Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-07-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 31 juillet 1923 31 juillet 1923
Description : 1923/07/31 (T24,N2415). 1923/07/31 (T24,N2415).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467087x
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISTÈRE
App.r DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2415
Mardi 31 juillet 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
E ALLEMANDE. - L'évaluation de la ca-
pacité de paiement de l'Allemagne : une
réponse au Temps (Vorwârts). - La
p Politique du ministère Cuno (Germania)
AN
f ANGLAISE. - La remise des réponses
française et belge à la note britannique
(ûai/y Telegraph). - France et Grande-
p Bretagne (Daily Chronicle).
RESSE HOLLANDAISE. - France et Grande-
Brtagne (M. Harden dans Telegraaf).
——.————— ——————————
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
REMISE DES REPONSES FRANÇAI-
ET BELGE. - PRESSE ANGLAISE. - On
A 1SSé entendre aux gouvernements fran-
Oaiç belge que le Cabinet britannique se-
fgj. t b]ge que le Cabinet britannique se-
kon eUreux de recevoir leurs réponses à ses
itflrtP slbons récentes, mardi au plus tard,
qhll de pouvoir les examiner avant le débat
lions. rnement fera de nouvelles déclara-
!)r8. OrOit savoir que la réponse française
jOUl'd:ls'e au comte de Saint Aulaire au-
Cké UI ou demain, après que M. Poin-
Il Se aura pris connaissance du texte belge.
Il se Peut même que la réponse française
deu/arvenue à Londres il y a un jour ou
UX et que sa remise ait été regardée jus-
s'il y Ce que Paris ait pu se rendre compte
étrGitxte original, de façon à le mettre plus
étrbler r.,e dernier document n'était pas arrivé
hifir 4 Londres.
Je ne suis laissé dire que les « différen-
te ;hruques dont l'existence était recon-
llOtarn: endredi à Bruxelles, comprendraient
"l'rJ.le lhent une tendance de la part du gou-
ent 'belge à définir plus volontiers et
Por g Vanoe à la Grande-Bretagne d'une part
iJ°diflcaiti0ns que le régime d'occupation
sHbir aussitôt après la cessation de la
'istce passive (occupation invisible et
%%istit, et de l'autre la proportion et les
es qui régiraient l'évacuation pro-
lVe de la Ruhr conformément aux fu-
tufS Paiernp.nts de rAllemagne.
ti
! Il' ---vv 'v - --".-_u--c,---- -
Poiuj 6ste à voir si la France adaptera sa
On SUr ce point à celle de la Belgique
M J!Oilproquement, et dans quelle mesure.
qlle l ncaré, par exemple, insistera-t-il pour
llhr derilière phase de l'évacuation de la
OOlncide avec le dernier paiement de
l'Allemagne destiné aux régions dévastées,
ou bien consenitira-t-il à une évacuation
rapprochée si le Reich fournissait des ga-
ranties adéquates qui ne seraient pas d'or-
dre territorial ? A l'égard de la cessation
de la résistance passive, on met aujourd'hui
en avant la formule de compromis suivan-
te : un mémorandum collectif allié serait
envoyé à Berlin ; il se bornerait à discuter
les points soulevés dans le mémorandum
allemand du 7 juin et ne ferait aucune Allu-
sion à la question de la résistance passive.
Celle-ci serait traitée dans les lettres d'en-
voi séparées ; la France et la Belgique de-
manderaient la cessation de la résistance,
tandis que la Grande-Bretagne, l'Italie et
le Japon se borneraient à la conseiller ?
La trouvaille est sans conteste ingénieuse,
mais elle ne donnerait pas nécessairement
des résultats, puisque la question des con-
cessions accordées à l'Allemagne en cas
de soumission ne serait pas résolue.
Le gouvernement belge est évidemment
loin d'espérer qu'un accord franco-anglais
puisse s'établir à bref délai sur la base de
la réponse de M. Poincaré ; c'est pourquoi
on regarde avec faveur à Bruxelles l'idée
d'un déplacement de MM. Theunis et Jas-
par ou de M. Jaspar seul qui, après avoir
conféré cette semaine à Paris avec le prési-
dent du Conseil français, se rendraient à
Londres afin de discuter avec nos ministres
la possibilité d'un nouvel examen des points
de vue français et britannique.
Le rédacteur diplomatique du Telegraph es-
time que le secret dont sont entourés les échan-
ges de vues actuels est
surtout désavantageux pour la thèse et
les intérêts britanniques, M. Mussolini n'a
pas beaucoup de goût pour la procédure
actuelle, ni de confiance dans son efficacité.
Aussi la diplomatie italienne invite-t-elle,
à titre purement officieux, mais tout de mê-
me avec énergie, le gouvernement allemand
à solliciter sans retard son admission dans
la Société des nations ; c'est là une démar-
che qui avait déjà été recommandée par
la Grande-Bretagne plus ou moins ouverte-
ment il y a une année. L'assemblée de la
Société se réunit en septembre ; si la de-
mande de l'Allemagne était approuvée à la
majorité des deux tiers, elle pourrait pren-
possession de son siège avant la clôture
de la session, et la tension actuelle des
rapports franco-allemands serait peut-être
examinée. - (Du rédacteur diplomatique.)
DAILY TELEGRAPH, 30.7.
L'EVALUATION DE LA CAPACITE DE
PAIEMENT DE L'ALLEMAGNE. - UNE
RÉPONSE AU « TEMPS ». - De Paris : Dans
un article de fond le Temps conseille à
l'Allemagne de s'adresser le plus tôt possi-
ble à la Commission des réparations pour
faire estimer sa capacité de paiement. Le
Temps déclare que c'est la seule façon de
sortir de la situation actuelle qui est inte
nable.
- Le Vorwaerts commente cet article comme
il suit :
Nous croyons que le Temps s'efforce loya-
lement d'ébranler la confiance qu'a l'Alle-
magne dans une action conséquente de
l'Angleterre. Après les exposés du Temps
au cours de la semaine dernière, on ne peut
se défendre de penser que ce nouvel arti-
cle n'est qu'un nouvel effort pour semer la
méfiance entre l'Allemagne et l'Angleterre.
Cela renforce cette conviction que l'action
de Baldwin est considérée à Paris comme
tout à fait fâcheuse.
Si l'argument selon lequel un succès des
démarches anglaises serait une « semence
de contre-révolution en Allemagne » a pour
objet de faire impression sur les partis ré-
publicains, il y a lieu de s'étonner d'une
telle naïveté. Les socialistes du monde en-
tier ont tous la même opinion sur les cau-
ses véritables de la réaction allemande :
Poinoaré et sa politique, surtout l'occupa-
tion de la Ruhr, ont été la meilleure pro-
pagande pour les monarchistes et milita-
ristes allemands.
La Deutsche Zeitung l'a dit nettement en
imprimant : « Que Dieu nous conserve
Poincaré ! » Le moyen le plus sûr, sinon le
seul d'affermir la démocratie en Europe et
surtout en Allemagne serait un succès de
l'action anglaise. Les vrais démocrates
pensent, de même, qu'une victoire de la
politique de force des Français serait une
catastrophe pour les idées démocratiques
dans le monde et en France même, tout
comme l'aurait été autrefois le triomphe du
militarisme allemand sur la Marne ou du
militarisme tsariste en Prusse orientale. Il
est assez triste que le Bloc national consi-
dère tout accord loyal ou toute médiation
loyale comme une défaite et les repousse
comme telle.
Nous ne voyons pas l'avantage pratique
de la solution proposée par le Temps.
Nous connaissons trop les exploits de la
Commission des réparations dans sa forme
actuelle pour avoir une confiance quelcon-
que dans ses décisions futures. Le Temps
ne fait que nous inviter à persister dans
les errements du passé. La suggestion du
Temps repose, d'ailleurs, sur une erreur
juridique. car le paragraphe du traité de
paix qui est cité dit seulement que la Com-
mission des réparations peut décider du
montant des différentes annuités, après
avoir entendu l'Allemagne, tandis qu'il s'a-
git maintenant de faire fixer enfin un chif-
fre global raisonnable par un comité d'ex-
perts impartiaux.
VORWAERTS, 26.7, matin.
App.r DES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2415
Mardi 31 juillet 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
E ALLEMANDE. - L'évaluation de la ca-
pacité de paiement de l'Allemagne : une
réponse au Temps (Vorwârts). - La
p Politique du ministère Cuno (Germania)
AN
f ANGLAISE. - La remise des réponses
française et belge à la note britannique
(ûai/y Telegraph). - France et Grande-
p Bretagne (Daily Chronicle).
RESSE HOLLANDAISE. - France et Grande-
Brtagne (M. Harden dans Telegraaf).
——.————— ——————————
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
REMISE DES REPONSES FRANÇAI-
ET BELGE. - PRESSE ANGLAISE. - On
A 1SSé entendre aux gouvernements fran-
Oaiç belge que le Cabinet britannique se-
fgj. t b]ge que le Cabinet britannique se-
kon eUreux de recevoir leurs réponses à ses
itflrtP slbons récentes, mardi au plus tard,
qhll de pouvoir les examiner avant le débat
!)r8. OrOit savoir que la réponse française
jOUl'd:ls'e au comte de Saint Aulaire au-
Cké UI ou demain, après que M. Poin-
Il Se aura pris connaissance du texte belge.
Il se Peut même que la réponse française
deu/arvenue à Londres il y a un jour ou
UX et que sa remise ait été regardée jus-
s'il y Ce que Paris ait pu se rendre compte
étr
hifir 4 Londres.
Je ne suis laissé dire que les « différen-
te ;hruques dont l'existence était recon-
llOtarn: endredi à Bruxelles, comprendraient
"l'rJ.le lhent une tendance de la part du gou-
ent 'belge à définir plus volontiers et
Por g Vanoe à la Grande-Bretagne d'une part
iJ°diflcaiti0ns que le régime d'occupation
sHbir aussitôt après la cessation de la
'istce passive (occupation invisible et
%%istit, et de l'autre la proportion et les
es qui régiraient l'évacuation pro-
lVe de la Ruhr conformément aux fu-
tufS Paiernp.nts de rAllemagne.
ti
! Il' ---vv 'v - --".-_u--c,---- -
Poiuj 6ste à voir si la France adaptera sa
On SUr ce point à celle de la Belgique
M J!Oilproquement, et dans quelle mesure.
qlle l ncaré, par exemple, insistera-t-il pour
llhr derilière phase de l'évacuation de la
OOlncide avec le dernier paiement de
l'Allemagne destiné aux régions dévastées,
ou bien consenitira-t-il à une évacuation
rapprochée si le Reich fournissait des ga-
ranties adéquates qui ne seraient pas d'or-
dre territorial ? A l'égard de la cessation
de la résistance passive, on met aujourd'hui
en avant la formule de compromis suivan-
te : un mémorandum collectif allié serait
envoyé à Berlin ; il se bornerait à discuter
les points soulevés dans le mémorandum
allemand du 7 juin et ne ferait aucune Allu-
sion à la question de la résistance passive.
Celle-ci serait traitée dans les lettres d'en-
voi séparées ; la France et la Belgique de-
manderaient la cessation de la résistance,
tandis que la Grande-Bretagne, l'Italie et
le Japon se borneraient à la conseiller ?
La trouvaille est sans conteste ingénieuse,
mais elle ne donnerait pas nécessairement
des résultats, puisque la question des con-
cessions accordées à l'Allemagne en cas
de soumission ne serait pas résolue.
Le gouvernement belge est évidemment
loin d'espérer qu'un accord franco-anglais
puisse s'établir à bref délai sur la base de
la réponse de M. Poincaré ; c'est pourquoi
on regarde avec faveur à Bruxelles l'idée
d'un déplacement de MM. Theunis et Jas-
par ou de M. Jaspar seul qui, après avoir
conféré cette semaine à Paris avec le prési-
dent du Conseil français, se rendraient à
Londres afin de discuter avec nos ministres
la possibilité d'un nouvel examen des points
de vue français et britannique.
Le rédacteur diplomatique du Telegraph es-
time que le secret dont sont entourés les échan-
ges de vues actuels est
surtout désavantageux pour la thèse et
les intérêts britanniques, M. Mussolini n'a
pas beaucoup de goût pour la procédure
actuelle, ni de confiance dans son efficacité.
Aussi la diplomatie italienne invite-t-elle,
à titre purement officieux, mais tout de mê-
me avec énergie, le gouvernement allemand
à solliciter sans retard son admission dans
la Société des nations ; c'est là une démar-
che qui avait déjà été recommandée par
la Grande-Bretagne plus ou moins ouverte-
ment il y a une année. L'assemblée de la
Société se réunit en septembre ; si la de-
mande de l'Allemagne était approuvée à la
majorité des deux tiers, elle pourrait pren-
possession de son siège avant la clôture
de la session, et la tension actuelle des
rapports franco-allemands serait peut-être
examinée. - (Du rédacteur diplomatique.)
DAILY TELEGRAPH, 30.7.
L'EVALUATION DE LA CAPACITE DE
PAIEMENT DE L'ALLEMAGNE. - UNE
RÉPONSE AU « TEMPS ». - De Paris : Dans
un article de fond le Temps conseille à
l'Allemagne de s'adresser le plus tôt possi-
ble à la Commission des réparations pour
faire estimer sa capacité de paiement. Le
Temps déclare que c'est la seule façon de
sortir de la situation actuelle qui est inte
nable.
- Le Vorwaerts commente cet article comme
il suit :
Nous croyons que le Temps s'efforce loya-
lement d'ébranler la confiance qu'a l'Alle-
magne dans une action conséquente de
l'Angleterre. Après les exposés du Temps
au cours de la semaine dernière, on ne peut
se défendre de penser que ce nouvel arti-
cle n'est qu'un nouvel effort pour semer la
méfiance entre l'Allemagne et l'Angleterre.
Cela renforce cette conviction que l'action
de Baldwin est considérée à Paris comme
tout à fait fâcheuse.
Si l'argument selon lequel un succès des
démarches anglaises serait une « semence
de contre-révolution en Allemagne » a pour
objet de faire impression sur les partis ré-
publicains, il y a lieu de s'étonner d'une
telle naïveté. Les socialistes du monde en-
tier ont tous la même opinion sur les cau-
ses véritables de la réaction allemande :
Poinoaré et sa politique, surtout l'occupa-
tion de la Ruhr, ont été la meilleure pro-
pagande pour les monarchistes et milita-
ristes allemands.
La Deutsche Zeitung l'a dit nettement en
imprimant : « Que Dieu nous conserve
Poincaré ! » Le moyen le plus sûr, sinon le
seul d'affermir la démocratie en Europe et
surtout en Allemagne serait un succès de
l'action anglaise. Les vrais démocrates
pensent, de même, qu'une victoire de la
politique de force des Français serait une
catastrophe pour les idées démocratiques
dans le monde et en France même, tout
comme l'aurait été autrefois le triomphe du
militarisme allemand sur la Marne ou du
militarisme tsariste en Prusse orientale. Il
est assez triste que le Bloc national consi-
dère tout accord loyal ou toute médiation
loyale comme une défaite et les repousse
comme telle.
Nous ne voyons pas l'avantage pratique
de la solution proposée par le Temps.
Nous connaissons trop les exploits de la
Commission des réparations dans sa forme
actuelle pour avoir une confiance quelcon-
que dans ses décisions futures. Le Temps
ne fait que nous inviter à persister dans
les errements du passé. La suggestion du
Temps repose, d'ailleurs, sur une erreur
juridique. car le paragraphe du traité de
paix qui est cité dit seulement que la Com-
mission des réparations peut décider du
montant des différentes annuités, après
avoir entendu l'Allemagne, tandis qu'il s'a-
git maintenant de faire fixer enfin un chif-
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