Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-06-15
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 15 juin 1923 15 juin 1923
Description : 1923/06/15 (T24,N2377). 1923/06/15 (T24,N2377).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64670497
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MlNlSTÊRE
p DE8
^Alb ES ÉTRANGÈRES.
N° 2377
Vendredi 15 juin 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTik. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
J.. ALLEMANDE. - Le ministère Cuno et
(llill1" ts alùCe Passive (Dr Herbert Ste-
'Vilun dans Deutsche Allgemeine
JCIt«.ny J.
ANGLAISE. - Les conversations
D \iCO-brit.anniques (Daily Chronicle,
,\l!/ J.rpres, H. F. Spender dans
MoTnjSter Gazette, Daily Telegraph.
l'flld)lng Post, Daily Mail, Daily He-
litirrn - Les soviets et l'espionnage po-
ii Hr,, (Times).
nes).
(('(' ESPAGNOLE. — Le régime de Tanger
""PO'ndencia Afililar).
POLITIQUE GENERALE
tt LES RÉPARATIONS
4m CONvERSATIONS FRANCO-BRI
t¡¡, G, QUES. - PRESSE ANGLAISE. —
(i'an<] ° n letagTie est traitée en infé-
rf ^Jr<; : ii ne lui est .reconnu aucun droit
: e as cellli de se faire entendre —
I.t <:(i rrest T\.<> 1 s,.,
?01* la grâce de la France. ST
Iltérie-il, Inent impossible à l'Allemagne
p er'é,-r out ce qu'elle doit et si l'un de
ses créanciers doit être réduit à la portion
tn'llfï ^^sien anc1'G~Bretagne est la victime
h~ ee. La France n'entend prendre
,! (:(>J<1 biffn aucune partie de la réduction
a"-13retQo t, que : 10 les droits de la Gran-
V pays créancier soient,
de Bretagne comme Pays créancier soient,
: V¡Uq'b.¡ es Il traité de Versailles, tout aus-
s V^ables ^u^^cîuement que ceux de la
rance; 2° la fRance doive à la Grande-Bre-
K,„"l0e; 2° on côté Plus de 500 mimons de
de , plus de 500 millions de
l(^ stenjj r 3° la situation du commer
s¡:!r t 'lcalS situ,atio-n du coniiner
que soit, de beaucoup, plus floris-
<ï ûe i commerce britannique
el'le du commerce britannique
|' 'n PréS(w Cf c^une attitude aussi dérai-
r.). le H
e la part de la France, la de-
I 'f'0<ïuin ? Ils est faite, d'exercer u-ne pres-
sC1 ^ijr Alicrnagne pour lui faire aban-
'a pei S1.S'anoc Passive semble n'avoir
!l(: 1)°U8 Ce secondaire. Etant donné
lr. \OYons dans l'action séparée de
!,l '^Hce dans la Ruhr une infraction au
de "ersaiUes nous ne saurions in-
r t^rs/'!llles' nous ne saurions in-
kliir, 1, traité pOUr inviter l'Allemagne à
Si 1( Soon arme.
le ut de la France est d'obtenir des
V lls SeS actes sous la direction de
0incar'
Son^ inintelligibles ; si elle
s ijrio trtature continentale, ils sont
h':I¡lt'éQhi rnprendre. Cette perspective est
rr Ir 1(\ e, 1011 seuftement pour nous, mais
Ir'r ('()nt' ,-
Il ])()llr Inent lui-même, et non seule-
'Si Pour les anciens ennemis et la France,
mais aussi pour sps alliés, peut-être avant
tout pour la Belgique, mais pour l'Italie
presque à un égal degré. — (Ed.)
DAILY CHRONICLE, 13.6.
— La presse londonienne du li.6 continue
d'observer une grande réserve au sujet des dé-
libérations du cabinet. Les déclarations de M.
lîaklwin au Parlement sont ajournées. Des
journaux d'opinion aussi différente que le Daily
Express et la Westminster Gazette envisagent
la possibilité d'une issue heureuse des pour-
parlers :
Comme la France n'est pas disposée à
prendre part à une conférence à moins que
la Grande-Bretagne ne se joigne à elle pour
protester auprès de l'Allemagne contre la
résistance passive, on estime que M. Poin-
caré pourrait tout au moins exposer com-
plètement ses vues sous forme d'une note.
Nous serions ainsi renseignés à leur sujet
et nous saurions ce que pense la France
de la politique future des réparations.
Des déclarations parlementaires seraient,
à l'heure actuelle, tout à fait déplacées, et,
à la' demande du gouvernement, lés ques-
tions posées au Premier Ministre ont été
ajournées.
A l'heure actuelle, la Grande-Bretagne
n'est pas en mesure d'intervenir dans la
question de la résistance allemande ; mais,
si la France voulait examiner la note alle-
mande de concert avec les alliés, et au cas
où un accord semblerait possible, la Gran-
de-Bretagne pourrait alors consentir à de-
mander avec les autres alliés que le gou-
vernement allemand abandonnât la résis-
tance pour ce qui est des mesures dues à
son initiative. A titre d'exemple, les péna-
lités prévues contre les Allemands qui don-
nent leur concours aux autorités françaises
devraient être levées.
Le gouvernement britannique, estime,
après ample réflexion, qu'il ne serait pas
impossible de modifier l'offre allemande
dans un sens favorable si seulement la
France voulait participer à l'étude de ce
document. — (Du rédacteur parlementaire.)
DAILY EXPRESS, 14.6.
— Le rédacteur diplomatique de la Westmins-
ter Gazette, H. F. Spender, annonce que M.
Baldwin va demander de nouveaux éclaircis-
sements aux gouvernements alliés :
Avant de placer un plan d'action sous
les yeux du cabinet, M. Baldwin désire ob-
tenir des renseignements plus complets sur
l'attitude de la France, de la Belgique et de
l'Italie. touchant les points actuellement en
discussion entre les alliés.
Le fait que des pourparlers sont en cours
entre Paris et Londres est accueilli dans
des milieux bien informés comme un ex-
cellent indice qu'une entente pourrait fina-
lement s'établir au sujet des difficultés cau-
sées par la demande de la France, d'une
capitulation complète de l'Allemagne en ce
qui concerne la résistance passive dans la
Ruhr.
Les conversations récentes ont eu un ca-
ractère franc et amical, et on ne pensait pas
hier soir qu'il y eût lieu d'abandonner l'es-
poir d'une entente de la France et de la
Grande-Bretagne sur l'attitude à adopter
respectivement par ces deux pays vis-à-vis
de l'Allemagne. Il existe au contraire des
raisons d'espérer que le fossé qui sépare
les points de vue français et. britannique
pourra être comblé.
Le ton de la presse française est moins
acerbe et il semble qu'on se fasse désormais
en France une idée plus juste de la posi-
tion de la Grande-Bretagne. — H. F. Spen-
der.
WESTMINSTER GAZETTE, 14.6.
— Il ne semble pas que le cabinet bri-
tannique ait pris, à proprement parler, de
décisions au sujet des réparations et de la
Ruhr, de sorte qu'il n'y a guère lieu de
s'attendre à une déclaration ministérielle
avant la fin de la présente semaine ou plu-
tôt le commencement de la semaine pro-
chaine. On croit savoir, cependant, que l'on
se propose, en dehors des échanges de vues
qui se poursuivent déjà entre Londres et
Rome, de chercher à faire la lumière sur
l'attitude française — ou plutôt franco-belge
— présente et future, sur certains points.
par exemple ce que l'on entend au juste en
demandant la cessation de la résistance pas-
sive et comment les gouvernements fran-
çais et belge envisageraient, dans certaines
éventualités, la modification de la formule
actuelle de leur occupation, tant militaire
qu'économique. Il serait très intéressant,
et très, précieux en ce moment, avant de
prendre des décisions critiques et délicates
d'avoir une idée nette, et générale de la du-
rée que nos alliés envisagent pour leur
occupation de la Ruhr. En admettant qua
l'Allemagne donne des garanties satisfai-
santes, auraient-ils l'intention de mainte-
nir l'occupation pendant toute la période
du moratoire et peut-être même au delà!
A quel moment et de quelle façon l'occu-
pation militaire prendrait-elle le caractère
de ce que l'on a appelé une « occupation
invisible » ?.
La France n'a montré jusqu'ici aucune
disposition à faire la moindre concession
au point de vue britannique. Tel est le
fait brutal qui domine la situation actuelle.
- (Du correspondant diplomatique.)
DAILY TELEGRAPH, U.C.
- On s'est fait, dans certains milieux,
une idées absolument fausse sur l'objet de
la longue séance du cabinet britannique qui
p DE8
^Alb ES ÉTRANGÈRES.
N° 2377
Vendredi 15 juin 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTik. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
J.. ALLEMANDE. - Le ministère Cuno et
(llill1" ts alùCe Passive (Dr Herbert Ste-
'Vilun dans Deutsche Allgemeine
JCIt«.ny J.
ANGLAISE. - Les conversations
D \iCO-brit.anniques (Daily Chronicle,
,\l!/ J.rpres, H. F. Spender dans
MoTnjSter Gazette, Daily Telegraph.
l'flld)lng Post, Daily Mail, Daily He-
litirrn - Les soviets et l'espionnage po-
ii Hr,, (Times).
nes).
(('(' ESPAGNOLE. — Le régime de Tanger
""PO'ndencia Afililar).
POLITIQUE GENERALE
tt LES RÉPARATIONS
4m CONvERSATIONS FRANCO-BRI
t¡¡, G, QUES. - PRESSE ANGLAISE. —
(i'an<] ° n letagTie est traitée en infé-
rf ^Jr<; : ii ne lui est .reconnu aucun droit
: e as cellli de se faire entendre —
I.t <:(i rrest T\.<> 1 s,.,
?01* la grâce de la France. ST
Iltérie-il, Inent impossible à l'Allemagne
p er'é,-r out ce qu'elle doit et si l'un de
ses créanciers doit être réduit à la portion
tn'llfï ^^sien anc1'G~Bretagne est la victime
h~ ee. La France n'entend prendre
,! (:(>J<1 biffn aucune partie de la réduction
a"-13retQo t, que : 10 les droits de la Gran-
V pays créancier soient,
de Bretagne comme Pays créancier soient,
: V¡Uq'b.¡ es Il traité de Versailles, tout aus-
s V^ables ^u^^cîuement que ceux de la
rance; 2° la fRance doive à la Grande-Bre-
K,„"l0e; 2° on côté Plus de 500 mimons de
de , plus de 500 millions de
l(^ stenjj r 3° la situation du commer
s¡:!r t 'lcalS situ,atio-n du coniiner
que soit, de beaucoup, plus floris-
<ï ûe i commerce britannique
el'le du commerce britannique
|' 'n PréS(w Cf c^une attitude aussi dérai-
r.). le H
e la part de la France, la de-
I 'f'0<ïuin ? Ils est faite, d'exercer u-ne pres-
sC1 ^ijr Alicrnagne pour lui faire aban-
'a pei S1.S'anoc Passive semble n'avoir
!l(: 1)°U8 Ce secondaire. Etant donné
lr. \OYons dans l'action séparée de
!,l '^Hce dans la Ruhr une infraction au
de "ersaiUes nous ne saurions in-
r t^rs/'!llles' nous ne saurions in-
kliir, 1, traité pOUr inviter l'Allemagne à
Si 1( Soon arme.
le ut de la France est d'obtenir des
V lls SeS actes sous la direction de
0incar'
Son^ inintelligibles ; si elle
s ijrio trtature continentale, ils sont
h':I¡lt'éQhi rnprendre. Cette perspective est
rr Ir 1(\ e, 1011 seuftement pour nous, mais
Ir'r ('()nt' ,-
Il ])()llr Inent lui-même, et non seule-
'Si Pour les anciens ennemis et la France,
mais aussi pour sps alliés, peut-être avant
tout pour la Belgique, mais pour l'Italie
presque à un égal degré. — (Ed.)
DAILY CHRONICLE, 13.6.
— La presse londonienne du li.6 continue
d'observer une grande réserve au sujet des dé-
libérations du cabinet. Les déclarations de M.
lîaklwin au Parlement sont ajournées. Des
journaux d'opinion aussi différente que le Daily
Express et la Westminster Gazette envisagent
la possibilité d'une issue heureuse des pour-
parlers :
Comme la France n'est pas disposée à
prendre part à une conférence à moins que
la Grande-Bretagne ne se joigne à elle pour
protester auprès de l'Allemagne contre la
résistance passive, on estime que M. Poin-
caré pourrait tout au moins exposer com-
plètement ses vues sous forme d'une note.
Nous serions ainsi renseignés à leur sujet
et nous saurions ce que pense la France
de la politique future des réparations.
Des déclarations parlementaires seraient,
à l'heure actuelle, tout à fait déplacées, et,
à la' demande du gouvernement, lés ques-
tions posées au Premier Ministre ont été
ajournées.
A l'heure actuelle, la Grande-Bretagne
n'est pas en mesure d'intervenir dans la
question de la résistance allemande ; mais,
si la France voulait examiner la note alle-
mande de concert avec les alliés, et au cas
où un accord semblerait possible, la Gran-
de-Bretagne pourrait alors consentir à de-
mander avec les autres alliés que le gou-
vernement allemand abandonnât la résis-
tance pour ce qui est des mesures dues à
son initiative. A titre d'exemple, les péna-
lités prévues contre les Allemands qui don-
nent leur concours aux autorités françaises
devraient être levées.
Le gouvernement britannique, estime,
après ample réflexion, qu'il ne serait pas
impossible de modifier l'offre allemande
dans un sens favorable si seulement la
France voulait participer à l'étude de ce
document. — (Du rédacteur parlementaire.)
DAILY EXPRESS, 14.6.
— Le rédacteur diplomatique de la Westmins-
ter Gazette, H. F. Spender, annonce que M.
Baldwin va demander de nouveaux éclaircis-
sements aux gouvernements alliés :
Avant de placer un plan d'action sous
les yeux du cabinet, M. Baldwin désire ob-
tenir des renseignements plus complets sur
l'attitude de la France, de la Belgique et de
l'Italie. touchant les points actuellement en
discussion entre les alliés.
Le fait que des pourparlers sont en cours
entre Paris et Londres est accueilli dans
des milieux bien informés comme un ex-
cellent indice qu'une entente pourrait fina-
lement s'établir au sujet des difficultés cau-
sées par la demande de la France, d'une
capitulation complète de l'Allemagne en ce
qui concerne la résistance passive dans la
Ruhr.
Les conversations récentes ont eu un ca-
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hier soir qu'il y eût lieu d'abandonner l'es-
poir d'une entente de la France et de la
Grande-Bretagne sur l'attitude à adopter
respectivement par ces deux pays vis-à-vis
de l'Allemagne. Il existe au contraire des
raisons d'espérer que le fossé qui sépare
les points de vue français et. britannique
pourra être comblé.
Le ton de la presse française est moins
acerbe et il semble qu'on se fasse désormais
en France une idée plus juste de la posi-
tion de la Grande-Bretagne. — H. F. Spen-
der.
WESTMINSTER GAZETTE, 14.6.
— Il ne semble pas que le cabinet bri-
tannique ait pris, à proprement parler, de
décisions au sujet des réparations et de la
Ruhr, de sorte qu'il n'y a guère lieu de
s'attendre à une déclaration ministérielle
avant la fin de la présente semaine ou plu-
tôt le commencement de la semaine pro-
chaine. On croit savoir, cependant, que l'on
se propose, en dehors des échanges de vues
qui se poursuivent déjà entre Londres et
Rome, de chercher à faire la lumière sur
l'attitude française — ou plutôt franco-belge
— présente et future, sur certains points.
par exemple ce que l'on entend au juste en
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sive et comment les gouvernements fran-
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éventualités, la modification de la formule
actuelle de leur occupation, tant militaire
qu'économique. Il serait très intéressant,
et très, précieux en ce moment, avant de
prendre des décisions critiques et délicates
d'avoir une idée nette, et générale de la du-
rée que nos alliés envisagent pour leur
occupation de la Ruhr. En admettant qua
l'Allemagne donne des garanties satisfai-
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nir l'occupation pendant toute la période
du moratoire et peut-être même au delà!
A quel moment et de quelle façon l'occu-
pation militaire prendrait-elle le caractère
de ce que l'on a appelé une « occupation
invisible » ?.
La France n'a montré jusqu'ici aucune
disposition à faire la moindre concession
au point de vue britannique. Tel est le
fait brutal qui domine la situation actuelle.
- (Du correspondant diplomatique.)
DAILY TELEGRAPH, U.C.
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