Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-08-25
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 25 août 1923 25 août 1923
Description : 1923/08/25 (T24,N2436). 1923/08/25 (T24,N2436).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467108n
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
1
MINISTÈRE
DES
FPALRES ÉTRANGÈRES
N° 2436
Samedi 25 août 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. -. La réponse française
à la Grande-Bretagne (Frankfurter Zei-
tung, Kölnische Volkszeitung, Hanno-
verscher Kurier, Kölnische Vollis;ei-
tung). - L'admission de l'Allemagne
dans la Société des nations (Gracchus
dans Deutsche Allgemeine Zeitung).
SE AGLAISE. - La réponse française
à la Grande-Bretagne (Times, Mornwg
Post, Manchester Guardian, Daily Ex-
press, Daily Chronicle).
pl"E, SE ITALIENNE. - La réponse française
à la Grande-Bretagne (Francesco Cop-
pola dans Idea Nationale).
POLITIQUE GÉNÉRALE
LEb RÉPARATIONS
'-
'-A REPONSE FRANÇAISE A LA GRANDE-
BRETAGNE (20 AOUT,. - PRESSE ANGLAISE. - Le
Times analyse les divergences qui subsistent
re les thèses française et anglaise:
La crise dans laquelle nous nous dèbat-
tons en ce moment est très grave. Il est
absolument inutile de se le dissimuler ou de
s'imaginer que les choses s'arrangeront.
e'les-mèmes si on leur en donne le temps,
* si on les examine à loisir. Il ne s'agit
pas d'une crise n'intéressant que la Grande-
Bretagne, ou la France, ou l'Allemagne. Elle
intéresse toutes les nations de l'Europe, pe-
tites et grandes, celles qui se trouvtn
,
|avant-,garde, tout comme celles qui ontré
Vadé et celles qui commencent seule-
ment à se créer une existence propre. Si
l'armature politique et économique de l'AI-
lemagne s'écroule, si ln Grande-Bretagne et
France se voient obligées de renoncer
Pédant un temps indéfini à tout espoir d'ob-
tenir des réparations, si le peu de confiance
que l'on il encore dans les devises euro-
péennes s~vanouit.., il se présentera une
a ion à laquelle les ressources actuel-
les de nos hommes d'Etat seraient impuis-
santes à porter remède. Cette perspective
est exceptionnellement sérieuse pour notre
pays. Notre prospérité est fonction de la
stabilité commerciale du monde qui nous
entoure. C'est pour cette raison, sans doute,
que nous sommes particulièrement sensibles
à toute menace économique d'ordre géné-
ral. Nous ne pouvons pas nous isoler de
l'Europe. Nous ne pouvons pas ne pas tenir
compte des transmutations de toutes les
voleurs économiques qui s'opèrent sous nos
veux Nous ne pouvons détourner en une
seule journée le cours de nos exportations
de nos approvisionnements, adapter no-
tre vie commerciale à un système nouveau
d'où l'Europe est exclue. Nous sommes en
Europe et, ce fait, nous ne pouvons le mé-
connaître. Si le désordre règne en Europe,
nous sommes contraints de remnlir notre
rôle La thèse de M. Poincaré consiste à
dire que si le traité de Versailles n'est pas
exécuté à la lettre, les bases mêmes de
l'Europe nouvelle seront compromises. A
cela nous nous permettons de répondre
que les bases de l'Europe nouvelle sont déjà
fort gravement menacées. Cela nous le sa-
vons uniquement. et directement par la si-
tuation actuelle et par l'avenir immédiat du
commerce britannique.
La note de M. Poincaré nous apporte les
suggestions françaises détaillées. en vue
de la solution du problème européen. Nous
attendions ces suggestions avec l'intérêt le
plus vif et nous les avons étudiées attenti-
vement dans l'espoir d'y trouver quelques
propositions précises pouvant servir de
base à un programme positif. Nous ne pou-
vons pas dissimuler, toutefois, à quel point
nous sommes déçus de ne trouver dans la
note française aucun aperçu au problème
véritable, tel que nous sommes forcés de
le comprendre. Elle est fondée sur une in-
terprétation littérale et étroitement fran-
çaise des textes formels et ne renferme au-
cune allusion à la confusion qui règne au-
jourd'hui dans le monde. Néanmoins nous
avons un grand désir de voir s'établir une
collaboration franco-britannique : nous
sentons que sans la coopération de la France
il sera infiniment difficile d'effectuer en Eu-
rope aucun changement îavoiume. L. eL
pourquoi nous sommes heureux de relever
toutes les déclarations qui peuvent sembler
indiquer quelque possibilité de coopération.
Il y a d'abord le désaveu formel de toute
visée d'annexion. Cette décision, nous
comptons qu'on ne la perdra pas de vue.
Elle devrait exclure la tentation de se
laisser aller à la dérive, d'encourager, dans
le conflit de la Ruhr, les tendances qui
pourraient aboutir à la séparation de cer-
taines régions de l'Allemagne et au dé-
membrement de l'Etat allemand. La pro-
messe de modifier le caractère de l'occupa-
tion au cas où serait abandonnée la résis-
tance passive constitue également un enga-
gement formel qui n'est pas à dédaigner.
Il est clair, toutefois, qu'il faudra du temps
pour édifier sur ces bases un règlement po-
sitif. Et le temps est précisément ce qui
manque. La responsabilité d'empêcher un
désastre incombe en ce moment au gou-
vernement du Reich et au peuple alle-
mand., c'est de la question de savoir si
l'Allemagne pourra éviter pendant quelques
semaines encore de se désagréger que dé-
pend tout espoir de règlement.
Nous espéripns que la note française
contiendrait tout au moins quelques propo-
sitions financières se prêtant à des négo-
ciations futures. Malheureusement les sug-
gestions de M. Poincaré ne sont pas seule-
ment inconséquentes en elles-mêmes, mais
elles trahissent une certaine incompréhen-
sion de l'attitude britannique et une répu-
gnance à reconnaître les sacrifices très
réels que la Grande-Bretagne est disposée
à faire au chapitre des dettes alliées. Il est
injuste de suggérer que l'Angleterre est dis-
posée à faire à l'Allemagne des conditions
plus faciles qu'à la France. Tant au mois
de janvier que depuis, le Gouvernement a
déclaré très nettement qu'il était disposé à
consentir à une réduction très considérable
de la dette de la France envers nous, à
condition que l'on pût se mettre d'accord
sur un règlement général. Le fait que nous
avons commencé à nous acquitter de notre
dette envers l'Amérique ne devrait pas nous
être reproché. Dans cette question la Gran-
de-Bretagne fait scrupuleusement ce que
l'honneur lui commandait de faire. Quant,
au reste M. Poincaré, tout en faisant obser-
ver que la capacité de paiement actuelle de
l'Allemagne est zéro, insiste que toutes les
considérations financières ayant trait à
d'autres pays doivent être ajournées jus-
qu'au moment où l'Allemagne aura payé à
la France 26 milliards de marks. Nous
prétendons, au contraire, que traitée avec
sagesse l'Allemagne serait bientôt en mesu-
re de payer à la France et aux autres alliés,
y compris la Grande-Bretagne, des sommes
considérables au titre des réparations. Nous
n'abandonnons pas notre droit aux répara-
tions et il faut espérer que, au moyen de
conversations intimes entre les hommes
d'Etat, britanniques et M. Poincaré, il sera
possible de découvrir enfin le moyen d'éta-
blir un contrôle sur les finances alleman-
des, des garanties et des paiements effec-
tifs au titre des réparations, de manière à
favoriser la prospérité générale de l'Europe.
Le système actuel mène directement à la
ruine. •— (Ed.)
TIMES, 24.8.
MINISTÈRE
DES
FPALRES ÉTRANGÈRES
N° 2436
Samedi 25 août 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. -. La réponse française
à la Grande-Bretagne (Frankfurter Zei-
tung, Kölnische Volkszeitung, Hanno-
verscher Kurier, Kölnische Vollis;ei-
tung). - L'admission de l'Allemagne
dans la Société des nations (Gracchus
dans Deutsche Allgemeine Zeitung).
SE AGLAISE. - La réponse française
à la Grande-Bretagne (Times, Mornwg
Post, Manchester Guardian, Daily Ex-
press, Daily Chronicle).
pl"E, SE ITALIENNE. - La réponse française
à la Grande-Bretagne (Francesco Cop-
pola dans Idea Nationale).
POLITIQUE GÉNÉRALE
LEb RÉPARATIONS
'-
'-A REPONSE FRANÇAISE A LA GRANDE-
BRETAGNE (20 AOUT,. - PRESSE ANGLAISE. - Le
Times analyse les divergences qui subsistent
re les thèses française et anglaise:
La crise dans laquelle nous nous dèbat-
tons en ce moment est très grave. Il est
absolument inutile de se le dissimuler ou de
s'imaginer que les choses s'arrangeront.
e'les-mèmes si on leur en donne le temps,
* si on les examine à loisir. Il ne s'agit
pas d'une crise n'intéressant que la Grande-
Bretagne, ou la France, ou l'Allemagne. Elle
intéresse toutes les nations de l'Europe, pe-
tites et grandes, celles qui se trouvtn
,
|avant-,garde, tout comme celles qui ontré
Vadé et celles qui commencent seule-
ment à se créer une existence propre. Si
l'armature politique et économique de l'AI-
lemagne s'écroule, si ln Grande-Bretagne et
France se voient obligées de renoncer
Pédant un temps indéfini à tout espoir d'ob-
tenir des réparations, si le peu de confiance
que l'on il encore dans les devises euro-
péennes s~vanouit.., il se présentera une
a ion à laquelle les ressources actuel-
les de nos hommes d'Etat seraient impuis-
santes à porter remède. Cette perspective
est exceptionnellement sérieuse pour notre
pays. Notre prospérité est fonction de la
stabilité commerciale du monde qui nous
entoure. C'est pour cette raison, sans doute,
que nous sommes particulièrement sensibles
à toute menace économique d'ordre géné-
ral. Nous ne pouvons pas nous isoler de
l'Europe. Nous ne pouvons pas ne pas tenir
compte des transmutations de toutes les
voleurs économiques qui s'opèrent sous nos
veux Nous ne pouvons détourner en une
seule journée le cours de nos exportations
de nos approvisionnements, adapter no-
tre vie commerciale à un système nouveau
d'où l'Europe est exclue. Nous sommes en
Europe et, ce fait, nous ne pouvons le mé-
connaître. Si le désordre règne en Europe,
nous sommes contraints de remnlir notre
rôle La thèse de M. Poincaré consiste à
dire que si le traité de Versailles n'est pas
exécuté à la lettre, les bases mêmes de
l'Europe nouvelle seront compromises. A
cela nous nous permettons de répondre
que les bases de l'Europe nouvelle sont déjà
fort gravement menacées. Cela nous le sa-
vons uniquement. et directement par la si-
tuation actuelle et par l'avenir immédiat du
commerce britannique.
La note de M. Poincaré nous apporte les
suggestions françaises détaillées. en vue
de la solution du problème européen. Nous
attendions ces suggestions avec l'intérêt le
plus vif et nous les avons étudiées attenti-
vement dans l'espoir d'y trouver quelques
propositions précises pouvant servir de
base à un programme positif. Nous ne pou-
vons pas dissimuler, toutefois, à quel point
nous sommes déçus de ne trouver dans la
note française aucun aperçu au problème
véritable, tel que nous sommes forcés de
le comprendre. Elle est fondée sur une in-
terprétation littérale et étroitement fran-
çaise des textes formels et ne renferme au-
cune allusion à la confusion qui règne au-
jourd'hui dans le monde. Néanmoins nous
avons un grand désir de voir s'établir une
collaboration franco-britannique : nous
sentons que sans la coopération de la France
il sera infiniment difficile d'effectuer en Eu-
rope aucun changement îavoiume. L. eL
pourquoi nous sommes heureux de relever
toutes les déclarations qui peuvent sembler
indiquer quelque possibilité de coopération.
Il y a d'abord le désaveu formel de toute
visée d'annexion. Cette décision, nous
comptons qu'on ne la perdra pas de vue.
Elle devrait exclure la tentation de se
laisser aller à la dérive, d'encourager, dans
le conflit de la Ruhr, les tendances qui
pourraient aboutir à la séparation de cer-
taines régions de l'Allemagne et au dé-
membrement de l'Etat allemand. La pro-
messe de modifier le caractère de l'occupa-
tion au cas où serait abandonnée la résis-
tance passive constitue également un enga-
gement formel qui n'est pas à dédaigner.
Il est clair, toutefois, qu'il faudra du temps
pour édifier sur ces bases un règlement po-
sitif. Et le temps est précisément ce qui
manque. La responsabilité d'empêcher un
désastre incombe en ce moment au gou-
vernement du Reich et au peuple alle-
mand., c'est de la question de savoir si
l'Allemagne pourra éviter pendant quelques
semaines encore de se désagréger que dé-
pend tout espoir de règlement.
Nous espéripns que la note française
contiendrait tout au moins quelques propo-
sitions financières se prêtant à des négo-
ciations futures. Malheureusement les sug-
gestions de M. Poincaré ne sont pas seule-
ment inconséquentes en elles-mêmes, mais
elles trahissent une certaine incompréhen-
sion de l'attitude britannique et une répu-
gnance à reconnaître les sacrifices très
réels que la Grande-Bretagne est disposée
à faire au chapitre des dettes alliées. Il est
injuste de suggérer que l'Angleterre est dis-
posée à faire à l'Allemagne des conditions
plus faciles qu'à la France. Tant au mois
de janvier que depuis, le Gouvernement a
déclaré très nettement qu'il était disposé à
consentir à une réduction très considérable
de la dette de la France envers nous, à
condition que l'on pût se mettre d'accord
sur un règlement général. Le fait que nous
avons commencé à nous acquitter de notre
dette envers l'Amérique ne devrait pas nous
être reproché. Dans cette question la Gran-
de-Bretagne fait scrupuleusement ce que
l'honneur lui commandait de faire. Quant,
au reste M. Poincaré, tout en faisant obser-
ver que la capacité de paiement actuelle de
l'Allemagne est zéro, insiste que toutes les
considérations financières ayant trait à
d'autres pays doivent être ajournées jus-
qu'au moment où l'Allemagne aura payé à
la France 26 milliards de marks. Nous
prétendons, au contraire, que traitée avec
sagesse l'Allemagne serait bientôt en mesu-
re de payer à la France et aux autres alliés,
y compris la Grande-Bretagne, des sommes
considérables au titre des réparations. Nous
n'abandonnons pas notre droit aux répara-
tions et il faut espérer que, au moyen de
conversations intimes entre les hommes
d'Etat, britanniques et M. Poincaré, il sera
possible de découvrir enfin le moyen d'éta-
blir un contrôle sur les finances alleman-
des, des garanties et des paiements effec-
tifs au titre des réparations, de manière à
favoriser la prospérité générale de l'Europe.
Le système actuel mène directement à la
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