Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-08-10
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 10 août 1923 10 août 1923
Description : 1923/08/10 (T24,N2424). 1923/08/10 (T24,N2424).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467096w
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
ministère
DES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2424
Vendredi 10 août 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
E ALLEMANDE. - La polll.lq'ue du mi-
nistère Cuno (Deutsche Zeitung). - La
hute du mark et les prix en Allemagne
(Kolnische Volkszeitung).
SE ANGLAISE. - Le discours de M.
Cuno au Reichstag (Morning Post, Ti-
mes). - La publication des notes fran-
C ai ses (Manchester Guardian). - l'es
Prochaines démarches britanniques
(Ociily Herald).
I(I £ -sse italienne. - La publication des no-
tes françaises (F. Coppola duns Idea
-\azionalc).
'----- ———-———-
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
'- L DISCOURS DE M. CUNO AU REICHSTAG.
GUe Presse AxGLusr - La Morning Post estime
¡¡!JI],' 1,1 discours de M. Cuno est un défi adressé,
(lJt seulement à la France mais aussi a la
1 e-Bretagne :
f¡t. discours de défi que le Reichstag a
tl hier a été prononcé par la voix du
1Ie f:-lJr Cuno, mais il s'inspirait de l'esprit
M- Stinnes. Nous ne sommes pas sur-
le I que les communistes aient interrompu
, chancelier, ni qu'ils lui aient reproché de
- tlre DI 1 "Il r-M/* ripe; magnats. Car le dis-
uil.':' '-.u 'Vv '-'v" ----0
, Ui s d'hier était le chant, peut-être même
çhant du cygne, des grands industriels
f tiennent l'Allemagne dans une poigne
er, plus forte encore que celle de Bis-
ly. arck, ou de l'empereur qui le renvoya. Le
lq&t' est tombé à zéro dans sa chute fan-
\Ta.ilq'Ue, mais l'Allemagne continue à tra-
1i11)\T.el' et ne se révolte pas, et si les classes
yen-nés oait disparu, leurs maîtres sont
C;,J1'U là. En manipulant le mark, en esm-
{ji\'elt les exportations par les soins des
cOrn bureaux de contrôle, en dominant Je
^merce intérieur du pays du fait qu'ils
doiminenst fle commerce extérieur. ; (en
Suiettissant la presse et le gouvernement.
tl's dands industriels sont devenus les mal-
t>,e„ s de l'Aii«ma.«nft P.t. les maîtres économi-
'lUes' --uou- -. --
es éventuels du monde entier. Mais toute
tle nl a son point faible, et M. Stinnes
U^rait tranquille que si les Français so -
nt de la Ruhr. C'est pourquoi on s'est
vrn e par des représentations - UX gou-
ssrnent étrangers et par la résistance
ssive à l'intérieur. de briser la volonté
a France et de l'empêcher de donner
iqhîu ? Allemands « cette volonté de payer »
si "Jlle se traduisait par des actes, VI-
<)fJ a,t les poches de M. Stinnes. Mais ni
les démarches faites au dehors ni la cam
pagne menée dans la Ruhr n'ont ébranlé ,:,
résolution du Gouvernement. ifa-arioais, et
c'est pourquoi nous pouvons considérer le
discours du docteur Cuno comme l'aveu de
la victoire diplomatique remportée par M.
Poincaré. 11 fallait donc un suprême et
(fi-md effort et le Chancelier a fait, donner
la Vieille Garde (e son éloquence. Son dis-
cours s'adresse, avant tout, au public alle-
mand ; il a pour but de stimuler un Vater-
land alangui, de lui faire faire un grand
effort. La France y est traitée de « maltres-
se et de destructrice de l'Europe » ; le traité
de Versailles est accusé de « peser comme
une malédiction » sur les populations euro-
prennes. - Nous sommes seuls, s'écrie le
Dr Cuno. nous devons, nous voulons
nous venir en aide à nous-mêmes. Et, à
n'en pas douter, l'aide on question doit con-
sister à maintenir la résistance passive « de
toutes nos forces », et pour les territoires
non occupés à soutenir activement cette ré-
sistance.
Il peut sembler, à première vue, que ce
discours ne tende pas à diminuer, mais plu-
tôt à, augmenter considérablement les dif-
ficultés de M. Baldwin et de lord Curzon.
Nous sommes certains que le Premier Mi-
nistre n'éprouve aucune sympathie pour
l'Allemagne et qu'il ne désire, en aucune
façon, aider celle-ci à se tirer dés embarras
<-melle s'est créés à elle-même. Il n'en est
pas moins vrai que, dans certains milieux,
on a voulu voir dans ses discours un en-
couragement direct à l'Allemagne. Comment
celle-ci a-t-elle répondu à cette attitude ?
Les propositions britanniques sont repous-
sées avec dédain et avis est donné - et
donné à juste titre - au peuple allemand de
n'avoir pas à trop compter sur le secours
de la Grande-Bretagne. Le Gouvernement
allemand a fermé, barricadé et verrouillé
la porte contre toute médiation britannique
et il est prêt à demeurer seul. M. Lloyd
George n'a certainement pas oublié com-
ment un ministre des Affaires étrangères
allemand répondit en 1921 à ses ouvertures
en déclarant que l'Allemagne n'était pas
responsable de la guerre. On peut toujours
compter sur l'Allemagne pour faire en sorte
qu'il n'y ait pas trop de germanophiles en
Angleterre. La tentative de médiation faite
par le Gouvernement britannique a donc
échoué, car elle a été nettement repoussée
par le Gouvernement de uarlln. Ce que (IIe-
mande M. Poincaré. c'est l'abandon de la
résistance passive. car l'ouverture de négo-
ciations en l'absence de cette garantie
serait considérée en Allemagne comme un
triomphe et comme la première étape vers
l'abolition de la « malédiction » que consti-
tue pour - elle le traité de Versailles. Nous
ne voyons pas, en conséquence, comment
le Gouvernement britannique pourrait per-
sister dans sa politique actuelle, éclairé
comme il l'est par le discours du docteur
Cuno. Les Allemands observent une attitude
de défi et leurs gouvernants font appel à
eux, comme le faisait Ludendorff dans l'été
de 1918. Contre un tel état, d'esprit que pen-
vent des tribunaux impartiaux ? Comment
attendre de la France qu'elle écoute des
propositions relatives aux dettes interal-
liées, quand ses voisins et ennemis d'outre-
Rhin sonnent le tocsin d'un soulèvement
national ?
Nous disions que ce discours ajouterait
peut-être aux difficultés de M. Baldwin.
Mais en se plaçant à un point de vue dif-
férent, il est permis de croire qu'il aplanira
au contraire ces difficultés. En effet, le Pre-
mier Ministre britannique peut désormais
déclarer en toute vérité que, dans un ef-
fort sincère pour apporter la paix à l'Eu-
rope et pour en rétablir l'harmonie éco-
nomique, il a été si loin dans ses avances
à l'Allemagne qu'il a donné de graves in-
quiétudes au pays allié pour lequel il éprou-
ve un si profond respect, qu'il a déterminé
au sein de son propre Cabinet et de son
propre parti quelque chose qui ressemble
à la discorde et qu'il s'est trouvé en danger
d'avoir à se lancer dans une entreprise
contraire aux sentiments et aux intérêts du
peuple britannique. Et la « reconnaissan-
ce » de l'Allemagne trouve son expression
dans le discours au Reichstag du docteur
Cuno. La Grande-Bretagne gémit sous le
fardeau de chômage, d'impôts accablants,
d'une lourde dette envers l'Amérique. La
livre sterling ne baisse pas la tête, maie la
nation dont elle symbolise la bonne foi
chancelle sous ce fardeau. Le mark alle-
mand est le méprisable témoin de la mau-
vaise foi de l'Allemagne. En effet, ainsi
que le souligne dans une autre colonne no-
tre rédacteur de la Cité, l'activité des af-
faires n'est pas interrompue en Allemagne.
C'est au point qu'un libéral aussi con-
vaincu que sir Peter Rylands a pu dé-
clarer hier, à Cambridge, que « l'argument
de la pauvreté, invoqué par l'Allemagne,
a été adopté délibérément en vue de résis-
ter aux demandes de réparations » et que
« en outillage, en construction et en instru-
ments de production l'Allemagne, à part
les dommages résultants pour elle de la
perte de certaines die ises, provinces, est
plus riche et davantage en état de payer
des réparations qu'à aucune autre époque
de son histoire )J. Nous ne pouvons .pas ar-
river à un arrangement avec :¡Allémagn('.
et après l'honorable échec qu'il vient d'é-
prouver, le Gouvernement a désormais le
devoir de marcher la main dans la main
avec l'allié dont il n'aurait jamais dû se
séparer. — (Ed.)
MORNING POST, 9.8.
DES
FFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2424
Vendredi 10 août 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
E ALLEMANDE. - La polll.lq'ue du mi-
nistère Cuno (Deutsche Zeitung). - La
hute du mark et les prix en Allemagne
(Kolnische Volkszeitung).
SE ANGLAISE. - Le discours de M.
Cuno au Reichstag (Morning Post, Ti-
mes). - La publication des notes fran-
C ai ses (Manchester Guardian). - l'es
Prochaines démarches britanniques
(Ociily Herald).
I(I £ -sse italienne. - La publication des no-
tes françaises (F. Coppola duns Idea
-\azionalc).
'----- ———-———-
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
'- L DISCOURS DE M. CUNO AU REICHSTAG.
GUe Presse AxGLusr - La Morning Post estime
¡¡!JI],' 1,1 discours de M. Cuno est un défi adressé,
(lJt seulement à la France mais aussi a la
1 e-Bretagne :
f¡t. discours de défi que le Reichstag a
tl hier a été prononcé par la voix du
1Ie f:-lJr Cuno, mais il s'inspirait de l'esprit
M- Stinnes. Nous ne sommes pas sur-
le I que les communistes aient interrompu
, chancelier, ni qu'ils lui aient reproché de
- tlre DI 1 "Il r-M/* ripe; magnats. Car le dis-
uil.':' '-.u 'Vv '-'v" ----0
, Ui s d'hier était le chant, peut-être même
çhant du cygne, des grands industriels
f tiennent l'Allemagne dans une poigne
er, plus forte encore que celle de Bis-
ly. arck, ou de l'empereur qui le renvoya. Le
lq&t' est tombé à zéro dans sa chute fan-
\Ta.ilq'Ue, mais l'Allemagne continue à tra-
1i11)\T.el' et ne se révolte pas, et si les classes
yen-nés oait disparu, leurs maîtres sont
C;,J1'U là. En manipulant le mark, en esm-
{ji\'elt les exportations par les soins des
cOrn bureaux de contrôle, en dominant Je
^merce intérieur du pays du fait qu'ils
doiminenst fle commerce extérieur. ; (en
Suiettissant la presse et le gouvernement.
tl's dands industriels sont devenus les mal-
t>,e„ s de l'Aii«ma.«nft P.t. les maîtres économi-
'lUes' --uou- -. --
es éventuels du monde entier. Mais toute
tle nl a son point faible, et M. Stinnes
U^rait tranquille que si les Français so -
nt de la Ruhr. C'est pourquoi on s'est
vrn e par des représentations - UX gou-
ssrnent étrangers et par la résistance
ssive à l'intérieur. de briser la volonté
a France et de l'empêcher de donner
iqhîu ? Allemands « cette volonté de payer »
si "Jlle se traduisait par des actes, VI-
<)fJ a,t les poches de M. Stinnes. Mais ni
les démarches faites au dehors ni la cam
pagne menée dans la Ruhr n'ont ébranlé ,:,
résolution du Gouvernement. ifa-arioais, et
c'est pourquoi nous pouvons considérer le
discours du docteur Cuno comme l'aveu de
la victoire diplomatique remportée par M.
Poincaré. 11 fallait donc un suprême et
(fi-md effort et le Chancelier a fait, donner
la Vieille Garde (e son éloquence. Son dis-
cours s'adresse, avant tout, au public alle-
mand ; il a pour but de stimuler un Vater-
land alangui, de lui faire faire un grand
effort. La France y est traitée de « maltres-
se et de destructrice de l'Europe » ; le traité
de Versailles est accusé de « peser comme
une malédiction » sur les populations euro-
prennes. - Nous sommes seuls, s'écrie le
Dr Cuno. nous devons, nous voulons
nous venir en aide à nous-mêmes. Et, à
n'en pas douter, l'aide on question doit con-
sister à maintenir la résistance passive « de
toutes nos forces », et pour les territoires
non occupés à soutenir activement cette ré-
sistance.
Il peut sembler, à première vue, que ce
discours ne tende pas à diminuer, mais plu-
tôt à, augmenter considérablement les dif-
ficultés de M. Baldwin et de lord Curzon.
Nous sommes certains que le Premier Mi-
nistre n'éprouve aucune sympathie pour
l'Allemagne et qu'il ne désire, en aucune
façon, aider celle-ci à se tirer dés embarras
<-melle s'est créés à elle-même. Il n'en est
pas moins vrai que, dans certains milieux,
on a voulu voir dans ses discours un en-
couragement direct à l'Allemagne. Comment
celle-ci a-t-elle répondu à cette attitude ?
Les propositions britanniques sont repous-
sées avec dédain et avis est donné - et
donné à juste titre - au peuple allemand de
n'avoir pas à trop compter sur le secours
de la Grande-Bretagne. Le Gouvernement
allemand a fermé, barricadé et verrouillé
la porte contre toute médiation britannique
et il est prêt à demeurer seul. M. Lloyd
George n'a certainement pas oublié com-
ment un ministre des Affaires étrangères
allemand répondit en 1921 à ses ouvertures
en déclarant que l'Allemagne n'était pas
responsable de la guerre. On peut toujours
compter sur l'Allemagne pour faire en sorte
qu'il n'y ait pas trop de germanophiles en
Angleterre. La tentative de médiation faite
par le Gouvernement britannique a donc
échoué, car elle a été nettement repoussée
par le Gouvernement de uarlln. Ce que (IIe-
mande M. Poincaré. c'est l'abandon de la
résistance passive. car l'ouverture de négo-
ciations en l'absence de cette garantie
serait considérée en Allemagne comme un
triomphe et comme la première étape vers
l'abolition de la « malédiction » que consti-
tue pour - elle le traité de Versailles. Nous
ne voyons pas, en conséquence, comment
le Gouvernement britannique pourrait per-
sister dans sa politique actuelle, éclairé
comme il l'est par le discours du docteur
Cuno. Les Allemands observent une attitude
de défi et leurs gouvernants font appel à
eux, comme le faisait Ludendorff dans l'été
de 1918. Contre un tel état, d'esprit que pen-
vent des tribunaux impartiaux ? Comment
attendre de la France qu'elle écoute des
propositions relatives aux dettes interal-
liées, quand ses voisins et ennemis d'outre-
Rhin sonnent le tocsin d'un soulèvement
national ?
Nous disions que ce discours ajouterait
peut-être aux difficultés de M. Baldwin.
Mais en se plaçant à un point de vue dif-
férent, il est permis de croire qu'il aplanira
au contraire ces difficultés. En effet, le Pre-
mier Ministre britannique peut désormais
déclarer en toute vérité que, dans un ef-
fort sincère pour apporter la paix à l'Eu-
rope et pour en rétablir l'harmonie éco-
nomique, il a été si loin dans ses avances
à l'Allemagne qu'il a donné de graves in-
quiétudes au pays allié pour lequel il éprou-
ve un si profond respect, qu'il a déterminé
au sein de son propre Cabinet et de son
propre parti quelque chose qui ressemble
à la discorde et qu'il s'est trouvé en danger
d'avoir à se lancer dans une entreprise
contraire aux sentiments et aux intérêts du
peuple britannique. Et la « reconnaissan-
ce » de l'Allemagne trouve son expression
dans le discours au Reichstag du docteur
Cuno. La Grande-Bretagne gémit sous le
fardeau de chômage, d'impôts accablants,
d'une lourde dette envers l'Amérique. La
livre sterling ne baisse pas la tête, maie la
nation dont elle symbolise la bonne foi
chancelle sous ce fardeau. Le mark alle-
mand est le méprisable témoin de la mau-
vaise foi de l'Allemagne. En effet, ainsi
que le souligne dans une autre colonne no-
tre rédacteur de la Cité, l'activité des af-
faires n'est pas interrompue en Allemagne.
C'est au point qu'un libéral aussi con-
vaincu que sir Peter Rylands a pu dé-
clarer hier, à Cambridge, que « l'argument
de la pauvreté, invoqué par l'Allemagne,
a été adopté délibérément en vue de résis-
ter aux demandes de réparations » et que
« en outillage, en construction et en instru-
ments de production l'Allemagne, à part
les dommages résultants pour elle de la
perte de certaines die ises, provinces, est
plus riche et davantage en état de payer
des réparations qu'à aucune autre époque
de son histoire )J. Nous ne pouvons .pas ar-
river à un arrangement avec :¡Allémagn('.
et après l'honorable échec qu'il vient d'é-
prouver, le Gouvernement a désormais le
devoir de marcher la main dans la main
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