Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-07-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 14 juillet 1923 14 juillet 1923
Description : 1923/07/14 (T24,N2402)-1923/07/16. 1923/07/14 (T24,N2402)-1923/07/16.
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64670749
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
AJM.
(MINISTÈRE
, DES
PPA.II\ES ÉTRANGÈRES
N° 2402
Samedi 14 et Lundi 16 juillet 1923
1% 1
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petite caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SSE allemande. L Avant la déclaration
e M. Baldwin à la Chambre des Coin-
Illunes (Kôlnischc Volkszeitung, Frank-
, turter Zeitung). *
nbs
HEi:SE anglaisk. - La déclaration de M.
aldwin à la Chambre, des Communes
1 fimes, Daily Mail, Daily News, Dai-
if. Chronicle, Daily Express, Sunday
lïries, Observer ; Lovât Fraser dans
'.Jundau Pidorial). — Le projet de ré-
ponse britannique (Observer). — Les
^rmanophiles de Grande-Bretagne et
avenir des relations franco-britanm-
ques (IIorning Post).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
A l* a ^CLARATION DE M. BALDWIN
p L'~ CHAMBRE DES COMMUNES. —
SE anglaise. — Sous le titre : « UNE di-
b,ri RITANNIQUE »• — Le gouvernement
tiativ nIque a pris, une fois de plus, l'ini-
tiativ e dans la question des réparations
Clararest la véritable signification des dé-
ci*l®°* ^s soigneusement pesées, faites hier
Comm dernier Ministre à la Chambre des
Unes- La mesure envisagée par le
Camp lnement n'a rien de rigoureux. Elle ne
ve-c rte et ne doit comporter une rupture
tlon 0s alliés ; elle n'implique pas une ac-
tion SéParée. Il s'agit plutôt d'une nouvelle
Htafle Pour déterminer par une action
blèmel tee le règlement définitif d'un pro-
bi~, rne sdon les conséquences se font, lourde-
Verne enhr pour l'Europe entière. Le gou-
erit — c'est ce qui résulte des décla-
ratt. on s faites hier par les ministres — a in-
formé les gouvernements francais, italien et
belgee le, gouvernements français, italien et
SabiIitU Il était prêt à assumer les respon-
e de rédiger une réponse à la note
^llerïl ^^e du 7 juin ; cette réponse sera sou-
^isçUX ^°Uvernements alliés, avec l'espoir
e entente pourra s'établir à son sujet.
gouvercroyons que l'initiative prise par le
ellt nement sera généralement et forte-
^et^F^ouvée dans le, pays. La Grande-
ce Pa?e n'assistera plus enfin en spectatri-
Ce Pag lV? aux événements qui apportent la
pertubation a^'0n dans l'Europe entière et qui af-
retent atlon dans l'Europe entière et qui af-
(1 profondément nos intérêts vitaux.
Sellee ence s'imposait sans doute en pré-
ee d, une situation, où tant d'éléments
î^riji x entraient en jeu. Un faux pas pou-
v^it a3aver infiniment les choses ; une dé-
clio11 graver infiniment les choses ; une dé-
SibilitélIllprUdente pouvait exclure toute pos-
%te"J?e décision définitive. Les avis sans
? lui 11 Ont pas manqué au gouvernement. :
lt¡ltiai' conseIlla.it d'un côté de prendre une
e d'une rigueur impossible ; on lui
conseillait de l'autre de recourir à une poli-
tique. de subordination complaisante, incom-
patible aVec nos intérêts comme avec les
intérêts suprêmes de l'Europe, qui aurait
abouti seulement à une apparence d'accord
sans valeur. Le gouvernement a su éviter
ces deux extrêmes ; il a eu le courage et la
sagesse de choisir le seul moyen possible
d'exercer une fois de plus l'influence britan-
nique dans le chaos, à l'écart duquel nous
nous étions tenus pendant plusieurs mois.
Le Times explique que le gouvernement britan-
nique n'a jamais songé à abandonner le paie-
ment des réparations qui lui sont dues.
La Grande-Bretagne demande aussi fer-
mement que jamais que l'Allemagne paie
es réparations jusqu'à la limite de sa capa-
cité. Notre désaccord avec la France ne
provient d'aucune hésitation sur ce point,
et le soupçon émis quelquefois en France
que nous sommes prêts, dans l'intérêt sup-
posé de notre commerce, à faire grâce à
l'Allemagne de sa dette n'est aucunement
fondé. Nous sommes intéressés au même
titre que n'importa quel autre des alliés à
recevoir des réparations, et notre grande
préoccupation est que le paiement des ré-
parations contribue au progrès économique
et à la stabilité de l'Europe.
Mais l'opinion britannique demeure convain-
cue. et c'est ce qui ressort avec une parfaite
clarté de l'exposé de M. Baldwin, que la politi-
que suivie par la Erance et la Belgique dans
la Ruhr ne mènera pas au but désiré par tous
les alliés.
Le gouvernement britannique a annoncé qu'il
allait préparer une réponse aux propositions
allemandes.
Ce n'est là qu'un commencement. L'ave-
nir prochain montrera ses résultats immé-
diats, mais le courage et l'initiative possè-
dent une force communicative. Nous espé-
rons que les nouvelles influences auxquel-
les la décision du gouvernement permet
d'entrer en jeu élargiront leur champ d'ac-
tion et amèneront une amélioration de la
situation.
Il est bon que le projet de réponse britan-
nique doive être communiqué aux Etats-Unis
et qu'un accord substantiel se soit déjà établi
avec le gouvernement italien.
Nous espérons de tout cœur que les dé-
clarations empreintes à la fois de gravité
et d'une sincère amitié du gouvernement
permettront plus facilement à nos autres
alliés, et en particulier à la France, de se
joindre à nous dans un large effort pour la
solution définitive du problème le plus acca-
blant et le plus dangereux. — (Ed.)
TIMES, 13.7.
- Le Daily Mail, loin de partager la con-
fiance du Times, doute que l'exposé réservé et
incolore de M. Baldwin ait une grande influence
sur la situation européenne.
M. Stanley Baldwin a à peine discuté le
problème vital de la Ruhr. Il n'a pas dit
si, à son avis, nos alliés français avaient
eu raison d'entrer à Essen. Il a passé pres-
que entièrement sous silence les questions
vitales que pose la venue des Français sur
le sol allemand.
Les préoccupations auxquelles M. Baldwin a
obéi sont des plus louables, mais elles ont ins-
piré un exposé purement négatif. Ce n'est pas
la déclaration gouvernementale qui pourra re-
médier à la tension qui paralyse le commerce
britannique. Il aurait fallu inviter l'Allemagne à
cesser sa résistance passive dans la Ruhr. Or
M. Balwin n'a pas fait entendre un mot d'aver-
Íiisscment à ce sujet.
Le discours du Premier Ministre est dé-
cevant, comme l'a montré, d'ailleurs, la
froideur avec laquelle ses conclusions ont
été acueillies aux Communes par ses pro-
pres partisans. Le gouvernement n'a pas
donné d'encouragement à l'Allemagne, mais -
il n'a pas non plus aidé la France. Nous es-
pérons que le document qui va être rédigé
pour l'instruction du gouvernemeint alle-
mand sera conçu en termes plus énergiques
et plus nets que le discours effacé prononcé
hier par M. Stanley Baldwin. — (Ed.)
DAILY MAIL, 13.7.
— Le rédacteur parlementaire des Daily News
écrit que l'exposé de M. Baldwin a été acueilli
avec réserve dans les milieux politiques. C'est
peut-être auprès du parti travailliste cui! a
rencontré le plus grand succès.
Tout le monde espère que le gouverne-
ment réussira dans ses efforts pour décider
la France et la Belgique à participer à la ré-
ponse faite à la note allemande. Mais beau-
coup d'hommes politiques craignent que
cet espoir ne se réalise pas. L'attitude de
scepticisme est surtout visible chez les mi-
nistériels, les libéraux indépendants et les
libéraux nationaux. Précisément parce qu'ils
prévoient cet échec, 'beaucoup de conserva-
teurs regrettent la présence, dans la décla-
ration gouvernementale, de phrases qui sont
peut-être de nature à irriter les susceptibi-
lités de la France et à réjouir l'Allemagne.
DAILY NEWS,J3.7.
— De l'avis unanime, jeudi a été un jour
critique dans le développement de la politi-
que de la Grande-Bretagne. Quelle que soit
la portée de la déclaration de M. Baldwin,
nos relations avec la France ne pourront
plus jamais être exactement les mêmes
qu'auparavant. Elles peuvent s'améliorer,
ou elles peuvent empirer; mais dans un sens
bu dans l'autre un changement est inévi-
table. s
Quant à savoir si ce changement sera fa-
vorable ou le contraire, cela dépendra en
partie de l'habileté du gouvernement, mais
plus encore de l'appui que trouvera ce der-
nier auprès du pays et au sein du Parle-
ment. Le pays ne pourra pas aider comme
(MINISTÈRE
, DES
PPA.II\ES ÉTRANGÈRES
N° 2402
Samedi 14 et Lundi 16 juillet 1923
1% 1
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petite caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SSE allemande. L Avant la déclaration
e M. Baldwin à la Chambre des Coin-
Illunes (Kôlnischc Volkszeitung, Frank-
, turter Zeitung). *
nbs
HEi:SE anglaisk. - La déclaration de M.
aldwin à la Chambre, des Communes
1 fimes, Daily Mail, Daily News, Dai-
if. Chronicle, Daily Express, Sunday
lïries, Observer ; Lovât Fraser dans
'.Jundau Pidorial). — Le projet de ré-
ponse britannique (Observer). — Les
^rmanophiles de Grande-Bretagne et
avenir des relations franco-britanm-
ques (IIorning Post).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
A l* a ^CLARATION DE M. BALDWIN
p L'~ CHAMBRE DES COMMUNES. —
SE anglaise. — Sous le titre : « UNE di-
b,ri RITANNIQUE »• — Le gouvernement
tiativ nIque a pris, une fois de plus, l'ini-
tiativ e dans la question des réparations
Clararest la véritable signification des dé-
ci*l®°* ^s soigneusement pesées, faites hier
Comm dernier Ministre à la Chambre des
Unes- La mesure envisagée par le
Camp lnement n'a rien de rigoureux. Elle ne
ve-c rte et ne doit comporter une rupture
tlon 0s alliés ; elle n'implique pas une ac-
tion SéParée. Il s'agit plutôt d'une nouvelle
Htafle Pour déterminer par une action
blèmel tee le règlement définitif d'un pro-
bi~, rne sdon les conséquences se font, lourde-
Verne enhr pour l'Europe entière. Le gou-
erit — c'est ce qui résulte des décla-
ratt. on s faites hier par les ministres — a in-
formé les gouvernements francais, italien et
belgee le, gouvernements français, italien et
SabiIitU Il était prêt à assumer les respon-
e de rédiger une réponse à la note
^llerïl ^^e du 7 juin ; cette réponse sera sou-
^isçUX ^°Uvernements alliés, avec l'espoir
e entente pourra s'établir à son sujet.
gouvercroyons que l'initiative prise par le
ellt nement sera généralement et forte-
^et^F^ouvée dans le, pays. La Grande-
ce Pa?e n'assistera plus enfin en spectatri-
Ce Pag lV? aux événements qui apportent la
pertubation a^'0n dans l'Europe entière et qui af-
retent atlon dans l'Europe entière et qui af-
(1 profondément nos intérêts vitaux.
Sellee ence s'imposait sans doute en pré-
ee d, une situation, où tant d'éléments
î^riji x entraient en jeu. Un faux pas pou-
v^it a3aver infiniment les choses ; une dé-
clio11 graver infiniment les choses ; une dé-
SibilitélIllprUdente pouvait exclure toute pos-
%te"J?e décision définitive. Les avis sans
? lui 11 Ont pas manqué au gouvernement. :
lt¡ltiai' conseIlla.it d'un côté de prendre une
e d'une rigueur impossible ; on lui
conseillait de l'autre de recourir à une poli-
tique. de subordination complaisante, incom-
patible aVec nos intérêts comme avec les
intérêts suprêmes de l'Europe, qui aurait
abouti seulement à une apparence d'accord
sans valeur. Le gouvernement a su éviter
ces deux extrêmes ; il a eu le courage et la
sagesse de choisir le seul moyen possible
d'exercer une fois de plus l'influence britan-
nique dans le chaos, à l'écart duquel nous
nous étions tenus pendant plusieurs mois.
Le Times explique que le gouvernement britan-
nique n'a jamais songé à abandonner le paie-
ment des réparations qui lui sont dues.
La Grande-Bretagne demande aussi fer-
mement que jamais que l'Allemagne paie
es réparations jusqu'à la limite de sa capa-
cité. Notre désaccord avec la France ne
provient d'aucune hésitation sur ce point,
et le soupçon émis quelquefois en France
que nous sommes prêts, dans l'intérêt sup-
posé de notre commerce, à faire grâce à
l'Allemagne de sa dette n'est aucunement
fondé. Nous sommes intéressés au même
titre que n'importa quel autre des alliés à
recevoir des réparations, et notre grande
préoccupation est que le paiement des ré-
parations contribue au progrès économique
et à la stabilité de l'Europe.
Mais l'opinion britannique demeure convain-
cue. et c'est ce qui ressort avec une parfaite
clarté de l'exposé de M. Baldwin, que la politi-
que suivie par la Erance et la Belgique dans
la Ruhr ne mènera pas au but désiré par tous
les alliés.
Le gouvernement britannique a annoncé qu'il
allait préparer une réponse aux propositions
allemandes.
Ce n'est là qu'un commencement. L'ave-
nir prochain montrera ses résultats immé-
diats, mais le courage et l'initiative possè-
dent une force communicative. Nous espé-
rons que les nouvelles influences auxquel-
les la décision du gouvernement permet
d'entrer en jeu élargiront leur champ d'ac-
tion et amèneront une amélioration de la
situation.
Il est bon que le projet de réponse britan-
nique doive être communiqué aux Etats-Unis
et qu'un accord substantiel se soit déjà établi
avec le gouvernement italien.
Nous espérons de tout cœur que les dé-
clarations empreintes à la fois de gravité
et d'une sincère amitié du gouvernement
permettront plus facilement à nos autres
alliés, et en particulier à la France, de se
joindre à nous dans un large effort pour la
solution définitive du problème le plus acca-
blant et le plus dangereux. — (Ed.)
TIMES, 13.7.
- Le Daily Mail, loin de partager la con-
fiance du Times, doute que l'exposé réservé et
incolore de M. Baldwin ait une grande influence
sur la situation européenne.
M. Stanley Baldwin a à peine discuté le
problème vital de la Ruhr. Il n'a pas dit
si, à son avis, nos alliés français avaient
eu raison d'entrer à Essen. Il a passé pres-
que entièrement sous silence les questions
vitales que pose la venue des Français sur
le sol allemand.
Les préoccupations auxquelles M. Baldwin a
obéi sont des plus louables, mais elles ont ins-
piré un exposé purement négatif. Ce n'est pas
la déclaration gouvernementale qui pourra re-
médier à la tension qui paralyse le commerce
britannique. Il aurait fallu inviter l'Allemagne à
cesser sa résistance passive dans la Ruhr. Or
M. Balwin n'a pas fait entendre un mot d'aver-
Íiisscment à ce sujet.
Le discours du Premier Ministre est dé-
cevant, comme l'a montré, d'ailleurs, la
froideur avec laquelle ses conclusions ont
été acueillies aux Communes par ses pro-
pres partisans. Le gouvernement n'a pas
donné d'encouragement à l'Allemagne, mais -
il n'a pas non plus aidé la France. Nous es-
pérons que le document qui va être rédigé
pour l'instruction du gouvernemeint alle-
mand sera conçu en termes plus énergiques
et plus nets que le discours effacé prononcé
hier par M. Stanley Baldwin. — (Ed.)
DAILY MAIL, 13.7.
— Le rédacteur parlementaire des Daily News
écrit que l'exposé de M. Baldwin a été acueilli
avec réserve dans les milieux politiques. C'est
peut-être auprès du parti travailliste cui! a
rencontré le plus grand succès.
Tout le monde espère que le gouverne-
ment réussira dans ses efforts pour décider
la France et la Belgique à participer à la ré-
ponse faite à la note allemande. Mais beau-
coup d'hommes politiques craignent que
cet espoir ne se réalise pas. L'attitude de
scepticisme est surtout visible chez les mi-
nistériels, les libéraux indépendants et les
libéraux nationaux. Précisément parce qu'ils
prévoient cet échec, 'beaucoup de conserva-
teurs regrettent la présence, dans la décla-
ration gouvernementale, de phrases qui sont
peut-être de nature à irriter les susceptibi-
lités de la France et à réjouir l'Allemagne.
DAILY NEWS,J3.7.
— De l'avis unanime, jeudi a été un jour
critique dans le développement de la politi-
que de la Grande-Bretagne. Quelle que soit
la portée de la déclaration de M. Baldwin,
nos relations avec la France ne pourront
plus jamais être exactement les mêmes
qu'auparavant. Elles peuvent s'améliorer,
ou elles peuvent empirer; mais dans un sens
bu dans l'autre un changement est inévi-
table. s
Quant à savoir si ce changement sera fa-
vorable ou le contraire, cela dépendra en
partie de l'habileté du gouvernement, mais
plus encore de l'appui que trouvera ce der-
nier auprès du pays et au sein du Parle-
ment. Le pays ne pourra pas aider comme
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Université de Paris Université de Paris /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Université de Paris" or dc.contributor adj "Université de Paris")De la responsabilité des ordonnateurs des finances de l'État : thèse... / par C. de Selle de Beauchamp ; Faculté de droit de l'Université de Paris /ark:/12148/bpt6k3168546.highres Les Chemins de fer américains et la Grande Guerre / Thèse pour le doctorat... par Jean Dhavernas... ; Université de Paris. Faculté de droit /ark:/12148/bpt6k1913646m.highres
- Auteurs similaires Université de Paris Université de Paris /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Université de Paris" or dc.contributor adj "Université de Paris")De la responsabilité des ordonnateurs des finances de l'État : thèse... / par C. de Selle de Beauchamp ; Faculté de droit de l'Université de Paris /ark:/12148/bpt6k3168546.highres Les Chemins de fer américains et la Grande Guerre / Thèse pour le doctorat... par Jean Dhavernas... ; Université de Paris. Faculté de droit /ark:/12148/bpt6k1913646m.highres
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k64670749/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k64670749/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k64670749/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k64670749/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k64670749
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k64670749
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k64670749/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest