Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-06-06
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 06 juin 1923 06 juin 1923
Description : 1923/06/06 (T24,N2369). 1923/06/06 (T24,N2369).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467041x
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
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ItPAllIES tTRANGÈRES
N° 2369
Mercredi 6 juin 1923
Bolletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par axerait»,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
'1; ALLI':?llANDE. -- Le mémoire de l'in-
'Itl'ie Ulleltiai-id-e (Georg Bernhard
diJ]¡:o; 0
r, i|;j)is v °*sisr.lt p Zeihmq).
n",,,,,,
'\?lIERICAINE, - Les crimes des sous-
"Ku jn allemands: une lettre de l'ami-
Il] .;:.
•
h„sl.; ,LVSIE' - Avutit la nouvelle offre
'l' l'lnande :]'cul.r:eVllt' de Bruxelles et
ii li tti ci la Grande-Bretagne (\vest-
minister Guzc-tle, - News) ; la nou-
velle CI' a:etle, Daïf'!} NelvS) ; France
;¡J 0l'ientution de l'opinion en France
( hl,ll!} Kr}!ress). - Réparations el! sé-
ité 'v P~'te de non-agression (Daily
J,I"?Pll): - Le territoire de la Sarre:
1 liCU1 d'enquête (H. Wilson
'lui i i. i ans Daily News ; Daily Tele-
,fltlf/h). - Le séparatisme bavarois : le
PI'()C(',S '^acJtihaus (Daily Telegraph).
'------- ————————————
POLITIQUE GENERALE
--- GUERRE
HISTOIRE DE LA GUERRE
US. RllVtPS DES SOUS-MARINS ALLE-
^DS.LERRRE DE L'AMIRAL SIMS. —
F[uiit D • RK <,('LLOR>al paru dans votre nu-
méro du 18 avril 1H2:J [cf. Huile/in, n° 2355],
])on.1(,," ATTIRER - votre: attention sur
d!lll' - d, ,
I '; LIVIVII V
I(. '0SSC>0 de Los Angeles à
I, reproduite par vous.
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L'AS AN 1' 11 LLVXISLE « «LUEUNE preuve,
l, Irld Il .document authentique qui permet-
L(|IL (1 afflr ^1'0IR '*NE :LES commandants et
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° sous-marins allemands
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,i ■ Position exacte du navire en
:-iSP)).
X- I'\ „ plusiea rs questions qui
,
té ég,ra,phiquement. par
certains organes, j'ai répondu comme suil :
'I • ni r}(\ci', ans un discours en Califor-
(I/II'¡'I.J U 'I eXception du riavire-hôpital Llan-
l¡ili",,:'lllrastle, je n'a.va.is jamais eu con-
naissance qu'un r(;>mma ridant d'un sous-
n'1-'illf.n<,r'd' aft faitiirer sur les canots
d'un navir t'Il' 0 , sur les ln
d'un navire torpillé ; J'al aionté que le
II) fIl]" c.nt i AUx officiers du sous-ma-
ri, 1 ~~,)i officiers du sous-ma-
1j l p a e nav're-hôpital furent tra-
r ,. -nnt les tribunaux en Allemagne,
après la guerre et punis ; que les com-
mandants de sous-marins agissaient avec
humanité, et qu'à plusieurs reprises ils
donnèrent des vivres et de l'eau aux ca-
nots des navires torpillés ; qu'ils les re-
morquèrent jusqu'à la côte et qu'ils signa-
lèrent par T .S. F. aux autres bâtiments
la position des navires torpillés. - Voyez
mon ouvrage Victory at sea, « La vic-
toire sur mer », p. 127 et 128. C'est un
fait bien connu aujourd'hui que le gou-
vernement allemand ordonnait aux com-
mandants de sous-marins de torpiller,
sans aucun avertissement, les navires de
commerce et même les navires-hôpitaux,
s'ils transportaient des troupes. Je ne dis-
cute pas les ordres du gouvernement al-
lemand. Mes remarques ne portent que
sur la façon dont les commandants exé-
cutaient les ordres qui leur étaient don-
nés. »
Cette réponse n'a pas été publiée, autant
que je puisse le savoir. En reproduisant, le
15 avril 1923, une interview que j'avais ac-
cordée. interview qui ne m'a d'ailleurs pas
été soumise avant l'envoi, la Tribune a
glissé quelques erreurs que j'ai corrigées
dans une lettre publiée le 18 avril 1923. Je
connais, dans leur ensemble, les résultats
des procès de Leipzig. Si je ne me trompe,
les alliés soumirent au tribunal 57 cas
« d'atrocités qui mettaient en cause 18 com-
mandants de sous-marins allemands. Com-
bien furent déclarés coupables ? Je ne sau-
rais le dire : Mais, puisque après des mil-
liers et des milliers de torpillages, les alliés
ne peuvent retenir que 57 cas « d'atrocités »
ou d'actes considérés comme des « atroci-
tés », cela est la preuve certaine qu'en ce
qui concerne les commandants de sous-ma-
rins, rien ne justifie cette idée, qui demeure
encore dans l'esprit de certains, que les Al-
lemands étaient des démons à face humai-
ne. Ainsi que je l'ai dit, les commandants
de sous-marins faisaient généralement
preuve d'humanité, lorsqu'ils mettaient à
exécution les ordres qui leur avaient été
donnés. - Veuillez noter, je vous prie, que
je ne mets nullement en doute l'honnêteté
de la presse et que je ne lance aucun défi. Je
crois que les journaux publièrent pendant
la guerre les informations telles qu'elles
leur étaient transmises et je ne sache point
qu'aucun gouvernement ait pu envoyer de
fausses informations. Mais des accusations
de toute nature emplissaient l'air. Elles
étaient répandues constamment et sans fin.
D'une façon générale, on les acceptait et l'on
en vint à croire que les commandants de
sous-marins allemands ne manquaient ja-
mais d'assassiner les équipages des navires
torpillés et de braquer leurs pièces de ca-
nons et leurs fusils sur les canots de sauve-
tage : on en vint à croire que c'était une
habitude. C'est cette opinion que j'ai voulu,
combattre.
Newport (Rhode Island, ; avril),
WM. S. SIMS,
Contre-amiral de la marine américaine.
NATION [de New- York], 9.5.
——— ———
LES RÉPARATIONS
AVANT LA NOUVELLE OFFRE ALLEMANDE.
— L'ENTREVUE DE BRUXELLES ET L'ATTITUDE DE LA
GRANDE-BRETAGNE.— La Westminster Gazette fonde
certains espoirs sur rentrée, dans le gouverne-
ment, de M. Mac Kenna, qui sait la nécessité
d'un règlement réaliste de la question des répa-
rations.
M. Aiaic Kenna a estimé les ressources
de l'Allemagne à un chiffre très modéré et
ne tombe pas dans l'exagération de cer-
tains, lorsqu'il évalue l'importance des
avoirs allemands à l'étranger.
L'organe asquithien croit d'ailleurs que la -si-
tuation générale s'est améliorée depuis ta remise
de la dernière offre allemande :
Les Belges souhaitent la conclusion d'un
règlement avec l'Allemagne et la fin du
schisme actuel de l'Entente. Les Français
paraissent avoir compris qu'ils ne peuvent
pas se contenter cette fois d'un rejet som-
maire de l'offre allemande, sans consulta-
tion des autres puissances directement in-
téressées : ils semblent également attacher
plus d'importance aujourd'hui à la propor-
tion des paiements de l'Allemagne qui leur
reviendra qu'au total précis de l'indemnité.
On croit savoir qu'ils pourraient accepter le
chiffre de 2.500.000 livres sterling envisagé
par M. Bonar Law et, comme c'est aussi le
chiffre que les Allemands auraient l'inten-
tion d'offrir, un point de contact important
s'établirait, donc à bref délai.
Par malheur, la fixation de la somme to-
tale à payer par l'Allemagne ne constitue
qu'une petite partie du problème. Ce mon-
tant a déjà été fixé et il a fallu le réviser
rigoureusement. Nous sommes très mal
renseignés sur la capacité virtuelle de l'Al-
lemagne ; tout ce que nous savons, c'est
qu'elle dépend de la rapidité et de l'étendue
de sa restauration économique.
La Westminster Gazette estime qu'un moratoire
s'impose, mais qu'il devra être subordonné à des
garanties.
L'occupation française de la Ruhr ne ga-
rantit rien, si ce n'est que l'Allemagne ne
pourra payer quoi que ce soit tant que cette
occupation sera maintenue, dans sa forme
actuelle et que les dommages causés par
elle n'auront pas été réparés. Il serait sage,
de la part de l'Allemagne, de relâcher sa
résistance implacable à l'occupation, de
b a,%
ItPAllIES tTRANGÈRES
N° 2369
Mercredi 6 juin 1923
Bolletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par axerait»,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
'1; ALLI':?llANDE. -- Le mémoire de l'in-
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•
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ii li tti ci la Grande-Bretagne (\vest-
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;¡J 0l'ientution de l'opinion en France
( hl,ll!} Kr}!ress). - Réparations el! sé-
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J,I"?Pll): - Le territoire de la Sarre:
1 liCU1 d'enquête (H. Wilson
'lui i i. i ans Daily News ; Daily Tele-
,fltlf/h). - Le séparatisme bavarois : le
PI'()C(',S '^acJtihaus (Daily Telegraph).
'------- ————————————
POLITIQUE GENERALE
--- GUERRE
HISTOIRE DE LA GUERRE
US. RllVtPS DES SOUS-MARINS ALLE-
^DS.LERRRE DE L'AMIRAL SIMS. —
F[uiit D • RK <,('LLOR>al paru dans votre nu-
méro du 18 avril 1H2:J [cf. Huile/in, n° 2355],
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I, reproduite par vous.
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après la guerre et punis ; que les com-
mandants de sous-marins agissaient avec
humanité, et qu'à plusieurs reprises ils
donnèrent des vivres et de l'eau aux ca-
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lèrent par T .S. F. aux autres bâtiments
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mon ouvrage Victory at sea, « La vic-
toire sur mer », p. 127 et 128. C'est un
fait bien connu aujourd'hui que le gou-
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sans aucun avertissement, les navires de
commerce et même les navires-hôpitaux,
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lemand. Mes remarques ne portent que
sur la façon dont les commandants exé-
cutaient les ordres qui leur étaient don-
nés. »
Cette réponse n'a pas été publiée, autant
que je puisse le savoir. En reproduisant, le
15 avril 1923, une interview que j'avais ac-
cordée. interview qui ne m'a d'ailleurs pas
été soumise avant l'envoi, la Tribune a
glissé quelques erreurs que j'ai corrigées
dans une lettre publiée le 18 avril 1923. Je
connais, dans leur ensemble, les résultats
des procès de Leipzig. Si je ne me trompe,
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« d'atrocités qui mettaient en cause 18 com-
mandants de sous-marins allemands. Com-
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ne peuvent retenir que 57 cas « d'atrocités »
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tés », cela est la preuve certaine qu'en ce
qui concerne les commandants de sous-ma-
rins, rien ne justifie cette idée, qui demeure
encore dans l'esprit de certains, que les Al-
lemands étaient des démons à face humai-
ne. Ainsi que je l'ai dit, les commandants
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preuve d'humanité, lorsqu'ils mettaient à
exécution les ordres qui leur avaient été
donnés. - Veuillez noter, je vous prie, que
je ne mets nullement en doute l'honnêteté
de la presse et que je ne lance aucun défi. Je
crois que les journaux publièrent pendant
la guerre les informations telles qu'elles
leur étaient transmises et je ne sache point
qu'aucun gouvernement ait pu envoyer de
fausses informations. Mais des accusations
de toute nature emplissaient l'air. Elles
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D'une façon générale, on les acceptait et l'on
en vint à croire que les commandants de
sous-marins allemands ne manquaient ja-
mais d'assassiner les équipages des navires
torpillés et de braquer leurs pièces de ca-
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tage : on en vint à croire que c'était une
habitude. C'est cette opinion que j'ai voulu,
combattre.
Newport (Rhode Island, ; avril),
WM. S. SIMS,
Contre-amiral de la marine américaine.
NATION [de New- York], 9.5.
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AVANT LA NOUVELLE OFFRE ALLEMANDE.
— L'ENTREVUE DE BRUXELLES ET L'ATTITUDE DE LA
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règlement avec l'Allemagne et la fin du
schisme actuel de l'Entente. Les Français
paraissent avoir compris qu'ils ne peuvent
pas se contenter cette fois d'un rejet som-
maire de l'offre allemande, sans consulta-
tion des autres puissances directement in-
téressées : ils semblent également attacher
plus d'importance aujourd'hui à la propor-
tion des paiements de l'Allemagne qui leur
reviendra qu'au total précis de l'indemnité.
On croit savoir qu'ils pourraient accepter le
chiffre de 2.500.000 livres sterling envisagé
par M. Bonar Law et, comme c'est aussi le
chiffre que les Allemands auraient l'inten-
tion d'offrir, un point de contact important
s'établirait, donc à bref délai.
Par malheur, la fixation de la somme to-
tale à payer par l'Allemagne ne constitue
qu'une petite partie du problème. Ce mon-
tant a déjà été fixé et il a fallu le réviser
rigoureusement. Nous sommes très mal
renseignés sur la capacité virtuelle de l'Al-
lemagne ; tout ce que nous savons, c'est
qu'elle dépend de la rapidité et de l'étendue
de sa restauration économique.
La Westminster Gazette estime qu'un moratoire
s'impose, mais qu'il devra être subordonné à des
garanties.
L'occupation française de la Ruhr ne ga-
rantit rien, si ce n'est que l'Allemagne ne
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occupation sera maintenue, dans sa forme
actuelle et que les dommages causés par
elle n'auront pas été réparés. Il serait sage,
de la part de l'Allemagne, de relâcher sa
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