Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-06-29
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 29 juin 1923 29 juin 1923
Description : 1923/06/29 (T24,N2389). 1923/06/29 (T24,N2389).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467061p
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
^NlSTÈRE
DES
lnES ÉTRANGÈRES
N° 2389
Vendredi 29 juin 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — II est donné ci-deuous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
-
v, ,. VI | |;x|\M)K. - La publication do ro/¡.
I»ftt r"I'f Zeituiuj, Ger mania).
a*gl.visk. — La Grande-Bretagne et
i dans \V('stlldl/sl' Gazette). - ]*t si-
,r,n dans la Ruhr (Daily Chronicle).
:, Petite Entente et la révolution
•ftiii e (Times). - La défense navale
f^rnpiî-o britannique (lieutenant-co-
'f' H'Çpington dans Daily Telegraph).
|défense aérienne (Daily Chronicle,
|, 1 , ai,V Ne,cs}.
,;' 'j /( .\).
srl'ls*K. — l,a Suisse et la Société
'lotions : un débat au Conseil na-
(.ful/rn,al de Gel/ère).
"--- ———————————
OLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
ATTITUDE DE LA GRANDE-BRETAGNE. -
";,,,\ U:s DE LA GRANDE-BRETAGNE, -
s. une •> '1': '1111' ¡\ ¡"',II 1'1 , du traité de Versailles, es-
''s| If'inps pi mi' la <'irande-L?relagn<-
/i'■in, |, 1( Ul^t* si .m attitude passive dans la ques-
1 i ,|( Pparulion.s
'\11 f
!" t. era - l':spedcr le traité de Versailles ?
's litar t s'ljnis, puissance associée, à l'in-
laquelle on doit beaucoup des
:>r" jf 2*ls Jes plus humaines du traité, a
V; ,.0^1 ®teinent de participer à son ap-
rj,II,I\ de en Europe. L'abstention des Etats-
I l',IIY'U f' toute participation aux affaires
d'Europe est un fait regrettable, mais non
'iir, ^hnitii". il n'y a pas la moindre
que. le gouvernement des Etats-
l, l'f' d. b
'tris assumer une partie du fardeau
,l_s UnPli lu.. dl v parties du traité n'ont.
lication, et notamment celle
•fi'1' 0ovu garantir la sécurité de la France.
p. l;,|icf. "tient donc à deux des alliés, à la
, , ,c 1
\1 1" p .n n Grande-Bretagne de mainte-
rl':'s"iIlflX de l'Europe que le traité de
',i,
r;SCs x devait assurer. A cette heure
que quatre années se sont
i.l Puis la conclusion du traité, les
'v les -
,.X S (' trollvent en désaccord quant
|,. i qui doivent permettre d'at-
1,,;,:llif; tl: blt qu'elles désirent également.
r'I,';lnlli OIS semaines, les gouvernements
Ij,. l'nt a , lançais, ont examiné jusqu'à
r't an'S SUc°ès. s'il existait, un moyen
"ricii-
111Sist leurs divergences. Les Fran-
ent sur le maintien des méthodes
de la Ruhr, avec tout ce qu'elles impliquent.
Notre gouvernement n'y consent pas. Dans
l'intervalle, l'Allemagne qui fait l'objet de
toutes les discussions, s'effondre visible-
ment sous nos yeux. Il ne s'agit pas de
distribuer le blâme, et ce n'est pas le mo-
ment d'aggraver des malentendus. M. Mil-
lerand se plaignait mardi que la France ne
fut pas comprise. Nous n'attribuons certai-
nement pas à la nation française le moindre
désir de s'abandonner à des rêves milita-
ristes, mais nous sommes convaincus
qu'une prolongation du malheureux conflit
de la Ruhr aggravera la destruction de l'Al-
lemagne dans une proportion telle qu'il sera
impossible de l'enrayer. Il ne s'agit pas de
savoir, qui est à blâmer, mais bien qui
agira sagement. L'incertitude ne peut pas
se prolonger indéfiniment. Si une action
collective est impossible, le gouvernement
britannique devra sous sa propre responsa-
bilité faire personnellement effort pour ar-
rêter la marche de la destruction avant
qu'il soit trop tard. — (Ed.)
TIMES, 28.6.
POl: n UNE ENTREVUE FRANCO-BRITANIQUE. - II.
F. Spender, le rédacteur diplomatique de la
Westminster Gazette, verrait avec faveur une
rencontre prochaine de M. Poincaré et de M.
Baldwin :
On ne sait pas encore quand la réponse
de la France au questionnaire britannique
sera reçue à Londres. M. Poincaré attend
que M. Theunis, premier ministre belge,
soit solidement rétabli au pouvoir pour
agir de concert avec lui. Entre temps les
conversations se poursuivent entre le
marquis de Crewe et M. Poincaré à Paris
et le marquis Curzon et le comte de Saint-
Aulaire à Londres.
L'échange de vues a éclairci l'atmosphère,
mais les thèses de la Grande-Bretagne et
de la France ne se sont pas sensiblement
rapprochées sur les points essentiels.
Il n'y' a rien à espérer de la Belgique. M.
Theunis est aussi intransigeant que M.
Poincaré et il a préocnisé à maintes repri-
ses le recours à des mesures rigoureuses
dans la Ruhr.
La dépendance complète de la Belgique
vis-à-vis de la France doit être considérée
comme un fait acquis. Rien n'indique
d'autre part que l'Italie songe à jouer un
rôle indépendant en politique européenne.
M. Mussolini compte dans son pays, mais il
ne semble pas chercher à faire entendre sa
voix il l'étranger. Sur le continent, c'est le
point de vue de la France et lui seul qui a
du poids. A moins qu'il ne subisse quelque
modification, on ne voit pas comment la
thèse britannique sur les réparations
pourrait être mise en harmonie avec lui.
La Grande-Bretagne fera tout pour as-
surer le maintien de l'Entente et écarter
les obstacles qui s'opposent à la reconstitu-
tion de l'Europe. La mesure la plus propre
à servir ce dessein serait peut être une en-
trevue de M. Poincaré et de M. Baldwin. —
Hugh F. Spender.
WESTMINSTER GAZETTE, 28.6.
LA SITUATION DANS LA RUHR. — CORRES-
PONDANCE ANGLAISE. — Le correspondant du Daily
Chronicle à Cologne, M. George Renwick, critique
les mesures prises récemment par les autorités
d'occupation
Le général Dégoutté a publié un ordre
annulant les ordonnances rendues récem-
ment par le gouvernement, allemand en vue
de maintenir le cours du change et d'en-
rayer la spéculation sur les devises étrangè-
res. L'ordre du général Dégoutte spécifie que
les règlements allemands ne seront pas ap-
plicables dans la région de la Ruhr et que
tous les fonctionnaires des banques, qui
prendraient les ordres de Berlin seront pas-
sibles de poursuites devant le conseil de
guerre.
Ils pourront être condamnés à cinq ans
d'emprisonnement. et à une amende de 2
milliards de marks. La haute commission
rhénane a déclaré de son côté que ces rè-
glements seraient considérés comme nuls et
non avenus en Rhénanie.
Six cents cheminots et leurs familles ont
été expulsés aujourd'hui de la région de
Mayence. Leur mobilier à été saisi par les
autorités françaises.
A Wiesbaden, les Français se sont em-
parés d'une somme de 50 millions de
marks saisie au siège d'une société d'as-
sistance aux cheminots expulsés. A Gries-
heim, près de Francfort, ils ont mis la
main sur les fonds de chômage qui s'éle-
vaient à 15 millions de marks.
Le délégué du pape dans la Ruhr, Mgr
Testa, a fait don, au nom du Pape, d'une
somme de 500.000 lire pour remédier à la
détresse actuelle dans la région de la Ruhr.
Le bureau de presse français annonce
que M. Stinnes a acquis les Frankfurter
Nachrichten et la Badener Post. Il possède
actuellement cent quarante journaux alle-
mands.
M. Stinnes a fait de .grands efforts pour
placer sous son contrôle la Frankfurter Zei-
tung, un des journaux allemands les plus
impartants et les mieux rédigés, mais il n'y
a pas réussi. La Frankfurter Zeitung a tou-
jours été extrêmement hostile à M. Stinnes.
DAILY CHRONICLE, 28.6.
DES
lnES ÉTRANGÈRES
N° 2389
Vendredi 29 juin 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — II est donné ci-deuous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
-
v, ,. VI | |;x|\M)K. - La publication do ro/¡.
I»ftt r"I'f Zeituiuj, Ger mania).
a*gl.visk. — La Grande-Bretagne et
i
,r,n dans la Ruhr (Daily Chronicle).
:, Petite Entente et la révolution
•ftiii e (Times). - La défense navale
f^rnpiî-o britannique (lieutenant-co-
'f' H'Çpington dans Daily Telegraph).
|défense aérienne (Daily Chronicle,
|, 1 , ai,V Ne,cs}.
,;' 'j /( .\).
srl'ls*K. — l,a Suisse et la Société
'lotions : un débat au Conseil na-
(.ful/rn,al de Gel/ère).
"--- ———————————
OLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
ATTITUDE DE LA GRANDE-BRETAGNE. -
";,,,\ U:s DE LA GRANDE-BRETAGNE, -
s. une •>
''s| If'inps pi mi' la <'irande-L?relagn<-
/i'■in, |, 1( Ul^t* si .m attitude passive dans la ques-
1 i ,|( Pparulion.s
'\11 f
!" t. era - l':spedcr le traité de Versailles ?
's litar t s'ljnis, puissance associée, à l'in-
laquelle on doit beaucoup des
:>r" jf 2*ls Jes plus humaines du traité, a
V; ,.0^1 ®teinent de participer à son ap-
rj,II,I\ de en Europe. L'abstention des Etats-
I l',IIY'U f' toute participation aux affaires
d'Europe est un fait regrettable, mais non
'iir, ^hnitii". il n'y a pas la moindre
que. le gouvernement des Etats-
l, l'f' d. b
'tris assumer une partie du fardeau
,l_s Un
lication, et notamment celle
•fi'1' 0ovu garantir la sécurité de la France.
p. l;,|icf. "tient donc à deux des alliés, à la
, , ,c 1
\1 1" p .n n Grande-Bretagne de mainte-
rl':'s"iIlflX de l'Europe que le traité de
',i,
r;SCs x devait assurer. A cette heure
que quatre années se sont
i.l Puis la conclusion du traité, les
'v les -
,.X S (' trollvent en désaccord quant
|,. i qui doivent permettre d'at-
1,,;,:llif; tl: blt qu'elles désirent également.
r'I,';lnlli OIS semaines, les gouvernements
Ij,. l'nt a , lançais, ont examiné jusqu'à
r't an'S SUc°ès. s'il existait, un moyen
"ricii-
111Sist leurs divergences. Les Fran-
ent sur le maintien des méthodes
de la Ruhr, avec tout ce qu'elles impliquent.
Notre gouvernement n'y consent pas. Dans
l'intervalle, l'Allemagne qui fait l'objet de
toutes les discussions, s'effondre visible-
ment sous nos yeux. Il ne s'agit pas de
distribuer le blâme, et ce n'est pas le mo-
ment d'aggraver des malentendus. M. Mil-
lerand se plaignait mardi que la France ne
fut pas comprise. Nous n'attribuons certai-
nement pas à la nation française le moindre
désir de s'abandonner à des rêves milita-
ristes, mais nous sommes convaincus
qu'une prolongation du malheureux conflit
de la Ruhr aggravera la destruction de l'Al-
lemagne dans une proportion telle qu'il sera
impossible de l'enrayer. Il ne s'agit pas de
savoir, qui est à blâmer, mais bien qui
agira sagement. L'incertitude ne peut pas
se prolonger indéfiniment. Si une action
collective est impossible, le gouvernement
britannique devra sous sa propre responsa-
bilité faire personnellement effort pour ar-
rêter la marche de la destruction avant
qu'il soit trop tard. — (Ed.)
TIMES, 28.6.
POl: n UNE ENTREVUE FRANCO-BRITANIQUE. - II.
F. Spender, le rédacteur diplomatique de la
Westminster Gazette, verrait avec faveur une
rencontre prochaine de M. Poincaré et de M.
Baldwin :
On ne sait pas encore quand la réponse
de la France au questionnaire britannique
sera reçue à Londres. M. Poincaré attend
que M. Theunis, premier ministre belge,
soit solidement rétabli au pouvoir pour
agir de concert avec lui. Entre temps les
conversations se poursuivent entre le
marquis de Crewe et M. Poincaré à Paris
et le marquis Curzon et le comte de Saint-
Aulaire à Londres.
L'échange de vues a éclairci l'atmosphère,
mais les thèses de la Grande-Bretagne et
de la France ne se sont pas sensiblement
rapprochées sur les points essentiels.
Il n'y' a rien à espérer de la Belgique. M.
Theunis est aussi intransigeant que M.
Poincaré et il a préocnisé à maintes repri-
ses le recours à des mesures rigoureuses
dans la Ruhr.
La dépendance complète de la Belgique
vis-à-vis de la France doit être considérée
comme un fait acquis. Rien n'indique
d'autre part que l'Italie songe à jouer un
rôle indépendant en politique européenne.
M. Mussolini compte dans son pays, mais il
ne semble pas chercher à faire entendre sa
voix il l'étranger. Sur le continent, c'est le
point de vue de la France et lui seul qui a
du poids. A moins qu'il ne subisse quelque
modification, on ne voit pas comment la
thèse britannique sur les réparations
pourrait être mise en harmonie avec lui.
La Grande-Bretagne fera tout pour as-
surer le maintien de l'Entente et écarter
les obstacles qui s'opposent à la reconstitu-
tion de l'Europe. La mesure la plus propre
à servir ce dessein serait peut être une en-
trevue de M. Poincaré et de M. Baldwin. —
Hugh F. Spender.
WESTMINSTER GAZETTE, 28.6.
LA SITUATION DANS LA RUHR. — CORRES-
PONDANCE ANGLAISE. — Le correspondant du Daily
Chronicle à Cologne, M. George Renwick, critique
les mesures prises récemment par les autorités
d'occupation
Le général Dégoutté a publié un ordre
annulant les ordonnances rendues récem-
ment par le gouvernement, allemand en vue
de maintenir le cours du change et d'en-
rayer la spéculation sur les devises étrangè-
res. L'ordre du général Dégoutte spécifie que
les règlements allemands ne seront pas ap-
plicables dans la région de la Ruhr et que
tous les fonctionnaires des banques, qui
prendraient les ordres de Berlin seront pas-
sibles de poursuites devant le conseil de
guerre.
Ils pourront être condamnés à cinq ans
d'emprisonnement. et à une amende de 2
milliards de marks. La haute commission
rhénane a déclaré de son côté que ces rè-
glements seraient considérés comme nuls et
non avenus en Rhénanie.
Six cents cheminots et leurs familles ont
été expulsés aujourd'hui de la région de
Mayence. Leur mobilier à été saisi par les
autorités françaises.
A Wiesbaden, les Français se sont em-
parés d'une somme de 50 millions de
marks saisie au siège d'une société d'as-
sistance aux cheminots expulsés. A Gries-
heim, près de Francfort, ils ont mis la
main sur les fonds de chômage qui s'éle-
vaient à 15 millions de marks.
Le délégué du pape dans la Ruhr, Mgr
Testa, a fait don, au nom du Pape, d'une
somme de 500.000 lire pour remédier à la
détresse actuelle dans la région de la Ruhr.
Le bureau de presse français annonce
que M. Stinnes a acquis les Frankfurter
Nachrichten et la Badener Post. Il possède
actuellement cent quarante journaux alle-
mands.
M. Stinnes a fait de .grands efforts pour
placer sous son contrôle la Frankfurter Zei-
tung, un des journaux allemands les plus
impartants et les mieux rédigés, mais il n'y
a pas réussi. La Frankfurter Zeitung a tou-
jours été extrêmement hostile à M. Stinnes.
DAILY CHRONICLE, 28.6.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Collections numériques similaires Vidal Léon Vidal Léon /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Vidal Léon" or dc.contributor adj "Vidal Léon")
- Auteurs similaires Vidal Léon Vidal Léon /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Vidal Léon" or dc.contributor adj "Vidal Léon")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/10
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6467061p/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6467061p/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6467061p/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6467061p/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6467061p
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6467061p
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6467061p/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest