laquelle l'Angleterre n'a rien rabattu de ses
demandes de réparations. La réponse pren-
dra probablement la forme d'une version
simplifiée de la déclaration correspondante
du Livre blanc, simplifiée afin d'empêcher M.
Poincaré de se méprendre encore une fois
sur ce point. Le point en lui-même est fort
simple. Dans l'intérêt de la paix et de la re-
construction de l'Europe, le Gouvernement
britannique a offert de sacrifier jusqu'au
dernier penny de ses réparations ainsi que
des dettes alliées qui dépasseraient la somme
que la Grande-Bretagne est obligée de payer
à l'Amérique. Aux termes de la proposition
britannique en vue du règlement avec l'Al-
lemagne, c'est à l'Allemagne que serait ré-
clamée cette somme toute entière et la
France verrait annuler complètement sa
dette envers la Grande-Bretagne. Avec la
méthode française pour le règlement du pro-
blème des réparations l'Allemagne ne paie
rien, et la France aura pas conséquent à
payer elle-même ses dettes envers la Gran-
de-Bretagne. Il se peut que, à la réflexion,
M. Poincaré comprenne cela, et dans ce cas,
une entrevue avec M. Baldwin pourrait
donner un résultat utile.
On estime ici que le caractère critique de
la situation actuelle pourrait être amélioré
si le docteur Stresemann. comme suite 4
son discours conciliant de vendredi, encou-
rait quelque formule de nature à permettre
à M. Poincaré d'évacuer la Ruhr avec le
minimum de dommage pour son amour-pro-
pre. — (Du rédacteur diplomatique.)
OBSERVER, 26.8.
DES
Maires étrangères
o 2437
Lundi 27 août 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédée d'un astérisque.
SOMMAIRE
,
Presse ALLEMANDE. - La réponse française
à la Grande-Bretagne (Vorwärts, Frank-
furter Zeitung, Kölnische Zeitung).
Les nouvelles mesures fiscales (Deuts-
che Zeitung ; Georg Gothein dans Acht-
Uhr Abendblatt). - Une conférence du
prince Max de Saxe sur la guerre et le
catholicisme (Vossische zeitung).
RESSE AMÉRICAINE. - L'occupation de la
Ruhr et l'industrie britannique (New
York Times).
RESSE ANGLAISE. - La réponse française à
la Grande-Bretagne (Westminster Ga-
zette, Observer).
Presse ITALIENNE. - La réponse française à
la Grande-Bretagne (Mondo, Contre
della Sera).
POLITIQUE GÉNÉRALE
LES RÉPARATIONS
LA REPONSE FRANÇAISE A LA GRANDE-
q n TAGNE. - PRESSE ANGLAISE. - Sous le Ure:
; n tout de la décision », la Westminster Ga-
zette publie un éditorial où elle déclare appren-
dre avec regret que le gouvernement. français a
intention de faire traduire en anglalS et de ré-
pandre en Angleterre et en Amérique le Livre
ne sur les négociations franco-anglaises.
.f - T.-..V'Io
, ••• Aujourd'hui M. Baldwin qunw LVU-
res, pour passer en France un congé qui
llesa certainement interrompu par certai-
gUr négociations. Il est d'un mauvais au-
qUe e pour le résultat de ces conversations
qlle la France songe à s'engager dans une
A e qui semble devoir les rendre stériles.
faioms que la France ne soit disposée à
de e de plus grandes concessions au point
vue anglais qui a été exposé si nette-
fer .t, le premier Ministre et lord Curzon
eraient un meilleur emploi de leur temps
Cett Prenant leurs dispositions en vue de
be e action séparée dont ils ont parlé.
Dépuis, le début des négociations M. Pom
lien n'a cherché qu'à gagner du temps
lIIu dant que la France se retranchait de
SiUs en plus profondément dans la Ruhr.
11 y a réussi, c'est en grande P. leterre'
^le la situation politique, en Angleterre,
"ag Pas été entièrement de nature à encou-
rager M. Baldwin à faire preuve de cour a-
ge ou de décision. Le Premier Ministre s'est
le nt ré timide dans sa manière de traiter
le Parti peu nombreux, en somme, des ex-
trémistes de la Droite qui sont plus fran-
cophiles que les Français eux-mêmes. Tout
en voyant la lumière, M. Baldwin l'a suivie
d'un pas incertain et hésitant. L'événement
a démontré que s'il avait été plus résolu, il
aurait pu compter sur tous les partis de
l'Etat, à l'exception du groupe des « die-
hards ».
En ce moment les leaders libéraux en An-
gleterre ont le devoir manifeste de soutenir
M. Baldwin dans toute politique qui peut
contribuer à sauver l'Europe. Chaque mois
de retard aggrave le chaos qui règne en Eu-
rope centrale, et l'effondrement, quand il se
produira, ne peut manquer d'avoir une ré-
percussion profonde sur la prospérité de la
Grande-Bretagne. Dans ces conditions il ne
suffit pas de faire allusion à une action sé-
parée. La tâche du Gouvernement doit être :
1 ° d'arrêter sa réponse à la note allemande ;
2° de s'assurer, au moyen d'une enquête,
de la capacité de paiement de l'Allemagne ;
enfin 3° de consolider les fractions, de l'opi-
nion publique mondiale, qui reconnaissent
comme intolérable le fait de déterminer en
Europe des conditions qui empêchent le ré-
tablissement de la paix, qui portent atteinte
à l'industrie et qui ne peuvent manquer.
en fin de compte, d'amener la reprise des
conflits. Le devoir du Premier Ministre est
d'établir clairement que telle sera sa ligne
de conduite, si la France n'a d'autre politi-
que que la note Poincaré, et dans l'accom-
plissement de ce devoir il doit avoir l'appui
de tous les partis qui estiment que ce n'est
que par la paix que l'Europe peut espérer se
relever. M. Baldwin n'a pas à avoir peur.
S'il fait preuve de la fermeté que l'on at-
tend de lui, l'opinion publique se ralliera à
lui dans des proportions- qui l'étonneront
lui-même. S'il échoue, la meilleure chance
qui subsiste d'aboutir à un règlement euro-
péen sera perdue sans retour. - (Ed.)
WESTMINSTER GAZETTE, 25.8.
— Le rédacteur diplomatique de l'Observer
examine quelle va être l'attitude du Cabinet
Baldwin dans la nouvelle phase des négocia-
tions :
— La principale xaisoYi pour laquelle la
France a pu jusqu'ici en agir à sa guise
dans les affaires européennes, au mépris
absolu des intérêts et des sentiments britan-
niques, est qu'elle a pu se servir de ses ar-
mées à ses fins propres et compter sur le si-
lence et l'inactivité de la Grande-Bretagne.
La publication du Livre blanc britannique
a été le premier obstacle sérieux rencontré
par le gouvernement français dans sa ten-
tative pour démembrer l'Allemagne et éta-
blir en Europe l'hégémonie militaire de la
France.
On comprend facilement que M. Poincaré
veuille à présent égarer l'opininon publi-
que en obtenant le consentement de M.
Baldwin à une conférence secrète sur des
questions qui ont enfin été mises à la lumiè-
re du jour. La force du Gouvernement bri-
tannique est d'ordre moral et non pas d'or-
dre militaire ; la force de la France est pu-
rement militaire. La diplomatie ouverte est,
par conséquent, opposée aux intérêts fran-
çais et favorables aux intérêts britanniques.
Avec la courtoisie ordinaire d'un An-
glais. M. Baldwin accepterait, certaine-
ment de se rencontrer à Paris avec M. Poin-
caré au cours de la deuxième semaine de
septembre. Mais on peut être certain qu'il
n'abordera la discussion d'aucune question
importante, en dehors du texte du Livre
blanc britannique et du Livre jaune fran-
çais. ,
Que si, toutefois, M. Poincaré désirait ex-
pliquer tout d'abord en particulier à M.
Baldwin certaines modifications qu'il envi-
sagerait d'apporter à sa politique, sous ré-
serve que ces modifications seront publiées
plus tard, l'Entente peut encore être sauvée.
D'ici le moment où M. Baldwin passera
par Paris, les experts du Trésor britannique
auront sans doute préparé une réponse à l'é-
tonnante déclaration de M. Poincaré conte-
nue dans le Livre jaune, déclaration suivant
laquelle l'Angleterre n'a rien rabattu de ses
demandes de réparations. La réponse pren-
dra probablement la forme d'une version
simplifiée de la déclaration correspondante
du Livre blanc, simplifiée afin d'empêcher M.
Poincaré de se méprendre encore une fois
sur ce point. Le point en lui-même est fort
simple. Dans l'intérêt de la paix et de la re-
construction de l'Europe, le Gouvernement
britannique a offert de sacrifier jusqu'au
dernier penny de ses réparations ainsi que
des dettes alliées qui dépasseraient la somme
que la Grande-Bretagne est obligée de payer
à l'Amérique. Aux termes de la proposition
britannique en vue du règlement avec l'Al-
lemagne, c'est à l'Allemagne que serait ré-
clamée cette somme toute entière et la
France verrait annuler complètement sa
dette envers la Grande-Bretagne. Avec la
méthode française pour le règlement du pro-
blème des réparations l'Allemagne ne paie
rien, et la France aura pas conséquent à
payer elle-même ses dettes envers la Gran-
de-Bretagne. Il se peut que, à la réflexion,
M. Poincaré comprenne cela, et dans ce cas,
une entrevue avec M. Baldwin pourrait
donner un résultat utile.
On estime ici que le caractère critique de
la situation actuelle pourrait être amélioré
si le docteur Stresemann. comme suite 4
son discours conciliant de vendredi, encou-
rait quelque formule de nature à permettre
à M. Poincaré d'évacuer la Ruhr avec le
minimum de dommage pour son amour-pro-
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