Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-06-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 09 juin 1923 09 juin 1923
Description : 1923/06/09 (T24,N2372). 1923/06/09 (T24,N2372).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64670445
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISTERE
D P, S
4FFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2372
Samedi 9 juin 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
et r ALLEMANDE. - La Grande-Bretagne
t l'occupation de la Ruhr (Kôlnische
? leItung, Kolnische Valkszeitung).
rrv ANGLAISE. — Les propositions alle-
7V; ES (Times, Morning Post, Daily
Tlegraph, H. F. Spender dans est-
inster Gazette, Daily Mail, Daily Ex-
CTim1 Daily H erald). — L'armée rouge
se AUTRiciEN\E. — Monarchistes rus-
ses et monarchistes allemands (Wiener
p Morgenzeitung).
IlItESSE ITALIENNE. — Un discours de M.
rVI,usSolini à Venise ( Popolo d'Italia,
GZUstizia).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
- S PROPOSITIONS ALLEMANDES. —
J'Ost IŒsSE ANGLAISE. — Le Times et la Morning
(;OrtsufonSIdèTent que la note de l'Allemagne
et fou ue. Un progrès sur les offres précédentes
ot fourn t une base possible de négociations.
iiies ohi de vue économique nous som-
lernahges de considérer la proposition al-
cOllsid' e comme méritant d'être prise en
c°risicJét10n" Elle porte certaines marques
de > SI- licerité et elle évite soigneusement tou-
te allus, ir, à des sujets de controverse. Il
:la R. tas fait mention de l'occupation de
Ruhr En tant que contribution au règlè-
trlèrn d Problème des réparations en lui-
tnê llle, la note est d'accord avec les vues
des
ses istes et des experts financiers
('e Us les princiPaux pays, y compris la
fance 116 saurait manquer par là mê-
lle de n j
lrriPfessi sur Opinion mondiale une
-" "IIJI Javorabile que n'en a en-
fant d dUIt aucun document allemand trai-
PUblié ehe Sujet. L'exposé que nous avons
POlitique lr des Principes essentiels de la
grarnlhe française ne constitue pas un pro-
d: tout à ec.ono:mIque, mais quelque chose
tout différent. « Puisque la France,
a décidé quelles sont ses propres
et qu'elle n'envisage par le pro-
\'r'I1Vr.>o du POInt de vue de ce que l'on est
l 11 d'
? appeler la capacité de paiement
ernagne, il est absolument inutile de
S|lr°i Pois'aepr , !Jn arbitrage quelconque, et sur-
tI0I1<1]e8r ,trage d'une commission interna-
paie '» T sens manifeste de cette phrase
it que i '1 France serait décidée à fixer
°'S Paiernen^s de réparation sans tenir
Ptc,
\f'r'il{ ,i rehtes. Il est pourtant d'une
v,*'ri| (; ITl0ntaire et manifeste que la ca-
rlo 'a'.emeiî^ d'une débiteur n'est pas
0rrfiinéej Par les besoins de ses créan-
ciers, mais par l'importance de ses avoirs.
Après tout il ne nous sera pas très facile,
à nous autres Anglais, de payer aux Etats
Unis une somme annuelle considérablement
moins importante que celle que l'Allemagne
offre en ce moment aux alliés; et quelles que
soient les qualités laborieuses et la capacité
de travail du peuple allemand, il n'est pas
raisonnable d'admettre que. après avoir
calculé leurs dépenses de guerre en partant
du principe qu'elles leur seraient rembour-
sées plus tard par les vaincus et n'avoir
pas remporté la victoire, les Allemands
soient mieux placés que les vainqueurs pour
trouver de grosses sommes d argent suscep-
tibles d'être tranférées à l'étranger. Certains
signes font croire que la France se refuse
à examiner sérieusement le memorandum
parce que ce document n'implique pas la
cessation de la résistance passive dans la
Ruhr. Cette attitude ne nous semble pas
raisonnable. La" note allemande est un ex-
posé économique au sujet d'un problème
économique. Au cas où on l'accepterait
comme base de discussion, il sera évidem-
ment difficile de poursuivre les négociations
avec le moindre espoir de les faire aboutir
si. en attendant, les Français et les Alle-
mands sont occupés à détruire les biens
les uns des autres et à s'entre-tuer. Il sem-
ble, heureusement, s'être produit une légère
modification dans l'attitude de l'opinion
française quant à l'opération de la Ruhr ;
on semble plus disposé à « l'envisager com-
me une forme de pression momentanée ».
Si cette modification persiste et que, de son
côté, le docteur Cuno désavoue les actes de
sabotage, on ne risque pas de se tromper
en disant que la Grande-Bretagne soutien-
dra chaleureusement la participation de
l'Allemagne à une conférence dont l'objet
serait d'arriver à un règlement définitif du
problème, qui laissé sans solution ne man-
querait pas de déterminer l'effondrement
graduel de l'Europe occidentale. — (Ed.)
TIMES, 8.6.
- * La deuxième offre allemande, dont
nous publions aujourd'hui le texte, constitue
un grand progrès sur la précédente. Le mé-
morandum du 2 mai, on ne l'a certainement
pas oublié, parut insuffisant en Angleterre
même aux éléments germanophiles de l'opi-
nion et fut écarté par une note plutôt sèche
adressée le 14, par lord Curzon, au gou-
vernement allemand. Nous pensons que la
dernière déclaration du docteur Cuno
marque, chez le gouvernement allemand,une
disposition à remédier aux défauts et à com-
bler les lacunes que désapprouvait lord Cur-
zon. Celui-ci ne voulut pas entendre parler
de la somme proposée, dont la valeur actuel-
le était d'environ 1 milliard 500 millions de
livres sterling, alors que la proposition bri-
tannique de Paris comportait une valeur ac-
tuelle de 2 milliards 500 millions. Il se plai-
gnit également que la note allemande « n'in-
diquât pas avec une précision suffisante la
nature des garanties que l'Allemagne était
disposée à fournir. Pour terminer, il invitait
le gouvernement allemand à écarter « toutes
les questions étrangères au sujet ou de na-
ture à prêter à la controverse », à réviser
et à développer leurs propositions de ma-
nière à en faire une base possible des dis-
cussions nouvelles ».
Les Allemands viennent de répondre, une
fois de plus, aux ouvertures de lord Cur-
zon. Ils ne font pas, dès à présent, mention
d'une somme fixe, mais ils sont prêts « à
s'en remettre à la décision d'un organisme
international impartial » et ils déclarent de
plus que si de vastes emprunts sont irréa-
lisables, ils sont prêts à y substituer une
série d'annuités. Pour ce qui est de la deu-
xième objection de lord Curzon au sujet des
garanties, les Allemands font un grand pas
en avant. Ils sont disposés à séparer à cette
fin le réseau ferroviaire du Reich des autres
biens de l'Etat et à prendre sur les recettes
une somme équivalant à un paiement annuel
de 500 millions de marks-or. C'est là pro-
bablement une ligne de conduite suggérée
par la grande industrie et qui sera peut-
être le prélude du retour des chemins de fer
à l'exploitation privée, si ardemment désiré
par M. Stinnes et son groupe. Ils sont dis-
posés aussi, à part certaines exceptions, à
engager les revenus des douanes et du fisc,
et cette proposition a été très bien accueillie
en Angleterre dans les milieux des affai-
res. Les Allemands déclarent incidemment
qu'ils sont prêts à fournir tous les rensei-
gnements nécessaires pour permettre que
l'on se fasse une idée exacte de leur capaci-
té de paiement ; on peut en conclure que
le Syndicat des charbons rapportera mainte-
nant à Essen les livres transportés à Ham-
bourg lorsque les Français sont entrés dans
la Ruhr. Enfin les Allemands demandent
que soit réunie une conférence où le montant
et les modalités des paiements seraient fixés
oralement à la table même.
La dernière note du docteur Cuno pré-
sente donc deux éléments principaux : la
fixation de la capacité de paiement de l'Al-
lemagne par un « organisme international
impartial », et la désignation de certaines
garanties bien déterminées, telles que les
revenus des chemins de fer, des douanes et
du fisc. Quant au premier point, il est déjà
suffisamment clair que la France refusera
d'accepter la suggestion allemande, et en
Angleterre aussi on est fortement d'avis que
l'organisme tout désigné pour connaître des
réclamations de l'Allemagne est celui cons-
titué par les puissances qui ont imposé le
traité de Versailles. Nous sommes persua-
dés que, dans son ensemble, l'opinion bri-
tannique n'est nullement séduite par l'idée
D P, S
4FFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2372
Samedi 9 juin 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
et r ALLEMANDE. - La Grande-Bretagne
t l'occupation de la Ruhr (Kôlnische
? leItung, Kolnische Valkszeitung).
rrv ANGLAISE. — Les propositions alle-
7V; ES (Times, Morning Post, Daily
Tlegraph, H. F. Spender dans est-
inster Gazette, Daily Mail, Daily Ex-
CTim1 Daily H erald). — L'armée rouge
se AUTRiciEN\E. — Monarchistes rus-
ses et monarchistes allemands (Wiener
p Morgenzeitung).
IlItESSE ITALIENNE. — Un discours de M.
rVI,usSolini à Venise ( Popolo d'Italia,
GZUstizia).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
- S PROPOSITIONS ALLEMANDES. —
J'Ost IŒsSE ANGLAISE. — Le Times et la Morning
(;OrtsufonSIdèTent que la note de l'Allemagne
et fou ue. Un progrès sur les offres précédentes
ot fourn t une base possible de négociations.
iiies ohi de vue économique nous som-
lernahges de considérer la proposition al-
cOllsid' e comme méritant d'être prise en
c°risicJét10n" Elle porte certaines marques
de > SI- licerité et elle évite soigneusement tou-
te allus, ir, à des sujets de controverse. Il
:la R. tas fait mention de l'occupation de
Ruhr En tant que contribution au règlè-
trlèrn d Problème des réparations en lui-
tnê llle, la note est d'accord avec les vues
des
ses istes et des experts financiers
('e Us les princiPaux pays, y compris la
fance 116 saurait manquer par là mê-
lle de n j
lrriPfessi sur Opinion mondiale une
-" "IIJI Javorabile que n'en a en-
fant d dUIt aucun document allemand trai-
PUblié ehe Sujet. L'exposé que nous avons
POlitique lr des Principes essentiels de la
grarnlhe française ne constitue pas un pro-
d: tout à ec.ono:mIque, mais quelque chose
tout différent. « Puisque la France,
a décidé quelles sont ses propres
et qu'elle n'envisage par le pro-
\'r'I1Vr.>o du POInt de vue de ce que l'on est
l 11 d'
? appeler la capacité de paiement
ernagne, il est absolument inutile de
S|lr°i Pois'aepr , !Jn arbitrage quelconque, et sur-
tI0I1<1]e8r ,trage d'une commission interna-
paie '» T sens manifeste de cette phrase
it que i '1 France serait décidée à fixer
°'S Paiernen^s de réparation sans tenir
Ptc,
\f'r'il{ ,i rehtes. Il est pourtant d'une
v,*'ri| (; ITl0ntaire et manifeste que la ca-
rlo 'a'.emeiî^ d'une débiteur n'est pas
0rrfiinéej Par les besoins de ses créan-
ciers, mais par l'importance de ses avoirs.
Après tout il ne nous sera pas très facile,
à nous autres Anglais, de payer aux Etats
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moins importante que celle que l'Allemagne
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soient les qualités laborieuses et la capacité
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raisonnable d'admettre que. après avoir
calculé leurs dépenses de guerre en partant
du principe qu'elles leur seraient rembour-
sées plus tard par les vaincus et n'avoir
pas remporté la victoire, les Allemands
soient mieux placés que les vainqueurs pour
trouver de grosses sommes d argent suscep-
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signes font croire que la France se refuse
à examiner sérieusement le memorandum
parce que ce document n'implique pas la
cessation de la résistance passive dans la
Ruhr. Cette attitude ne nous semble pas
raisonnable. La" note allemande est un ex-
posé économique au sujet d'un problème
économique. Au cas où on l'accepterait
comme base de discussion, il sera évidem-
ment difficile de poursuivre les négociations
avec le moindre espoir de les faire aboutir
si. en attendant, les Français et les Alle-
mands sont occupés à détruire les biens
les uns des autres et à s'entre-tuer. Il sem-
ble, heureusement, s'être produit une légère
modification dans l'attitude de l'opinion
française quant à l'opération de la Ruhr ;
on semble plus disposé à « l'envisager com-
me une forme de pression momentanée ».
Si cette modification persiste et que, de son
côté, le docteur Cuno désavoue les actes de
sabotage, on ne risque pas de se tromper
en disant que la Grande-Bretagne soutien-
dra chaleureusement la participation de
l'Allemagne à une conférence dont l'objet
serait d'arriver à un règlement définitif du
problème, qui laissé sans solution ne man-
querait pas de déterminer l'effondrement
graduel de l'Europe occidentale. — (Ed.)
TIMES, 8.6.
- * La deuxième offre allemande, dont
nous publions aujourd'hui le texte, constitue
un grand progrès sur la précédente. Le mé-
morandum du 2 mai, on ne l'a certainement
pas oublié, parut insuffisant en Angleterre
même aux éléments germanophiles de l'opi-
nion et fut écarté par une note plutôt sèche
adressée le 14, par lord Curzon, au gou-
vernement allemand. Nous pensons que la
dernière déclaration du docteur Cuno
marque, chez le gouvernement allemand,une
disposition à remédier aux défauts et à com-
bler les lacunes que désapprouvait lord Cur-
zon. Celui-ci ne voulut pas entendre parler
de la somme proposée, dont la valeur actuel-
le était d'environ 1 milliard 500 millions de
livres sterling, alors que la proposition bri-
tannique de Paris comportait une valeur ac-
tuelle de 2 milliards 500 millions. Il se plai-
gnit également que la note allemande « n'in-
diquât pas avec une précision suffisante la
nature des garanties que l'Allemagne était
disposée à fournir. Pour terminer, il invitait
le gouvernement allemand à écarter « toutes
les questions étrangères au sujet ou de na-
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et à développer leurs propositions de ma-
nière à en faire une base possible des dis-
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Les Allemands viennent de répondre, une
fois de plus, aux ouvertures de lord Cur-
zon. Ils ne font pas, dès à présent, mention
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s'en remettre à la décision d'un organisme
international impartial » et ils déclarent de
plus que si de vastes emprunts sont irréa-
lisables, ils sont prêts à y substituer une
série d'annuités. Pour ce qui est de la deu-
xième objection de lord Curzon au sujet des
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en avant. Ils sont disposés à séparer à cette
fin le réseau ferroviaire du Reich des autres
biens de l'Etat et à prendre sur les recettes
une somme équivalant à un paiement annuel
de 500 millions de marks-or. C'est là pro-
bablement une ligne de conduite suggérée
par la grande industrie et qui sera peut-
être le prélude du retour des chemins de fer
à l'exploitation privée, si ardemment désiré
par M. Stinnes et son groupe. Ils sont dis-
posés aussi, à part certaines exceptions, à
engager les revenus des douanes et du fisc,
et cette proposition a été très bien accueillie
en Angleterre dans les milieux des affai-
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qu'ils sont prêts à fournir tous les rensei-
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l'on se fasse une idée exacte de leur capaci-
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impartial », et la désignation de certaines
garanties bien déterminées, telles que les
revenus des chemins de fer, des douanes et
du fisc. Quant au premier point, il est déjà
suffisamment clair que la France refusera
d'accepter la suggestion allemande, et en
Angleterre aussi on est fortement d'avis que
l'organisme tout désigné pour connaître des
réclamations de l'Allemagne est celui cons-
titué par les puissances qui ont imposé le
traité de Versailles. Nous sommes persua-
dés que, dans son ensemble, l'opinion bri-
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