Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-05-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 30 mai 1923 30 mai 1923
Description : 1923/05/30 (T24,N2363). 1923/05/30 (T24,N2363).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64670356
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MlNlSTÉRE
DES
APFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2363
Mercredi 30 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
-- traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE -Demande. — La préparation de l
ij" 'Uvelle offre- allemande (Georg Ber-
J 1,11 d dans Vossische Zeitung). — L'oc-
'!'^011 <'c' Ruhr et, le Comité des
Forges ni Feldmann dans Vos-
SI.iC/¡C Zritunij - L'agitation commu-
N *ï dans la, Ruhr (Ericih Dambrowski
dèllls Berlilln Tageblall).
R[ss -
- La concession Ches-
fl'I' : 1'('velltualilé d'une participation
J;..hllküise et anglaise (New York Times).
:'F;",.; \\GIL\ISE, - La préparation de la
'liJllJveIle offre allemande (Daily Tele-
i ■ .ap/,i). - Les conversations 'anglo-fran-
;:.-hlges (Times, Daily Telegraph). —
I -. , ude d'Angora (lJail!f Telegraph).
-,tl,gitalioli communiste dans la Ruhr
D uiï,J y Telegraph,) ; les armements se-
"!''-'I de L\llcmagne (Daily Telegraph).
ine * l'olntions russo-japonaises (Ti-
TV>t- c. alïrichienne. — Les Etats-Unis et
"', èvenient de l'-^ul riche : un commu-
Il'/Ué de Ja banque Morgan (Neue Freie
Presse l' T
'1 , *ayesl>osl> l'lieues. lener, Tag-
ùlatt)
'--- ————————————
Politique GENERALE
LES RÉPARATIONS
opnEPARATION DE LA NOUVELLE
, s inin^î^MANDE- - Il est d'autant
important que le gouvernement alle-
mand dise nettement à ~D l'opinion publique
demande ce qu il veut, que la situation
J¡¡tllde, 'r t,
s'est éc ].,0'*1 sur un point, depuis la publi-
''1 0:1 <ï i ùel'nière note allemande. Tan-
O','s ( l f' cetfe note, il était permis
i"-,ii80l. 'lUe la solution du problème des
pourrait être obtenue au moyen
ij J|' §l u ,s emprunt. international qui devait
ti "'His 0T1 on sait, actuellement
façon précise que non seulement
;lq'I,t IqUe n'est pas disposée à émettre cet
'^■■ '•'Unt ll.la|s qu'elle le pourrait difficile-
Le , ,
:'1:" 1) es Et.ats-Unis semblent réserver
la ur des placements inté-
?' s- à eos .pour des pl.acement.s III e-
'1!s ¡I. l{l sUIte du changement des condi-
I; es, et ils ne pourraient guè-
titi(, - e grosses sommes à l'étranger,
'l unp relation entre ce revirement et
le fait que les dernières déclarations fran-
çaises relatives au problème des répara-
tions font revenir aux premiers projets de
paiements annuels indépendants. Ainsi on
ne pourrait plus prendre pour point de dé-
part une valeur présente déterminée qui se-
rait. réalisée sous forme d'emprunt, porte-
rait intérêt et comporterait amortissement ;
mais la question serait la suivante : com-
bien de paiements annuels et de quelle im-
portance l'Allemagne doit-elle effectuer ?
De cette façon on trouverait une synthèse
de la solution dite définitive ll problème
des réparations et de la solution provisoire
envisagée encore à Gênes. Car quelles que
soient d'importance et la durée des paie-
ments annuels, on ne réussira pas à conci-
lier les intérêts de la France et ceux de
l'Allemagne. L'Allemagne a besoin naturel-
lement d'un moratoire, parce qu'elle ne
pourrait fournir au début que des presta-
tions annuelles minimes. La France, par
contre, a besoin précisément au début d'une
forte somme, et c'est pourquoi elle ne peut
consentir à un moratoire.
La solution naturelle de ce conflit, appa-
remment insoluble, serait toute trouvée si
l'on revenait au plan primitif d'un petit em-
prunt. Supposons que l'on se mette d'accord
sur des paiements annuels d'environ un mil-
liard et demi de marks-or à effectuer pen-
dant un nombre déterminé d'années. Il se-
rait alors, tout à fait possible d'émettre sous
forme d'emprunt une somme de 5 ou 6 mil-
liards,représentant les paiements des quatre
ou cinq premières années. Si les Alliés de la
France lui assuraient d'abord le produit de
cet emprunt, elle serait à même d'enregis-
trer a son budget une grosse recette. L'Al-
lemagne aurait la possibilité, les cinq pre-
mières années, de ne payer que les intérêts
et l'amortissement de ces 5 ou 6 milliards.
Elle aurait ainsi une réduction importante
de ses paiements au cours de ces années, et
d'une façon toute naturelle.
Tous les intéressés n'auraient plus qu'un
souci : comment se procurer un emprunt
de 5 à 6 milliards de marks-or ? Il faut men-
tionner de nouveau le projet de recourir à
cet effet à la garantie commune de la France
et de l'Allemagne, qui aurait pour consé-
quences de faire trouver en Angleterre, aux
Etats-Unis et probablement dans le monde
entier des partisans de cet emprunt. Alors
on pourrait réfléchir à loisir au grand pro-
blème auquel on n'a pas songé sérieuse-
ment, semble-t-il, jusqu'à présent, à savoir :
par quels moyens peut-on garantir que r.t\ L
lemagne puisse payer pendant des dizaines
d'années une somme de 1 milliard 1/2 de
marks-or, plus les intérêts et l'amortisse-
ment du petit emprunt. C'est là le point ca-
pital de toute la question, qui intéresse non
seulement l'économie allemande, mais le
marché mondial et l'économie internatio-
nale. Le monde désire apprendre quelles
sont les idées du cabinet Cuno sur ces ques-
tions concrètes. Et s'il est permis, comme
citoyen allemand, d'exprimer modestement
une prière, on peut la condenser en ces
mots : « Seigneur, laissez-nous prendre
part à vos soucis et à vos méditations. Car
ce qui vous tourmente nous tourmente aus-
si. Et vous devez bien nous offrir ce que
vous donnerez. » — Georg Bernhard.
• VOSSISCHE ZEITUNG, 27.5.
— De Berlin, 28 mai : J'apprends d'une
source bien informée que le gouvernement
allemand n'a pas l'intention, dans sa pro-
chaine communication aux Alliés, d'offrir
un chiffre précis et plus élevé de répara-
tions. Toutes les décisions déjà prises au
sujet de la note ont un caractère plus ou
moins provisoire, puisque sa rédaction fait
encore l'objet de pourparlers, mais il est
extrêmement probable qu'aucun chiffre con-
cret ne sera cette fois mentionné. On se pro-
pose d'expliquer que la somme indiquée
dans la dernière note ne représente qu'une
évaluation par le gouvernement de la capa-
cité de paiement de l'Allemagne et qu'un
des traits principaux de l'offre était la re-
mise d'un « chèque en blanc » à la commis-
sion d'experts internationaux chargée
éventuellement d'estimer les disponibilités
allemandes.
Le presse publie de nouveaux détails sur
le plan de garantie dû à la Fédération na-
tionale des industries allemandes. Ces ren-
seignements ne sont pas toujours concor-
dants. Le Lokal Anzeiger, qui est inspiré
par la grande industrie, déclare que les in-
dustriels ont offert de donner en gage leurs
terrains et leurs bâtiments. Une hypothèque
analogue sur l'agriculture, les compagnies
de navigation et la finance permettrait, se-
lon ce journal, de porter la somme dispo-
nible à 500 millions de marks-or par an. —
(Du correspondant particulier.)
DAILY TELEGRAPH, 29.5.
LES CONVERSATIONS ANGLO-FRAN-
CO-BELGES. — De Paris, 28 mai .Les con-
versations entre M. Barthou et M. Dela-
croix, représentants de la France et de la
Belgique à la commisison. des réparations,
ont donné un résultat. Les documents sur
les réparations qui sont arrivés de Belgi-
que tendent aussi à avancer les choses. Il
n'existé pas de plan. mais il y a, dirait-on,
DES
APFAIRES ÉTRANGÈRES
N° 2363
Mercredi 30 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
-- traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PRESSE -Demande. — La préparation de l
ij" 'Uvelle offre- allemande (Georg Ber-
J 1,11 d dans Vossische Zeitung). — L'oc-
'!'^011 <'c' Ruhr et, le Comité des
Forges ni Feldmann dans Vos-
SI.iC/¡C Zritunij - L'agitation commu-
N *ï dans la, Ruhr (Ericih Dambrowski
dèllls Berlilln Tageblall).
R[ss -
- La concession Ches-
fl'I' : 1'('velltualilé d'une participation
J;..hllküise et anglaise (New York Times).
:'F;",.; \\GIL\ISE, - La préparation de la
'liJllJveIle offre allemande (Daily Tele-
i ■ .ap/,i). - Les conversations 'anglo-fran-
;:.-hlges (Times, Daily Telegraph). —
I -. , ude d'Angora (lJail!f Telegraph).
-,tl,gitalioli communiste dans la Ruhr
D uiï,J y Telegraph,) ; les armements se-
"!''-'I de L\llcmagne (Daily Telegraph).
ine * l'olntions russo-japonaises (Ti-
TV>t- c. alïrichienne. — Les Etats-Unis et
"', èvenient de l'-^ul riche : un commu-
Il'/Ué de Ja banque Morgan (Neue Freie
Presse l' T
'1 , *ayesl>osl> l'lieues. lener, Tag-
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'--- ————————————
Politique GENERALE
LES RÉPARATIONS
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, s inin^î^MANDE- - Il est d'autant
important que le gouvernement alle-
mand dise nettement à ~D l'opinion publique
demande ce qu il veut, que la situation
J¡¡tllde, 'r t,
s'est éc ].,0'*1 sur un point, depuis la publi-
''1 0:1 <ï i ùel'nière note allemande. Tan-
O','s ( l f' cetfe note, il était permis
i"-,ii80l. 'lUe la solution du problème des
pourrait être obtenue au moyen
ij J|' §l u ,s emprunt. international qui devait
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façon précise que non seulement
;lq'I,t IqUe n'est pas disposée à émettre cet
'^■■ '•'Unt ll.la|s qu'elle le pourrait difficile-
Le , ,
:'1:" 1) es Et.ats-Unis semblent réserver
la ur des placements inté-
?' s- à eos .pour des pl.acement.s III e-
'1!s ¡I. l{l sUIte du changement des condi-
I; es, et ils ne pourraient guè-
titi(, - e grosses sommes à l'étranger,
'l unp relation entre ce revirement et
le fait que les dernières déclarations fran-
çaises relatives au problème des répara-
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paiements annuels indépendants. Ainsi on
ne pourrait plus prendre pour point de dé-
part une valeur présente déterminée qui se-
rait. réalisée sous forme d'emprunt, porte-
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mais la question serait la suivante : com-
bien de paiements annuels et de quelle im-
portance l'Allemagne doit-elle effectuer ?
De cette façon on trouverait une synthèse
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des réparations et de la solution provisoire
envisagée encore à Gênes. Car quelles que
soient d'importance et la durée des paie-
ments annuels, on ne réussira pas à conci-
lier les intérêts de la France et ceux de
l'Allemagne. L'Allemagne a besoin naturel-
lement d'un moratoire, parce qu'elle ne
pourrait fournir au début que des presta-
tions annuelles minimes. La France, par
contre, a besoin précisément au début d'une
forte somme, et c'est pourquoi elle ne peut
consentir à un moratoire.
La solution naturelle de ce conflit, appa-
remment insoluble, serait toute trouvée si
l'on revenait au plan primitif d'un petit em-
prunt. Supposons que l'on se mette d'accord
sur des paiements annuels d'environ un mil-
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dant un nombre déterminé d'années. Il se-
rait alors, tout à fait possible d'émettre sous
forme d'emprunt une somme de 5 ou 6 mil-
liards,représentant les paiements des quatre
ou cinq premières années. Si les Alliés de la
France lui assuraient d'abord le produit de
cet emprunt, elle serait à même d'enregis-
trer a son budget une grosse recette. L'Al-
lemagne aurait la possibilité, les cinq pre-
mières années, de ne payer que les intérêts
et l'amortissement de ces 5 ou 6 milliards.
Elle aurait ainsi une réduction importante
de ses paiements au cours de ces années, et
d'une façon toute naturelle.
Tous les intéressés n'auraient plus qu'un
souci : comment se procurer un emprunt
de 5 à 6 milliards de marks-or ? Il faut men-
tionner de nouveau le projet de recourir à
cet effet à la garantie commune de la France
et de l'Allemagne, qui aurait pour consé-
quences de faire trouver en Angleterre, aux
Etats-Unis et probablement dans le monde
entier des partisans de cet emprunt. Alors
on pourrait réfléchir à loisir au grand pro-
blème auquel on n'a pas songé sérieuse-
ment, semble-t-il, jusqu'à présent, à savoir :
par quels moyens peut-on garantir que r.t\ L
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marks-or, plus les intérêts et l'amortisse-
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seulement l'économie allemande, mais le
marché mondial et l'économie internatio-
nale. Le monde désire apprendre quelles
sont les idées du cabinet Cuno sur ces ques-
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citoyen allemand, d'exprimer modestement
une prière, on peut la condenser en ces
mots : « Seigneur, laissez-nous prendre
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si. Et vous devez bien nous offrir ce que
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• VOSSISCHE ZEITUNG, 27.5.
— De Berlin, 28 mai : J'apprends d'une
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allemand n'a pas l'intention, dans sa pro-
chaine communication aux Alliés, d'offrir
un chiffre précis et plus élevé de répara-
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sujet de la note ont un caractère plus ou
moins provisoire, puisque sa rédaction fait
encore l'objet de pourparlers, mais il est
extrêmement probable qu'aucun chiffre con-
cret ne sera cette fois mentionné. On se pro-
pose d'expliquer que la somme indiquée
dans la dernière note ne représente qu'une
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sion d'experts internationaux chargée
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Le presse publie de nouveaux détails sur
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dants. Le Lokal Anzeiger, qui est inspiré
par la grande industrie, déclare que les in-
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terrains et leurs bâtiments. Une hypothèque
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(Du correspondant particulier.)
DAILY TELEGRAPH, 29.5.
LES CONVERSATIONS ANGLO-FRAN-
CO-BELGES. — De Paris, 28 mai .Les con-
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ont donné un résultat. Les documents sur
les réparations qui sont arrivés de Belgi-
que tendent aussi à avancer les choses. Il
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