Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-06-14
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 14 juin 1923 14 juin 1923
Description : 1923/06/14 (T24,N2376). 1923/06/14 (T24,N2376).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467048t
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MIN ISTERE
DES
Ity M**s ÉTRANGÈRES
N° 2376
Jeudi 14 juin 1923
a
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - 11 est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
J:.;¡: .)' .M,\NDt;. — Les nouvelles propo-
: u-|-KM,\NDE. — Les nouvelles propo-
I;lliull allemandes (Rudolf Breitscheid
I[illls Gioe"'e). - Le discours de M. Cu-
HoJ 1.1 .\Junster (Kulnische Zeitung).
j A\GLAISE. - La capacité de paiement
;.f l'Allemagne: urie lettre de M. Lloyd
(.ges (Time s). - Une déclaration du
'Jlonel House (Times). - Les conversa-
lioils franco-britanniques (Manchester
(t llhr (Times). - Le nouveau gouver-
ent bulgare (Daily Telegraph).
'----- —————————————
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
CAPACITE DE PAIEMENT DE l al-
ttor' GNE, -- UNE LETTRE DE M. LLOYD
%)!),,,, A1, WHECTKUH DU « TIMES ». -
* « Monsieur, dans votre éditorial intitulé
N'ors Ulle conférence » [Cf. Bulletin,
-175 £ 1^'os 1 après avoir blâmé le
l 'Mi de croire que « l'Allemagne
(i'' payer des sommes presque
I.!{',\'d 1') ,>s 'Vous ajou'ez, « c'est M.
l'(\S SI pjî°' "U° qUI, le premier, a demallcle
s,Jin| exorhitanl,'s o. Ceci n'est pas
.fs '■ IJ mond(. (raccord avec les faits.
"f's l'rpi 'Uf's chiffres de réparations qui
*•''!]( :;| l IjlfI] l,s ,°'°nus VI!;I' les iv sonl tombés d'accord en jan-
J'nc ii).)'Jnniï)r la publication des comp-
le démontrera, tout le long de
1\ ddi'S 1 '¡'f ayais insisté pour qu'on s'en
11,1 à (]0 , ''Offres modérés, .le me suis op-
posé ] toutes mes forces à la demande
^r,V|i;^T<< Ulformulée par M. Doumer, mi-
î''sl|v ,j'Sp. aunces français. Les annuités
nistre des Finances français. Les annui ré-
%,. ,j. détermine salit le re-
ell\'II\, ( '111 compromis. On décida de les
flrn"JI' 1 <1 Allemagne, non pas comme la
'If' (li, l,lîaIe dps nlJiés,m.tÏs comme base
• fJisf|,s,,12n POlir une conférence devant
s '"ni). < ,.ondrps an mois de mars sui-
/v! "H ot r( IdqnelJp l'Allemagne serait repré-
(>i!l'l'il:' '- nm es, quelles étaient-elles ?
v 0>c^îr'llcmcn| les paroles dont où
tJ)i,p Sfrvj V1 l0LTr sujet 'dans la note sou-
d Dr f*;^mons. ministre des Fi-
l'<,||fltoo
'1 f's d'u "emagne, à la conférence de
(S
r
^il^is (pr ac'uelle (les qunrnnte-deux an-
,'tf'r:I)Ilr¡(\ 8 1! 29 Janvier, escomptées au taux
r ° 8 o/n Par an, donneraient un total dé-
passant cinquante milliards de marks-or,
(2 milliards 500 millions de livres). Un
chiffre semblable a été mentionné à plu-
sieurs reprises dans la presse alliée. De
cette somme de cinquante milliards de
marks-or en chiffres ronds, il faut déduire
le total qui a jusqu'à présent été payé,
cédé, et livré par l'Allemagne pour le
compte des réparations. -.)
« Huit pour cent est un taux trop élevé,
mais à six pour cent la valeur actuelle
des annuités de janvier approcherait de
soixante milliards de marks-or, soit 3 mil-
liards de livres.
« Je vois que le Times de cette date, com-
mentant la décision de la conférence disait :
« C'est quelque chose d'être arrivé ou re-
venu à un point de vue que les alliés n'au-
raient jamais dû quitter. M. Lloyd George,
en particulier, mérite des félicitations pour
son retour à la vraie foi. » Ceci veut dire
que je suis supposé avoir jusqu'alors pré-
conisé des chiffres beaucoup plus modérés
que ceux que j'ai acceptés à cette confé-
rence. Cette supposition est juste. A la
suite de la conférence de Londres avec l'Al-
lemagne et d'une autre tenue, en mai, les
propositions de janvier ont été sérieusement
réduites. La demande de mai, qui a été ac-
ceptée par l'Allemagne et qui a depuis servi
de base Iti toute discussion représentait
alors la somme de 2 milliards 500 millions
de livres. Tels sont les seuls chiffres que je
sois responsable d'avoir jamais demandés à
l'Allemagne. Les 6 milliards 600 millions de
livres auxquels on a si souvent fait allu-
sion sont le chiffre auquel la commission
des réparations a fixé les dommages.
« Quant au chiffre auquel la capacité de
paiement de l'Allemagne a été fixée par la
conférence, c'est une autre affaire. Ce chif-
fre est représenté par les annuités deman-
dées a l'Allemagne et qui se monteraient ac-
tuellement à un capital de 2.500 millions de
livres. Je ne suis pas responsable des chif-
fres ridicules auxquels on est arrivé en ad-
ditionnant les sommes payées, capital et in-
térêt, pendant quarante-deux ans, procédé
qui, à ce qu'on prétend, vous donne 11 mil-
liards 300 millions de livres, au lieu de 2 mil-
liards 500 millions selon les calculs du mi-
nistre des finances d'Allemagne. Si l'on
adoptait un procédé similaire pour notre det-
te nationale, elle serait quadruplée.
« Quant à ce que vous dites sur le fait
qu'on a ajouté les pensions aux réparations,
il est très vrai que la délégation de l'Empire
britannique a déclaré que les pensions de-
vraient être comprises dans les réclamations
concernant les dommages causés. Elle a ju-
gé que c'était en elle-même une réclamation
juste et la seule manière qu'eût l'Empire
britannique de s'assurer quelque chose en
rapport avec les gigantesques charges qu'il
a supportées - les plus lourdes parmi toutes
celles des alliés. On suggère maintenant
que nous devrions renoncer tout à fait à
cette demande. Ceci réduirait notre part des
sommes reçues pour les réparations à un
chiffre au-dessous de celui des pays dont les
sacrifices ne sont pas comparables aux nô-
tres. Que diront les Dominions de cette pro-
position ? Et que dira le contribuable britan-
nique si on lui dit qu'il devra payer un mil-
liard de livres aux Etats-Unis d'Amérique
pour dettes contractées en fournitures aux
alliés, tandis qu'il devra en même temps
abandonner les trois-quarts de sa part des
réparations allemandes et la totalité des
sommes qui lui sont dues pour avances à
d'autres pays moins lourdement taxés et
plus prospères.
« Votre, e tc.
D. Lloyd George.
18. Abingdon-Street. Westminster S. W. L.
12 juin.
TIMES, 13.6.
LES NOUVELLES PROPOSITIONS AL-
LEMANDES. - L'ATTITUDE DES PARTIS ALLE-
MANDS. - Les dirigeants de la Socialdémo-
cratie et de « l'entente des partis bourgeois »
étaient d'accord sur un point, c'est que l'Al-
lemagne devait indiquer cette fois une
somme totale déterminée ou fixer au moins
le montant correspondant de ses annuités,
et que cette somme devait être de 30 mil-
liards de marks-or. Le Chancelier et le mi-
nistre des Affaires étrangères s'opposèrent
à cette demande. 30 milliards leur sem-
blaient être une somme trop élevée, et
comme ils savaient bien qu'il n'était pas bon
d'offrir moins, ils ne voulurent pas s'atta-
cher à un chiffre déterminé, mais s'en re-
mettre pour tout à l'arbitrage d'experts in-
ternationaux. C'est là qu'était la menace
d'un conflit.
Au dernier moment on vint au secours du
gouvernement. Il fit savoir aux chefs de
partis qu'il avait reçu d'Anglais bien ren-
seignés et dignes de foi l'information que
des membres influents du gouvernement de
Londres pensaient qu'il valait mieux ne ci-
ter aucun chiffre. On dit que l'Angleterre
cherchait à provoquer une conférence des
alliés, que l'Allemagne pouvait espérer y
être admise plus tard et que ses obliga-
tions y seraient établies après examen de
sa capacité de paiement. Les hommes poli-
tiques bourgeois déclarèrent qu'il fallait faire
confiance au gouvernement et consentirent
à ce que l'on renonçât à citer un chiffre. Les
socialdémocrates laissèrent au cabinet sa
responsabilité, parce qu'ils ne pourraient
juger la valeur des informations anglaises.
C'est ainsi que Cuno et Rosenberg firent
prévaloir leur volonté. Le contrôle exercé
par les chefs de partis — sur lequel
d'ailleurs on peut avoir des opinions diffé-
rentes, quant à son caractère constitution-
DES
Ity M**s ÉTRANGÈRES
N° 2376
Jeudi 14 juin 1923
a
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - 11 est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
J:.;¡: .)' .M,\NDt;. — Les nouvelles propo-
: u-|-KM,\NDE. — Les nouvelles propo-
I;lliull allemandes (Rudolf Breitscheid
I[illls Gioe"'e). - Le discours de M. Cu-
HoJ 1.1 .\Junster (Kulnische Zeitung).
j A\GLAISE. - La capacité de paiement
;.f l'Allemagne: urie lettre de M. Lloyd
(.ges (Time s). - Une déclaration du
'Jlonel House (Times). - Les conversa-
lioils franco-britanniques (Manchester
(t llhr (Times). - Le nouveau gouver-
ent bulgare (Daily Telegraph).
'----- —————————————
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
CAPACITE DE PAIEMENT DE l al-
ttor' GNE, -- UNE LETTRE DE M. LLOYD
%)!),,,, A1, WHECTKUH DU « TIMES ». -
* « Monsieur, dans votre éditorial intitulé
N'ors Ulle conférence » [Cf. Bulletin,
-175 £ 1^'os 1 après avoir blâmé le
l 'Mi de croire que « l'Allemagne
(i'' payer des sommes presque
I.!{',\'d 1') ,>s 'Vous ajou'ez, « c'est M.
l'(\S SI pjî°' "U° qUI, le premier, a demallcle
s,Jin| exorhitanl,'s o. Ceci n'est pas
.fs '■ IJ mond(. (raccord avec les faits.
"f's l'rpi 'Uf's chiffres de réparations qui
*•''!]( :;| l
J'nc ii).)'Jnniï)r la publication des comp-
le démontrera, tout le long de
1\ ddi'S 1 '¡'f ayais insisté pour qu'on s'en
11,1 à (]0 , ''Offres modérés, .le me suis op-
posé ] toutes mes forces à la demande
^r,V|i;^T<< Ulformulée par M. Doumer, mi-
î''sl|v ,j'Sp. aunces français. Les annuités
nistre des Finances français. Les annui ré-
%,. ,j. détermine salit le re-
ell\'II\, ( '111 compromis. On décida de les
flrn"JI' 1 <1 Allemagne, non pas comme la
'If' (li, l,lîaIe dps nlJiés,m.tÏs comme base
• fJisf|,s,,12n POlir une conférence devant
s '"ni). < ,.ondrps an mois de mars sui-
/v! "H ot r( IdqnelJp l'Allemagne serait repré-
(>i!l'l'il:' '- nm es, quelles étaient-elles ?
v 0>c^îr'llcmcn| les paroles dont où
tJ)i,p Sfrvj V1 l0LTr sujet 'dans la note sou-
d Dr f*;^mons. ministre des Fi-
l'<,||fltoo
'1 f's d'u "emagne, à la conférence de
(S
r
^il^is (pr ac'uelle (les qunrnnte-deux an-
,'tf'r:I)Il
r ° 8 o/n Par an, donneraient un total dé-
passant cinquante milliards de marks-or,
(2 milliards 500 millions de livres). Un
chiffre semblable a été mentionné à plu-
sieurs reprises dans la presse alliée. De
cette somme de cinquante milliards de
marks-or en chiffres ronds, il faut déduire
le total qui a jusqu'à présent été payé,
cédé, et livré par l'Allemagne pour le
compte des réparations. -.)
« Huit pour cent est un taux trop élevé,
mais à six pour cent la valeur actuelle
des annuités de janvier approcherait de
soixante milliards de marks-or, soit 3 mil-
liards de livres.
« Je vois que le Times de cette date, com-
mentant la décision de la conférence disait :
« C'est quelque chose d'être arrivé ou re-
venu à un point de vue que les alliés n'au-
raient jamais dû quitter. M. Lloyd George,
en particulier, mérite des félicitations pour
son retour à la vraie foi. » Ceci veut dire
que je suis supposé avoir jusqu'alors pré-
conisé des chiffres beaucoup plus modérés
que ceux que j'ai acceptés à cette confé-
rence. Cette supposition est juste. A la
suite de la conférence de Londres avec l'Al-
lemagne et d'une autre tenue, en mai, les
propositions de janvier ont été sérieusement
réduites. La demande de mai, qui a été ac-
ceptée par l'Allemagne et qui a depuis servi
de base Iti toute discussion représentait
alors la somme de 2 milliards 500 millions
de livres. Tels sont les seuls chiffres que je
sois responsable d'avoir jamais demandés à
l'Allemagne. Les 6 milliards 600 millions de
livres auxquels on a si souvent fait allu-
sion sont le chiffre auquel la commission
des réparations a fixé les dommages.
« Quant au chiffre auquel la capacité de
paiement de l'Allemagne a été fixée par la
conférence, c'est une autre affaire. Ce chif-
fre est représenté par les annuités deman-
dées a l'Allemagne et qui se monteraient ac-
tuellement à un capital de 2.500 millions de
livres. Je ne suis pas responsable des chif-
fres ridicules auxquels on est arrivé en ad-
ditionnant les sommes payées, capital et in-
térêt, pendant quarante-deux ans, procédé
qui, à ce qu'on prétend, vous donne 11 mil-
liards 300 millions de livres, au lieu de 2 mil-
liards 500 millions selon les calculs du mi-
nistre des finances d'Allemagne. Si l'on
adoptait un procédé similaire pour notre det-
te nationale, elle serait quadruplée.
« Quant à ce que vous dites sur le fait
qu'on a ajouté les pensions aux réparations,
il est très vrai que la délégation de l'Empire
britannique a déclaré que les pensions de-
vraient être comprises dans les réclamations
concernant les dommages causés. Elle a ju-
gé que c'était en elle-même une réclamation
juste et la seule manière qu'eût l'Empire
britannique de s'assurer quelque chose en
rapport avec les gigantesques charges qu'il
a supportées - les plus lourdes parmi toutes
celles des alliés. On suggère maintenant
que nous devrions renoncer tout à fait à
cette demande. Ceci réduirait notre part des
sommes reçues pour les réparations à un
chiffre au-dessous de celui des pays dont les
sacrifices ne sont pas comparables aux nô-
tres. Que diront les Dominions de cette pro-
position ? Et que dira le contribuable britan-
nique si on lui dit qu'il devra payer un mil-
liard de livres aux Etats-Unis d'Amérique
pour dettes contractées en fournitures aux
alliés, tandis qu'il devra en même temps
abandonner les trois-quarts de sa part des
réparations allemandes et la totalité des
sommes qui lui sont dues pour avances à
d'autres pays moins lourdement taxés et
plus prospères.
« Votre, e tc.
D. Lloyd George.
18. Abingdon-Street. Westminster S. W. L.
12 juin.
TIMES, 13.6.
LES NOUVELLES PROPOSITIONS AL-
LEMANDES. - L'ATTITUDE DES PARTIS ALLE-
MANDS. - Les dirigeants de la Socialdémo-
cratie et de « l'entente des partis bourgeois »
étaient d'accord sur un point, c'est que l'Al-
lemagne devait indiquer cette fois une
somme totale déterminée ou fixer au moins
le montant correspondant de ses annuités,
et que cette somme devait être de 30 mil-
liards de marks-or. Le Chancelier et le mi-
nistre des Affaires étrangères s'opposèrent
à cette demande. 30 milliards leur sem-
blaient être une somme trop élevée, et
comme ils savaient bien qu'il n'était pas bon
d'offrir moins, ils ne voulurent pas s'atta-
cher à un chiffre déterminé, mais s'en re-
mettre pour tout à l'arbitrage d'experts in-
ternationaux. C'est là qu'était la menace
d'un conflit.
Au dernier moment on vint au secours du
gouvernement. Il fit savoir aux chefs de
partis qu'il avait reçu d'Anglais bien ren-
seignés et dignes de foi l'information que
des membres influents du gouvernement de
Londres pensaient qu'il valait mieux ne ci-
ter aucun chiffre. On dit que l'Angleterre
cherchait à provoquer une conférence des
alliés, que l'Allemagne pouvait espérer y
être admise plus tard et que ses obliga-
tions y seraient établies après examen de
sa capacité de paiement. Les hommes poli-
tiques bourgeois déclarèrent qu'il fallait faire
confiance au gouvernement et consentirent
à ce que l'on renonçât à citer un chiffre. Les
socialdémocrates laissèrent au cabinet sa
responsabilité, parce qu'ils ne pourraient
juger la valeur des informations anglaises.
C'est ainsi que Cuno et Rosenberg firent
prévaloir leur volonté. Le contrôle exercé
par les chefs de partis — sur lequel
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