Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-07-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 09 juillet 1923 09 juillet 1923
Description : 1923/07/09 (T24,N2397). 1923/07/09 (T24,N2397).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64670690
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISTÈRE
DES
4FFAIRES ÉTRANGÈRES
1
N° 2397
Lundi 9 juillet 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
JSSSE ALLEMANDE. — Les conversations
runCo-britanniques. (von Lersner dans
Chf-Uhr Abendblatt). — La condam-
j ! l[i°n pa,r le Pape des actes de sabota-
(i U' ranlifurter Zeitung, Deutsche Zei-
Ina). — Une lettre du prince Hohen-
^oilern (Rote Fahne).
- AMÉRICAINE. - La capacité de paie-
ent de l'Allemagne : l'éventualité
d.une « conférence générale » (World,
elv York Tribune).
.-\\GLUS;;:. - Les conversations fran-
Or-hritanniqUes (Times : J. A. Spender
ans Wcstmins-ter Gazette ; Daily Te-
{uralJIt, Observer, Sunday Times). —
e Comité des Forges et l'occupation
h 6 Ruhr (Observer).
(le Rtibr (Observer).
f' C- HOLLANDAISE. - Les conversations
p ailco-britanniques- (Telegraaf).
- ITALIENNE. — L'Italie et les répara-
j Ions (f'orriere' della Sera).
J. SlISSE. — La lettre du Pape au car-
't Gasparri (Berner Taub/alt).
FYUTIQUE GENERALE
t LES RÉPARATIONS
¡t\IQNVERS)A?S FRANCO-BRI-
t S. ALLEMANDE. - Sous
letill. _'u tension franco-britannique ». —
ùes l- on semble très inquiet de la portée
ces britanniques. Cela ne peut
llelll 6 personne, car sous les gouver-
^ei? s britanniques précédents ,la France
ait en Sorilrrie, après quelques oscillations,
rr¡ r" ®valoir complètement sa volonté, qui,
toujours visé au morcellement
l'\n ema§ne- Nous espérons que Baldwin
NOlls t Pas le sillage de ses devanciers.
JJie ps°mmes surpris en lisant le télégram-
pré d'hier selon lequel il serait très
de parler d'une action séparée
^tait^rrf1 vis-à-vis , de l'Allemagne. Si
'Q\1e clela le début d'une retraite diplomati-
l'a.it ne Ba:ld\in, son gouvernement ne se-
QO\lt as cle longue durée. Car il est hors de
Site qle tous les milieux anglais sont las
<$6 * hisser faire violence par la France
aVoc es phrases sonores et des cliquetis de
le-..
toC\yelllSSant Empire britannique a tant de
1 e Pression et d'atouts dans la main
f'éell"'êlr.d des Français, que s'il le voulait
toalt ment et jouait, énergiquement atout
t II 'fi ;' 1 Pourrait d'un seul coup terminer
11]ld - -
Voi r a criminelle aventure de la Ruhr.
n lersner, député au Reichstag.
ACIIT-UHR ABENDBLATT, 3.7.
PRESSE HOLLANDAISE. - Nombreux sont
actuellement en Angleterre ceux qui pensent
que M, Poincaré ajourne aussi longtemps
sa réponse, dans l'espoir que tel ou tel fait
viendra confirmer le succès de la mesure
prise par lui. Parmi eux sont les hommes
d'affaires qui constatent que l'occupation de
la Ruhr a eu un effet paralysant sur la si-
tuation internationale. Ils craignent qu'à la
poursuivre il ne s'ensuive un effondrement
total de l'Allemagne qui, à leur avis, ren-
drait impossible la solution du problème
des réparations. En réalité, lisent-ils, il
s'agit moins pour la France de se faire
payer les réparations que d'assurer sa sécu-
rité en écrasant et en réduisant à l'impuis-
sance l'Allemagne.
A quoi M. Poincaré peut répliquer avec
raison que cet écrasement ne saurait ame-
ner aucun paiement, mais qu'il désire obte-
nir ce paiement au moyen de la contrainte
exercée par tous les alliés, parce que de
cette manière seront atteints les deux buts :
réparations et sécurité. L'un et l'autre sont
inséparables, et la partie pourrait être per-
due si l'Allemagne trouvait dans la division
des alliés le moyen de recouvrer la Ruhr
sans donner de garanties de paiements.
TELEGRAAF [d'Amsterdam], 4.7., soir.
PRESSE ANGLAISE. — De Paris : Une haute
personnalité déclare qu'il est absurde de
supposer que les Français ont l'intention
de demeurer très longtemps dans la Ruhr.
On peut répondre que si, en occupant la
Ruhr, le but des Français est simplement
d'engager des pourparlers avec l'Allemagne.
M. Poincaré a pourtant provoqué une re-
grettable impression, en répétant que les
Français ne quitteraient pas la Ruhr, tant
que l'Allemagne n'aurait pas versé jusqu'au
dernier sou. J'apprends, d'autre part, que
cette déclaration était dans une large me-
sure destinée à répondre à certaines néces-
sités politiques et l'on m'a fait remarquer
que le Premier Ministre n'a jamais laissé
entendre que l'occupation impliquait néces-
sairement le maintien d'un important con-
tingent de troupes. Bien au contraire, au
cours des conversations entre Paris et Lon-
dres, on a eu soin de ne prendre aucune
décision dont la conséquence eût été de pré-
venir des modifications très importantes et
particulièrement énergiques dans le pro-
gramme des opérations de la Ruhr. Ces mo-
difications demeurent donc possibles. Les
Français préféreraient certainement que la
situation leur permît de réduire le contin-
gent de la Ruhr de 100.000 à 1.000 hommes.
C'est sur cette question que Berlin et
Londres devraient peut-être porter leur at-
tention. C'est le point que l'on retient spé-
cialement à Bruxelles. On me dit, en effet,
que le gouvernement belge désire, d'une part
mener une pression plus vigoureuse encore
sur l'Allemagne, pour hâter la capitulation,
et que d'autre part, il souhaite que les al-
liés puissent trouver un terrain d'entente.
TIMES, 7.7.
- Je ne puis trouver que notre diploma-
tie est adroitement menée à l'heure actuelle.
L'idée suggérée par quelques-uns de nos
journaux que nous aurions peut-être à faire
un arrangement séparé aecv l'Allemagne,
s'il était impossible d'en faire un de concert
avec la France, nous a valu une violente
explosion de la. part de la presse française.
Là-dessus, certains de nos journaux ont
été « informés de source autorisée » que le
gouvernement n'avait même pas songé à
faire un arrangement séparé. Or il est im-
possible de croire que notre gouvernement
n'ait pas examiné cette idée et rien n'est
plus désirable que de faire entendre aux
Français qu'il le fait et doit le faire. A ce
sujet, ce n'est pas un dementi qui est oppor-
tun, mais une certaine insistance sur l'allu-
sion. La contrariété montrée par la presse
parisienne n'est nullement un mauvais si-
gne, ni, pour nous, un mauvais compliment.
Elle nous prouve qu'après tout l'opinion
française ne veut pas d'une rupture avec
nous et ne considère pas avec indifférence
la perspective d'une action séparée. Nous
pouvons construire sur cette base, car il
est également vrai que l'opinion britanni-
que ne veut pas d'une rupture avec la. Fran-
ce et ira loin pour empêcher qu'elle se pro-
duise. Mais ce que veut l'opinion britanni-
que, c'est la reconnaissance de droits égaux
entre associés, et ia faut demander aux
Français de comprendre que le droit d'agir
séparément, qu'ils ont. revendiqué pour
eux, existe pour nous aussi.
Cela signifie non pas nécessairement que
nous exercerons ce droit, mais que la pos-
sibilité que nous le fassions est une éven-
tualité que le gouvernement français doit
prendre en considération, d'autant plus que
le temps passe et qu'on néglige notre ma-
nière d'envisager la situation. M. Poincaré
ne nous a pas demandé notre avis quand il
est entré dans la Ruhr, et il ne l'a pas at-
tendu pour répondre à la première note al-
lemande. Aujourd'hui il ne tient aucun
compte de notre opinion quand il dit que
la seconde note allemande « ne mérite pas
de réponse ». Il a le droit de faire tout cela,
s'il pense que l'intérêt de son pays le de-
mande, mais d'après ce raisonnement nous
aurions le droit, en retour, de répondre sé-
parément aux Allemands et d'adopter une
politique différente envers eux si nous ju-
geons que les intérêts de notre pays l'exi-
gent. Nous n'avons rien à gagner à l'aban-
don de nos droits : au contraire, la seule
chance d'éviter une rupture est de faire
clairement comprendre que nous avons,
nous aussi, des - intérêts et des points de
DES
4FFAIRES ÉTRANGÈRES
1
N° 2397
Lundi 9 juillet 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
JSSSE ALLEMANDE. — Les conversations
runCo-britanniques. (von Lersner dans
Chf-Uhr Abendblatt). — La condam-
j ! l[i°n pa,r le Pape des actes de sabota-
(i U' ranlifurter Zeitung, Deutsche Zei-
Ina). — Une lettre du prince Hohen-
^oilern (Rote Fahne).
- AMÉRICAINE. - La capacité de paie-
ent de l'Allemagne : l'éventualité
d.une « conférence générale » (World,
elv York Tribune).
.-\\GLUS;;:. - Les conversations fran-
Or-hritanniqUes (Times : J. A. Spender
ans Wcstmins-ter Gazette ; Daily Te-
{uralJIt, Observer, Sunday Times). —
e Comité des Forges et l'occupation
h 6 Ruhr (Observer).
(le Rtibr (Observer).
f' C- HOLLANDAISE. - Les conversations
p ailco-britanniques- (Telegraaf).
- ITALIENNE. — L'Italie et les répara-
j Ions (f'orriere' della Sera).
J. SlISSE. — La lettre du Pape au car-
't Gasparri (Berner Taub/alt).
FYUTIQUE GENERALE
t LES RÉPARATIONS
¡t\IQNVERS)A?S FRANCO-BRI-
t S. ALLEMANDE. - Sous
letill. _'u tension franco-britannique ». —
ùes l- on semble très inquiet de la portée
ces britanniques. Cela ne peut
llelll 6 personne, car sous les gouver-
^ei? s britanniques précédents ,la France
ait en Sorilrrie, après quelques oscillations,
rr¡ r" ®valoir complètement sa volonté, qui,
toujours visé au morcellement
l'\n ema§ne- Nous espérons que Baldwin
NOlls t Pas le sillage de ses devanciers.
JJie ps°mmes surpris en lisant le télégram-
pré d'hier selon lequel il serait très
de parler d'une action séparée
^tait^rrf1 vis-à-vis , de l'Allemagne. Si
'Q\1e clela le début d'une retraite diplomati-
l'a.it ne Ba:ld\in, son gouvernement ne se-
QO\lt as cle longue durée. Car il est hors de
Site qle tous les milieux anglais sont las
<$6 * hisser faire violence par la France
aVoc es phrases sonores et des cliquetis de
le-..
toC\yelllSSant Empire britannique a tant de
1 e Pression et d'atouts dans la main
f'éell"'êlr.d des Français, que s'il le voulait
toalt ment et jouait, énergiquement atout
t II 'fi ;' 1 Pourrait d'un seul coup terminer
11]ld - -
Voi r a criminelle aventure de la Ruhr.
n lersner, député au Reichstag.
ACIIT-UHR ABENDBLATT, 3.7.
PRESSE HOLLANDAISE. - Nombreux sont
actuellement en Angleterre ceux qui pensent
que M, Poincaré ajourne aussi longtemps
sa réponse, dans l'espoir que tel ou tel fait
viendra confirmer le succès de la mesure
prise par lui. Parmi eux sont les hommes
d'affaires qui constatent que l'occupation de
la Ruhr a eu un effet paralysant sur la si-
tuation internationale. Ils craignent qu'à la
poursuivre il ne s'ensuive un effondrement
total de l'Allemagne qui, à leur avis, ren-
drait impossible la solution du problème
des réparations. En réalité, lisent-ils, il
s'agit moins pour la France de se faire
payer les réparations que d'assurer sa sécu-
rité en écrasant et en réduisant à l'impuis-
sance l'Allemagne.
A quoi M. Poincaré peut répliquer avec
raison que cet écrasement ne saurait ame-
ner aucun paiement, mais qu'il désire obte-
nir ce paiement au moyen de la contrainte
exercée par tous les alliés, parce que de
cette manière seront atteints les deux buts :
réparations et sécurité. L'un et l'autre sont
inséparables, et la partie pourrait être per-
due si l'Allemagne trouvait dans la division
des alliés le moyen de recouvrer la Ruhr
sans donner de garanties de paiements.
TELEGRAAF [d'Amsterdam], 4.7., soir.
PRESSE ANGLAISE. — De Paris : Une haute
personnalité déclare qu'il est absurde de
supposer que les Français ont l'intention
de demeurer très longtemps dans la Ruhr.
On peut répondre que si, en occupant la
Ruhr, le but des Français est simplement
d'engager des pourparlers avec l'Allemagne.
M. Poincaré a pourtant provoqué une re-
grettable impression, en répétant que les
Français ne quitteraient pas la Ruhr, tant
que l'Allemagne n'aurait pas versé jusqu'au
dernier sou. J'apprends, d'autre part, que
cette déclaration était dans une large me-
sure destinée à répondre à certaines néces-
sités politiques et l'on m'a fait remarquer
que le Premier Ministre n'a jamais laissé
entendre que l'occupation impliquait néces-
sairement le maintien d'un important con-
tingent de troupes. Bien au contraire, au
cours des conversations entre Paris et Lon-
dres, on a eu soin de ne prendre aucune
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venir des modifications très importantes et
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gramme des opérations de la Ruhr. Ces mo-
difications demeurent donc possibles. Les
Français préféreraient certainement que la
situation leur permît de réduire le contin-
gent de la Ruhr de 100.000 à 1.000 hommes.
C'est sur cette question que Berlin et
Londres devraient peut-être porter leur at-
tention. C'est le point que l'on retient spé-
cialement à Bruxelles. On me dit, en effet,
que le gouvernement belge désire, d'une part
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et que d'autre part, il souhaite que les al-
liés puissent trouver un terrain d'entente.
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- Je ne puis trouver que notre diploma-
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L'idée suggérée par quelques-uns de nos
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s'il était impossible d'en faire un de concert
avec la France, nous a valu une violente
explosion de la. part de la presse française.
Là-dessus, certains de nos journaux ont
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possible de croire que notre gouvernement
n'ait pas examiné cette idée et rien n'est
plus désirable que de faire entendre aux
Français qu'il le fait et doit le faire. A ce
sujet, ce n'est pas un dementi qui est oppor-
tun, mais une certaine insistance sur l'allu-
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parisienne n'est nullement un mauvais si-
gne, ni, pour nous, un mauvais compliment.
Elle nous prouve qu'après tout l'opinion
française ne veut pas d'une rupture avec
nous et ne considère pas avec indifférence
la perspective d'une action séparée. Nous
pouvons construire sur cette base, car il
est également vrai que l'opinion britanni-
que ne veut pas d'une rupture avec la. Fran-
ce et ira loin pour empêcher qu'elle se pro-
duise. Mais ce que veut l'opinion britanni-
que, c'est la reconnaissance de droits égaux
entre associés, et ia faut demander aux
Français de comprendre que le droit d'agir
séparément, qu'ils ont. revendiqué pour
eux, existe pour nous aussi.
Cela signifie non pas nécessairement que
nous exercerons ce droit, mais que la pos-
sibilité que nous le fassions est une éven-
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prendre en considération, d'autant plus que
le temps passe et qu'on néglige notre ma-
nière d'envisager la situation. M. Poincaré
ne nous a pas demandé notre avis quand il
est entré dans la Ruhr, et il ne l'a pas at-
tendu pour répondre à la première note al-
lemande. Aujourd'hui il ne tient aucun
compte de notre opinion quand il dit que
la seconde note allemande « ne mérite pas
de réponse ». Il a le droit de faire tout cela,
s'il pense que l'intérêt de son pays le de-
mande, mais d'après ce raisonnement nous
aurions le droit, en retour, de répondre sé-
parément aux Allemands et d'adopter une
politique différente envers eux si nous ju-
geons que les intérêts de notre pays l'exi-
gent. Nous n'avons rien à gagner à l'aban-
don de nos droits : au contraire, la seule
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