Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-07-21
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 21 juillet 1923 21 juillet 1923
Description : 1923/07/21 (T24,N2407). 1923/07/21 (T24,N2407).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467079c
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
r
MINISTÈRE
DES
PFA{BES ÉTRANGÈRES
-
N" 2407
Samedi 21 juillet 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extrait.,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PnESS 1 -----
PRESS E ALLEMANDE. — L'inflation et la chute
: vU mark : les responsabilités du gou-
vernement allemand (Rudolf Breit-
Scheid dans Welt am Montag). — L'ad-
fission de l'Allemagne dans la Société
l,es nations (Theodor Wolff dans Ber-
lJnE li4er Tagehlatt).
SE ANGLAISE. — Le projet de réponse bri-
Lanniqxie (Times). — L'occupation de la
Ruhr et le commerce britannique (Ha-
P,, rold Cox dans Daily Mail).
p ESSE ESPAGNOLE. — La déclaration de
M. Baldwin à la Chambre des Commu-
"'es (Iieraldo de Madrid).
POLITIQUE GENERALE
liE: LES RÉPARATIONS
Q RojET DE REPONSE BRITANNI-
Cab" - Sous le titre : « L'ENTENTE ». - Le
décilet a discuté hier sans aboutir à une
lelfL sIon précise le projet de réponse à l'Al-
W.^ne qu'il se propose de soumettre aux
Cette lenteur s'explique. Ce n'est pas
rrUir> l'aile affaire, en effet, de faire une dé-
t~e susceptible de modifier profondé-
W,? , asPeet général de la situation euro-
Wen n<î et personne n'aurait lieu de se plain-
dPe ,eaucoup si la décision finale était re-
tC^r.j, * de quelques jours encore, à condi-
Dal'faBUe cette décision finale fût sage et
Parr ai/ernent conforme à la tendance géné,
rale r e l'opinion britannique. Le gouverne-
lleut a enfin commencé à agir, mais il ne
nt Pas agir précipitamment Il est obligé
f °nûer une action aussi grave, non pas
sur de simples mots d'ordre de pure forme
Ou s /11" f^es instincts aveugles, mais sur ce
qu'il"sidère comme une orientation bien
fjéftri.
lIleTlt b lu sentiment national. Un gouverne-
britannique — et cela. est vrai surtout
"\loir a Ve.rnement actuel — n'a pas un pou-
esur,l)blrir.e. Sa force s'accroît dans la
Sl e ou il interprète, tant par ses pren-
le du qUe par ses notes, la volonté essentiel-
le du tout entier. Nous nous mettons
U lement à la place, du gouvernement.
ue qui lui incombe d'interpréter la
le)¡:it' britannique au milieu des com-
Pl exit, de la situation européenne est ex-
certIllent difficile. Il est forcé d'encourir
ris. ues. Il est obligé d'aller hardi-
8&r Personnelle qui puisse justifier et con-
tr., son initiative. Si le pays a un ins-
» rn'a déterminé, c'est à son gouverne-
1 pj" qu'il incombe de traduire cet instinct
!le.. Jne action mûrement pesée. « Gouver-
i Dep
ner C est prévoir ; le fait pour un gouver-
: ïwent rle saisir et de prévoir ces mouve-
q\1i t~s essentiellement impulsifs du pays
qui, eri dernière analyse, sont identiques
aux intérêts du pays, est la meilleure justi-
fication de son rôle directeur. Libre au Pre-
mier Ministre et à ses collègues, de délibé-
rer pendant un jour ou deux. Libre à eux
de se tenir dans l'attente et sur le qui-vive.
Personne ne songe à se plaindre à condi-
tion qu'ils finissent par dire ce que. l'An-
gleterre pense.
Il peut très bien se faire que le gouverne-
ment se préoccupe très sérieusement de
l'avenir de cette forme d'association que
l'on appelle l'Entente. DEy récents événe-
ments ont soulevé sous une forme aiguë la
question de savoir si cette intimité peut ou
ne peut pas servir d'instrument de paix.
En d'autres termes, le maintien de l'En-
tente-entre la France et la Grand-Bretagne
est aujourd'hui en jeu. Les Français prati-
quent à l'égard dei l'Allemagne une forme
de coercition qui tant par sa conception que
par ses résultats répugne absolument à
l'opinion publique anglaise.
Après six mois' écoulés, l'heure est venue
où la France et la Grande-Bretagne doivent
choisir entre la. continuation d'une action
isolée ou l'adoption d'une politique com-
mune. Les grandes lignes de l'opinion bri-
tannique ne font pas de doute. Nous n'avons
jamais approuvé la politique, de la Ruhr et
les résultats de l'occupation confirment no-
tre opposition à ces méthodes de règlement
du problème des réparations. Nous deman-
dons des réparations de l'Allemagne dans
la plus large mesure de sa capacité, mais
nous ne pouvons acquiescer aux méthodes
choisies par la France. Nous préférons la
méthode plus fructueuse des négociations
sur la nouvelle base offerte par la dernière
offre allemande. Nous invitons la France à
se joindre à ces négociations.
La France demande comme condition préala-
ble que le gouvernement britannique exige avec
elle la œssatioilll de la résistance passive dans
la Ruhr.
Une action commune est encore possible.
Elle pourra se manifester si la France re-
connaît que l'opinion britannique n'approu-
ve et ne peut approuver ces actes ou ces pa-
roles, les méthodes adoptées par la France
dans la Ruhr et si en même temps la Gran-
de-Bretagne montre clairement qu'elle n'est
pas moins déterminée que la France à ob-
tenir que l'Allemagne remplisse ses obli-
gations. - (Ed.) TIMES, 20.7.
L'OCCUPATION DE LA RUHR ET LE COM-
MERCE BRITANNIQUE. — M. Harold Cox con
teste,en s'appuyant sur les statistiques du Board
of Trade, que le commerce britannique ait souf-
fert de l'occupation de la Ruhr :
Un grand nombre de personnes influentes
déclarent depuis quelque temps que l'occu-
pation de la Ruhr par les Français est dé-
sastreuse pour le commerce britannique.
L'idée qu'il aurait pu résulter de l'occu-
pation quelque dommage pour notre com-
merce est tellement plausible que n'importe
qui aurait pu, sans s'exposer à un reproche,
l'accepter les yeux fermés. J'avoue que moi-
même jusqu'à ces derniers jours il ne
m'était venu aucun doute sur l'exactitude de
cette affirmation. Mais l'autre soir, en feuil-
letant par hasard les statistiques commer-
ciales du premier semestre de l'année cou-
rante, je fus tellement frappé par certains-
chiffres que j'y regardai de plus près.
La conclusion que je tire de cet examen
est que si les chiffres publiés par le Board
of Trade sont exacts, les déclarations fai- -
tes par les politiciens et. les hommes d'affai-
res qui mènent campagne en ce moment
contre la France sont de nature à égarer
l'opinion.
L'auteur cite à ces propos les chiffres relatifs
au commerce d'exportation de la Grande-Breta-
gne pendant le premier semestre de 1921, 19sfe
et 1923.
Ainsi pendant, que ceux qui critiquent la
France affirment que loocupation de la
Ruhr a. accentué le chômage en Grande-Bre-
tagne, les chiffres du Board of Trade démon-
trent clairement, que notre commerce exté-
rieur a dû exiger les services d'une main-
d'œuvre plus abondante.
Si maintenant nous examinons les rensei-
gnements que donnent les statistiques sur
le mouvement commercial anglo-allemand,
le contraste apparaît encore plus frappant
entre les chiffres du ministère du Commerce
qu'ils ont probablement conformes aux faits
et les assertions des propagandistes franco-
phobes. Si l'occupation de la * Ruhr causait
un grave préjudice à l'Angleterre, ou plutôt
au commerce britannique, l'importance du
dommage devrait se refléter dans les statis-
tiques du mouvement des exportations bri-
tanniques destinées à l'Allemagne. Les
statistiques totales de l'exportation britan-
nique dans chaque pays ne sont publiées
qu'une fois par an, en janvier ; mais les sta-
tistiques partielles pour les six premiers
mois et pour certains articles de première
nécessité,' indiquent que les résultats obte-
nus cette année sont supérieurs à ceux des
années précédentes.
Prenons par exemple le charbon. Il est
évident que l'occupation de la Ruhr a été
un bienfait pour le commerce britannique
avec l'Allemagne. Nos exportations de char-
bon sont montées, en effet, de 2.823.000 ton-
nes durant les six premiers mois de 1922 à
7.964.000 en 1923. L'occupation de la Ruhr
n'a donc causé aucun préjudice aux mi-
neurs, bien au contraire.
Prenons ensuite le fer et l'acier et notam-
ment l'acier en barre qui est un des arti-
cles les plus importants de l'exportation.
En 1922, l'Allemagne a. acheté 287 tonnes
d'acier en barre ; en 1923, 12.155 tonnes !
On constate une augmentation moins im-
portante. mais non moins significative des
MINISTÈRE
DES
PFA{BES ÉTRANGÈRES
-
N" 2407
Samedi 21 juillet 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extrait.,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PnESS 1 -----
PRESS E ALLEMANDE. — L'inflation et la chute
: vU mark : les responsabilités du gou-
vernement allemand (Rudolf Breit-
Scheid dans Welt am Montag). — L'ad-
fission de l'Allemagne dans la Société
l,es nations (Theodor Wolff dans Ber-
lJnE li4er Tagehlatt).
SE ANGLAISE. — Le projet de réponse bri-
Lanniqxie (Times). — L'occupation de la
Ruhr et le commerce britannique (Ha-
P,, rold Cox dans Daily Mail).
p ESSE ESPAGNOLE. — La déclaration de
M. Baldwin à la Chambre des Commu-
"'es (Iieraldo de Madrid).
POLITIQUE GENERALE
liE: LES RÉPARATIONS
Q RojET DE REPONSE BRITANNI-
Cab" - Sous le titre : « L'ENTENTE ». - Le
décilet a discuté hier sans aboutir à une
lelfL sIon précise le projet de réponse à l'Al-
W.^ne qu'il se propose de soumettre aux
Cette lenteur s'explique. Ce n'est pas
rrUir> l'aile affaire, en effet, de faire une dé-
t~e susceptible de modifier profondé-
W,? , asPeet général de la situation euro-
Wen n<î et personne n'aurait lieu de se plain-
dPe ,eaucoup si la décision finale était re-
tC^r.j, * de quelques jours encore, à condi-
Dal'faBUe cette décision finale fût sage et
Parr ai/ernent conforme à la tendance géné,
rale r e l'opinion britannique. Le gouverne-
lleut a enfin commencé à agir, mais il ne
nt Pas agir précipitamment Il est obligé
f °nûer une action aussi grave, non pas
sur de simples mots d'ordre de pure forme
Ou s /11" f^es instincts aveugles, mais sur ce
qu'il"sidère comme une orientation bien
fjéftri.
lIleTlt b lu sentiment national. Un gouverne-
britannique — et cela. est vrai surtout
"\loir a Ve.rnement actuel — n'a pas un pou-
esur,l)blrir.e. Sa force s'accroît dans la
Sl e ou il interprète, tant par ses pren-
le du qUe par ses notes, la volonté essentiel-
le du tout entier. Nous nous mettons
U lement à la place, du gouvernement.
ue qui lui incombe d'interpréter la
le)¡:it' britannique au milieu des com-
Pl exit, de la situation européenne est ex-
certIllent difficile. Il est forcé d'encourir
ris. ues. Il est obligé d'aller hardi-
tr., son initiative. Si le pays a un ins-
» rn'a déterminé, c'est à son gouverne-
1 pj" qu'il incombe de traduire cet instinct
!le.. Jne action mûrement pesée. « Gouver-
i Dep
ner C est prévoir ; le fait pour un gouver-
: ïwent rle saisir et de prévoir ces mouve-
q\1i t~s essentiellement impulsifs du pays
qui, eri dernière analyse, sont identiques
aux intérêts du pays, est la meilleure justi-
fication de son rôle directeur. Libre au Pre-
mier Ministre et à ses collègues, de délibé-
rer pendant un jour ou deux. Libre à eux
de se tenir dans l'attente et sur le qui-vive.
Personne ne songe à se plaindre à condi-
tion qu'ils finissent par dire ce que. l'An-
gleterre pense.
Il peut très bien se faire que le gouverne-
ment se préoccupe très sérieusement de
l'avenir de cette forme d'association que
l'on appelle l'Entente. DEy récents événe-
ments ont soulevé sous une forme aiguë la
question de savoir si cette intimité peut ou
ne peut pas servir d'instrument de paix.
En d'autres termes, le maintien de l'En-
tente-entre la France et la Grand-Bretagne
est aujourd'hui en jeu. Les Français prati-
quent à l'égard dei l'Allemagne une forme
de coercition qui tant par sa conception que
par ses résultats répugne absolument à
l'opinion publique anglaise.
Après six mois' écoulés, l'heure est venue
où la France et la Grande-Bretagne doivent
choisir entre la. continuation d'une action
isolée ou l'adoption d'une politique com-
mune. Les grandes lignes de l'opinion bri-
tannique ne font pas de doute. Nous n'avons
jamais approuvé la politique, de la Ruhr et
les résultats de l'occupation confirment no-
tre opposition à ces méthodes de règlement
du problème des réparations. Nous deman-
dons des réparations de l'Allemagne dans
la plus large mesure de sa capacité, mais
nous ne pouvons acquiescer aux méthodes
choisies par la France. Nous préférons la
méthode plus fructueuse des négociations
sur la nouvelle base offerte par la dernière
offre allemande. Nous invitons la France à
se joindre à ces négociations.
La France demande comme condition préala-
ble que le gouvernement britannique exige avec
elle la œssatioilll de la résistance passive dans
la Ruhr.
Une action commune est encore possible.
Elle pourra se manifester si la France re-
connaît que l'opinion britannique n'approu-
ve et ne peut approuver ces actes ou ces pa-
roles, les méthodes adoptées par la France
dans la Ruhr et si en même temps la Gran-
de-Bretagne montre clairement qu'elle n'est
pas moins déterminée que la France à ob-
tenir que l'Allemagne remplisse ses obli-
gations. - (Ed.) TIMES, 20.7.
L'OCCUPATION DE LA RUHR ET LE COM-
MERCE BRITANNIQUE. — M. Harold Cox con
teste,en s'appuyant sur les statistiques du Board
of Trade, que le commerce britannique ait souf-
fert de l'occupation de la Ruhr :
Un grand nombre de personnes influentes
déclarent depuis quelque temps que l'occu-
pation de la Ruhr par les Français est dé-
sastreuse pour le commerce britannique.
L'idée qu'il aurait pu résulter de l'occu-
pation quelque dommage pour notre com-
merce est tellement plausible que n'importe
qui aurait pu, sans s'exposer à un reproche,
l'accepter les yeux fermés. J'avoue que moi-
même jusqu'à ces derniers jours il ne
m'était venu aucun doute sur l'exactitude de
cette affirmation. Mais l'autre soir, en feuil-
letant par hasard les statistiques commer-
ciales du premier semestre de l'année cou-
rante, je fus tellement frappé par certains-
chiffres que j'y regardai de plus près.
La conclusion que je tire de cet examen
est que si les chiffres publiés par le Board
of Trade sont exacts, les déclarations fai- -
tes par les politiciens et. les hommes d'affai-
res qui mènent campagne en ce moment
contre la France sont de nature à égarer
l'opinion.
L'auteur cite à ces propos les chiffres relatifs
au commerce d'exportation de la Grande-Breta-
gne pendant le premier semestre de 1921, 19sfe
et 1923.
Ainsi pendant, que ceux qui critiquent la
France affirment que loocupation de la
Ruhr a. accentué le chômage en Grande-Bre-
tagne, les chiffres du Board of Trade démon-
trent clairement, que notre commerce exté-
rieur a dû exiger les services d'une main-
d'œuvre plus abondante.
Si maintenant nous examinons les rensei-
gnements que donnent les statistiques sur
le mouvement commercial anglo-allemand,
le contraste apparaît encore plus frappant
entre les chiffres du ministère du Commerce
qu'ils ont probablement conformes aux faits
et les assertions des propagandistes franco-
phobes. Si l'occupation de la * Ruhr causait
un grave préjudice à l'Angleterre, ou plutôt
au commerce britannique, l'importance du
dommage devrait se refléter dans les statis-
tiques du mouvement des exportations bri-
tanniques destinées à l'Allemagne. Les
statistiques totales de l'exportation britan-
nique dans chaque pays ne sont publiées
qu'une fois par an, en janvier ; mais les sta-
tistiques partielles pour les six premiers
mois et pour certains articles de première
nécessité,' indiquent que les résultats obte-
nus cette année sont supérieurs à ceux des
années précédentes.
Prenons par exemple le charbon. Il est
évident que l'occupation de la Ruhr a été
un bienfait pour le commerce britannique
avec l'Allemagne. Nos exportations de char-
bon sont montées, en effet, de 2.823.000 ton-
nes durant les six premiers mois de 1922 à
7.964.000 en 1923. L'occupation de la Ruhr
n'a donc causé aucun préjudice aux mi-
neurs, bien au contraire.
Prenons ensuite le fer et l'acier et notam-
ment l'acier en barre qui est un des arti-
cles les plus importants de l'exportation.
En 1922, l'Allemagne a. acheté 287 tonnes
d'acier en barre ; en 1923, 12.155 tonnes !
On constate une augmentation moins im-
portante. mais non moins significative des
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Krauth Krauth /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Krauth" or dc.contributor adj "Krauth")
- Auteurs similaires Krauth Krauth /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Krauth" or dc.contributor adj "Krauth")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/6
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6467079c/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6467079c/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6467079c/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6467079c/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6467079c
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6467079c
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6467079c/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest