Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-08-04
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 04 août 1923 04 août 1923
Description : 1923/08/04 (T24,N2419). 1923/08/04 (T24,N2419).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467091t
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISTÈRE
DIRS
AFpAlRES ÉTRANGÈRES
N° 2419
Samedi 4 août 1923
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
nE:SSE ANGLAISE. — La déclaration du Gou-
vernement britannique (Times, Daily
Telegraph, Morning Post, Daily News,
Westminster Gazette).
nEJsSE BELGE. — La décJaration du Gouver-
nement britannique (Indépendance Bel-
ge, Libre Belgique, Soir).
nSSIE ITALIENNE. — L'Italie et l'action de
la France (Stampa).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
'AIrb DECLARATION DU GOUVERNE-
pNT. — PRESSE ANGLAISE. — Sous le ti-
e : Il Un débat plein d'anxiété » :
l L'Irapression dominante d'hier, au par-
lent, était celle de la gravité de la situa-
lott et les discours critiquant la politique
11 gouvernement n'étaient guère que des
Natives faites pour échapper ou pour ré-
ister au sentiment Dénible qui se dégage
(le 1 --0- ------------- r ---
ne la crise. Il est possible que le parlement
11' pas eu le temps de se rendre compte
en faisant publiquement une déclaration
n ES nette, le gouvernement accomplissait
réalité un certain progrès dans la pour-
,2': e de la politique qu'il a adoptée. On
est plaint que le gouvernement n'ait fourni
d"rls sa déclaration officielle aucune in-
l)fltl de ce qu'il compte faire mainte-
t,é étant donnée la situation grave dont
joigne le refus de deux d'entre les alliés
, adhérer aux propositions britanniques.
Illl s cette déclaration était en elle-même
"rie démarche nouvelle et très importante,
le ISqu elle sera discutée aujourd'hui dans
le monde entier, avec tous Les commentai-
vs qu'elle a déjà fait naltre au parlement.
lb.iUiS estimons que jusqu'ici l'action du Pre-
ler Ministre et de ses collègues est entière-
ment justifiée. La politique dans. laquelle
Se sont engagés avait besoin, pour être
ea-ce, de l'entier appui de l'opinion bn-
l'é nlqu ; il fallait aussi, qu'elle fût mise à
Preuve de l'opinion mondiale. La force de
p thèse britannique avait souffert quelque
D'ell du secret dans lequel se sont poursui-
es les négociations diplomatiques avec les
|°Vvernements alliés. Aussitôt qu'il devint
cQr ent que l'on n'aboutirait pas à un ac-
e d, par la voie des négociations secrètes,
6 tétait pas seulement le droit, mais le de-
voir du gouvernement d'exposer la situa-
tion à son propre peuple. Cette explication
constitue un fait nouveau, qui doit servir à
êtayer l'initiative britannique et qui af-
fectera profondément le cours des négocia-
tions qui pourront être poursuivies ou enta-
mées à l'avenir. Les objections soulevées
hier par M. Austen Chamberlain contre la
diplomatie ouverte ne s'appliquent pas dans
ce cas particulier. Il n'y a pas de règle abso-
lue quant au secret des conversations diplo-
matiques et depuis quelques années la con-
vention qui a pu exister à ce sujet a été mo-
difiée de très irrégulière façon par diverses
influences. Ce que pouvait faire 'de mieux
notre gouvernement, afin de s'assurer un
terrain solide pour la poursuite de sa poli-
tique arrêtée, était d'en donner l'explica-
tion qu'il a donnée hier et de prendre ses
dispositions en vue de publier toute la cor-
respondance échangée avec les alliés.
Tels que les révèle la déclaration du gou-
vernement, les faits ne sont assurément pas
rassurants. La discussion portait sur la ré-
ponse alliée qu'il y aurait lieu de faire à la
dernière note allemande. Le gouvernement
britannique avait préparé, après mûre ré-
flexion, un projet de réponse qui fut com-
muniqué aux gouvernements alliés, en mê-
me temps qu'une lettre d'envoi expi icative,
et le contenu de ce projet de réponse fut pu-
blié hier pour la première fois. On ne sau-
rait prétendre qu'elle favorisât l'Allemagne
à un point excessif, ni qu'elle ne tint pas
compte des intérêts et des susceptibilités de
nos alliés.
Le peuple britannique sera surpris d'ap-
prendre que dans leurs réponses les gou-
vernements français et belge n'ont même
pas fait allusion à ce projet de réponse.
Certes la plupart d'entre nous avaient cru
comprendre que si le gouvernement britan-
nique était disposé à assumer la très
grave responsabilité de recommander au
gouvernement allemand la cessation de la
résistance passive, la France de son côté
examinerait sérieusement la possibilité
d'entamer des négociations sur la question
économique fondamentale. Il .est impossible
de se former un jugement définitif jusqu'à
ce que la réponse française soit publiée,
comme nous espérons qu'elle le sera bien-
tôt, sous une forme officielle ; mais il est
pour le moins étrange, alors que le gou-
vernement britannique, prenant parti dans
un conflit que désapprouve profondément
la nation britannique, est allé jusqu'à se
déclarer prêt à recommander la cessation
de la résistance passive, de contater que
le gouvernement français semble s'être
abstenu de lui témoigner aucune reconnais-
sance de cet effort. La concession que l'on
pouvait attendre en retour, de la part de la
France, c'est-à-dire l'indication qu'elle
serait disposées à participer à des négocia-
tions alliées avec l'Allemagne, est absente
également, ce qui est peut-être assez natu-
rel étant données les circonstances. Le pro-
jet de réponse britannique, rédigé avec tant
de soin et avec des égards si scrupuleux
pour les alliés reste en l'air. La tentative
faite pour déterminer une action alliée en
vue du règlement du problème des répara-
tions fi échoué pour l'instant. Mais il n'est
pas question, paraît-il, de rompre les né-
gociations. Le gouvernement, comme l'a
déclaré hier M. Baldwin, poursuit la tâche
difficile de préparer une réponse aux der-
nières notes française et belge. Les décla-
rations publiques d'hier ne doivent pas-
marquer la fin de cette 'affaire. Les cir-
constances ne sont toutefois plus les
mêmes et la différence est due aux débats
d'hier.
La situation est suffisamment grave,
mais nous ne sommes pas encore enclins
à la considérer comme désespérée. Notre
gouvernement s'est assuré une liberté
d'action dont il ne disposait pas jusqu'ici.
Il a énoncé nettement les droits et les re-
vendications bridanniqu par rapport à
l'Allemagne comme aussi par rapport à la
France, et c'était là chose nécessaire,
étant donnée la confusion qui régnait dans
l'opinion publique anglaise, certains ma-
lentendus qui persistaient en Allemagne et
la bruyante publicité donnée aux vues du
gouvernement français. Le point de vue
britannique, comme nous l'avons souligné
à plusieurs reprises, est à la fois britanni-
que et européen. Les raisons et le but es-
sentiels en ont été admirablement exposés
par M. Baldwin d'ans le discours par lequel
s'est clôturé le débat, discours où il a fait
ressortir l'interdépendance économique des
nations. ainsi que les réactions toutes spé-
ciales de notre système économique aux
vicissitudes de la situation européenne et
du commerce mondial. Ce n'est pas unique-
ment pour des raisons, commerciales, tou-
tefois, qu'il est nécessaire que la politique
du gouvernement soit poursuivie avec per-
sistance. Les 'appels impérieux de la
bonne volonté jouent en ce moment un rôle
des plus importants. Et nous conservons
l'espoir que les déclarations d'hier et le
profond mouvement a'opinion qu'elles ne
peuvent manquer' de produire contribue-
ront puissamment à permettre d'aboutir à
un accord. — (Ed.)
TIMES, 3.8.
— Le rédacteur diplomatique du Daily Tele-
graph est convaincu que le point de vue britan-
pique sera accueilli avec faveur en Italie, au
Japon, aux Etats-Unis et dans les pays neutres.
Les commentaires de la presse scandinave ap-
portent aussi une promesse d'appui très si-
gnificative.
DIRS
AFpAlRES ÉTRANGÈRES
N° 2419
Samedi 4 août 1923
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
nE:SSE ANGLAISE. — La déclaration du Gou-
vernement britannique (Times, Daily
Telegraph, Morning Post, Daily News,
Westminster Gazette).
nEJsSE BELGE. — La décJaration du Gouver-
nement britannique (Indépendance Bel-
ge, Libre Belgique, Soir).
nSSIE ITALIENNE. — L'Italie et l'action de
la France (Stampa).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
'AIrb DECLARATION DU GOUVERNE-
pNT. — PRESSE ANGLAISE. — Sous le ti-
e : Il Un débat plein d'anxiété » :
l L'Irapression dominante d'hier, au par-
lent, était celle de la gravité de la situa-
lott et les discours critiquant la politique
11 gouvernement n'étaient guère que des
Natives faites pour échapper ou pour ré-
ister au sentiment Dénible qui se dégage
(le 1 --0- ------------- r ---
ne la crise. Il est possible que le parlement
11' pas eu le temps de se rendre compte
en faisant publiquement une déclaration
n ES nette, le gouvernement accomplissait
réalité un certain progrès dans la pour-
,2': e de la politique qu'il a adoptée. On
est plaint que le gouvernement n'ait fourni
d"rls sa déclaration officielle aucune in-
l)fltl de ce qu'il compte faire mainte-
t,é étant donnée la situation grave dont
joigne le refus de deux d'entre les alliés
, adhérer aux propositions britanniques.
Illl s cette déclaration était en elle-même
"rie démarche nouvelle et très importante,
le ISqu elle sera discutée aujourd'hui dans
le monde entier, avec tous Les commentai-
vs qu'elle a déjà fait naltre au parlement.
lb.iUiS estimons que jusqu'ici l'action du Pre-
ler Ministre et de ses collègues est entière-
ment justifiée. La politique dans. laquelle
Se sont engagés avait besoin, pour être
ea-ce, de l'entier appui de l'opinion bn-
l'é nlqu ; il fallait aussi, qu'elle fût mise à
Preuve de l'opinion mondiale. La force de
p thèse britannique avait souffert quelque
D'ell du secret dans lequel se sont poursui-
es les négociations diplomatiques avec les
|°Vvernements alliés. Aussitôt qu'il devint
cQr ent que l'on n'aboutirait pas à un ac-
e d, par la voie des négociations secrètes,
6 tétait pas seulement le droit, mais le de-
voir du gouvernement d'exposer la situa-
tion à son propre peuple. Cette explication
constitue un fait nouveau, qui doit servir à
êtayer l'initiative britannique et qui af-
fectera profondément le cours des négocia-
tions qui pourront être poursuivies ou enta-
mées à l'avenir. Les objections soulevées
hier par M. Austen Chamberlain contre la
diplomatie ouverte ne s'appliquent pas dans
ce cas particulier. Il n'y a pas de règle abso-
lue quant au secret des conversations diplo-
matiques et depuis quelques années la con-
vention qui a pu exister à ce sujet a été mo-
difiée de très irrégulière façon par diverses
influences. Ce que pouvait faire 'de mieux
notre gouvernement, afin de s'assurer un
terrain solide pour la poursuite de sa poli-
tique arrêtée, était d'en donner l'explica-
tion qu'il a donnée hier et de prendre ses
dispositions en vue de publier toute la cor-
respondance échangée avec les alliés.
Tels que les révèle la déclaration du gou-
vernement, les faits ne sont assurément pas
rassurants. La discussion portait sur la ré-
ponse alliée qu'il y aurait lieu de faire à la
dernière note allemande. Le gouvernement
britannique avait préparé, après mûre ré-
flexion, un projet de réponse qui fut com-
muniqué aux gouvernements alliés, en mê-
me temps qu'une lettre d'envoi expi icative,
et le contenu de ce projet de réponse fut pu-
blié hier pour la première fois. On ne sau-
rait prétendre qu'elle favorisât l'Allemagne
à un point excessif, ni qu'elle ne tint pas
compte des intérêts et des susceptibilités de
nos alliés.
Le peuple britannique sera surpris d'ap-
prendre que dans leurs réponses les gou-
vernements français et belge n'ont même
pas fait allusion à ce projet de réponse.
Certes la plupart d'entre nous avaient cru
comprendre que si le gouvernement britan-
nique était disposé à assumer la très
grave responsabilité de recommander au
gouvernement allemand la cessation de la
résistance passive, la France de son côté
examinerait sérieusement la possibilité
d'entamer des négociations sur la question
économique fondamentale. Il .est impossible
de se former un jugement définitif jusqu'à
ce que la réponse française soit publiée,
comme nous espérons qu'elle le sera bien-
tôt, sous une forme officielle ; mais il est
pour le moins étrange, alors que le gou-
vernement britannique, prenant parti dans
un conflit que désapprouve profondément
la nation britannique, est allé jusqu'à se
déclarer prêt à recommander la cessation
de la résistance passive, de contater que
le gouvernement français semble s'être
abstenu de lui témoigner aucune reconnais-
sance de cet effort. La concession que l'on
pouvait attendre en retour, de la part de la
France, c'est-à-dire l'indication qu'elle
serait disposées à participer à des négocia-
tions alliées avec l'Allemagne, est absente
également, ce qui est peut-être assez natu-
rel étant données les circonstances. Le pro-
jet de réponse britannique, rédigé avec tant
de soin et avec des égards si scrupuleux
pour les alliés reste en l'air. La tentative
faite pour déterminer une action alliée en
vue du règlement du problème des répara-
tions fi échoué pour l'instant. Mais il n'est
pas question, paraît-il, de rompre les né-
gociations. Le gouvernement, comme l'a
déclaré hier M. Baldwin, poursuit la tâche
difficile de préparer une réponse aux der-
nières notes française et belge. Les décla-
rations publiques d'hier ne doivent pas-
marquer la fin de cette 'affaire. Les cir-
constances ne sont toutefois plus les
mêmes et la différence est due aux débats
d'hier.
La situation est suffisamment grave,
mais nous ne sommes pas encore enclins
à la considérer comme désespérée. Notre
gouvernement s'est assuré une liberté
d'action dont il ne disposait pas jusqu'ici.
Il a énoncé nettement les droits et les re-
vendications bridanniqu par rapport à
l'Allemagne comme aussi par rapport à la
France, et c'était là chose nécessaire,
étant donnée la confusion qui régnait dans
l'opinion publique anglaise, certains ma-
lentendus qui persistaient en Allemagne et
la bruyante publicité donnée aux vues du
gouvernement français. Le point de vue
britannique, comme nous l'avons souligné
à plusieurs reprises, est à la fois britanni-
que et européen. Les raisons et le but es-
sentiels en ont été admirablement exposés
par M. Baldwin d'ans le discours par lequel
s'est clôturé le débat, discours où il a fait
ressortir l'interdépendance économique des
nations. ainsi que les réactions toutes spé-
ciales de notre système économique aux
vicissitudes de la situation européenne et
du commerce mondial. Ce n'est pas unique-
ment pour des raisons, commerciales, tou-
tefois, qu'il est nécessaire que la politique
du gouvernement soit poursuivie avec per-
sistance. Les 'appels impérieux de la
bonne volonté jouent en ce moment un rôle
des plus importants. Et nous conservons
l'espoir que les déclarations d'hier et le
profond mouvement a'opinion qu'elles ne
peuvent manquer' de produire contribue-
ront puissamment à permettre d'aboutir à
un accord. — (Ed.)
TIMES, 3.8.
— Le rédacteur diplomatique du Daily Tele-
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pique sera accueilli avec faveur en Italie, au
Japon, aux Etats-Unis et dans les pays neutres.
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