Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-07-25
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 25 juillet 1923 25 juillet 1923
Description : 1923/07/25 (T24,N2410). 1923/07/25 (T24,N2410).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467082v
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISfÈRE
DES
4pp AIR.ES étrangères
3
N° 2410
Mercredi 25 juillet 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
Il SOMMAIRE
b allemande. — Le projet de réponse
Il:tunnique à l'Allemagne (Frankfurter
P tetung).
p *ESSE AMÉRICAINE. - Les Etats-Unis et les
Ornements de l'Europe (New York Eve-
'nlrilJ' Post).
K ANGLAISE. ; — Le projei de re-
ponse britannique à l'Allemagne (Ti-
es). - Le problème du désarmement :
P Motion travailliste à la Charnue des
CDrnrnunes (Times, Daily Chronicle). —
p Allemagne et l'Afghanistan (Times).
p E \Bklge- - Le discours de M. Poin-
eadl;e à Villers-Gotterets (Indépendance
p elgc).
PRESSE E: 0 t"
d'u ESPAGNOLE. - poiiir l'organisation
d'une propagande espagnole (Impar-
"—-—————
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
Qtijj PROJET DE REPONSE BRITANNl-
LE - PRESSE ALLEMANDE. — De Berlin :
glQis à.Jt réponse du gouvernement an-
{tu Doi a dernière note allemande est mis
au oir't'e't a été déjà adressé avec une note
aux aiïiés de l'Angleterre et aux
États Tt n'8' Toutefois le document n'est pas
eUoorP Parvenu ici. En raison de l'impor-
tan,Ce e ce débat diplomatique on a pré-
r le secret sur la teneur des do-
I faits. 11 11 'est pas besoin de souligner
'ç fait ^er^n pour tous ceux qui sont au
^ur'am
es habitudes diplomatiques, que le
^nigtA re des Affaires étrangères d'Angle-
tre s,^ rnaintenu en contact avec l'am-
assad 6 ^eniagne à Londres. Cela se
>''çoit tant donné le rôle que joue enfin
l'Angleterre et qui n'est autre que celui de
'1jP- Par contre il est inexact, d'après
.t!qtld , nPr*ess'on, que le gouvernement alle-
'e}.les "It fait 068 jours-ci à Londres de nou-
(I Propo pour aplanir le
ches propositions Sl'dons positives pour aplanir e
amment au sujet de la cessation de
réSist ment au sujet de la .cessa lÜne
sions à ÜJ1c.e passive en ,échange de conces-
'Oll I> e la Part de la France. Car c'est ce
Vait déduire des nouvelles données
hier par Reuter (et qui provenaient d'une
action , allemande. — Note de la Ré-
PrOdUit ce la F. Z.). Le Bureau Wolff a re-
duit cette nouvelle de Reuter d'une fa-
çon vague et qui exigeait des éclaircisse-
ments. Il est nécessaire que le gouverne-
ment renseigne plus exactement le peuple
allemand. A Londres on a voulu naturelle-
ment savoir quelles seraient les conditions
de la cessation de la résistance passive.
Alors l'àmbassadeur d'Allemagne, M. Stha-
mer. a reçu de nouveau, avant-hier, des ins-
tructions l'invitant à déclarer que la popu-
lation de la Ruhr ne pourrait cesser sa ré-
sistance que si elle recevait en même temps
la garantie certaine que le territoire occupé
illégalement serait évacué dans le plus bref
délai. Telle est la position officielle de l'Al-
lemagne, la seule qu'officiellement le gou-
vernement anglais puisse connaître.
La nouvelle de Reuter a peut-être pour
but d'exercer une pression sur l'Allemagne
en vue d'un accord rapide ; ce ne serait
qu'un moyen très heureux de persuasion di-
plomatique. Il n'est pas exact, dans la ques-
tion des réparations en général, de parler
de nouvelles propositions de l'Allemagne,
mais il est exact qu'à Berlin, au cours de la
semaine dernière, on a, dans différents bu-
reaux intéressés, mis au point les mesures
et les projets de loi nécessaires pour la ré-
partition et la garantie des sommes offertes
déjà antérieurement par l'Allemagne.
FRANKFURTER ZEITUNG, 22.7, matin.
PRESSE ANGLAISE. — De Paris : M. Poin-
caré et M. Peretti de la Rocca ont consacré
une grande partie de la journée à l'étude
des documents britanniques. Demain, un
conseil de Cabinet se tiendra au Quai d'Or-
say. Aucune décision n'est prévue. Les mi-
nistres se borneront à prendre connais-
sance de la note britannique, et c'est à un
conseil ultérieur tenu à Rambouillet sous
la présidence de M. Millerand, que le gou-
vernement se décidera.
Dans, l'intervalle, le Quai d'Orsay de-
meure, en communication avec Londres et
Bruxelles. La question se pose de savoir
si une réponse pourra être donnée à la
Grande-Bretagne avant les vacances du
Parlement britannique. A présent les chan-
ces d'un dénouement rapide des négocia-
tions engagées d'une part entre la France
et la Grande-Bretagne n'apparaissent pas
très brillantes.
On croit que la France pourrait être ame-
née à son tour à poser une sorte de ques-
tionnaire au gouvernement britannique sur
des sujets étroitement liés à la rédaction
d'une réponse commune à l'Allemagne. Il
s'agirait de connaître notamment la som-
me que la Grande-Bretagne entend obtenir
de l'Allemagne, et la part de la dette de
guerre qu'elle se proposerait de réclamer à
la France. Le problème des arrangements
commerciaux entre les deux pays com-
mence aussi à se poser de façon pressante.
On estime que l'Allemagne une fois li-
bérée des embarras actuels pourra: expor-
ter dans des proportions énormes, et cet
aspect commercial du problème, à en juger
par l'opinion qui se manifeste en France et
en Angleterre, ne serait pas sans présenter ,
de sérieuses difficultés. Le discours de M.
Poincaré à Villers-Cotterets témoigne as-
sez de l'alarme causée en France par l'ou-
tillage industriel puissant de l'Allemagne.
A cet égard encore il y aurait lieu de re-
chercher une entente.
Le danger est que si l'on juge bon d'élar-
gir les discussions entre les alliés, l'accord
intervienne trop tard pour présenter une
utilité pratique du point de vue de l'Alle-
magne. Une remarque attribuée récemment
dans les milieux politiques à M. Poincaré
a, vraie ou fausse, sa signification. Le
président du Conseil aurait dit — je ne puis
garantir d'aucune façon l'authenticité de
ce propos — avant la clôture de la session
parlementaire que l'Allemagne serait obli-
gée, en tout cas, de capituler dans cinq ou
six semaines et qu'il fallait résister à toute
pression extérieure jusqu'à ce que cette ca-
pitulation fût un fait accompli. A l'heure
actuelle, d'après ce. calcul, peut-être tendan-
cieux. il ne devrait guère s'écouler plus de
trois semaines avant l'effondrement de l'Al
lemagne. Il s'agit donc d'une course avec
le temps. mais la France a le sentiment que
sa position doit être éclaircie avant qu'elle
puisse s'engager. — (Du correspondant par-
ticulier.) *
TIMES, 24.7.
LE DISCOURS DE M. POINCARE A VIL-
LERS-COTTERETS. — OPINION BELGE. — De-
puis près de trois années que le problème
des réparations tourne dans le même cercle
d'arguments spécieux, on constate fatale-
ment maintes redites dans les discours offi-
ciels. On peut dire que chacun de ceux-ci
comporte un thème inévitable et commun
dont il lui est difficile de sortir, parce que,
prononcé d'ordinaire dans un des endroits
qui eurent le plus à souffrir des ravages de
la guerre, il oppose inévitablement le spec-
tacle des alliés victorieux mais « dévastés »
à la situation d'une Allemagne vaincue mais
« indemne », et, qui mieux est, d'une Alle-
magne cherchant par tous les subterfuges
possibles à lutter avec une insigne mauvai-
se foi la réparation des dommages causés.
C'est une fois de plus en présence de ce
canevas logique et tracé d'avance que M.
Poincaré se trouvait placé à Villers-Cotte-
rets. Avec son énergie coutumière il n'a pas
DES
4pp AIR.ES étrangères
3
N° 2410
Mercredi 25 juillet 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
Il SOMMAIRE
b allemande. — Le projet de réponse
Il:tunnique à l'Allemagne (Frankfurter
P tetung).
p *ESSE AMÉRICAINE. - Les Etats-Unis et les
Ornements de l'Europe (New York Eve-
'nlrilJ' Post).
K ANGLAISE. ; — Le projei de re-
ponse britannique à l'Allemagne (Ti-
es). - Le problème du désarmement :
P Motion travailliste à la Charnue des
CDrnrnunes (Times, Daily Chronicle). —
p Allemagne et l'Afghanistan (Times).
p E \Bklge- - Le discours de M. Poin-
eadl;e à Villers-Gotterets (Indépendance
p elgc).
PRESSE E: 0 t"
d'u ESPAGNOLE. - poiiir l'organisation
d'une propagande espagnole (Impar-
"—-—————
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
Qtijj PROJET DE REPONSE BRITANNl-
LE - PRESSE ALLEMANDE. — De Berlin :
glQis à.Jt réponse du gouvernement an-
{tu Doi a dernière note allemande est mis
au oir't'e't a été déjà adressé avec une note
aux aiïiés de l'Angleterre et aux
États Tt n'8' Toutefois le document n'est pas
eUoorP Parvenu ici. En raison de l'impor-
tan,Ce e ce débat diplomatique on a pré-
r le secret sur la teneur des do-
I faits. 11 11 'est pas besoin de souligner
'ç fait ^er^n pour tous ceux qui sont au
^ur'am
es habitudes diplomatiques, que le
^nigtA re des Affaires étrangères d'Angle-
tre s,^ rnaintenu en contact avec l'am-
assad 6 ^eniagne à Londres. Cela se
>''çoit tant donné le rôle que joue enfin
l'Angleterre et qui n'est autre que celui de
'1jP- Par contre il est inexact, d'après
.t!qtld , nPr*ess'on, que le gouvernement alle-
'e}.les "It fait 068 jours-ci à Londres de nou-
(I Propo pour aplanir le
ches propositions Sl'dons positives pour aplanir e
amment au sujet de la cessation de
réSist ment au sujet de la .cessa lÜne
sions à ÜJ1c.e passive en ,échange de conces-
'Oll I> e la Part de la France. Car c'est ce
Vait déduire des nouvelles données
hier par Reuter (et qui provenaient d'une
action , allemande. — Note de la Ré-
PrOdUit ce la F. Z.). Le Bureau Wolff a re-
duit cette nouvelle de Reuter d'une fa-
çon vague et qui exigeait des éclaircisse-
ments. Il est nécessaire que le gouverne-
ment renseigne plus exactement le peuple
allemand. A Londres on a voulu naturelle-
ment savoir quelles seraient les conditions
de la cessation de la résistance passive.
Alors l'àmbassadeur d'Allemagne, M. Stha-
mer. a reçu de nouveau, avant-hier, des ins-
tructions l'invitant à déclarer que la popu-
lation de la Ruhr ne pourrait cesser sa ré-
sistance que si elle recevait en même temps
la garantie certaine que le territoire occupé
illégalement serait évacué dans le plus bref
délai. Telle est la position officielle de l'Al-
lemagne, la seule qu'officiellement le gou-
vernement anglais puisse connaître.
La nouvelle de Reuter a peut-être pour
but d'exercer une pression sur l'Allemagne
en vue d'un accord rapide ; ce ne serait
qu'un moyen très heureux de persuasion di-
plomatique. Il n'est pas exact, dans la ques-
tion des réparations en général, de parler
de nouvelles propositions de l'Allemagne,
mais il est exact qu'à Berlin, au cours de la
semaine dernière, on a, dans différents bu-
reaux intéressés, mis au point les mesures
et les projets de loi nécessaires pour la ré-
partition et la garantie des sommes offertes
déjà antérieurement par l'Allemagne.
FRANKFURTER ZEITUNG, 22.7, matin.
PRESSE ANGLAISE. — De Paris : M. Poin-
caré et M. Peretti de la Rocca ont consacré
une grande partie de la journée à l'étude
des documents britanniques. Demain, un
conseil de Cabinet se tiendra au Quai d'Or-
say. Aucune décision n'est prévue. Les mi-
nistres se borneront à prendre connais-
sance de la note britannique, et c'est à un
conseil ultérieur tenu à Rambouillet sous
la présidence de M. Millerand, que le gou-
vernement se décidera.
Dans, l'intervalle, le Quai d'Orsay de-
meure, en communication avec Londres et
Bruxelles. La question se pose de savoir
si une réponse pourra être donnée à la
Grande-Bretagne avant les vacances du
Parlement britannique. A présent les chan-
ces d'un dénouement rapide des négocia-
tions engagées d'une part entre la France
et la Grande-Bretagne n'apparaissent pas
très brillantes.
On croit que la France pourrait être ame-
née à son tour à poser une sorte de ques-
tionnaire au gouvernement britannique sur
des sujets étroitement liés à la rédaction
d'une réponse commune à l'Allemagne. Il
s'agirait de connaître notamment la som-
me que la Grande-Bretagne entend obtenir
de l'Allemagne, et la part de la dette de
guerre qu'elle se proposerait de réclamer à
la France. Le problème des arrangements
commerciaux entre les deux pays com-
mence aussi à se poser de façon pressante.
On estime que l'Allemagne une fois li-
bérée des embarras actuels pourra: expor-
ter dans des proportions énormes, et cet
aspect commercial du problème, à en juger
par l'opinion qui se manifeste en France et
en Angleterre, ne serait pas sans présenter ,
de sérieuses difficultés. Le discours de M.
Poincaré à Villers-Cotterets témoigne as-
sez de l'alarme causée en France par l'ou-
tillage industriel puissant de l'Allemagne.
A cet égard encore il y aurait lieu de re-
chercher une entente.
Le danger est que si l'on juge bon d'élar-
gir les discussions entre les alliés, l'accord
intervienne trop tard pour présenter une
utilité pratique du point de vue de l'Alle-
magne. Une remarque attribuée récemment
dans les milieux politiques à M. Poincaré
a, vraie ou fausse, sa signification. Le
président du Conseil aurait dit — je ne puis
garantir d'aucune façon l'authenticité de
ce propos — avant la clôture de la session
parlementaire que l'Allemagne serait obli-
gée, en tout cas, de capituler dans cinq ou
six semaines et qu'il fallait résister à toute
pression extérieure jusqu'à ce que cette ca-
pitulation fût un fait accompli. A l'heure
actuelle, d'après ce. calcul, peut-être tendan-
cieux. il ne devrait guère s'écouler plus de
trois semaines avant l'effondrement de l'Al
lemagne. Il s'agit donc d'une course avec
le temps. mais la France a le sentiment que
sa position doit être éclaircie avant qu'elle
puisse s'engager. — (Du correspondant par-
ticulier.) *
TIMES, 24.7.
LE DISCOURS DE M. POINCARE A VIL-
LERS-COTTERETS. — OPINION BELGE. — De-
puis près de trois années que le problème
des réparations tourne dans le même cercle
d'arguments spécieux, on constate fatale-
ment maintes redites dans les discours offi-
ciels. On peut dire que chacun de ceux-ci
comporte un thème inévitable et commun
dont il lui est difficile de sortir, parce que,
prononcé d'ordinaire dans un des endroits
qui eurent le plus à souffrir des ravages de
la guerre, il oppose inévitablement le spec-
tacle des alliés victorieux mais « dévastés »
à la situation d'une Allemagne vaincue mais
« indemne », et, qui mieux est, d'une Alle-
magne cherchant par tous les subterfuges
possibles à lutter avec une insigne mauvai-
se foi la réparation des dommages causés.
C'est une fois de plus en présence de ce
canevas logique et tracé d'avance que M.
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