Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-07-03
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 03 juillet 1923 03 juillet 1923
Description : 1923/07/03 (T24,N2392). 1923/07/03 (T24,N2392).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467064x
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
Ministère
Diss
'PAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2392
Mardi 3 juillet 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque. 1
SOMMAIRE
-
^'Es s;
'r.\J.LEM\\DE. - La lettre d l Pape au
-Ruinai Gasparri (Kreuz-Zeiicng, leit,
^J,,nania, Morgenpost, Berliner Volks-
Ung, Berliner Bôrsen Zeitung, Vor-
v'cr^ner B or s en-Courier). — Le
'(JYage en Amérique du cardinal Faul-
p 1 (Bayerischer Kurier).
, ANglaIse- — Les conversa ri-ris frsn-
J-)I'itanniques (Times, Daily Express,
u| V Mail). - La situation dans la
'hr (George Renwick dans Daily Chro-
p~ e ; Times)-
si E AUTRICHIENNE. — La résistance pas-
"ile (Neue Freie Presse). — La lettre du
? au cardinal Gasparri (Nettes Wïe-
Pc au cardinal Gasparri (Ne~c~ W~e-
K, Ta9blalt).
PRESSE ESPAGNOLE. — L'Espagne et Tanger
(Epoca). gne et Tan.ger
liEs:>;
r tr i ITALIENNE. - La lettre du Pape au
f] :l'dinal Gasparri (Francesco Coppola
K; ide (i Na:;io,tiale, Messaggero).
'E SUISSE. - La lettre du Pape au car-
la a Gasparri (National Zeitung, Vater-
^• rner TagblaU).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
lts
QtJts CONVERSATIONS FRANCO-BRITANNI-
:lt'L\¡(I1- SE ANGLAISE. — Le correspondant
:t'I(II,"lis dit Tmes croit' que le' gouvernement
t! l;l r et. aisr)lOS'('; a faire connaître ses vues
h'u fuis SUt' 10 règlement des réparations et le
e des dettes interalliées.
80 les arrivés à la phase la plus
l" i)rte es relations franco-britanniques, et
s,)r( ae l'a.itié des deux pays dépendra
NUlr? des événements de cette semaine.
IIC,L lt inutile et dangereux de présager
tlp lu' ourrù être l'attitude de la France et
tf" |u pran(le-Bretagne dans telle ou telle
'"!tiv |lv^°^se- Espérons une solution heu-
le" orer les périls de l'heure. Si la
l'r¡i!i¡l!'- pretend qu'elle ne peut pas sans hu-
miliation modifier radicalement son attitude;
^'li.-itir édifier radicalement son attitude;
-e que ce serait là à son avis un
l\'c'rs défaite. La France s'est engagée sur
I i eu re libre. Après l'attentat du train
rJ)II' ]lIShourg, il est plus difficile encore
',"xQta France de renoncer à demander la
IVf' IOn une soi-disant résistance pas-
si vo, qt ni Se terminerait assurément par un
}, '1 l'e
il SI elle devait se prolonger. Les
.éUS Suggèrent que la Grande-Bretagne
pourrait, sans s'associer à l'opération de la
Ruhr, signifier qu'il est désirable que Berlin
cesse d'encourager les saboteurs allemands
de la Ruhr.
Il faut espérer que les conversations
franco-britanniques se poursuivront autant
que possible dans le silence discret des chan-
celleries.
TIMES, 2.7.
— De Paris, 1er juillet : L'entrevue tant
attendue de lord Curzon et du comte de
Saint-Aulaire doit avoir lieu demain au Fo-
reign Office. Si les dépêches reçues de Lon-
dres sont exactes, les négociations ne s'ou-
vriront pas sous des auspices favorables,
malgré le désir des deux gouvernements de
faciliter les choses.
Les Français estiment qu'un échange de
notes diplomatiques est superflu et pourrait,
créer des difficultés. Si lord Curzon insiste
pour recevoir une réponse couchée sur le
papier au lieu d'explications verbales accom-
pagnées d'un aide-mémoire, il faut s'attendre
à un débat préliminaire assez vif.
Sur le fond de la question, M. Poincaré,
malgré son ton courtois et modéré, ne pa-
raît pas disposé à abandonner la position
qu'il définissait vendredi dans son discours
du Sénat. « Nous occupons la Ruhr,a-t-il dit,
veine jugulaire de .l'Allemagne. Nous conti-
nuerons de l'occuper malgré tout. Une na-
tion victorieuse ne renonce pas à sa vic-
toire. Nous n'évacuerons la Ruhr qu'au fur
et à mesure des paiements que nous rece-
vrons, comme l'Allemagne l'a fait en 1870. »
Le vote unanime obtenu par le Président
du conseil français (et le fait est sans pré-
cédent, dit-on) pour les crédits de la Ruhr
a contribué à rendre plus sévère le ton du
gouvernement en ces deux derniers jours.
M. Poincaré sent qu'il est solidement sou-
tenu. La lettre du Pape lui a aussi servi. Des
catholiques éminents sont venus déclarer
que leur fidélité envers l'Eglise ne s'étend
pas au domaine politique et que la Ruhr est
une question nationale: Du côté belge, l'in-
dignation causée par l'explosion d'une
bombe dans un train militaire ne peut que
servir la cause française.
M. Poincaré sent qu'il est sur un terrain
très solide et n'acceptera presque certaine-
ment aucun compromis sur les droits essen-
tiels de sa politique.
DAILY EXPRESS, 2.7.
— Sous le titre : « TENONS PAROLE A LA
FnANŒ. » — * Il y a plus de trois semaines
que le gouvernement allemand a offert une
somme d'un peu moins de 1.500 millions de
livres pour le règlement total des répara-
tions. Les alliés ne sont encore arrivés à
aucune décision quant à la manière dont ils
traiteront cette offre. La première nécessi-
té, ainsi que nous l'avons indiqué à plu-
sieurs reprises, est que la France et l'An-
gl,eterr,e arrivent à s'entendre à l'amiable.
Voilà dix-neuf jours que le gouvernement
a adressé par écrit une série de questions
à M. Poincaré à qui une réponse éèrite a
été demandée. M. Baldwin veut faire un
grand effort pour mettre un terme à la crise
des réparations, étant persuadé qu'elle est
la cause réelle de la désorganisation finan-
cière de l'Europe Centrale.
M. Baldwin est d'avis que l'initiative doit
venir de l'Angleterre, mais il est justement
désireux de montrer à l'Allemagne un front
allié sans fissure. L'ambassadeur de Fran-
ce à Londres doit donner aujourd'hui une
réponse verbale aux questions posées par le
gouvernement britannique. Il y a deux
conditions que M. Poincaré nous a deman-
dé de reconnaître. Il a aussi demandé que
l'occupation de la Ruhr par la France et la
Belgique soit reconnue comme un fait ac-
compli. Il a aussi demandé que la France
ne touche pas moins de 1.300 millions
de livres sur la somme payée par l'Alle-
magne pour les réparations. D'autre part,
on déclare dans les milieux gouvernemen-
taux anglais que si la réponse de la France
n'est pas conforme aux vues anglaises, le
gouvernement britannique agira indépen-
damment de la France.
Ce qui est d'une importance capitale,c'est
qu'on ne laisse pas l'Angleterre et la Fran-
ce s'éloigner l'une de l'autre. Peut-être
sommes-nous à un tournant de notre his-
toire. Si l'Angleterre et la France se que-
rellaient — si même il y avait entre elles
de sérieuses divergences d'opinion, une
nouvelle rivalité d'armement s'établirait et
l'Angleterre comme la. France seraient tou-
tes deux marquées pour une attaque de
l'Allemagne, qui serait effectuée le jour où
elles se trouveraient complètement isplées.
Toutes les questions qui intéressent la
France sont susceptibles de s'arranger, à
l'amiable. De même que notre nouveau pro-
gramme aérien, elles devraient être réglées
de concert avec elle, de façon à éviter toute
apparence d'hostilité contre elle. Le meil-
leur et le plus rapide moyen de conserver
le contact et d'assurer le complet accord
entre l'Angleterre et la France c'est, sans
aucun doute, une entrevue personnelle en-
tre M. Baldwin et M. Poincaré.
N'oublions pas combien est forte l'argu-
mentation de la France. L'Allemagne a
causé en Europe toute cette hideuse misè-
re. Elle a commencé la guerre. Elle a man-
qué systématiquement aux clauses du trai-
té de paix. De l'avis de ceux qui la connais-
sent le mieux, si on ne la fait pas payer, la
France et l'Angleterre seront ruinées et elle
sera en mesure d'amener une nouvelle
guerre pire que l'autre. Tout le sang versé,
toutes les souffrances et l'inexpressible
Diss
'PAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2392
Mardi 3 juillet 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits.
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque. 1
SOMMAIRE
-
^'Es s;
'r.\J.LEM\\DE. - La lettre d l Pape au
-Ruinai Gasparri (Kreuz-Zeiicng, leit,
^J,,nania, Morgenpost, Berliner Volks-
Ung, Berliner Bôrsen Zeitung, Vor-
v'cr^ner B or s en-Courier). — Le
'(JYage en Amérique du cardinal Faul-
p 1 (Bayerischer Kurier).
, ANglaIse- — Les conversa ri-ris frsn-
J-)I'itanniques (Times, Daily Express,
u| V Mail). - La situation dans la
'hr (George Renwick dans Daily Chro-
p~ e ; Times)-
si E AUTRICHIENNE. — La résistance pas-
"ile (Neue Freie Presse). — La lettre du
? au cardinal Gasparri (Nettes Wïe-
Pc au cardinal Gasparri (Ne~c~ W~e-
K, Ta9blalt).
PRESSE ESPAGNOLE. — L'Espagne et Tanger
(Epoca). gne et Tan.ger
liEs:>;
r tr i ITALIENNE. - La lettre du Pape au
f] :l'dinal Gasparri (Francesco Coppola
K; ide (i Na:;io,tiale, Messaggero).
'E SUISSE. - La lettre du Pape au car-
la a Gasparri (National Zeitung, Vater-
^• rner TagblaU).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
lts
QtJts CONVERSATIONS FRANCO-BRITANNI-
:lt'L\¡(I1- SE ANGLAISE. — Le correspondant
:t'I(II,"lis dit Tmes croit' que le' gouvernement
t! l;l r et. aisr)lOS'('; a faire connaître ses vues
h'u fuis SUt' 10 règlement des réparations et le
e des dettes interalliées.
80 les arrivés à la phase la plus
l" i)rte es relations franco-britanniques, et
s,)r( ae l'a.itié des deux pays dépendra
NUlr? des événements de cette semaine.
IIC,L lt inutile et dangereux de présager
tlp lu' ourrù être l'attitude de la France et
tf" |u pran(le-Bretagne dans telle ou telle
'"!tiv |lv^°^se- Espérons une solution heu-
le" orer les périls de l'heure. Si la
l'r¡i!i¡l!'- pretend qu'elle ne peut pas sans hu-
miliation modifier radicalement son attitude;
^'li.-itir édifier radicalement son attitude;
-e que ce serait là à son avis un
l\'c'rs défaite. La France s'est engagée sur
I
rJ)II' ]lIShourg, il est plus difficile encore
',"xQta France de renoncer à demander la
IVf' IOn une soi-disant résistance pas-
si vo, qt ni Se terminerait assurément par un
}, '1 l'e
il SI elle devait se prolonger. Les
.éUS Suggèrent que la Grande-Bretagne
pourrait, sans s'associer à l'opération de la
Ruhr, signifier qu'il est désirable que Berlin
cesse d'encourager les saboteurs allemands
de la Ruhr.
Il faut espérer que les conversations
franco-britanniques se poursuivront autant
que possible dans le silence discret des chan-
celleries.
TIMES, 2.7.
— De Paris, 1er juillet : L'entrevue tant
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Saint-Aulaire doit avoir lieu demain au Fo-
reign Office. Si les dépêches reçues de Lon-
dres sont exactes, les négociations ne s'ou-
vriront pas sous des auspices favorables,
malgré le désir des deux gouvernements de
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Les Français estiment qu'un échange de
notes diplomatiques est superflu et pourrait,
créer des difficultés. Si lord Curzon insiste
pour recevoir une réponse couchée sur le
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pagnées d'un aide-mémoire, il faut s'attendre
à un débat préliminaire assez vif.
Sur le fond de la question, M. Poincaré,
malgré son ton courtois et modéré, ne pa-
raît pas disposé à abandonner la position
qu'il définissait vendredi dans son discours
du Sénat. « Nous occupons la Ruhr,a-t-il dit,
veine jugulaire de .l'Allemagne. Nous conti-
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tion victorieuse ne renonce pas à sa vic-
toire. Nous n'évacuerons la Ruhr qu'au fur
et à mesure des paiements que nous rece-
vrons, comme l'Allemagne l'a fait en 1870. »
Le vote unanime obtenu par le Président
du conseil français (et le fait est sans pré-
cédent, dit-on) pour les crédits de la Ruhr
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gouvernement en ces deux derniers jours.
M. Poincaré sent qu'il est solidement sou-
tenu. La lettre du Pape lui a aussi servi. Des
catholiques éminents sont venus déclarer
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pas au domaine politique et que la Ruhr est
une question nationale: Du côté belge, l'in-
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M. Poincaré sent qu'il est sur un terrain
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DAILY EXPRESS, 2.7.
— Sous le titre : « TENONS PAROLE A LA
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Voilà dix-neuf jours que le gouvernement
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M. Baldwin est d'avis que l'initiative doit
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désireux de montrer à l'Allemagne un front
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ce à Londres doit donner aujourd'hui une
réponse verbale aux questions posées par le
gouvernement britannique. Il y a deux
conditions que M. Poincaré nous a deman-
dé de reconnaître. Il a aussi demandé que
l'occupation de la Ruhr par la France et la
Belgique soit reconnue comme un fait ac-
compli. Il a aussi demandé que la France
ne touche pas moins de 1.300 millions
de livres sur la somme payée par l'Alle-
magne pour les réparations. D'autre part,
on déclare dans les milieux gouvernemen-
taux anglais que si la réponse de la France
n'est pas conforme aux vues anglaises, le
gouvernement britannique agira indépen-
damment de la France.
Ce qui est d'une importance capitale,c'est
qu'on ne laisse pas l'Angleterre et la Fran-
ce s'éloigner l'une de l'autre. Peut-être
sommes-nous à un tournant de notre his-
toire. Si l'Angleterre et la France se que-
rellaient — si même il y avait entre elles
de sérieuses divergences d'opinion, une
nouvelle rivalité d'armement s'établirait et
l'Angleterre comme la. France seraient tou-
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l'Allemagne, qui serait effectuée le jour où
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Toutes les questions qui intéressent la
France sont susceptibles de s'arranger, à
l'amiable. De même que notre nouveau pro-
gramme aérien, elles devraient être réglées
de concert avec elle, de façon à éviter toute
apparence d'hostilité contre elle. Le meil-
leur et le plus rapide moyen de conserver
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entre l'Angleterre et la France c'est, sans
aucun doute, une entrevue personnelle en-
tre M. Baldwin et M. Poincaré.
N'oublions pas combien est forte l'argu-
mentation de la France. L'Allemagne a
causé en Europe toute cette hideuse misè-
re. Elle a commencé la guerre. Elle a man-
qué systématiquement aux clauses du trai-
té de paix. De l'avis de ceux qui la connais-
sent le mieux, si on ne la fait pas payer, la
France et l'Angleterre seront ruinées et elle
sera en mesure d'amener une nouvelle
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