Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-07-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 20 juillet 1923 20 juillet 1923
Description : 1923/07/20 (T24,N2406). 1923/07/20 (T24,N2406).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467078z
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
LUINISTERE
DES
lRES ÉTRANGÈRES
y --
N°'2406
Vendredi 20 juillet 1923
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
r\ts :
L anglaisk. — J^es conversations l'ran-
<:o-h¡.it,lIlJliques (TipLCS). - Le projet de
1 > britannique (Daily TcU'f): aph,
''slininstcr Gazette). — L'application
L lle de lDpa 0 (Daily E,rp>'< —
les menées nationalistes en Allemagne
finies). — L'avenir de rEurope : une
lriterviow de M. Félix Deulsch (West--
lnin*tev Gazelle).
l!tSs ■ MALIENNE. - La déclaration de M-
( III à la (Chambre des Communes
Jdea Aazionule, Resto del Carlino, Mes-
SaJrQero).
♦
POLrrlQUE GENERALE
r LES RÉPARATIONS
ts. CONVERSATIONS FRANCO-BRITANNI-
pro - PRESSE ANGLAISE. - Le Times croit que
les Ü(.POItlúns britanniques apporteront une
I * <.llSCilssÏl1'llS fructueuses entre les alliOs.
les S
4t Su8gestions qu'elles apportent ne
sont certainement pas ce nature ù faire pre-
p ! rejet sommaire par une quelconque
Ve^oiaSSances intéressées. L'objet du gou-
%sj(,eri^ britannique est de favoriser,
s !rl:?nSlunces difficiles du moment,
Pl'Obl('. gOclahons de portée générale sur le
¡J' .Ill£"
\lr'a(l'< économique fondamental des ré-
on
\lllrtig sans dire que le gouvernement bri-
JllirJl' e tentera nullement dans ses pro-
1t If fu ( clnder ou de remplacer de quel-
(--c, soit les dispositions du
r e Versailles. Il insistera au contraire
!III CI t,,Tion exacte du traité et sur
îfr%iySsité d'une action commune et pro-
St fondée "sur le traité. C'est de ce
t ([blerr - VUe que seront, traitées vraisem-
I)('f' plen la question brûlante de la résis-
fi ,nt ']f ,Siv° et celle de la capacité de paie-
1T"' : ri 'î.lemagne. Rien, d'ailleurs, n'est
ti-Sn^ t arrêté, et il est possible que
q-Clrléf\ "Cfinitive du document ne soit pas
"fit "Ilt, un jour ou deux. On a cepcn-
lhn>llp p ression que la perspective de
Qr'^ïiTi !'on\'ersations utiles entre les al-
eUe lleon,ce heaucoup plus favorablement
sannonçait il y a quelques jours.
TIMES, 19.7.
PRESSE HOLLANDAISE. - Sous le titre : « La
fin de l'Entente. » - La rupture, depuis si
longtemps redoutée, entre l'Angleterre et la
France est peut-être, à l'heure présente, un
t'ait, accompli ; aussi déplorable qu'elle soit,
elle était inéluctable. Elle est la conséquence
logique, non point tant de l'occupation de
la Ruhr ou de l'attitude générale de la Fran-
ce à l'égard de l'Allemagne,.que des tendan-
ces de plus en plus évidentes de la France
à l'hégémonie militaire et économique. Elle
découle surtout de la défiance éveillée peu
a peu en Angleterre par toutes sortes de
plans et de préparatifs militaires français,
terrestres, navals et aériens.
LES INTENTIONS DE LA FRANCE. - Les inten-
tions de la France sont difficiles à deviner,
mais la conviction s'est faite, au cours des
dernières, années, qu'elle est en train de
compenser les pertes de guerre en s'assu-
rant l'hégémonie militaire, politique et éco-
nomique sur le reste de l'Europe. La re-
quête de l'Angleterre lui demandant d'expo-
ser par écrit ses intentions et ses projets
offrait à la France l'occasion de ruiner ces
suppositions. Elle n'en a pas profité et a
ainsi confirmé les soupçons. Il s'ensuivra
que le reste de l'Europe va envisager les
moyens de parer à la menace du danger
français et de mettre un terme à une inti-
midation toujours croissante et à une me-
nace sans cesse plus grave. Il est inutile de
dissimuler : telle est la situation, tels sont
les faits.
UN CHOIX PÉNIBLE. — Cette situation, ces
faits placent l'Europe en face d'un choix
des plus pénibles. Il s'agit de choisir emre
des contre-mesures efficaces à prendre im-
médiatement ou une guerre nouvelle dans
un délai assez rapproché. Devant cette si-
tuation compliquée, le reste du continent
met tout, son espoir dans l'Angle ferre. L'An-
gleterre est la seule puissance européenne
capable de sauver la situation, de prévenir
le maléfique écrasement de l'Allemagne
dont, elle comprend que les conséquences se-
raient incalculables. Le curieux de l'affaire,
c'est qu'on ne peut ou ne veut pas le com-
prendre en France. Ou bien s'y croit-on Õ.
l'abri grâce à. une grande armée ? Y compte-
t-on que le chaos allemand servirait les pro-
jets français ? Ne convient-il pas que, nous,
Néerlandais, nous nous préoccupions à
temps de l'altitude à adopter. Sans doute
l'Angleterre est mieux placée que nous pour
élever la voix : elle est. grande et puissante
et plus éloignée que nous de Wesel et (l'Em-
merich. Mais nos intérêts sont parallèles à
ceux des Anglais. La Hollande a aussi peu
d'intérêt à voir une France arrogante et
toute-puissante qu'une Allemagne arrogan-
te et toute-puissante. Elle a le plus haut in-
térêt à un retour a une véritable paix euro-
péenne et plus peut-être que tout autre
pays, elle réprouve cette méthode française
qui consiste à semer les dents du dragon.
Et, bien que nous comprenions que notre
gouvernement ne puisse, pour le moment,
prendre parti dans ce conflit déplorable,
nous croyons néanmoins que notre opinion
publique, dans notre intérêt et dans celui
de l'Europe, ne doit pas hésiter à se mani-
fester. Or cette opinion, nous en sommes
convaincus, est tout entière aux côtés de
l'Angleterre.
HAAGSCHE POST, 14.7.
LE PROJET DE REPONSE BRITANNI-
QUE. - * Le projet de réponse collective à
l'Allemagne et la lettre d'envoi aux alliés,
tels que les a rédigés lord Curzon. ont été
communiqués hier aux ministres et ont fait
l'objet de discussions interministérielles ;
mais le conseil de Cabinet projeté a été re-
mis à aujourd'hui. On croit savoir que les
raisons principales et bien compréhensibles
de cet ajournement étaient premièrement
de fournir aux ministres l'occasion d'exami-
ner les documents à loisir avant de présen-
ter au Cabinet des observations motivées,
et deuxièmement de permettre de joindre à
la lettre d'envoi quelques-unes des considé-
rations financières et économiques rédigées
par les experts de la Trésorerie. On peut
se demander jusqu'à quel point il convient
que le résultat, des récents travaux de ces
experts soit effectivement incorporé dans
cette lettre et [ski réservé pour des négo-
ciations et des conférences futures, au cas
où le succès des échanges de vues prélimi-
naires auxquels on procède en ce moment
permettrait de procéder à ces dernières.
Les travaux des experts ont abouti d'une
faron générale à la réafflrmatoin des princi-
pes et des données contenus dans le plan
britannique de janvier, notamment en ce
qui concerne les meilleures méthodes à sui-
vre en vue de stabiliser le mark et d'assai-
nir la, monnaie allemande. Je crois savoir
que l'on tient. généralement que, pour me-
ner à bien cette tâche ainsi que pour exer-
cer un contrôle sur les sources de revenus
du Reich destinés il assurer les réparations
futures, la collaboration du gouvernement
et des experts allemands est une condition
indispensable de l'efficacité et du succès.
On estime même cette collaboration alle-
mande des plus nécessaires, non seulement.
en raison de la situation plus que critique
où se trouvent actuellement les finances al-
lemandes. mais à cause de l'augmentation
probable du nombre et de la complexité de
ces sources de revenus envisagées dans les
récents mémoires belge et allemand.
Incidemment il n'est pas sans intérêt
d'apprendre que. dans plusieurs cas. les
évaluations officielles britanniques des re-
cettes à prévoir - après une période de
DES
lRES ÉTRANGÈRES
y --
N°'2406
Vendredi 20 juillet 1923
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
r\ts :
L anglaisk. — J^es conversations l'ran-
<:o-h¡.it,lIlJliques (TipLCS). - Le projet de
1 > britannique (Daily TcU'f): aph,
''slininstcr Gazette). — L'application
L lle de lDpa 0 (Daily E,rp>'< —
les menées nationalistes en Allemagne
finies). — L'avenir de rEurope : une
lriterviow de M. Félix Deulsch (West--
lnin*tev Gazelle).
l!tSs ■ MALIENNE. - La déclaration de M-
( III à la (Chambre des Communes
Jdea Aazionule, Resto del Carlino, Mes-
SaJrQero).
♦
POLrrlQUE GENERALE
r LES RÉPARATIONS
ts. CONVERSATIONS FRANCO-BRITANNI-
pro - PRESSE ANGLAISE. - Le Times croit que
les Ü(.POItlúns britanniques apporteront une
I * <.llSCilssÏl1'llS fructueuses entre les alliOs.
les S
4t Su8gestions qu'elles apportent ne
sont certainement pas ce nature ù faire pre-
p ! rejet sommaire par une quelconque
Ve^oiaSSances intéressées. L'objet du gou-
%sj(,eri^ britannique est de favoriser,
s !rl:?nSlunces difficiles du moment,
Pl'Obl('. gOclahons de portée générale sur le
¡J' .Ill£"
\lr'a(l'< économique fondamental des ré-
on
\lllrtig sans dire que le gouvernement bri-
JllirJl' e tentera nullement dans ses pro-
1t If fu ( clnder ou de remplacer de quel-
(--c, soit les dispositions du
r e Versailles. Il insistera au contraire
!III CI t,,Tion exacte du traité et sur
îfr%iySsité d'une action commune et pro-
St fondée "sur le traité. C'est de ce
t ([blerr - VUe que seront, traitées vraisem-
I)('f' plen la question brûlante de la résis-
fi ,nt ']f ,Siv° et celle de la capacité de paie-
1T"' : ri 'î.lemagne. Rien, d'ailleurs, n'est
ti-Sn^ t arrêté, et il est possible que
q-Clrléf\ "Cfinitive du document ne soit pas
"fit "Ilt, un jour ou deux. On a cepcn-
lhn>llp p ression que la perspective de
Qr'^ïiTi !'on\'ersations utiles entre les al-
eUe lleon,ce heaucoup plus favorablement
sannonçait il y a quelques jours.
TIMES, 19.7.
PRESSE HOLLANDAISE. - Sous le titre : « La
fin de l'Entente. » - La rupture, depuis si
longtemps redoutée, entre l'Angleterre et la
France est peut-être, à l'heure présente, un
t'ait, accompli ; aussi déplorable qu'elle soit,
elle était inéluctable. Elle est la conséquence
logique, non point tant de l'occupation de
la Ruhr ou de l'attitude générale de la Fran-
ce à l'égard de l'Allemagne,.que des tendan-
ces de plus en plus évidentes de la France
à l'hégémonie militaire et économique. Elle
découle surtout de la défiance éveillée peu
a peu en Angleterre par toutes sortes de
plans et de préparatifs militaires français,
terrestres, navals et aériens.
LES INTENTIONS DE LA FRANCE. - Les inten-
tions de la France sont difficiles à deviner,
mais la conviction s'est faite, au cours des
dernières, années, qu'elle est en train de
compenser les pertes de guerre en s'assu-
rant l'hégémonie militaire, politique et éco-
nomique sur le reste de l'Europe. La re-
quête de l'Angleterre lui demandant d'expo-
ser par écrit ses intentions et ses projets
offrait à la France l'occasion de ruiner ces
suppositions. Elle n'en a pas profité et a
ainsi confirmé les soupçons. Il s'ensuivra
que le reste de l'Europe va envisager les
moyens de parer à la menace du danger
français et de mettre un terme à une inti-
midation toujours croissante et à une me-
nace sans cesse plus grave. Il est inutile de
dissimuler : telle est la situation, tels sont
les faits.
UN CHOIX PÉNIBLE. — Cette situation, ces
faits placent l'Europe en face d'un choix
des plus pénibles. Il s'agit de choisir emre
des contre-mesures efficaces à prendre im-
médiatement ou une guerre nouvelle dans
un délai assez rapproché. Devant cette si-
tuation compliquée, le reste du continent
met tout, son espoir dans l'Angle ferre. L'An-
gleterre est la seule puissance européenne
capable de sauver la situation, de prévenir
le maléfique écrasement de l'Allemagne
dont, elle comprend que les conséquences se-
raient incalculables. Le curieux de l'affaire,
c'est qu'on ne peut ou ne veut pas le com-
prendre en France. Ou bien s'y croit-on Õ.
l'abri grâce à. une grande armée ? Y compte-
t-on que le chaos allemand servirait les pro-
jets français ? Ne convient-il pas que, nous,
Néerlandais, nous nous préoccupions à
temps de l'altitude à adopter. Sans doute
l'Angleterre est mieux placée que nous pour
élever la voix : elle est. grande et puissante
et plus éloignée que nous de Wesel et (l'Em-
merich. Mais nos intérêts sont parallèles à
ceux des Anglais. La Hollande a aussi peu
d'intérêt à voir une France arrogante et
toute-puissante qu'une Allemagne arrogan-
te et toute-puissante. Elle a le plus haut in-
térêt à un retour a une véritable paix euro-
péenne et plus peut-être que tout autre
pays, elle réprouve cette méthode française
qui consiste à semer les dents du dragon.
Et, bien que nous comprenions que notre
gouvernement ne puisse, pour le moment,
prendre parti dans ce conflit déplorable,
nous croyons néanmoins que notre opinion
publique, dans notre intérêt et dans celui
de l'Europe, ne doit pas hésiter à se mani-
fester. Or cette opinion, nous en sommes
convaincus, est tout entière aux côtés de
l'Angleterre.
HAAGSCHE POST, 14.7.
LE PROJET DE REPONSE BRITANNI-
QUE. - * Le projet de réponse collective à
l'Allemagne et la lettre d'envoi aux alliés,
tels que les a rédigés lord Curzon. ont été
communiqués hier aux ministres et ont fait
l'objet de discussions interministérielles ;
mais le conseil de Cabinet projeté a été re-
mis à aujourd'hui. On croit savoir que les
raisons principales et bien compréhensibles
de cet ajournement étaient premièrement
de fournir aux ministres l'occasion d'exami-
ner les documents à loisir avant de présen-
ter au Cabinet des observations motivées,
et deuxièmement de permettre de joindre à
la lettre d'envoi quelques-unes des considé-
rations financières et économiques rédigées
par les experts de la Trésorerie. On peut
se demander jusqu'à quel point il convient
que le résultat, des récents travaux de ces
experts soit effectivement incorporé dans
cette lettre et [ski réservé pour des négo-
ciations et des conférences futures, au cas
où le succès des échanges de vues prélimi-
naires auxquels on procède en ce moment
permettrait de procéder à ces dernières.
Les travaux des experts ont abouti d'une
faron générale à la réafflrmatoin des princi-
pes et des données contenus dans le plan
britannique de janvier, notamment en ce
qui concerne les meilleures méthodes à sui-
vre en vue de stabiliser le mark et d'assai-
nir la, monnaie allemande. Je crois savoir
que l'on tient. généralement que, pour me-
ner à bien cette tâche ainsi que pour exer-
cer un contrôle sur les sources de revenus
du Reich destinés il assurer les réparations
futures, la collaboration du gouvernement
et des experts allemands est une condition
indispensable de l'efficacité et du succès.
On estime même cette collaboration alle-
mande des plus nécessaires, non seulement.
en raison de la situation plus que critique
où se trouvent actuellement les finances al-
lemandes. mais à cause de l'augmentation
probable du nombre et de la complexité de
ces sources de revenus envisagées dans les
récents mémoires belge et allemand.
Incidemment il n'est pas sans intérêt
d'apprendre que. dans plusieurs cas. les
évaluations officielles britanniques des re-
cettes à prévoir - après une période de
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Bibliographie de la presse française politique et d'information générale Bibliographie de la presse française politique et d'information générale /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "BIPFPIG00"
- Auteurs similaires Bibliographie de la presse française politique et d'information générale Bibliographie de la presse française politique et d'information générale /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "BIPFPIG00"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/6
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6467078z/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6467078z/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6467078z/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6467078z/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6467078z
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6467078z
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6467078z/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest