Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-06-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 30 juin 1923 30 juin 1923
Description : 1923/06/30 (T24,N2390). 1923/06/30 (T24,N2390).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64670623
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
- MINISTÈRE
t DES
ÂIRES ÉTRANGÈRES
N° 2390
Samedi 30 juin 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extrait.,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un stérisque.
SOMMAIRE
PRESEE ALLEMANDE — Un discours de
•y- ALLEMANDE. - Un discours de
t' .\rjilling, président du conseil de
■»tivicro (Berliner Tageblatt). — L'agi-
alion réactionnaire en Allemagne : un
dIScours de M. Zeigner, président du
fJ conseil de Saxe (Rote Fahne).
p 'F'SSF' AMÉRICAINE. - Les effets de la ré-
Sstn.nce passive (Washington Post,
York Times). — Les projets de
c](;S :e/l" York Tribune). - Fusion du
P Jlobe pt du Sim (New York Herald).
p ''1' ANGLAISE. - Le questionnaire bri-
clnnJque : avant la réponse française
"ciilil Telegraph). — Réparations et
::;(:cUI'ik (sir G. Collins dans Westmins-
fr r'(izeUe). — Un complot monarchiste
d. Hambourg (Times).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
- V QUESTIONNAIRE BRITANNIQUE.
Y^T L\ RÉPONSE FRANÇAISE. — Dans les
:! ; *8 bfUanuiques autorisés, on m'a dé-
c|Ul. autorisés, on n'a dé-
¡(:, il ,llfI/', à nouveau, que les bruits et
les UUOIIS qui ont été répandus ré-
cemment sur le continent et d'après les-
¡ IJIIVf\ U (Jrut ¡(Ie-Br,elagne serait favorable à
loUv 0> ,t"re des pourparlers séparés entre
e et l'un ou l'autre des alliés,
Srjft(f il Q , le gouvernement britannique, gràce
ell ir d?llble initiative diplomatique, d'abord
tf)JI jr ,<:llunt Berlin à envoyer des proposi-
ives aux ailliés, et ensuite en de-
rrir%lUîl' a Paris et à Bruxelles un exposé
trrn P,Olnts de vue de la Belgique et de la
\r|r ° S|ir l'adoption d'une base commune
tr¡[¡n¡\(;, du ^g'iement des réparations, a
1111 vif désir de contribuer au ré-
lrPlf' en de l'unité du front diploma-
\1, rr f\[jtre les alliés. Tel est le but que
M. r^al(lwin et ses collègues cherchent à at-
f:r:\ r Se prononcer sur les résultats de
! f er,flft. el il est difficile de savoir an
les chances 'Oces de succès ont augmenté ou
rH ir/arices de succès ont augmenté ou
hr 1 1à la suite des délais occasionnés
So a crise belge. Il faut espérer sincè-
\.th\}, qlJe cette crise sera résolue aujour-
l.ir,r î la situation allemande et interna-
e JUstifie, en effet, l'opinion qu'un
délai dans les échanges de vues
W]1?, rnent nécessaires pourraient avoir les
t¡rlJ) rlfnves conséquences, car la déprécia-
11 rnark et la réaction sur les salaires
et les prix risquent de provoquer des dé-
sordres économiques et sociaux. On fait
très souvent allusion au péril communiste
en Allemagne, ainsi qu'au péril réaction-
naire qui n'est pas moins violent et réeJ,
Si, dans les circonstances actuelles, un con-
flit venait à éclater entre les deux partis,
l'Europe serait plongée à nouveau dans le
chaos, et les désordres annihllieraient tou-
tes les chances de reconstruction économi-
que et de paix - au détriment du commerce
et de la main-d'œuvre britanniques déjà si
éprouvés. Le délai peut-être inévitable et le
silence de la part des alliés qui n'ont point
répondu officiellement au questionnaire
britannique a provoqué des regrets à Lon-
dres, et cela est compréhensible, puisque ce
silence retarde l'adoption d'une politique
britannique peut-être définitive, à l'égard
de tous les problèmes vitaux actuels — ou
tout au moins un exposé officiel et clair
sur la question.
Le gouvernement britannique, avec juste
raison, a retardé à plusieurs reprises cet
exposé, puisque la crise belge n'est pas
terminée. Mais le délai doit avoir une fin,
car la situation dans l'Europe centrale
exige une solution urgente et, d'autre part,
le gouvernement britannique doit protéger
les droits généraux et spéciaux qui lui ont
été reconnus dans le traité, droits aux-
quels M. Mac Neill a fait clairement allu-
sion samedi. Je suis certain que, lorsque
le point de vue britannique aura été exposé
par les représentants les plus autorisés, on
reconnaîtra qu'il prend spécialement en
considération les intérêts impériaux et an-
glais, qu'il repose sur une large concep-
tion et qu'il n'est pas dépourvu de sens
pratique: Personne ne pourra lui reprocher
de ne pas faire preuve de cette franchise
qui est une des caractéristiques du tem-
pérament britannique. Mais la diplomatie
alliée ne peut demeurer longtemps dans
cet état de morne apathie — (Du rédac-
teur diplomatique.)
DAILY TELEGHAPH, 28.6
LES EFFETS DE LA RESISTANCE PAS-
SIVE. — PRESSE AMÉRICAINE. — Sous le ti-
tre : « BERLIN PROVOQUE L'ANARCHIE ». * Une
déclaration faite par M. Edgar Bancroft,
l'un des directeurs de l'International Har-
vester Company, qui vient de rentrer d'un
voyage en Europe, jette une lumière consi-
dérable sur ce qui se passe dans la Ruhr.
Il avait comme mission, entre autre choses,
d'étudiir la situation de l'usine que possède
sa Compagnie à Neuss, près de Dusseldorf.
La situation qu'il y a trouvée est certai-
nement étonnante. La Compagnie, dit-il, a
assez de commandes pour travailler à plein.
Elle est cependant dans l'impossibilité de
les exécuter parce que le gouvernement al-
lemand lui a interdit, sous peine de lourdes
pénalités, de payer les taxes d'exportation
réclamées par les Français. Il en résulte
que l'usine ne travaille que deux jours par
semaine. Les ouvriers touchent néanmoins
leur salaire intégral. La Compagnie leur en
paie deux jours pour le travail effective-
ment fait, et le gouvernement leur en paie
quatre jours pour entretenir la résistance
aux Français.
M. Bancroft décrit la politique poursuivie
par le gouvernement allemand dans la
Ruhr comme une pure folie, et pour le sim-
ple citoyen cette description ne paraît pas
exagérée. Afin d'empêcher la Commission
des réparations de se procurer des revenus
par le moyen de la taxe d'exportation, le
gouvernement allemand entreprend de ver-
ser des millions tous les jours pour rempla-
cer les salaires qu'il empêche les ouvriers
allemands de gagner.
WASHINGTON POST, 1.6.
LES ooxniTinxs DE LA FRANCE ET DE LA BELGIQUE.
— l.e \eir York Times explique par quelles rai
sons de sagesse et non de prestige la France
et la Belgique exigent la cessation de la résis-
tance comme condition préliminaire à toute né-
gociation :
A Bruxelles, MM. Poincaré et Theunis
ont été d'accord pour faire savoir officielle-
ment que leurs gouvernements ne pren-
draient même pas les propositions alleman-
des en considération si le gouvernement
allemand ne consentait pas au préalable
à retirer tous. les ordres donnés pour la
résistance passive dans la Ruhr. En fait,
la note allemande d'hier ne dit rien sur ce
point, ni dans un sens ni dans l'autre. Il
est donc possible que le gouvernement alle-
mands soit prêt à faire cette concession. En
tout cas, il est important de voir clairement
pourquoi les Français et les Belges y in-
sistent.
Ce n'est pas uniquement une question
d'orgueil national. Les Français ne sont pas
intransigeants sur ce point parce qu'ils dé
sirent remporter un triomphe diplomatique
ou infliger une humiliation à l'Allemagne.
Ils y insistent simplement parce qu'il cons-
titue une partie essentielle d'un règlement
pratique. Les Allemands prétendent désirer r
un règlement de cette espèce. Très bien,
alors, disent les français ; s'il s'agit de faire
travailler les Allemands de telle manière
qu'une intelligente activité accroisse la pro-
duction qui servira, sous une forme ou sous
une autre, à payer les réparations, il est
essentiel à l'origine de révoquer tous les
ordres qui interdisent aux Allemands de
travailler.
Si cette première demande était 'accp-
tée, il v a toutes sortes de raisons de croire
que la. France et la Belgique consentiraient
t DES
ÂIRES ÉTRANGÈRES
N° 2390
Samedi 30 juin 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — n est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extrait.,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un stérisque.
SOMMAIRE
PRESEE ALLEMANDE — Un discours de
•y- ALLEMANDE. - Un discours de
t' .\rjilling, président du conseil de
■»tivicro (Berliner Tageblatt). — L'agi-
alion réactionnaire en Allemagne : un
dIScours de M. Zeigner, président du
fJ conseil de Saxe (Rote Fahne).
p 'F'SSF' AMÉRICAINE. - Les effets de la ré-
Sstn.nce passive (Washington Post,
York Times). — Les projets de
c](;S
P Jlobe pt du Sim (New York Herald).
p ''1' ANGLAISE. - Le questionnaire bri-
clnnJque : avant la réponse française
"ciilil Telegraph). — Réparations et
::;(:cUI'ik (sir G. Collins dans Westmins-
fr r'(izeUe). — Un complot monarchiste
d. Hambourg (Times).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
- V QUESTIONNAIRE BRITANNIQUE.
Y^T L\ RÉPONSE FRANÇAISE. — Dans les
:! ; *8 bfUanuiques autorisés, on m'a dé-
c|Ul. autorisés, on n'a dé-
¡(:, il ,llfI/', à nouveau, que les bruits et
les UUOIIS qui ont été répandus ré-
cemment sur le continent et d'après les-
¡ IJIIVf\ U (Jrut ¡(Ie-Br,elagne serait favorable à
loUv 0> ,t"re des pourparlers séparés entre
e et l'un ou l'autre des alliés,
Srjft(f
ell ir d?llble initiative diplomatique, d'abord
tf)JI jr ,<:llunt Berlin à envoyer des proposi-
ives aux ailliés, et ensuite en de-
rrir%lUîl' a Paris et à Bruxelles un exposé
trrn P,Olnts de vue de la Belgique et de la
\r|r ° S|ir l'adoption d'une base commune
tr¡[¡n¡\(;, du ^g'iement des réparations, a
1111 vif désir de contribuer au ré-
lrPlf' en de l'unité du front diploma-
\1, rr f\[jtre les alliés. Tel est le but que
M. r^al(lwin et ses collègues cherchent à at-
f:r:\ r Se prononcer sur les résultats de
! f er,flft. el il est difficile de savoir an
les chances 'Oces de succès ont augmenté ou
rH ir/arices de succès ont augmenté ou
hr 1 1à la suite des délais occasionnés
So a crise belge. Il faut espérer sincè-
\.th\}, qlJe cette crise sera résolue aujour-
l.ir,r î la situation allemande et interna-
e JUstifie, en effet, l'opinion qu'un
délai dans les échanges de vues
W]1?, rnent nécessaires pourraient avoir les
t¡rlJ) rlfnves conséquences, car la déprécia-
11 rnark et la réaction sur les salaires
et les prix risquent de provoquer des dé-
sordres économiques et sociaux. On fait
très souvent allusion au péril communiste
en Allemagne, ainsi qu'au péril réaction-
naire qui n'est pas moins violent et réeJ,
Si, dans les circonstances actuelles, un con-
flit venait à éclater entre les deux partis,
l'Europe serait plongée à nouveau dans le
chaos, et les désordres annihllieraient tou-
tes les chances de reconstruction économi-
que et de paix - au détriment du commerce
et de la main-d'œuvre britanniques déjà si
éprouvés. Le délai peut-être inévitable et le
silence de la part des alliés qui n'ont point
répondu officiellement au questionnaire
britannique a provoqué des regrets à Lon-
dres, et cela est compréhensible, puisque ce
silence retarde l'adoption d'une politique
britannique peut-être définitive, à l'égard
de tous les problèmes vitaux actuels — ou
tout au moins un exposé officiel et clair
sur la question.
Le gouvernement britannique, avec juste
raison, a retardé à plusieurs reprises cet
exposé, puisque la crise belge n'est pas
terminée. Mais le délai doit avoir une fin,
car la situation dans l'Europe centrale
exige une solution urgente et, d'autre part,
le gouvernement britannique doit protéger
les droits généraux et spéciaux qui lui ont
été reconnus dans le traité, droits aux-
quels M. Mac Neill a fait clairement allu-
sion samedi. Je suis certain que, lorsque
le point de vue britannique aura été exposé
par les représentants les plus autorisés, on
reconnaîtra qu'il prend spécialement en
considération les intérêts impériaux et an-
glais, qu'il repose sur une large concep-
tion et qu'il n'est pas dépourvu de sens
pratique: Personne ne pourra lui reprocher
de ne pas faire preuve de cette franchise
qui est une des caractéristiques du tem-
pérament britannique. Mais la diplomatie
alliée ne peut demeurer longtemps dans
cet état de morne apathie — (Du rédac-
teur diplomatique.)
DAILY TELEGHAPH, 28.6
LES EFFETS DE LA RESISTANCE PAS-
SIVE. — PRESSE AMÉRICAINE. — Sous le ti-
tre : « BERLIN PROVOQUE L'ANARCHIE ». * Une
déclaration faite par M. Edgar Bancroft,
l'un des directeurs de l'International Har-
vester Company, qui vient de rentrer d'un
voyage en Europe, jette une lumière consi-
dérable sur ce qui se passe dans la Ruhr.
Il avait comme mission, entre autre choses,
d'étudiir la situation de l'usine que possède
sa Compagnie à Neuss, près de Dusseldorf.
La situation qu'il y a trouvée est certai-
nement étonnante. La Compagnie, dit-il, a
assez de commandes pour travailler à plein.
Elle est cependant dans l'impossibilité de
les exécuter parce que le gouvernement al-
lemand lui a interdit, sous peine de lourdes
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que l'usine ne travaille que deux jours par
semaine. Les ouvriers touchent néanmoins
leur salaire intégral. La Compagnie leur en
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ment fait, et le gouvernement leur en paie
quatre jours pour entretenir la résistance
aux Français.
M. Bancroft décrit la politique poursuivie
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Ruhr comme une pure folie, et pour le sim-
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par le moyen de la taxe d'exportation, le
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allemands de gagner.
WASHINGTON POST, 1.6.
LES ooxniTinxs DE LA FRANCE ET DE LA BELGIQUE.
— l.e \eir York Times explique par quelles rai
sons de sagesse et non de prestige la France
et la Belgique exigent la cessation de la résis-
tance comme condition préliminaire à toute né-
gociation :
A Bruxelles, MM. Poincaré et Theunis
ont été d'accord pour faire savoir officielle-
ment que leurs gouvernements ne pren-
draient même pas les propositions alleman-
des en considération si le gouvernement
allemand ne consentait pas au préalable
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résistance passive dans la Ruhr. En fait,
la note allemande d'hier ne dit rien sur ce
point, ni dans un sens ni dans l'autre. Il
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mands soit prêt à faire cette concession. En
tout cas, il est important de voir clairement
pourquoi les Français et les Belges y in-
sistent.
Ce n'est pas uniquement une question
d'orgueil national. Les Français ne sont pas
intransigeants sur ce point parce qu'ils dé
sirent remporter un triomphe diplomatique
ou infliger une humiliation à l'Allemagne.
Ils y insistent simplement parce qu'il cons-
titue une partie essentielle d'un règlement
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un règlement de cette espèce. Très bien,
alors, disent les français ; s'il s'agit de faire
travailler les Allemands de telle manière
qu'une intelligente activité accroisse la pro-
duction qui servira, sous une forme ou sous
une autre, à payer les réparations, il est
essentiel à l'origine de révoquer tous les
ordres qui interdisent aux Allemands de
travailler.
Si cette première demande était 'accp-
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