Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-07-07
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 07 juillet 1923 07 juillet 1923
Description : 1923/07/07 (T24,N2396). 1923/07/07 (T24,N2396).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467068k
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
s MINISTÈRE
4PF 1 DES
Jipjj AIUES ÉTRANGÈRES
N° 2396
Samedi 7 juillet 1923
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits oaraotères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SSE. ALLEMANDE. - Les démarches du
tllnt-Siège à Berlin (Vossische Zeitung,
K ertiner Lokal-Anzeiger),
ESSE ANGLAISE. - Les conversations fran-
'°-britanniques (Westminster Gazette,
pally Express, Daily News). — La
rance et les réparations : une décla-
fation du président de la Chambre de
rnrnerce de Manchester (M anches fer
^'uardian. — L'intervention des puis-
P sances en Chine (Daily Telegraph).
EE BELGE. — L'orientation de la poli-
jj belge (Fernand Passelecq dans
;/be Belgique, Fernand Neuray dans
j Qlon Belge; Soir, Peuple, communi-
qllé de l'agence Belga dans Nation
JelcJc)
IlESSE ITALIENNE. — La France et le Vati-
tün (Carriéré éeïla Sera). — Les décla-
fations de M. Mussolini au Conseil des
unis) reS (Secolo., Tribuna).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
wientation DE LA POLITIQUE BELGE.
lL¡.Pt.uS le titre: « L'Entente à la veille de la
1¡ql\1e ■••• Eventualités redoutables pour la
lecq .Que devons-nous faire? » M. Passe-
dOllt Ule, dlans la Libre Belgique, un article
dont OICI la partie finale :
Il e t
tein s, plus que temps, de penser
î)tl Sentimentâlisme, on n'en a peut-être
quc, tr. it en faveur de certaines affinités
infructueuses ou de personnalités unique-
d S().edusantes.. Assez des manifestations
feren 1 culinaires, oratoires et con-
ïépeno]-?' res ; on n'y a que trop gaspillé des
çois Un temps précieux.
LVp!0n commune a été loyale et sincère,
VOilà est-elle exercée dans la bonne voie ?
l'é))On 1 a question, la seule question. Si la
Dtis de est non, réformons-la sans parti
q c arnour-propre! Une erreur commise
Cq /jert, de fausses directions adoptées
11 g forgent point des chaînes dont
Bien OlVe né.,t':;sn:rement rester chargées.
sellil qllon se soit engagé fort loin déjà, le
thir f"tlll est heureusement encore à fran-
f(lire '1 'si d'autre si voulaient malgré tout
faire e Pas, qu'ils le fassent seuls.
le ;aF'Arr ÉLÉMENTAIRE. — Les Belges, faut-il
PPeler, nation petite, mais distincte
et souveraine, ont un intérêt précis et li-
mité ; leur position est intermédiaire et
chargée de doubles réciprocités : ils ont peu
de fautes à commettre pour compromettre
leur avenir. Leur autonomie ne saurait être
maintenue que s'ils règlent eux-mêmes
leur politique sur l'appréciation froide et po-
sitive des réalités qui les entourent, con-
formément à leurs traditions de bon sens
et d'esprit pratique.
Or, en ce qui concerne la présente appli-
cation du traité de Versailles, un fait élé-
mentaire doit illuminer chez nous les moins
clairvoyants.
Sans le concours de l'Angleterre, le pro-
blème des réparations est radicalement in-
soluble.
Vouloir le résoudre contre elle, serait un
défi au sens commun.
L'Angleterre, au contraire, est en état de
le résoudre séparément pour elle, tandis
que la France, même avec la Belgique, en-
gagées comme elles le 'sont, seraient dans
l'impuissance d'en faire autant.
CONCLUSION. - Souhaitons, certes, que
Londres ait assez de conuescendance aux
justes besoins de ses alliés continentaux
pour leur faciliter l'adhésion à ses vues ;
souhaitons que Paris, de son côté, ait assez
de raison pour ne pas s'obstiner devant le
mur infranchissable ; souhaitons que Pa-
ris et Londres ensemble nous épargnent.
Mais si, hypothèse extrême, pareille épreuve
devait nous être réservée, la seule considé-
ration de l'inégalité essentielle de la posi-
tion internationale et du pouvoir actuel de
nos deux grands alliés, suffirait, me sem-
ble, pour nous dicter notre choix. — Fer-
nand Passelecq.
LIBRE BELGIQUE, 5.7.
— Sous le titre « Une conjuration défai-
tiste. — Une politique de vassalité. », le
directeur de la Nation Belge réplique à la
Libre Belgique :
Les adversaires de l'occupation de la
Ruhr et de l'alliance franco-belge ont enfin
trouvé un organe. Ce n'est pas le Peuple
qui, platoniquement hostile à l'occupation,
n'a pas encore osé demander formellement
le rappel de nos troupes. C'est l'ex-Patriote
(aujourd'hui Libre Belgique), auteur prin.
cipal, avant la guerre, du désarmement et
des malheurs du pays, et qui, aussi égaré,
aussi aveugle aujourd'hui qu'en 1914, ne
rougit pas de recommander une politique
identique à celle qui, par sa faute, a coûté
au pays tant de sang et tant de ruines.
D'après l'ex-Patriote, l'occupation de la
Ruhr n'a rien donné de ce qu'en avaient
espéré les gouvernements de Paris et de
Bruxelles. Elle a vidé la Ruhr sans profit
ni pour nos alliés ni pour nous. Elle a pro-
voqué la baisse de notre franc. L'Angle-
terre ne la 'I)leer(l plus longtemps. So.n
peine de se brouiller avec l'Angleterre et de
perdre la Belgique, il faut que notre gou-
vernement, au cas où la France et l'An-
gleterre ne s'accorderaient pas, abandonne
la France et se soumette à la volonté de
l'Angleterre.
.M. Jaspar disait l'autre jour à la Cham-
bre que la Belgique s'est rangée du côté
de la France parce que les intérêts fran-
çais sont identiques. S'il a changé d'avis,
qu'il le dise, et qu'il dise pourquoi. S'il
suffit que Londres fronce les sourcils pour
que la terre cesse de tourner ou pour qu'il
se croie tenu de faire bon marché des ré-
parations et des sécurités que Londres ne
se soucie pas de nous assurer, qu'il le dise
pareillement. Les Belges dignes de ce nom
sauront ce qu'il leur reste à faire.
On ne nous fera pas écrire un mot qui
puisse blesser la susceptibilité de la grande
nation à qui nous attachent tant de liens.
Mais on ne nous empêchera pas non plus
de parler aux Anglais comme supporte,
comme aime qu'on lui parle ce grand peu-
ple, dont l'estime ne va qu'aux nations fiè-
res et aux citoyens libres. L'Angleterre a-
t-elle eu tellement raison aux heures cri-
tiques de la guerre, qu'on soit tenu de
croire à son infaillibilité Le maréchal
French a-t-il aidé ou contrarié la victoire'
de la Marne ? Pour ne pas déplaire à
M. Winston Churchill, le gouvernement
belge a retardé de plusieurs jours l'éva-
cuation d'Anvers. A quel prix ? Il a fallu
le désastre du mois de mars 1918 pour que
M. Lloyd George acceptât l'unité du com-
mandement militaire, c'est-à-dire la condi-
tion essentielle du salut. Ce n'est ni un
Français, ni un Belge qui ont accusé des
Anglais d'avoir ravitaillé l'Allemagne pen-
dant toute la durée de la guerre ; c'est un
Anglais, c'est l'amiral Consett. Si l'Alle-
magne est restée libre de ruiner ses finan-
ces, de nous berner et de nous insulter,
c'est la faute à l'Angleterre. Et si l'on n"a
pas imposé à l'Allemagne, en 1921, le con-
trôle financier qui l'aurait sauvée de la
banqueroute et aurait assuré le recouvre- -
ment de notre créance, c'est parce que le
gouvernement anglais, appuyé, hélas ! par
le gouvernement belge — les affirmations
de M. Barnich n'ont jamais été démenties
— c'est parce que M. Lloyd George a refusé
d'imposer à Berlin cette légitime autant
que nécessaire tutelle.
La vérité est que l'Angleterre se trompe
sur l'Allemagne, la France, la Belgique,
sur nos intérêts, nos périls, l'avenir de l'Eu-
rope, aussi lourdement et aussi gravement
qu'elle s'est trompée, cent fois, depuis 1914.
Si elle a pris les armes en 1914, après des
hésitations qui ont fait l'étonnement de
l'univers, contre l'Allemagne, ce fut autant
pour elle que nous. Nous l'avions sau-
vée en disant non à l'Allemagne. Parce
4PF 1 DES
Jipjj AIUES ÉTRANGÈRES
N° 2396
Samedi 7 juillet 1923
Bnlletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits oaraotères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
SSE. ALLEMANDE. - Les démarches du
tllnt-Siège à Berlin (Vossische Zeitung,
K ertiner Lokal-Anzeiger),
ESSE ANGLAISE. - Les conversations fran-
'°-britanniques (Westminster Gazette,
pally Express, Daily News). — La
rance et les réparations : une décla-
fation du président de la Chambre de
rnrnerce de Manchester (M anches fer
^'uardian. — L'intervention des puis-
P sances en Chine (Daily Telegraph).
EE BELGE. — L'orientation de la poli-
jj belge (Fernand Passelecq dans
;/be Belgique, Fernand Neuray dans
j Qlon Belge; Soir, Peuple, communi-
qllé de l'agence Belga dans Nation
JelcJc)
IlESSE ITALIENNE. — La France et le Vati-
tün (Carriéré éeïla Sera). — Les décla-
fations de M. Mussolini au Conseil des
unis) reS (Secolo., Tribuna).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
wientation DE LA POLITIQUE BELGE.
lL¡.Pt.uS le titre: « L'Entente à la veille de la
1¡ql\1e ■••• Eventualités redoutables pour la
lecq .Que devons-nous faire? » M. Passe-
dOllt Ule, dlans la Libre Belgique, un article
dont OICI la partie finale :
Il e t
tein s, plus que temps, de penser
î)tl Sentimentâlisme, on n'en a peut-être
quc, tr. it en faveur de certaines affinités
infructueuses ou de personnalités unique-
d S().edusantes.. Assez des manifestations
feren 1 culinaires, oratoires et con-
ïépeno]-?' res ; on n'y a que trop gaspillé des
çois Un temps précieux.
LVp!0n commune a été loyale et sincère,
VOilà est-elle exercée dans la bonne voie ?
l'é))On 1 a question, la seule question. Si la
Dtis de est non, réformons-la sans parti
q c arnour-propre! Une erreur commise
Cq /jert, de fausses directions adoptées
11 g forgent point des chaînes dont
Bien OlVe né.,t':;sn:rement rester chargées.
sellil qllon se soit engagé fort loin déjà, le
thir f"tlll est heureusement encore à fran-
f(lire '1 'si d'autre si voulaient malgré tout
faire e Pas, qu'ils le fassent seuls.
le ;aF'Arr ÉLÉMENTAIRE. — Les Belges, faut-il
PPeler, nation petite, mais distincte
et souveraine, ont un intérêt précis et li-
mité ; leur position est intermédiaire et
chargée de doubles réciprocités : ils ont peu
de fautes à commettre pour compromettre
leur avenir. Leur autonomie ne saurait être
maintenue que s'ils règlent eux-mêmes
leur politique sur l'appréciation froide et po-
sitive des réalités qui les entourent, con-
formément à leurs traditions de bon sens
et d'esprit pratique.
Or, en ce qui concerne la présente appli-
cation du traité de Versailles, un fait élé-
mentaire doit illuminer chez nous les moins
clairvoyants.
Sans le concours de l'Angleterre, le pro-
blème des réparations est radicalement in-
soluble.
Vouloir le résoudre contre elle, serait un
défi au sens commun.
L'Angleterre, au contraire, est en état de
le résoudre séparément pour elle, tandis
que la France, même avec la Belgique, en-
gagées comme elles le 'sont, seraient dans
l'impuissance d'en faire autant.
CONCLUSION. - Souhaitons, certes, que
Londres ait assez de conuescendance aux
justes besoins de ses alliés continentaux
pour leur faciliter l'adhésion à ses vues ;
souhaitons que Paris, de son côté, ait assez
de raison pour ne pas s'obstiner devant le
mur infranchissable ; souhaitons que Pa-
ris et Londres ensemble nous épargnent.
Mais si, hypothèse extrême, pareille épreuve
devait nous être réservée, la seule considé-
ration de l'inégalité essentielle de la posi-
tion internationale et du pouvoir actuel de
nos deux grands alliés, suffirait, me sem-
ble, pour nous dicter notre choix. — Fer-
nand Passelecq.
LIBRE BELGIQUE, 5.7.
— Sous le titre « Une conjuration défai-
tiste. — Une politique de vassalité. », le
directeur de la Nation Belge réplique à la
Libre Belgique :
Les adversaires de l'occupation de la
Ruhr et de l'alliance franco-belge ont enfin
trouvé un organe. Ce n'est pas le Peuple
qui, platoniquement hostile à l'occupation,
n'a pas encore osé demander formellement
le rappel de nos troupes. C'est l'ex-Patriote
(aujourd'hui Libre Belgique), auteur prin.
cipal, avant la guerre, du désarmement et
des malheurs du pays, et qui, aussi égaré,
aussi aveugle aujourd'hui qu'en 1914, ne
rougit pas de recommander une politique
identique à celle qui, par sa faute, a coûté
au pays tant de sang et tant de ruines.
D'après l'ex-Patriote, l'occupation de la
Ruhr n'a rien donné de ce qu'en avaient
espéré les gouvernements de Paris et de
Bruxelles. Elle a vidé la Ruhr sans profit
ni pour nos alliés ni pour nous. Elle a pro-
voqué la baisse de notre franc. L'Angle-
terre ne la 'I)leer(l plus longtemps. So.n
peine de se brouiller avec l'Angleterre et de
perdre la Belgique, il faut que notre gou-
vernement, au cas où la France et l'An-
gleterre ne s'accorderaient pas, abandonne
la France et se soumette à la volonté de
l'Angleterre.
.M. Jaspar disait l'autre jour à la Cham-
bre que la Belgique s'est rangée du côté
de la France parce que les intérêts fran-
çais sont identiques. S'il a changé d'avis,
qu'il le dise, et qu'il dise pourquoi. S'il
suffit que Londres fronce les sourcils pour
que la terre cesse de tourner ou pour qu'il
se croie tenu de faire bon marché des ré-
parations et des sécurités que Londres ne
se soucie pas de nous assurer, qu'il le dise
pareillement. Les Belges dignes de ce nom
sauront ce qu'il leur reste à faire.
On ne nous fera pas écrire un mot qui
puisse blesser la susceptibilité de la grande
nation à qui nous attachent tant de liens.
Mais on ne nous empêchera pas non plus
de parler aux Anglais comme supporte,
comme aime qu'on lui parle ce grand peu-
ple, dont l'estime ne va qu'aux nations fiè-
res et aux citoyens libres. L'Angleterre a-
t-elle eu tellement raison aux heures cri-
tiques de la guerre, qu'on soit tenu de
croire à son infaillibilité Le maréchal
French a-t-il aidé ou contrarié la victoire'
de la Marne ? Pour ne pas déplaire à
M. Winston Churchill, le gouvernement
belge a retardé de plusieurs jours l'éva-
cuation d'Anvers. A quel prix ? Il a fallu
le désastre du mois de mars 1918 pour que
M. Lloyd George acceptât l'unité du com-
mandement militaire, c'est-à-dire la condi-
tion essentielle du salut. Ce n'est ni un
Français, ni un Belge qui ont accusé des
Anglais d'avoir ravitaillé l'Allemagne pen-
dant toute la durée de la guerre ; c'est un
Anglais, c'est l'amiral Consett. Si l'Alle-
magne est restée libre de ruiner ses finan-
ces, de nous berner et de nous insulter,
c'est la faute à l'Angleterre. Et si l'on n"a
pas imposé à l'Allemagne, en 1921, le con-
trôle financier qui l'aurait sauvée de la
banqueroute et aurait assuré le recouvre- -
ment de notre créance, c'est parce que le
gouvernement anglais, appuyé, hélas ! par
le gouvernement belge — les affirmations
de M. Barnich n'ont jamais été démenties
— c'est parce que M. Lloyd George a refusé
d'imposer à Berlin cette légitime autant
que nécessaire tutelle.
La vérité est que l'Angleterre se trompe
sur l'Allemagne, la France, la Belgique,
sur nos intérêts, nos périls, l'avenir de l'Eu-
rope, aussi lourdement et aussi gravement
qu'elle s'est trompée, cent fois, depuis 1914.
Si elle a pris les armes en 1914, après des
hésitations qui ont fait l'étonnement de
l'univers, contre l'Allemagne, ce fut autant
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