Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-05-29
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 29 mai 1923 29 mai 1923
Description : 1923/05/29 (T24,N2362). 1923/05/29 (T24,N2362).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467034s
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MlNlSTÊRE
DES
j FaiRes ÉTRANGÈRES
----
N° 2362
Mardi 29 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA.— Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
ai.l.kmandk. - Lu situation du cabinet
"iiivatv (Fntnk[n>t<'r Zeifang). — L'a-
Lit ioi i communiste dans lu. Ruhr
'«nkiirter Zeilunij).
*' WiiI.wsh. - Les réparations : !e ; r-
Jft. belge (II. Wilson Mun is dans Daily
— Les attributions do lord Ro-
M"1i. Cecil dans le cabinet Baldwin (H.
} ilsiui liarris -dans Daily News). -
''l'ancf! et Grande-Rre/.àgne : « La tâche
"prcinc de M. Ruldwin » (Morning
110sI;. — Les chances d'un compromis
''(l';'('u-lul'(" (Till/('S, Daily Telegraph, Dai-
V Telegraph. Daily Chronicle, West-
iai.ri.ster Gazelle) : l'impression en Grèce
Corning Posf).
1 /', bl'\(;\lIII-:. — La pénétration espa-
gnole un Maine (Luis de Zulueta dans
l-<-be.rlit(l>.
1' 1 '[ J "b' t
lTALiK\)':. - La situation du cabinet
lJoiticaré [Slampa).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LE PROJET BELGE. — Le premier point
J, ,ÎS!iaj|' propositions belges est que
h p "-Inique a réussi là où a échoué la Fran-
ce '1 quelle a élaboré de* son chef un projet
1''Parafions plus ou moins pratique.
:s. -1' second est que la Belgique insiste dé-
laire < S ouvei-tenient sur l'importance de
d:;'(>yür-licip'el' de plus tôt possible la Gran-
stagne et l'Italie aux conversations.
I 'sième est que les experts belges
st. V11^- av '(\lIf'I¡\, arrive rapidement une fraction con-
q de l'opinion allemande, à savoir
i'fu * ('I Illi iniporte immédiatement ce n'est
fr 'lxer un montant. global, mais d'exi-
ger dfs vel'sempnts annuels raisonnables,
f. j -i !'*'' 'onn<'"s à la capacité de paiement de
î i
(l b loO
b,¡,l!iltJ\' aux autres détails des propositions
belges .gl's (lnnt il est fait mention; la mainmise
h e Monopole de l'alcool ne rencontrerait
j);i * °pposition de la part des Allemands,
rp, "nt eux-mêmes offert de le céder.
«1.1, ,hvallche ils s'opposeraient avec la
dernière énergie à la suggestion suivant la-
fn, le les chemins de fer seraient traités de
n,'IU<; façon. C'ea' lit un point sur lequel
fJl 11]On allemande se montre particulière-
in? nt susceptible. On prétend même, soit dit
1iIII}PQ8ünt, que les bénéfices de l'exploita-
Q,'f (ks chemins de fer allemands de la rive
e., e fhi Rhin compensent en majeure
partie le déficit, accusé par le réseau de la
riive droite.
Le JOUir où lu conférence alliée se réunira
enfin et ce sera certainement d'ici peu de
temps, deux points surtout auront besoin
d'être promptement réglés. Le premier est
de savoir s'il y a lieu de reviser les pour-
centages de Spa, qui sur un montant sup-
posé de 50 milliards marks-or, donneraient
f milliards à la Belgique et 26 à la France,
nu bénéfice de l'un de ces pays ou même des
deux.
L'autre point est de savoir si les frais de
l'occupation de la Ruhr, laquelle, selon la
thèse anglaise, n'est nullement autorisée
par le u'aité de Versailles, doivent être por-
tés au compte de l'Allemagne, ou supportés
par la France et la Belgique. Ce petit pro-
blème que l'on tend parfois à perdre de vue,
peut encore faire surgir bon nombre de
difficultés. — (Du correspondant particu-
lier. H. Wilson Harris.)
DAILY NEWS, 28.5.
——— ———
LA SOCIETE DES NATIONS
LES ATTRIBUTIONS DE LORD
ROBERT CECIL DANS LE CABINET BALDWIN. -
On ne semble pas encore avoir entièrement
compris la portée de la nomination de lord
Robert Cecil comme lord du sceau privé
dans let nouveau ministère. Ce qui s'est
passé, c'est que le premier ministre a ins-
titué, avec le cordial assentiment de lord
Curzon, un arrangement pur ilequeil lord
Robert, en sa qualité de membre du çabinet,
centralisera sous sa direction toutes les
questions au sujet desquelles le gouverne-
ment britannique est en relation avec la
Société des nations.
Ce n'est pas il dire évidemment, que le
Home Office cessera de s'intéresser directe-
ment à des questions telles que les efforts
faits par la Société pour restreindre :1e
trafic de l'opium, la traite des blanches, ou
encore que le ministère du Travail se dé-
sintéressera de l'activité du bureau inter-
national du travail. Mais ce nue cela impli-
que c'est que, pour la première fois depuis
la création de la Société des nations, il
y aura pour ainsi dire un ministre des af-
faires de la Société siégeant à la table du
conseil et voyant son importance rehaussée
dn fait qu'il occupe une des fonctions les
plus anciennes dans l'histoire'des ministères
britanniques.
Les effets de cet arrangement seront des
plus importants. Il reste à savoir jusqu'à
quel point lord Robert Cecil jugera néces-
saires des organisations nouvelles, mais il
n'y aura pas lieu de s'étonner s'il s'occupe
immédiatement de créer une r.ommissiolî lin-
terministérielle. de. la Société des nations,
composée de représentants des différents
ministères qui sont en relations étroites
avec la Société, sur le modèle de l'organi-
sation instituée depuis longtemps par la
gouvernement français.
Il va sans dire que le nouveau ministre
de la Société des nations travaillera en
liaison très étroite avec le Foreign Office,
où les affaires de la Société sont gérées
en ce moment par l'honorable Charles Tuf-
ion. Il aura même probablement un bureau
à lui dans ce, ministère. Il y a tout lieu
de croire que lord Curzon loin d'insister sur
les difficultés terribles du nouvel arrange-
ment, le considère comme étant d'une va-
leur indiscutable
Entre autres effets importants, il y a lieu
de compter le fait que, à la. prochaine as-
semblée de la Société, au mois de septembre
de cette année, lord Robert Cecil représen-
tera non pas l'Afrique du Sud. mais la
Grande-Bretagne ; qu'il siégera d'une ma-
nière pérora mente au conseil de la Société -
garantie de la continuité de représentation
dont le besoin se faisait généralement sen-
tir : et qu'il répondra dans la Chambre des
Lords à la plupart, sinon à toutes les ques-
tions posées au sujet de la Société.
Bref, la décision de M. Baldwin confère
à la Société des nations un statut nou-
veau en Grande-Bretagne et cela ne peut
manquer d'avoir des répercussions ailleurs,
notamment en ce qui concerne les gouver-
nemenls des pays représentés au conseil
de la Société.
Je crois savoir que lord Robert se démet
immédiatement de ses fonctions de prési-
dent du comité exécutif de l'Union de la
Société des nations. - (Du correspondant,
diplomatique. H. Wilson HHarris.)
D:\1LY NEWS, 28.5.
——— ———
FRANCE ET GRANDE-BRETAGNE
« LA TACHE SUPREME DE M. BALD-
WIN » 'sous ce titre]. — C'est d'après sa
politique étrangère que sera jugé le minis-
tère de M. Baldwin. En comparaison du rè-
glement européen, qui nous rendra les
mains libres pour envisager les nouveaux
problèmes du Pacifique toutes les questions
intérieures ne présentent, qu'une importance
secondaire. Depuis son arrivée au pouvoir,
des événements décisifs viennent rappeler à
M. Baldwin l'urgence des problèmes qui se
posent à son attention. Une nouvelle guerre
vient d'être évitée grâce à la poignée de
mains échangée entre M. Venizelos et ls-
met. pacha. Nous sommes sûrs que ce ré-
sultat. n'aurait jamais été obtenu, si la
Grande-Bretagne, la France et l'Italie ne
s'étaient aussi serré la main au figuré,
avant la reprise des travaux de Lausanne.
DES
j FaiRes ÉTRANGÈRES
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N° 2362
Mardi 29 mai 1923
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA.— Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
ai.l.kmandk. - Lu situation du cabinet
"iiivatv (Fntnk[n>t<'r Zeifang). — L'a-
Lit ioi i communiste dans lu. Ruhr
'«nkiirter Zeilunij).
*' WiiI.wsh. - Les réparations : !e ; r-
Jft. belge (II. Wilson Mun is dans Daily
— Les attributions do lord Ro-
M"1i. Cecil dans le cabinet Baldwin (H.
} ilsiui liarris -dans Daily News). -
''l'ancf! et Grande-Rre/.àgne : « La tâche
"prcinc de M. Ruldwin » (Morning
110sI;. — Les chances d'un compromis
''(l';'('u-lul'(" (Till/('S, Daily Telegraph, Dai-
V Telegraph. Daily Chronicle, West-
iai.ri.ster Gazelle) : l'impression en Grèce
Corning Posf).
1 /', bl'\(;\lIII-:. — La pénétration espa-
gnole un Maine (Luis de Zulueta dans
l-<-be.rlit(l>.
1' 1 '[ J "b' t
lTALiK\)':. - La situation du cabinet
lJoiticaré [Slampa).
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
LE PROJET BELGE. — Le premier point
J, ,ÎS!iaj|' propositions belges est que
h p "-Inique a réussi là où a échoué la Fran-
ce '1 quelle a élaboré de* son chef un projet
1''Parafions plus ou moins pratique.
:s. -1' second est que la Belgique insiste dé-
laire < S ouvei-tenient sur l'importance de
d:;'(>yür-licip'el' de plus tôt possible la Gran-
stagne et l'Italie aux conversations.
I 'sième est que les experts belges
st. V11^- av
q de l'opinion allemande, à savoir
i'fu * ('I Illi iniporte immédiatement ce n'est
fr 'lxer un montant. global, mais d'exi-
ger dfs vel'sempnts annuels raisonnables,
f. j -i !'*'' 'onn<'"s à la capacité de paiement de
î i
(l b loO
b,¡,l!iltJ\' aux autres détails des propositions
belges .gl's (lnnt il est fait mention; la mainmise
h e Monopole de l'alcool ne rencontrerait
j);i * °pposition de la part des Allemands,
rp, "nt eux-mêmes offert de le céder.
«1.1, ,hvallche ils s'opposeraient avec la
dernière énergie à la suggestion suivant la-
fn, le les chemins de fer seraient traités de
n,'IU<; façon. C'ea' lit un point sur lequel
fJl 11]On allemande se montre particulière-
in? nt susceptible. On prétend même, soit dit
1iIII}PQ8ünt, que les bénéfices de l'exploita-
Q,'f (ks chemins de fer allemands de la rive
e., e fhi Rhin compensent en majeure
partie le déficit, accusé par le réseau de la
riive droite.
Le JOUir où lu conférence alliée se réunira
enfin et ce sera certainement d'ici peu de
temps, deux points surtout auront besoin
d'être promptement réglés. Le premier est
de savoir s'il y a lieu de reviser les pour-
centages de Spa, qui sur un montant sup-
posé de 50 milliards marks-or, donneraient
f milliards à la Belgique et 26 à la France,
nu bénéfice de l'un de ces pays ou même des
deux.
L'autre point est de savoir si les frais de
l'occupation de la Ruhr, laquelle, selon la
thèse anglaise, n'est nullement autorisée
par le u'aité de Versailles, doivent être por-
tés au compte de l'Allemagne, ou supportés
par la France et la Belgique. Ce petit pro-
blème que l'on tend parfois à perdre de vue,
peut encore faire surgir bon nombre de
difficultés. — (Du correspondant particu-
lier. H. Wilson Harris.)
DAILY NEWS, 28.5.
——— ———
LA SOCIETE DES NATIONS
LES ATTRIBUTIONS DE LORD
ROBERT CECIL DANS LE CABINET BALDWIN. -
On ne semble pas encore avoir entièrement
compris la portée de la nomination de lord
Robert Cecil comme lord du sceau privé
dans let nouveau ministère. Ce qui s'est
passé, c'est que le premier ministre a ins-
titué, avec le cordial assentiment de lord
Curzon, un arrangement pur ilequeil lord
Robert, en sa qualité de membre du çabinet,
centralisera sous sa direction toutes les
questions au sujet desquelles le gouverne-
ment britannique est en relation avec la
Société des nations.
Ce n'est pas il dire évidemment, que le
Home Office cessera de s'intéresser directe-
ment à des questions telles que les efforts
faits par la Société pour restreindre :1e
trafic de l'opium, la traite des blanches, ou
encore que le ministère du Travail se dé-
sintéressera de l'activité du bureau inter-
national du travail. Mais ce nue cela impli-
que c'est que, pour la première fois depuis
la création de la Société des nations, il
y aura pour ainsi dire un ministre des af-
faires de la Société siégeant à la table du
conseil et voyant son importance rehaussée
dn fait qu'il occupe une des fonctions les
plus anciennes dans l'histoire'des ministères
britanniques.
Les effets de cet arrangement seront des
plus importants. Il reste à savoir jusqu'à
quel point lord Robert Cecil jugera néces-
saires des organisations nouvelles, mais il
n'y aura pas lieu de s'étonner s'il s'occupe
immédiatement de créer une r.ommissiolî lin-
terministérielle. de. la Société des nations,
composée de représentants des différents
ministères qui sont en relations étroites
avec la Société, sur le modèle de l'organi-
sation instituée depuis longtemps par la
gouvernement français.
Il va sans dire que le nouveau ministre
de la Société des nations travaillera en
liaison très étroite avec le Foreign Office,
où les affaires de la Société sont gérées
en ce moment par l'honorable Charles Tuf-
ion. Il aura même probablement un bureau
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de croire que lord Curzon loin d'insister sur
les difficultés terribles du nouvel arrange-
ment, le considère comme étant d'une va-
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Entre autres effets importants, il y a lieu
de compter le fait que, à la. prochaine as-
semblée de la Société, au mois de septembre
de cette année, lord Robert Cecil représen-
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Grande-Bretagne ; qu'il siégera d'une ma-
nière pérora mente au conseil de la Société -
garantie de la continuité de représentation
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tir : et qu'il répondra dans la Chambre des
Lords à la plupart, sinon à toutes les ques-
tions posées au sujet de la Société.
Bref, la décision de M. Baldwin confère
à la Société des nations un statut nou-
veau en Grande-Bretagne et cela ne peut
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notamment en ce qui concerne les gouver-
nemenls des pays représentés au conseil
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Je crois savoir que lord Robert se démet
immédiatement de ses fonctions de prési-
dent du comité exécutif de l'Union de la
Société des nations. - (Du correspondant,
diplomatique. H. Wilson HHarris.)
D:\1LY NEWS, 28.5.
——— ———
FRANCE ET GRANDE-BRETAGNE
« LA TACHE SUPREME DE M. BALD-
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tère de M. Baldwin. En comparaison du rè-
glement européen, qui nous rendra les
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M. Baldwin l'urgence des problèmes qui se
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