Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-07-05
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 05 juillet 1923 05 juillet 1923
Description : 1923/07/05 (T24,N2394). 1923/07/05 (T24,N2394).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467066r
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISTÈRE
lp DES
ipp*A 1HES ÉTRANGÈRES
1
N° 2394
Jeudi 5 juillet 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMIMAIRE
p s
K au.k.mande. — La lettre du Pape au
{'¡Wdinnl Ciuspani : le discours de
* ; Poincaré au Sénat, le 29 juin (Th.
°"f dans Merlin c-r Tagcblatl ; Goorg
(f)lhein dans ,lcht-Uhr-.llJcnllblaU).
1\[,:s1' , J l'] l, 1
'^xi- a. -Mkhic.ainf.. - « La diplomatie des
('l>;irafions » (J. Maynard Koynes dans
-I'teplil)lic).
*V' R ant.i.aisk. — Le,s convoi salions fran-
Cqhrjlallnique.s (VaU!! Tclegralph, Ti-
!^s^ Déclarations de M. SI resema nn
(lilu KCWS).
rCiUï!innl Gasparri : le discours de
.\1 P' t ')9'
(: Poincaré au Sénat, le 29 juin
(Vc «).
POLITIQUE GENEKALE
LES RÉPARATIONS
QUES CONVERSATIONS FRANCO-BIRITANNI~
T i,e rédacteur diplomatique du b
I;::ll¡ il ]Ol-d f:lII'Z()tl pal' k,,, ambassadcurs de
u|i«- |V
¡le complote au mémorandum britan-
Le marquis de Curzon, qui avait, conféré
i[¡ill j.' 111 avec le Premier Ministre, a reçu
ii¡Ir:1 ctpr lS-ml'd 1 au Foreign Office l'ambas-
¡\l!I( tic- Belgique" puis l'ambassadeur de
France. Il est permis de douter que ces en-
permis de douter que ces en-
(dont 011 disait hier dans les mi-
1:"11\- )"Itallniqiles (Iit'i-is que « des
^u"°ns et rien de plus ») aient avan-
('i\ (|f> a';0n appréciable, la situation, dans
'"ripj 'fS(; franco-britannique. TAimbassa-
iM'fmce n'a pas remis de réponse
I110,niorandum de lord CUJ'Zon;il n'a
l¡¡ile l Pts laissé entre les mains du secré-
^ii-0 * Affaires étrangères l'aide-mémoire
attendu IJ la fin de l'entretien. La. conversa-
tiorj p.-' u la fin de l'entretien. La conversa-
'(1' 'uff e^e"même était- loin de représen-
te Eponge orale complète ou défini-
f:ll¡y, P eXIl'
1 ( explique-t-on en son nom, n'estime
Pfislle la situation actuelle justifie une
trJIIIPfs: ecrite ou complète : il se pourrait
toutefois,si L el insistait sur ce point,
qu'il rj|f, 's' Londres insistait sur ce point,
su: .Cl. flùt de lui donner satisfaction à
fl(Jl¡r j - Par courtoisie; mais il doute fort,
ce sujet, par courtoisie de l'opportunité de cette ré-
POllse,Su Part, de l'opportunité de cette ré-
A l'issue de sa conversation avec le comte
de Saint-Aulaire, lord Curzon, évidemment
déçu par le caractère imprécis des « expli-
cations verbales » qui lui étaient apportées,
pria l'ambassadeur de demander à son gou-
vernement. des renseignementts supplémen-
taires et des précisions sur différents
points. Cette requête ne déplaira peut-être
pas à nos alliés qui envisagent sans dé-
faveur des conversations fréquentes et pro-
longées. A leur avis, les entretiens d'hier,
loir, de constituer un événement isolé et dé-
cisif, représentent seulement une phase
des conversations diplomatiques qui se pour-
suivent entre lord Curzon et le comte de
Saint-Aulaire d'une part, M. Poincaré et
le marquis de Crewe de l'autre depuis une
quinzaine et continueront nécessairement
pondant une période indéterminée, mais
peut-être considérable.
On affirme même qu'une bonne part des
questions de lord Curzon ont reçu déjà ré-
ponse au cours des conversations antérieu-
res. Ce n'est pas l'opinion des ministres
britanniques, puisque M. Baldwin déclarait
récemment aux Communes qu'il verrait
avec saveur la remise d'une réponse. Visi-
blement, on ne se fait pas la même idée de
ce que doit être cette réponse du côté britan-
nique et du côté français. Il est vrai que
l'ambassadeur de France a expliqué déjà
à lord Curzon que le gouvernement fran-
çais entendait par la cessation de la résis-
tance passive, l'abrogation par le gouverne-
ment allemand de toutes les ordonnances
qui ont trait, directement ou non, à ce su-
jet, et la coopération locale des Allemands
avec les autorités d'occupation. Il est éga-
lement, vrai, je crois, que M. Poincaré a
signalé a lord Crewe que ce memorandum
français de janvier représentait son der-
nier mot et le minimum irréductible de la
France, tant pour les bons A et B que pour
la réduction de la part française de bons
C en proportion de la remise de ses dettes
envers la Grande-Bretagne ci l'Amérique
L'ambassadeur de France était hier en pos-
session de quelques chiffres nouveaux tou-
chant les réparations et les dettes de guer-
re; on a pu voir, d'autre par!, que les idées
de M. Poincaré sur la demande allemande
de moratoire et sur ses conditions n'avaient
pour ainsi dire pas variées depuis janvier.
J'apprends que lord Curzon, au cours de
sa conversation d'hier avec le comte de
Saint-Aularie, était surtout et naturellement
préoccupé d'obtenir une réponse à ses ques-
tions touchant, l'évacuation progressive de
la Ruhr et les modifications suggérées dans
ce cas par M. Poincaré en vue du régime
d'occupation. Le gouvernement britannique
attendait et désirait avoir à ce titre des
données précises quant aux suites, immé-
diates et lointaines, de la cessation de la
résistance passive de l'Allemagne et d'un
règlement éventuel : retour à l'occupation,
militaire invisible, dates et zones d'évacua-
tion, régime civil et économique destiné à
remplacer l'administration militaire actuel-
le, abandon, de l'exploitation directe des
gages productifs.
On a recueilli l'impression que si les ins-
tructions de M. Poincaré permettaient à
l'ambassadeur d'engager une discussion sur
les principes qui pourraient régir l'occupa-
tion future, elles ne le mettaient pas en état
de définir l'application détaillée de ces prin.
cipes. L'attitude de l'Allemagne - gouver-
nement et population — doit régler l'évolu-
tion administrative, et l'occupation sera in-
tensifiée ou relâchée en conséquence.
Dans ces conditions, il est impossible
d'indiquer à l'heure actuelle combien de
temps s'écoulera avant que les troupes fran-
çaises évacuent telle ou telle portion de
territoire, bien que le maréchal Foch ait
préparé pourtant un plan d'évacuation en
trois phases. Une autre principe proclamé
ou plutôt, répété du côté français a été que
l'occupation de la Ruhr ne cesserait que
lorsque a France aurait reçu paiement
intégral de son dû. C'est cette rédaction et
aussi l'imprécision de l'exposé français sur
d'autres points qui firent dire sans doute à
lord Curzon qu'il semblait que la France,
en affirmant, qu'elle ne quitterait pas la
Ruhr sans avoir été payée entièrement.
n'évacuerait jamais ces territoires, puisque
aussi bien du point de vue britannique, sa
présence affectait défavorablement la capa-
cité de l'Allemagne.
Les ambassadeurs français et belge n'ont
fait aucune proposition en faveur d'une con-
férence interalliée ou d'une entrevue des
Premiers Ministres alliés.
Analysant ensuite les déclarations faites par
le baron Moncheur sur la cessation de la résis-
tance passive et les modifications vvcnhiolles du
régime d'occupation, le collaborateur diploma-
tique du Daily Telej cordent entièrement avec l'exposé de l'ambassa-
deur de France. - Du rédacteur diplomatique.'
DAILY TELEGRAPII. 1. 7.
--- Le Times. signale également l'identité des
points de vue français et belge.
Touchant la résistance passive dans la
Ruhr, l'opinion du gouvernement belge
s'accorde avec celle du gouvernement fran-
çais. Puisque M. Poincaié a fait connaître
que. la France n'engagerait pas de conver*
sation avec l'Allemagne, aussi longtemps
que durerait la résistance passive, on peut
conclure que la Belgique adopte la même
attitude.
Le questionnaire britannique avait de-
mandé une définition de la résistance pas-
sive. Sans doute des explications auront
lp DES
ipp*A 1HES ÉTRANGÈRES
1
N° 2394
Jeudi 5 juillet 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMIMAIRE
p s
K au.k.mande. — La lettre du Pape au
{'¡Wdinnl Ciuspani : le discours de
* ; Poincaré au Sénat, le 29 juin (Th.
°"f dans Merlin c-r Tagcblatl ; Goorg
(f)lhein dans ,lcht-Uhr-.llJcnllblaU).
1\[,:s1' , J l'] l, 1
'^xi- a. -Mkhic.ainf.. - « La diplomatie des
('l>;irafions » (J. Maynard Koynes dans
-I'teplil)lic).
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Cqhrjlallnique.s (VaU!! Tclegralph, Ti-
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(lilu KCWS).
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.\1 P' t ')9'
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(Vc «).
POLITIQUE GENEKALE
LES RÉPARATIONS
QUES CONVERSATIONS FRANCO-BIRITANNI~
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u|i«- |V
¡le complote au mémorandum britan-
Le marquis de Curzon, qui avait, conféré
i[¡ill j.' 111 avec le Premier Ministre, a reçu
ii¡Ir:1 ctpr lS-ml'd 1 au Foreign Office l'ambas-
¡\l!I( tic- Belgique" puis l'ambassadeur de
France. Il est permis de douter que ces en-
permis de douter que ces en-
(dont 011 disait hier dans les mi-
1:"11\- )"Itallniqiles (Iit'i-is que « des
^u"°ns et rien de plus ») aient avan-
('i\ (|f> a';0n appréciable, la situation, dans
'"ripj 'fS(; franco-britannique. TAimbassa-
iM'fmce n'a pas remis de réponse
I110,niorandum de lord CUJ'Zon;il n'a
l¡¡ile l Pts laissé entre les mains du secré-
^ii-0 * Affaires étrangères l'aide-mémoire
attendu IJ la fin de l'entretien. La. conversa-
tiorj p.-' u la fin de l'entretien. La conversa-
'(1' 'uff e^e"même était- loin de représen-
te Eponge orale complète ou défini-
f:ll¡y,
1 ( explique-t-on en son nom, n'estime
Pfislle la situation actuelle justifie une
trJIIIPfs: ecrite ou complète : il se pourrait
toutefois,si L el insistait sur ce point,
qu'il rj|f, 's' Londres insistait sur ce point,
su: .Cl. flùt de lui donner satisfaction à
fl(Jl¡r j - Par courtoisie; mais il doute fort,
ce sujet, par courtoisie de l'opportunité de cette ré-
POllse,Su Part, de l'opportunité de cette ré-
A l'issue de sa conversation avec le comte
de Saint-Aulaire, lord Curzon, évidemment
déçu par le caractère imprécis des « expli-
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pria l'ambassadeur de demander à son gou-
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pas à nos alliés qui envisagent sans dé-
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loir, de constituer un événement isolé et dé-
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des conversations diplomatiques qui se pour-
suivent entre lord Curzon et le comte de
Saint-Aulaire d'une part, M. Poincaré et
le marquis de Crewe de l'autre depuis une
quinzaine et continueront nécessairement
pondant une période indéterminée, mais
peut-être considérable.
On affirme même qu'une bonne part des
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britanniques, puisque M. Baldwin déclarait
récemment aux Communes qu'il verrait
avec saveur la remise d'une réponse. Visi-
blement, on ne se fait pas la même idée de
ce que doit être cette réponse du côté britan-
nique et du côté français. Il est vrai que
l'ambassadeur de France a expliqué déjà
à lord Curzon que le gouvernement fran-
çais entendait par la cessation de la résis-
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lement, vrai, je crois, que M. Poincaré a
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L'ambassadeur de France était hier en pos-
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J'apprends que lord Curzon, au cours de
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l'ambassadeur d'engager une discussion sur
les principes qui pourraient régir l'occupa-
tion future, elles ne le mettaient pas en état
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ou plutôt, répété du côté français a été que
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régime d'occupation, le collaborateur diploma-
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