Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-06-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 28 juin 1923 28 juin 1923
Description : 1923/06/28 (T24,N2388). 1923/06/28 (T24,N2388).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64670608
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
FINISTÈRE
1, DES
PAInES ÉTRANGÈRES
N° 2388
Jeudi 28 juin 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petite caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^'-s.sS r- AT.LEMANDK. — Les conséquences de
H,),s ^oziuUsfiache Monatshefle).
S - AMÉRICAINE. - Le commerce pan-
PI:¡ ;'lnÔl'icain (Washington Post).
Iu "1-: \:\f;L\ISE. — Le questionnaire britan-
e ; avant la réponse française
\'('sltninste/' Gazelle).' - La bureau-
le prussienne et les réparations (Dai-
J 1 elegraph). - La crise du mark en
-11 itoire occupé (Daily Telegraph). —
régime de Tanger (Manchester
J Ilardian). - La défense aérienne : les
"'01arat.iollS du gouvernement à la
P Hlrnbre Il,(s Communes (Mo'l'ntng
Os t).
'lE AlTRICHIE!\\L — La Grande-Breta-
1 et les réparations : une information
Chienne (:Vcuc Freie presse).
Politique genemle
LES RÉPARATIONS
lts
SslVONSEQUENCES DE LA RESISTANCE
Il':':¡n- D. - Sous le titre : « LK BILAN DE LA
"'1" JJJ,"> M. Ludwig Quessel sou-
i;-"'litiqu cle résistance passive :
t'ejl Angleterre un courant d'op-
lf POUr ne pas laisser le gouvernement
Muùo Ue soutenir l'exigence française
tj t. a wiposer à l'Allemagne la. cessa-
(j guerre économique comme con-
! |n ',lrte (lUa non de l'ouverture des négo-
'N n-duc t.'on des dettes au titre
(fl ahons. Les coups de feu qui, dans
bi'I\ ¡ld U juin, ont abattu à Dortmund
h!aclju > an^S français, ont beaucoup affai-
li! °o-Ur*-nt d'opposition. On peut admettre
Cf-t éveriernent a facilité pour le cabinet
h '";' J \\- ,
f. /■ pil la (leClslon d'offrir san appui moral
c'e- Si le projet d'un ultimatum
: 'Isb" d 1 intente sur Cessation de la
fio. d Passive se réalise, nous touchons
? liti e la guerre de la Ruhr. Car il n'y a
pas lieu de craindre que le cabinet Cuno
s'oppose à une demande de l'Angleterre, et
cela en raison de sa politique anglophile. On
n'exagère pas en disant que, pour le cabinet
Cuno, un désir exprimé par l'Angleterre
équivaut à un ordre. La guerre de la Ruhr
se terminera sur un ordre de l'Entente, pro-
voqué par un accord anglo-français. Et une
fois de plus, c'est l'Allemagne qui devra
faire les frais de cet accord, au point de vue
politique et économique. Pour l'instant, il est
vrai, l'Angleterre a encore besoin pour la
conférence interalliée qui doit précéder les
négociations avec l'Allemagne de la résis-
tance passive de l'Allemagne comme d'une
arme contre la France. C'est pourquoi l'An-
gleterre fera tout son possible pour mainte-
nir cette résistance sur le Rhin et sur la
Ruhr jusqu'à ce que la France soit disposée
à faire les concessions qui sont dans l'intérêt
de la Grande-Bretagne.
ECHEC DE LA RÉSISTANCE PASSIVE. — La fin
de la guerre de la Ruhr achèvera un épisode
de la politique extérieure de la République
allemande, que l'on peut considérer comme
l'un des événements les plus fâcheux de
l'histoire allemande. Le cabinet Cuno s'est
engagé dans la guerre de la Ruhr avec cette
conviction bien établie qu'il était sûr d'avoir
l'appui de l'Angleterre et des Etats-Unis. Il
est, à vrai dire, exact que ces deux pays
avaient intérêt à voir éclater et se prolon-
ger la guerre sur la Ruhr. Mais l'Allema-
gne fut alors bien mal soutenue. Si l'on peut
admettre qu'elle l'a été cependant, cela s'est
manifesté seulement par deux actes : l'Amé-
rique a retiré ses troupes du Rhin et l'An-
gleterre a invité l'Allemagne devant le
monde à faire connaître sans détours, par
une offre raisonnable sa volonté de s'acquit-
ter des réparations envers la France et la
Belgique.
Voilà toute l'aide que les pays anglo-
saxons ont apportée au cabinet Cuno.
Même les partisans d'une orientation an-
glophile ne pourront pas affirmer que cet
appui a été considérable. On espérait que
les pays anglo-saxons interviendraient dans
la guerre de la Ruhr au profit de l'Allema-
gne, et aussi que la résistance passive
amènerait la France à changer de point de
vue sur la question des réparations. Ce
double espoir ne s'est pas réalisé. Lorsque
le cabinet Poincaré envoya, le 11 janvier,
ses contrôleurs des finances dans le bas-
sin de la Ruhr sous escorte militaire, il
était résolu à ne plus faire siennes les con-
ceptions anglaises qui avaient ramené la
dette de l'Allemagne à 132 milliards de
marks-or. Il était décidé à ne faire préva-
loir que son propre projet, à savoir « de-
mander à l'Allemagne des paiements repré-
sentant au total 26 milliards de marks-or,
si toutefois la France était libérée de ses
paiements à effectuer à l'Angleterre et aux
Etats-Unis ; au cas où les pays anglo-
saxons ne seraient pas disposés à régler
ainsi la question des dettes, la France
devrait demander en plus des 26 milliards
de marks-or une couverture destinée à as-
surer ses paiements à l'Angleterre et aux
Etats-Unis ».
Aujourd'hui, après cinq mois de guerre
dans la Ruhr, le cabinet Poincaré n'a pas
changé sa manière de voir. La guerre de
la Ruhr n'a pu également le faire revenir
sur sa décision d'exploiter, vu l'absence de
garanties suffisantes pour l'exécution dos
obligations de l'Allemagne, toutes les pos-
sibilités qu'offraient les territoires ancien-
nement et nouvellement occupés pour le
paiement des réparations. Autre chose : la
majorité qui soutient à la Chambre la po-
litique des réparations de Poincaré n'a
pas diminué, au contraire. La résistance
passive de l'Allemagne contre le contrôle
franco-belge dans le bassin de la Ruhr a
amené Herriot à se ranger aux côtés de
Poincaré pour la politique extérieure, si
bien que Vorwarts, qui est fortement an-
glophile, a dû avouer, après l'une des der-
nières victoires de Poincaré à la Chambre,
que le cabinet français actuel était plus so-
lide que jamais. Ainsi, au point de vue po-
litique extérieur, la guerre de la Ruhr ne
nous a valu aucun succès apparent. Au
point de vue moral, l'actif de l'Allemagne
(et aussi de la France) eût été certaine-
ment plus important, si le Reichstag, au
lieu d'écouter Cuno et Becker, avait suivi
ceux qui voulaient demander un arbitrage
de la Société des nations. Cette procédure
nous aurait valu l'appui de pays neutres.
En examinant maintenant si la guerre de
la Ruhr a empêché le succès de la prise de
gages opérée par les Français, il faudra
nous garder d'attacher trop d'importance
aux nouvelles de l'agence Wolff, dont on a
dit qu'elles ressemblent tristement aux
communiqués quotidiens de Ludendorff. Ce
qui se rapproche le plus de la vérité, ce se-
rait sans doute un rapport du « Sozialdemo-
kratischer Parlamentsdienst », qui annon-
çait récemment que les troupes françaises
et belges « tenaient ferme le bassin de la
Ruhr dans leurs tenailles ». Il ajoutait que
tous le système des transports allemands
était arrêté, que les transports organisés
par les Français pour enlever le charbon et
le coke comprenaient 7 a 800 wagons par
jour, soit un débit mensuel de 200.000 ton-
nes par mois. Le même rapport disait que
tout transport par voie ferrée ou par systè-
me aérien entre mines et fonderies étaient
interrompues, de telle sorte que l'industrie
de la Ruhr, le cœur même de l'économie al-
1, DES
PAInES ÉTRANGÈRES
N° 2388
Jeudi 28 juin 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petite caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
^'-s.sS r- AT.LEMANDK. — Les conséquences de
H,),s ^oziuUsfiache Monatshefle).
S - AMÉRICAINE. - Le commerce pan-
PI:¡ ;'lnÔl'icain (Washington Post).
Iu "1-: \:\f;L\ISE. — Le questionnaire britan-
e ; avant la réponse française
\'('sltninste/' Gazelle).' - La bureau-
le prussienne et les réparations (Dai-
J 1 elegraph). - La crise du mark en
-11 itoire occupé (Daily Telegraph). —
régime de Tanger (Manchester
J Ilardian). - La défense aérienne : les
"'01arat.iollS du gouvernement à la
P Hlrnbre Il,(s Communes (Mo'l'ntng
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'lE AlTRICHIE!\\L — La Grande-Breta-
1 et les réparations : une information
Chienne (:Vcuc Freie presse).
Politique genemle
LES RÉPARATIONS
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SslVONSEQUENCES DE LA RESISTANCE
Il':':¡n- D. - Sous le titre : « LK BILAN DE LA
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lf POUr ne pas laisser le gouvernement
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(j guerre économique comme con-
! |n ',lrte (lUa non de l'ouverture des négo-
'N n-duc t.'on des dettes au titre
(fl ahons. Les coups de feu qui, dans
bi'I\ ¡ld U juin, ont abattu à Dortmund
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li! °o-Ur*-nt d'opposition. On peut admettre
Cf-t éveriernent a facilité pour le cabinet
h '";' J \\- ,
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c'e- Si le projet d'un ultimatum
: 'Isb" d 1 intente sur Cessation de la
fio. d Passive se réalise, nous touchons
? liti e la guerre de la Ruhr. Car il n'y a
pas lieu de craindre que le cabinet Cuno
s'oppose à une demande de l'Angleterre, et
cela en raison de sa politique anglophile. On
n'exagère pas en disant que, pour le cabinet
Cuno, un désir exprimé par l'Angleterre
équivaut à un ordre. La guerre de la Ruhr
se terminera sur un ordre de l'Entente, pro-
voqué par un accord anglo-français. Et une
fois de plus, c'est l'Allemagne qui devra
faire les frais de cet accord, au point de vue
politique et économique. Pour l'instant, il est
vrai, l'Angleterre a encore besoin pour la
conférence interalliée qui doit précéder les
négociations avec l'Allemagne de la résis-
tance passive de l'Allemagne comme d'une
arme contre la France. C'est pourquoi l'An-
gleterre fera tout son possible pour mainte-
nir cette résistance sur le Rhin et sur la
Ruhr jusqu'à ce que la France soit disposée
à faire les concessions qui sont dans l'intérêt
de la Grande-Bretagne.
ECHEC DE LA RÉSISTANCE PASSIVE. — La fin
de la guerre de la Ruhr achèvera un épisode
de la politique extérieure de la République
allemande, que l'on peut considérer comme
l'un des événements les plus fâcheux de
l'histoire allemande. Le cabinet Cuno s'est
engagé dans la guerre de la Ruhr avec cette
conviction bien établie qu'il était sûr d'avoir
l'appui de l'Angleterre et des Etats-Unis. Il
est, à vrai dire, exact que ces deux pays
avaient intérêt à voir éclater et se prolon-
ger la guerre sur la Ruhr. Mais l'Allema-
gne fut alors bien mal soutenue. Si l'on peut
admettre qu'elle l'a été cependant, cela s'est
manifesté seulement par deux actes : l'Amé-
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monde à faire connaître sans détours, par
une offre raisonnable sa volonté de s'acquit-
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Voilà toute l'aide que les pays anglo-
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Même les partisans d'une orientation an-
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les pays anglo-saxons interviendraient dans
la guerre de la Ruhr au profit de l'Allema-
gne, et aussi que la résistance passive
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vue sur la question des réparations. Ce
double espoir ne s'est pas réalisé. Lorsque
le cabinet Poincaré envoya, le 11 janvier,
ses contrôleurs des finances dans le bas-
sin de la Ruhr sous escorte militaire, il
était résolu à ne plus faire siennes les con-
ceptions anglaises qui avaient ramené la
dette de l'Allemagne à 132 milliards de
marks-or. Il était décidé à ne faire préva-
loir que son propre projet, à savoir « de-
mander à l'Allemagne des paiements repré-
sentant au total 26 milliards de marks-or,
si toutefois la France était libérée de ses
paiements à effectuer à l'Angleterre et aux
Etats-Unis ; au cas où les pays anglo-
saxons ne seraient pas disposés à régler
ainsi la question des dettes, la France
devrait demander en plus des 26 milliards
de marks-or une couverture destinée à as-
surer ses paiements à l'Angleterre et aux
Etats-Unis ».
Aujourd'hui, après cinq mois de guerre
dans la Ruhr, le cabinet Poincaré n'a pas
changé sa manière de voir. La guerre de
la Ruhr n'a pu également le faire revenir
sur sa décision d'exploiter, vu l'absence de
garanties suffisantes pour l'exécution dos
obligations de l'Allemagne, toutes les pos-
sibilités qu'offraient les territoires ancien-
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paiement des réparations. Autre chose : la
majorité qui soutient à la Chambre la po-
litique des réparations de Poincaré n'a
pas diminué, au contraire. La résistance
passive de l'Allemagne contre le contrôle
franco-belge dans le bassin de la Ruhr a
amené Herriot à se ranger aux côtés de
Poincaré pour la politique extérieure, si
bien que Vorwarts, qui est fortement an-
glophile, a dû avouer, après l'une des der-
nières victoires de Poincaré à la Chambre,
que le cabinet français actuel était plus so-
lide que jamais. Ainsi, au point de vue po-
litique extérieur, la guerre de la Ruhr ne
nous a valu aucun succès apparent. Au
point de vue moral, l'actif de l'Allemagne
(et aussi de la France) eût été certaine-
ment plus important, si le Reichstag, au
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En examinant maintenant si la guerre de
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nous garder d'attacher trop d'importance
aux nouvelles de l'agence Wolff, dont on a
dit qu'elles ressemblent tristement aux
communiqués quotidiens de Ludendorff. Ce
qui se rapproche le plus de la vérité, ce se-
rait sans doute un rapport du « Sozialdemo-
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çait récemment que les troupes françaises
et belges « tenaient ferme le bassin de la
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tous le système des transports allemands
était arrêté, que les transports organisés
par les Français pour enlever le charbon et
le coke comprenaient 7 a 800 wagons par
jour, soit un débit mensuel de 200.000 ton-
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tout transport par voie ferrée ou par systè-
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