Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-07-06
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 06 juillet 1923 06 juillet 1923
Description : 1923/07/06 (T24,N2395). 1923/07/06 (T24,N2395).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64670675
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
,..
N MINISTÈRE
, DES
1 ÉTRANGÈRES
;
N° 2395
Vendredi 6 juillet 1923
Bulletin Quotidien de Prèsse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
~Eg~~p- ALLEMANDE. - La politique financiè-
e de la République allemande (Hilfe).
E SE; ANGLAISE. - Les conversations fran-
CG-britanniques (Daily Chronicle, Ti-
es, Daily News, Daily Telegraph ; H.
D' Spender dans Westminster Gazette ;
Ft aHy Herald). - La situation dans la
uhr (Léonard Spray dans Daily Chro-
nicle).
PnEs 'a
SE; ESPAGNOLE. - La lettré du Pape au
tnal Gasparri (Heraldo de Madrid).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
- tts C°NVERSATIONS FRANCO-BRITANNI-
Qtlfcs - PRESSE ANGLAtSE. - La presse londo-
rrv du 5 juillet commente avec beaucoup de
^rve ~s~~a-t des entretiens diplomatiques
i a iuiif résultat des entretiens diplomatiques
j La Morning Post se borne à signa-
que Ilord Curzon a rendu compte à ses
Mes de l'Etat des conversations; de nou-
^err^^isions vont être demandées au gou-
-. L en franÇais-
(g ^acteur parlementaire du Daily Ex-
w bJ r t arinonce de même que le gouverne-
d fo a demandé des. explications
fo~ ~s et plus précises sur la politique
h fr ariCe ! il recueille l'impression, dans les
Jteujj Ministériels, que les négociations ont
UT ure nouvelle et plus favorable ».
Sans demander formellement à la France de re-
f..
¡,û,lellt , la Politique de la Ruhr, les alliés pour-
i. ner d'autres méthodes, touchant
P'hs'Srnent des obligations de l'Allema-
rédacteur diplomatique de la Daily
Ctlte de Cf Olt que la possibilité d'une réponse
J e (X)taOOlque subsiste encore !
Je constate que te secret le plus complet
\1 t urs observé au sujet de l'entretien
i1'd Ni Saint-Aulaire eut lundi avec
Cri r^°ri : « Sur la Rulhr et les répara-
it 1) Toutes sortes de bruits circulent en
^/; ils prêtent également à la
tr¡I)l t llntention de ne céder pour le mo-
le Out au moins sur aucun point.
to au woins sur aucun point.
U p Parisien dit qu'il y a des raisons
nrDqr:er que le gouvernement français a
&ü\1\1l'n la. réponse écrite désirée - par - le
qu'1J.lle ent britannique. J'apprends
lit, (3 M ^Ponse écrite, de tendances raison-
ferait beaucoup pour éclaircir l'at-
■ri.
mosphère dans les milieux diplomatiques.
Bien qu'on ne sache pas encore quand aura
lieu la prochaine visite de l'ambassadeur de
France à lord Curzon, on suppose que ce
sera à la fin de la semaine.
DAILY CHRONICLE, 5.7.
- Sous le titre : « MALENTENDUS », le Times fait
un très cordial appel à la modération et à l'es-
prit de sympathie.
* Le gouvernement a la sagesse d'obser-
ver une attitude de réserve quant aux con-
versations qui se poursuivent actuellement
avec la France. On n'est pas arrivé à s'en-
tendre jusqu'ici ; mais les conversations
doivent se prolonger et sans que soit la
possibilité, soit l'impossibilité d'arriver à
un accord n'aura pas été définitivement
démontrée, il n'est guère possible ni utile
de faire une déclaration publique. Le dan-
ger des déclarations mal conçues ou pré-
maturées a été mis tout spécialement en
évidence ces jours derniers. Certaines in-
formations publiées par la presse britan-
nique au sujet de plans ou tendances de
l'opinion ont causé un énervement intense
à Paris. Un certain nombre de journaux
français ont pris ces dires pour l'expression
des vues du gouvernement britannique, et
les ont commentés sur un ton que seule la
perspective d'une rupture finale, non seule-
ment de l'Entente, mais de toutes négocia-
tions, même les plus froides et les plus offi-
cielles, entre ce pays et la France, aurait
pu justifier. Ce regrettable malentendu se
produisant au moment précis où les conver-
sations entre les gouvernements des deux
pays étaient sur le point d'entrer dans la
phase la plus difficile et la plus délicate, a
eu pour effet d'obscurcir le but à atteindre
et d'embarrasser les négociateurs dans l'ac-
complissement de leur tâche ardue. La si-
tuation de chacun des pays d'Europe étant
mauvaise, c'est là une raison de plus pour
s'abstenir d'ajouter aux difficultés existan-
tes en créant de nouveaux sujets de dis-
corde. Ce n'est pas en accentuant les diver-
gences et les dissentiments, mais en cher-
chant à amener l'entente partout et en y
aidant de son mieux, tant que l'entente
reste possible, qu'on arrivera à améliorer
les choses. Il nous semble que le gouverne-
ment britannique, du fait qu'il se tient quel-
que peu en dehors du conflit, se trouve
dans une situation exceptionnement favo-
rable pour découvrir et montrer la base
d'un arrangement pratique. Sa réserve pru-
dente à l'heure actuelle est, pour cette rai-
son, compréhensible et recommandable et
l'énervement provoqué dans la presse fran-
çaise par les déclarations récentes de cer-
tains organes britanniques nous semble dû
à une certaine ignorance de la nature
des rapports qui existent dans ce pays
entre le gouvernement et la presse.
Le Times ne prétend recevoir aucune ins-
piration. Nous exprimons en toute indépen-
dance et de notre mieux notre point de vue
personnel quant à la politique que nous re-
gardons comme la plus propre à servir les
intérêts britanniques et ceux de la paix du
monde à un moment donné. Dans le désar-
roi actuel de l'Europe, il est impossible de
tracer une politique britannique à bien lon-
gue portée. Mais nos intérêts nationaux
sont clairs. La renaissance du commerce
est une nécessité absolue pour la L-nuuîe-
Bretagne, et dans quelque mesure qua r;: us
puissions, avec de la prévoyance >it urm
soigneuse adaptation, changer la direction
de notre commerce, il est impossible à --e
pays de recouvrer une prospérité appro-
chant de la prospérité complète tant que la
valeur de l'étalon du change varie conti-
nuellement dans les principaux pays d'Eu-
rope. Le commerce ne peut pas devenir
florissant dans une atmosphère d'expérien-
ces immodérées et de hative adaptation, et
les turbulentes aventures de l'Europe —
l'effondrement de la Russie, le rapide déclin
de l'Allemagne, et l'effort incertain de la
France - influent, directement ou indirecte-
ment sur le monde entier avec lequel nous
traitons ou avec des relations.
L'impatience grandissante de la Grande-
Bretagne n'est pas due autant à une per-
ception nette des raisons de la grande com-
plication de la situation européenne qu'à
l'oppression causée par l'incertitude et au
désir que quelqu'un enfin fasse preuve de
bon sens et fasse rentrer les choses dans
l'ordre. Bien entendu, nous souhaitons que
notre gouvernement agisse nettement et
fortement dans l'intérêt de la nation. Ce
serait, en vérité, un soulagement pour
beaucoup si nous pouvions nous retirer
complètement de l'agitation européenne et
nous réfugier dans une politique de splen-
dide isolement. Mais l'Empire britannique,
dans la bonne comme la mauvaise fortune,
est intimement lié à l'Europe. Ses difficul-
tés sont les nôtres et il nous faut partager
ses fardeaux et ses dangers. La situation de
la Grande-Bretagne, en tant que pays sé-
paré et pourtant relié plus intimement que
jamais au continent européen est, à la fois
embarrassante et pleine de responsabilités.
Nous ne pouvons avancer qu'avec grande
précaution, en tâtonnant et en nous tenant
ferme à nos anciennes associations avec
l'espoir qu'elles pourront s'étendre dans l'in-
térêt de la paix, en ne les rompant pas
sans réflexion, en ne nous plongeant pas
à la légère dans des combinaisons hypo-
thétiques, à moins d'être assurés que cel-
les-ci n'entraîneront pas un conflit plus
sombre encore et plus amer.
N MINISTÈRE
, DES
1 ÉTRANGÈRES
;
N° 2395
Vendredi 6 juillet 1923
Bulletin Quotidien de Prèsse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
~Eg~~p- ALLEMANDE. - La politique financiè-
e de la République allemande (Hilfe).
E SE; ANGLAISE. - Les conversations fran-
CG-britanniques (Daily Chronicle, Ti-
es, Daily News, Daily Telegraph ; H.
D' Spender dans Westminster Gazette ;
Ft aHy Herald). - La situation dans la
uhr (Léonard Spray dans Daily Chro-
nicle).
PnEs 'a
SE; ESPAGNOLE. - La lettré du Pape au
tnal Gasparri (Heraldo de Madrid).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
- tts C°NVERSATIONS FRANCO-BRITANNI-
Qtlfcs - PRESSE ANGLAtSE. - La presse londo-
rrv du 5 juillet commente avec beaucoup de
^rve ~s~~a-t des entretiens diplomatiques
i a iuiif résultat des entretiens diplomatiques
j La Morning Post se borne à signa-
que Ilord Curzon a rendu compte à ses
Mes de l'Etat des conversations; de nou-
^err^^isions vont être demandées au gou-
-. L en franÇais-
(g ^acteur parlementaire du Daily Ex-
w bJ r t arinonce de même que le gouverne-
d fo a demandé des. explications
fo~ ~s et plus précises sur la politique
h fr ariCe ! il recueille l'impression, dans les
Jteujj Ministériels, que les négociations ont
UT ure nouvelle et plus favorable ».
Sans demander formellement à la France de re-
f..
¡,û,lellt , la Politique de la Ruhr, les alliés pour-
i. ner d'autres méthodes, touchant
P'hs'Srnent des obligations de l'Allema-
rédacteur diplomatique de la Daily
Ctlte de Cf Olt que la possibilité d'une réponse
Je constate que te secret le plus complet
\1 t urs observé au sujet de l'entretien
i1'd Ni Saint-Aulaire eut lundi avec
Cri r^°ri : « Sur la Rulhr et les répara-
it 1) Toutes sortes de bruits circulent en
^/; ils prêtent également à la
tr¡I)l t llntention de ne céder pour le mo-
le Out au moins sur aucun point.
to au woins sur aucun point.
U p Parisien dit qu'il y a des raisons
nrDqr:er que le gouvernement français a
&ü\1\1l'n la. réponse écrite désirée - par - le
qu'1J.lle ent britannique. J'apprends
lit, (3 M ^Ponse écrite, de tendances raison-
ferait beaucoup pour éclaircir l'at-
■ri.
mosphère dans les milieux diplomatiques.
Bien qu'on ne sache pas encore quand aura
lieu la prochaine visite de l'ambassadeur de
France à lord Curzon, on suppose que ce
sera à la fin de la semaine.
DAILY CHRONICLE, 5.7.
- Sous le titre : « MALENTENDUS », le Times fait
un très cordial appel à la modération et à l'es-
prit de sympathie.
* Le gouvernement a la sagesse d'obser-
ver une attitude de réserve quant aux con-
versations qui se poursuivent actuellement
avec la France. On n'est pas arrivé à s'en-
tendre jusqu'ici ; mais les conversations
doivent se prolonger et sans que soit la
possibilité, soit l'impossibilité d'arriver à
un accord n'aura pas été définitivement
démontrée, il n'est guère possible ni utile
de faire une déclaration publique. Le dan-
ger des déclarations mal conçues ou pré-
maturées a été mis tout spécialement en
évidence ces jours derniers. Certaines in-
formations publiées par la presse britan-
nique au sujet de plans ou tendances de
l'opinion ont causé un énervement intense
à Paris. Un certain nombre de journaux
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des vues du gouvernement britannique, et
les ont commentés sur un ton que seule la
perspective d'une rupture finale, non seule-
ment de l'Entente, mais de toutes négocia-
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cielles, entre ce pays et la France, aurait
pu justifier. Ce regrettable malentendu se
produisant au moment précis où les conver-
sations entre les gouvernements des deux
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phase la plus difficile et la plus délicate, a
eu pour effet d'obscurcir le but à atteindre
et d'embarrasser les négociateurs dans l'ac-
complissement de leur tâche ardue. La si-
tuation de chacun des pays d'Europe étant
mauvaise, c'est là une raison de plus pour
s'abstenir d'ajouter aux difficultés existan-
tes en créant de nouveaux sujets de dis-
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gences et les dissentiments, mais en cher-
chant à amener l'entente partout et en y
aidant de son mieux, tant que l'entente
reste possible, qu'on arrivera à améliorer
les choses. Il nous semble que le gouverne-
ment britannique, du fait qu'il se tient quel-
que peu en dehors du conflit, se trouve
dans une situation exceptionnement favo-
rable pour découvrir et montrer la base
d'un arrangement pratique. Sa réserve pru-
dente à l'heure actuelle est, pour cette rai-
son, compréhensible et recommandable et
l'énervement provoqué dans la presse fran-
çaise par les déclarations récentes de cer-
tains organes britanniques nous semble dû
à une certaine ignorance de la nature
des rapports qui existent dans ce pays
entre le gouvernement et la presse.
Le Times ne prétend recevoir aucune ins-
piration. Nous exprimons en toute indépen-
dance et de notre mieux notre point de vue
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gardons comme la plus propre à servir les
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monde à un moment donné. Dans le désar-
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tracer une politique britannique à bien lon-
gue portée. Mais nos intérêts nationaux
sont clairs. La renaissance du commerce
est une nécessité absolue pour la L-nuuîe-
Bretagne, et dans quelque mesure qua r;: us
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nuellement dans les principaux pays d'Eu-
rope. Le commerce ne peut pas devenir
florissant dans une atmosphère d'expérien-
ces immodérées et de hative adaptation, et
les turbulentes aventures de l'Europe —
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de l'Allemagne, et l'effort incertain de la
France - influent, directement ou indirecte-
ment sur le monde entier avec lequel nous
traitons ou avec des relations.
L'impatience grandissante de la Grande-
Bretagne n'est pas due autant à une per-
ception nette des raisons de la grande com-
plication de la situation européenne qu'à
l'oppression causée par l'incertitude et au
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bon sens et fasse rentrer les choses dans
l'ordre. Bien entendu, nous souhaitons que
notre gouvernement agisse nettement et
fortement dans l'intérêt de la nation. Ce
serait, en vérité, un soulagement pour
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complètement de l'agitation européenne et
nous réfugier dans une politique de splen-
dide isolement. Mais l'Empire britannique,
dans la bonne comme la mauvaise fortune,
est intimement lié à l'Europe. Ses difficul-
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ses fardeaux et ses dangers. La situation de
la Grande-Bretagne, en tant que pays sé-
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jamais au continent européen est, à la fois
embarrassante et pleine de responsabilités.
Nous ne pouvons avancer qu'avec grande
précaution, en tâtonnant et en nous tenant
ferme à nos anciennes associations avec
l'espoir qu'elles pourront s'étendre dans l'in-
térêt de la paix, en ne les rompant pas
sans réflexion, en ne nous plongeant pas
à la légère dans des combinaisons hypo-
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