Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-06-21
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 21 juin 1923 21 juin 1923
Description : 1923/06/21 (T24,N2382). 1923/06/21 (T24,N2382).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467054j
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISTERE
DES
fP4111ES f;'fRANGÈRES
N° 2382
Jeudi 21 juin 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
""-
PRESSE ALLEMANDE. — Réparations et sécu-
rité (Bernhard Dernburg dans Berliner
Tagebl att 1"">
PRESSE AMÉRICAINE. - La direction de la
New y iïr<'uiiKj J'ost {Edwin F. Gay.
dans New York Evening PliS/.). - I,n
vente 11 Voile (llnbc (New Yurk
Evening j)O\'l)
PRESSE ANGLAISE. - La situation dans la
Ruhr (all'l .\('11',\' Westminster Ga-
zette). (7" '-;i «'bute du mark (Times).
- Le régime de Tanger : les négocia-
ns franco-anglo-espagnoles (Times).
La Petite Entente et le gouvernement
,.,dl'I Guardian).
!t" i r ■m-":Nnk. LJlalil d Ja polltlqUI:
fra ,>l/:-;e (,\e("u(ü).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LA SITUATION DANS LA RUHR. -
ANGLAISE. - De Cologne. 19 juin :
Les dernières nouvelles continuent de pré-
senter sous un jour inquiétant la situation
alimentaire dans la Ruhr. D'après une in-
formation allemande, aucun train de lait
n'est parvenu hier à Essen. en raison de
P'll'l JlI 1 'l'on)
occupatio '; 1 JKn' los Franeais ( te la 'ligne
Stottenberg-Dorsten. Au cours de l'occupa-
tio 'I! li8o- Dorknund-Essen. les Fran-
tion (Fiji Dortmund-Essen, les Fran-
çais ont confisqué plusieurs dépôts de vi-
vres. D'autre part, plusi.Jl'}; d("pols ((' vi-
vres. D'autre part, les comités de contrôle
des prix dont la ^éatio-n remonte à l'épo-
des J11 a t:1'("ubioll rctnontc.\re.p~-
prix de la \'Je> l l'j'l" 1('
f||L iu ,an'd'0 à un llel (' II. 're que les
marchandes en S'r'Os J'efuspnt. d'envoyer de
nouveaux )lf)'rov's'(J'in(Mt]enls. (l'est, par la
courte que les Allemands assurent, dans la
plus large mesure possible, le transport des
revues dans la Ruhr.
existe aucun indice de fléchissement
de la politique d e résistance passive. Au
cours d'une réunion socialdémocrate tenue
Dortmund, il a été décidé que la lutte ne
devrait pas être abandonnée aussi long-
temps que les 'Jr française et. belge de-
meraient dans la Ruhr. Par ailleurs, le
ment allemand est invité à ne lais-
échapper aucun occasion d'obtenir une
entente avec les alliés. -- (Du {;OITPSPOTI-
J).1 If. r NEWS, 20.fi.
- Le rédacteur diplomatique de la Westmins-
ter (inzi'tic, H. F. Spender, recueille les décla-
rations d'un diplomate allemand, selon lequel
les organisations ouvrières de la Ruhr se refu-
seraient à, abandonner la résistance passive
avant l'ouverture des négociations. Un compro-
mis ne pourrait intervenir que sur la base du
retrait des troupes françaises et d'une amnistie
générale. Mais le gouvernement allemand ac-
cepterait rétablissement, d'une commission de
l'inirùle civile, chargée d'assurer l'exécution
des livraisons en nature, et dont la protection
pourrait être assurée, pendant un délai assez
court, par la présence d'un détachement mili-
taire peu important.
W EST Al 1N ST Eli GAZETTE, 20.6.
L'ITALIE ET LA POLITIQUE FRANÇAISE. -
Le gouvernement anglais a empêché la Yougo-
slavie d'envahir la Bulgarie. Il a été appuyé dans
celle afl'aire par le gouvernement italien.
Le gouvernement italien a sagement agi.
Les raisons mêmes qui nous conseillent.
d'approuver la politique italienne dans cette
occurrence, nous ont détourné de l'approu-
ver en janvier dernier quand le cabinet de
Rome crut bon d'adhérer à l'agressive po-
litique franco-belge qui préparait l'invasion
de la Ruhr. Si la paix a été sur le point
d'être troublée, tout récemment, dans la pé-
ninsule balkanique, des frissons guerriers
agitent de la même façon la Westphalie, ri-
che et active terre allemande, soumise de-
puis cinq mois au dur régime militaire ins-
tauré par les Franco-Belges.
L'invasion de la Ruhr est un acte qui
annule, dans sa vitalité juridique fondamen-
tale, le traité de paix : c'est en effet un
acte manifeste de guerre ; c'est une chose
que n'a prévue en aucune façon le traité de
Versailles, car elle compromet l'équilibre
des Etats européens qu'a consacré le traité.
Les sanctions prévues en cas de manquements
de l'Allemagne sont d'ordre économique et non
pas mflitaire.
Cela dit, il faut souligner que c'est le vote
du représentant italien de la Commission
des réparations, approuvant la thèse de la
France et de la Belgique, contrairement au
délégué britannique, qui a permis au gou-
vernement de Paris d'affirmer que la
France et la Belgique, en se préparant à
envahir la Ruhr, étaient pleinement d'ac-
cord avec l'Italie. La présence d'ingénieurs
italiens à Essen a donné une apparence de
vérité à ces audacieuses affirmations de la
politique française. Ainsi la politique de ré-
sistance du cabinet britannique a été, de-
puis le début, affaiblie, alors qu'il n'est pas
douteux qu'en ce qui concerne le problème
allemand, l'intérêt, de l'Italie est de renfor-
cer la politique anglaise, d'en seconder les
initiatives, d'en appuyer l'orientation paci-
fique.
Actuellement un duel serré a lieu entre
Londres et Paris : le gouvernement anglais
semble décidé à ne pas approuver la pré-
tention de 1(1 France qui exige, pour que
des pourparlers soient engagés sur les deux
notes allemandes, que la résistance cesse
d'abord dans la province d'outre-Rhin fa-
cilement conquise par les Franco-Belge,
Adhérer à cette exigence serait admettre
tacitement le bon droit de la France, sanc-
tionner la violation manifeste du traité de
paix commise par les Français. L'Angle-
terre ne peut donc y donner son adhésion,
comme elle ne peut tolérer que la France
perpétue sa domination sur la Ruhr. L'inté-
rêt strictement italien de juger de la même
manière et de poursuivre les mêmes fins
que la politique britannique est de toute
évidence.
L'Italie, au contraire, après avoir of-
fert à la France un appui qui a fait appa-
raître, au début de l'expédition, l'Angleterre
comme isolée, a, cinq mois après la désas-
treuse occupation, adressé à l'Allemagne
une invitation à renoncer à la résistance,
presque au même moment où l'Angleterre
déclarait. qu'elle n'était disposée à donner
aucune espèce d'approbation à la politique
française.
L'Angleterre, en agissant ainsi, contri-
bue manifestement à préserver les intérêts
généraux des nations d'Europe et c'est
pourquoi l'Italie devrait adhérer à la poli-
tique anglaise, l'appuyer de sa solidarité ex-
plicite.
SECOLO, 19.6.
REPARATIONS ET SECURITE. -. Sous le
titre « La skcuiutk de LA France et LA paix MON'
diale », M. Bernhard Dernburg. considère, avec,
quelques réserves, que la question devrait être
soumise à la Société des nations.
La politique impérialiste et militariste de la
France a sa source dans un sentiment très fort
chez les Français, la peur. Les Français crai-
gnent que la sécurité de leur pays ne soit que
trop fragile et le souvenir est encore vivace des
portes et des angoisses de la guerre. La. diffé-
rence de natalité entre les deux pays est dans
tous les esprits. Enfin on se rend compte en
France qu'il a fallu, pour vaincre l'Allemagne,
une coalition exceptionnelle qui ne se renouvel-
lera pas.
L'Amérique ne refera pas sa croisade ;
la muraille d'Etats érigée auiour de l'Alle-
magne n'est pas solide ; ces Etats essaie-
ront peut-être, si l'opération se présente
sans risque, d'arracher encore quelques
bons morceaux ; mais il est très douteux
qu'ils se comportent hi(#l dans un conflit
sérieux avec de grandes puissances, d'ail-
leurs ils ont de puissants ennemis dans
leur dos. L'équilibre européen n'a pas été
détruit au détriment de l'Angleterre ci des
Puissances centrales, mais l'ami tradition-
nel de la France à l'Est est terrassé. Et on
aperçoit à l'horizon des divergences d'opi-
nion et d'intérêts avec l'Angleterre, qui peu-
DES
fP4111ES f;'fRANGÈRES
N° 2382
Jeudi 21 juin 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
""-
PRESSE ALLEMANDE. — Réparations et sécu-
rité (Bernhard Dernburg dans Berliner
Tagebl att 1"">
PRESSE AMÉRICAINE. - La direction de la
New y iïr<'uiiKj J'ost {Edwin F. Gay.
dans New York Evening PliS/.). - I,n
vente 11 Voile (llnbc (New Yurk
Evening j)O\'l)
PRESSE ANGLAISE. - La situation dans la
Ruhr (all'l .\('11',\' Westminster Ga-
zette). (7" '-;i «'bute du mark (Times).
- Le régime de Tanger : les négocia-
ns franco-anglo-espagnoles (Times).
La Petite Entente et le gouvernement
,.,dl'I Guardian).
!t" i r ■m-":Nnk. LJlalil d Ja polltlqUI:
fra ,>l/:-;e (,\e("u(ü).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LA SITUATION DANS LA RUHR. -
ANGLAISE. - De Cologne. 19 juin :
Les dernières nouvelles continuent de pré-
senter sous un jour inquiétant la situation
alimentaire dans la Ruhr. D'après une in-
formation allemande, aucun train de lait
n'est parvenu hier à Essen. en raison de
P'll'l JlI 1 'l'on)
occupatio '; 1 JKn' los Franeais ( te la 'ligne
Stottenberg-Dorsten. Au cours de l'occupa-
tio 'I! li8o- Dorknund-Essen. les Fran-
tion (Fiji Dortmund-Essen, les Fran-
çais ont confisqué plusieurs dépôts de vi-
vres. D'autre part, plusi.Jl'}; d("pols ((' vi-
vres. D'autre part, les comités de contrôle
des prix dont la ^éatio-n remonte à l'épo-
des J11 a t:1'("ubioll rctnontc.\re.p~-
prix de la \'Je> l l'j'l" 1('
f||L iu ,an'd'0 à un llel (' II. 're que les
marchandes en S'r'Os J'efuspnt. d'envoyer de
nouveaux )lf)'rov's'(J'in(Mt]enls. (l'est, par la
courte que les Allemands assurent, dans la
plus large mesure possible, le transport des
revues dans la Ruhr.
existe aucun indice de fléchissement
de la politique d e résistance passive. Au
cours d'une réunion socialdémocrate tenue
Dortmund, il a été décidé que la lutte ne
devrait pas être abandonnée aussi long-
temps que les 'Jr française et. belge de-
meraient dans la Ruhr. Par ailleurs, le
ment allemand est invité à ne lais-
échapper aucun occasion d'obtenir une
entente avec les alliés. -- (Du {;OITPSPOTI-
J).1 If. r NEWS, 20.fi.
- Le rédacteur diplomatique de la Westmins-
ter (inzi'tic, H. F. Spender, recueille les décla-
rations d'un diplomate allemand, selon lequel
les organisations ouvrières de la Ruhr se refu-
seraient à, abandonner la résistance passive
avant l'ouverture des négociations. Un compro-
mis ne pourrait intervenir que sur la base du
retrait des troupes françaises et d'une amnistie
générale. Mais le gouvernement allemand ac-
cepterait rétablissement, d'une commission de
l'inirùle civile, chargée d'assurer l'exécution
des livraisons en nature, et dont la protection
pourrait être assurée, pendant un délai assez
court, par la présence d'un détachement mili-
taire peu important.
W EST Al 1N ST Eli GAZETTE, 20.6.
L'ITALIE ET LA POLITIQUE FRANÇAISE. -
Le gouvernement anglais a empêché la Yougo-
slavie d'envahir la Bulgarie. Il a été appuyé dans
celle afl'aire par le gouvernement italien.
Le gouvernement italien a sagement agi.
Les raisons mêmes qui nous conseillent.
d'approuver la politique italienne dans cette
occurrence, nous ont détourné de l'approu-
ver en janvier dernier quand le cabinet de
Rome crut bon d'adhérer à l'agressive po-
litique franco-belge qui préparait l'invasion
de la Ruhr. Si la paix a été sur le point
d'être troublée, tout récemment, dans la pé-
ninsule balkanique, des frissons guerriers
agitent de la même façon la Westphalie, ri-
che et active terre allemande, soumise de-
puis cinq mois au dur régime militaire ins-
tauré par les Franco-Belges.
L'invasion de la Ruhr est un acte qui
annule, dans sa vitalité juridique fondamen-
tale, le traité de paix : c'est en effet un
acte manifeste de guerre ; c'est une chose
que n'a prévue en aucune façon le traité de
Versailles, car elle compromet l'équilibre
des Etats européens qu'a consacré le traité.
Les sanctions prévues en cas de manquements
de l'Allemagne sont d'ordre économique et non
pas mflitaire.
Cela dit, il faut souligner que c'est le vote
du représentant italien de la Commission
des réparations, approuvant la thèse de la
France et de la Belgique, contrairement au
délégué britannique, qui a permis au gou-
vernement de Paris d'affirmer que la
France et la Belgique, en se préparant à
envahir la Ruhr, étaient pleinement d'ac-
cord avec l'Italie. La présence d'ingénieurs
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politique française. Ainsi la politique de ré-
sistance du cabinet britannique a été, de-
puis le début, affaiblie, alors qu'il n'est pas
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cer la politique anglaise, d'en seconder les
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Actuellement un duel serré a lieu entre
Londres et Paris : le gouvernement anglais
semble décidé à ne pas approuver la pré-
tention de 1(1 France qui exige, pour que
des pourparlers soient engagés sur les deux
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d'abord dans la province d'outre-Rhin fa-
cilement conquise par les Franco-Belge,
Adhérer à cette exigence serait admettre
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perpétue sa domination sur la Ruhr. L'inté-
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manière et de poursuivre les mêmes fins
que la politique britannique est de toute
évidence.
L'Italie, au contraire, après avoir of-
fert à la France un appui qui a fait appa-
raître, au début de l'expédition, l'Angleterre
comme isolée, a, cinq mois après la désas-
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presque au même moment où l'Angleterre
déclarait. qu'elle n'était disposée à donner
aucune espèce d'approbation à la politique
française.
L'Angleterre, en agissant ainsi, contri-
bue manifestement à préserver les intérêts
généraux des nations d'Europe et c'est
pourquoi l'Italie devrait adhérer à la poli-
tique anglaise, l'appuyer de sa solidarité ex-
plicite.
SECOLO, 19.6.
REPARATIONS ET SECURITE. -. Sous le
titre « La skcuiutk de LA France et LA paix MON'
diale », M. Bernhard Dernburg. considère, avec,
quelques réserves, que la question devrait être
soumise à la Société des nations.
La politique impérialiste et militariste de la
France a sa source dans un sentiment très fort
chez les Français, la peur. Les Français crai-
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tous les esprits. Enfin on se rend compte en
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L'Amérique ne refera pas sa croisade ;
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sans risque, d'arracher encore quelques
bons morceaux ; mais il est très douteux
qu'ils se comportent hi(#l dans un conflit
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leurs ils ont de puissants ennemis dans
leur dos. L'équilibre européen n'a pas été
détruit au détriment de l'Angleterre ci des
Puissances centrales, mais l'ami tradition-
nel de la France à l'Est est terrassé. Et on
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