Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-08-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 09 août 1923 09 août 1923
Description : 1923/08/09 (T24,N2423). 1923/08/09 (T24,N2423).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467095g
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISTÈRE
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2423
Jeudi 9 août 1923
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
", I.I.E,\L\\IH:. - La publication des no-
!"S françaises (G. Gothein dans Achl
1 hr AbcmlblaU ; Kolnische Zeitung).
1 tic loil.Lf du Chancelier au président
liq. (:unspil saxon (Rprlilwr Volkszn-
"Il, s~ixoil
'«KSSK AMÉRICAINE. — Ui PAIX de Lausanne
Uns Ion Evch in g Trit .nscvipl; •
PRESSE ANGLAISE. — Los prochaines démar-
chés britanniques (1J a,i 1 !I Telegraph.
V'nminq Posl). — Une lettre de M. Hen-
:y Page Croit, membre de la Chambre
IL's Communls (;\lllrning P()S0- - Lps
propositions de M. Keynes (Y orks hi/"(
Post). — Le Vatican et la Ruhr (Daily
Télégraphe.
PRESSE ITALIENNE. — L'altitude de lHali»
;a note du (i aoùl à la Grande-Bie a-,
Slampa. Resta del Carlinn).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LA PUBLICATION DES NOTES FRAN-
rISES (Dl, 14 JUIN ET DU 30 JUILLET). -
ALLEMANDE. - SOUS le titre : « L'aveu
flll ()lllCa['c, » — Poincaré se sent vain-
deI.' Il a l'ail Baldwin knock-out. A sa
Il'11 d
a "<1(ï polie de publier l'échange de no-
f- Ill'epond par une publication des
11 Ii f'
faite au moment où le Parlement
veltl Is part en vacances. Le yaIllqneur
1':-;;' montrer au monde combien granm
, 'Sl :-;a victoire .et faible son adversaire.
- -.. ,-..
bI'i\:o; somme, la note de Poincare est Uli
k.'ISfI'|e rejet des-propositions anglaises.
Elle exprime clairement une politique de
pr ,-:, g(,. Grotesque est l'affirmation que
'Tandon de ration dans la Ruhr, ou
.ni(1ineni des négociations amèneraient
"'JI(. - IffnslOlI dl' l'esprit de revanche en
Allemagne ». C'est. précisément le contraire.
d'lil I}encc contre la population de là-bas
• fl- développer l'esprit de revanche dans
(lf"rUPle allemand. Contrairement à ses.
*!,. '^rations répétées et à celles du minis-
tclf\rn - Trocquer qu'on voulait trouver soi-
nJ; ni,i des réparations dans la Ruhr et
qu'on y avait réussi, il est maintenant
i» °.'lc' qu'il ne s'agissait nullement de cela.
* 0 Hissait seulement de « créer en Alle-
jj',J?ne la volonté de payer », en préparant
des embarras aux urbanisations économi-
ques et politiques du Reich. C'est l'aveu
que toute l'affaire avait pour but de met-
tre l'Allemagne à la question. La volonté
de payer existait eti Allemagne. Elle est
devenue impraticable avec l'action dans la
Ilnhr. avec la proclamation de la politique
poincariste des sanctions et des gages.
Poincaré admet. avec le (iiiiivcrnenteiif an-
glais, que l'Allemagne doit rétablir son cré-
dit sa monnaie, son budget, conseils don-
nés par les alliés depuis 1919 et 1921, et ja-
mais suivis.
Or quand les conté ronces de (.amies et
de Gênes éveillèrent l'espoir qu'on pourrait
en venir à un accord et que durant trois
mois le mark resta st'.able. l'AUemagne
réussit d'avril a juillet 1922 à mettre en
ordre son budget, et, outre les dépenses cou-
rantes, à applique]- encore 338 millions de
marks-or à l'exécution du traité de paix. Il
fallut l'annonce par M. Poincaré d'une po-
îitinuei de sanctions et de gages et l'échec
du Comité Morgan pour jeter le mark dans
la descente terrible qui s'est accentuée sur-
tout après l'occupation de la Ru'hr. Poin
mié ne veut négocier qu'après capitulation:
- - - --
nous savons ce que c'est qu'être à la merci
do la France. La France fait dépendre un
nouveau règlement de la dette allemande
d'une remise pure et simple de ses dettes.
La note commente, avec une ironie mal-
veillante la suggestion d'un comité d'ex-
perts et rappelle justement que Lloyd
Georfe n'accepta pas les conclusions du
comité réuni en décembre 1920. On ne peut
railler plus méchamment la politique an
gto-américaine de l'Ex-Premier, à qui l'on
a justement crié, aux. Communes, qu'il était
responsable de la situation actuelle. Enfin
la note de Poincaré réduit les modalités de
J'évacuation à une pure question militaire
qui ne regarde pas l'Angleterre. Et c'est de
cette note que les Die-Hards ont obtenu qu'il
fût répondu très poliment et en laissant la
porte ouverte aux pourparlers. Les Die-
Hards semblent gens très accessibles au
« charme d'un traitement humiliant ». —
G. Gothein, ancien ministre.
ACHT UHR ABENDBTATT, 4.8.
La note dm 30 juillet accentue sans
équivoque le point de vue de prestige : cé-
der équivaudrait à une humiliation. Y a-t-il
humiliation à devenir raisonnable et à s as-
surer un résultat récîl? La note avoue l'échec
de l'action suivie jusqu'ici : on n'est pas
drompé par la formule qui dit qu'on l'avait
prévue : c'est l'histoire dru. renard et des
raisins. Mais il faut protester contre l'in-
sinuation qu'une collaboration des indus-
triels et fonctionnaires allemands aurait ré-
pondu au traité. Il reste donc la pure et
simple guerre économique pour forcer les
organisations du Reich allemand à se sou-
mettre aux exigences de la France, léga-
les ou non, en leur infligeant certains in-
eonvénonts »,('omrnr s'exprime euphémique
ment la lettre pour désigner des saisies,
des expulsions. des condamnations, des
meurtres même. Par cet aveu la France ne
s'assurera. aucun avantage devant le ju-
gement du inonde. Quant à l'Allemagne elle
ne veut aucun avantage, mais seulement
le retour au traité que lui ont imposé les
alliés. La, tactique, exposée dans la fin de
la note (évacuation proportionnée aux
paiements, met, les questions de forme ayant
la solution de fait pour retarder celle-ci. Les
pourparlers dureraient des semaines et pen-
dant ce temps l'Europe pourrait aller a
l'abîme. En somme la réponse montre dai-
rement que la devise de la France est : « Que
ma. volonté, arrive, le monde dût-il périr ! »
Le ministre anglais a en évidemment rai-
son dans sa déclaration.
KOELNISCHE ZEITUNG. 5.8.
LES PROCHAINES DEMARCHES BRI-
TANNIQUES. — Le Premier Ministre et
lord Curzon sont revenus à Londres?, hier
soir, ainsi que plusieurs de leurs collègues.
On croit savoir que la journée d'aujour-
d'hui sera consacrée à diverses consulta-
tions interministérielles sur les prochaines
mesures que devra prendre la Grande-Bre-
tagne dans la crise européenne ; mais le
Cabinet ne tiendra pas de réunion plénière
avant demain ou vendredi. On peut y voir
une indication des divergences d'opinion
qui existent certainement au sein du mi-
nistère. M. Baldwin et lord Curzon ont as-
surément raison de prêter une oreille impar-
tiale aux conseils parfois contradictoires
qu'on les presse de suivre, mais c'est au
Premier Ministre et au ministère des Affai-
res étrangères qu'il incombe de diriger la
politique étrangère de la Grande-Bretagne
et d'exiger que leurs collègues l'acceptent.
Il ne saurait être question pour eux de
céder, sur la question de la Ruhr, à la frac-
tion irréductible des Die-Hards, c'est-à-dire
à ceux qui voudraient que la Grande-Bre-
tagne se joignit à la France et à la Belgique
pour exiger du Reich l'abandon sans con-
dition de la résistance passive.
J'ai l'impression que la conversation qui
s'est tenue samedi entre lord Robert Cecil
et le président Millerand n'a rien produit
que l'on puisse considérer comme un signe
de rapprochement entre les vues britanni-
ques et françaises. Puisqu'il en est ainsi,
on a le sentiment très net dans les milieux
1. s plus autorisés que la limite des con-
cessions britanniques au point de vue fran-
çais est désormais atteinte et à ce 'senti-
DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2423
Jeudi 9 août 1923
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
", I.I.E,\L\\IH:. - La publication des no-
!"S françaises (G. Gothein dans Achl
1 hr AbcmlblaU ; Kolnische Zeitung).
1 tic loil.Lf du Chancelier au président
liq. (:unspil saxon (Rprlilwr Volkszn-
"Il, s~ixoil
'«KSSK AMÉRICAINE. — Ui PAIX de Lausanne
Uns Ion Evch in g Trit .nscvipl; •
PRESSE ANGLAISE. — Los prochaines démar-
chés britanniques (1J a,i 1 !I Telegraph.
V'nminq Posl). — Une lettre de M. Hen-
:y Page Croit, membre de la Chambre
IL's Communls (;\lllrning P()S0- - Lps
propositions de M. Keynes (Y orks hi/"(
Post). — Le Vatican et la Ruhr (Daily
Télégraphe.
PRESSE ITALIENNE. — L'altitude de lHali»
;a note du (i aoùl à la Grande-Bie a-,
Slampa. Resta del Carlinn).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LA PUBLICATION DES NOTES FRAN-
rISES (Dl, 14 JUIN ET DU 30 JUILLET). -
ALLEMANDE. - SOUS le titre : « L'aveu
flll ()lllCa['c, » — Poincaré se sent vain-
deI.' Il a l'ail Baldwin knock-out. A sa
Il'11 d
a "<1(ï polie de publier l'échange de no-
f- Ill'epond par une publication des
11 Ii f'
faite au moment où le Parlement
veltl Is part en vacances. Le yaIllqneur
1':-;;' montrer au monde combien granm
, 'Sl :-;a victoire .et faible son adversaire.
- -.. ,-..
bI'i\:o; somme, la note de Poincare est Uli
k.'ISfI'|e rejet des-propositions anglaises.
Elle exprime clairement une politique de
pr ,-:, g(,. Grotesque est l'affirmation que
'Tandon de ration dans la Ruhr, ou
.ni(1ineni des négociations amèneraient
"'JI(. - IffnslOlI dl' l'esprit de revanche en
Allemagne ». C'est. précisément le contraire.
d'lil I}encc contre la population de là-bas
• fl- développer l'esprit de revanche dans
(lf"rUPle allemand. Contrairement à ses.
*!,. '^rations répétées et à celles du minis-
tclf\rn - Trocquer qu'on voulait trouver soi-
nJ; ni,i des réparations dans la Ruhr et
qu'on y avait réussi, il est maintenant
i» °.'lc' qu'il ne s'agissait nullement de cela.
* 0 Hissait seulement de « créer en Alle-
jj',J?ne la volonté de payer », en préparant
des embarras aux urbanisations économi-
ques et politiques du Reich. C'est l'aveu
que toute l'affaire avait pour but de met-
tre l'Allemagne à la question. La volonté
de payer existait eti Allemagne. Elle est
devenue impraticable avec l'action dans la
Ilnhr. avec la proclamation de la politique
poincariste des sanctions et des gages.
Poincaré admet. avec le (iiiiivcrnenteiif an-
glais, que l'Allemagne doit rétablir son cré-
dit sa monnaie, son budget, conseils don-
nés par les alliés depuis 1919 et 1921, et ja-
mais suivis.
Or quand les conté ronces de (.amies et
de Gênes éveillèrent l'espoir qu'on pourrait
en venir à un accord et que durant trois
mois le mark resta st'.able. l'AUemagne
réussit d'avril a juillet 1922 à mettre en
ordre son budget, et, outre les dépenses cou-
rantes, à applique]- encore 338 millions de
marks-or à l'exécution du traité de paix. Il
fallut l'annonce par M. Poincaré d'une po-
îitinuei de sanctions et de gages et l'échec
du Comité Morgan pour jeter le mark dans
la descente terrible qui s'est accentuée sur-
tout après l'occupation de la Ru'hr. Poin
mié ne veut négocier qu'après capitulation:
- - - --
nous savons ce que c'est qu'être à la merci
do la France. La France fait dépendre un
nouveau règlement de la dette allemande
d'une remise pure et simple de ses dettes.
La note commente, avec une ironie mal-
veillante la suggestion d'un comité d'ex-
perts et rappelle justement que Lloyd
Georfe n'accepta pas les conclusions du
comité réuni en décembre 1920. On ne peut
railler plus méchamment la politique an
gto-américaine de l'Ex-Premier, à qui l'on
a justement crié, aux. Communes, qu'il était
responsable de la situation actuelle. Enfin
la note de Poincaré réduit les modalités de
J'évacuation à une pure question militaire
qui ne regarde pas l'Angleterre. Et c'est de
cette note que les Die-Hards ont obtenu qu'il
fût répondu très poliment et en laissant la
porte ouverte aux pourparlers. Les Die-
Hards semblent gens très accessibles au
« charme d'un traitement humiliant ». —
G. Gothein, ancien ministre.
ACHT UHR ABENDBTATT, 4.8.
La note dm 30 juillet accentue sans
équivoque le point de vue de prestige : cé-
der équivaudrait à une humiliation. Y a-t-il
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surer un résultat récîl? La note avoue l'échec
de l'action suivie jusqu'ici : on n'est pas
drompé par la formule qui dit qu'on l'avait
prévue : c'est l'histoire dru. renard et des
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sinuation qu'une collaboration des indus-
triels et fonctionnaires allemands aurait ré-
pondu au traité. Il reste donc la pure et
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s'assurera. aucun avantage devant le ju-
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ne veut aucun avantage, mais seulement
le retour au traité que lui ont imposé les
alliés. La, tactique, exposée dans la fin de
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Le ministre anglais a en évidemment rai-
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KOELNISCHE ZEITUNG. 5.8.
LES PROCHAINES DEMARCHES BRI-
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lord Curzon sont revenus à Londres?, hier
soir, ainsi que plusieurs de leurs collègues.
On croit savoir que la journée d'aujour-
d'hui sera consacrée à diverses consulta-
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tagne dans la crise européenne ; mais le
Cabinet ne tiendra pas de réunion plénière
avant demain ou vendredi. On peut y voir
une indication des divergences d'opinion
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nistère. M. Baldwin et lord Curzon ont as-
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qu'on les presse de suivre, mais c'est au
Premier Ministre et au ministère des Affai-
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politique étrangère de la Grande-Bretagne
et d'exiger que leurs collègues l'acceptent.
Il ne saurait être question pour eux de
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dition de la résistance passive.
J'ai l'impression que la conversation qui
s'est tenue samedi entre lord Robert Cecil
et le président Millerand n'a rien produit
que l'on puisse considérer comme un signe
de rapprochement entre les vues britanni-
ques et françaises. Puisqu'il en est ainsi,
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