Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-07-27
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 27 juillet 1923 27 juillet 1923
Description : 1923/07/27 (T24,N2412). 1923/07/27 (T24,N2412).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467084p
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
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h OB8
LRES ÉTRANGÈRES
N° 2412
Vendredi 27 juillet 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraite
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
]).,'. AT'T'F'MA*w.. - La situation dans les
in * rhénans : l'altitude de la Grande-
l,,|;i^ne (Frankfurter Zeitung).
fI 'JERICH\£. - Ln politique (1e M.
fj'a l-vv.i,n. (New York Tribune). - La ra-
\I,I'uti, ¡¡p" \\- ^ington (Chicago Daily News).
(''J\\l;L\ISE. - Les conversations fran-
co-belges (DaitU Telegraph). — France
''n(]<>-B.relagne : le discours de
^p1 l LluYd George à Bristol (Morning
f) ( <-
Daily Chronicle).
I IUCHIF.WK. - Le discours de
P^iiicaré à Villers-Colterets (Reichs-
, lS!i ;\cue Freie Presse).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
llts c
u iV(i^NvERSAT10NS FRANCO-BELGES. -
| !" Ul' diplomatique du Daily Telegraph
l 11¡es indications suivantes sur les échanges
vile 1 procèdent les gouvernements
..;j, s et belge :
1"'lncipal centre d'intérêt- et d'activilé
tir IUli!I'\] 1 ~t
~'liMi,nJîU,'lnos des allies est actuellement à
111¡"1( ~- ou l'ambassadeur de France
'^es négociations préliminaires avec
'• ïi le,ln's ftt -laspar, en attendant que
Iler : 111\S se rencontrent, avec M. Po'n-
JOn>; d, Onnées par le Premier Ministre fran-
r¡ (1 S(J¡D
on rePi'ésentant dans la capitale bel-
V. (JI"I(I\lIl ^ai ('onna"re un certain nombre
.1, [JI"] ¡.; au sujet du point de vue français.
III Jill (")
1 i':,; 1 il ,(,rI' demeure inébranlable sur la
f|i](,Slj|"!1 g,,))]\, Jes, fermement résolu à tenir
~Uv t'I'n belge à la lettre stricte du
!'1Ue de Bruxelles, il faut que la
^iliiua °n de l'Allemagne soit absolue et
qu'elle précède toute négociation. C'est
J r¡IPtl a lance refusera elle-même et
1 [, "11\]" qile la Belgique refusera également
Jln ^e à aucune déclaration qui ait le
Hoin 1 monde le caractère d'une trans-
®n'ssant entendre d'avance que la
],-t résistance passive donnerait
à l'Allemagne le droit de réclamer quelque
,!fl q* exemption ou allégement que ce
n ême disposé à se formaliser
l' () ]. terne JSDOSe èL Ise orm.a.¡,]ser
'¡')()n())rlent.e phraséologie du projet de
britannique à ce sujet.
Mais la thèse française Vtt. semble-t-il.
beaucoup plus loin encore elle tend à em-
pêcher la Belgique de donner à la Grande-
Bretagne autre chose que des assurances
générales, telles que le comte de Saint-
Aulaire en a déjà fourni à lord Curzon,
relativement aux modifications, qui pour-
raient être apportées au régime de l'occu-
pation après la cessation de la résistance
passive. On croit savoir qu'en dehors du
retour à l'occupation invisible et de l'am-
nistie pour certaines catégories de fonction-
naires et de travailleurs des pays rhénans,
le gouvernement belge aurait été en faveur
de l'élaboration d'un plan complet où serait
prévue par le détail toute l'opération de
l'évacuation progressive — militaire, civile,
économique - en vue de le soumettre à
l'étude non pas de l'Allemagne, assurément,
mais de la Grande-Bretagne et des alliés en
général. Il se peut qu'un projet de ce genre
soit, élaboré et présenté plus tard. A vrai
dire il existe déjà, à Paris, quelque chose
d'approchant. Mais l'opinion qui prédo-
mine en France est qu'il ne convient pas
d'exposer ce plan à l'heure actuelle d'une
manière qui aurait l'apparence d'un mar-
chandage, tout au moins indirect, avec la
Grande-Bretagne ou par son entremise. Il
ne saurait C'tre question, d'ailleurs, d'une
évacuation, complète dans un avenir pro-
chain. ni d'abandonner de sitôt le contrôle
direct, des prieipaux gages de la Ruhr œ de
la Rhénanie, régie des chemins de fer,
douanes, mines, forêts, etc.
Toute l'orientation de la politique françai-
se des réparations est d'ailleurs contraire,
sous ses aspects financiers, à cette évacua-
tion et à cet abandon. La proposition britan-
nique d'un comité d'experts « impartial » qui
évaluerait à nouveau la capacité de paie-
ment de l'Allemagne a été examinée à Pa-
ris avec la plus grande attention. Il est évi-
dent que l'on craint secrètement que ce mot
ne masque l'intention de demander plus tard
l'adjonction d'experts neutres aux experts
alliés et américains. M. Poincaré a soutenu
avec insistance, ces temps derniers, que
l'adjonction de ces neutres serait contraire
au traité de Versailles et il insiste pour que
Bruxelles adopte sa thèse à ce sujet, bien
qu'elle soit en contradiction avec le précé-
dent ëtaMi Fan dernier par le Comité des
banquiers.
D'autre part, M. Poincaré désire que la
Belgique s'accorde avec Paris pour interdire
à cette commission de fixer pour l'indemnité
un chiffre total quelconque. loiu au plus ac-
cepterait-il la transaction — proposée, si je
ne me trompe, par un des hommes d'Etat
belges — suivant laquelle la commission.
après avoir examiné les ressources de l'Alle-
magne ferait des recommandations quant
aux annuités qu'il y aurait lieu d'exiger et
quant à la valeur de certaines méthodes de
paiement. On croit savoir aussi, dans cer-
tains milieux, que nos alliés consentiraient
à voir fixer ces annuités pour une période
de dix, quinze, ou vingt ans, de manière à
permettre, d'une part, la reconstruction des
régions dévastées françaises et belges jus-
qu'à concurrence du minimum irréductible
de 26 milliards pour les unes et de 5 mil-
liards pour les autres (bons A et B) et, d'au-
tre part, le paiement. des intérêts sur la Det-
te consolidée de la Grande-Bretagne envers
les Etats-Unis.
La suggestion est décidément prématurée,
car elle tend à préjuger la question que la
commission d'experts serait chargée de
trancher, à savoir, l'importance des annui-
tés que l'Allemagne serait en mesure de
payer pendant les périodes considérées. In-
directement, cette suggestion implique éga-
lement le maintien du total de 50 milliards
que doit payer l'Allemagne en bons A et B,
aux termes de l'état de paiements de 1921,
tandis que les obligations de l'Allemagne en
ce qui concerne les bons C et les obligations
de nos alliés, sous le rapport de leurs dettes
envers la Grande-Bretagne, resteraient en
suspens et sans être fixées, jusqu'à la fin
de la période de dix, quinze, ou vingt ans.
Dans ces conditions, le règlement actuel
n'aurait pas un caractère définitif, ce qui ne
serait pas d'une saine politique économique,
sans compter que divers problèmes com-
plexes d'ordre politique, tels que l'occupa-
tion, les sanctions territoriales, les « gages
productifs », resteraient dangereusement en
suspens pour une période indéterminée.
L'incertitude qui en résulterait pourrait
même compromettre les quelques chances
qu'il pourrait y avoir d'émettre, d'ici quel-
ques années, un emprunt, international des-
tiné à hâter le paiement des réparations aux
alliés et le retour de l'Allemagne à des con-
ditions normales administratives et indus-
trielles. La Grande-Bretagne, plus particu-
lièrement, fera bien de se tenir sur ses gar-
des à l'endroit de tout projet qui. par inad-
vertance, ou pour autre motif, semblerait,
ne pas tenir compte des droits aux .répara-
tions de l'Italie, de la Serbie et de la Rou-
manie, ou qui serait de nature à diminuer
les chances de la coopération de l'Amérique
en liant les réparations aux dettes, au mé-
pris des avertissements reçus à ce sujet des
Etats-Unis.
Quant aux garanties et aux sources dea
paiements M. Poincaré serait uilt d'approu-
ver les recommandations faites par les ex-
perts belges dans leur récent mémorandum
technique. Il doute de l'efficacité de toute
h OB8
LRES ÉTRANGÈRES
N° 2412
Vendredi 27 juillet 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraite
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
]).,'. AT'T'F'MA*w.. - La situation dans les
in * rhénans : l'altitude de la Grande-
l,,|;i^ne (Frankfurter Zeitung).
fI 'JERICH\£. - Ln politique (1e M.
fj'a l-vv.i,n. (New York Tribune). - La ra-
\I,I'uti,
(''J\\l;L\ISE. - Les conversations fran-
co-belges (DaitU Telegraph). — France
''n(]<>-B.relagne : le discours de
^p1 l LluYd George à Bristol (Morning
f) ( <-
Daily Chronicle).
I IUCHIF.WK. - Le discours de
P^iiicaré à Villers-Colterets (Reichs-
, lS!i ;\cue Freie Presse).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
llts c
u iV(i^NvERSAT10NS FRANCO-BELGES. -
| !" Ul' diplomatique du Daily Telegraph
l 11¡es indications suivantes sur les échanges
vile 1 procèdent les gouvernements
..;j, s et belge :
1"'lncipal centre d'intérêt- et d'activilé
tir IUli!I'\] 1 ~t
~'liMi,nJîU,'lnos des allies est actuellement à
111¡"1( ~- ou l'ambassadeur de France
'^es négociations préliminaires avec
'• ïi le,ln's ftt -laspar, en attendant que
Iler : 111\S se rencontrent, avec M. Po'n-
JOn>; d
r¡ (1 S(J¡D
on rePi'ésentant dans la capitale bel-
V. (JI"I(I\lIl ^ai ('onna"re un certain nombre
.1, [JI"] ¡.; au sujet du point de vue français.
III Jill (")
1 i':,; 1 il ,(,rI' demeure inébranlable sur la
f|i](,Slj|"!1
~Uv t'I'n belge à la lettre stricte du
!'1Ue de Bruxelles, il faut que la
^iliiua °n de l'Allemagne soit absolue et
qu'elle précède toute négociation. C'est
J r¡IPtl a lance refusera elle-même et
1 [, "11\]" qile la Belgique refusera également
Jln ^e à aucune déclaration qui ait le
Hoin 1 monde le caractère d'une trans-
®n'ssant entendre d'avance que la
],-t résistance passive donnerait
à l'Allemagne le droit de réclamer quelque
,!fl q* exemption ou allégement que ce
n ême disposé à se formaliser
l' () ]. terne JSDOSe èL Ise orm.a.¡,]ser
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beaucoup plus loin encore elle tend à em-
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le gouvernement belge aurait été en faveur
de l'élaboration d'un plan complet où serait
prévue par le détail toute l'opération de
l'évacuation progressive — militaire, civile,
économique - en vue de le soumettre à
l'étude non pas de l'Allemagne, assurément,
mais de la Grande-Bretagne et des alliés en
général. Il se peut qu'un projet de ce genre
soit, élaboré et présenté plus tard. A vrai
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d'approchant. Mais l'opinion qui prédo-
mine en France est qu'il ne convient pas
d'exposer ce plan à l'heure actuelle d'une
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chandage, tout au moins indirect, avec la
Grande-Bretagne ou par son entremise. Il
ne saurait C'tre question, d'ailleurs, d'une
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direct, des prieipaux gages de la Ruhr œ de
la Rhénanie, régie des chemins de fer,
douanes, mines, forêts, etc.
Toute l'orientation de la politique françai-
se des réparations est d'ailleurs contraire,
sous ses aspects financiers, à cette évacua-
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évaluerait à nouveau la capacité de paie-
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dent que l'on craint secrètement que ce mot
ne masque l'intention de demander plus tard
l'adjonction d'experts neutres aux experts
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avec insistance, ces temps derniers, que
l'adjonction de ces neutres serait contraire
au traité de Versailles et il insiste pour que
Bruxelles adopte sa thèse à ce sujet, bien
qu'elle soit en contradiction avec le précé-
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banquiers.
D'autre part, M. Poincaré désire que la
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de dix, quinze, ou vingt ans, de manière à
permettre, d'une part, la reconstruction des
régions dévastées françaises et belges jus-
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de 26 milliards pour les unes et de 5 mil-
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tre part, le paiement. des intérêts sur la Det-
te consolidée de la Grande-Bretagne envers
les Etats-Unis.
La suggestion est décidément prématurée,
car elle tend à préjuger la question que la
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payer pendant les périodes considérées. In-
directement, cette suggestion implique éga-
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que doit payer l'Allemagne en bons A et B,
aux termes de l'état de paiements de 1921,
tandis que les obligations de l'Allemagne en
ce qui concerne les bons C et les obligations
de nos alliés, sous le rapport de leurs dettes
envers la Grande-Bretagne, resteraient en
suspens et sans être fixées, jusqu'à la fin
de la période de dix, quinze, ou vingt ans.
Dans ces conditions, le règlement actuel
n'aurait pas un caractère définitif, ce qui ne
serait pas d'une saine politique économique,
sans compter que divers problèmes com-
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L'incertitude qui en résulterait pourrait
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alliés et le retour de l'Allemagne à des con-
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Etats-Unis.
Quant aux garanties et aux sources dea
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ver les recommandations faites par les ex-
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