Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-08-22
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 22 août 1923 22 août 1923
Description : 1923/08/22 (T24,N2433). 1923/08/22 (T24,N2433).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467105d
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISTÈRE
: DES
'PPAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2433
Mercredi 22 août 1923
1 Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
,.SE ALLEMANDE. - La politique exteneu-
re du ministère Stresemann (Hannu-
ters.cr Kurier, KmisclwJeUmjjfr
La résistance passive : les conditions
de la France. (Berliner Börsen-Courier,
Kôlnische Volkszeitung). - La ferme-
1 ure de la frontière entre l'Allemagne
OCCUpe et l'Allemagne non occupée:
une déclaration de M. Stresemann
(Kolnische Volkszeitung). - La France
et l'-emprunt-or allemand (KOInische
olkszeitung). - L'œuvre du président
l-Iarding (Deutsche Allgemeine L J
- Un discours du général Alieri sur 11'1
Participation américaine au règlement
p des réparations (Kölnische Zeitung).
fie'^E ANGLAISE. - Les négociations fran-
CO-britanniques (Daily Telegraph, 1
Rester Guardian). - La Belgique et
l'occupation invisible (H. F. Spender
Duns Westminster Gazette).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
NEGOCIATIONS FRANCO-BRITA-
le 8e S. — Hier, dans les milieux anglaIs,
tès dlunent général touchant les possibili-
tés d'accord qui sont apportées par la note
de d: Poincaré n'était certes pas p
Le discours prononcé dimanche par le pre-
sident du Conseil français était naturelle-
ment considéré comme un résumé d'e IL'
Ùll : estimait que ce discours annonçait
une note peut-être très modérée de ton, mais
au fond absolument intransigeante C'est
aussi l'impression que l'on a en lIsant la
presse française. Il est clair que le
nement français, soucieux d'éviter aux yeux
du ca.°Ild toute apparence de responsabilité
*u ('as où les négociations actuelles ou mê-
dero, ntente viendraient à être rornpues, ne
aridorait pas mieux que de voir prolon-
til U.ldéfiniment des pourparlers mêrfie inu-
*wjUsqu'à la capitulation ou à l'effondre-
1 4 1,t - -
'0 \lU Reieh.
t On 1 tactique du Quai d'Orsay est habile,
et on la comprend facilement. Mais ne
doit pas troubler M. Baldwin, le <• I ]s
Curzon et leurs collègues, même si pré-
,Ol)n a Paris que le ton conciliant de la note
donnera plus de force aux critiques polées
à l'intérieur contre le Gouvernement brtlan-
llt h C est une chose curieuse de voir que
SM tu homme d'Etat britannique qui, comme
CUsten Chamberlain ou le comte Birken-
1&1 < porte d'aventure une critique contre
11 tel aspect de l'attitude du Cabine ac-
tuel est aussitôt rangé parmi les partisans
de M. Poincaré. Or, personne n'a fait une
opposition plus vigoureuse à la politique de
M. Poincaré que l'ancien lord-chancelier
dans la déclaration faite à Birmingham sa-
medi. Il a condamné l'occupation de la Ruhr
de la manière la plus claire ; s'il a jugé
inopportun qu'on ait soulevé en ce moment
la question de la légalité, il n'a nullement
admis que l'occupation fût légale. Il faut
en dire autant de lord Birkenhead. Il ne
pouvait en être autrement puisque, le 24 mai
1922, à la Chambre des Communes, M.
, nno into>rr\r>/>tQtinn lô.
Chamberlain a UVllllv UU" LU' F'L "UVU L"
gale du paragraphe 18, qui est contraire à
l'interprétation soutenue aujourd'hui par M.
poincaré. A l'interprétation de M. Chamber-
lain lord Birkenhead, la plus grande auto-
rité juridique du Cabinet de la coalition, doit
indubitablement avoir donné son assenti-
ment En outre, c'est M. Austen Chamber-
lain qui, dans le dernier discours qu'il a
prononcé avant la démission du Cabinet de
la coalition, a déclaré que l'Empire britan-
niaue ne pouvait se contenter de tourner
« comme un pur satellite dans l'orbite de
la France ». Critiquer les méthodes du gou-
vernement actuel, ce n'est pas nécessaire-
ment réprouver le but qu'il poursuit.
Tant que les notes française et belge n'ont
pas été reçues et dûment examinées par le
Cabinet, on ne peut dire quelle ligne politi-
que sera adoptée. Mais on ne peut attendre
que le Gouvernement britannique abandon-
ne son idée et l'idée américaine de la fixa-
tion scientifique de la capacité allemande
par une commission impartiale d'experts.
On ne peut dire non plus si M. Baldwin au-
ra une conversation avec M. Poincaré et à
quelle date ; on ne peut dire non plus si
l'idée belge de convoquer une conférence in-
teralliée sera jugée acceptable par le Gou-
vernement, britannique. - (Du rédacteur
diplomatique.)
DAILY TELEGRAPH, 21.8.
- La position plise par la France est
suffisamment claire et, malgré le ton amical
qui la caractérisait, le discours prononcé
hier par M. Poincaré ne fait rien pour la
modifier. Tant que durera la Chambre ac-
tuelle et que M. Poincaré restera au pou-
voir, il n'y a pas à espérer de changement
appréciable sous ce rapport. Pour nous, la
situation est différente. INOUÔ sommes for-
cés de persévérer dans la voie où nous som-
mes engagés et il nous faut obtenir autant
que possible l'appui des autres pays. Bien
que difficile, la tâche n'est pas irréalisable.
Le mécanisme de la Société des nations n'a
pas encore été mis à contribution et on
peut y avoir recours. Comme l'a fait ob-
server M. Keynes dans la Nation, l'article
13 du pacte de la Société des nations impose
à tous les signataires du traité l'obligation
positive de soumettre à l'arbitrage tout dif-
férend portant sur le traité international
ou sur l'interprétation des traités. C'est pré-
cisément un différend de cette nature qui
existe entre la France et nous, et il con-
vient que la question soit soumise immé-
diatement à l'arbitrage. Il est absurde, d'au-
tre part, que l'Allemagne reste en dehors
de la Société des nations. Il y aurait lieu
de l'inviter immédiatement, et comme une
chose qui va de soi, à en faire partie, et s'il
reste quelque sagesse à ses hommes d'Etat
elle demandera sans retard à en devenir
membre. Ce n'est pas seulement par l'entre-
mise de la Société, mais aussi en dehors
d'elle qu'il convient de rechercher la coopé
ration des autres nations, non pas en vue
de constituer un groupe hostile à la France,
mais parce que toutes les nations sont in
téressées précisément de la même façon,
sinon au même degré que nous, à la ques-
tion, et elles devraient commencer par faire
un effort collectif en vue de déterminer la
capacité de paiement véritable de l'Allema-
gne, les conditions dans lesquelles il lui
serait possible de s'acquitter et les garanties
de toute espèce que l'on pourrait exiger
d'elle. Cela ferait un bon commencement.
L'essentiel est d'offrir à l'Allemagne et au
monde autre chose qu'une politique de vio-
lence. Il se peut que la France refuse de
l'accepter. Mais c'est chose grave pour
une nation de résister à l'opinion du monde
entier. Il y a en France, comme partout,
n. élément meilleur et plus sage. Il est en-
core possible qu'il prenne le dessus. — (Ed.)
MANCHESTER GUARDIAN, 20.8.
LA POLITIQUE EXTERIEURE DU MINISTE-
RE STRESEMANN. — Dans un article intitulé :
« L'ECHO DE L'ETRANGER H, le Hannoverscher Ku-
rier constate qu'au dehors le nouveau Chance-
lier est fort bien accueilli. En France même on
lui fait bon visage, mais pour des raisons toutes
spéciales : c'est qu'on attend de lui une attitude
nouvelle, et M. Poincaré, que la résistance opi-
niâtre du cabinet Cuno avait mis en fureur.
éprouve un soulagement.
Dans le choix comme Chancelier du Dr
Stresemann, le représentant de d'idée de la
grande coalition, M. Poincaré, a cru voir un
signe de détente. Tandis que le nouveau
Chancelier ne voit dans l'élargissement de
la base gouvernementale qu'un moyen de
renforcer la politique allemande, Poincaré
croit pouvoir considérer ce fait comme un
signe de faiblesse. Il voit là une victoire de
la socialdémocratie, qui tend à une entente
avec la France, tandis que le Dr Stresemann
n'a voulu que rassembler le peuple tout en-
vier pour une résistance victorieuse.
Poincaré est même prêt à pardonner au
Dr Stresemann ses expressions vives contre
la France dans le dernier discours qu'il
prononça comme député au Reichstag. On a
fait ressortir à Paris que le Chancelier ac-
: DES
'PPAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2433
Mercredi 22 août 1923
1 Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
,.SE ALLEMANDE. - La politique exteneu-
re du ministère Stresemann (Hannu-
ters.cr Kurier, KmisclwJeUmjjfr
La résistance passive : les conditions
de la France. (Berliner Börsen-Courier,
Kôlnische Volkszeitung). - La ferme-
1 ure de la frontière entre l'Allemagne
OCCUpe et l'Allemagne non occupée:
une déclaration de M. Stresemann
(Kolnische Volkszeitung). - La France
et l'-emprunt-or allemand (KOInische
olkszeitung). - L'œuvre du président
l-Iarding (Deutsche Allgemeine L J
- Un discours du général Alieri sur 11'1
Participation américaine au règlement
p des réparations (Kölnische Zeitung).
fie'^E ANGLAISE. - Les négociations fran-
CO-britanniques (Daily Telegraph, 1
Rester Guardian). - La Belgique et
l'occupation invisible (H. F. Spender
Duns Westminster Gazette).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
NEGOCIATIONS FRANCO-BRITA-
le 8e S. — Hier, dans les milieux anglaIs,
tès dlunent général touchant les possibili-
tés d'accord qui sont apportées par la note
de d: Poincaré n'était certes pas p
Le discours prononcé dimanche par le pre-
sident du Conseil français était naturelle-
ment considéré comme un résumé d'e IL'
Ùll : estimait que ce discours annonçait
une note peut-être très modérée de ton, mais
au fond absolument intransigeante C'est
aussi l'impression que l'on a en lIsant la
presse française. Il est clair que le
nement français, soucieux d'éviter aux yeux
du ca.°Ild toute apparence de responsabilité
*u ('as où les négociations actuelles ou mê-
dero, ntente viendraient à être rornpues, ne
aridorait pas mieux que de voir prolon-
til U.ldéfiniment des pourparlers mêrfie inu-
*wjUsqu'à la capitulation ou à l'effondre-
1 4 1,t - -
'0 \lU Reieh.
t On 1 tactique du Quai d'Orsay est habile,
et on la comprend facilement. Mais ne
doit pas troubler M. Baldwin, le <• I ]s
Curzon et leurs collègues, même si pré-
,Ol)n a Paris que le ton conciliant de la note
donnera plus de force aux critiques polées
à l'intérieur contre le Gouvernement brtlan-
llt h C est une chose curieuse de voir que
SM tu homme d'Etat britannique qui, comme
CUsten Chamberlain ou le comte Birken-
1&1 < porte d'aventure une critique contre
11 tel aspect de l'attitude du Cabine ac-
tuel est aussitôt rangé parmi les partisans
de M. Poincaré. Or, personne n'a fait une
opposition plus vigoureuse à la politique de
M. Poincaré que l'ancien lord-chancelier
dans la déclaration faite à Birmingham sa-
medi. Il a condamné l'occupation de la Ruhr
de la manière la plus claire ; s'il a jugé
inopportun qu'on ait soulevé en ce moment
la question de la légalité, il n'a nullement
admis que l'occupation fût légale. Il faut
en dire autant de lord Birkenhead. Il ne
pouvait en être autrement puisque, le 24 mai
1922, à la Chambre des Communes, M.
, nno into>rr\r>/>tQtinn lô.
Chamberlain a UVllllv UU" LU' F'L "UVU L"
gale du paragraphe 18, qui est contraire à
l'interprétation soutenue aujourd'hui par M.
poincaré. A l'interprétation de M. Chamber-
lain lord Birkenhead, la plus grande auto-
rité juridique du Cabinet de la coalition, doit
indubitablement avoir donné son assenti-
ment En outre, c'est M. Austen Chamber-
lain qui, dans le dernier discours qu'il a
prononcé avant la démission du Cabinet de
la coalition, a déclaré que l'Empire britan-
niaue ne pouvait se contenter de tourner
« comme un pur satellite dans l'orbite de
la France ». Critiquer les méthodes du gou-
vernement actuel, ce n'est pas nécessaire-
ment réprouver le but qu'il poursuit.
Tant que les notes française et belge n'ont
pas été reçues et dûment examinées par le
Cabinet, on ne peut dire quelle ligne politi-
que sera adoptée. Mais on ne peut attendre
que le Gouvernement britannique abandon-
ne son idée et l'idée américaine de la fixa-
tion scientifique de la capacité allemande
par une commission impartiale d'experts.
On ne peut dire non plus si M. Baldwin au-
ra une conversation avec M. Poincaré et à
quelle date ; on ne peut dire non plus si
l'idée belge de convoquer une conférence in-
teralliée sera jugée acceptable par le Gou-
vernement, britannique. - (Du rédacteur
diplomatique.)
DAILY TELEGRAPH, 21.8.
- La position plise par la France est
suffisamment claire et, malgré le ton amical
qui la caractérisait, le discours prononcé
hier par M. Poincaré ne fait rien pour la
modifier. Tant que durera la Chambre ac-
tuelle et que M. Poincaré restera au pou-
voir, il n'y a pas à espérer de changement
appréciable sous ce rapport. Pour nous, la
situation est différente. INOUÔ sommes for-
cés de persévérer dans la voie où nous som-
mes engagés et il nous faut obtenir autant
que possible l'appui des autres pays. Bien
que difficile, la tâche n'est pas irréalisable.
Le mécanisme de la Société des nations n'a
pas encore été mis à contribution et on
peut y avoir recours. Comme l'a fait ob-
server M. Keynes dans la Nation, l'article
13 du pacte de la Société des nations impose
à tous les signataires du traité l'obligation
positive de soumettre à l'arbitrage tout dif-
férend portant sur le traité international
ou sur l'interprétation des traités. C'est pré-
cisément un différend de cette nature qui
existe entre la France et nous, et il con-
vient que la question soit soumise immé-
diatement à l'arbitrage. Il est absurde, d'au-
tre part, que l'Allemagne reste en dehors
de la Société des nations. Il y aurait lieu
de l'inviter immédiatement, et comme une
chose qui va de soi, à en faire partie, et s'il
reste quelque sagesse à ses hommes d'Etat
elle demandera sans retard à en devenir
membre. Ce n'est pas seulement par l'entre-
mise de la Société, mais aussi en dehors
d'elle qu'il convient de rechercher la coopé
ration des autres nations, non pas en vue
de constituer un groupe hostile à la France,
mais parce que toutes les nations sont in
téressées précisément de la même façon,
sinon au même degré que nous, à la ques-
tion, et elles devraient commencer par faire
un effort collectif en vue de déterminer la
capacité de paiement véritable de l'Allema-
gne, les conditions dans lesquelles il lui
serait possible de s'acquitter et les garanties
de toute espèce que l'on pourrait exiger
d'elle. Cela ferait un bon commencement.
L'essentiel est d'offrir à l'Allemagne et au
monde autre chose qu'une politique de vio-
lence. Il se peut que la France refuse de
l'accepter. Mais c'est chose grave pour
une nation de résister à l'opinion du monde
entier. Il y a en France, comme partout,
n. élément meilleur et plus sage. Il est en-
core possible qu'il prenne le dessus. — (Ed.)
MANCHESTER GUARDIAN, 20.8.
LA POLITIQUE EXTERIEURE DU MINISTE-
RE STRESEMANN. — Dans un article intitulé :
« L'ECHO DE L'ETRANGER H, le Hannoverscher Ku-
rier constate qu'au dehors le nouveau Chance-
lier est fort bien accueilli. En France même on
lui fait bon visage, mais pour des raisons toutes
spéciales : c'est qu'on attend de lui une attitude
nouvelle, et M. Poincaré, que la résistance opi-
niâtre du cabinet Cuno avait mis en fureur.
éprouve un soulagement.
Dans le choix comme Chancelier du Dr
Stresemann, le représentant de d'idée de la
grande coalition, M. Poincaré, a cru voir un
signe de détente. Tandis que le nouveau
Chancelier ne voit dans l'élargissement de
la base gouvernementale qu'un moyen de
renforcer la politique allemande, Poincaré
croit pouvoir considérer ce fait comme un
signe de faiblesse. Il voit là une victoire de
la socialdémocratie, qui tend à une entente
avec la France, tandis que le Dr Stresemann
n'a voulu que rassembler le peuple tout en-
vier pour une résistance victorieuse.
Poincaré est même prêt à pardonner au
Dr Stresemann ses expressions vives contre
la France dans le dernier discours qu'il
prononça comme député au Reichstag. On a
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