Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-06-22
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 22 juin 1923 22 juin 1923
Description : 1923/06/22 (T24,N2383). 1923/06/22 (T24,N2383).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467055z
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
ltflNISTERE
r DBS
Vg, S TETRANGÈRES
N° 2383
Vendredi 22 juin 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les article
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
i
SOMMAIRE
h,1'1 - ~))r.. ).crctbinc~Ba.]dwin
f'1 |\,°ma«ne (Théodor Wolff dans
>W/,- C'' rtfjeblall).
'fSF .,
!;lIJ'n:\\GL\ISE. - Le 'lucstinnnaire bri-
'fJa'[ 'n !l ; vant la réponse française
!-:rIt!' etcfjraph, Time). — La Petite
'li'(-'It!( et la Bulgarie (Daily Tele-
11-- J. La Perse et les soviets
JJI- - nJ , liftes).
'1\'1-'
HI)r¡ÙISSE. - La Petile Entente et la
'io ',..,tlt'Je (nUI/ri, journal de Genève).
POLITIQUE GENERALE
LEs RÉPARATIONS
ILt Q{J
"Ir t:'I'IONNAIRE BRITANNIQUE.
i! ! La h p ONSE française. - La presse lon-
lts r 21.6 Se Pl, (ÎO oeupe de savoir quelles
, ton i n'Ces' générales de la réponse
i ^iU( au, lllClllorandull1 britannique.
l'" UI:!ft'UI' [
:1 (/Il': <.1!J,qll1-ulique du Daily Telegraph
¡",I;<'t¡rlirlll'J11 s\st fait illusion dans les milieux
su
l|f'e tl<^ ii, Possibilité d'un changement
¡J, lu. trunce •
/JI ::IUitp d
[>'., 1' «Uito f|.1 retard apporté par la pro
l :,!UiS(, C| a '-lise ministériel'le belge à
d^' ou Londres de la réponse firan-
Il bJ"fr lC.o-beIO'-e au récent memoran-
,,,-'t
[{%s "t- d Illque, le Problème des répara-
li] rUlu 11 u Pas figuré à l'ordre
l'l' S'-ance -
(liq it
I i^^ît s'nttetdl e à un tel retard, fort
1;1: Jr bieii o,,^ | n ait pas été strictement
d"r r¡C!-Br' t a. procédure diplomatique de la
fe(-aan°'- si le questionnaire ré-
i,. 'ilb]tne F Oelgn Office appelait incon-
"é onse directe de Paris,
'i¡t "¡ :"lem
ent belge, à qui ce document
,rir,|. 'essé '.-1 titpe de courtoisie, avait
Irlr Ib"rt. n?Ur ^pondre ou non. Le me-
Ir. c e P
til, '^cièfe Un Passage qui s'adresse ex-
f;^i eiiient i ]* France. Mais M. Poincaré
l'o/.JIIVa.it v .la. France. Mais M. Poincaré
i, pr J'lvait vj ernent pas agir sans confé-
,,¡.. 1 J. '< S' De leur côte, M. Theu-
';j nb!.nbl J-"U', S]I S ont aI, connaître,
jllr'I],' rljp]o erit à tiitre officieux et par
i'"1 Vo• '[ ^iplorn aiici'u'e' leur attitude éven-
*" Lf^ £ >a,rd ,
'lt¡(JllS f 1 du mémorandum et des ob-
U ees à son sujet par le pré-
sident du Conseil français, n'auront pas cru
pouvoir sans doute; s'engager formellement,
avant d'être assurés du succès des efforts
de M. Theunis en vue de former un nou-
veau cabinet belge.
Je crains que les nouvelles annonçant que
M. Poincaré aurait abandonné complète-
ment son point de vue antérieur sur quel-
ques-unes des principales questions en li.
tige n'apparaissent plus tard comme dan-
geureusement erronées. Rien ne prouve jus-
qu'à présent qu'en cas de cessation de la
résistance passive allemande le gouverne-
ment français serait disposé à donner à l'oc-
cupation un caractère entièrement invisible
et à lever tout contrôle direct sur les che-
mins de fer, les mines et autres sources de
recettes. Les renseignements dont nous dis-
posons attesteraient plutôt le contraire, et
comme je le faisais observer récemment, il
existe à ce sujet des divergences considéra-
bles entre l'opinion britannique et l'opinion
française, et elles seraient plus accentuées
encore entre Berlin et les syndicats alle-
mands d'une part et la France de l'autre.
Si éloignées que puissent sembler en ap-
parence .la question des coupons, de la dette
ottomane et celle des réparations alleman-
des, un lien existe pourtant contre les deux
problèmes. Entre autres nombreuses rai.
sons, le gouvernement français refuse d'ac-
cepter un paiement des coupons en francs-
papier, parce qu'une concession de ce genre
favoriserait peut-être la possibilité pour
l'Allemagne de s'acquitter en francs-papier
et non en marks-or. — (Du rédacteur di-
plomatique).
DAIT,Y TELEGRAPH, 21.6.
— Le correspondant parisien du Times indi-
que comment la France entendrait la cessation
de la résistance passive :
De Paris : Je crois savoir que l'ambas-
sadeur de Belgique à Paris, le baron Gaiffier
d'tlestroy. s'est rendu ce matin au Quai
d'Orsay et a assisté à la conférence des am-
bassadeurs. On croit qu'il a mis M. Poinca-
ré au courant du point de vue belge en ce
qui concerne les questions soulevées dans le
mémorandum britannique. Cela n'est pas
confirmé, toutefois, et il est peut-être pré-
maturé de supposer que Paris et Bruxelles
sont d'accord. Cependant le gouvernement
britannique recevra sans doute bientôt
les réponses franco-belges au questionnaire.
D'après ce que j'ai appris, le consul de
Saint-Aulaire et le baron Moncheur, ambas-
sadeurs de France et de Belgique à Lon-
dres, communiqueront ces réponses au Fo-
reign Office. Bien qu'actuellement Londres
soit le centre de l'activité diplomatique, on
s'attend qu'immédiatement après que ,cer-
tains points auront été réglés, la scène
soit transportée à Paris et que s'ouvrent
des conversations entre lord Crewe et M.
Poincaré. Quand on en sera arrivé là, il est
à croire que les choses avanceront vite.
M. Poincaré ne sera pas obligé de montrer
dans ces entrevues personnelles cette rigi-
dité et cette sécheresse qu'on dit, à tort ou
à raison, marquer trop souvent ses commu-
nications écrites. Et même les conversations
de Londres sont considérées à présent com-
me devant être orales, bien qu'il soit pas
sible qu'on y fasse usage de memoranda. Le
désir d'une procédure souple, dont témoi-
gne la France, est significatif. Même si
les opinions respectives des trois cabinets
sont quelque peu opposées, les Français ne
veulent pas que les points de vue exposés
le soient d'une manière assez définie pour
exclure toute possibilité d'accommodement.
On pourra ne pas être d'accord dès le début,
mais si les négociations se poursuivent, sous
la forme non de documents écrits, mais de
conversations qui n'engagent à rien, on es-
père qu'un rapprochement pourra aboutir.
Les nouvelles graves que l'on reçoit de
Berlin conduisent indubitablement à se de-
mander si la France et la Grande-Bretagne
se mettront d'accord assez rapidement pour
empêcher la catastrophe qui menace l'Alle-
magne. Ce que l'on craint le plus, c'est que,
comme d'habitude, l'accord se fasse trop
tard pour éviter les conséquences prévues
par tous ceux qui ont suivi, ces derniers
temps, la situation internationale.
J'apprends que les Français avaient d'a-
bord formulé neuf ou dix conditions au su-
jet de la cessation de la résistance passive
dans la Ruhr, mais ces demandes ont été
réduites. Les Français demandent seule-
ment, aujourd'hui, que le gouvernement al-
lemand abroge les ordonnances et les ins-
tructions secrètes envoyées de Berlin de-
puis le 11 janvier. Les Français exigent, na-
turellement, que cette abrogation n'ait pas
lieu seulement dans la forme. On se rend
compte que le. gouevrnement allemand
pourrait en même temps donner des instruc-
tions confidentielles en sens contraire afin
de montrer qu'il n'est plus responsable de
l'opposition qui continuera dans la Ruhr.
Aussi la France compte-t-elle que l'attitude
des fonctionnaires allemands du district
marquera, en fait, un changement radical.
Le gouvernement français ne regarderait
pas toutefois des faits isolés comme une
preuve de ,la persistance de la résistance.
La responsabilité des cas individuels de sa-
botage ne serait pas imputée au gouverne-
ment allemand, pas plus que les inévitables
troubles ouvriers. Les Français, autant que
j'ai pu m'en assurer, regarderaient les con-
ditions comme remplies, pourvu qu'il n'y
eût pas d'opposition générale.
r DBS
Vg, S TETRANGÈRES
N° 2383
Vendredi 22 juin 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les article
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
i
SOMMAIRE
h,1'1 - ~))r.. ).crctbinc~Ba.]dwin
f'1 |\,°ma«ne (Théodor Wolff dans
>W/,- C'' rtfjeblall).
'fSF .,
!;lIJ'n:\\GL\ISE. - Le 'lucstinnnaire bri-
'fJa'[ 'n !l ; vant la réponse française
!-:rIt!' etcfjraph, Time). — La Petite
'li'(-'It!( et la Bulgarie (Daily Tele-
11-- J. La Perse et les soviets
JJI- - nJ , liftes).
'1\'1-'
HI)r¡ÙISSE. - La Petile Entente et la
'io ',..,tlt'Je (nUI/ri, journal de Genève).
POLITIQUE GENERALE
LEs RÉPARATIONS
ILt Q{J
"Ir t:'I'IONNAIRE BRITANNIQUE.
i! ! La h p ONSE française. - La presse lon-
lts r 21.6 Se Pl, (ÎO oeupe de savoir quelles
, ton i n'Ces' générales de la réponse
i ^iU( au, lllClllorandull1 britannique.
l'" UI:!ft'UI' [
:1 (/Il': <.1!J,qll1-ulique du Daily Telegraph
¡",I;<'t¡rlirlll'J11 s\st fait illusion dans les milieux
su
l|f'e tl<^ ii, Possibilité d'un changement
¡J, lu. trunce •
/JI ::IUitp d
[>'., 1' «Uito f|.1 retard apporté par la pro
l :,!UiS(, C| a '-lise ministériel'le belge à
d^' ou Londres de la réponse firan-
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,,,-'t
[{%s "t- d Illque, le Problème des répara-
li] rUlu 11 u Pas figuré à l'ordre
l'l' S'-ance
(liq it
I i^^ît s'nttetdl e à un tel retard, fort
1;1: Jr bieii o,,^ | n ait pas été strictement
d"r r¡C!-Br' t a. procédure diplomatique de la
fe(-aan°'- si le questionnaire ré-
i,. 'ilb]tne F Oelgn Office appelait incon-
"é onse directe de Paris,
'i¡t "¡ :"lem
ent belge, à qui ce document
,rir,|. 'essé '.-1 titpe de courtoisie, avait
Irlr Ib"rt. n?Ur ^pondre ou non. Le me-
Ir. c e P
til, '^cièfe Un Passage qui s'adresse ex-
f;^i eiiient i ]* France. Mais M. Poincaré
l'o/.JIIVa.it v .la. France. Mais M. Poincaré
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,,¡.. 1 J. '< S' De leur côte, M. Theu-
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i'"1 Vo• '[ ^iplorn aiici'u'e' leur attitude éven-
*" Lf^ £ >a,rd ,
'lt¡(JllS f 1 du mémorandum et des ob-
U ees à son sujet par le pré-
sident du Conseil français, n'auront pas cru
pouvoir sans doute; s'engager formellement,
avant d'être assurés du succès des efforts
de M. Theunis en vue de former un nou-
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Je crains que les nouvelles annonçant que
M. Poincaré aurait abandonné complète-
ment son point de vue antérieur sur quel-
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qu'à présent qu'en cas de cessation de la
résistance passive allemande le gouverne-
ment français serait disposé à donner à l'oc-
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et à lever tout contrôle direct sur les che-
mins de fer, les mines et autres sources de
recettes. Les renseignements dont nous dis-
posons attesteraient plutôt le contraire, et
comme je le faisais observer récemment, il
existe à ce sujet des divergences considéra-
bles entre l'opinion britannique et l'opinion
française, et elles seraient plus accentuées
encore entre Berlin et les syndicats alle-
mands d'une part et la France de l'autre.
Si éloignées que puissent sembler en ap-
parence .la question des coupons, de la dette
ottomane et celle des réparations alleman-
des, un lien existe pourtant contre les deux
problèmes. Entre autres nombreuses rai.
sons, le gouvernement français refuse d'ac-
cepter un paiement des coupons en francs-
papier, parce qu'une concession de ce genre
favoriserait peut-être la possibilité pour
l'Allemagne de s'acquitter en francs-papier
et non en marks-or. — (Du rédacteur di-
plomatique).
DAIT,Y TELEGRAPH, 21.6.
— Le correspondant parisien du Times indi-
que comment la France entendrait la cessation
de la résistance passive :
De Paris : Je crois savoir que l'ambas-
sadeur de Belgique à Paris, le baron Gaiffier
d'tlestroy. s'est rendu ce matin au Quai
d'Orsay et a assisté à la conférence des am-
bassadeurs. On croit qu'il a mis M. Poinca-
ré au courant du point de vue belge en ce
qui concerne les questions soulevées dans le
mémorandum britannique. Cela n'est pas
confirmé, toutefois, et il est peut-être pré-
maturé de supposer que Paris et Bruxelles
sont d'accord. Cependant le gouvernement
britannique recevra sans doute bientôt
les réponses franco-belges au questionnaire.
D'après ce que j'ai appris, le consul de
Saint-Aulaire et le baron Moncheur, ambas-
sadeurs de France et de Belgique à Lon-
dres, communiqueront ces réponses au Fo-
reign Office. Bien qu'actuellement Londres
soit le centre de l'activité diplomatique, on
s'attend qu'immédiatement après que ,cer-
tains points auront été réglés, la scène
soit transportée à Paris et que s'ouvrent
des conversations entre lord Crewe et M.
Poincaré. Quand on en sera arrivé là, il est
à croire que les choses avanceront vite.
M. Poincaré ne sera pas obligé de montrer
dans ces entrevues personnelles cette rigi-
dité et cette sécheresse qu'on dit, à tort ou
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nications écrites. Et même les conversations
de Londres sont considérées à présent com-
me devant être orales, bien qu'il soit pas
sible qu'on y fasse usage de memoranda. Le
désir d'une procédure souple, dont témoi-
gne la France, est significatif. Même si
les opinions respectives des trois cabinets
sont quelque peu opposées, les Français ne
veulent pas que les points de vue exposés
le soient d'une manière assez définie pour
exclure toute possibilité d'accommodement.
On pourra ne pas être d'accord dès le début,
mais si les négociations se poursuivent, sous
la forme non de documents écrits, mais de
conversations qui n'engagent à rien, on es-
père qu'un rapprochement pourra aboutir.
Les nouvelles graves que l'on reçoit de
Berlin conduisent indubitablement à se de-
mander si la France et la Grande-Bretagne
se mettront d'accord assez rapidement pour
empêcher la catastrophe qui menace l'Alle-
magne. Ce que l'on craint le plus, c'est que,
comme d'habitude, l'accord se fasse trop
tard pour éviter les conséquences prévues
par tous ceux qui ont suivi, ces derniers
temps, la situation internationale.
J'apprends que les Français avaient d'a-
bord formulé neuf ou dix conditions au su-
jet de la cessation de la résistance passive
dans la Ruhr, mais ces demandes ont été
réduites. Les Français demandent seule-
ment, aujourd'hui, que le gouvernement al-
lemand abroge les ordonnances et les ins-
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puis le 11 janvier. Les Français exigent, na-
turellement, que cette abrogation n'ait pas
lieu seulement dans la forme. On se rend
compte que le. gouevrnement allemand
pourrait en même temps donner des instruc-
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de montrer qu'il n'est plus responsable de
l'opposition qui continuera dans la Ruhr.
Aussi la France compte-t-elle que l'attitude
des fonctionnaires allemands du district
marquera, en fait, un changement radical.
Le gouvernement français ne regarderait
pas toutefois des faits isolés comme une
preuve de ,la persistance de la résistance.
La responsabilité des cas individuels de sa-
botage ne serait pas imputée au gouverne-
ment allemand, pas plus que les inévitables
troubles ouvriers. Les Français, autant que
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