Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-08-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 08 août 1923 08 août 1923
Description : 1923/08/08 (T24,N2422). 1923/08/08 (T24,N2422).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64670942
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISTÈRE
DRS
!11i'AIUES ÉTRANGÈRES
N° 2422
Mercredi 8 août 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
14i\ESSE ALLEMANDE. - La déclaration du Gou-
vernement britannique (Frankfurter
Zeitung ; Carl v. Ossietzky dans Berli-
ner VOlkszeitung).
IJi\ESSE ANGLAISE. — Les prochaines démar-
Qhes britanniques : les dettes interal-
Hées (Daily Telegraph, Daily Chronicle).
- Une lettre de M. J. M. Keynes
(Times).
eRE88E AUTRICHIENNE. —La déclaration du
gouvernement britannique (Neue Freie
Presse, Wiener Morgenzeitung, Neues
Wiener Tagblatt).
i{ES'sE BELGE. — Le plan belge de répara-
tions (Indépendance Belge).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
DECLARATION DU GOUVERNE-
MENT BRITANNIQUE. — PRESSE ALLE-
fêE, — Le Gouvernement anglais s'est ré-
relldda.ns l'opinion publique. Celui qui
a t la fuite habituellement ne se sent
D aris - le langage de la politique,
er tuite est d'ordinaire sans doute un acte
éne mais on ne peut se dérober à
011 que le Cabinet de Londres,
s Sa conversation avec Paris et Bruxel-
tte alg tous ses efforts pour se mon-
c COIlcihant, jusqu'ici, n'a pas bien pro-
• Les Anglais devront voir aujourd'hui
r t- e prstge d,e leur pays a souffert
{~p ute de sa politique de faiblesse sur
binent, que la voix du lion britanni-
tt lie peui plus beaucoup en imposer, que
h k ^aiice s'impose plus qu'il ne convient
4 intérêts anglais. Baldwin a dit, dans
l'n.^aration d'hier aux Communes, que
le,. quoi qu'elle n'ait pas communiqué de
se écrite à l'Angleterre, est d'accord
iso Angleterre; mais à Paris on a des
'-'llSs s d'être d'un autre avis. En tout cas,
il n'a rien fait pour appuyer les
rts pacifiques anglais, et pour la Belgi-
le s'est, quoique au fond de son cœur
tilt, spuhaiterait peut-être autre chose, tel-
lement soumise aux ordres français, que
pour la politique anglaise il n'y a actuelle-
ment rien à faire avec la carte belge.
Le Gouvernement anglais annonce la publi-
cation de ses notes : il s'agit là non d'une
rupture mais d'une pression ; les pourparlers
vont donc continuer sous une forme ou une
autre ; mais l'affaire traînera en longueur se-
Ion le vœu de M. Poincaré. Les Communes en
vacances, la presse francophile a le champ
libre. D'ailleurs, jusqu'ici, toute pression an-
glaise a bien eu pour effet un peu plus de mo-
dération en France, mais ce changement per-
mettant aussitôt aux francophiles anglais de
déclarer l'accord facile ; le ton anglais s'adou-
cissait et la France redevenait intransigeante.
Ainsi la politique du Cabinet Baldwin menace
d'être entraînée toujours plus loin de ses vues
primitives.
FRANKFURTER ZEITUNG, 3.8, soir.
— Le rêve anglais est dissipé. Que faire
maintenant ? On ne peut retrouver les mois
perdus. Mais peut-être, avec une force d'ac-
tion tardivement éveillée, peut-on éviter le
pire. Notre politique extérieure a, comme
fascinée, espéré seulement en l'Angleterre
et a ainsi négligé d'examiner même la pos-
sibilité d'une entante directe avec la France.
Nous n'avons pas besoin d'énumérer ce qui,
sentimentalement, fait obstacle à cette po-
litique. On ne peut simplement rayer d'un
trait plus de six mois de lutte dans la Ruhr.
Il est exact que la France a jusqu'ici tou-
jours exigé la capitulation sans condition.
Mais il est aussi vrai que jusqu'ici l'épreu-
ve n'a pas encore été réellement raiie. La
politique anglaise a toujours commis la
faute de se poser en enfant protégé de la
politique française. Et la France a assez
clairement montré qu'elle ne voulait pas de
la médiation anglaise. La population de la
Ruhr n'est pas disposée à abandonner sa
résistance sans garanties, cela est clair ;
mais il est clair aussi qu'elle appuiera toute
démarche propre à amener une paix pleine
d'honneur et à mettre fin au funeste chaos.
On a assez souvent insisté là-dessus. La
condition d'une heureuse réussite est sans
doute que l'Allemagne se trouve de nou-
veau capable de négocier. On s'est plaint
-. » » «IF J
de l'insuffisante activité ue nu ne puuuique.
Mais il faut reconnaitre qu'un organisme
intérieurement disloqué, un misérable corps
économique comme l'Allemagne ne peut
avoir de politique extérieure. Que peut faire
le ministre des Affaires étrangères quand
la spéculation et l'impérialisme des grands
industriels ont le champ libre et que les mi-
nistres des Finances et de l'Economie regar-
dent, les mains liées, comment on fait du
petit bois avec les finances de l'Etat ? Re-
dresser l'autorité de l'Etat et entreprendre,
de toutes ses forces, un assainissement éco-
nomique doit être le premier devoir. —
Carl v. Ossietzky.
BERLINER VOLKZEITUNG, 5.8, soir.
PRESSE AUTRICHIENNE. — La Neue Freie Presse
juillet prouvent que les deux gouvernements
britannique et la contre-réponse française du 30
juillet prouvent que les deux gouvernments main-
maintiennent leur point de vue :
Tout ou presque tout dépendra désormais
de l'attitude du gouvernement allemand et
de l'effet des mesures prises ces jours-ci par
le Cabinet de Berlin. D'après le résultat de
la séance d'hier au Parlement anglais, il
y a lieu surtout de s'aider soi-même. Mais
il est bien évident que dans une crise com-
me celle d'aujourd'hui, il ne peut suffire de
s'aider soi-même lorsqu'on a à l'extérieur
un adversaire qui poursuit votre ruine d'une
façon impitoyable et lorsqu'on n'est soute-
nu par personne. C'est pourquoi il est néces-
saire et pressant que l'Angleterre fasse une
autre démarche que ses déclarations d'au-
jourd'hui et que l'intervention dont ont parlé
ses ministres devienne une réalité. Baldwin
et Curzon ont insinué eux-mêmes qu'il n'y
avait plus de temps à perdre. Dans une
crise mondiale d'une telle ampleur un grand
Empire ne peut éternellement se dispenser
de prendre nettement position.
NEUE FREIE PRESSE, 3.8.
— La Wiener Morgenzeitung trouve que la si-
tuation est plus Glaire :
En Allemagne on a espéré une rupture
entre la France et l'Angleterre, on a même
spéculé sur cet espoir. Maintenant, comme
les deux alliées prennent des voies différen-
tes dans là question la plus brûlante de
l'Europe, il s'ouvre des perspectives très
menaçantes pour l'Allemagne. L'Angleterre
se refuse à suivre la politique française
dans la Ruhr, mais cela ne veut pas dire que
la situation de l'Allemagne s'en trouve amé-
liorée. 14 est plutôt tà craindre que la Fran-
ce, se voyant définitivement isolée, mais
ne pouvant revenir en arrière ne s'abatte
avec plus de vigueur sur l'Allemagne.
Poincaré a insinué récemment avec raison
que le temps travaillait pour la France et
que chaque jour qui s'écoulait augmentait
le danger pour l'Allemagne.
La déclaration anglaise a rendu la situa-
tion bien claire. Mais cette clarté fait l'ef-
fet de l'éclair Avant l'orage. La France est
forte et inflexible. Aussi dépend-il de l'Al-
lemagne seule de conjurer la tempête avant
qu'il ne soit irrévocablement trop tard.
Tout homme clairvoyant doit être aujour-
d'hui convaincu que la politique du « tenir »
sur la Ruhr ne peut que provoquer la catas-
trophe.
WIENER MORGENZEITUNG, 3.8.
DRS
!11i'AIUES ÉTRANGÈRES
N° 2422
Mercredi 8 août 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
14i\ESSE ALLEMANDE. - La déclaration du Gou-
vernement britannique (Frankfurter
Zeitung ; Carl v. Ossietzky dans Berli-
ner VOlkszeitung).
IJi\ESSE ANGLAISE. — Les prochaines démar-
Qhes britanniques : les dettes interal-
Hées (Daily Telegraph, Daily Chronicle).
- Une lettre de M. J. M. Keynes
(Times).
eRE88E AUTRICHIENNE. —La déclaration du
gouvernement britannique (Neue Freie
Presse, Wiener Morgenzeitung, Neues
Wiener Tagblatt).
i{ES'sE BELGE. — Le plan belge de répara-
tions (Indépendance Belge).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
DECLARATION DU GOUVERNE-
MENT BRITANNIQUE. — PRESSE ALLE-
fêE, — Le Gouvernement anglais s'est ré-
relldda.ns l'opinion publique. Celui qui
a t la fuite habituellement ne se sent
D aris - le langage de la politique,
er tuite est d'ordinaire sans doute un acte
éne mais on ne peut se dérober à
011 que le Cabinet de Londres,
s Sa conversation avec Paris et Bruxel-
tte alg tous ses efforts pour se mon-
c COIlcihant, jusqu'ici, n'a pas bien pro-
• Les Anglais devront voir aujourd'hui
r t- e prstge d,e leur pays a souffert
{~p ute de sa politique de faiblesse sur
binent, que la voix du lion britanni-
tt lie peui plus beaucoup en imposer, que
h k ^aiice s'impose plus qu'il ne convient
4 intérêts anglais. Baldwin a dit, dans
l'n.^aration d'hier aux Communes, que
le,. quoi qu'elle n'ait pas communiqué de
se écrite à l'Angleterre, est d'accord
iso Angleterre; mais à Paris on a des
'-'llSs s d'être d'un autre avis. En tout cas,
il n'a rien fait pour appuyer les
rts pacifiques anglais, et pour la Belgi-
le s'est, quoique au fond de son cœur
tilt, spuhaiterait peut-être autre chose, tel-
lement soumise aux ordres français, que
pour la politique anglaise il n'y a actuelle-
ment rien à faire avec la carte belge.
Le Gouvernement anglais annonce la publi-
cation de ses notes : il s'agit là non d'une
rupture mais d'une pression ; les pourparlers
vont donc continuer sous une forme ou une
autre ; mais l'affaire traînera en longueur se-
Ion le vœu de M. Poincaré. Les Communes en
vacances, la presse francophile a le champ
libre. D'ailleurs, jusqu'ici, toute pression an-
glaise a bien eu pour effet un peu plus de mo-
dération en France, mais ce changement per-
mettant aussitôt aux francophiles anglais de
déclarer l'accord facile ; le ton anglais s'adou-
cissait et la France redevenait intransigeante.
Ainsi la politique du Cabinet Baldwin menace
d'être entraînée toujours plus loin de ses vues
primitives.
FRANKFURTER ZEITUNG, 3.8, soir.
— Le rêve anglais est dissipé. Que faire
maintenant ? On ne peut retrouver les mois
perdus. Mais peut-être, avec une force d'ac-
tion tardivement éveillée, peut-on éviter le
pire. Notre politique extérieure a, comme
fascinée, espéré seulement en l'Angleterre
et a ainsi négligé d'examiner même la pos-
sibilité d'une entante directe avec la France.
Nous n'avons pas besoin d'énumérer ce qui,
sentimentalement, fait obstacle à cette po-
litique. On ne peut simplement rayer d'un
trait plus de six mois de lutte dans la Ruhr.
Il est exact que la France a jusqu'ici tou-
jours exigé la capitulation sans condition.
Mais il est aussi vrai que jusqu'ici l'épreu-
ve n'a pas encore été réellement raiie. La
politique anglaise a toujours commis la
faute de se poser en enfant protégé de la
politique française. Et la France a assez
clairement montré qu'elle ne voulait pas de
la médiation anglaise. La population de la
Ruhr n'est pas disposée à abandonner sa
résistance sans garanties, cela est clair ;
mais il est clair aussi qu'elle appuiera toute
démarche propre à amener une paix pleine
d'honneur et à mettre fin au funeste chaos.
On a assez souvent insisté là-dessus. La
condition d'une heureuse réussite est sans
doute que l'Allemagne se trouve de nou-
veau capable de négocier. On s'est plaint
-. » » «IF J
de l'insuffisante activité ue nu ne puuuique.
Mais il faut reconnaitre qu'un organisme
intérieurement disloqué, un misérable corps
économique comme l'Allemagne ne peut
avoir de politique extérieure. Que peut faire
le ministre des Affaires étrangères quand
la spéculation et l'impérialisme des grands
industriels ont le champ libre et que les mi-
nistres des Finances et de l'Economie regar-
dent, les mains liées, comment on fait du
petit bois avec les finances de l'Etat ? Re-
dresser l'autorité de l'Etat et entreprendre,
de toutes ses forces, un assainissement éco-
nomique doit être le premier devoir. —
Carl v. Ossietzky.
BERLINER VOLKZEITUNG, 5.8, soir.
PRESSE AUTRICHIENNE. — La Neue Freie Presse
juillet prouvent que les deux gouvernements
britannique et la contre-réponse française du 30
juillet prouvent que les deux gouvernments main-
maintiennent leur point de vue :
Tout ou presque tout dépendra désormais
de l'attitude du gouvernement allemand et
de l'effet des mesures prises ces jours-ci par
le Cabinet de Berlin. D'après le résultat de
la séance d'hier au Parlement anglais, il
y a lieu surtout de s'aider soi-même. Mais
il est bien évident que dans une crise com-
me celle d'aujourd'hui, il ne peut suffire de
s'aider soi-même lorsqu'on a à l'extérieur
un adversaire qui poursuit votre ruine d'une
façon impitoyable et lorsqu'on n'est soute-
nu par personne. C'est pourquoi il est néces-
saire et pressant que l'Angleterre fasse une
autre démarche que ses déclarations d'au-
jourd'hui et que l'intervention dont ont parlé
ses ministres devienne une réalité. Baldwin
et Curzon ont insinué eux-mêmes qu'il n'y
avait plus de temps à perdre. Dans une
crise mondiale d'une telle ampleur un grand
Empire ne peut éternellement se dispenser
de prendre nettement position.
NEUE FREIE PRESSE, 3.8.
— La Wiener Morgenzeitung trouve que la si-
tuation est plus Glaire :
En Allemagne on a espéré une rupture
entre la France et l'Angleterre, on a même
spéculé sur cet espoir. Maintenant, comme
les deux alliées prennent des voies différen-
tes dans là question la plus brûlante de
l'Europe, il s'ouvre des perspectives très
menaçantes pour l'Allemagne. L'Angleterre
se refuse à suivre la politique française
dans la Ruhr, mais cela ne veut pas dire que
la situation de l'Allemagne s'en trouve amé-
liorée. 14 est plutôt tà craindre que la Fran-
ce, se voyant définitivement isolée, mais
ne pouvant revenir en arrière ne s'abatte
avec plus de vigueur sur l'Allemagne.
Poincaré a insinué récemment avec raison
que le temps travaillait pour la France et
que chaque jour qui s'écoulait augmentait
le danger pour l'Allemagne.
La déclaration anglaise a rendu la situa-
tion bien claire. Mais cette clarté fait l'ef-
fet de l'éclair Avant l'orage. La France est
forte et inflexible. Aussi dépend-il de l'Al-
lemagne seule de conjurer la tempête avant
qu'il ne soit irrévocablement trop tard.
Tout homme clairvoyant doit être aujour-
d'hui convaincu que la politique du « tenir »
sur la Ruhr ne peut que provoquer la catas-
trophe.
WIENER MORGENZEITUNG, 3.8.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Fonds régional : Bretagne Fonds régional : Bretagne /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "Bretagn1"Yroise, bibliothèque numérique de Brest Yroise, bibliothèque numérique de Brest /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "GMBrst001"
- Auteurs similaires Fonds régional : Bretagne Fonds régional : Bretagne /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "Bretagn1"Yroise, bibliothèque numérique de Brest Yroise, bibliothèque numérique de Brest /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "GMBrst001"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k64670942/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k64670942/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k64670942/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k64670942/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k64670942
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k64670942
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k64670942/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest