Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-07-26
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 26 juillet 1923 26 juillet 1923
Description : 1923/07/26 (T24,N2411). 1923/07/26 (T24,N2411).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64670838
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
,t MINISTÈRE
..: DBS
tPPAIRES ÉTRANGÈRES
! --
N° 2411
Jeudi 26 juillet 1923
a
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Le pi-ojet de réponse
! blJ,amiique à l'Allemagne (Berliner
rsen-Coitrier). — Le discours de M.
POin,caré à Villers-Cotterets (Germania,
orWarts).
AMÉRICAINE. — La paix de Lausanne
(\Vorld' ,
NESSE ANGLAISE. — Le projet de réponse bri-
tannique a l'Allemagne (Daily Tele-
graph). — Le point de vue belge (A/O»'-
aiïl9 Post, Times). — La capacité de
Paiement de l'Allemagne (Daily Mail).
P'l'ern'ent de l'Allema g ne (Daity 3 Iail).
POLITIQUE GENERALE
- i
LES RÉPARATIONS,
>
Qtjj, P DE REPONSE BRITANNI-
il fait - PRESSE ALLEMANDE. — L'Angleterre
fér-enti Parvenir aux gouvernements ses dif-
e JJ, notes « sous leur forme définiti-
de r .^Idwin doit avoir quelques raisons
etJ.tret?'ll'e; que les résultats des nombreux
entretlens préliminaires, changements de
4xt e et Sondages le mettent à l'abri d'un
4f, 4de la part de la France. C'est, d'ail-
le^ très vraisemblable. Bien que l'on ne
ÏKjiSs guère tabler sur les nombreuses
Ntvçn es' en particulier sur les nouvelles
la.lses relatives à la teneur du projet
- on peut au moins conclure de tous
er d les que le projet se contente de don
o (j directives » pour de futures négo-
Clittions ( Dans l'une des deux questions
essenti Dans l'une des deux questions
e es> celle de la commission d'ex-
Angleterre ne se heurtera pas à un
^Us' les divergences n'apparaîtront que
lorsque l comité sera au travail. Dans l'au-
tre ques 'Stion capitale, celle de la Dans l'au-
capitale, celle de la résistance
tel1 'et de l'évaouation, l'Angleterre se
c(¡l1U e le donner aux deux intéressés des
déter, S e paix sans indiquer de conditions
%ïa|
"nées pour les deux parties. Dans le
e du règlement des réparations on
e' semble-t-il, de conseils précis, ce
?-bord' .e les obstacles qui pourraient, dès
r;ibord Se présenter à l'ouverture de négo-
os. On formera la commission d'ex-
perts, on négociera sur des chiffres, des
modalités de paiement et des garanties.
Il s'agit pourtant désormais de trouver la
solution des questions en suspens, celles de
la résistance passive et de l'évacuation. Car
la France ne s'opposera plus au règlement
des réparations elles-mêmes. Mais com-
ment veut-elle se comporter dans le bassin
dlel la Ruitrr et dans les pays rhénans ? Pour
l'instant, elle s'arme en vue de la bataille
diplomatique décisive. Dans toute la presse
française, on peut observer la tactique qui
consiste à présenter aujourd'hui des idées
lancées par la France depuis des mois
comme l'expression de désirs allemands,
que l'on ne pourrait satisfaire qu'à certai-
nes conditions. C'est ainsi que, tout à coup,
l'occupation « invisible » surgit en tant que
projet anglo-allemand ; on dit que l'Angle-
terre, sur le désir de l'Allemagne, invite les
Français à rendre leurs mesures de con-
trainte « moins sévères », tandis que la
véritable « invisibilité » ne pourrait être que
le prix d'un accord complet et non plus de
la simple cessation de la résistance. De
même, le régime' « international » sur le
Rhin, absolument inacceptable pour l'Alle-
magne, est présenté comme une « insinua-
tion allemande ». Des projets non officiels
(français) proposent ,de plus, de « retar-
der » de 10 à 15 ans toute la question de
l'administration des pays rhénans ; l'éva-
cuation du territoire de la Ruhr doit s'ef-
fectuer, d'après ces projets, non pas lors-
qu'on aura payé « tout », mais lorsqu'on
aura des garanties suffisantes pour le paie-
ment intégral des bons des séries A et B.
Le point de vue allemand est toujours
celui que l'on connaît : la résistance ne
pourra pas cesser avant que la France ait
donné des assurances sur les modalités et
les délais de l'évacuation. Pour le reste un
accord est possible. — H. F.
BERLINER BOERSEN-COURIER.
21.7, soir.
PRESSE ANGLAISE.. — Le rédacteur diplomatique
du naHu Telegraph résume, comme il suit, la
situation :
Un diplomate neutre à Paris disait lundi
des négociations interalliées, au sujet du
projet de réponse à l'Allemagne, qu'elles
ont passé à l'état chronique. Malgré cette
épigramme assez bien tournée, je suis porté
à croire que nos alliés se rendent compte
aujourd'hui que l'on considère à Londres
comme vraiment urgente la communication
de leurs vues sur les documents en ques-
tion. Quoi qu'il en soit, les renseignements
émanant de Paris et de Bruxelles et sui-
vant lesquels les réponses française et belge
seront envoyées avant le débat, la semaine
prochaine aux Communes, sur les affaires
étrangères sont les bienvenus, même s'ils
aie font pas pressentir des réponses très con-
cluantes. D'après ces renseignements, la
diplomatie française compte que la Belgi-
que fera absolument cause commune avec
la France au sujet de la résistance passive
et de l'évacuation progressive, et recher-
chera l'appui de l'Italie en ce qui concerne
sa demande que la Grande-Bretagne, avant
qu'il puisse être question de réduire l'in-
demnité allemande, fasse connaître exacte-
ment l'importance des sommes qu'elle ré-
clamera au Reich et aux alliés pour le rè-
glement de ses créances sur eux.
Il est vrai que M. Mussolini a déclaré, à
plusieurs reprises, que le règlement de la
question des dettes interalliées doit faire
partie du règlement général. Il est également
vrai que cette question affecte plus désavan-
tageusement l'Italie que tout autre allié en
raison du pourcentage peu élevé dont elle
bénéficie sur la mise en commun des répa-
rations allemandes. Enfin, on ne peut pas
nier que l'Italie ait accepté des impôts hé-
roïques en vue d'équilibrer son budget, ni
qu'elle ait réduit ses armements au strict
minimum. Du point de vue politique non
moins que du point de vue financier, la
Grande-Bretagne pourrait très bien, le mo-
ment venu, faire entrer ces considérations
en ligne de compte, lorsqu'il s'agira d'abou-
tir à un accord, soit général, soit particu-
lier, sur ce point. D'une façon générale, tou-
tefois, on ne saurait répondre qu'en prin-
cipe, ou en pourcentages: aux questions que
le gouvernement français aurait l'intention
de poser au gouvernement britannique, et
non pas en chiffres précis, tant que la ca-.
pacité de paiement de l'Allemagne n'aura
pas été évaluée à nouveau et d'une manière
scientifique, et que M. Baldwin n'aura pas
décidé si, oui ou non, il doit s'en tenir à la
formule suivant. laquelle la Grande-Breta-
gne réclamera l'équivalent de la somme
qu'elle s'est engagée à payer aux Etats-Unis.
En suppposant que le Premier Ministre
s'en tienne à cette formule, la Grande-Bre-
tagne demanderait :
1° A l'Allemagne, 22 du montant de
l'indemnité recommandée par le comité
d'experts ;
2° Aux alliés la différence entre la som-
me ainsi produite et celle fixée par nos en-
gagements vis-à-vis de l'Amérique.
Pour ma part, je ne vois pas pourquoi,
en fixant les prorata en question, il ne serait
pas tenu compte spécialement de la situation
..: DBS
tPPAIRES ÉTRANGÈRES
! --
N° 2411
Jeudi 26 juillet 1923
a
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
Le pi-ojet de réponse
! blJ,amiique à l'Allemagne (Berliner
rsen-Coitrier). — Le discours de M.
POin,caré à Villers-Cotterets (Germania,
orWarts).
AMÉRICAINE. — La paix de Lausanne
(\Vorld' ,
NESSE ANGLAISE. — Le projet de réponse bri-
tannique a l'Allemagne (Daily Tele-
graph). — Le point de vue belge (A/O»'-
aiïl9 Post, Times). — La capacité de
Paiement de l'Allemagne (Daily Mail).
P'l'ern'ent de l'Allema g ne (Daity 3 Iail).
POLITIQUE GENERALE
- i
LES RÉPARATIONS,
>
Qtjj, P DE REPONSE BRITANNI-
il fait - PRESSE ALLEMANDE. — L'Angleterre
fér-enti Parvenir aux gouvernements ses dif-
e JJ, notes « sous leur forme définiti-
de r .^Idwin doit avoir quelques raisons
etJ.tret?'ll'e; que les résultats des nombreux
entretlens préliminaires, changements de
4xt e et Sondages le mettent à l'abri d'un
4f, 4de la part de la France. C'est, d'ail-
le^ très vraisemblable. Bien que l'on ne
ÏKjiSs guère tabler sur les nombreuses
Ntvçn es' en particulier sur les nouvelles
la.lses relatives à la teneur du projet
- on peut au moins conclure de tous
er d les que le projet se contente de don
o (j directives » pour de futures négo-
Clittions ( Dans l'une des deux questions
essenti Dans l'une des deux questions
e es> celle de la commission d'ex-
Angleterre ne se heurtera pas à un
^Us' les divergences n'apparaîtront que
lorsque l comité sera au travail. Dans l'au-
tre ques 'Stion capitale, celle de la Dans l'au-
capitale, celle de la résistance
tel1 'et de l'évaouation, l'Angleterre se
c(¡l1U e le donner aux deux intéressés des
déter, S e paix sans indiquer de conditions
%ïa|
"nées pour les deux parties. Dans le
e du règlement des réparations on
e' semble-t-il, de conseils précis, ce
?-bord' .e les obstacles qui pourraient, dès
r;ibord Se présenter à l'ouverture de négo-
os. On formera la commission d'ex-
perts, on négociera sur des chiffres, des
modalités de paiement et des garanties.
Il s'agit pourtant désormais de trouver la
solution des questions en suspens, celles de
la résistance passive et de l'évacuation. Car
la France ne s'opposera plus au règlement
des réparations elles-mêmes. Mais com-
ment veut-elle se comporter dans le bassin
dlel la Ruitrr et dans les pays rhénans ? Pour
l'instant, elle s'arme en vue de la bataille
diplomatique décisive. Dans toute la presse
française, on peut observer la tactique qui
consiste à présenter aujourd'hui des idées
lancées par la France depuis des mois
comme l'expression de désirs allemands,
que l'on ne pourrait satisfaire qu'à certai-
nes conditions. C'est ainsi que, tout à coup,
l'occupation « invisible » surgit en tant que
projet anglo-allemand ; on dit que l'Angle-
terre, sur le désir de l'Allemagne, invite les
Français à rendre leurs mesures de con-
trainte « moins sévères », tandis que la
véritable « invisibilité » ne pourrait être que
le prix d'un accord complet et non plus de
la simple cessation de la résistance. De
même, le régime' « international » sur le
Rhin, absolument inacceptable pour l'Alle-
magne, est présenté comme une « insinua-
tion allemande ». Des projets non officiels
(français) proposent ,de plus, de « retar-
der » de 10 à 15 ans toute la question de
l'administration des pays rhénans ; l'éva-
cuation du territoire de la Ruhr doit s'ef-
fectuer, d'après ces projets, non pas lors-
qu'on aura payé « tout », mais lorsqu'on
aura des garanties suffisantes pour le paie-
ment intégral des bons des séries A et B.
Le point de vue allemand est toujours
celui que l'on connaît : la résistance ne
pourra pas cesser avant que la France ait
donné des assurances sur les modalités et
les délais de l'évacuation. Pour le reste un
accord est possible. — H. F.
BERLINER BOERSEN-COURIER.
21.7, soir.
PRESSE ANGLAISE.. — Le rédacteur diplomatique
du naHu Telegraph résume, comme il suit, la
situation :
Un diplomate neutre à Paris disait lundi
des négociations interalliées, au sujet du
projet de réponse à l'Allemagne, qu'elles
ont passé à l'état chronique. Malgré cette
épigramme assez bien tournée, je suis porté
à croire que nos alliés se rendent compte
aujourd'hui que l'on considère à Londres
comme vraiment urgente la communication
de leurs vues sur les documents en ques-
tion. Quoi qu'il en soit, les renseignements
émanant de Paris et de Bruxelles et sui-
vant lesquels les réponses française et belge
seront envoyées avant le débat, la semaine
prochaine aux Communes, sur les affaires
étrangères sont les bienvenus, même s'ils
aie font pas pressentir des réponses très con-
cluantes. D'après ces renseignements, la
diplomatie française compte que la Belgi-
que fera absolument cause commune avec
la France au sujet de la résistance passive
et de l'évacuation progressive, et recher-
chera l'appui de l'Italie en ce qui concerne
sa demande que la Grande-Bretagne, avant
qu'il puisse être question de réduire l'in-
demnité allemande, fasse connaître exacte-
ment l'importance des sommes qu'elle ré-
clamera au Reich et aux alliés pour le rè-
glement de ses créances sur eux.
Il est vrai que M. Mussolini a déclaré, à
plusieurs reprises, que le règlement de la
question des dettes interalliées doit faire
partie du règlement général. Il est également
vrai que cette question affecte plus désavan-
tageusement l'Italie que tout autre allié en
raison du pourcentage peu élevé dont elle
bénéficie sur la mise en commun des répa-
rations allemandes. Enfin, on ne peut pas
nier que l'Italie ait accepté des impôts hé-
roïques en vue d'équilibrer son budget, ni
qu'elle ait réduit ses armements au strict
minimum. Du point de vue politique non
moins que du point de vue financier, la
Grande-Bretagne pourrait très bien, le mo-
ment venu, faire entrer ces considérations
en ligne de compte, lorsqu'il s'agira d'abou-
tir à un accord, soit général, soit particu-
lier, sur ce point. D'une façon générale, tou-
tefois, on ne saurait répondre qu'en prin-
cipe, ou en pourcentages: aux questions que
le gouvernement français aurait l'intention
de poser au gouvernement britannique, et
non pas en chiffres précis, tant que la ca-.
pacité de paiement de l'Allemagne n'aura
pas été évaluée à nouveau et d'une manière
scientifique, et que M. Baldwin n'aura pas
décidé si, oui ou non, il doit s'en tenir à la
formule suivant. laquelle la Grande-Breta-
gne réclamera l'équivalent de la somme
qu'elle s'est engagée à payer aux Etats-Unis.
En suppposant que le Premier Ministre
s'en tienne à cette formule, la Grande-Bre-
tagne demanderait :
1° A l'Allemagne, 22 du montant de
l'indemnité recommandée par le comité
d'experts ;
2° Aux alliés la différence entre la som-
me ainsi produite et celle fixée par nos en-
gagements vis-à-vis de l'Amérique.
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