Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-08-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 11 août 1923 11 août 1923
Description : 1923/08/11 (T24,N2425). 1923/08/11 (T24,N2425).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64670979
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISTÈRE
DES
FFAIR.ES ÉTRANGÈRES
o 2425
Samedi 11 août 1923
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
lJESS ALLEillANDE. — Le gouvernement du
fteich et les partis (Berliner Bœrseu
- Courier IIannoverscher Kurier).
p ,---
Resse ANGLAISE. - La nouvelle note britan-
nirue (Daily Mail, Morning Post, West-
minster Gazette, Daily Telegraph). -
déclarations des candidats à 1 élection
de Portsmouth sur l'occupation de la
lJ Ruhr (Times).
E:SE belge. — La publication des notes
Ji: françaises (Nation Belge).
SSE HOLLANDAISE. - La publication des
notes françaises (Haagsche Post).
"---- ——-———
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
si: PUBLICATION DES NOTES FRANÇAI-
¡y' j-- Presse HOLLANDAISE. - Après avoir ana-
lysé la note belge et la note française (du 30
juillet), <ï^'elle qualifie de « véritable chef-d'œu-
vrp de logique », la Haagsche Post (11.8) écrit
ce PUjs hier, probablement sous l'influen
Peut e la crise allemande imminente qui
? aVoir pour l'Europe, et pour la France
bernent, les pires conséquences, les Fran-
L s semblent plus disposés à collaborer a
si ^stauration de l'Europe. On a l'impres-
qu'ils ne sont plus aussi indifférents,
hL lnsensihlp.s à ce que peut réserver le
l'lUS ------ -- - - A -
8 Proche avenir. Et la Belgique, qui a un
F't'a. lIld aIde immédiate plus urgent que la
France, ne souhaite rien tant que de voir
éviter une rupture. Même dans les milieux
a une rupture. Même dans les ffilheux
îhA^^eint francophiles on nourrit les
t êrne8 sentiments pour plus .d'une: raison
Et travaille activement dans cette voie.
faih?. ngleterre le cabinet ESagée d0s récents débats. Une crise y est envi-
teur » Allemagne au lieu « du discours libéra-
M'~ que l'on attendait du chancelier Cuno, on
ndu que ( des phrases creuses, empha-
Se s peu encourageantes ».
HAAGSCHE POST, 11.8.
^Esse - Sous le titre : « La sécu-
4 ?e la France et de la Belgique ne
t'a;U(}Il e pas dominer le problème des répa-
regs S » ? -. La note française dont la
!}¡a.iIl a publié les termes est bien de la
Qes d qUi donna à la Revue des Deux Mon-
68 chroniques politiques si alertes.
flw e pièce solidement charpentée, mais
Ù 1 lronie n'est pas absente : M. Poin-
caré est un habile escrimeur et, après cha-
que paragraphe, le lecteur informé s'écrie :
« touché Il. La France, lasse des conféren-
ces irritée de son isolement, veut appli-
quer à l'Allemagne récalcitrante le traite-
ment qu'elle dut subir elle-même en 1871 ;
elle tient des gages et ne les lâchera pas.
Point d'expertises nouvelles, point de revi-
sion du chiffre de la dette, point de confu-
sion entre le problème de la Ruhr et le pro-
blème plus vaste de la sécurité. M. Poin-
ré qui a tant critiqué le traité de Versail-
les le possède mieux que personne ; il en
cite les articles, il argumente, il déduit, et
son mémoire juridique est irréfutable dès
qu'on se place sur le terrain du droit. L'at-
taque est parfois directe. Qui donc s'in-
quiéta en 1871 de la capacité de paiement
de la France ? qui s'entremit pour ména-
ger au vaincu d'alors un traitement juste
et raisonnable ? Une logique rigoureuse
conduit à des conclusions qui. hélas ! sont
surtout négatives. On sait ce que la France
ne veut pas, on sait beaucoup moins bien
ce qu'elle veut.
Les Anglais jusqu'ici n'ont rien voulu
entendre quand on leur parlait d'une Rhé-
nanie autonome. Mais peut-être seraient-ils
disposés aujourd'hui à payer de ce prix un
retour à une paix véritable, surtout si la
Belgique montrait clairement qu'elle est
aussi hostile qu'eux-mêmes à une annexion
déguisée de cette région par la France.
L'expérience a montré que la paix finan-
cière élaborée par des experts de tout aca-
bit, maintient l'Europe dans une fièvre
constante et prolonge indéfiniment les pos-
sibilités de résistance du vaincu. Il serait
prudent de préparer soigneusement le pro-
gramme des mesures politiques dont l'a-
doption nous permettrait de consentir un
rabais immédiat et décisif sur le montant
total des réparations, Ce n'est que dans
cette voie que la collaboration franco-belge
peut donner des résultats fructueux. A me-
sure que l'application stricte du traité de
Versailles provoque des difficultés crois-
santes les chances de faire prévaloir des
combinaisons plus simplés et moins préten-
tieuses augmentent considérablement, es-
pérons que M. Poincaré saura montrer que
derrière l'avocat qui plaide avec maîtrise
un procès mal engagé, il y a un homme
d'Etat capable d'appliquer à la frontière
de l'Est la méthode qui a permis à la mo-
narchie de Juillet de couvrir, en 1831, la
frontière du Nord. La Belgique, plus mena-
cée encore que la France, a un intérêt pri-
mordial à voir se constituer à ses côtés un
m nt véritablement neutre dont le voisinage
ne serait pas un danger perpétuel. C'est un
but capable d'unir indissolublement nos ef-
forts. Mais tant que nous resterons sur le
terrain mouvant des chiffres, l'alliance des
deux nations demeurera précaire comme le
prouve déjà le peu de zèle de M. Poincaré
à donner son avis sur le plan constructif
dressé en matière de réparations par MM.
Theunis et Jaspar. — L. L.
NATION BEGE, 10.8.
LA NOUVELLE NOTE BRITANNIQUE. — Le
Daily Mail prévoit que la prochaine note du
Gouvernement britannique aura un caractère
purement platonique et s'en félicite.
Le Cabinet a achevé hier une nouvelle-
note aux alliés concernant les réparations.
On croit savoir que ce document sera dû-
ment remis aux Gouvernements alliés, mais
qu'aucun autre acte ne suivra. A moins que
les ministres ne soient disposés à prendre
une initiative hardie et à appuyer le pro-
blème de M. Poincaré, c'est le meilleur
moyen de sortir de l'impasse dans la-
quelle le Cabinet n'aurait jamais dû com-
mettre la faute de s'aventurer. Si nos alliés
français et belges voient juste, la situation
dans la Ruhr ne va pas tarder à s'éclaircir
par la seule action du temps. Les premiers
craquements, croient nos alliés, se font en-
tendre en Allemagne et la population de la
Ruhr est lasse de la résistance passive.
Le discours du Dr Cuno au Reichstag
mérite certainement d'appeler l'attention du
Cabinet : c'est certainement une des plus
impudentes déclarations qu'aucun ministre
ou fontionnaire allemand ait jamais pro-
noncée.A l'entendre, l'Allemagne aurait payé
des sommes énormes aux alliés et serait
exposée à une misère inouïe. La vérité est
qu'elle en a payé en tout 241.000.000 1. st.
(déduction faite des avances alliées pour les
livraisons de charbon), et sur cette somme
seulement 95.000.000 1. st. en espèces, selon
les chiffres impartiaux de la Commission
des négociations.
Après la guerre de 1870 la France, bien
qu'elle fût infiniment moins riche que l'Alle-
magne contemporaine, paya en deux ans et
demi une somme de 215 millions de liv. st. en
espèces, en plus du coût total de l'occupa-
tion. Le discours du Dr Cuno montre plus
clairement que jamais, ainsi que M. Lloyd
George l'a dit en mai 1921, que ce n'est pas
les moyens, mais bien la volonté de payer
qui manque à l'Allemagne. Le Gouverne-
ment allemand a adopté une attitude de
défi ! Quant à la misère des Allemands, il
suffit de remarquer qu'ils ne paient prati-
quement pas d'impôts, et pas de loyer, les
droits d'affranchissement et les frais de
transports sont fixés à un taux dérisoire ; il
est possible d'effectuer un voyage de 100 ki-
lomètres en première: classe pour 9 pence.
Comme le disait il y a deux jours, à Cam-
bridge, un libéral bien connu, sir Peter Ry-
lands », l'Allemagne est plus riche en outil-
lage industriel, bâtiments et instruments de
production et mieux placée pour payer des
DES
FFAIR.ES ÉTRANGÈRES
o 2425
Samedi 11 août 1923
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
lJESS ALLEillANDE. — Le gouvernement du
fteich et les partis (Berliner Bœrseu
- Courier IIannoverscher Kurier).
p ,---
Resse ANGLAISE. - La nouvelle note britan-
nirue (Daily Mail, Morning Post, West-
minster Gazette, Daily Telegraph). -
déclarations des candidats à 1 élection
de Portsmouth sur l'occupation de la
lJ Ruhr (Times).
E:SE belge. — La publication des notes
Ji: françaises (Nation Belge).
SSE HOLLANDAISE. - La publication des
notes françaises (Haagsche Post).
"---- ——-———
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
si: PUBLICATION DES NOTES FRANÇAI-
¡y' j-- Presse HOLLANDAISE. - Après avoir ana-
lysé la note belge et la note française (du 30
juillet), <ï^'elle qualifie de « véritable chef-d'œu-
vrp de logique », la Haagsche Post (11.8) écrit
ce PUjs hier, probablement sous l'influen
Peut e la crise allemande imminente qui
? aVoir pour l'Europe, et pour la France
bernent, les pires conséquences, les Fran-
L s semblent plus disposés à collaborer a
si ^stauration de l'Europe. On a l'impres-
qu'ils ne sont plus aussi indifférents,
hL lnsensihlp.s à ce que peut réserver le
l'lUS ------ -- - - A -
8 Proche avenir. Et la Belgique, qui a un
F't'a. lIld aIde immédiate plus urgent que la
France, ne souhaite rien tant que de voir
éviter une rupture. Même dans les milieux
a une rupture. Même dans les ffilheux
îhA^^eint francophiles on nourrit les
t êrne8 sentiments pour plus .d'une: raison
Et travaille activement dans cette voie.
faih?. ngleterre le cabinet ESagée d0s récents débats. Une crise y est envi-
teur » Allemagne au lieu « du discours libéra-
M'~ que l'on attendait du chancelier Cuno, on
ndu que ( des phrases creuses, empha-
Se s peu encourageantes ».
HAAGSCHE POST, 11.8.
^Esse - Sous le titre : « La sécu-
4 ?e la France et de la Belgique ne
t'a;U(}Il e pas dominer le problème des répa-
regs S » ? -. La note française dont la
!}¡a.iIl a publié les termes est bien de la
Qes d qUi donna à la Revue des Deux Mon-
68 chroniques politiques si alertes.
flw e pièce solidement charpentée, mais
Ù 1 lronie n'est pas absente : M. Poin-
caré est un habile escrimeur et, après cha-
que paragraphe, le lecteur informé s'écrie :
« touché Il. La France, lasse des conféren-
ces irritée de son isolement, veut appli-
quer à l'Allemagne récalcitrante le traite-
ment qu'elle dut subir elle-même en 1871 ;
elle tient des gages et ne les lâchera pas.
Point d'expertises nouvelles, point de revi-
sion du chiffre de la dette, point de confu-
sion entre le problème de la Ruhr et le pro-
blème plus vaste de la sécurité. M. Poin-
ré qui a tant critiqué le traité de Versail-
les le possède mieux que personne ; il en
cite les articles, il argumente, il déduit, et
son mémoire juridique est irréfutable dès
qu'on se place sur le terrain du droit. L'at-
taque est parfois directe. Qui donc s'in-
quiéta en 1871 de la capacité de paiement
de la France ? qui s'entremit pour ména-
ger au vaincu d'alors un traitement juste
et raisonnable ? Une logique rigoureuse
conduit à des conclusions qui. hélas ! sont
surtout négatives. On sait ce que la France
ne veut pas, on sait beaucoup moins bien
ce qu'elle veut.
Les Anglais jusqu'ici n'ont rien voulu
entendre quand on leur parlait d'une Rhé-
nanie autonome. Mais peut-être seraient-ils
disposés aujourd'hui à payer de ce prix un
retour à une paix véritable, surtout si la
Belgique montrait clairement qu'elle est
aussi hostile qu'eux-mêmes à une annexion
déguisée de cette région par la France.
L'expérience a montré que la paix finan-
cière élaborée par des experts de tout aca-
bit, maintient l'Europe dans une fièvre
constante et prolonge indéfiniment les pos-
sibilités de résistance du vaincu. Il serait
prudent de préparer soigneusement le pro-
gramme des mesures politiques dont l'a-
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rabais immédiat et décisif sur le montant
total des réparations, Ce n'est que dans
cette voie que la collaboration franco-belge
peut donner des résultats fructueux. A me-
sure que l'application stricte du traité de
Versailles provoque des difficultés crois-
santes les chances de faire prévaloir des
combinaisons plus simplés et moins préten-
tieuses augmentent considérablement, es-
pérons que M. Poincaré saura montrer que
derrière l'avocat qui plaide avec maîtrise
un procès mal engagé, il y a un homme
d'Etat capable d'appliquer à la frontière
de l'Est la méthode qui a permis à la mo-
narchie de Juillet de couvrir, en 1831, la
frontière du Nord. La Belgique, plus mena-
cée encore que la France, a un intérêt pri-
mordial à voir se constituer à ses côtés un
m nt véritablement neutre dont le voisinage
ne serait pas un danger perpétuel. C'est un
but capable d'unir indissolublement nos ef-
forts. Mais tant que nous resterons sur le
terrain mouvant des chiffres, l'alliance des
deux nations demeurera précaire comme le
prouve déjà le peu de zèle de M. Poincaré
à donner son avis sur le plan constructif
dressé en matière de réparations par MM.
Theunis et Jaspar. — L. L.
NATION BEGE, 10.8.
LA NOUVELLE NOTE BRITANNIQUE. — Le
Daily Mail prévoit que la prochaine note du
Gouvernement britannique aura un caractère
purement platonique et s'en félicite.
Le Cabinet a achevé hier une nouvelle-
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On croit savoir que ce document sera dû-
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qu'aucun autre acte ne suivra. A moins que
les ministres ne soient disposés à prendre
une initiative hardie et à appuyer le pro-
blème de M. Poincaré, c'est le meilleur
moyen de sortir de l'impasse dans la-
quelle le Cabinet n'aurait jamais dû com-
mettre la faute de s'aventurer. Si nos alliés
français et belges voient juste, la situation
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par la seule action du temps. Les premiers
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Ruhr est lasse de la résistance passive.
Le discours du Dr Cuno au Reichstag
mérite certainement d'appeler l'attention du
Cabinet : c'est certainement une des plus
impudentes déclarations qu'aucun ministre
ou fontionnaire allemand ait jamais pro-
noncée.A l'entendre, l'Allemagne aurait payé
des sommes énormes aux alliés et serait
exposée à une misère inouïe. La vérité est
qu'elle en a payé en tout 241.000.000 1. st.
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livraisons de charbon), et sur cette somme
seulement 95.000.000 1. st. en espèces, selon
les chiffres impartiaux de la Commission
des négociations.
Après la guerre de 1870 la France, bien
qu'elle fût infiniment moins riche que l'Alle-
magne contemporaine, paya en deux ans et
demi une somme de 215 millions de liv. st. en
espèces, en plus du coût total de l'occupa-
tion. Le discours du Dr Cuno montre plus
clairement que jamais, ainsi que M. Lloyd
George l'a dit en mai 1921, que ce n'est pas
les moyens, mais bien la volonté de payer
qui manque à l'Allemagne. Le Gouverne-
ment allemand a adopté une attitude de
défi ! Quant à la misère des Allemands, il
suffit de remarquer qu'ils ne paient prati-
quement pas d'impôts, et pas de loyer, les
droits d'affranchissement et les frais de
transports sont fixés à un taux dérisoire ; il
est possible d'effectuer un voyage de 100 ki-
lomètres en première: classe pour 9 pence.
Comme le disait il y a deux jours, à Cam-
bridge, un libéral bien connu, sir Peter Ry-
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