Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1923-05-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 28 mai 1923 28 mai 1923
Description : 1923/05/28 (T24,N2361). 1923/05/28 (T24,N2361).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6467033c
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
MINISTRE
la lts
*ÊS ÉTRANGÈRES
----
1
N° 2361
Lundi 28 mai 1923
1 Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les Articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
---
I:¡.
.F\I.LEM.\:\OE. — Les paiements déjà
>• tjc .(Ués au titre des réparations : le
(1-e NI. Louis Dulbois à la Chnm-
'II des députés, le 22 mai (Rheiflis.cll-
"U lselle Zritu-ng). - L'arrêt de la
I.UUI' de j Ús lif'e : l'offr'e de démission
•lu CU l0t' Poincaré (Kôlnische Volks-
e/lnn!l, l{ ülnische Zcitvng). — M. Stre-
semann et l'agitation nationaliste (Ger-
1* (Ypiuni :
un Vœu du Congrès panaméricain (Chi-
l' QUo DaUv Newsî-
:''l':\NGL.\ISE. - La politique étrangère
;I ,Uibinet, Baldwin (Observer), - La
U_0n g>r'eco-turqne (Perceval Landon
'I.Hv* - Daily Tcleyraph). - L'arrêt de la
r, .l 'de justice : l'offre de démission du
i Illef^ PGoaiznectateré ) (Dai/y News, West-
lit/lister Ga::.ette).
-
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
J.f:),AIEMENTS DEJA EFFECTUES. -
,0,UL*S DE M. Louis DUBOIS A LA
CHAMBRES DES DÉPUTÉS, LE 22 MAI. — Nous
nous re f,US?nS a répondre aux attaques, il la
etipidc- de -
"Vj ^l le cupide do M. Dubois. Un hom-
de la lll.Ult des années comme président,
I!lj,I'r', COlflnnssion des réparations, s'est as-
"'H'i;..|||/'uis (^e l'Allemagne un traitement
,1 "s. t
tl',), ;1'dH teIui de tous les premiers minis-
Vs f||''10|ide. y compris ceux d'Angleterre
f,f (|f,s Etats-Unis, un homme qui sait com-
fl)¡p , :'.I!elnagnea. saigné, et. qui néanmoins
ose aujourd'hui venir prétendre que TAUe-
venir prétendre que TAlle-
magne n'a Presque rien paye. cet homme-là
à sa h'
\,) lêj('e tueurs.
'If) s habitués à voir sous-esti-
mer cfl que nous avons livré et fourni, à
V'1'' 'm er nos lH(lstat'{m!!Î seulement pour
une fraction de leur valeur. Mais les don-
H pj,°. Sen^es pSr Dubois ne sont même
/'rli : ¡ecord avec les chiffres officiels ad-
mis à 's- M. Dubois semble mettre à no-
tre compte frais d'entretien de tout l'ap-
}j,rpr'i! rnpp. les frais d 'ootretien de tout l'ap-
"¡<; l'lllaire. Evidemment, dépenser le
l'i- *ra'*emer>l de fonctionnaire qui fût
("II'! de, a dû nuire à son esprit, ou à son
fis (Jff> reut-êt,l"c même à. tous les deux.
Ir. ses gl'ossières. à l'adresse d'un peu-
r!')i ne peut se défendre seront probable-
* l"'|i (lr. ^re cornmentées au cours du débat
o b" O,PPGSition de la Chambre. En tout cas
1i('1j M a8e d'un pur chauvin peut servir
^n^:r'er quelles intentions on nourrit.
11, ar, et ce qui risque de nions arri-
ver si notre riposte ne ferme pas la bouche
à ces gens-là.
Il IIEIMS( 11-\\ ESTFAELISCIIE ZEITUNG,
24.5, matin,
——— ———
FRANCE ET GRANDE-BRETAGNE
LA POLITIQUE ETRANGERE DU CABI-
NET BALDWIN. - Sous le titre : « LE
PROBLÈME DE LA SÉCURITÉ DE LA FRANCE ». -
* Bien que le Premier Ministre ne se soit
pas encore occupé sérieusement de la ques-
tion générale de la politique étrangère du
nouveau ministère, ceux qui le touchent de
près prévoient que cette question sera une
des premières à retenir son attention cette
semaine. Toute la politique étrangère du
gouvernement sous tous ses aspects - la
Ruhr, la Russie, le Proche Orient - fera
l'objet d'une mise au point complète. On
croit savoir, notamment, que M. Baldwin
est résolu à s'attaquer immédiatement au
problème des réparations, de la Ruhr et
de la sécurité de la France. Bien qu'il soit
allé se reposer à Chequers Court pendant
cette fin de semaine, une partie de son di-
manche sera consacrée à ce sujet.
Dans les milieux diplomatiques anglais,
on attache une certaine importance à la
conférence francoelge qui doit se tenir
très prochainement à Paris. Elle avait été
fixée primitivement à aujourd'hui, mais elle
a été ajournée en raison d'un refroidisse-
ment pris par M. Jaspar, ministre des Af-
faires étrangères, de Belgique, qui devait
accompagner le premier ministre belge, M.
Theunis, à Paris. Cette conférence aura
lieu, cependant, d'ici quelques jours. Un des
points sur lesquels on croit savoir que la
délégation belge insistera surtout est que,
si la nouvelle offre allemande attendue pro-
chainement offre une base de discussion
plus favorable que la dernière, M soit con-
venu d'avance qu'une réponse collective
sera envoyée à l'Allemagne par la France,
la Belgique, l'Italie et la Grande-Bretagne.
On sait, d'ailleurs, que les diplomates bel-
ges ont été presque aussi déçus que les
diplomates britanniques par la « précipita-
tion excessive» de la réponse séparée fran-
çaise à la dernière offre allemande, si peu
acceptable que fût cette dernière. Si, comme
il est permis de l'espérer, MM. Theunis et
Jaspar réussissent à décider M. Poincaré à
faire preuve de moins de précipitation la
prochaine fois, le gouvernement de M.
Baldwin aura l'occasion d'agir.
On reconnaît, dans les milieux gouver-
nementaux, que l'aspect économique du
problème des réparations est d'une impor-
tance secondaire par rapport à celui de la
sécurité de la France ; c'est-à-dire qu'il ne
saurait intervenir de règlement des répa-
rations, jusqu'à ce que la crainte éprouvée
par les François au sujet de l'Allemagne
- crainte qui n'est que trop fondée, d'ail-
leurs - puisse être calmée. C'est pourquoi
il est question, dans les milieux diploma
tiques anglais, de reprendre, sous une
forme modifiée et modernisée, le pacte mi-
litaire qui avait été offert à la France, à
Cannes. On admet que cette possibilité d'un
accord avec la France ne pourra se réa-
liser que si l'opinion française se décide à
accepter une garantie visant purement et
simplement une agression allemande. Il ne
saurait être question d'appuyer les visées
françaises sur l'Allemagne, si tant est que
ces visées existent. On considère qu'il se-
rait possible d'offrir à la France des ga-
ranties la mettant à l'abri de toute crainte
véritable de l'Allemagne.
Cependant, la politique du nouveau gou-
vernement britannique sera d'établir nette-
ment que l'aspect économique des répara-
tions et des dettes interalliées intéresse
l'ensemble des Alliés. C'est M. Baldwin qui
a négocié l'affaire du paiement de la dette
britannique envers les Etats-Unis. Les
Français comprendront la portée de ce fait
en ce qui concerne le règlement complet et
sans conditions de toutes les dettes et in-
demnités, qu'il s'agisse des Alliés ou des
ex-ennemis. Il faut que le règlement ait
pour base !a reconnaisance loyale des obli-
gations et une méthode juste pour y faire
honneur, de la part des uns comme des
autres. - (Du correspondant diplomatique.)
OBSERVER, 27.3.
——-
LA SOCIETE DES NATIONS
LE CONTROLE DE LOPIUM. - UN
VŒU CONFORME DU CONGRÈS PANAMÉRICAIN. -
Sur la proposition dei la délégation des
Etats-Unis, le Congrès panaméricain, par
l'organe de son Comité exécutif, vient
d'émettre un vœu dans lequel il demande
aux nations qui ont signé les conventions
de La Haye de 1913-1914, sur l'établissement
d'un contrôle actif du trafic de l'opium et
des stupéfiants, de ratifier ces accords.
Une commission de la Société des nations
a déclaré récemment que le principal obs-
tacle auquel se heurte la campagne contre
l'opium est constitué. par l'étendue et les
innombrables ramifications de contrebande.
Il importe donc que les gouvernements puis-
sent. exercer leur contrôle sur tous les char-
gements d'opium. C'est d'ailleurs le but que
se propose d'atteindre la Société des na-
tions qui a déjà, dit lord Robert Cecil, « frap-
pé dur et fort ». Pourtant, tous les adver-
saires sincères de Ibpfum estiment que
cette mesure ne serait pas suffisante. Si
l'on continue à produire librement l'opium
en Chine, aux Indes et en Perse, il est
ibien certain que le stupéfiant, trouvera des
débouchés, dans tous les pays, malgré la
la lts
*ÊS ÉTRANGÈRES
----
1
N° 2361
Lundi 28 mai 1923
1 Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. - Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères Les Articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
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I:¡.
.F\I.LEM.\:\OE. — Les paiements déjà
>• tjc .(Ués au titre des réparations : le
(1-e NI. Louis Dulbois à la Chnm-
'II des députés, le 22 mai (Rheiflis.cll-
"U lselle Zritu-ng). - L'arrêt de la
I.UUI' de j Ús lif'e : l'offr'e de démission
•lu CU l0t' Poincaré (Kôlnische Volks-
e/lnn!l, l{ ülnische Zcitvng). — M. Stre-
semann et l'agitation nationaliste (Ger-
1* (Ypiuni :
un Vœu du Congrès panaméricain (Chi-
l' QUo DaUv Newsî-
:''l':\NGL.\ISE. - La politique étrangère
;I ,Uibinet, Baldwin (Observer), - La
U_0n g>r'eco-turqne (Perceval Landon
'I.Hv* - Daily Tcleyraph). - L'arrêt de la
r, .l 'de justice : l'offre de démission du
i Illef^ PGoaiznectateré ) (Dai/y News, West-
lit/lister Ga::.ette).
-
POLITIQUE GENERALE
LES RÉPARATIONS
J.f:),AIEMENTS DEJA EFFECTUES. -
,0,UL*S DE M. Louis DUBOIS A LA
CHAMBRES DES DÉPUTÉS, LE 22 MAI. — Nous
nous re f,US?nS a répondre aux attaques, il la
etipidc- de -
"Vj ^l le cupide do M. Dubois. Un hom-
de la lll.Ult des années comme président,
I!lj,I'r', COlflnnssion des réparations, s'est as-
"'H'i;..|||/'uis (^e l'Allemagne un traitement
,1 "s. t
tl',), ;1'dH teIui de tous les premiers minis-
Vs f||''10|ide. y compris ceux d'Angleterre
f,f (|f,s Etats-Unis, un homme qui sait com-
fl)¡p , :'.I!elnagnea. saigné, et. qui néanmoins
ose aujourd'hui venir prétendre que TAUe-
venir prétendre que TAlle-
magne n'a Presque rien paye. cet homme-là
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\,) lêj('e tueurs.
'If) s habitués à voir sous-esti-
mer cfl que nous avons livré et fourni, à
V'1'' 'm er nos lH(lstat'{m!!Î seulement pour
une fraction de leur valeur. Mais les don-
H pj,°. Sen^es pSr Dubois ne sont même
/'rli : ¡ecord avec les chiffres officiels ad-
mis à 's- M. Dubois semble mettre à no-
tre compte frais d'entretien de tout l'ap-
}j,rpr'i! rnpp. les frais d 'ootretien de tout l'ap-
"¡<; l'lllaire. Evidemment, dépenser le
l'i- *ra'*emer>l de fonctionnaire qui fût
("II'! de, a dû nuire à son esprit, ou à son
fis (Jff> reut-êt,l"c même à. tous les deux.
Ir. ses gl'ossières. à l'adresse d'un peu-
r!')i ne peut se défendre seront probable-
* l"'|i (lr. ^re cornmentées au cours du débat
o b" O,PPGSition de la Chambre. En tout cas
1i('1j M a8e d'un pur chauvin peut servir
^n^:r'er quelles intentions on nourrit.
11, ar, et ce qui risque de nions arri-
ver si notre riposte ne ferme pas la bouche
à ces gens-là.
Il IIEIMS( 11-\\ ESTFAELISCIIE ZEITUNG,
24.5, matin,
——— ———
FRANCE ET GRANDE-BRETAGNE
LA POLITIQUE ETRANGERE DU CABI-
NET BALDWIN. - Sous le titre : « LE
PROBLÈME DE LA SÉCURITÉ DE LA FRANCE ». -
* Bien que le Premier Ministre ne se soit
pas encore occupé sérieusement de la ques-
tion générale de la politique étrangère du
nouveau ministère, ceux qui le touchent de
près prévoient que cette question sera une
des premières à retenir son attention cette
semaine. Toute la politique étrangère du
gouvernement sous tous ses aspects - la
Ruhr, la Russie, le Proche Orient - fera
l'objet d'une mise au point complète. On
croit savoir, notamment, que M. Baldwin
est résolu à s'attaquer immédiatement au
problème des réparations, de la Ruhr et
de la sécurité de la France. Bien qu'il soit
allé se reposer à Chequers Court pendant
cette fin de semaine, une partie de son di-
manche sera consacrée à ce sujet.
Dans les milieux diplomatiques anglais,
on attache une certaine importance à la
conférence francoelge qui doit se tenir
très prochainement à Paris. Elle avait été
fixée primitivement à aujourd'hui, mais elle
a été ajournée en raison d'un refroidisse-
ment pris par M. Jaspar, ministre des Af-
faires étrangères, de Belgique, qui devait
accompagner le premier ministre belge, M.
Theunis, à Paris. Cette conférence aura
lieu, cependant, d'ici quelques jours. Un des
points sur lesquels on croit savoir que la
délégation belge insistera surtout est que,
si la nouvelle offre allemande attendue pro-
chainement offre une base de discussion
plus favorable que la dernière, M soit con-
venu d'avance qu'une réponse collective
sera envoyée à l'Allemagne par la France,
la Belgique, l'Italie et la Grande-Bretagne.
On sait, d'ailleurs, que les diplomates bel-
ges ont été presque aussi déçus que les
diplomates britanniques par la « précipita-
tion excessive» de la réponse séparée fran-
çaise à la dernière offre allemande, si peu
acceptable que fût cette dernière. Si, comme
il est permis de l'espérer, MM. Theunis et
Jaspar réussissent à décider M. Poincaré à
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prochaine fois, le gouvernement de M.
Baldwin aura l'occasion d'agir.
On reconnaît, dans les milieux gouver-
nementaux, que l'aspect économique du
problème des réparations est d'une impor-
tance secondaire par rapport à celui de la
sécurité de la France ; c'est-à-dire qu'il ne
saurait intervenir de règlement des répa-
rations, jusqu'à ce que la crainte éprouvée
par les François au sujet de l'Allemagne
- crainte qui n'est que trop fondée, d'ail-
leurs - puisse être calmée. C'est pourquoi
il est question, dans les milieux diploma
tiques anglais, de reprendre, sous une
forme modifiée et modernisée, le pacte mi-
litaire qui avait été offert à la France, à
Cannes. On admet que cette possibilité d'un
accord avec la France ne pourra se réa-
liser que si l'opinion française se décide à
accepter une garantie visant purement et
simplement une agression allemande. Il ne
saurait être question d'appuyer les visées
françaises sur l'Allemagne, si tant est que
ces visées existent. On considère qu'il se-
rait possible d'offrir à la France des ga-
ranties la mettant à l'abri de toute crainte
véritable de l'Allemagne.
Cependant, la politique du nouveau gou-
vernement britannique sera d'établir nette-
ment que l'aspect économique des répara-
tions et des dettes interalliées intéresse
l'ensemble des Alliés. C'est M. Baldwin qui
a négocié l'affaire du paiement de la dette
britannique envers les Etats-Unis. Les
Français comprendront la portée de ce fait
en ce qui concerne le règlement complet et
sans conditions de toutes les dettes et in-
demnités, qu'il s'agisse des Alliés ou des
ex-ennemis. Il faut que le règlement ait
pour base !a reconnaisance loyale des obli-
gations et une méthode juste pour y faire
honneur, de la part des uns comme des
autres. - (Du correspondant diplomatique.)
OBSERVER, 27.3.
——-
LA SOCIETE DES NATIONS
LE CONTROLE DE LOPIUM. - UN
VŒU CONFORME DU CONGRÈS PANAMÉRICAIN. -
Sur la proposition dei la délégation des
Etats-Unis, le Congrès panaméricain, par
l'organe de son Comité exécutif, vient
d'émettre un vœu dans lequel il demande
aux nations qui ont signé les conventions
de La Haye de 1913-1914, sur l'établissement
d'un contrôle actif du trafic de l'opium et
des stupéfiants, de ratifier ces accords.
Une commission de la Société des nations
a déclaré récemment que le principal obs-
tacle auquel se heurte la campagne contre
l'opium est constitué. par l'étendue et les
innombrables ramifications de contrebande.
Il importe donc que les gouvernements puis-
sent. exercer leur contrôle sur tous les char-
gements d'opium. C'est d'ailleurs le but que
se propose d'atteindre la Société des na-
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pé dur et fort ». Pourtant, tous les adver-
saires sincères de Ibpfum estiment que
cette mesure ne serait pas suffisante. Si
l'on continue à produire librement l'opium
en Chine, aux Indes et en Perse, il est
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